Jackson leva légèrement son chapeau pour mieux observer l'île qui s’élevait devant ses yeux. Quelques jours plus tôt, lui et quelques hommes de son équipage avaient entendu une rumeur dans un tripot de South Blue. Dès le mot trésor, ses hommes s'étaient excité, faut dire que pour quelques premières aventures, il n'avait de pirate que le nom. Aussi c'est avec un petit rire que le capitaine des Shamrock avait accepté que Suna no Eroi, le pervers du sable, leur navigateur les emmènent sur Numa Numa Yei : L'île Marais.
La rumeur commençait ainsi : L'île était telle une petite montagne au milieu des marais où les quelques entrées étaient des tunnels vers l’intérieur du rocher. Il paraîtrait que les marécages soient aussi repoussant à l’extérieur que dans le sain creux de la cathédrale monolithique. Bien vite, les habitants des îles voisines, la surnommèrent « La Maudite » à cause des nombreuses disparitions de fou qui s'y seraient aventuré. Les sons entendus à des kilomètres à la ronde n'aidaient pas non plus. Tels des cris d'âme agonisante ou des rires de démons, les rumeurs se transformèrent en certitude : Il y a des monstres en ses eaux bannis des hommes.
Pas de quoi faire peur à une bande pirate nouvellement formé. Surtout lorsque le second est à moitié fou et qu'il avait tendance à crier en réponse aux hurlements des morts. Les sham's avaient amené le bateau aussi près que possible mais ils manquèrent de s'engluer plusieurs fois, les forçant à débarquer via leurs chaloupes. Les centaines de mètres qui les séparèrent des récifs furent empreints d'une ambiance lugubre, le brouillard se mêlant à l'odeur de mort. Dans cette atmosphère, chaque roseau salifère, poussant dans l'eau salée ressemblait à des mains squelettiques demandant de l'aide. Roseaux que Drake Crimson s'amusait à découper avec fort crie de joie. Probablement l’élément le plus étrange du lot.
Ce n'est qu'une fois à moins de vingt mètres du bord que la montagne se révéla aux yeux des marins. D'où l'exclamation du capitaine Lewis, surpris de la hauteur du monolithe, invisible ou presque de l’extérieur.
-Eh bien, eh bien, voilà quelque chose d’impressionnant... Comme a dit un grand philosophe, « commencez à croire aux histoires de fantômes, Mademoiselle Turner... vous en vivez une ! » Itotototototototo !
Le pirate n'eut pu s’empêcher d’émettre son rire si particulier. Un grand sourire aux lèvres après ça, il sonda le sol de sa canne avec précaution. Le sable lui semblait particulièrement mou, de fait, il était quasi persuadé que les marais devaient s'y mélanger pour emprisonner les idiots dans des sables mouvants. Inconsciemment, il retira d'ailleurs son objet de compagnie, se servant de la poigne pour attraper son second par le bras, l’empêchant de sauter en plein dedans.
Les marins passèrent dans des sortes de tunnels créées par des années de clapotis et de vagues, créant des formes allongées des plus étranges, certaines plus grandes que d'autres. Leurs reflets semblaient danser sur les parois humide, déformé, inhumains jusqu'à ce qu'ils arrivent dans un large espace. Les marais ensablés laissèrent place à de l'eau rance mais moins dangereuse en apparence. Surtout, un espace central des plus étranges trônait dans la caverne intérieure. Une sculpture d'ours en acier y avait été posé, ce dernier étant sur deux pattes, il avait les « bras » croisés sur une armure en bronze. Ses pieds poilus, griffus, reposaient eux sur une plate-forme où était formé un mot, gravé dans la pierre. :
B.A.C.H.
Le sociologue était sans voix face à un tel spectacle, subjugué, il remarqua à peine les chaloupes toucher le sable étant le terre-plein central. Lentement, il n'en descendit que pour mieux faire le tour de la sculpture, l'observer sous autant de point de vue que possible. Sa main droite notait d'ailleurs furieusement, tous les détails où son œil pouvait se poser. L'ensemble semblait particulièrement détérioré et pourtant, on pouvait encore deviner le chef-d’œuvre que cela avait été, des années auparavant. Silence, le muet, partenaire de beaux livre et d’écriture tapota l'épaule de son supérieur pour attirer son attention. Une fois ceci-fait, il montra du doigt les divers tunnels qui s'échappaient de la place. Apparemment, il s'agissait là d'une espèce de carrefour. Le mot « chapelle rayonnante» vient même se loger dans l'esprit de Jackson dans une parallèle religieuse. Qui savait? Peut-être que cet ours était un autel et chaque tunnel, une petite chapelle individuelle?
Techniquement, il y avait peu de chance. Probablement que le lieu avait tenu une place importante des dizaines d'années plus tôt, une sorte de symbole, une porte d’entrée ou une antichambre glorifié. Qui pouvait-dire si tel tunnel menait à l’extérieur ou un autre plus à l’intérieur. Tout ce que voyait le sociologue était que certains étaient à sec, semblant monter tandis que d'autres étaient totalement inondé ou à peine utilisable par chaloupe.
-Mais que n'est-ce donc que tout ceci?
De nouveau, le capitaine ôta son chapeau pour lui assurer un champ de vision plus large. Près d'une quinzaine de tunnels étaient visibles pour une dizaine de praticable. Il hésita à envoyer un de ses nakamas dans chaque tunnel pour explorer mais, par mesure de précaution et parce qu’il ne voulait pas être tout seul, il changea d'avis. Du doigt et de la parole, il fit plusieurs groupes de deux, chacun devant emprunter un des tunnels. Le point de rendez-vous était situé, une heure plus tard, deux tout au plus à « la place de l'ours »....
Spoiler:
Rappel du pitch de base :
Cette île est constituée d’une énorme chapelle naturelle qui est en fait une montagne. Celle-ci est quasiment creuse et très haute, son intérieur est constitué d’un labyrinthe de grottes et tunnels (parfois sous-marin), île miniature à l’intérieur entourés de marais, …l’ambiance y est très lugubre. D’ailleurs les habitants des villes voisinent la surnomment « la maudite » vu que tous ceux qui y rentrent n’y sortent jamais, de plus on entend souvent depuis le large des drôles de bruits, des démons selon la croyance locale. Cette dernière va de simples grenouilles des marais à des serpent géants,crabe empoisonneurs,cadavres encore vivants et autres démons aquatique…quelle est la réalité, personne ne le sait…Pourtant des gens y vont encore et toujours car toujours selon la légende, ces démons ne sont pas là pour rien, ils gardent de fabuleux trésors…
Les groupes : Groupe A (ce topic), moi, soka, cash, otsu, pas forcement dans cet ordre Groupe B (topic à créer après le tour d'intro dans celui-ci) : Gaho, razan, ketsu et as (idem, pas nécessairement dans cet ordre, gaho en meneur de recit)
Vous êtes bien sûrs libre d’interpréter le pitch comme vous le sentez, improvisez, vous en éloigner. Je reste vagues sur les couples pour vous laissez des possibilités (organisez vous entre vous). De même, je vous divise en groupe de 2 pour pas trop faire « ho trop chanceux, on va tous dans le bon tunnel du premier coup ». Seul obligation restez à l’intérieur de la montagne creuse. Plus tard dans le récit, on tombera sur un chantier navale abandonné depuis des années où on trouvera Chiron, notre navire. De fait, le bateau qui nous as amené, c'est celui du précèdent capitaine et après GL, on peut logiquement supposer qu'il est pas loin de tomber en miette. On peut aussi le faire tomber en miette à cause d'un combat ou autre chose.
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Sam 4 Jan - 18:36
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Lun 6 Jan - 13:23
Les jours avaient passé depuis que l'homme en vert était venu chercher Jack au fond de son tripot. Les jours étaient passé comme les fleurs qui fanaient en saison morne et Jack s'intégra petit à petit dans l'équipage qui portait le doux nom de Shamrock Pirates. Il était l'ainé de l'équipage, il était celui qui avait déjà roulé pas mal sa bosse, même si en vérité, il n'avait navigué que quelques années. Mais l'homme venait de Grand Line, il n'était pas un petit être d'une Blue, non il venait d'une zone qui pour les Shamrocks était bien mystérieuse et bizarre. Sawyer avait l'expérience, il avait aussi la connaissance. Le journal de John était son trésor, un cahier rempli d'informations sur la route de tous les périls.
A leur dernière halte pour se remplir la panse de gigot rôti et de rhum bien frais, l'équipage attablé à se goinfrer avait réussi à capter une discussion sur un prétendu trésor. L’appât du gain motivant la troupe, la décision avait été prise de se rendre sur la fameuse île, Numa Numa Yei : L'île Marais. L'ambiance de l'île était lugubre, lumière opaque, peu éclairée, sombre. Du brouillard plein de brouillard et un putain de marais bien puant qui entourait en fait la montagne qui constituait le coeur de l'île. Une statue d'ours trainait devant différentes entrées de galerie qui semblait montait au dessus de la montagne. Etait-ce un totem pour dissuader les voyageurs d'emprunter les tunnels? Etait-ce une représentation du dieu de cet île? Jack le regarda un moment et éclata de rire lorsque la conserve de service brisa une griffe de l'ours d'acier.
_ Cyborg un, statue zéro, hahaha.
Pendant ce temps le muet qui portait le nom de Silence, oui, oui Silence... et le second du capitaine s’engouffrèrent ensemble dans l'une des galeries. Jack s'imagina le muet qui allait partageait les dialogues externes du cinglé en collant. Sawyer fit un petit signe amical à Silence qui voulait en fait dire bout courage et les regarda s'enfoncer dans les entrailles de la montagne. Le cyborg lui se mettait en monte discothèque et alluma les lumières de ses yeux bioniques. Il manquait plus qu'un audiodial et c'était la fête assurée! Il repensa à la définition de Zoey sur le mot BACH inscrit sous l'ours et tout en lorgnant son cul de son regard d'homme mature croqueur de gonzesse, il ne put s’empêcher de marmonner un "Bourrage Anal d'une Connasse Humide". Justement c'était avec elle qu'il faisait équipe pour s'enfoncer dans un tunnel et celle-ci l'avait déjà menacé. Comme pour la contrarier, il dématérialisa sa min qui alla tâter les courbes de son fessier. La réponse ne se fit pas attendre et il se prit une claque dans la tronche ce qui le fit éclater de rire.
_ Je sais que tu craques pour moi ma jolie Zoey. On peut aller se caler quelques instants contre un mur du tunnel. Je te montrerais ce que ça veut dire être un homme d'expérience, héhé.
Il se mit à ricaner et passa devant pour ouvrir la marche. Il choppa une vieille torche accrocher à un bout de ferraille et l'alluma avec son briquet. Bientôt la voix de Jackson et des autres ne fut plus qu'un écho puis un murmure. Où allait-il s'enfoncer? Il poussa un petit soupire tout en montant à l'intérieur de la montagne. Un drôle de grondement ne tarda pas à se faire entendre. Zoey l'avait-elle entendu?
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Mer 8 Jan - 21:53
WoOohoooo ?!! Mon flair finement aiguisé par la douce odeur des marais ne peut me trahir : Il y a d'autres muchachos dans cet endroit craignos ! Par la barbe du Bouc Belliqueux, ma main à couper que je vais pouvoir les sortir de là. Et qu'ils feront pareil en retour. Surtout. Blpblp.
Pataugeant dans le liquide putride envahissant la majeure partie des couloirs, l'Homme-Poisson se hâtait tant bien que mal pour rejoindre les étrangers. Voilà des jours qu'il errait en solitaire dans les parages, tout d'abord attiré par le goût original des eaux du coin puis finalement égaré par un sens de l'orientation douteux et un instinct de survie tout aussi inquiétant. Toutefois, les lieux n'étaient pas aussi misérables comme beaucoup pouvaient le penser aux yeux de l'étrange personnage qui y avait élu domicile malgré lui – Le seul problème était la faune quasi inexistante et la zone atrocement labyrinthique... Les repas étaient maigres et plus poisseux que d'habitude, un détail qui ne plaisait pas à Bartimeus, celui-ci étant friand de repas d'Homme, ou plutôt d'Humains, car même les ressources infinies de l'habitacle marin ne le satisfaisaient pas. Sauf quand il n'avait pas le choix.
Et depuis quelque temps, le choix s'avérait encore moins vaste qu'à l'accoutumé.
Mais ils étaient venus. Des inconnus. Des compagnons providentiels. S'il ne savait trop comment quitter l'endroit, l’Étrange avait débouché à plusieurs reprises dans les marais centraux, là où la nourriture était plus présente même si des ombres, des cris incompréhensibles et d'autres mystères y sommeillaient également. Des détails qui ne l'intéressaient finalement bien peu lorsque son estomac ne le rappelait pas à l'ordre. Mais peu importait désormais, car en un rien de temps, il fit son apparition devant le petit groupe à la peau gracieuse et aux facettes charmantes ; ah qu'il les aimait, ces humains ! Ah comme il aurait voulu être l'un des leurs ! De ses trois mètres, il déboulait avec fracas d'en haut d'un tunnel exigu en faisant s'effondrer un pan de pierres et une trombe d'eau croupie. Il passa sa main palmée dans ses cheveux gras afin de les détremper légèrement, y retirant des algues séjournant depuis bien trop longtemps.
Yo-oOo les amigos ! Ici Bartimeus Von Palourd. C'est pas ma maison mais presque, j'ai juste oublié où était la porte d'entrée en fait. Faut dire que c'est plutôt spacieux hein ? Mais j'aime bien ! L'originalité prime sur le bon goût comme on dit. Dévisageant avec une insistance enfantine le trio amusant, il esquissa un sourire carnassier et peut-être charmeur, les mains sur les hanches. Fier. Bon. C'est pas tout mais qu'est-ce qui amène deux grands gaillards et une sublime brunette par ici ? J'vous fais visiter ? Vous avez deux-trois jours devant vous ? C'est que ça peut être long. En tout cas j'suis content de vous voir ! Oh mais je manque à tous mes devoirs, j'paye mon apéro ?!!
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Dim 26 Jan - 22:30
-Et bah voilà ! Bravo Pumpy, maintenant on est perdu !
Jackson, la main en visière malgré l'absence de lumière tentait de sonder l'obscurité des couloirs. Il se rappelait avoir prit à gauche puis être tombé sur un petit croisement comme une mini-place de l'ours. C'était là que Pumpy, un des membres de équipage, avait proposé de continuer à toujours prendre le premier à gauche pour s'y retrouver. Sauf que, après deux-trois tournants, leur couloir en avait traversé un second qui lui-même était traversé par un troisième... qui finissait en éboulement. Du coup, le capitaine et le marin, qui continuait à vouloir à prendre à gauche, s'orientait désormais dans une caverne à peine éclairé, ne sachant plus réellement où allez.
-Mon P'pa m'disait t'jours que si tu vas tout l'temps à gauche bin tu finirait pas r'contrer des Gromunistes. Chai t'jours pas s'que c'est.
Jacky-boy non plus ne savait pas ce que c'était. Il imaginait des cochons sur deux pattes avec des atours de pirate, allez savoir pourquoi. L'homme aurait voulut rebrousser chemin mais l’éboulement était des plus instables. Les deux compagnons avait eu de la chance de pas finir enterré la première fois. Ce souvenir agita de nouveau le trouillomètre du capitaine qui essuya de la poussière sur son costume de manière nerveuse.
-I'm'disait qu'avec eux, faut pas tortiller du fion. Des gars gentils mais qui hesitaient pas à foutre en prison ceux qui les gênaient.
Le sociologue jeta un regard dans la zone d'ombre où la voix de Pumpy avait émergé. Un gars sympa le pumpy, pas mauvais au combat en plus. Pas pour rien que jackson avait fait équipe avec lui. Seulement, le seul topic dont il semblait capable de discuter était comment son père l'avait évoqué. Un jour, un autre membre de l’équipage lui avait même demandé si sa mère était morte mais non, elle vivait toujours avec papa pumpy, bien tranquillement. Probablement une femme discrète.
-Hey cap'tain ! J'crois qu'j'entends un truc ! Par ici !
Les yeux du « cap'tain » s'agrandirent de peur alors que les paroles de son acolyte venait de faire leurs chemin dans son esprit. Il le laissait tout seul ! Le leader du groupe hétéroclite tenta bien de se retourner et de poursuivre son compagnon mais ses meilleurs capacités n'avaient jamais été physique. Se n'est qu'après de longue minute à trotter dans le noir, sans savoir où aller qu'il finit lui aussi par entendre quelques sons. Plus particulièrement un son assez mate, étouffé. Intrigué, effrayé aussi, il ralenti le pas, gardant une main sur le mur pour se rassurer et s'orienter. Ce n'est que lorsqu'il entendit le rire gras de son éminence ensablée qu'il se sentit enfin rassuré.
-JAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAACK !
larmes aux coins des yeux, l'homme au chapeau vert, sauta sur le vieux, passant allègrement au travers du sable que pour mieux se retrouver face à Zoey. D'un bond, il se releva, ébrouant son costume de son chapeau, chassant les quelques grains de sable sur ce dernier.
-Pumpy m'a lâchement abandonné. Vous ne l'auriez pas vu par hasard?
Affichant un grand sourire, ce n'est qu'une fois un peu calmé qu'il remarqua que le vieux pervers portait une torche. Les yeux du sociologue s’illuminèrent de joie et, il est vrai, d'un peu de larme.
-Ô chaleur divine. Ô éclairage magnifié, tu m'a de nouveau accepté dans ton giron...
Les quelques minutes qu'il avait passé seul l'avait fortement perturbé à marcher dans le noir, patauger même par moment. Ses chaussures et le bas de son pantalon était recouvert d'une étrange substance verdâtre. Mais il n'eut pas le temps de d’appesantir dessus qu'un nouveau bruit résonnait en écho dans leurs petit tunnel. Prit de peur, le capitaine sauta sur place, agrippant sa cuisinière au passage pour la mettre devant lui. Pas très élégant mais bien plus sûrs! « Saifeuti feurste » comme on dit en langlais.
Le son se répertoria sur les murs avant que quelques fumerolles puis quelques cours d'eau vinrent d'un côté des tunnels. Précisément, la côté qui montait vers des étages supérieurs, d'où l'eau qui en descendait, attiré par la gravité. Jack-boy osa de sortir son cou pour observer le chamarre, juste assez pour qu'une ombre se désolidarise du reste, créant une forme en clair obscur. Les yeux du pirate s'agrandirent de nouveau alors que sa bouche s’asséchait. La chose faisait près de trois mètres ! Trois mètres !
Pire que tout, l'odeur qui en émergeait avait de quoi faire tourner quelques têtes, bientôt accompagné de parole. C'est d'ailleurs le sens des mots qui ramena temporairement l'esprit du froussard dans son propre corps. Maison? Originalité? Non attendez... apéro? Tant de mot, tant de question qui se bousculait dans le crâne du sociologue. Une fois la chose dans le cercle de lumière de la torche, le petit groupe put enfin l'apercevoir en son entier. On aurait dit une expérience raté. Un monstre de la nature, typiquement ce qu'une île hanté pouvait receler. Mais dans ces conditions... comment pouvait-il parler la langue commun?
De plus près, l'odeur nauséabonde était étrangement atténué. Le capitaine des Shamrock décelait un arôme de tabac humide. Étrange. Bien étrange. Gardant soins de placer Jack et Zoey entre lui et le monstre, il se permet de sortir plus amplement de sa cachette, ne lumière de compréhension parcourant son esprit.
-Quel étrange personnage... je pensais que ce n'était que des légendes, des mythes pour faire peur aux enfants pas sage. Vous êtes un humanoïde non? Mi-humain, mi-quelque chose? Je dirais grenouille à la couleur de peau. Faites « croa » pour voir... Faudra m'expliquer un jour comment deux espèces distinctes arrivent à procréer. Peut-être une expérience du gouvernement. Vous saurais rien par hasard? Et toi Jack?
Tout en parlant, l'homme au chapeau ne pouvait enlever ses yeux de la bestiole. Analysant son placement, notant mentalement les caractéristiques qu'il apercevait. Ses mains ne tardèrent d'ailleurs pas à reprendre son carnet et commencer une toute nouvelle page « Humanoïde ». Quand il en parlerait à Silence ! Le chauve serait muet de stupéfaction. Enfin plus muet que d'habitude. Un concept difficile à illustrer.
-Enchanté l'ami ! Je me nomme Jackson Lewis ! Capitaine des Shamrock Pirates dont tu vois deux d'entre eux, la charmante Zoey et le moins charmant Jack.
Le leader du petit cirque de forbans avait bien pris soins de saluer à distance, agitant vaguement sa main plutôt que de la tendre à l'inconnu. Un jacksonaping était si vite arrivé. Il pouvait aussi se faire bouffer le haut du corps, ce n'était pas à exclure.
-Autant votre proposition d'apero est très aimable de votre part, autant je prendrais bien un petit thé. Vous n'avez pas quelques biscuits par hasard?
Malheureusement, avant que l'hôte du Numa Numa Yei ne puisse répondre, un petit craquement se fit entendre via le même chemin que le premier avait prit. Rapidement, un bruit de pas se discerna ainsi qu'un murmure, un léger bourdonnement comme une berceuse. De nouveau, l'ombre s'agrandit avant de reculer alors qu'une forme humaine se dégageait de la pénombre. Une jeune fille courbé sur ses deux mains avançait à petit pas. Sa tenue était sale, déchiré voir carrément en haillon. Ses murmures continuait, apparemment adressé à sa main
-Chhhhhhh...chhhhhh...c'est finit, c'est bientôt finit....
Elle remonta sa tête sur le quatuor, ses yeux blancs empêchant de vraiment savoir sur quoi portait son regard... si elle pouvait voir tout simplement ! Un coassement émergea de ses mains, inquiet, l'obligeant à de nouveau murmurer à celles-ci. Avançant toujours plus dans la lumière, elle permit aux pirates et à l'homme-poisson d'observer les taches violettes entre ses doigts ainsi que les pattes palmés qui s'en échappait. La jeune fille caressa avec amour la tête de sa grenouille que Jackson décida empoisonné à cause de la couleur des plus inhabituelle. Quand elle releva une nouvelle fois la tête, des veines était clairement visible sur ses jours et autour de ses yeux.
Spoiler:
-Vous faites trop de bruit et vous dérangez mes enfants.
Ses yeux se plissèrent alors qu'elle levait le nez, reniflant dans les airs. Une grimace se forma furtivement sur son visage tandis que des tics agitaient sa paupière gauche. Ce faisant, elle avait cessé d'avancer ce qui effraya le capitaine des Shamrock encore plus que la bestiole de trois mètre de haut. Lentement mais sûrement, il se repositionna derrière Zoey.
-Est-ce toi Clown? Ta peur empeste mes couloirs. Je t'ai déjà dis que tu ne trouveras pas ton trésor ici. Retourne voir ta mère et tes rêves minable de piraterie.
La grenouille coassa de manière énervée comme pour ponctuer les paroles de sa porteuse, le tout laissant Jackson dans l'expectative. Clown? Pirate? Mieux. Depuis quand était elle ici ? Clairement la demoiselle avait un peu perdu l'esprit. Qui considérait une grenouille empoisonné (ou non) comme son enfant?
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Lun 27 Jan - 13:32
Apéro? Ce nom si doux vint s'insinuer tendrement avec passion dans l'oreille du quadragénaire. Voila la donc un autochtone bien aimable et civilisé qui savait bien que tout se passait mieux lorsqu'on avait un verre dans la main. Jack regarda son nouveau capitaine commençait la discussion avec l'homme poisson. Que faisait-il la alors qu'ils s'était séparé quelques temps avant? La réponse était simple, le tunnel par lequel il était entré avec la douce Zoey avait débouché sur un petit pan de montagne ou la galerie par laquelle Jackson était entré avec Pumpy l'avait elle aussi conduit. Au passage Pumpy le gaillard avait fuit, il allait surement tâté du coup de fouet s'il on le revoyait... Sawyer prit la parole après l'interrogation de Lewis sur le nouvel arrivant, le rasta de la mer.
_ J'ai du mal à croire que tu sais rien sur eux, t'as pas eu de bouquin sur les hommes poissons dans ta grande bibliothèque? Oui notre ami apérophile est un homme poisson par contre je ne saurais dire de quel race. Barty tu pourrais me le dire? Bref il y a des HP de sorte poulpe, de sorte requin voir thon ou sardine... J'ai connu un homme poisson de sorte mérou autre fois, il s'appelait Jojo, il voguait sur l'Eucalypso sous les ordres du Capitaine Cousteau, surnommé le Bonnet Rouge. T'en a déjà entendu parlé? Un brave type ce Jojo, on avait bien rigolé ensemble en lattant du Marines aux abords de Pucci, hahaha.
Alors que le capitaine dandy clamait vouloir une saloperie de thé au lieu d'une bonne rasade de rhum, un énième invité vint à la rencontre du petit groupe. Que dire sur la tronche de la nouvelle? Car oui elle semblait être une femme malgré la faune grouillant dans son corps. Celle-la Jack ne risquait pas de s'y insérer, oh que non...
_ Oula, oula... On se calme la mère crapaud. Tu crois sincèrement que toi et ta sale gueule de taupe tu peux nous arrêter? Retournes dans ton trou et va chier dans tes bottes!
_ J'ai paaas de booottes!
_ Vas laver ton slip femme!
_ J'ai paaas de sliiip:
_ Pouah, t'as les algues à l'air, c'est ça la vieille odeur qui...
La clocharde ermite des marais poussa un cri aigu comme celui d'une harpie en pleine menstruation. La grenouille à l'étrange allure qu'elle portait sur sa main sauta alors sur Jack en croassant d'une étrange manière, alors qu'elle aurait du rentrer en contact avec une poitrine de chair et d'os et surement y transvaser une quelconque toxine dans sa bave ou sur sa peau, elle s'enfonça dans le corps de sable de Sawyer. Une troisième main sortit alors du torse de l'homme tenant la grenouille puis se fut un bras de sable entier qui étreignait avec force le batracien.
_ On ne joue pas avec le Sandemanne...
Deux des doigts de sable se déformèrent pour aller se glisser dans la bouche de la grenouille qui commença alors à gonfler, gonfler, gonfler... Et éclata! La femme aux yeux blancs poussa un hurlement à réveiller un mort qui était sourd dans la vie. Et elle sanglota tout en laissa de la morve couler de son nez en gros flot, la couleur de la sécrétion était verdâtre...
_ Mon Mirrhaïï... T'as tué Mirrhaïï...
_ Tais-toi! Conduis-nous en haut de cette montagne au lieu de chialer!
Jack prit un air menaçant ce qu'il fit reculer l'étrange femme aux doigts palmés. Après quelques instants où elle ne bougeait plus, elle fit signe à Jack et aux autres de la suite...
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Dim 2 Fév - 0:41
Houla... hm hm-alors du thé aux algues minérales j'peux faire ça mais les biscuits c'est un luxe hors de ma portée ! En tout cas les Sham' sont bienvenus dans les parages ; je lécherai bien les babines de la charmante Zoey en guise d'honorable salutation mais je me suis pas lavé les dents depuis une paye alors je m'abstiendrai.
A peine avait-il finit de parler qu'une nouvelle incrusteuse venait de faire son apparition – Un poil agressive, elle venait de se confronter à un sang ô combien plus chaud que le sien en la personne de Jack, celui-ci ne faisant qu'une bouchée d'un malheureux batracien qui éclata sous l'intrusion sablée du fruit du démon. La mère éplorée parvenait à peine à tenir face aux menaces du baroudeur qui l'incitait déjà à accélérer les choses après son meurtre sans merci. Bartimeus ne pouvait cautionner ça, et il avait une bonne raison.
Who-oOo, stop ! Qu'est-ce que vous foutez avec ma meuf ? Kim Beurre Lait m'a hébergé chez elle après que j'me sois paumé et ça a été le coup de cuillère dans le potage – on a formé une famille. J'aurai préféré une vraie humaine aux fesses fermes mais j'en aurai d'autre, elle sait que j'suis un voyageur à la langue vagabonde ! On a même eu un fils, Franz – Von Palourd –.
La loque verdâtre se trémoussa trente secondes devant la troupe avant de s'affaler contre un mur, murmurant un bonjour inaudible entre ses dents pointus puis logea sans langue dans une narine avant de faire vibrer une fine cordelette métallisée, songeur. L'Homme-Poisson, lui, posa sa paluche palmée sur la poitrine de Jackson tout en l'apostrophant d'un ton gras.
En tout cas faites pas de mal à mes fils têtards adoptifs hein... Dis-moi t'as du feu toi ? J'ai choppé une pierre à feu dans une ville humaine super classe, cela dit c'est de l'arnaque à chaque fois ! Ils vendent des trucs qui marchent quand on sort du magasin mais qui ne fonctionnent même plus après une virée sous-marine pour rejoindre une autre île, pfeuark ! Charlatans de mes deux.
Il fit volte face, agitant son horrible clope imbibée d'eau et d'algues, assurément insensible aux flammes de par son humidité. Un regard à peine tendre envers sa femme grenouille du moment, il ajouta de manière à conclure :
Bon par contre Kimou va falloir guider nos invités jusqu'à un truc sympatoche, l'est temps de faire visiter la maison même si ça a l'air de craindre dans la cave et un peu partout... C'est vrai que le freluquet suinte de la froide transpiration à en faire remuer l'instinct d'un requin au quart de tour mais avec un peu de chance on survivra tous une fois arrivé. C'est vrai que c'était plutôt moche la démonstration du vieux Jack mais faut avouer qu'elle casse plus que trois pattes à une grenouille non ? Comment ça je choisis mal mes mots... mais...
Dépassé par sa difficulté à communiquer avec la femme grenouille, Bartimeus se leva afin d'envoyer un puissant kick dans les côtes de son fils dépravé. Calmé par ce geste improvisé, il retourna auprès des Shamrock, se plaçant volontairement dans le dos de Zoey pour lui photographier le haut du pantalon.
Bon allez, Kim Beurre Lait va nous conduite plus loin. Par contre ça risque de devenir chaud, c'est vraiment craignons par là, et en plus y'a rien de mieux à se mettre sous la dent – Certainement pas des biscuits, mon brave m'ssieur !
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Mar 11 Fév - 20:51
Jackson se recula par réflexe, évitant un bout d’intestin de grenouille qui alla s’exposer sur le mur. Enfin... plus exploser qu'il ne l’état déjà, remerciement à l'homme de sable. L'odeur qui se dégagea était infect, le sociologue ne peut d'ailleurs s’empêcher d’agiter sa main devant son nez dans une vaine tentative d'air frais.
-Alors 1 : Degueu. 2, on parle pas ainsi aux femmes mon petit vieux. Je sais que la piraterie engage un certains parlé et une attitude plus ou moins violente mais quand même ! Soyons civilisé ! Alors ce thé?
Non parce qu'avec tout ça, il n'avait ni son breuvage, ni ses biscuits. C'était bien beau d'inviter des gens à discutailler mais si on était pas capable d'assurer derrière, ce n'était que de l'impolitesse caractérisée Moins que le navigateur de sable qui parlait à une femme batracienne, certes. Mais quand même... Surtout pour le professer Lewis. Quel avis pourrait compter plus que le sien?
Légèrement perdu dans ses pensées, l'homme ne vit pas le poisson venir poser sa papatte sur sa poitrine. Ce n'est que le contact froid et gluant qui le ramena à la réalité. Son visage vira au blanc et si Zoey n'était pas là pour le rattraper, il serait sans doute effondrer sur place. Monsieur Von Palourde s'en détournant sans même remarquer l'affaire. Lorsqu'il revint, faisant à peine attention au fait que le capitaine était à moitié étendu dans les bras de la belle. De la bave sortait d'un coin de sa bouche ce qui obligea la miss berry a le repoussé sur l'ero-suna.
Le vieux pervers de sable, obligé d’attraper son capitaine. Ou tout du moins, il accepta bon an, mal an de recevoir une charge supplémentaire (ce n'était pas comme si il avait l'habitude des nerfs d'acier de l'homme au chapeau). Quand Jackson ouvrit de nouveau les yeux, les trois humains et les deux...autres. Il n'était toujours pas surs de ce qu'était la mère grenouille, tous se trouvaient dans une caverne, un poil plus petite que le carrefour de l'ours. La moitié était en plus réservé à un bassin marâtre ou de drôle de bruit sortait et des bulles éclataient à intervalle régulier. Allongé dans un espèce de coussin de sable qui tenait plus du tas informe que de la fourniture de plage, le jeune homme fut réveillé par une étrange sensation sur le côté de son visage. Encore un peu dans les vapes, il mit du temps avant de comprendre de quel côté la « droite » était. L'alcoolo navigateur lui déclara d'ailleurs dans un rire gras « l'autre droite ».
Juste à temps pour qu'une langue de la taille d'une main humaine dessine une large travée de bave en plein milieu du visage du capitaine pirate. Pendant un instant, rien ne se passa. Le professeur regarda la chose qui le regarda en retour. Il regarda la langue puis de nouveau la chose qui sourit, sa langue en dehors de sa gueule.
L'oreille de l'humain capta une parole comme quoi c'était un fiston. Il entendit ensuite sa voix acquiescer à l'information. Avant que son corps, mécaniquement se relève pour aller le placer près de la marre. Il fit un sourire timide à ses compagnons qui pas dupe soit, se moquèrent, soit l'ignorèrent ou choisir de se rapprocher, inquiet. Autant dire que ce n'était pas ses nakamas qui avaient choisit la dernière option.
-Non, non je vais bien, ne vous inqui...
Le sham's cap'tain ne put jamais finir sa phrase, son petit déjeuner ressortant par sa gorge de son propre gré. La maîtresse de maison cria qu'on salissait sa mare mais c'était loin d'être dans le top 5 des infos que Jackson voulait savoir. En tout cas, pas avant, dans quel bordel c'était-il fourré, qu'était ce putain de truc bleu. Pourquoi on l'avait laissé lui lécher le visage ou encore est-ce que le coca du mak à dos était fait avec des poils de mammouths pour avoir ce goût si horrible. Que des demandes logique et raisonnable donc. C'est là que l'enfer c'est déchaîné. Pumpy est apparut en courant, criant même. Des bruits sourds couvrait sa voix ce qui ne laissait qu'une situation cocasse comme ces vielles images d'escargocamera, du temps où on devait intercaler des textes.
Le petit truc bleu qui léchait le vosage du capitaine peu de temps auparavant, sauta sur place, couinant d'un air affolé. Les remous de la mare se firent plus perceptible tel un petit gobelet posé sur le tableau de bord d'une wature. Étrange appareil que la wature, un cube de métal tracté par des dizaines de chevaux. Il y avait même des courses de wature, les accidents étaient frequent. Notamment parce qu'on avait le droit de remplacer les chevaux par des tigres ou autres carnivores. Comme disait un petit gros « on ne regrette pas sa soirée ». Les yeux dans le vague, un sourire niais sur le visage, le sociologue resta à côté de la marre alors que l'intensité des tremblements s’agitaient.
-Nan, nan, tout va bien. Je suis sûrs que tout va bien. Ce n'est pas comme si la vie de pirate était reputé dangereuse hein ? HEIN ?
Pumpy arrivant dans la caverne, se précipita sur Zoey, lui criant son amour. Ou qu'elle le sauve. C'était assez difficile de faire la différence dans le « aaaaaaaaaaaaaaaaaargh » de douleur qui accompagna la baffe de la jeune femme, propulsant le rejeté dans la mare. Même pas dix secondes plus tard, une énorme tentacule s’échappa de la masse d'eau verdâtre filant droit vers la cuisto des shamrock. L'enserrant puis la tractant dans son élément. Jackson lui, suivit tout ça d'un air détaché.
-Ha ouais ok...
Son cerveau débranché, trop de truc bizarre poppait de partout, il était resté là, simple spectateur, bougeant à peine sur lui-même pour observer la panique generale. Lui venait d'une île université, là où la raison faisait loi. Pour lui, homme-poisson et bestiole dévoreuse d'homme n'était que légende, croque-mitaine destiné à faire peur aux enfants pas sage. IL sentit un poids sur sa jambe droite lorsque le bébé de « Barty » vint se coller à lui. L'animal tremblait de tout son petit corps.
Son sourcil se leva intrigué. Depuis combien de temps était-il ici? Non pas sur sa jambe mais dans cette caverne, ce monde intriguant ? Mieux, depuis combien de temps était present sa mère et son père? Pourquoi personne n'en avait parlé? Pas de survivant c’était vrai mais quand même... les prédécesseurs des shams auraient put faire un effort. Ce clown par exemple. DU coup, peut-être que le petit couple d'affreux avait amené leurs rejeton avec lui? Et qu'en était-il de la grenouille explosé? Était-ce elle aussi un membre de la famille? Cela pourrait expliqué l'étrange manque de réaction de l'homme-poisson. Il devait en pondre treize à la douzaine du coup, en perdre un ou deux devait être assez routinier. Mais une plus importante question s'imposait.
-Dites moi, qui porte les enfants dans votre race? Le père? La mère? Ou peut-être vous pondez des œuf? Et du coup, vous pouvez rentrer dans de petites balles rouge et blanche? J'ai entendu dire que certains animaux pouvaient faire ça. Progrès en biomécanique qu'on m'a dit. Qui nous avait dit ça Zoey déjà? Zoey? Tiens, quelqu'un a vu Zoey?
Malheureusement personne ne lui répondit. Voila quelques minutes, depuis le truc du poulpe en fait qu'une étrange bestiole était apparut. Possédant un bec de canard, elle avait deux yeux tout blanc et une énorme touffe de poil, le tout porté par une dizaine de patte.
-Nan mais tout à fait normal. Et si on s'en allait Jack ?
C'était pas comme si le capitaine reprenait doucement ses esprits, une large veine commençaient à ressortir sur sa tempe. Heureusement qu'il avait des nerfs d'acier...[/color]