Miroir, mon beau miroir. Dis leur qui est le grand Jones .
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Il pleuvait pour ne pas changer de c'est derniers jours. Les conditions météorologiques sur les mers de notre monde n'étaient pas fixes non jamais, au contraire elles justifiaient de paramètres aléatoires dignes des plus grands jeux de hasard. L'air hagard sur son vieux radeau le musicien déchu répondant au nom de Kilian se déplaçant au grès du vent sur l'océan. Ne savait toujours pas ce qui l'attendait en cette journée bien différentes de celles qu'il avait prit l'habitude de vivre jusque à présent. Des vagues commençait à faire leur apparition, en plein tumulte provoqué par les veités de l'océan. S'agrippant tant bien que de mal au petit mats positionné au centre de son vulgaire engin le visage crispé par l'effort à surmonter une tâche dont il l'avait maintenant l'habitude tellement que les situations de se genres arrivaient en mer. C'était presque devenus un rituel pour lui d'affronter vents et marrées...
La petite tempête était passée et ne sachant toujours pas ou le destin pourrait l'emmener, Killian Jones assit sur le bois de son radeau mouillé par les gouttes de pluie ne se doutait qu'il allait aller à l'encontre de quelques chose qui allait changer son voyage. En effet les quelques minutes de répit que l'on lui avait offert se retrouvaient brusquées lorsqu'il tomba nez à nez avec cette chose en forme de spirale, couvert par la brume il ne voyait pas grand chose, le radeau semblait drainé par une force inconnue virevoltant, chahuter par cette attraction mystérieuse. Le jeune homme soucieux accourut aux abords de son moyen de transport. Hélas il n'eu le temps de constater que face à lui se trouvait un tourbillon et c'est en un éclaire que s'enchaîna multiple péripétie. Entraînant faisant des ronds très larges dans un premier temps il se retrouva à plat ventre sur le bois. L'écume lui fouettant le visage clignant des yeux comme pour tenter d’apercevoir le fin de son calvaire. Il n'en était rien la rédemption vint d'une tout autre manière. Il se retrouva dans l’œil du tourbillon, surmonter par le fléaux des flots.
Quelques heures plus tard ouvrant les yeux, il fut gêné par la lueur du soleil se ressaisissent il se mit sur ses deux jambe pour explorer les lieux. Par chance il venait de tomber sur une île. Le miracle s'était produit. Après une bonne heure de marche il tomba nez à nez avec un homme ou une créature, la laideur de la chose n'aidant à définir de quelle espèce elle était issue. Il était petit, bossu, des bras très long le crane boursouflé des yeux déformés louchant... Torse nue vêtu d'un pantalon rapiécé de couleur bleu canard la monstruosité avait des pied biscornue. Et une dague à sa ceinture et une carabine dans ses mains. Il s'adressa à Killian qui remerciait le ciel de ne pas lui avoir donnée une apparence pareil. Si il ne se serai pas sentit vivant il aurai bien être arrivé en enfer.
- Tu n'es pas le bienvenue étranger, que viens tu faire ici ?
Au moment même le pirate ne savait pas si c'était l'odeur de fromage pourrit que dégageait les pieds de son interlocuteur ou si c'était son halène de cadavre en décomposition qui lui donna envie de vomir, la respiration lourde et haletante de l'homme qui se tenait en face de lui lui donnait encore plus l'air d'être une bête de foire. Il se sentait chancelé par les événements qu'il avait vécu précédemment il répondit prenant un air supérieur.
- Et bien je ne pourrai t'indiquer la raison de ma venue mais je pourrai tout de même te venir en aide en te disant que en voyant toutes les verrues sur ton visage un aveugle pourrait y lire tu es moches en braille.
A en voir la grimace exprimé par cet inconnu, le pirate venait de toucher un point sensible par cette remarque désobligeante, bien qu'il était beau, Killian était aussi vantard. Et le problème c'est qu'il venait d’atterrir sur une île ou les hommes comme lui n'étaient pas les bienvenues. La créature lui donna un coups avec le manche de sa carabine ce qui assomma le pirate qui avait perdue ses armes en traversant le tourbillon.
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Erwin
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Dim 30 Mar - 17:38
Moche... Et méchant !
Il s’agissait d’une île un peu particulière. En effet, après avoir passé une vingtaine de minutes à chercher une trace de vie, je l’avais enfin trouvé. Il s’agissait d’une personne, un homme, particulièrement laid au visage certainement recouvert d’une substance verdâtre qui devait être un mélange de mousse et de pourriture. Très ragoutant. Je détournai le regard pour éviter de vomir, est-ce qu’une telle île pouvait vraiment exister ? Sans que je ne m’en rende compte, deux autres hommes étaient arrivés derrière moi et s’étaient emparés de mes poignets pour les attacher violemment. Je ne résistai pas, trop curieux de la raison qui les poussait à me capturer. M’enfuir était de toutes les manières un jeu d’enfant avec mon pouvoir. Je souris en essayant de faire abstraction de l’incroyable… laideur de mes geôliers et les accompagnai jusqu’à l’un de leurs camps. Il était plutôt trivial. Juste le nécessaire pour survivre : Pas de coin pour se laver, les rues étaient infestées de charognes et d’excréments, l’odeur de pisse me montait au nez et je toussai en retenant mon envie de vomir devant ce spectacle.
Quelques minutes me suffirent à reprendre mes esprits, pendant qu’on m’asseyait près d’un buisson qui servait de rangement pour les armes. Apparemment, ils aiguisaient le métal sur des pierres ponces presque naturelles, sûrement un des apports de l’île ou alors quelque chose qu’ils avaient pillé sur un navire de commerce qui passait à proximité de ces lieux. Ça n’avait pas l’air de les déranger de blesser les gens en réalité, surtout quand je les vis ramener un jeune homme évanoui qu’ils jetèrent contre terre sans ménagement. Ils parlaient entre eux sans faire attention aux autres, mais me reluquaient avec une pointe de… Peut-être pas de jalousie mais de haine, de colère. On ne se connaissait pas et pourtant ils avaient en eux une animosité naturelle pour moi. Si je ne les avais pas vues porter ce même regard sur le garçon qu’ils avaient ramené, j’aurais pu croire que j’avais quelque chose sur le visage.
Quelques minutes passèrent dans le calme le plus complet, on entendait même les mouches qui s’amoncelaient en masse sur les détritus voler. Puis le bordel recommença quand l’un d’entre eux déclencha une bagarre. Ils n’y allaient pas de main morte d’ailleurs, utilisant toutes les armes nécessaires pour s’affronter les uns, les autres. Leurs poings s’entrechoquaient, quelques os furent sûrement broyer au passage mais ils semblaient s’amuser comme des petits fous. Ils n’en étaient pas moins laids pour autant et une part de moi n’arrivait pas à s’attacher à eux. Je ne me savais pas si matérialiste, la beauté ne faisait pas tout mais face à ce genre de personnes, que pouvais-je dire ? Si au moins elles avaient été aimables ! Mais rien, pas un seul bon sentiment envers moi ou envers ce pauvre jeune homme.
« - Hey ! Hurlai-je dans leur direction. Libérez-moi ! »
Ils semblaient ne pas m’écouter. Je voulus leur cracher mon venin à la figure quand ils commencèrent enfin à porter attention à moi en désignant un poteau au-dessous duquel étaient amoncelés quelques petits bois. Je les regardai avec suspicion avant de comprendre leur plan… Ils voulaient me faire cramer. En me débattant pour essayer de leur inculquer un peu d’humanité, je me fis attacher au bûcher, prêt à être embrassé. Vive la chasse aux sorciers.
Erwin
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Mar 1 Avr - 14:47
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Douloureux comme un marteau qui martelait un gong ou des tambours. Résonnants au creux de son crane. Il cligna des yeux cinq fois et voulu passer sa main celle qui était encore valide dans ses cheveux mais aperçue qu'il était ligoté. Les mains liés dans son dos, il était assit en tailleur. Levant les yeux vers le ciel pour tenter de reprendre ses esprits et de se souvenir de ce qui l'avait mener à une telle position. Il vit des barreaux il était donc dans une sorte de sous-sol, l'endroit lugubre était mal-propre, de la moisissure jonchait les murs, du vomis, des excréments régnaient en maître sur le sol vaseux... En captivité l'homme se souvint que l'on lui avait assené un coup de cross sur le visage ce qui lui valu une belle fracture du nez. La douleur qui le parcourait à chaque inspiration était insupportable. Il était venus sur une île de criminels sans lois ni fois qui plus étaient d'une laideur incommensurable. Souriant au devant de cette situation très périlleuse il prit d'abord le temps de réfléchir à un plan d'évasion. Un garde lui faisait des vas et viens au dessus de cette prison sous terre. Il était bossus et possédait un œil plus gros que l'autre, son crane était dégarni. Une lance a la main il s'accroupit et regarda le prisonnier de part les barreaux qui constituaient la seule frontière entre liberté et captivité. Se léchant les babines il avait l'air amusait comme un prédateur devant sa proie, comme une bête face à un être sans défense, un chat devant une souris, il fit une sorte de moue avec ses lèvres fines et toutes écorchés et de sa bouche sortit une espèce de muqueuse jaune et verdate il la laissa pendre telle une toile d'araignée et la lâcha sur le visage de l'homme en cage. S'en suivit d'un petit rire sournois.
Killian fulminait il était à la merci de psychopathes et avait l’impression de vivre un véritable cauchemar éveillé. Il regarda bien le visage de la créature, un regard aussi noir aussi intense que l'enfer lui même. On aurait pu croire qu'il lui jetterai un sort ou une malédiction de ses pupilles mais rien de cela. Il voulait juste lui faire passer un message terrifiant lui disant simplement qu'il fallait qu'il profite des derniers instants de sa misérable vie car dès que le pirate trouverait le moyen de sortit de sa cellule, oh oui il lui ferait payer son affront. Il fulminait n'aimant pas être humilié. Cruel serait son châtiment, de pitié il ne ferait preuve. Il lâcha d'un ton sombre :
- Ne t'en fais pas l'ami, miséricordieux est dieu le père.
Le difforme, fit une espèce de grimace sans doute n’avait-il pas comprit ce que le rouquin lui avait dit. Certainement même , il jeta un regard furtif et s'en alla jambe à son coup l'expression était bien approprié, puisque on l'observant bien on pouvait voir qu'il avait un tronc si petit que sa tête pourrait toucher ses genoux. Analysant la situation, pour échafauder son plan le pirate écouta attentivement ce qui se passait autour de lui. Il entendit des voix des grands cris un homme exigeait que l'on le libère. Il n'était donc pas le seul dans sa situation. Peut être que s'il pouvait sortir d'ici et qu'il venait en aide à cet inconnu tout aussi dans le pétrin. Ensembles ils pourraient s'allier pour s'évader de cette île malsaine. Il fallait tout de même se dépêcher car si le sol était constituer de vase cela voulait dire que l'eau finirait tôt ou tard de submerger la cellule et dans ce cas là le pirate pourrait se retrouver noyé. Ah si seulement il avait ses deux mains, il pourrait alors tenter de défaire les liens qui l'entravaient... Sourcillant il venait de trouver un moyen de s'en sortir, il possédait un crochet et les abruties qui l’avaient capturés n'avaient pas eus l'idée de le lui ôter. Tant pis pour eux ! Il se luxa le poignet pour mieux faufiler sa main et avec l'aide de son crochet commença à éffilocher la corde qui lui liait les mains. Une odeur de brûler parcourut son nez se demandant premièrement si ce n'était pas lui qui prenait feux à cause d'une réaction de frottement entre le crochet et la corde. Il comprit par la suite que les hommes sauvages avaient allumer un feux, lorsqu'il se mit à penser dans quel but ils avaient entrepris cette démarche il saisit alors qu'il avaient certainement l'intention de faire des hommes qu'ils retenaient prisonnier, leur repas d'un jours.
Il se dépêcha d'avantage et réussit finalement à briser ses chaîne enfin le mot n'était pas approprié... Jones réussit donc à se libérer. Il demanda de l'eau au garde lorsque celui-ci revenu et lorsqu'il lui apporta, il le saisit par ce qui lui servait de cou et le tira dans la cage, s'acharnant avec son crochet sur le visage de son opposant il le balafra, lui arracha la langue pour finir il lui transperça le palais. Il lui dit doucement :
- Tu devrais t'estimer heureux l'ami, je t'ai refait le portrait pour que tu puisses enfin te regarder dans une glace.
Il sortit donc de la cellule se camouflant dans un premier temps observant les cannibales dansant devant le bûcher où était attaché une personne elle avait cuit, elle était c'était le tour d'une ou d'un autre. Il se débattait Killian reconnu sa voix c'était celle de tout à l'heure, il tout en discrétion se dirigea vers l'homme et lui dit doucement :
- Ils n'ont rien remarqués, je vais défaire tes liens mais après ça tu va m'aider pour me faire sortir d'ici, fais comme si je n'étais pas là.
Il commença donc à couper la corde qui retenait l'homme en captivité, il devait faire vite car ce n'était qu'une question de temps avant que les habitants de l'île ne remarquent la disparition de leur camarade.
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Erwin
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Mar 1 Avr - 18:26
Boulet !
Deux autres bûchers avaient été installés et une autre personne se fit à son tour attachée, hurlant, pleurant, suppliant, allant même jusqu’à promettre des choses qu’on n’aurait pas osé promettre même à la personne qu’on aimait. Je soupirai, c’était exaspérant de me retrouver sans cesse dans ce genre de situation. Avec un peu de chances, il s’agissait d’une blague… Hypothèse qui me sortit totalement de l’esprit lorsque l’autre personne sur le bûcher commença à brûler vive, attirant toute l’attention des hommes tarés. Je voulais aller l’aider, mais je savais qu’en faisant cela je m’exposais à trop de dangers. Ma vie était plus importante après tout, c’était l’une de mes limites… Quand je sentis mes liens se détacher, coupés d’un coup sec par un jeune homme relativement beau par rapport aux habitants de cette île.
« - Merci, chuchotai-je en essayant d’être le plus discret possible et de faire tomber le moins de bois possible. »
La personne qui m’avait aidé semblait aussi être passée par pas mal d’expérience et de travers sur cette île, rien qu’à son regard je pouvais deviner que si ça ne tenait qu’à lui, il les tuerait tous. Mais à deux contre une population entièrement, on n’allait pas la mener bien large. C’était un défi que je n’étais pas prêt à relever. Sans attendre plus longtemps, je décidai de m’éclipser dans la forêt en catimini, mes pas plus légers que ceux d’un chat. L’alerte ne sembla pas être sonnée avant que mon pied ne rencontre le piège qu’ils avaient mis autour du village et qui déclencha une série de casseroles, un beau filet qui m’enlaça et m’attira dans les airs au-dessus d’un tas de feuilles mortes qui tombait sur le sol.
Sans plus aucune patience, je disparus et apparus à côté de mon compagnon d’infortune, et surtout sauveur, sentant l’odeur de viande carbonisée se répandre dans les airs. C’était fort comme senteur, sûrement plus que du porc grillé, bien qu’à comparer… Je secouai la tête, un homme était mort à cause de ça, ce n’était pas le moment de faire des comparaisons vaseuses et à s’essayer à l’humour noir douteux. Mes lèvres essayaient de former quelques mots incompréhensibles, avant que je ne dise à l’homme à mes côtés :
« - Désolé d’avoir déclenché le piège, mais maintenant il faut qu’on se barre ! »
J’acquiesçai à moi-même en me demandant ce que Miu pouvait bien faire en ce moment. Dans ce genre d’environnement il était plutôt aisé pour lui de se déplacer, de grimper aux arbres et de se cacher. Bon point pour lui, mauvais pour nous, ça voulait dire que les pièges les plus élaborés pouvaient nous prendre par surprise à n’importe quel moment et déchiqueter la chair de nos chevilles. Je déglutis en pensant à mes pieds ensanglantés et à l’amputation qui pourrait suivre l’infection de ma jambe. Essayant de penser à autre chose, je vis que le déclenchement du piège avait provoqué un rassemblement général éloigné de la viande grillée. C’était peut-être l’occasion de partir de l’autre côté du village.
« - Dégageons, compagnon ! J’m’appelle Erwin, au fait, me présentai-je malgré le fait que ce ne soit pas vraiment le moment. »
Sans attendre sa réponse mais en restant à l’écoute, je commençai à me diriger à l’opposé du village, tentant de faire le moins de bruits possibles et de ne surtout pas me salir les mains en étant obligé de tuer quelqu’un. Je ne l’avais jamais fait et ce n’était pas maintenant que ça allait commencer.
Erwin
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Jeu 5 Juin - 0:24
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La discrétion était un mots d’ordre, tout à fait non négligeable et pour le contexte si dangereux qui était venue se dessiné sous nos yeux les deux hommes avaient sans doutes sans avoir échanger le moindre mots opté pour la même solution. En effet celui qui venait de se faire sauver par le musicien au crochet d'or lui chuchota un mot que l'on appelle ''mot magique'' un simple merci qui montrait tout de même une certaine gratitude car à présent l'homme était libre. Il semblait aussi doté d'un bon niveau intellectuel et ce ne serait pas mentir de dire que maintenant les deux êtres auraient sans doute plus besoin de matière grise que de musculature.
Il fallait la jouer fine il fallait agir avec un grand discernement et se comporter tel un félins espérant aussi que l'agilité bien connue de ces animaux a quatre pattes soit de mise pour pouvoir prendre la poudre d'escampette sans attirer l'attention des espèces de sauvages difformes et affamés. Mais voilà que l'homme disparaissant et apparaissent comme par magie laissa Killian Jones bouche bée. En effet de cette prouesse le sauvé dont le rouquin ne connaissait le nom s'était tiré d'un traquenard que n'importe quel marin d'eau douce aurait évité. Enfin il n'était pas question de se morfondre ou de lancer quelconques stupidités. Oui il s'était fait avoir bien-sûr mais à présent il avait réparer son erreur puis, il fallait l'avouer son tour de passe passe se révélait être un coup de maître.
Donc il s'excusa tout de même de se petit désagrément mais bon qui s'en moquait le temps n'était pas aux conjonctures mais plutôt destiné à la méthode dans laquelle tout homme ayant gouté au moins une fois dans sa vie maîtrisait. Oui il s'agissait bel et bien de la fuite l'instinct de survie prédominait en générale dans ce genre de moment qui il fallait l'avouer était rocambolesque. Il le disait lui même et le destin ou ce que vous voulez souriait au deux hommes puisque le piège déclenché plus haut avait miraculeusement fait en sorte que les hordes de cannibales se soient déplacées laissant un parcours libre et une aubaine pour quitter cet enfer sur terre enfin sur mer si l'on prenait en considération qu'ils se trouvaient sur une île en plein milieu de East Blue.
Erwin oui c'est comme cela qu'il se nommait déguerpit a toute allure, Killian qui ne refusait pas de faire les présentations aurait tout de même aimé un moment comment dire, plus ''formel''. Il ne répondit pas se contentant de fuir avec son ami du jours. Malheureusement il se retrouva au bout de plusieurs minutes de course, coincé... Oui s’emmêlant les pinceaux il trébucha et coinça son crochet entre deux pierres. Alors que leurs ravisseurs commencèrent à s’apercevoir de la supercherie il demanda alors à Erwin:
- Hey l'ami ce n'est pas que je suis dans l'embarras mais vois tu, j'aurai besoin de ton aide, mon nom et Jones, Killian Jones et ton aide me serait la bienvenue.
Le temps était dorénavant compté alors que les grains de sables défilèrent à une allures dans le sablier Killian le capricieux ne se voyait pas abandonné son si beau crochet pour laisser son moignons à la vue de tous.
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Erwin
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Jeu 5 Juin - 17:12
Fuite & Capture.
Notre course quelque peu effrénée nous amena jusqu'à notre première épreuve : mon camarade d'infortune se prit son crochet dans un arbre, crochet que je remarquai pour la première fois. La galère dans laquelle nous étions n'était pas vraiment propice à l'analyse, même si je me dis un instant que j'aurais du tout de suite porter attention à ce genre de détails. Quelques secondes passèrent durant lesquelles je commençai à analyser le problème. Je n'étais pas expert en la matière, mais s'il fallait que je trouve un moyen de nous sortir de là, utiliser mes pouvoirs serait le meilleur. En entendant son nom, j'eus l'impression de voir devant moi défiler des contes de pirates et des histoires au coin d'une taverne. C'était ce que m'évoquait Killian Jones. Pourtant, ne me faisant pas attendre, j'acquiesçai juste et me mis à bouger précautionneusement l'une des pierres, entendant les plaintes des indigènes au loin. Mauvaise pioche, nous allions sûrement nous faire attraper dans peu de temps. Je mis une main sur chacune des pierres et, utilisant mon pouvoir, je me téléportai juste avec elles en arrière.
Les gros cailloux retombèrent lourdement à terre tandis que mes pieds adhéraient à nouveau au sol avec aisance, à quelques centimètres à peine de là où mon camarade avait été coincé. Je lui souris un instant avant de sentir le sol se dérober sous mes pieds. L'endroit que j'avais mémorisé était un piège. Mon cœur battit à tout rompre en me sentant emporté par la pesanteur, me souvenant vivement du ciel au-dessus de ma tête et m'y téléportant avant de revenir près de Killian.
Je me fis voir en lui tapotant l'épaule, juste derrière lui, et reculai en entendant un bruit de pas, de bruissement derrière nous. Mon corps frissonna lorsqu'une flèche passa à quelques centimètres à peine de mon visage, faisant connaître la position de l'ennemi.
« - On est repérés, constatai-je à voix basse avant de tenter d'emporter mon camarade au sol pour lui faire esquiver une salve de flèches dont la plupart allèrent se planter dans le tronc d'arbre juste devant nous. »
Quatre personnes sortirent avec un sourire satisfait sur les lèvres, nous regardant, des cordes à première vue solides qu'ils tendaient dans leurs mains. S'ils arrivaient à nous capturer, nous pourrions toujours nous échapper, et je pensais clairement pouvoir dire qu'ils ne possédaient pas du Granit Marin. Ce n'était clairement pas des alliés de la marine ou des trafiquants. Ils semblaient vivre au ban de la société, soit parce qu'ils s'y étaient mis en raison de leur laideur, soit parce qu'ils y avaient été placés, peut-être pour une autre raison. Je grognai un instant en les sentant me saisir, lançant un regard inquiet à Killian. J'espérais que se faire à nouveau capturer n'allait pas lui provoquer un traumatisme.
L'un d'entre eux décida de m'emmener en premier, laissant les trois autres avec le jeune homme. Qu'est-ce qu'ils avaient en tête ? Est-ce qu'il réussirait à s'enfuir ? Je lançai d'une voix ferme et insolente :
« - Vous avez intérêt à ne pas nous faire de mal, sinon je vous assure que... »
Mon geôlier sembla m'ignorer pendant quelques instants avant de tourner son visage tuméfié vers moi, me faisant détourner le regard un instant avant de fixer le sien. Il était marron, une couleur plutôt banale. La contemplation que j'entamai ne m'empêcha cependant pas de remarquer le bruit d'explosion qui retentit au moment même près de moi, quelque part sur l'île. La fumée noire s'élevait déjà au-dessus des arbres tandis que je me débattis un instant. Elle venait de la direction dans laquelle Killian était. Qu'est-ce qui s'était passé ? Mon cœur se serra à nouveau quand je pensais à mon compagnon de voyage, Miu. Ce petit animal était aussi quelque part sur l'île. J'espérais sincèrement qu'il n'avait pas été pris dans l'explosion.
Erwin
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Sam 7 Juin - 1:29
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Ils étaient donc repérés et cela par la faute du musicien... Lui qui se retrouvai dans le pétrin put heureusement compté sur l'aide de son compagnons en effet Erwin recommença alors ses prouesses et disparaissais avec chaque pierre. Ils allaient bientôt se retrouver tirer d'affaire, les chemins de la libertés s'ouvrait peut à peut au fur et à mesure que le temps avançait. Mais cela, était trop beau, trop idyllique ! Non ! Après qu’une flèche est frôlé le visage de son acolyte. Killian ne pouvait que constater qu'il était de nouveau captif et prit au piège. Après plusieurs heures de nouveau dans un trou a rat Jones et Erwin étaient donc séparer, se demandant ce qu'il pouvait advenir de cet homme rencontré aujourd'hui le pirate rouquin dont la barbe rousse elle aussi commençait à se faire voir cherchait désespérément une issue, ou un plan pour pouvoir en finir avec cette île peuplée d'être aussi fou que laid. Mais il ne trouva rien. Alors il comprit c'était ici et comme un vulgaire et misérable rongeure qu'il allait quitter se monde. Sans aucune chance de survie enfin du moins elle n'était toujours pas de zéro mais, de plus en plus proches. Son cachot était sombre et humide un asthmatique n'y aurait sans doute pas survécus. Cherchant à taton une pierre qui serait susceptible de lui faire office de crai pour qu'il puisse laisser sa trace si jamais un autre fou oserait s'aventurer sur cet endroit démoniaque ! Il fut stupéfait de tomber sur un vieux canon dont la mèche avait miraculeusement était conservée par le temps. Il déterra tant bien que mal l'engin, et après de longue heures d'effort et de sueur il laissa éclater sa joie s'il pouvait créer une explosion avec quelque chose alors oui il pourrait s'échapper et retrouver cet homme a qui à présent il devait la vie.
Il ramassa un boulet qu'il avait trouvé après avoir chercher tel un chien cherchant le gibier, reniflant le sol vaseux. C'était donc couvert de crasse qu'il entra le projectile à travers le canon. Après plusieurs moments de réflexions, il décida de se servir de son précieux crochet pour essayer de faire apparaître une étincelle et que la machine se mette donc en route. La difficulté de la tâche était énorme mais il ne renonça point au contraire il était même prêt à essayer jusqu'à la dernière minute que le destin lui avait réservé. Quand tout d'un coup... L'étincelle jaillit comme par magie souriant à pleine dent le pirate se mit au loin plongea son index le seul qui lui restait dans ses oreilles pour faire mine de la boucher. Mais rien ne se passa, Killian dessaperait se dirigeant vers ce faux espoir il fut soudainement surpris par le petit cliquetis qui se fit entendre. Par les lois impénétrable de la physique le tour était joué et le boulet fut projeter tellement fort que l'explosion détruisit le cachot dans lequel Killian Jones était retenu...
Sous les décombres, à la merci de l'ombre le jeune homme peinait à se relever, titubant il voulait à présent rejoindre Erwin pour enfin reprendre la mer qui finalement lui manquait temps.
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Dim 8 Juin - 20:13
Re-Capture.
J'avais été à nouveau traîné au camp des habitants de l'île, des malfrats sans scrupules et sans vergogne. Qui avait été tué par l'explosion ? Etait-ce un accident ? En regardant le sol et en me mordillant les lèvres, réfléchissant à un plan d'action, je constatai que personne ne s'agitait. La conversation d'un petit groupe de gens me permit de confirmer la théorie d'une petite bombe qui avait été mal utilisée. Ils avaient apparemment jeté Killian en cellule, ce qui me faisait penser que son sort n'avait pas encore été décidé. J'aurais presque pu parier qu'ils avaient une coutume consistant à dévisager les visiteurs plus beaux qu'eux et à les obliger à rester. Je n'eus pas besoin de demander la confirmation qu'une bande de marchands ambulants, peut-être des personnes qui avaient abordées pour refaire leurs provisions, furent amenés, besaces en cuir bien évidence. L'or ne les intéressait pas ? Mais... Lorsque je les vis attacher leurs pauvres victimes, je compris qu'ils n'allaient pas leur donner la chance de s'échapper. Pourtant, l'un d'entre eux n'était pas particulièrement beau. Il était en réalité du niveau des habitants de cette île mais en un peu plus propre. Son statut d'étranger devait malgré tout lui accorder la haine des indigènes locaux.
Même si on ne se connaissait pas, je ne pouvais décemment pas les laisser subir le sort qui leur était réservé. J'avais déjà perdu de vue Killian, une heure et demi auparavant, je ne pouvais pas me permettre de laisser des innocents mourir sous mes yeux quand j'avais les pouvoirs d'arrêter ce massacre. Ce fut la voix du jeune garçon, une dizaine d'années, qui me motiva à bouger. Utilisant mon pouvoir, je me téléportai sans mes liens et me levai, faisant craquer mes poignets. L'un des soldats me vit rapidement mais je fus plus vif que lui, utilisant mon pouvoir pour me retrouver à ses côtés et lui asséner un coup de genoux dans l'entrejambe, lui volant son arme au passage : un pistolet à silex, apparemment en mauvais état. Je ne lui donnais pas plus de trois coups avant de rendre l'âme. Mais, n'étant pas un expert en arme, je ne pouvais pas déterminer exactement quel type de mécanisme me permettrait de le réparer rapidement, si cela était possible.
Lorsque je sortis de mes divagations, on approchait déjà un scalpel du visage du plus jeune marchand. Leur petit groupe était composé de trois, sûrement de la même famille, peut-être trois générations à la suite : Le grand-père, le père et le fils. Le premier coup partit sans que j'ai besoin de forcer, et le scalpel s'envola tandis que le gamin retombait à terre. Son assaillant regarda dans toutes les directions, bêtement, avant de focaliser l'origine de la détonation, comme le reste du village venait de le faire, abasourdi. Je ne leur laissai pas le temps de réagir. Je fus en un rien de temps aux côtés des personnes capturées, les prenant les uns avec les autres pour disparaître dans la forêt, à l'endroit où Killian et moi-même nous étions faits capturés. Une idée me vint alors, et je leur demandai sur un ton pressé :
« - Vous êtes venus avec votre propre bateau ? Il est encore là où vous avez abordés ? »
Ce fut l'homme d'âge intermédiaire qui répondit à la question, un regard sérieux et réfléchi sur le visage.
« - Ils n'avaient pas l'air d'en vouloir à nos biens, alors je pense qu'il doit encore y être... »
Avant de quitter l'île, il allait falloir que je retrouve Miu, mon compagnon de voyage, et Killian... Grognant en me souvenant que je l'avais laissé se faire capturer malgré ses pouvoirs, mon cœur s'emballa tandis qu'une explosion retentit. La poussière s'éleva au-dessus des arbres et, leur demandant de m'attendre devant le bateau, je m'y dirigeai en usant de mon pouvoir. Ce fut à ce moment que j'aperçus Killian Jones, titubant, et que je m'approchai de lui en essayant d'ignorer l'état dans lequel il se trouvait. Ce n'était pas un état enviable.
« - Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Finis-je par demander en regardant la 'prison' détruite derrière lui. On doit y aller, Killian... J'ai trouvé des marchands qui pourraient nous aider à quitter l'île et à te remettre sur la mer... Ils se trouvent sur la côte, si tu leur dis que tu viens de la part du garçon qui les a sauvé, ils t'aideront. Je dois retrouver mon compagnon avant de quitter l'île, si je ne suis pas arrivé quand vous avez récupérer le bateau, partez sans moi, je peux me débrouiller tout seul. »
Donnant des indications plus précises quant à la localisation des marchands et du bateau, je décidai de me diriger dans la forêt pour retrouver Miu, laissant Killian se débrouiller pour se sortir d'ici.
Erwin
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Dim 3 Aoû - 20:15
Retrouvailles
La forêt de cette île était dense. Certaines personnes racontaient qu’en ses sous-sols, d’étranges lézards avaient réussi à causer la zizanie. Sûrement une idée farfelue, un conte pour effrayer les enfants le soir. Je soupirais en marchant rapidement, courant quand le terrain était plat, vers l’endroit d’où provenait la précédente explosion. Miu. Ce nom était le seul que j’avais à l’esprit. Tout en me déplaçant, je remettais en cause la liberté que j’accordais à ce petit être à la défense précaire. Il n’était pas fait pour un tel monde, il n’était pas fait pour ça. Bougeant la tête de droite à gauche, essayant de me calmer, je me mis à respirer plus fort en sentant l’odeur de bois brûlé. Arrivant sur les lieux du drame, je n’aperçus rien de particulier. Qu’est-ce que cela signifiait ?
« - Où est Miu ? Dis-je, des larmes montant à mes yeux. »
Un cri retentit alors plus loin. Un cri de douleur et d’agonie. Un cri qui ne me laissa cependant pensé qu’à une chose : c’était un humain qui le prononçait. Une vague de soulagement parcourut mon corps, apportant avec elle un sentiment de culpabilité. Je préférais qu’un humain crève plutôt que ce ne soit mon précieux compagnon de voyage. Déglutissant, je me dirigeai vers la source du cri et arrivai quelques secondes avant que la personne sur place n’ait rendu son dernier souffle. Une ombre parcourut alors le ciel au-dessus de moi, une ombre familière. Je levai les yeux, et un sourire fendit mon visage. C’était Miu ! C’était lui ! Me téléportant dans les airs, je saisis mon compagnie qui m’accueillit d’abord avec un sursaut, sa course aérienne ayant été interrompue par la pression de mes bras, puis avec un certain soulagement.
Je lui tapotai la tête sans un mot avant de regarder autour de nous. Il fallait qu’on parte. Killian et le groupe que j’avais croisé devaient s’en être sortis. C’était presque une certitude, même si je ne pus m’empêcher d’aller vérifier. En arrivant sur les lieux, le bateau avait disparu, et les personnes qui tentaient de le garder étaient à terre, sûrement dans un pays lointain qu’était celui des rêves. Je souris, soupirant un coup avant de me diriger en hauteur pour observer l’île. Elle était vaste, mais pas si grande que ça au final. Plusieurs populations y vivaient, on comptait principalement des personnes hideuses. Armées aussi. Ils voulaient la peau de toutes les personnes ayant un physique allant de banal à carrément canon.
Pendant un instant, la question de savoir dans quelle catégorie je me trouvais me parcourut l’esprit. Mais au final, mieux ne valait pas savoir. Je souris en regardant à nouveau mon compagnon. Où allions-nous aller à présent ?