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Lun 29 Déc - 0:46
<< Ou êtes vous Piche ? >>







Un pied-à-terre, sur Seas blues, L'île de Micqueot. Putain, mais évidemment, j'avais tellement envie de me taper une petite bière qu'il fallait à tout prix que je me dirige vers une bonne petite taverne. J'attachais mon super bateau, un monoplace de compétition. Il s'agissait d'une petite barque avec juste assez de place pour y placer un mat ainsi qu'une cabine pour une personne. J'étais fauché, sans la moindre goutte d'alcool à me mettre sous la langue. Je n'avais pas de femme pour me faire passer ma libido. La déchéance la plus totale. Alors autant noyé son chagrin dans la boisson. Je venais de trouver pour petit endroit de paradis. Cette ville faite pour la dépense et l'enivrement avec l'alcool coulant à flots.

Mon embarcation parfaitement attachée au port, il faisait tache au milieu des autres splendides bolides qui devait fendre les mers du globe. Je partirais bien avec un de ses bateaux moi, op n'y une n'y deux je t'embrouille, une balle dans les couilles, et adios. Mais je devais rester lucide, je me ferais sans nul doute défoncer par les membres d'équipage.

Quittant désespérais le port de l'île, un panneau fit éruption devant moi, ou plus tôt, je venais de prendre un panneau d'information en bois en plein dans la tronche. Reprenant mes esprits, je pouvais distinguer vaguement sur la pancarte, une sorte de slogan " pour son grand cru, le Itelzbulger vous comblera de bonheur ". Mon cerveau était en alerte, zone rouge, si le panneau disait vrai, j'allais enfin me mettre minable. Depuis le temps que je voulais me mettre une bonne petite quiche, je ne pouvais pas rater ma chance. Itelzb... je ne sais quoi peu importent, j'arrive.

Ma marche fut rapide, net et précise. J'arrivais enfin devant cette échoppe qui ne demande cas me faire consommer encore et encore. Mon Pancho autour de mon cou cachant mon torse, ainsi que mon chapeau de cow-boy sur la tête. Clope au bec, arrivant bientôt au filtre, je crachais la fumer en dehors tout en jetant mon mégo au sol.

Fan de dieu ! Tu en voulais toi de la femelle ivre à plus savoir ou se mettre, ouai mon élément le plus total. Comme si j'étais à la maison. Sauf qu'il n'y avait aucune femme ivre. Que des ivrognes, complètement amorphe sur le sol ou accoudé au comptoir.

  • " Ok tavernier, mets moi une rasade, j'ai soif ! "


J'agrippais la chaise près d'une table sur ma droite, posant mon cul tout en retirant mon chapeau, le serveur apportant au même moment mon verre. Le timing parfait dit donc. Le verre à peine posé sur la table, les berry's donnés, je prenais une petite gorgé. Le panard de dingue. Entre l'osmose et l'orgasme. Le liquide frais et fort à la fois me coulant dans la gorge me rendait la pêche pour la journée. Au moment où je voulais prendre ma deuxième petite lampé, un homme paniqué surgissait dans l'établissement.

  • " Mon épouse, s'il vous plaît !!! Elle est perdue, s'il vous plaît ... Quelqu'un "
    " Que dis-tu l'homme qui parle fort, que dis-tu ? "
    " Ma femme à voulu partir faire de l'exploration, résultat elle est perdu dans les montagnes. "
    " Je doute que tu trouves ici quelqu'un pour t'aider, tous ses hommes son ivres "
    " Je vous propose 15.000 berry's si vous me ramenez ma femme vivante "
    " Que sanguine ne soit pas colombe ! Ou son les montagnes ? "
    " Au nord messieurs, tenez une photo de ma femme "
    " Préparez-moi le pognon, je reviens ! "


15.000 putain de berry pour retrouver sa femme. Mais le bon dieu venait-il enfin d'entendre mes prières ? j'avais même pas fait attention à la photo qu'il m'avait filé. Juste dans la tête la somme qu'il m'avait promise pour ramener sa femme. Avec une telle somme, je pouvais me taper un assez grand nombre de femmes facile. Aussi boire de bonnes bouteilles, Ah !!! Il m'offrait une bonne énergie positive qui ne pouvait s'éteindre. Allez, c'est parti. D'un seul geste, je terminais mon verre de rhum, je récupérais mon chapeau, et pris la direction de la porte.

Vers le nord ? Ok, il fallait que je suive le sentier au sol. Pas bien compliquées, les montagnes étaient juste en face. La route allée sans doute être un peu longue pour arriver au pied des montagnes qui borde l'île. Sur le chemin, impossible de me souvenir si j'avais demandé la moindre information sur la femme, mais il avait parlé pour moi en me donnant une photo. Wooooooo !!!!! Bien bonne, la femme en fait. Dans l'idée, j'hésitais maintenant entre lui ramener son épouse, ou alors me la faire grâce à mes charmes. Une ravissante blonde, aux formes plus que généreuse, une coiffure frisée aux boucles très troubilloneuse.

Le temps de rêver qu'il fallait que ma tête ne sorte non pas de mon cul, mais de ton imagination à force de regarder la photo. J'étais enfin arrivé à la montagne, il n'y avait qu'un seul chemin se séparant en deux au niveau de l'entrée de la montagne. Le sol humide laissait apparaître des petites traces de pas, de taille similaire à celle d'une femme.
Suivre cette piste serait une bonne solution à mon problème. Au bout du chemin, l'épouse aurait hésité entre les deux passages pour revenir.

Déployant mes bras de dessous mon Pancho, ouvrant mes jambes, m'a foulé démarré rapidement. De grande enjambé, pas de temps à perdre, il me fallait de la tune bordel. Cette connasse n'allait pas me faire rater la plus belle soirée de ma vie. Impossible.

  • " Madame Piche ? Madame Piche ? Où êtes vous ? ... Votre marie vous cherche !!! répondez !!!! "


Je n'entendais que mon écho raisonner contre les murs rocheux de la montagne. Je continuais à avancer tout en criant pour me faire remarquer par l'épouse Piche. À la fin d'une course à n'en plus voir la fin, j'apercevais au loin une silhouette à peine reconnaissable. Approchant encore et encore, l'ombre était plus visible ... Une femme. La distance diminuée, et la couleur de ses cheveux me semblaient net. Du jaune. Blond. Une femme blonde. Madame piche ? A quelque mettre du corps, je pouvais bien distinguer les courbures de la jante féminine. Un corps de déesse, des formes parfaites, une beauté de la nature. Le plaisir charnel prenait tout son sens avec elle. Je lui mettrais bien un petit coup. Mais non, je devais prendre l'argent. Rapporter le colis, récupérer les tunes, et me faire plaisir. Voilà l'acheminement de ma quête. J'avais certainement la possibilité de lui donner un peu de plaisir, mais je serais à ses yeux qu'un égoïste. 15.000 berry non d'une chaloupe néo-zélandaise.

  • " Par ma barbe, madame Piche ? Votre marie vous cherche ..."
    " Très chère, je me doute qu'il me cherche, mais je me suis perdu en chemin. Impossible de me souvenir de l'endroit par le quel je suis venu "
    " Suivez-moi madame, je vous escorte jusqu'à votre époux."


Pas de temps à perdre en parlotte. Je voulais toucher mon pognon au plus vite. Notre marche fut malheureusement lente et affreuse. Mon regard plongeait sans arrêt dans son balcon me laissant plus que troublé. Parce que franchement, il y avait du monde ... Au balcon. Je ne lui tapais pas trop la causette, je n'étais pas là pour faire connaissance à mon plus grand des regrets. À la fin de plusieurs minutes, nous arrivions au niveau du village. L'homme plus que soulagé de nous voir revenir, fin plus sa femme que moi, mais bon, c'est normal. Je venais de faire une bonne action. Pourquoi pas, après tout, il semblait respirer l'amour. L'époux Piche, heureux, et tenant parole en me payant la somme dû. Je lui fis un signe de tête le saluant ainsi cas sa moitié pour reprendre aussitôt ma route vers mon zodiac des mers.

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