Protéger les gens que j'aime était ma première mission. Protéger était ma mission numéros une. Les amis, la population, les droits de chacun... C'est essentiellement pour cela que j'avais décidé de rejoindre la marine. Certes, il y avait - et toujours - une part de moi qui c'est engagé pour remercier le fait que l'amirale Elkens nous ait sauvé dans le passé, cependant, désormais, j'ai la notion des priorité. Autrefois, je voulais briller pour briller, sans réelle raison. Mais ça, s'était avant. Ces instants comme actuellement me faisaient réaliser que j'avais changer. Moi comme ma sœur, nous avions des ambitions, des envies de grandir dans ce bas monde et le besoin d'être grand pour être grand était devenue une envie de gravir les échelons pour protéger les gens.

Je ne faisais que plus m'en rendre compte lors de ces instants. La poussière commençant enfin à retomber, j'ignorais la fatigue, la douleur de les phalanges ou autres. Je regardais mon jeune ami médecin qui semblait plus en forme que jamais, outre la dose d'adrénaline a laquelle il n'est jamais habitué. Celui ci me signalait que tout allait bien pour le mieux désormais. Il était sain et sauf, à différence de quelques collègues... J'étais arrivé en regard et voilà les conséquences. Quand bien même ce n'est pas réellement ma, je prenais sur moi. Savoir des gens morts, c'est quelque chose d'aimer pour ma personne. Une bataille perdue n'est pas une guerre de perdue, cependant, chaque petites batailles comptent pour moi. Autant ma sœur reste une véritable guerrière et sait faire la part des choses à ce niveau la, autant moi, je prends tellement les choses à cœur que je n'arrive pas entièrement à ne pas faire la part des choses. Certaines personnes disent qu'il ne faut jamais se retourner quand on regarde droit devant soit. Je n'avais pas entièrement saisir le sens de cette phrase, mais il ne saurait tarder.

Dans mes pensées, je ne remarquais même pas mon ami blondinet qui appliquait de la pommade sur mes mains et blessures. Il me soignait des blessures minimes que j'avais acquises lors de ce sauvetage qui ne s'était pas passer comme prévu. Revenant à moi quand une petite piqure se fit sentir lors du passage de la pommade sur une de mes plaies. Grognent légèrement, je m'apprêtais à donner de nouveaux ordres quand soudainement, une explosion se fit voir plus loin. Nous n'étions pas loin des autres et il fallait avancer au plus vite. Cependant, nous ne pouvions pas perdre plus de temps. Ainsi donc, je vins à simplement regarder Hotaru.

" Tu te sens bien ? "
" J... "
" Allons-y. "

Me retournant alors vers les collègues de mon ami, je leur ordonner de rester ici. Ni une ni deux, je passais un coup de fil afin de signaler la position de ces hommes et demander immédiatement à ce qu'en équipe vienne les chercher. Suite à cela, j'ouvrais la course vers le champs de bataille. Prenant mon jeune ami sur mon dos pour je pas perdre de temps, je fonçais à toute allure, mettant de côté les conseils de mon ami alors que ce dernier me demandait de le reposait. Il comprenait mon acharnement, mais je pouvait pas approuver celui ci. Je me mettais en danger chaque fois, chaque minutes... Pour la santé, je ferais mieux de rester en sécurité en temps de guerre, assister les gens... Son discours m'énervait légèrement et finalement, je me permis de lui répondre.

" Écoute Hotaru... Je ne peux plus reculer. Quand on n'a pas la force, il vaut mieux rester à l'abri en effet. Mais moi, j'ai la force désormais, j'en ai. Alors... "

Je me mis à repenser aux dires de ma sœur. Lors d'un entraînement, lors de notre préparation pour partir en mission spéciale. Cette dernière nous avait permis de devenir lieutenant et c'est pour cela que je gardais en mémoire les dires qu'elle m'avait dit. C'est pour cela que je les utilisais aujourd'hui.

" Je serais la lumière, et toi mon ombre et on reviendra ensemble en un seul morceau. "

Laissant mon compagnon assimiler mon ' enseignement ' du jour, je sautais afin de prendre de la hauteur. Mon ami remettait correctement les bretelles des sacs qui contenaient mes nouvelles armes qui avait été remises dedans. Je lui disais comment j'avais inventé ces armes et il se mît à rire sur le coup. Écoutant une petite blague traitant d'un possible complexe que j'avais, je me contentais de sourire. Moi un complexe d'infériorité me poussant à toujours vouloir faire de ' grosses ´ armes ? Hotaru avait grandir en ma compagnie, car autrefois, jamais il se serait permit de le chambrer. Peut être même que s'il réussir à refaire ses preuves, je demanderais à ce que son grade soit revu à la hausse. Après tout, j'ai refusé car je ne voulais pas qu'il ait plus d'ennuis, cependant s'il me montrait qu'il était capable de se défendre et survivre, alors qui sait si mon jugement ne changerait pas à son sujet.

Approchant du champs de bataille, je laissais Hotaru à une dizaine de l'être de la. Moi, j'allais m'approcher plus franchement et entrer dans le périmètre de là où ça éclate. Le rôle d'Hotaru n'était pas de m'assister dans le genre être avec moi à même le corps, mais bel et bien à être proche de moi ou des collègues pour éventuellement approcher et venir nous aider. Un médecin joue toujours un rôle décisif au niveau du soutient. Éviter la mort d'un collègue, cela peut être un détail qui peut changer le cours d'une bataille, voir d'une guerre.

En hauteur, je pouvais voir au loin quelques combats, mais une bataille retenait mon attention et pour cause, il s'agissait d'un collègue que je connaissais. Le contre amiral wenham. Hm ? N'était il pas censé être sur son Blue ? Quoi qu'il en soit, je ne pouvais pas rester les bras croisés, ainsi donc, sortant de plus belle les armes, je me transformais en hybride, pris fortement appuie où j'étais et me propulsais dans les airs en direction du champs de bataille. Tandis que mon collègue au loin fonçait vers son adversaire dans le but de la finir, pour ma part, je me mis à viser cette dernière. Mes armes n'avaient pas l'ambition d'égaler la précision d'un sniper, cependant, les tirs à moyenne distance n'étaient pas à sous estimer. Situé à environ six cent mètres de distance, pour une quinzaine de mètres en hauteur, je vins à ouvrir le feu sur sa cible, sachant très bien que le contre amiral n'aurait pas à se soucier de mes balles. Ainsi donc, je tirais des balles explosives dans le but de l'empêcher d'esquiver le coup de mon collègue, ou bien la terminer si le coup de Sypher marchait.

Suite à cela, une fois au sol, au milieu d'une dune, je regardais autour de moi, avant de finalement chercher à approcher les alliés pour savoir où en était la situation. Peut être que j'arrivais quand la fête était finie, qui sait...

Spoiler:

Partie Nanohana Coline et Bassin (Sypher / Caligula / Carmilla / Nils / Kairi / Taito)


Contre-Amiral Simon Ursert
A la question de la CP9, Ursert acquiesça, laissant ainsi le champ de bataille et rejoignant le désert en toute vitesse. Le vieil homme saignait abondamment et semblait n'avoir que pour seul but d'atteindre Alubarna et ses environs avant de mourir, comme s'il rejoignait instinctivement le tombeau qui s'y trouvait. C'est ce début d'anémie qui lui fut fatal. La lame du Contre-Amiral vint lui sectionner les tendons et il s'écroula sur le sable, à côté de la jeune fille renarde tandis que le marine en charge d'Alabasta lançait sur un ton sérieux :

- Cette fois-ci, ne la jette pas. Bravo, CP9.

Il jeta la fille renarde à la vampire et prit sur son épaule le vieil homme à présent inconscient, rejoignant Nanohana rapidement. Assez pour assister à l'arrivée de Pacifique en tout cas.

Tarja regardait l'ennemi qui s'était jeté vers elle malgré ses blessures, et tira une simple flèche qui traversa son dial et le réduisit à l'état de coquille sans utilité. Elle ne se priva pas pour jeter un coup de pied vers le Contre-Amiral qui devrait atterrir quelques mètres plus loin. Le bruit d'un coup de feu l'alerta alors d'un tir à longue portée, qu'elle esquiva sans trop de mal. Du moins, c'est ce qu'elle crut, car l'obus explosif l'emporta avant qu'elle n'eut le temps de se protéger avec son Haki. Elle roula à terre quelques mètres avant d'entendre les cris de ses derniers camarades.

La secousse leur avait fait plus de mal que de bien. Les mercenaires à la solde des Décimas regardaient avec effroi le combat qui opposait Tarja à deux Contre-Amiraux. Ce qu'ils n'avaient pas prévu cependant c'était que la rouquine ressorte indemne de l'explosion qui les avait soufflés jusqu'ici. Si l'un des coups de la jeune femme vint effectivement trancher le torse d'un des deux ennemis, qui s'effondra immédiatement, le second esquiva le coup de justesse. Il sentait qu'entouré de marines plus talentueux les uns que les autres, il n'avait pas beaucoup de chance... Mais il comptait jouer dessus.


Amiral Pacifique
A ce moment-là, fit irruption sur le champ de bataille l'Amiral le plus droit de la Marine. Pacifique, rangeant à peine son Den Den Mushi, jeta un regard froid sur la scène. Il ne reconnut pas dans un premier temps le Contre-Amiral Wenham, qui était trop amoché pour être de toutes les manières identifiable, et se dirigea vers le Contre-Amiral Nowaki. Un héro de la Guerre, qui allait peut-être pouvoir lui résumer la situation.

- Contre-Amiral Nowaki, quelle est la situation ?

Des dizaines de soldats se dirigèrent alors vers le bassin dans lequel l'action s'était déroulée. Ils prirent en charge les premiers blessés et arrêtèrent les ennemis qui étaient encore en vie, se plaignant d'étranges maux de ventre. Tarja fut, elle, conduite auprès de médecins qui tentèrent rapidement d'évaluer son état. Un camp fut levé tandis que la rumeur de l'assassinat du Roi se propageait déjà dans les rangs des marines, et que les cris de la population se faisaient de plus en plus virulents en ville.

- Amiral Pacifique.
- Contre-Amiral Ursert.

Les deux hommes se regardèrent un instant avant de se concentrer sur les participants. Les différents protagonistes firent leurs récits et quelques soldats allèrent prendre les dépositions des combattants sur place. Les Décimas seraient conduits à Impel Down où des interrogatoires seraient faits.

- Évacuez les blessés sur le port, des navires seront réquisitionnés pour rapatrier ceux qui ont participé à la bataille à Marineford.

Pour les marines du côté de Nanohana, c'est fini ! Je vous laisse poster vos conclusions, les soldats qui arrivent son PNJisable dans les paroles qu'ils vous adressent, vous recevez les informations suivantes : rumeur de la mort du roi d'Alabasta, retour à Marineford (Pour Carmilla, ça pourra être Ennies Lobby ensuite, pour Kairi tu peux retourner à Impel Down. Vous n'êtes pas obligés d'embarquer). Les combattants blessés sont pris en charge, le reste des ennemis est capturé et confié à la marine.
Taito > Pacifique s'adresse à toi, après le résumé il passe à autre chose.
Nils > Taito a produit une violente explosion près de toi aussi, comme tu viens près de l'archère, tu es à projeté et tu finis dans un sale état, mais vivant. Ton action n'a pas aboutie du coup.
Je ferai de toutes les manières encore un post pour Largo si il y a quelque chose à rajouter mais je n'attendrai pas forcément une semaine, ça pourra arriver au milieu du tour mais ce ne sera pas pénalisant pour vous.

Visiblement, j'étais arrivé bien trop tard... Les batailles se terminaient pour la plupart et de ce fais, je ne pouvais admirer que les résultats des batailles. Super... Moi qui espérais sincèrement participer à un quelconque combat et tester mes armes, me voilà à compter le nombre de personnes au sol. Que c'est grisant... On se déplace, on prends son mal en patience et au final on se fait entuber royalement. Homme de terrain, il n'y a rien de plus frustrant qu'arriver en retard et quand bien même mon intervention n'avait pas changer le cours de la bataille, je m'en voulais de ne pas être arrivé plus tôt. Sans doute aurais-je dû je pas poursuivre cet espèce de ninja ? Cette attaque sur Alabasta était un véritable bordel. À se demander qu'elle utilité avait cette bataille ici ? Une diversion ? Quoi qu'il en soit, le pire était à prévoir compte tenu des ennemis qui n'étaient autre que les Decimas. Et si Centes réponds à ses rumeurs, qu'importe le résultat, cela faisais partit de ses plans. Il est le maître du jeu, et nous, les pions qui tentons vainement de le devancer. Mais comment devancer quelqu'un qui se dit avoir plusieurs coups d'avance sur nous ?

Alors que j'observais au loin, voilà qu'une présence imposante se dit ressentir. Me retournant en faisant volte face, je vis l'amiral Pacifique me demander clairement un résumé de la situation. Amiral... John Pacifique dit Shirokuma, l'ours blanc. Sa force et sa détermination au combat sont légendaire. Pour sur, cela faisais quelque chose de le voir, d'autant plus quand c'est la première fois que je le croise d'aussi près. Autrefois, je l'ai vu comme tout bon mousse, de loin, quand il donnait des ordres à un groupe entier. Mais là, le voir s'adresser à moi et uniquement moi, cela faisais toujours quelque chose. Un immense frisson parcouru mon corps et ce n'est qu'une seconde après sa demande que je réagis enfin, retrouvant le contrôle de moi même. Après un bref signe de garde à vous, je pris la parole.

" Amiral pacifique, je débarque à peine quelque minutes plus tôt que vous. De vue, les combats semblent terminés, nos troupes s'en sont bien sortis suite aux commandements diverses du contre-amiral Ursert, ainsi que la participation de plusieurs gradés, ainsi que bien sur la combativité de nos forces.
La ville à été sécurisée au possible via des patrouilles continues. "

Autant faire un résumé bref. Étant arrivé il y a peu, je n'allais pas cirer les pompes de n'importe qui, alors que je n'étais pas bien informé. C'est donc un résumé plutôt humble sur chacun que je faisais à l'amiral qui avait du pain sur la planche. Me rendant compte que moi aussi, si l'amiral avait autre chose à le demander, il n'aurait aucun mal à me trouver. Sortant un Den Den mushi, je signalais à mon ami en retrait que les combats étaient terminés. Celui ci s'avança au plus vite et allais donc aider à soigner les gens qui étaient blessés ou mal en point. Pour ma part, j'allais aider certaines personnes sans distinguer qui il étaient.

Merci bien mon pote!

Voilà comment les hommes de la Mer Bleue traitaient les shandias et autres espèces provenant du ciel, à coups de gifle !! Alors que Caligula avait posé une question à cette vampire aussi cruelle que sanguinaire, lorsqu'il redevint humain, au lieu de lui répondre au plus vite, celle-ci préféra le gifler de façon assez violente, rapide, agressive, dangereuse et tout un autre tas de trucs. Eh ben !! Elle venait de se remplir la panse ! Caligula chuta violemment au sol et préféra se tenir la tête plutôt que de cacher ses parties.

    
  

Ahh !! Ma tête !! Non, mais t'es zinzin ma parole !! Et d'abord lady ou pas je fais ce que je veux. De plus, je fais pas exprès. Pour finir, rustre ? Depuis quand t'inventes des mots toi, hein ?! Et reviens écoutes moi.

Elle emportait avec elle le Contre-amiral Ursert. Ils avaient sûrement quelque chose à régler, mais le shandia s'en foutait, il n'avait toujours pas de pantalon. C'est alors qu'il vit tout le monde entrain de se faire embarquer par des soldats de la marine. On dirait que c'est fini, les gens blessés se font embarquer par leurs camarades qui les accompagnent sur un bateau de secours ou un truc dans le genre.
Rampant alors jusqu'à un rocher d'une assez grande taille, Caligula aperçut un marin salement amoché. Son état était vraiment faible et il valait mieux l'évacuer le plus rapidement possible. Caligula savait maintenant ce qui lui restait à faire : se jetant sur le marin, il lui enleva le pantalon avant de se l'enfiler de façon assez rapide. Le pauvre blessé maintenant en slip ne put réellement comprendre ce qui se passa et se laissa seulement prendre par la fatigue. Caligula tapota alors sur l'épaule du presque mort avant de lui délivrer quelques mots.

    
  

Ne t'en fais pas mec, ils arrivent faut juste que tu résistes un peu.

Marchant alors vers les ports, Caligula fit signe à un marine qu'un blessé grave se trouvait dans cette direction. Il ne le considérait pas comme un camarade, mais l'homme lui avait bien donné son pantalon, il lui devait bien cela. Regardant le champ de bataille, Caligula remarqua alors l'Amiral Pacifique. Alors c'était un Big Boss d'après les dires de certains. Pas mal, il est vrai qu'il était assez impressionnant cependant rien de plus. S'en allant alors vers les ports, le shandia remercia encore une fois Kalgara. Et il ne devait plus oublier, il était devenu un demi-dieu. Il était donc destiné à un grand destin. Il ne devait pas l'oublier...

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- Calmez-vous tous.

La voix du Colonel Burstlay s'était faite entendre devant le tunnel tandis qu'il marchait, une canne maintenant ses mouvements. Il n'appartenait pas réellement à la 'jeunesse actuelle', ayant rejoint la marine à un âge déjà avancé, mais il semblait imposer de lui-même une certaine autorité, liée à son passé de Maître dans les écoles d'un royaume annexé au Gouvernement une dizaine d'années plus tôt. Quand la Marine avait connu une crise, il s'était proposé de lui-même pour intégrer celle-ci, et on l'avait accepté malgré des tests physiques peu concluants. Il avait du apprendre à se battre d'une autre manière, et était à présent capable de prouesses qui avaient fait sa réputation.

Auprès des organisations criminelles, on redoutait son nom. Auprès des civils, on le respectait. Ses collègues faillirent même s'incliner lorsqu'il arriva mais il n'y fit pas attention : il les considérait comme des égaux.

- Le tunnel...

Un homme transportant un panda et une autre personne sur son dos sortit vivement de la structure qui explosa avec, à l'intérieur, quelques marines et de nombreux criminels liés aux Décimas. Le Colonel ne broncha pas, il fit signe aux médecins qui l'accompagnaient de prendre en charge les blessés. Réparer ce tunnel allait prendre beaucoup de temps et demander de nombreuses manœuvres. Ce n'était pas une priorité malgré tout. A présent, Alabasta était totalement isolé.

- Rapatriez tous les marines à Nanohana. Tous ceux qui ne font pas parti de l'effectif en place prendront le bateau pour Marineford. Je vais contacter les instances supérieurs pour mettre en place les reconstructions liées aux tunnels...
- Monsieur, l'Amiral Pacifique vient d'envoyer des nouvelles.
- Qu'en est-il ?
- Il vaudrait mieux que nous en parlions en privé.

Appuyant sa canne au sol, l'homme partit en direction du navire, laissant derrière lui une foule dont l'échine vibrait encore devant la présence de cet homme. L'angoisse s'installa rapidement : Qu'allait-il se produire à présent ?

C'est la conclusion du côté de Largo.
Caligula > Il faudra passer par la partie création pour le sabre des 50. A part ce qui a été décrit dans le rp, tu es libre sur le reste.
Plus personne ne peut poster après ça, j'entame la conclusion.