A en juger par la réaction de Wakaba, non, les coups de feu ne sont, mais alors, pas du tout normaux. La jeune femme prend en effet à peine le temps de dire à son frère de rester là où il est avant de se ruer dans la direction du bruit, les laissant tous les deux seuls. Et pour le coup, Miraak ne sait pas vraiment quoi faire. Ce n'est certes pas la première fois qu'il est près de quelqu'un de son âge. Après tout, il est quand même resté à l'école pendant un bon moment avant de gagner ses pouvoirs. Ce souvenir ne manque d'ailleurs pas de provoquer une autre sensation de froid pas du tout naturelle dans sa poitrine, sa main droite accueillant un bref moment un léger tourbillon de flocons.C'est loin d'être un bon souvenir... Même si d'une certaine manière, cela en valait la peine. Quoi que... En fait, il ne peut pas s'empêcher de se poser la question : certes, il a beaucoup moins à craindre des adultes maintenant. Mais d'un autre côté... la Marine le cherche maintenant à cause de ce pouvoir et il a été obligé de laisser son gardien derrière lui pour pouvoir leur échapper. Une fois de plus, il sent de nouveau cette question résonner dans sa tête, comme un murmure glacé :
****Est ce que ça en valait la peine ? Vraiment ? Est-ce que le pouvoir de se défendre valait un tel prix ?****
Avec un léger soupir, il regarde Goro, essayant de sourire même s'il sent de nouveau cette apathie revenir. Le jeune garçon lui explique qu'effectivement, la situation n'est pas normale, mais que a famille et celle du chef s'occupent de veiller au grain dans ce genre de situation. L'idée est presque logique : après tout, cette île entière est peuplée d'adeptes de l'escrime. Ce n'est peut être pas comme Karaté Island, mais les habitants sont largement assez forts pour se défendre en cas de nécessité. Cela dit, lorsque l'autre garçon embraye en lui demandant d'où il vient, il ne peut pas s'empêcher de hausser un sourcil. D'où il vient ? Bonne question. Et cette idée ne manque pas de lui faire mal au coeur un bref moment, même s'il s'efforce de répondre sans montrer ce qu'il ressent :
De loin... Je... V-viens loin, très l-loin d'ici. M-mon... Mon gardien m'a j-juste dit que. Que retourner chez moi serait... p-presque impossible pour le moment."
Une idée pour le moins douloureuse d'ailleurs, même s'il parvient à ne pas grimacer. Pendant un bref instant, il ne peut pas s'empêcher de regarder rêveusement le ciel, son aile commençant à battre légèrement derrière lui comme pour tenter d'arracher son corps au sol. Il sent de nouveau cette envie. Cette soif absolue de pouvoir enfin briser les chaînes qui le retiennent au sol pour rejoindre sa place dans les nuages. Cela dit, il sait que ce n'est certainement pas pour tout de suite et il se contente de fermer les yeux un bref instant avant de les rouvrir, observant l'autre garçon. Autant changer de sujet...
"Ano... Tu n'est pas... inquiet pour ta soeur ? On devrait peut être... enfin..."
Ce n'est peut être pas une bonne idée... Certes, il est immunisé contre ce genre d'assaut, mais Goro ne l'est certainement pas. Traîner le brun sur un champ de bataille est donc particulièrement dangereux, mais d'un autre côté.
"Je... je p-peux aller voir si tu veux. Les... Les b-balles n'ont... p-pas d'effet sur moi..."
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Sam 24 Juin - 10:43
Yato Shiruge, renommé à 280.000.000 de Berrys.
Sauvé ! C’est ce que pensa Yato lorsqu’il parvint à entrer dans l’auberge du premier coup. Soupirant un instant, il s’installa à une table. Malheureusement, il tomba du tabouret alors qu’un étrange personnage de théâtre faisait son entrée. Les fesses au sol, il admira la performance sans se relever pour autant. Seul un « même pas mal » franchit le seuil de ses lèvres avant qu’il ne se mette à applaudir la performance de l’homme maquillé.
Allant s’installer à côté de ce dernier, sa renommée le rattrapa soudainement. Il en oubliait presque qu’il était relativement connu et ne s’en formalisa pas. Après tout, il était ici pour du repos… il avait encore de quoi tenir quelques mois avec un train de vie plus que sympathique.
- Oh ! Vacance ou balade… un peu des deux… boire un coup… toussa toussa quoi.
L’air nonchalant qu’il affichait ne trahissait d’aucune intention maligne. A dire vrai, il semblait plutôt fatigué et lorsqu’on lui proposa de lui offrir un coup à boire, il n’hésita pas une seconde !
- Un diabolo papaye… euh… non ! Un diabolo mangue ! Ah… euh…
Portant un doigt à sa bouche, il ne savait vraiment pas quoi choisir dans cet endroit. Il opta finalement pour une boisson soft : de l’eau pétillante. Par cette chaleur, il valait mieux s’hydrater !
Laissant l’homme poser ses hypothèses pour un combat, il ne put retenir finalement son rire au point de tomber une nouvelle fois de sa chaise.
- Même pas mal !
Se massant les fesses avant de retourner s’installer, Yato regarda avec un sourire honnête le comédien.
- Les combats intéressants, sur les blues, ça n’existe pas mon ami !
Les yeux plissés, le Yato semblait vraiment penser qu’aucun combattant n’était digne de valeur sur les blues. Était-ce vraiment le cas ?
Yato Shiruge – Niv. ???
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Lun 26 Juin - 22:24
«Une rencontre sportive»
- Vous venez pas ? demanda-t-elle de sa petite voix de sucre, les yeux rondement surpris. Puis, son étonnement laissa place à la déception. Elle baissa la tête, ainsi que ses oreilles d’elfette et ses lèvres. La bouille boudeuse, elle leur en voulut une seconde, à ses nouveaux amis, de l’abandonner ici. Elle avait tant à apprendre d’eux ! Mais s’ils souhaitaient s’en aller, elle n’avait pas le droit de les retenir. Et les savoir libres, allant où leur bon gré les portait, les savoir heureux en somme, lui apportait le réconfort et la joie nécessaires à la poursuite de son propre voyage. Elle désirait plus que tout, en cet instant, découvrir Shimotsuki Town. Elle releva le visage, ses joues reprirent la couleur rose et le printemps revint sur son visage, accompagné d’un sourire des plus radieux, pour encourager les pirates.
- Du balai, alors !
Ce que voulait dire Zylphia, c’était « bon vent », « bon voyage » ou « bonne route ». Mais les expressions des Hommes étaient si amusantes qu’elle se plaisait à les utiliser à tout va, même dans l’erreur. Il était parfois difficile de suivre le cours de ses pensées, tant les mots s’emmêlaient, se tordaient, s’inversaient ou se mélangeaient. Après tout, c’était naturel. Lorsque l’on découvre une nouvelle culture, les bonnes habitudes ne se prennent pas en un claquement de doigts. Seulement, avec Zylphia, le monde entier pourrait s’amuser à claquer des doigts jusqu’à la mort de la planète, elle n’apprendrait jamais que « du balai » engage son interlocuteur à s’en aller fissa, au risque de se faire bastonner.
Les pirates s’échangèrent quelques regards perplexes, et accordèrent un sourire gêné à la petite gnome, avant de s’en retourner vers leur navire sans plus de cérémonies. Pendant leur marche, ils s’échangèrent quelques commentaires quant à leur compagne de voyage :
- Putain, on a enfin pu la larguer ici. Une seconde de plus et j’lui explosais la gueule !
- Je m’sens mal pour les prochains qui devront la supporter…
- Les gars, vous savez pas c’qu’elle m’a fait, à moi… Elle m’a proposé de… Eurk… j’peux même pas en parler, c’trop horrible, gémit le dernier avant de s’effondrer en larmes.
Zylphia entendit ses pleurs, mais décida de rester forte. Elle aussi, l’aimait beaucoup, mais les pleurs et les lamentations n’avançaient jamais à rien, elle le savait à présent. Le cœur serré, mais l’attitude digne, la gnomette s’en alla vers le cœur de l’île pour trouver la ville. Là-bas, elle ferait sûrement de nouvelles rencontres, au moins aussi belles que les précédentes. Et puis, elle ne pouvait pas parcourir le monde seule, elle avait besoin de guides.
Sur le chemin, Zylphia profitait de l’air pur de la forêt pour se ressourcer. Ca lui rappelait son chez-elle, et même si un brin de nostalgie l’envahissait parfois, elle était heureuse de pouvoir se dire que, où qu’elle aille, elle était à la maison, jamais bien loin de ce qu’elle avait connu. Sa famille et ses amis appartenaient à autrefois, à ailleurs, mais ils étaient là, un peu partout. Dans les bois, sculptés sur les écorces, il lui semblait reconnaître des silhouettes familières. Celle de son frère, de ses parents… de l’Homme. Celui pour qui elle avait tout quitté. Et quand elle se souvenait de ce dernier, elle continuait son chemin, sans plus penser à tout ce qui pouvait lui manquer. Parce que plus que tout, c’était de lui qu’elle avait besoin.
Alors elle poursuivait sa route, sûre d’elle, seule au milieu de bois sombres et denses, sans remarquer que d’effrayantes ombres ondulaient autour d’elle. Il y eut un froissement de feuilles, auquel elle ne prêta pas attention. Puis un deuxième, plus fort, plus proche. Plus inquiétant. Cette fois-ci, Zylphia se tourna. Rien. Rentrant sa tête dans ses épaules, elle fit encore quelques pas, tout doucement. A peine avança-t-elle de quelques centimètres qu’à nouveau, les branches remuèrent. Elle se tourna, et découvrit, à travers un épais buisson, de grands yeux dorés, illuminant la forêt comme des phares illuminent la mer. Et soudain, un cri en retentit, tandis qu’un féroce animal bondissait à travers les branches :
- HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! UN MONSTRE !
Zylphia ne se fit pas prier : ni une ni deux, elle dérapa sur le sol pour entamer une course folle. La chose n’attendit pas pour la poursuivre. Et comme quatre pattes en valaient mieux que deux, elle ne tarda pas à rattraper la gnomette terrifiée, faisant claquer ses crocs pour essayer de lui arracher la tête.
- JE SUIS PAS UNE SOURIS ! NI UN HAMSTER ! JE SUIS UNE GNOME, TU N’AS PAS LE DROIT DE ME MANGER ! ASSIS ! ASSIS ! STOOOP !
Le monstre
Mais la bestiole n’avait pas l’air de comprendre, et tentait toujours d’assassiner la pauvre petite qui courait pour sa vie. Zylphia n’eut d’autre choix que de déployer ses ailes, découvrant deux grands drapés noir et blanc, qui, tout en assurant sa survie, donnaient charme et volupté à la jeune gnome. Pareille à un papillon, élégante comme une fée, elle fuit en se faufilant à travers des lames d’air et s’élevant dans les cieux pour se mettre hors de portée du sauvageon. Une fois dans les airs, elle n’attendit pas pour se retourner sur elle-même, exécutant un salto vers l’arrière. Surprenant le monstre qui eut bien du mal à suivre son mouvement, elle réussit à se poser, un peu en catastrophe, sur le dos de la bête. Là, elle saisit ses poils comme des rênes, et tira fort dessus pour calmer l’animal. Il lui fallut un peu de temps et de rodéo avant de parvenir à ses fins, jusqu’à pouvoir le diriger comme un cheval. Elle secoua d’un coup sec les rênes improvisés en criant « HUE ! » pour que la bestiole termine le voyage pour elle. A toute vitesse, son nouveau compagnon l’amena jusqu’à la ville. Zylphia rétracta ses ailes ; à présent, elle était tranquille.
Malheureusement pour Zylphia, rien de ce qu’elle faisait n’avait de contrôle sur l’animal. Ce dernier fendait l’air pour tenter de faire tomber la bestiole qui l’alourdissait, et pour pouvoir en faire son quatre-heures. Paniqué à l’idée que le papillon reste éternellement sur son dos, le chat courut jusqu’à la maison de l’homme qui le nourrissait toujours. Zylphia avait beau tirer dans tous les sens, son véhicule ne voulait plus obéir, et poursuivit son chemin jusqu’au bar. Là, il s’arrêta brusquement, vociférant d’atroces miaulements de souffrance. L’arrêt fut si violent que Zylphia se vit projetée en avant ; son corps fit plusieurs tours sur lui-même puis finit par percuter la jambe d’un homme qui se tenait là. Le chat 1 – Zylphia 0.
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Mar 4 Juil - 23:25
Feat
Vincent W. Turen et Miraak Skylar
Un froid séjour non loin des dojos
Un long monologue avec pleins de mots dedans. Akira avait essayé de tout écouter, mais il s’était perdu dans ce monologue. Il faisait mine d’avoir tout compris, comme ça Vincent ne penserait pas qu’il avait parlé dans le vent même si c’était le cas. La seule qu’il avait vraiment écoutée était la fin de son discours sur le fait qu’il se sentait coupable parce qu’il était coincé. Akira se devait de lui remonter le moral, il ne devait pas culpabiliser pour si peu.
« Tu sais, tu n’as pas besoin de culpabiliser pour ça. Si j’étais tombé ce ne serait que de ma faute et pas de la tienne. Même si en bas, il y aurait bien eu quelqu’un pour venir me sauver. Si les villageois n’étaient pas loin quand je t’ai remonté, peut-être un aurait sauté pour me chercher, ou bien il y aurait bien eu une personne en contre bas pour me repêcher. »
Il avait beaucoup parlé pour une fois. Ce n’arrivait pas souvent, d’habitude il était plus clair et plus concis, mais il fallait bien changer les mauvaises habitudes et s’ouvrir un peu plus aux gens. La seule personne avec qui il parlait beaucoup était toujours la même personne, Raki. Il le connaissait depuis longtemps et s’était son meilleur ami. Il ne fallait pas rester distant avec lui surtout après ce que les deux avaient vécu ensemble. C’était ces petites choses qu’ils avaient tous les deux vécues qui les avaient autant rapprochés. Akira se battrait corps et âme pour Raki et inversement, ces deux-là étaient comme les cinq doigts de la main mais à deux !
Le cornu marchait donc au côté de Vincent jusqu’au village. Ils avaient été accueillis par un sabreur qui disait qu’il ne fallait pas porter d’arme ici même. Nos deux comparses n’avaient sans doute pas vu un écritos qui mentionnait cela. Mais ce n’était pas grave étant donné que cet homme qui s’était mis en travers de leur route avait lui aussi un sabre dans le dos. Il n’avait donc aucunement le droit de faire la morale au nouveau capitaine. Alors que Vincent allait s’en occupait Akira continuait son chemin puisque lui n’avait aucune arme. « A toute, je te laisse celui-là, tu devrais réussir à t’en défaire non ? »
Il n’attendait même pas la réponse de cet homme qu’il s’était déjà mis en marche. Il entrait dans ce petit village où il ne fallait donc pas avoir d’armes. Il allait visiter un peu le village avait de retourner voir Vincent ou pourquoi pas chercher Raki, Taurus et Saku sur le navire ?
Le jeune homme ne comprenait pas très bien de quoi il voulait parler en disant cela, mais il ne s’en formalisa pas, restant plutôt à l’écoute du blondinet.
« Je ne suis pas inquiet pour elle, elle est forte, tu sais ! Et puis, je n’oserais pas aller là-bas. Je n’ai pas peur des balles, tu sais ! Je fais partie d’une famille de combattant, ce n’est pas des armes de lâche qui me feront peur… Mais Wakaba me fait peur, et elle m’a dit de rester là. Donc je resterais là… Et je préfèrerais que tu restes avec moi… On pourrait s’amuser ! »
Il s’approcha de Miraak avec un sourire amusé. Il était prêt à jouer avec le blond toute la journée s’il acceptait !
Image en cours de préparation [avatar Végéta de DBZ] Völun
Le regard froid de l’homme pouvait glacer le sang de quiconque le croiserait et cette fois il se dirigeait droit vers le petit être qui venait de le percuter. Le type, à la coiffure étrange, venait de rentrer au village sans se soucier que sa femme l’attendait depuis plusieurs jours déjà…
« Qui es-tu ? Petite chose ?! »
Genishi et Leiko
Tandis que le membre de l’Olympeus qui n’avait pas d’arme abandonné son équipier, le jeune sabre regardait le nouveau capitaine avec arrogance. Cela se voyait : il cherchait ses mots. A croire que certaines personnes lui avaient déjà dit de réfléchir à ce qu’il disait, pour éviter de dire des conneries… Cependant… Ça ne marchait pas à chaque fois.
« Les règles sont faites pour être respectés, et il faut bien des gens pour faire respecter ces mêmes règles. Je suis Genishi et Völun est mon père ? Je vais t’apprendre à nous respecter, petite merde ! »
Du côté du second membre de l’équipage, s’il faisait bien attention à ce qui se passait à quelques dizaines de mètres, face à lui, il pourrait voir la blonde, armée de sa mitraillette, se faufiler derrière un bâtiment… Serait-il capable de reconnaitre l’armurerie ?
PS : pour les gens présents dans l'auberge, je vous laisse le contrôle total de tout ce que vous ferez à l'intérieur. Vous pouvez vous occuper des PNJs, cependant, gardez en tête qu'il serait préférable des avatar de DBZ sauf : Sangoku, Yajirobe et Lunch aux cheveux bleues =D Si vous avez des doutes, n'hésitez pas à me contacter sur Skype
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Vincent W. Turen
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Jeu 6 Juil - 14:58
Un combat prédestiné ?! La marche silencieuse de l'histoire !
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Malgré tout ce qu’il pouvait dire et même si j’étais de très bonne humeur aujourd’hui, je sentais déjà cette histoire reprendre le dessus sur moi. Je sentais que, clairement, je replongeais dans les mêmes tourments qui m’habitaient jusqu’alors et que j’espérais éloigner en venant dans ce village – à croire que ce n’était pas vraiment la mer qui m’apportait mes mésaventures, mais bel et bien moi. Alors, je souriais, content d’être là, me mentant à moi-même et à Akira. J’avançais alors jusqu’à rejoindre un nouvel arrivant. Ce type me tapait déjà sur les nerfs avant même de le connaitre. Je ne sais pas si c’était son visage ou son air satisfait qui me déplaisait, mais je n’arrivais pas à le piffrer. A vrai dire, même avec le temps je n’ai pas vraiment réussi à l’apprécier vraiment.
Je souriais méchamment lorsqu’il m’adressa la parole pour me dire que je n’avais pas le droit aux armes. Certes, je ne connaissais pas les règles de ce village, mais j’étais un pirate, je m’en foutais un peu de ses règles. Je lui envoyais donc une petite pique que je trouvais bien sortie et laissais mon ami s’avancer, le laissant dépasser l’autre porteur de lame. A croire que l’on pouvait foutre le boxon dans son village, tant qu’on n’avait pas d’arme, cela passait ! Pff.
Je ne résistais pas à l’envie de le provoquer, mais ce fut lui qui lança les hostilités en premier. Il se prenait pour un roi ou un truc du genre et se permit même de m’insulter. Genishi… Ce nom était déjà inscrit dans ma mémoire comme un type que je devais me faire. Je restais un moment silencieux, ne sachant pas quoi lui rétorquer, et je le laissais dire. A ce moment-là il se tourna sur lui-même, de sorte à se cacher, pour se murmurer quelques mots que je ne percevais pas de là où je me trouvais. Je restais alors interloqué lorsqu’il se retourna vers moi pour m’adresser une nouvelle fois la parole.
« Bon ! Je suis prêt à accepter tes excuses pour l’affront que tu fais à ma famille, si tu poses tes armes et que tu la ferme gentiment ! »
Le type avait totalement changé d’attitude. Il était devenu un peu joyeux, comme s’il essayait de s’excuser ou bien se foutait-il réellement de ma gueule. En tout cas, ça se sentait clairement… Il se foutait de ma gueule !
« Tu crois vraiment que je vais m’excuser auprès d’une sous-merde comme toi ? Ta famille… Je n’en ai rien à carrer. Si tu pouvais simplement la fermer et me laisser passer, je dois profiter de ma visite et ce n’est pas avec un gars comme toi que je vais passer une bonne journée ! »
Ce n’était pas le moment de me faire chier et je croyais bien que ce type était un chieur de première. Je savais pertinemment que la situation n’allait pas évoluer dans le bon sens, alors j’attrapais mon sabre, prêt à recevoir une attaque de ce type.
Je voyais bien qu’il n’avait pas apprécier ce que je venais de lui dire, mais je m’en foutais. A vrai dire, je pensais que j’avais besoin de décompresser de mon erreur sur le pont et ce type ferait sans doute l’affaire. Je sortais alors mon sabre de mon fourreau. Au même moment, il attrapa son arme pour la positionne entre lui et moi. Un combat entre lui et moi n’allait pas tarder à avoir lieu et j’allais lui faire regretter tout ce qu’il venait de me dire…
En y repensant… C’était peut-être un peu exagéré, hein ?
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Thème de Vincent
Spoiler:
Futur thème de Vincent
Vincent W. Turen
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Mer 12 Juil - 23:56
Apparemment, l'idée d'un "gardien" paraît étrange à Goro. Il est vrai que pour un enfant normal, entendre parler de "gardien" peut sembler bizarre. Sharkdo était certes aussi proche d'un père qu'il était possible de l'être, mais l'homme-poisson, bien que toujours prévenant avec lui n'a jamais hésité à lui rappeler que non, il n'était pas son père, mais son "gardien"... Quelqu'un qui veillerait sur lui jusqu'au jour où ses vrais parents viendraient jusqu'à lui. enfin, rien n'a au final empêché son "gardien" de devenir un père et de prendre soin de lui, Miraak ne l'appelant donc ainsi que par simple habitude. Cela dit, il préfère ne pas faire de précision, se contentant de baisser les yeux. Apparemment, l'autre garçon n'a pas peur de ce qu'il appelle des "armes de lâche", mais semble sincèrement craindre sa grande soeur et préfère donc obéir à ses ordres sans broncher. Au moins, ça prouve que ce que disait l'homme-poisson sur les femmes était vrai : elles peuvent vraiment être effrayantes quand elles s'y mettent !
****Je sais toujours pas ce qu'il voulait dire par "une fois par mois" par contre... toujours effrayantes, mais encore plus une fois par mois ? Il m'a juste dit que je verrais quand... je serais plus grand. je déteste quand il fait ça !****
Chose étrange, alors que cette pensé lui traverse la tête, quelque chose lui dit presque en même temps qu'il vaudrait mieux qu'il ne sache jamais ce que ça signifie. Mais pourquoi ? Enfin, peu importe. Il se contente d'observer dans la direction des coups de feu avec une légère inquiétude. Certes, Wakaba sait certainement bien se défendre et n'est probablement pas seule, mais il ne peut pas s'empêcher de craindre légèrement pour sa sécurité : les armes à feu sont loin d'être des blagues et peuvent faire de sérieux dommages. Comme pour répondre à ses émotions, son corps s'entoure de quelques flocons qui flottent à toute allure autour de lui, comme portés par un vent invisible. C'est le genre de situation qu'il déteste... Pire encore, les coups de feu lui rappellent désagréablement la marine et leurs précieux fusils. Du coup, la proposition que lui fait Goro le sort presque violemment de ses pensés et il regarde le jeune garçon d'un air surpris. Jouer ? Vraiment ? la dernière qu'il a joué avec quiconque, c'était quand il allait à l'école à Logue, souvenir qui ne manque pas de le faire sourire, malgré un froid glacial qui apparaît subitement dans son coeur. Tout se passait si bien... Et à cause de ces monstres... Enfin, peu importe...
"Euh... Jouer ? Jouer à q-quoi ?"
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Raki Goshuushou
L'Artisan de l'Anarchie
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Mar 18 Juil - 23:47
Le vilain matou !
Un beau combat ? Voila tout ce a quoi se résumé la recherche de ce chasseur de prime de renom ? Mais y avait-il réelement de beau combat ? Une simple boucherie entre des hommes et des femmes avides de se mettre sur la tronche, a mon sens il n'y avait rien de beau a ça ! Certes j'avais eux a une époque cette soif intarrisable de vengeance qui m'avais poussé a me battre plus que de raison, au point d'en devenir ce que j'execrais le plus en moi, l'animal ! J'en étais même venu a la simple logique que l'homme n'étais en définitive rien d'autre qu'un animal invasif et déstructeur. Il n'y avait a mon sens aucun remède a ça, cette bête se trouvais en chacun de nous et ne demandait que tapis dans l'ombre a bondir tel un prédateur affamé. Mais a quoi bon tenté d'exprimé ce simple point de vue a ce gars qui n'aurais fait qu'une bouché de moi ?
Sortant de ma courte réfléxion je m'appretais a lui répondre courtoisement depuis le couvert de mon masque Kabuki lorsqu'une personne étrange me percuta le mollet, suivis de prés par un chat ! Pourquoi fallait-il que ce soit un chat ? Réfléchissant du plus vite que je le pouvais j'attrapais la petite personne pour la poser en sécurité sur le comptoir et envoyais promener la bête qui m'étais si familière d'un simple coup de pied gentillement placé au niveau du postérieur de la bête. Je pris alors le temps de soupirais sous mon masque et sortant une cigarette je la calais dans l'ouverture de la bouche du masque pour enfin l'allumé et tirer une longue latte sur ma cancéreuse et enfin répondre au mercennaire:
" Un combattant interessant n'existerait pas sur les blues ? Si je vous pennez pour un imbécile je vous répondrais que j'en ai un devant moi a qui j'ai payé gracieusement son verre. Mais le fait est que je préfères les art musicaux et théatraux a ceux de la guerre. En un sens je serrais de votres avis, pour simplement dire que j'apprécies particulièrement les joutes psychologique. Mais j'en perd toute politesse et bienscéance, je m'allume une cancéreuse sans même vous en proposer une !"
Je lui tendais alors le paquet pour dans un autre temps me tourné vers la personne qui m'avais heurté, Je constater alors qu'il s'agissait d'une petite demoiselle et prenant le temps de souffler ma fumer de cigarette dans autre direction je repris la parole mais a son attention cette fois:
" J'éspère que cette béstiole ne vous as pas fait de mal petite dame ? Puis-je vous offrir quelque choses a boire ou a grignoter ? "
Code by Wiise sur Never-Utopia
Spoiler:
c'est vue avec Zyzy pour le fait que je la pose sur le comptoire
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Raki Goshuushou
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Lun 24 Juil - 17:12
Yato Shiruge, renommé à 280.000.000 de Berrys.
Le jeune homme semblait bien sûr de lui, aucun doute là dessus et Yato se fit vite rabrouer le caquet avec cette histoire de bataille psychologique. Le pauvre n’avait pas l’habitude de ce genre de combat et préférait depuis toujours compter sur ses capacités physiques. Toisant l’homme de gout de haut en bas, il se tourna finalement vers lui et le mit au défi.
- Ah ? Je ne suis pourtant pas des plus reconnus dans le monde, mais que dirais-tu de me prouver que je me trompe ? Sortons du bar pour ne pas provoquer d’embarras et affrontons-nous. Je retiendrai bien évidemment mes coups et nous verrons lequel de nous deux se trompe.
Si la psychologie était un véritable atout lors d’un affrontement, le jeune homme pourrait alors saisir l’occasion de le lui prouver. Les paroles, c’était bien beau mais ça ne garantissait absolument en aucun cas les actes.
Un petit choc sourd vint percuter le mollet du théâtraux et Yato exprima alors une grimace de douleur comme s’il venait de se prendre l’orteil dans le coin d’une porte. Regardant le petit être avec un air des plus désolé, il sauta de son siège pour se mettre à plat ventre en espérant être à sa hauteur pour parler.
- Même pas mal… même pas mal ?
Le chasseur de prime semblait un tantinet inquiet mais également intrigué par ce petit être sorti de nulle part et son haleine des plus fétide risquait de surprendre le petit être.
Quoi qu’il en soit, si Raki acceptait, Yato le suivrait dehors sans hésiter et se posterait en face de lui, il ne comptait se battre qu’avec un seul doigt, son index droit, il ne restait plus qu'à savoir les choix de son homologue.
Yato Shiruge – Niv. ???
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Suzuran Akira
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Lun 7 Aoû - 14:32
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Vincent W. Turen et Miraak Skylar
Un froid séjour non loin des dojos
Akira laissait Vincent se battre contre son adversaire. Mais il avait un pressentiment. Une chose allait mal se passer, comme si quelqu’un ou quelque chose allait s’en prendre à l’équipage et Akira ne pourrait rien faire pour cela. Il avait des plans avec Raki et pour sa survie il devait partir même s’il voulait protéger cet équipage. Il ne savait plus quoi faire. Il était tiraillé de doute, il ne savait plus quoi faire. Mais mourir maintenant était-ce une bonne chose ? C’était la principale question qu’il s’était posé et sa réponse était non. Outre le fait de vouloir protéger tout l monde, il avait un plus grand but. Il se devait de revenir en vie sur son île natale, protéger son île ainsi que son clan était une chose bien plus précieuse que cet équipage au vu du cornu.
La vie de son meilleur ami était aussi plus importante, mais il savait qu’il allait s’en sortir et que tous deux se retrouveront au port. Le plus important était de retrouver Taurus, Akira ne partirait pas sans lui. Il devait donc trouver un moyen de retourner au bateau. Il ne savait pas trop comment faire, alors il allait vadrouiller dans la forêt. Sans plus attendre le chasseur s’était mis en route pour aller dans la forêt, se repérant un peu avec les traces de pas. Il essayait aussi de se repérer avec ce qu’il avait déjà vu. Il savait se diriger c’était un chasseur après tout, mais seulement en forêt, si l’on était en ville ou sur les flots, il aurait beaucoup plus de mal.
Les arbres se ressemblaient vachement, il n’y en avait pas de différent et en plus il avait emprunté une autre voie puisque le pont était casser. Mais il n’était pas totalement perdu, il tournait à droite, puis à gauche. Comme Akira se sentait perdu, il montait sur un arbre pour se retrouver à sa cime. Il regardait aux alentours et voyait un mât de navire seul. Il savait que c’était lui leur navire et que Taurus serait là-bas en train de les attendre.
Le cornu se dépêchait de descendre de l’arbre, comme un singe. Une liane et hop il sautait dessus en pensant pouvoir faire tarzan… Mais il était trop lourd qu’il tomba directement sur le sol. Il s’était un peu fait mal au fessier, mais ce n’était pas quelque chose d’extraordinaire. Il se relavait en époussetant ses fesses et partait en direction du bateau à vive allure. Une dizaine de minutes lui avait suffi pour retourner au navire. Une fois dessus, il cherchait Taurus et lui expliquait qu’il fallait partir, il y avait une grande menace qui pesait sur l’équipage et c’était le moment de partir car Akira et Taurus avaient encore de belles choses à vivre ! Taurus vu convaincu par le discours du cornu et le suivait sans dire un mot. Les deux hommes s’étaient dépêchés pour rejoindre le port. Là-bas il fallait attendre Raki, Akira avait le pressentiment que lui aussi serait partit.
HRP : J'ai posté a la place de Zyzy comme elle ne pouvait pas rp et fin un peu rapide désolé !
Suzuran Akira
Raki Goshuushou
L'Artisan de l'Anarchie
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Équipage : Paradise
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Lun 7 Aoû - 14:59
Toute les bonne choses on une fin !
Je souriais sous cape en regardant le chasseur de prime a travers les fentes de mon masque. C'est a peux prés a ce moment que je remarquais une personne masqué dans la cohut du bar. Une femme plus précisément, un corps angélique et une cascade de cheveux blond se déversant sur les épaules sortant de l'arrière de son masque représentant se semblait être une louve. Je ne faisais plus attention au chasseur ou a ce qu'il pouvais dire, un sentiment d'urgence vitale se déployant dans tout mon organisme je me souvenais d'elle, j'avais pris la fuite en la voyant sur Micqueot peu de temps avant la mort de Mélia.
Que pouvait-elle faire ici ? qui était-elle ? Mais surtout pourquoi me fixait-elle comme ça ? Elle remarqua alors que je l'observais a mon tour, se levant d'une démarche féline et sensuelle elle passa a coté de moi pour se diriger vers la sortis de l'établissement laissant au passage un parfum que je n'avais pas sentis depuis longtemps, a tel point que je ne fit aucun rapprochement a l'époque. Je m'appretais a me levais lorsque je vis le chasseur de prime sortir, et sortant a mon tour je la cherchais du regard pour ne voir que le vide de la rue, Akira n'étais plus la non plus. Il n'y avait que le chasseur de prime et un mot au sol devant mes pieds. Prenant le mot je le lu alors, un frisson glacial me parcourant l'échine, une goutte de sueur froide traçant un sillon le long de mes entrelac cicatriciel dorsal, je laissait tomber le mot a terre. Marchant vers la caravane Kabuki je retirais le déguisement et le masque pour les donné au grand maitre Kabuki et le remercier. Un bourrasque de vent emporta alors le mot jusqu'a mes pied me révélant une nouvelle fois ce qui était écrit:
" Il est en vie !"
C'est quatre simple mot avait sonné un glas dans ma tête et je ne pouvais plus resté, j'avais des préparatif a faire, j'avais commençais un travail il y avait maintenant plus d'un ans et je devais le finir. Je me tournais vers le chasseur lui révélant mon visage et lui disant:
" Je doit remettre ça, dans tout les cas j'avais déjà gagné notre bataille psychologique au moment ou vous avez franchis ces portes"
Puis prenant ma forme hybride je n'attendais pas sa réponse, je me mit a courire aussi vite que mon fruit me le permettais pour rejoindre le port. Il me fallut un certain temps avant de rejoindre le port, le mot serrait dans ma main je repérais Mon ami accompagné de Taurus, reprenant forme humaine je me dirigeais vers eux pour leur indiquer un navire marchant qui accepta de nous embarqué. Puis lorsque le navire quitta le port pour nous emmené vers d'autre aventure je montrais le mot au Cornu en lui disant:
" J'aurais besoin de toi sous peu mon ami, j'ai quelque préparatif a faire. Tien toi juste prés au plus horrible combat de ta vie !" Je quittais cet équipage, éspérant les revoir un jours sans qu'il ne m'en tienne rigueur.
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Hrp: comme Akira je poste avant zyzy car elle est dans l'incapacité de posté en ce moment. C'est également la fin pour moi ^^