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[Post-Event] Les Armes de L'Impératrice
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Ven 30 Juil - 13:12
Les Armes de l’Impératrice
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- Shirorororororo….

Un ricanement rugueux, bas. Presque un souffle. Qui étaient ces gens ? Était-ce vraiment cela, la flotte d’un empereur ? Des enfants. Lamentable. Tous dévorés à la fois par leurs ambitions personnelles et leur peur de tout perdre. Il leur avait dit, pourtant. Construire, c’est détruire.

Brusquement, son visage se figea à nouveau, son rictus disparut.

- Dis, mon gars… tu travailles avec Konan, ou pour lui?

Ses yeux gris et froids toisaient le Transporteur avec un mépris évident. Il n’eut cependant pas le temps de poursuivre son idée, son capitaine se rangeant à contrecœur à l’opinion de ses collègues. Malheureux. Sa mâchoire se desserrant, il haussa les épaules avant de s’enfoncer à nouveau dans son siège. Pourquoi s’ennuyait-il avec cela ? Ce n’était pas son combat. Konan, Ren Tao, Erika Orato, même Edward Lawrence… tout cela ne le concernait pas, après tout. Il se trouvait là pour une raison précise. Leurs luttes intestines, leurs prises de pouvoir temporaires, leur faiblesse d’esprit, il n’en avait que faire.

Peut-être était-ce moins vrai pour lui.

Sa présence explosa, écrasant tout ce qui se trouvait sur son chemin. L’esprit fatigué du vieil homme subit de plein fouet la vague implacable qui déferlait sur lui, sa tête basculant en arrière en l’absence de dossier suffisamment haut.

Edward Lawrence. Edward Lawrence. Edward Lawrence.

Le nom résonnait, distordu, presque méconnaissable. Il heurtait les parois de son crâne d’un côté et de l’autre, amplifié à chaque rebond, jusqu’à ce qu’il ne reste que lui. Edward Lawrence. Un echo étouffant, omniprésent. Comme si une foule innombrable criait en continu ces quatre syllabes. Comme si le monde entier n’avait que ces mots à la bouche. Le bruit était insupportable.

Une cigarette tomba mollement au sol, tandis que deux mains squelettiques se portèrent sur les tempes du vieillard avec toute la force dont elles étaient capables. S’il serrait assez fort, peut-être la pression se relâcherait-elle. Peut-être parviendrait-il à empêcher l’éclatement inéluctable de sa boîte crânienne.

Edward Lawrence. Edward Lawrence.Edward Lawrence.

La puissance accablante de la volonté du jeune homme balayait tout. Le poids porté sur sa poitrine devenait intenable. Une simple inspiration lui demanda un effort surhumain…

Et il lâcha.
Une puissante convulsion prit son corps l’espace d’un instant, avant de le libérer brusquement. Ses bras tombèrent, balançant mollement aux côtés du fauteuil, tandis que l’ensemble de sa musculature se détendit, ne laissant dans le siège qu’un pantin désarticulé aux proportions grotesques. Ses yeux avaient roulé dans leurs orbites, et un filet de salive coulait d’un coin de sa bouche et le long de sa nuque.

Combien de temps était-il resté ainsi, brisé par la résolution absolue de celui qu’il suivait ? Il n’en avait pas la moindre idée. Tout était aussi flou que douloureux. Il marmonna quelque chose d’incompréhensible.

Sa main vint essuyer sa joue, avant de frotter ses yeux qui ne se faisaient pas encore à leur environnement. Sa nuque se tordit ; une nouvelle silhouette avait fait son apparition, parlant à celui qui venait d’écraser son libre arbitre. Aucun de ses sens ne parvenait à focaliser ; il décernait des traits mais ne les reconnaissait pas, percevait des sons mais ne pouvait les écouter. Il avait l’impression de se réveiller d’une soirée à la taverne l’ayant poussé aux portes du trépas. Rien n’avait de substance.

Un son étrange, à mi-chemin entre le grognement et le gémissement, s’échappa entre ses lèvres serrées. Il se redressa à grand peine, appuyant ses coudes sur ses genoux.

-...qui encore c’ui là?










Utilisation du haki de l’observation

Techniques:

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"Avant moi rien n'était, nul ne fut enfanté,
Hors les êtres crées d'éternelle substance,
Et moi je suis comme eux, car j'ai l'éternité,
Vous qui passez le seuil, laissez toute espérance."

Dante Alighieri, La Divine Comédie
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Mar 3 Aoû - 9:38



Parish Milton, la Manageuse de Talents, primée à 319.000.000 B & Horatio Belzébuth, primé à 291.000.000B


Parish Milton soupirait, la célébrité et la réussite montaient trop vite à la tête des petiots comme ce Edward Lawrence. Elle en avait vu toute une pléthore de Loxosceles nouvellement nommé par son Impératrice qui était beaucoup ambitieux, si celui-ci avait démontré une force de frappe suffisante lors de ses exploits et avait fait preuve d’un grand discernement, il venait certainement de prouver une stupidité à toute épreuve. La belle femme fermait les yeux en l’écoutant déblatérer la plupart de ses arguments qui pesaient dans le pour et le contre pour l’exploitation des géants de glace. Il y avait aussi plusieurs paramètres à prendre en compte que le Lawrence semblait ignorer comme le transport de ces armes de guerre, les acheminer à travers le Nouveau Monde pour les placer sur le territoire de la Dangereuse serait beaucoup plus dur qu’il ne le pensait. Il fallait traverser une zone appartenant à la ligne ennemi, la zone de l’île des hommes-poissons.  Il fallait rajouter à cela la confiance aveugle que ce jeune Nebula avait en ce fameux Zifukoro Max, l’évidence était toute simple, Edward Lawrence était bercé dans des illusions. C’est pourtant Belzébuth qui commençait par sortir de son silence après avoir jeté un regard à Parish :

    - Tu n’as qu’à essayer, essaye de jouer aux transporteurs ainsi qu’au trafiquant d’armes. Avec ta façon de pensée, ton nom sera oublié comme la majorité de tes prédécesseurs car tu disparaîtras dans ta propre vanité. Ne prétends pas vouloir tout faire pour satisfaire notre Impératrice, penser à devenir le plus grand trafiquant d’armes du monde est nourrir une arrogance et ambition personnelle qui te perdra.


Belzébuth le savait car il possédait un parcours similaire à celui du Lawrence avant d’avoir rejoint les troupes d’Erika. Il était un Supernova bien prometteur avant de tisser un lien étroit avec la Mafia de Konan auquel il était parmi les clients réguliers et faisant un échange de service bien régulier depuis quelques années après avoir rejoint l’armée de la Dangereuse. Il avait à une époque voulu s’élever à un stade bien supérieur que celui du simple transporteur, le détournement de marchandise ne l’avait plus autant excité qu’avant. Il avait cependant pris la dure loi de la réalité en pleine figure, il avait connu cet amer goût de l’échec. Il n’avait pu que compter sur le trafic et le transport d’esclaves pour se remonter une petite fortune après avoir essayé de s’agrandir dans un monde où chaque chose devait être comptabilisé. C’était la dure loi d’une demande toujours plus grandissante au fur et à mesure que le temps passait, la loi de la guerre qui trouait toujours plus les finances.


Grünt, Le Génocide, primé à 970.000.000B


    - Quand je dis dehors, c’est dehors. Et toi arrêtes tes conneries t’entends, qu’est-ce qui te permet de lâcher un fluide royal quand t’es une merde à nos ordres.


L’homme-démon venait d’ériger sa colère devant le fluide royal du Lawrence alors qu’il venait d’arriver. Le vieillard qu’il ne connaissait ni d’Adam, ni d’Eve fut projeté au sol sans pouvoir réagir à cause d’un violent coup de pied du Génocide, il tomberait alors dans l’inconscience pendant une longue période. Il n’aimait pas qu’on fasse étalage d’une quelconque puissance ou d’une quelconque arrogance, même si le Lawrence avait marqué un grand coup pour son entrée dans l’Empire d’Erika Orato, il devait encore apprendre ce qu’était le respect. Il devait calmer sa prétendue arrogance sinon il risquerait de prétendre devenir un esclave. Posant alors sa main sur le haut de la tête du pirate, l’Atrax commençait à serrer la tête du maudit de la bombe, le pirate commencerait alors à sentir la différence de niveau entre lui et cet homme. Si les deux hommes possédaient des capacités en matière de destruction qui pouvaient se ressembler, Grünt possédait des années et un palmarès qui parlerait à sa place. Son corps naturellement chaud commencerait alors à se teindre de la couleur de l’armement et petit à petit c’était un regard complètement tétanisé par la peur qu’Horatio tremblait.

    - Bon si tu le refuses, je transmettrais l’information à Slay. De quoi ça parlait ici déjà avant que j’arrive ? C’est dommage je m’aurais fais un plaisir de tester tes capacités de combat contre ce rat de Kyo Kara et sa prétendue armée.


L’homme-démon lâcherait alors le Lawrence qui aurait du mal à se remettre de ce choc et l’ambiance se calmerait. S’asseyant alors sur la table qui servait de table de réunion jusqu’à lors, l’Atrax baillerait alors.

    - Vous parliez de quoi déjà ? J’espère que ça te dérange pas Parish que je crèche ici pendant un moment, Cocyte doit venir me chercher il est parti sur Calm Belt pour s’occuper d’une petite course que Tohil lui a confié.
    - Ce n’était qu’une simple réunion entre nous, on prévoyait l’avenir pour mieux servir les intérêts de l’Impératrice.
    - On doit tuer des prétentieux ? Parce que ça fait un moment que je ne me suis pas dégourdi les jambes, Carmilla elle a bien plus de travail que moi en ce moment, c’est devenu lassant…







Résumé : Si vous n'avez rien à ajouter ceci peut être votre dernier tour.

Grünt est lvl 45+

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Edward Lawrence
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Mer 4 Aoû - 23:33


Les armes de l'impératrice

Milieu 1507 ~ Holiday Island - Grand Line voie 3




« Oy, Norton. »
« J’ai essayé d’appliquer l’un de tes conseils, pour une fois. Mais comme je l’ai toujours dit, c’est vraiment une idée de merde. J’ai failli y passer, bordel. Qu’est-ce que tu aurais fait si ça avait été le cas ? Tu te serais retourné dans ta tombe après avoir eu tort ? Et moi, qu’aurais-je fait ensuite ? Qu’est-ce que ça m’aurait apporté, au final ? Je serais juste mort, comme une merde. Tu racontes vraiment que des conneries. »

« Oy, Norton. »
« Tu répètes sans cesse que le haki se renforce et évolue lorsqu’il est confronté à plus fort que lui. Un haki plus fort, porté au-delà de ses limites, hein ? Mais à quoi bon, si pour l’obtenir il faut être prêt à mourir ? »

« Oy Norton. »
« Ce qui ne te tue pas te rendra plus fort. C’est l’ineptie que tu n’as jamais cessé de me répéter. Tu as toujours nié t’être trompé, mais mes expériences continuent de le confirmer. »
[...]
« Ce qui ne me tue pas me rendra plus fort, mais ce qui me rendra plus fort peut aussi me tuer. »

« Oy Norton. »
« Qu’est-ce que la force et pourquoi cela devrait-il être aussi coûteux de l’obtenir ? À quoi sert-elle, au juste ? Mais je ne suis pas toi, je ne passerais pas toute ma vie à courir après ça. »

__________


Mon regard soutint celui du Génocide sans sourciller.

J’entendis sa colère résonner sans être persuadé d’en comprendre la source. Était-ce mon refus qui avait heurté son égo ? Ou bien était-ce vraiment mon royal qui l’avait fait vriller ?

Le royal, hein ? En quoi était-ce un problème pour lui ? L’avait-il perçu comme un manque de respect ? Peut-être aurait-il voulu que je lui lèche les bottes, comme Parish n’avait cessé de le faire. Mais étais-je un pirate ou une catin ?

Le royal, hein ? Peut-être était-il frustré de ne pas posséder ce que je venais d’afficher ? La marque des élus ne s’échoyait pas sur ceux qui n'avaient pas le potentiel de s’en montrer dignes.

Un manque de respect ? Il se fourvoyait, je n’avais pas l’intention de lui répondre coup sur coup. Le royal en était le symbole : je n’étais pas à leurs ordres à tous, mais uniquement aux ordres de ceux qui se trouvaient au-dessus de moi, qui m’étaient supérieurs. Pour le moment.

Et si j’avais accepté le poste, m’aurait-il également reproché de m’en prendre à ceux qui me seraient alors devenus inférieurs et auraient ainsi eu à répondre de leur manque de respect ?

Il n’existait pas un tel interdit au sein de cet Empire où régnait la loi du plus fort. Et s’il n’était évidemment pas une bonne idée de nous affaiblir entre nous, par leur rang équivalent et leur avantage du nombre, les deux officiers pirates étaient à même de contenir mes éventuels débordements.

Mais il avait été le seul à réagir.

Lui, l’Atrax.

Ce qui en disait déjà long et confirmait la tendance que j’avais échoué à instaurer définitivement, retardant ainsi l’inévitable, la criante vérité qui s’offrirait progressivement à mes deux collègues comme un aveu de leur impuissance.

À compter d’aujourd’hui, ils me seraient inférieurs. À part Grunt, il n’y personne ici capable de me stopper.  
Il entra subitement en action et instigua un coup de pression destiné à remettre de l’ordre dans ma tête.

Mon Haki de l’armement vint recouvrir la zone exposée afin de limiter la pression démentielle exercée sur ma boite crânienne et fut bien vite confronté à celui de l’expérimenté homme-démon.



L’instant aurait été fatidique. Il lui suffisait d’augmenter la pression et la frêle protection de Haki que j’éprouvais toutes les peines du monde à maintenir afin de donner l’illusion de résister aurait cédée, dans une explosion funeste. Une situation funestement propice à l’activation de ma malédiction qui essaierait elle aussi de me faire céder à la folie en tentant de prendre le dessus sur mon Armement qui agissait pour canaliser mes émotions et mes pulsions destructrices. Ma concentration et ma résolution furent rudement mises à l’épreuve. Quels dégâts auraient-ils été constatés dans cet ultime souffle meurtrier ? À quel point une telle éventualité pouvait-elle blesser un Atrax ?

Pourtant, en mon for intérieur, une certaine sérénité tempérait mes ardeurs, comme si mon être vibrait autour d’une même certitude, aussi aberrante et paradoxale fût-elle. « Il n’a pas l’intention de te tuer, mais il le fera si tu cèdes de nouveau à tes démons. »

Et puis, l’étreinte douloureuse se desserra.

Un pan de mon existence sembla se satisfaire de cette mésaventure pourtant périlleuse, comme si elle avait répondu favorablement aux attentes et aux prévisions qui y étaient attachées et résonneraient au loin tels les échos de mon âme.

« … pourtant tu l’as senti, n’est-ce pas… Grunt ? »


Quelques minces filets écarlates dégringolaient les pentes rocailleuses qui ceinturaient mon regard luisant d’une lueur sombre. Mes cordes vocales vibrèrent dans un insidieux mélange entre éreintement et malveillance.  

« Mon haki… si faible… et si limité. »


Il n’avait pas eu à forcer son talent pour l’outrepasser, peut-être même s’était-il donné du mal pour ne pas le restreindre dans un craquement funeste. C’était le facteur qui limitait mon potentiel et me contraignait à me satisfaire de ma position sans saveurs sur Paradise.

« Comment aurais-je pu accepter cette position avec des capacités aussi médiocres… ? Les Latrodectus… ne sont pas aussi faibles. »


Un rictus animé d’une douce folie s’insinua progressivement sur mes traits tandis que je démontrais une sagesse que peu d’officiers auraient pu affirmer s’ils s’étaient trouvés dans la même situation.

« Slay a peut-être voulu récompenser ma prétendue réussite, mais elle est collective, pas individuelle. Elle est due à ces hommes, là-bas, que tu as congédiés. Outre le fait d’assurer leurs arrières, ma mission était avant tout de ramener Pickles, mais j’ai échoué. Il y avait deux vice-amiraux : Tanaka et Machigan. Mais j’ai lâchement évité l’affrontement et j’ai renoncé à prendre ce qui nous revenait de droit. »


Mes yeux se froncèrent, comme ankylosés par une frustration latente.

« Accepter cette promotion reviendrait à insulter notre étendard. Et en tant que Loxoscelles, nous n’accepterions pas de suivre un Latrodectus illégitime, car lâche et faible. Autant revendiquer nous-même sa place. »


Le constat pouvait paraitre sombre, mais il était le reflet de cet équipage mu par la loi du plus fort : être promu dans une telle jungle n’était en rien une finalité, encore fallait-il être en mesure de s’affirmer à sa nouvelle fonction et être reconnu par ses pairs. Si des exploits retentissants permettaient de nuancer ce besoin, je n’étais clairement pas dans une situation semblable. Et bien évidemment, les Latrodectus ne se résumaient pas tous à leur valeur en tant que combattants d’élite : les exemples Cotehele et Lillith comptaient parmi les exceptions qui confirmaient cette règle. Mais là encore, j'étais bien loin d'avoir obtenu ne serait-ce qu'un quart de leur importance au sein de l'Empire.

Oh, bien sûr, ce discours et cette prise de position marquée pouvaient sembler téméraires, voire inconscients, vu le traitement que m’avait infligé Grunt quelques instants plus tôt. Pourtant, je voyais plutôt cela comme une affirmation de ma loyauté et la démonstration d’une sagesse qui serait peut-être appréciée. Au même titre que le caractère dont je faisais preuve en faisant étalage de mes convictions et de mon ambition au lieu de les taire et de m’affaler comme ces deux limaces qui se complaisaient à ramper aux pieds de l’Atrax sans jamais espérer progresser. Il resterait alors à savoir si Grunt allait apprécier cet état d’esprit, l’ignorer purement et simplement ou bien plutôt le déprécier.

« Sur ce, je m’en retourne à mes petites affaires. Merci pour l’accueil et à la prochaine. »


Conclurais-je alors, après avoir levé le voile sur les intentions qui avaient motivé mon refus. J’éteignis alors le brasier de cette colère froide qui s’était installée en mon for intérieur à mesure que j’avais dévoilé mes limites actuelles et saluai distraitement les têtes d’affiche de l’Empire d’Erika avant de prendre congé : cette réunion avait été relativement éreintante, mentalement.

Je me dirigerais alors vers la demeure de Parish, ramassant au passage un Eden Chapter inconscient que j’apposerais alors sur mon épaule avant de quitter les lieux.


__________




Ainsi, après m’être extirpé de la luxueuse bâtisse de Parish Milton qui avait bien failli finir en ruines, je redescendrais alors tranquillement vers les côtes, accompagné par Josh, Tucker Law et Zola Max s’il s’était décidé à nous suivre. Nous serions ensuite rejoints par Marorn qui avait fini sa mission depuis pas mal de temps et avait trainé paisiblement aux alentours, attendant notre retour. Ils se doutaient que quelque chose s’était produit entre Grunt et moi au silence dans lequel je m’étais réfugié.

En réalité, j’étais pensif, et je sondais les différentes possibilités qui découlaient de cette réunion finalement assez houleuse et décevante sur plusieurs points, tout en attendant le réveil du vieux Supernova que je ne comptais pas trimbaler indéfiniment et qui aurait droit, au même titre que les autres, à un débriefing puisqu’il deviendrait à compte de ce jour un Lieutenant de notre équipage.

Et puis, une fois qu’Eden Chapter serait revenu à lui, je tenterais de rassembler des mots afin d’articuler un discours plus ou moins clair censé synthétiser la réunion.

« Qu’importe ce que nous faisons… le monde de la piraterie est soumis à la loi du plus fort… Qu’importe ce que nous dirons… les idées et les stratégies ne font pas le poids face aux prouesses guerrières et autres exploits de guerre : nos armes, à leurs yeux, n’ont qu’une portée limitée… Nous n’arriverons probablement à rien, pour l’heure… »


Un constat résolument pessimiste amené par un pirate qui avait vu son investissement et ses prises de position se heurter à des murs. Las et démotivé, quelque part, ce qui sonnerait comme étrangement aux oreilles de mes compagnons d’infortune qui n’étaient pas habitués à me voir aussi peu fringuant.

« Ed. »


La voix de Josh se risqua à interrompre l’une des phrases de mon discours morcelé. Un Josh bien décidé lever le doute qui n’avait cessé de l’empoisonner durant une bonne partie de la visite.

« Tu mens depuis le début, n’est-ce pas… ? »


Le temps sembla se figer. Un air surpris viendrait corrompre l’âpreté de mes traits lorsque la question emplie de sagacité de celui qui avait été mon second me parviendrait. Je ne m’étais pas attendu à une telle intervention de sa part.

Un sourire intense viendrait redonner vie à un faciès qui se tordit dans une expression malfaisante, tandis que le brasier irait consumer tout ce qui entrerait dans son champ d’action.

« Oui… »


À quel point était-il parvenu à percer mes agissements ? À quel point était-il devenu conscient de la logique qui les guidait ? Sa question venait au moins confirmer qu’il avait commencé à dessiner un semblant d’explication rationnelle à mes actes : il avait enfin entamé sa métamorphose et pourrait aspirer à me comprendre. Et peut-être même un jour, à me seconder.

« Rien n’a changé. »


Lui répondrais-je alors que nous venions d’atteindre les quais, ce qui ne ferait conforter les informations qu’il était le seul ici à posséder.

Oui. Il comprendrait... il comprendrait que le plan était toujours d'actualité.

Puis, totalement revigoré par cette piqure de rappel savamment administrée par le médecin des Edward’s Pirates, je m’adresserais alors aux autres, dans des références qui leur seraient plus accessibles.

« Peu importe la voie sur laquelle le Log Pose du destin nous aiguillera, peu importe les tempêtes qui viendront entraver notre lancée : notre destination demeure la même et nous l’atteindrons quand le temps nous aura donné raison. Nous gagnerons nos combats avec ou sans nos poings. »


Je m’avancerais alors face à la mer et dresserais mon poing vers le ciel, dans un signe de défi.

« Naviguons ensemble jusqu’à atteindre notre but, emparons-nous de tout ce que nous convoitons et continuons de donner un sens au mot liberté ! Et lorsque nous aurons réussi, nous pourrons la contempler… »


Et, alors que le soleil déclinait dans une teinte rosée…

« La vue depuis le sommet. »


__________


« Oy Norton. »
« … Dis-moi comment l’obtenir, la force. »


__________








Résumé / Explications :

/

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Edward Lawrence
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Ven 27 Aoû - 15:26
Les Armes de l’Impératrice
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-J’t’ai déjà répondu… Si ça t’convient pas, vois ça toi-même.

La neutralité de sa voix résonnait avec l’absence que l’on percevait dans ses yeux.
Il était seul, dans une cabine exiguë, à la seule lumière chancelante d’une chandelle. Dans sa main gauche se trouvait un petit miroir en acier. Dans la droite, une petite boule de coton imbibé d’alcool venait tamponner la marque violacée qui enflait son visage de la pommette droite au menton. Chaque contact lui arrachait une grimace de souffrance. Sur la table centrale du Grand Hall, le den den mushi semblait pensif. De longues secondes passèrent avant qu’il ne prenne la parole, marquées par plusieurs grognements douloureux du vieil homme.

-Soit. Nous avons d’autres voies.

-Tu veux qu’je...

-Non. Il est encore trop tôt.

Le vieux supernova haussa les épaules. Ses traits ne laissaient que peu de doutes sur l’importance qu’il portait à tout cela. Pourtant, la tension qui parcourait ses mains squelettiques n’était pas due à la douleur seule.

-Et Lawrence?


___________________


« Ed… Tu mens depuis le début, n’est-ce pas ? »

Il leva un sourcil tuméfié, se tournant brièvement vers le médecin, puis vers son capitaine. Le rictus de l’explosif Nebula s’imprégna dans ses rétines.

Rien n’a changé.

Ce sourire, il le connaissait bien. On ne le contrefaisait pas. Durant sa vie précédente, il l’avait vu de nombreuses fois, sur de nombreux visages. Pour lui, il avait longtemps été synonyme de travail imminent. Il avait appris à s’en méfier, à l’appréhender. Aujourd’hui… Aujourd’hui, les choses étaient peut-être différentes. Les implications en étaient autres.

« Rejoins mon équipage, Eden Chapter. Ensemble, nous prendrons à ce monde tout ce qu’il y a à prendre. »


___________________


Un éclat de rire cristallin s’échappe entre les lèvres fines de l’adolescent. Ses yeux pétillants se détournent du barbu ventripotent qui glousse grassement en vidant sa flasque, bien trop fier de son trait d’humour subtil, pour se poser sur le port qui se dessine face à eux. Derrières les modestes bicoques, les montagnes le toisent.

Il n’en a cure. Il passe une fine main blanche dans ses cheveux de jais, tentant vainement d’y mettre un semblant d’ordre ; le vent et le sel en ont décidé autrement. Un sourire béat collé sur son visage, il gonfle ses poumons à saturation, inspirant une dernière fois l’air pur et iodé de l’océan. L’air de l’aventure. L’air de la liberté. Bientôt, celui qu’il respirera sera à nouveau chargé de terre, de tabac et de sueur de vieil homme. Cela ne l’inquiète guère ; il aura tôt fait de repartir. Ce n’est pas les proies qui manquent à Cantus.

La caravelle s’immobilise enfin le long du ponton de bois, marquant la fin de l’escapade. Sa carabine dans une main, un sac de jute lourdement rempli dans l’autre, il bondit par-dessus le bastingage, atterrissant sur le quai quelques mètres plus bas en une série de tintements métalliques. Sifflotant, il lance le sac à l’un des chasseurs venus les accueillir, qui s’empresse d’en inspecter le contenu avec une avidité pleinement assumée. D’un pas léger, il s’avance en direction de la petite ville… avant d’être arrêté par une épaisse paluche se posant fermement sur son épaule.

Quelqu’un retire sans sommation l’arme à feu de sa main, avant de la remplacer par un autre objet. Ses doigts se referment sur le manche de bois, tandis que ses yeux peinent à se détacher de la large tête métallique pour se lever vers l’intrus. La massive tavernière le fixe sans sourciller, une expression interdite figée sur le visage.

-Je suis désolée, petit.

Son regard plongé dans celui de la femme imposante, son sourire niais disparaît aussi vite que ses épaules s’affaissent. Sa tête fait mine de se secouer mollement, comme pour nier la funeste réalité. Pourtant, même elle n’y croit pas.

Tremblant légèrement, il se mord la lèvre inférieure, jusqu’à sentir un goût métallique s’épandre dans sa bouche. D’un geste brusque, il se retourne. Son regard se pose alors sur le navire qu’il vient de quitter.

Et par-delà, l’immense étendue bleutée, dont le bourdonnement sourd et constant lui semble à cet instant précis s’adresser directement à lui.

Pour lui faire ses adieux.


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-Shirorororororo...

Un ricanement rauque, secouant le torse cadavérique d’un vieillard qui, à son tour, leva le poing vers le ciel en un geste caricatural.

-Tous droit d’vant!

Ses côtes apparentes se secouèrent de plus belle, faisant part de son amusement, tandis que son bras se baissait.

-Allez gamin, t’emporte donc pas trop.

Ses traits se durcirent soudainement, son rire mourut dans sa gorge. Ses yeux se détournèrent du grand homme qui s’était embrasé dans une envolée sincère, se posant sur l’océan qui s’étendait derrière lui, et l’astre rougeoyant qui s’y reflétait.

-Tracer son destin ? Réclamer sa liberté ? Sois pas naïf, Eddy-boy.

Sa main fouilla sa poche, à la recherche d’une cigarette qu’il porta à ses lèvres sans quitter des yeux l’horizon incandescent. La lumière aveuglante du soleil couchant le forçait à plisser les paupières, et ferait danser devant ses pupilles des tâches claires longtemps après qu’il en ai détourné le regard.

-T’es un pirate, non ? Sois un pirate. Suis ta voie. Prends c’que tu veux prendre. Ecrase ceux qui s’dressent devant toi. Mais te berce pas d’illusions, p’tit gars. Le sommet, ça existe pas. Va pas t’imaginer qu’t’en auras fini un jour… Et surtout, va pas t’imaginer qu’personne viendra jamais tout t’reprendre.


Construire, c’est détruire. Cela valait pour tout le monde.


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-Et Lawrence?

Pour la première fois depuis le début de la conversation, les yeux incolores et inexpressifs du fossoyeur se posèrent sur le petit gastéropode qui le fixait d’un air interrogatif. Reposant le miroir, il passa sa main sur son front, saisissant au passage une mèche blanche rebelle pour la replaquer en arrière parmi ses congénères. Les commissures de ses lèvres se retroussèrent, presque imperceptiblement.

-Faut voir… Mais j’suis curieux.












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Hors les êtres crées d'éternelle substance,
Et moi je suis comme eux, car j'ai l'éternité,
Vous qui passez le seuil, laissez toute espérance."

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Lun 13 Sep - 21:59



Grünt, Le Génocide, primé à 970.000.000B


L’Atrax observait interloqué le jeune homme qu’il avait en estime. Il ne savait pas réellement comment cerner celui qui avait commis un massacre pareil. Il n’avait pas eu peur au moment d’exploser et de faire ce carnage lors de la guerre du Nouveau Monde mais il avait eu peur de deux ridicules vice-amiraux ? Il prétendait une réussite collective au lieu de parler d’une réussite tout court. Le Génocide venait de perdre les espoirs qu’il avait en lui, Edward Lawrence dans le futur. Si seulement ce côté couard du Lawrence pouvait disparaître, il pourrait devenir un véritable Dieu de la Destruction et remplacer cette place encore vacante du cinquième Atrax, la place qui était réservé à celui qui pourrait détruire le monde, la place d’une Incontrôlable soif de sang…

    - Tu as conscience de ta propre faiblesse. Je transmettrais le message que tu as fui, tu as peut-être peur de détruire en te souciant de la vie des autres mais si ils n’ont pas survécu à ta propre puissance seraient-ils vraiment digne à te suivre ?


Ce serait au final la dernière phrase que l’Atrax adresserait au Lawrence avant d’appeler une nouvelle fois Parish comme étant son esclave. Le pirate n’en avait que faire d’un fuyard, d’un lâche qui ne méritait pas les honneurs et les espoirs que d’autres portaient en lui. Il y aurait sûrement des personnes qui seront déçus là-bas à San Tulum du refus du Nebula. La vie reprendrait lentement mais sûrement son cours sur Holiday Island avant que la terre ne tremble d’une nouvelle cauchemardesque et catastrophique…

Non loin de l’île de Sweety Peaks sur une petite île bien discrète…

Alors que le vent soufflait assez fort et que la mer se déchaînait un homme se tenait sur cette petite barque qui semblait bien tenir à la tempête d’une rare violence qui faisait rage. L’homme portait un grand chapeau de paille et regardait l’horizon comme si il comprenait la colère des océans. Dégainant son sabre, il le faisait bouger au rythme des vents et des vagues et arrivait à se protéger d’un naufrage certain. Il avait après tout connu bien pire comme météo en partant du Nouveau Monde avec son embarcation si simpliste. Il repensait à sa discussion avec celui qui avait été autrefois son rival, plus rien n’était comme avant entre les deux hommes depuis ce jour. Le pirate primé à 440.000.000 berrys regardait sa prochaine destination sans dire un mot, son katana Enma entre les mains, ses yeux rouges qui perçaient alors le chaos. Le monde allait après tout entrer dans une période bien nébuleuse…


???


Sous la mer de Calm Belt aux alentours de l’île d’Isopa…

Le regard d’un vieillard était actuellement en train de juger le corps sans vie de l’ancien Latrodectus qui s’enfonçait dans les océans. Cocyte aurait rêvé de l’affronter et de le vaincre ne serait-ce qu’une seule fois mais cet homme-poisson avait été trop fort. Invaincu sur l’île des hommes-poissons, il avait quitté les fonds abyssaux depuis quelques semaines tout au plus et c’était retrouvé ici pour parler avec cette femme Yoko Ceresa. Cela était fâcheux, pensait-il, il devrait l’expliquer à son vieil ami mais aussi capitaine l’homme le plus fort du monde qu’une nouvelle alliance venait d’échouer mais qu’il avait trouvé un trésor de quoi permettre au Liga d’avoir une certaine tranquillité pendant un moment. Le Champion des Fonds Marins empoigna alors une jambe de celui qui avait été autrefois sous ses ordres dans la garde royale et commençait alors à nager en direction d’une destination inconnue. Il était inconnu du grand public mais bien connu chez les hommes-poissons, portant le Trident aux Milles Courants.  

    - Paradise me réserve bien des surprises on dirait.



???




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