Deux destins, deux vies qui jamais ne devraient se rencontrer, deux histoires liées par un même monde. Équilibre, conflit et liberté gouvernent cette terre. C'est dans ces temps que la destiné de ces deux hommes se mettra en marche... Hikari et Daisuke... Séparé par leur conviction, par leur vie et par leur passé, ils devront se mesurer, chacun de leur côté, aux défis que leur opposera ce monde...

Les cheveux flottants légèrement à cause de la brise qui venait vers lui, le jeune blond observait la mer calme qui s'étendait à perte de vue, face à lui. Le monde s'ouvrait à lui. Sa petite embarcation, une barque de quelques mètres de long suffisait pour dormir et conserver quelques nombreux fruits secs et un peu de viande presque avariée. Il se tenait sur l'avant de son fier navire, il regardait droit devant, cherchant à discerner une parcelle de terre à laquelle il pourrait accoster. Il était l'heure où le soleil commence à se coucher. Où sa lumière devient sanglante et brule les yeux. Il se devait d'observer dans cette direction, mais rien n'y faisait.
Plus tard, le soleil avait disparut, avec ses chances de trouver une ile où aller. Il s'était donc couché de tout son long sur le bois humide. Il avait les mains sous ses cheveux, s'en servant comme oreiller et il observait le ciel. Plusieurs nuages cachaient certaines zones, mais la plupart étaient éclairée par de magnifique étoiles étincelantes. La lune était en croissant et se trouvait bas dans le ciel. Il regarda cette splendide toile quelques temps, juste assez pour s'assoupir et fermer l’œil... Pour la nuit.

Le bruit des vagues frappant contre la coque et le crie des mouettes eurent vite fait de réveiller le jeune homme de son sommeil pas si profond que ça. Se relevant lentement pour se mettre assis sur sa barque, il eut la surprise de voir, à seulement trois ou quatre kilomètre, une immense ile. Le courant l'avait porté jusque là, dans la nuit. Quelle chance. Sans attendre, il sortit une rame, à moitié rongée par l'eau et pagaya deux fois à droite, puis deux fois à gauche, et ainsi de suite. Il avançait toujours un peu plus vite jusqu'à arriver à sa vitesse de croisière, il ne voulait pas se fatiguer de trop pour arriver sur cette ile.
Il arriva alors sur l'ile, moins d'une heure plus tard. Il prit une corde qu'il avait, il y avait pas mal de choses sur cette barque, tout de même. Il accrocha donc son bateau de fortune au port avec. Il s'étira, une fois debout sur le bois qui menait au village portuaire où il avait accosté. Dans un étirement, presque bestial, il regardait cette petite cité où tout semblait tranquille. Peut être qu'il trouverait ici, son bonheur. Libérant un sac d'une sorte de caisse en bois qu'il y avait encore dans la barque, il se leva une bonne fois pour toute et se dirigea en direction de cette ville. Le sac maintenant sur les épaules, il marchait fièrement.
Rapidement, il fut dans ce qui semblait être le centre du village. Les gens le saluait gaiment et même les enfants semblaient très respectueux, une chose rare qu'il ne voyait pas souvent. Un couple de personnes âgées passait son chemin à sens inverse et le saluèrent aussi. Il les arrêta et leur demanda s'il y avait un QG de la marine sur cette ile. L'homme, un peu tremblant, lui répondit, avec le sourire, qu'il fallait continuer un peu plus loin et tourner à droite. De là-bas, il n'aurait pas trop à chercher et il finirait par trouver. Les remerciant, le jeune blond commença à partir dans cette direction, mais le vieil homme interrompit, lui expliquant qu'il ne trouverait pas exactement ce qu'il recherchait.
Les saluant une dernière fois, au bout de la rue, le chercheur de QG de la marine tourna là où l'homme lui avait indiqué. D'ici, il ne pouvait pas le voir encore, il devait encore avancer, mais les dire du vieil homme l'intrigué. Il accéléra le pas et fut face à ce bâtiment. Délabré, en piteux état, abandonné, désaffecté... Cette bâtisse n'avait rien à voir avec le QG auquel s'attendait le jeune blond. Il s'étonna de voir l'insigne à la mouette sur le haut de la seule, et toute petite, porte qui menait à l'intérieur. "Hé bien Hé bien..." Fit-il, avant de se diriger vers cette entrée assez, extraordinaire.
Après avoir frappé trois fois et attrapé la poignet, il tourna pour la déverrouiller et tira dans sa direction. La porte grinça un peu et il entra. La pièce n'était pas du tout grande, elle devait faire environ quinze mètres carré et n'était composé que de trois chaises et d'une bureau qui prenait la plus grande place. La seule fenêtre qui permettait un éclairage la journée se trouvait derrière lui. Il y avait aussi une autre porte, qui menait on ne sait où. C'est de là qu'un homme sortit. Il était plus grand que celui qui venait d'entrer et portait l'uniforme des marines. Il était clairement plus âgés que le jeune. Les deux furent étonnés de voir l'autre. Le marine s'arrêta un moment, puis reprit sa marche, pour enfin s'assoir sur la chaise, derrière le bureau.
"Bienvenue... ici. Je suis Romario Ronald. Je suis Lieutenant dans la marine depuis déjà quelques années. Que puis-je pour toi ? Fit l'homme assis sur sa chaise.
Je suis venu pour entrer dans la marine. Je souhaite devenir un grand combattant, pour retrouver mon frère... Je m'appelle Daisuke Aurola !"

C'est ainsi que Daisuke rejoint la marine. La première impression que dégageait ce bâtiment ne l'en avait pas découragé. Il deviendrait marine. Voilà le début des aventures de ce jeune marine.

Voilà maintenant deux jours que Daisuke, le nouveau marine, a rejoins le gouvernement. Il travaille maintenant sous les ordres de Romario, sur l'île où il a débarqué. Cette ile n'a pas vraiment besoin d'être surveillé. C'est la garde régionalle qui avait le plus gros des troupes ici. Commandée par les villageois eux-même, le gouvernement mondial n'avait que très peu son mot à dire. Romario avait été muté ici pour une simple raison. Alors qu'il était très intelligent et qu'il était prometteur, il avait juste désobéi à un supérieur. Juste pour cette raison, il s'était fait exiler et donc avait perdu ses chances de rejoindre les hauts-gradé qu'il visait. Il était donc maintenant en charge de cette petite bourgade. Dans sa section, deux autres l'avaient suivi, deux personnes qui lui seront toujours fidèle. Ginta Ma et Eni Meni, marines avec des grades moins importants.

Justement, c'est aujourd'hui qu'il devait les rencontrer. Ils étaient partis dans un village alentour pour une mission de reconnaissance, la routine. Ils n'avaient, comme d'habitude, trouver rien d'inhabituel ou d'intéressant. Ils revenaient donc bredouille. Surpris tout les deux par la présence de Daisuke, les deux eurent des réactions diamétralement opposées. La fille sautait d'excitation alors que l'autre s'en foutait complètement. Lui posant tout un tas de question, Eni servait un café à tout le monde. L'autre, Ginta, s'était posé sur une des chaises et expliquait la situation à Romario. Comme d'habitude, il n'écoutait qu'à demi oreille, sachant déjà que l'expédition était un échec. Les légères piquent que balançaient Ginta, disant qu'ils feraient mieux de partir ou qu'ils auraient jamais dû être ici, le Lieutenant en avait l'habitude.
Sans vraiment l'ignorer, il continuait de boire son café, avec très peu de dextérité. En voyant ça, le nouveau marine, qui avait signé ses papiers officiels le matin-même, se leva. Il s'exprima sur sa volonté à devenir un grand marine et à retrouver son frère. L'enthousiasme de la jeune fille diminua, mais un sourire restait tout de même présent, lorsque Ginta se permit de dire à l'Aurola qu'il n'aurait aucune chance de réaliser ses "rêves pathétiques" s'il restait avec eux. Il ne disait pas ça pour être méchant, mais il disait la vérité trop durement pour son supérieur qui le réprimanda. Ceci fait, celui qui venait de parler quitta la salle, trop énerver d'avoir marché des heures pour rien. Il ouvrit la porte, s'excusa et partit, laissant les trois autres, dans un silence pesant.
Daisuke au centre de la salle ne savait pas quoi dire. Romario lui expliqua alors ce qu'il se passe réellement au sein de leur groupe. Les trois s'étaient retrouvé dans cette situation à cause d'un supérieur peu scrupuleux qui avait demandé au lieutenant de faire une chose illégale, ce qu'il avait refusé. Il était passé très prêt du blâme lorsqu'il voulu le rapporter aux supérieur de cet homme. Ils furent muté sur cette ile, où ils ne pouvaient plus rien faire. Ginta avait proposé, à plusieurs reprises, de quitter cette ile et de rejoindre un des QG principal, à la frontière de Grand Line, mais Romario n'y arrivait pas. Il ne voulait pas être remercier, ou pire, les faire congédier eux aussi. Il n'arriverait pas à se le pardonner. Lorsqu'il eut enfin fini d'expliquer la situation au nouvel arrivant, il lui dit ces mots :

"Je pense que Ginta a raison. Ce n'est pas ici que tu arriveras à monter dans les échelons et encore moins à retrouver ton frère. Il te faut partir... C'est la seule solution."

S’asseyant à son tour, Daisuke se mit à réfléchir. Il avait porté ses mains sur le visage et regardait le sol. Il attendait qu'une réponse vienne. Eni, elle, s'était relevée encore une fois et servait une nouvelle tasse de café à son ami. Elle reposa la cafetière et se dirigea dehors, à son tour. "Je reviens" avait-elle dit, lorsqu'elle ferma la porte derrière elle. Plus loin dans la ville, Ginta marchait. Il regardait les nuages tout en réfléchissant lui aussi. Il râlait de voir la personne qu'il considérait plus comme un père que comme un supérieur être aussi lâche. Il voulait aussi quitter cette île. Et pour toujours.

"J'ai une idée ! Avait hurlé Daisuke. Nous n'avons qu'à quitter l'ile, tous ensemble. Si je dois rejoindre un autre QG, il me faut un navire. Et ce n'est pas avec ma petite barque que je vais y arriver. Alors que vous, vous avez un bateau, n'est ce pas ? Vous n'avez qu'à dire que vous m'emmenez. Nous trouverons ensuite, une solution. Mais je suis sur que là-bas, il y aura des gens qui seront de notre côté. Allez, c'est décider... Nous partons de cette ile trop paisible !"

Structure parfaitement parallèle, bois de très bonne qualité, coque arrondie et flambant neuve, le bateau amaré non loin de la barque du nouveau marine était splendide. Il flottait dans le port depuis plusieurs mois déjà. Il avait pris la poussière. Il était tout de même resplendissant. Pas très grand, il pouvait être manoeuvrait par moins d'une demi-douzaine de marin. Les vagues le faisaient tanguer. Le leger vent faisait bouger les cordes qui tenaient les voiles solides. En haut d'elles se trouvait le drapeau de la marine, volant au grès de la brise du matin.
Respirant cet air, les deux marines allaient voir cette petite goellette. Daisuke avait réussi à persuader son supérieur. Ils parlaient tout en marchant. Le lieutenant racontait une de ses histoires. Comme celle qui lui avait fait rencontrer Ginta et Eni. Une histoire passionnante, mais ce n'est pas le but de cet écrit – Enfin, pour le moment. En marchant, ils rencontrèrent plusieurs villageois, qui les saluèrent bien gentilment, mais cette gentillesse semblait feinte. Ce genre de comportement, le nouveau marine ne les aimait pas. Cette ile, trop paisible, lui plaisait de moins en moins. Il fallait qu'ils partent. Ils arrivaient bientôt au bateau.

Revenons sur le sujet de Ginta. Il avait quitté le "QG" un peu plus tôt et s'était baladé, très en colère, dans la ville. La jeune Eni, qui le connaissait mieux que quiconque, le rejoint. Elle le connaissait si bien qu'elle savait où il allait se trouver, et quand. Faisant semblant de ne pas la voir, il continuait de marcher dans les rues, vides, du quartier nord ; et lorsqu'elle lui parla, il l'ignora. Cette situation demeura un moment, jusqu'à ce qu'il laissa exploser sa colère.
–Je ne le comprends pas ! Il ne voit pas qu'il est en train de pourrir sur cette ile ?! S'il ne se décide pas à partir, j'irais sans lui ! Tant pis ! Je ne peux pas accepter cette situation... Non... Je ne peux pas...
À ces mots, il fondit en larme, dans les bras de son amie. Elle s'était rapprochée lentement, mais sûrement. Elle le consolait chaque fois qu'il en avait besoin. Ce n'est pas qu'il soit émotif, mais comme il le dit, il ne peut supporter cette situation. « Je sais » avait-elle rajoutée, dans un léger murmure...

Allons maintenant sur le bateau, où les deux autres membres du futur équipage sont arrivés. Après exclamations et autre « Wahou » de Daisuke, Romario pu enfin en placer une. Il expliqua brièvement que c'était Eni qui l'avait construit.
–Tu aurais du la voir lorsqu'elle me l'a montrée la première fois. «Cette petite goélette était tout à fait capable de supporter la route de tout les périls» qu'elle a dit. Et crois-la si tu veux, mais je suis certain qu'elle dit vrai. Tu as vu comme elle est "parfaite" ? Dommage qu'elle n'ai jamais pris la mer...
–C'est le moment où jamais alors ! Prévenons Ginta et Eni et partons. Enfin... Est ce qu'on peut partir, que tous les quatre ?
–Je ne sais pas...
Après ça, l'atmosphère pleine de rêves se transforma, les laissant dans une légère dépression. Se demandant que faire... Et c'est la voix de Eni qui les réveilla de cette transe. Elle les avait entendue et s'était écrié « Bien sûr qu'on le peut ! ». Daisuke se releva, le sourire aux lèvres, pressé de partir.
–On part vraiment ? Avait demandé le jeune Ginta.
Romario acquiesca d'un large sourire, comme pour concurencer le jeune blond. « Nous partons dès que tous les préparatifs seront prêts. » avait-il ajouté.
Les préparatifs n'étaient pas très nombreux. Juste remplir le bateau des provisions nécessaires, ranger la pièce qui leur servait de QG et c'était tout. Vraiment rien ne les retenait sur cette "paisible" (vous remarquerez, plus tard dans le récit, que cette ile n'était pas si paisible que ça. Enfin, si je pense à revenir dessus, hein !) ile.

Voiles tirées, ancre levée et drapeau flottant, le navire marine quittait enfin cette maudite ile trop calme. L'horizon comme seul repère, Daisuke s'était posté sur la vigie, observant tout autour de lui. Rien ne laisser prévoir telle aventure...

« Si je devais faire tout ce qu'il me disait, je serais mort depuis bien longtemps, tu sais. Je fais donc ce qui est nécessaire quand je dois le faire.
- Tu désobéis au boss ? Fit le jeune, étonné.
- Oui, mais c'est dans mon intérêt, et le sien aussi. Continua l'homme à la grosse carrure. »
Il fumait de gros cigare et les deux se trouvaient au bord du bastingage. Ils observaient l'horizon et c'est sans intérêt qu'ils virent la petite barque approchée d'eux, lentement. « Va le prévenir. Sortit l'homme aux cheveux gris. Dis lui qu'on a un invité. »
Le jeune s'éloigna rapidement et s'évapora dans le large pont du bateau... Ils se trouvaient au large des îles du nord de West Blue. Presque à la frontière avec la mer de North Blue. L'équipage entier se demandait ce que faisait leur chef, dans une partie de ce monde. Alors qu'il était l'un des plus grand forbans de Grand Line, venir dans ce coin paumé n'était pas dans ses habitudes. Cet homme n'était plus très jeune, mais était extrêmement respecté par les membres de son organisation, de sa famille comme il dit. Cet homme porte une moustache assez longue et blanche comme la neige. Elle se confond souvent avec ses cheveux et on peut déceler par endroit des cicatrices. Elles ne sont pas énormes, mais nombreuses. Certains disent que c'est dû à des tortures, d'autres que c'est des balles qu'il arrêtait au dernier moment, faisant croire à ses ennemis qu'il s'était fait abattre, mais peu de personne connaissait la vérité.
Il était sorti rapidement et avait rejoins l'homme à la carrure imposante et vit la barque qui approchait. Il souri alors, mais on ne pouvait pas le voir. Il se dirigea alors vers le centre du pont et prévint les hommes sous son commandement qu'une personne importante allait arriver et qu'ils devaient tous se diriger dans les cales. Personne ne devait remonter tant qu'il n'en aurait pas donner l'ordre. Les hommes obéirent instantanément et se dirigèrent tous à l'intérieur du bateau. Certains se dirigèrent dans la salle aux canons pour observer par les trous qui permettaient de les faire sortir, pour voir qui approchait, mais c'était impossible, une sorte de voile entourait alors le bateau et seul ceux sur le pont pouvait voir l'océan. Sur le pont, il restait alors que quelques hommes. Le duo du début, l'homme à la barbe et deux autres hommes. Soudain, la barque bougea fortement et rentra un peu dans l'eau. « Il arrive. Fit le corpulent. »
Un instant plus tard, le bateau lui-même se mit à bouger sous le choc. L'homme avait sauté de la barque, située à plus de cent mètres de là. Sa cape et son large chapeau le camouflait de tous et on pouvait à peine apercevoir son visage lorsqu'il se relevait. Il souriait tel un démon et apparaissait comme tel aux yeux du jeune homme présent sur le bateau. « Bienvenue sur notre bateau, Erike Sento. Heureux de faire votre connaissance.
- Tout le plaisir est pour moi, monsieur Fullbuster. On peut commencer, je suis pressé... »
Après de brèves présentations, les deux hommes parlèrent business et le mercenaire venait rendre compte d'une de sa dernière mission aux services de cette grande famille. Il avait réussi, seul, là où une milice entière avait échoué et venait réclamer son dû. La mallette qui glissa sur la table jusqu'à lui était rempli de billet. Il devait y avoir plus ou moins cent millions de berrys à l'intérieur. « Et bien, ce sera tout pour moi. Je vais donc vous laisser.
- Attendez. Nous aurions besoin de vos services pour une autre mission. Elle requiert quelqu'un de bien plus puissant qu'une simple milice. Si vous vous sentez prêt à vous battre contre un seul homme, capable, tout comme vous, de battre des dizaines d'hommes, cette mission est faite pour vous.
- Dites m'en plus, je vous prie.
- Cet homme s'appelle Hikari D. Kitamura. C'est un homme très puissant et il est très dangereux pour les affaires, si vous comprenez ce que je veux dire.
- Un D, rien de moins. C'est intéressant. Je n'en avais jamais combattu avant. Je le trouverais et l'abattrais, si tel est votre souhait. Je vous laisse donc. »
Il disparut presque aussitôt, mais il fallait lever les yeux pour le suivre du regard. Il sauta et atterrit un peu plus loin, sur sa barque.

L'homme tant convoité se trouvait sur une île pas très loin, mais il fallait faire quelques jours de voyage pour y parvenir en barque. Le mercenaire ne tarderait pas à le trouver et lorsque ce serait fait, le sang coulera...