C'était par une journée de pluie que je me trouvais chez moi a ne rien faire, comme d'habitude.. J'étais allongé sur mon lit fixant le plafond d'un air pensif. La question a laquelle je songeai était « Pourquoi je m'en suis sorti et pas elle..? » Pourquoi était-ce elle qui fut enlevée et pas moi ? Je n'en pouvais plus, il fallait que je sorte dehors pour me changer les idées. Je pris alors ma chemise noire et sorti en prenant soin de fermer la porte derrière moi. Me retrouvant donc dehors, je pris l'initiative de me promener car n'ayant rien d'autre à faire, autant trouver quelque chose. Cela faisait plus d'une heure que je me promenais sous la pluie, je commençais dors et déjà a en goûté les conséquences, je ne cessais d'éternuer, en même temps quelle idée de sortir dehors par temps de pluie avec une simple chemise.

- Suzaku ? C'est toi ?!

Je me retournais et vis un homme qui ne cessait pas de répéter cette phrase en boucle. Qu'est-ce qu'il voulait ? Il s'approchait de plus en plus vers moi.. Était-ce à moi qu'il parlait ? Nan, ça devait être une erreur. Il devait me confondre avec quelqu'un, mais le problème c'est qu'il n'y avais personne d'autre dans la rue

- Alors tu es en vie ! Non non ce n'est pas possible ! Je t'ai vu mourir devant mes yeux ! Impossible ! Impossible !
- Je ne sais pas de qui tu parles, mais en tout cas tu te trompe de personne

Ce mec me faisait de plus en plus peur il s'approchait de moi, toujours en disant que c'est impossible que ce soit moi et plein d'autre chose incompréhensible, je me remis alors en chemin. Y'as quand même des gens tarés ici.. j'avais a peine fais trois pas, qu'une volée de poignards me foncèrent dessus ! Je n'eus le temps d'en esquiver que deux, les autres vinrent se planter dans mon bras, je poussait alors un cri de douleur, c’était quoi son problème a ce type ?!

- Je sais que c'est toi ! HAHAHA ! Tu dois t'être réincarné en esprit errant ! HAHAHA ! Je vais te tuer une seconde fois !

Il repris aussitôt une dizaine de poignards qu'il me lança aussitôt cette fois ci j'en esquivait six, les autres se plantèrent a différents endroit de mon dos, Je ne pouvais pas le combattre dans des ruelles ça équivaudrais a mourir bêtement, je me mis alors a courir dans les ruelles pour tenter de le semer, mais je commençait a perdre beaucoup trop de sang. Faut dire qu'aussi ça l'aidait a me suivre, toutes ces taches de sang au sol, ça faisait limite un chemin disant «  Coucou, Je suis par là » Plutôt pas discret pour une fuite, Je revis une volée de poignards me frôler la tête

- Te voilà ! Laisse toi faire !
- Mais lâche moi sale taré !

Je ne pouvais rien faire dans mon état actuel les ruelles n’était pas mon terrain de jeu favori il fallait que je sorte de la ville ! Oui c'est ça ! Il me fallait un terrain ouvert ! Mais pourrais-je y arriver a temps ? C’était ça ma question, avec mon sang qui se vidait peu a peu, et l'autre taré qui me jetais sans cesse des poignards c’était un peux tendu pour moi, je devais faire vite sinon, je donnais pas cher de ma peau !

- Hé Tête d'enclume ! Essaie de m'attraper !

Je me dirigeais vers la sortie de la ville c’était ma seule chance de gagner.. Ou de crever selon la situation suivante, toujours en manquant de prendre des volées de poignards dans la face nous arrivions enfin au la zone a découvert que je souhaitait tant

- Bon, maintenant tu vas me dire ce que tu me veux !
- Suzaku ! Je vais te tuer une seconde fois pour que tu puisse reposer en paix ! HAHAHAHA !

Il fonça sur moi avec trois couteau dont un qu'il m'avais lancer au préalable, j'avais de plus en plus mal a la jambe suite au impact de ses couteau je me mis en garde alors qu'il était presque a mon niveau. Je lui décrochais un coup de poing dans les cotes ce qui lui fit cracher des gouttelettes de sang, je le vis reculer tout en rigolant

- HAHAHAH ! Touché !

En effet ce salop m'avait encore touché avec son putain de poignard, c’était critique je ne sentais plus mon bras gauche, il ne me restait plus que mon bras droit de fonctionnel. Je n'avais désormais plus de temps a perdre

- Bon, je t'avoue que je ne sais pas qui tu est, et j'en ai plutôt rien a foutre mais là crois pas que tu vas t'en tirer comme ça !

Je m'élançait vers lui déterminé plus que jamais a en finir avec ce type, au moment ou j’étais a sa portée je lui décrochais le coup de poing le plus violent que j'avais en réserve, si violent qu'il n'eut même pas le temps de se rendre compte que je l'avais frappé qu'il était déjà en train de voler quinze mètres plus loin

- J’espère que tu as ton compte ! J'ai pas plus de..temps...

Je n'eus même pas le temps de finir ma phrase que je m’évanouissais de fatigue

à suivre !