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| | Ven 1 Mar - 23:40 Un petit village, tranquille, avec une grande rue, au milieu de laquelle je descendais. Debout sur mon skate, un magnifique joint parfumé au Crystal à la bouche. Je souriais en slalomant approximativement entre les quelques passant présent. Qu’est-ce que je pouvais bien faire la ? J’en savais rien. Sa m’amusais. Tout en fumant je dansais sur mon skate en chantant.
Sa ne voulait rien dire, je m’en fichais. De toute façon la plupart des choses que je faisais ne voulait rien dire. Surtout quand j’étais entrain de fumer un produit quelconque. Je descendais donc la rue en chantant en même temps que ma petite abeille multicolore qui était apparu il y a peut et que personne ne pouvait voir. Cette abeille qui était sensé rester dans mon bureau. Ou alors s’en était une autre, en tout cas elle était apparue dans un petit nuage vert en criant « KIWWWIII ». Sur le coup j’en étais tombé par terre. Et j’y étais resté, écroulé de rire. Depuis je chantais avec elle. Et les gens me regardais bizarre ou parfois en souriant, me prenant pour une enfant qui s’amusait. Sauf que je n’étais pas d’ici et je n’étais pas une gamine. Absolument pas. Mon pied glissa sur le skate et je m’écroulais par terre sous les regards hallucinés des passants. Pleine de drogue, je ne sentis presque rien. Un Aie s’échappa de ma bouche sous la surprise alors que je glissais sur plusieurs mètres et m’écrasais contre un mur. Sonné, je ne bougeais plus.
Une baffe me réveilla. Pourquoi on me baffais encore ? j’ai rien fais moi ! j’ai le droit de faire du skate si j’veux ! Et le pire de tout c’est que c’était une vieille qui m’engueuler en me prenant pour une gamine de douze ans. Révoltant. J’avais dépassé la vingtaine et on me prenait encore pour une gamine c’était soulant. Mais le pire, c’est que je savais malgré ma forte envie que je ne pouvais pas frapper la vieille tout simplement parce qu’elle me battrait sans problème. C’était désespérant. Sans l’écouter j’allais ramasser mon skate en titubant. Sa devenait dur mais je m’en remettrais rapidement. Du sang coulait de mon coude mais je m’en fichais. Tout ce que je voulais c’était partir d’ici. Je le ramassais en esquivant la vieille qui voulait m’attraper et m’éloignais en trottinant. Ouf j’allais être tranquille. Et la un poisson apparue. Enfin pas un poisson, un requin. Il apparue pas vraiment mais marchais vers moi. J’avais déjà parcourues un petit bout de chemin mais je pensais pas être déjà dans l’eau ! Je trottinais vers lui avec un grand sourire. Un requin ! On n’en voyait pas tout les jours.
Ba oui, un poisson c’est pas sensé être dehors. C’tait bizarre comme comportement sa. P’tête qu’il était malade ? Je le regardais et je pensais après que en faite il était peut-être pas gentil ? Tans pis trop tard. | | | | |
| | Lun 4 Mar - 20:39 Un requin? Pas normal ça ![PV Esmera Viend]Je parcourais les ruelles d'une ville de l'archipel Orgao. Le temps était radieux, la population ne semblait pas avoir été contrariée par un quelconque événement. Nous nous étions posés dans un bar à l'écoute de chaque conversation. Nous écoutions les moindres paroles des poivrots du bar. Toujours à la recherche d'emploi, d'une mission. Mais rien ne semblait bouger sur les eaux environnantes. Après avoir passé plusieurs heures à l'écoute des ragots du coin. Je continuais ma promenade dans les environs. Les ruelles étaient bondées de monde. Le requin devait jouer des coudes pour pouvoir s'imposer dans la foule. Dès que les gens sentaient le jeu de coude du carnivore. Ils se retournaient et prenaient peur en voyant le visage du poisson. C'est sûr que personne n'avait l'habitude de voir, d'un homme-poisson et de deux une homme-poisson de la race des requins blancs. Le physique du poisson-pané ne facilitait pas son intégration.
Tout à coup, la foule semblait s'agiter. Une gamine venait de chuter du haut de sa planche à roulette. Elle semblait excitée et pas dans un état normal. Une vieille dame qu'elle venait de bousculer, haussa la voix et la traita de gamine. Ce qui se lut sur le visage de la jeune fille. Elle n'avait guère apprécié la remarque de la vielle. D'un côté, la femme à la peau fripée avait totalement raison. La gamine arrivait à toute allure avec son engin et percuta la personne âgée de plein fouet ce qui fit tomber ses provisions et parsema son joli bouquet de fleurs, qu'elle venait de composer. Les jeunes de nos jours... C'est plus ce que c'était...
La foule reprit son allure normale. Le requin restait immobile et attentif à l’égard de la grand-mère. Au cas où, elle aurait besoin d’une aide quelconque. Mais le regard du requin se posait sur la gamine, elle gueulait des mots étranges. Elle chantonnait : « tititit les p’tit kiwi tititit les p’tit kiwi… ». Elle semblait shootée. Je ne comprenais pas ce qui se passait dans sa tête. Mais en tout cas elle passait pour une droguée aux vues de tous ces gens.
Au bout d'un certain temps, la scène devenait ennuyante à regarder la fille venait de se donner en public. Cela avait amené mon attention vers elle. Mais maintenant que le spectacle était fini. Je partais dans les ruelles qui s'offraient à moi. Je quittais des yeux ; la gamine. Jango marchait à une allure normale de façon à bien visualiser le décor aux alentours. Nous rentions bredouilles, sans aucun travail, aucun emploi ne c'était ouvert à nous. Au bout de secondes de marches, la jeune fille qui s'était montrée en public d'une façon pas très exhaustive ; m'interpella : « Coucou Mr le requin comment vous faites pour être dehors ? ». Sa façon de s'exprimer me choqua. Je lui aurais donné une vingtaine d'années, grosso-modo. Mais là dans sa façon de s'exprimer, on aurait dit une gamine de cinq ans. De plus, la question semblait tellement stupide. Mais c'est vrai que l'on ne croise pas d'homme-poisson tous les jours. Par signe de politesse, le requin dit : « Je ne suis pas un poisson à part entière, je suis un homme-poisson. Je peux vivre à la surface comme dans l'eau. Mais mon terrain de prédilection c'est bien évidemment l'eau ». J'étais embarrassé parce qu'elle ne semblait pas vouloir partir et je n'avais aucune envie de parler plus longtemps avec un ados. Elle commençait à me courir sur le haricot celle-là. Je ne savais pas ce qu'elle me voulait. Je fis une tentative de séparation, pour qu'elle me lâche définitivement : « Au revoir petite ! ». Le requin fit un quart de tour. La gamine était dans son dos. Sa planche à roulette dans les mains, le coude ensanglanté. Un regard de chien battu. J'avançais dans les rues de la ville, seul à la recherche d'un emploi.
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| | Lun 4 Mar - 21:50 Il me répondit gentiment. Ainsi il était un homme poisson, effectivement on n’en vois pas tout les jours et si j’en avais déjà rencontré un auparavant cela n’avait pas du être important. Ou alors il était pas pareil. En tout cas lui était impressionnant et j’étais sur qu’il n’était pas non plus le plus doux des agneaux. Je ne bougeais pas et il tenta de partir. Je sentais bien qu’il ne comprenait pas pourquoi j’étais venu le voir. Mais ce n’était pas l’important. Il me dit au revoir, mais ce qui m’agaça fus le petite. Oui je l’étais mais ce n’était pas une raison pour me le faire remarquer tout le temps. Déjà que la vieille m’avais prise pour une gamine. Désormais j’étais sur que lui c’était pareil. Mais néanmoins il avait l’air de s’emmerder grave. A j’aime cette expression. Que ce soit la phrase ou comment sont les gens dans les deux cas cela m’ai profitable. Oui, quelqu’un qui s’emmerde peut toujours prendre des informations et c’est la que j’entrais en scène. Il était a trois mètre de moi, je courus vers lui laissant tomber mon skate et sautais sur son dos. J’atterris a l’arrache m’accrochant avec peine. Qu’il était grand.
| - Je suis pas petite ni gamine et toi ta l’air de t’emmerder grave, tu rechercherais pas quelque chose par hasard ?
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Voilà, c’était lancé, d'une voix sérieuse d'adulte, maintenant il ne restait plus qu’à attendre sa réaction. Bon c’était un requin sa risquait de faire mal. Mais bon si s’y ennuyais ça aller l’occuper un peu. Et moi aussi. C’est tellement amusant d’embêter les gens en faisant n’importe quoi. Et en fonction de sa force il pourrait peut-être s’occuper de quelque chose d’intéressant. Oui, j’avais appris dans la précédente île oui je me trouvais une chose qui me plaisais très peu. Et si quelqu’un pouvait s’en occuper pour moi ce serait génial. Ba oui, je suis pas une combattant moi. En plus j’avais oublié mon étoile comme une débile sur le bateau. Heureusement que je repartais avec le même bateau dans quelque jours sinon c’était fini. Il faisait beau, les gens marchait tranquille et j’étais sur le dos d’un requin. Quoi d emieux en ce bas monde ?
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| | Mar 5 Mar - 9:17 Un requin? Pas normal ça ![PV Esmera Viend]Je venais de dire au revoir à la jeune fille. Qui semblait avoir très mal pris ma remarque sur le fait qu'elle était une gamine. Cela n'avait rien de méchant au contraire, comme je ne savais pas situer son jeune âge. Je préférais être prudent et la citer comme une adolescente. Elle prétendait être une adulte. Je n'étais obligé d'acquiescer ce qu'elle pensait, sinon elle allait être vexée. Je pouvais la confondre. C'est vrai, qu'en la regardant bien. Elle renvoyait plus à une adulte qu'à une simple gamine. Mais le teint de sa peau qui lui donnait une allure de jeune donzelle. Cette petite taille renforçait le fait qu'elle soit une jeune fille. Sans parler de sa poitrine. La jeune fille qui venait de m'interpeller, était un adulte qui venait d'atteindre la majorité tout au plus.
Elle venait de quitter le champ de vision du poisson. J'entendis derrière moi des pas, comme si la personne accélérait le pas. Je ne pensais en aucun cas que ce soit la fille du fait que je venais de la rembarrer sur son âge. Peut-être que quelqu'un voulait essayer de me tuer sur cette île. Les pas se rapprochaient de plus en plus. Puis une étreinte me choppa par derrière et la même petite voix retentit : « Je ne suis pas petite ni gamine et toi tu as l'air de t'emmerder grave, tu ne rechercherais pas quelque chose par hasard ? » C'était encore elle, c'est vrai que cela faisait extrêmement bizarre de se sentir considérer. La jeune fille ne semblait en aucun cas apeurée par la laideur du poisson. La peau rocailleuse du poisson ne semblait pas la déranger. Elle venait de s'agripper comme un singe sur le dos du poisson. Sa poitrine s'écrasait sur le dos du carnivore. Du haut de mon aquarium, je pouvais décerner la forme de ses roploplos. Cela devenait extrêmement gênant !
D'un côté, pourquoi ne pas sympathiser avec cette jeune fille. Elle semblait vouloir nous raconter plein de choses. Peut-être qu'elle pouvait nous renseigner sur de certaines rumeurs qui font surfaces ces temps-ci, dans les alentours. Mais je ne voyais pas bien ce qu'une gamine d'une vingtaine d'année pouvait nous donner comme information. Si peut-être comment cuire un œuf à la coque ou comment éviter de faire des nœuds dans ses cheveux après un shampoing ; je rigole bien évidemment. Mais cela semblait improbable qu'elle puisse nous tendre un emploi. Le poisson pané offensé, par la montée de l'adolescente sur son dos. Il l'a saisi de son bras bionique pour la ramener devant son champ de vision. Il la portait à bout de bras par le col de son t-shirt. Toute douceur, il déposa la fille sur le sol et engagea la conversation de son plein gré. Il souffla à la jeune fille de sa voix rauque : « Tu me parais bien curieuse, pour te dire je recherche du travail, je recherche un employeur qui pourrait traîner dans les parages. Mais ce n'est pas le cas aujourd'hui. Et toi que fais-tu de ta journée ? Tu me sembles un peu perdue ? Tu travailles toi ? » L'homme-poisson venait d'engager une conversation seul. Ceci n'était pas arrivé depuis de longue année. D'habitude, il suit mes directives et les écoutent et les exécutent.
La jeune fille semblait extrêmement bavarde, elle avait un sacré débit de paroles. Je soufflais alors dans l'oreille du poisson d'inviter la jeune fille à boire une grenadine sur la terrasse du bar le plus proche. De cette façon, la dame pourrait parler de sa vie. Nous raconter un peu ce qu'elle fait et moi aussi. Cela allait décontracter la bête, cela ne lui ferait pas de mal.
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| | Mar 5 Mar - 19:11 J‘étais accroché à son dos. Sa peaux était bizarre mais ça ne me dérangeais pas. J’avais déjà eu pire. Le contacte du carrelage sur les plaies fraiches est bien pire. Je restais accrocher a lui jusqu’au moment ou d’une main il m’attrapa par le col de mon tee-shirt et me décrocha. Je ne pus même pas résister et je me retrouvais devant lui suspendue au dessus du sol et retenus par mes vêtements. Position peut confortable je devais l’admettre mais au moins il ne me mangeait pas. Pas encore. Le souci était de respirer, c’était beaucoup plus difficile comme sa même si mon gilet était confortable. Des gouttes de sang tombaient par terre et il finit par me reposer sur le sol. Et il ne m’avait toujours pas mangé ! Ça c’était un bon requin comme je les aimais ! Il me regardait bizarrement. Bon c’était un requin donc le regard et forcément bizarre pour quelqu’un comme moi. Surtout que les effets du Crystal étaient encore en moi. Même si ma chute en skate m’avait bien remis les idées en place. Il parla d’une voix rauque. On aurait dit qu’il sortait tout droit des cavernes des profondeurs et je faillis éclater de rire. Faillit. Fallait pas que j’abuse avec lui non plus surtout que ce qu’il disait était plutôt intéressant. Ainsi il cherchait un emploie mais bien entendue il ne précisa pas qu’elle genre d’emploie en dehors du faite qu’il n’y avait rien ici. Et vue comme c’était calme dans ce coin la peut-être cherchait-il un peu d’action. Et les questions qu’il me posa étaient elles aussi intéressante. Oui qu’est-ce que je pouvais bien faire. Je répondis franchement en allant chercher mon skate.
| -Moi ? je me balade. Donc oui la je suis entrain de travailler. En faite je travaille toujours plus ou moins.
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Je ramassais mon skate tranquillement, ma voix était calme, pour le moment je n’étais pas précise sur ce que je faisais. Mais il était fort, j’hésitais un peu à lui dire que je pouvais lui donner des indications pour trouver un boulot. Surtout que ce serait payant. Je me tournais à nouveaux vers lui.
| -Pour être précis je suis une pute. Et je vends des informations sur un peu tout ce qui ce passe. Sa rapporte bien mais je travail tout le temps du coup.
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Et voilà c’était dit maintenant je verrais bien si il était intéressais par l’un ou par l’autre. Je ne l’avais encore jamais fais avec un homme poisson, sa c’était certain. Une expérience de plus dont je pourrais me vanter en rentrant chez moi. Et puis si c’était les informations je m’arrangerais ainsi pour garder contact avec lui et lui en vendre d’autre. Après tout, il faut toujours garder précieusement ses contacts. Sa rapporte toujours quelque chose.
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| | Mer 6 Mar - 11:17 Un requin? Pas normal ça ![PV Esmera Viend]Elle ne semblait pas tentée pour boire un verre avec moi. Mais avant qu'elle ne puisse me donner sa réponse. Elle embrailla sur un autre sujet. Elle semblait moins enfant qu'elle ne le faisait sentir. Elle avait l'air d'être de la région. Elle me parlait à moitié affaire. Jusqu'à qu'elle prenne la parole en disant :
« Moi ? Je me balade. Donc oui là je suis en train de travailler. En fait je travaille toujours plus ou moins ».
Quelle personne aurait un travail aussi posé. Vous avez déjà vu une personne qui est payée à se balader dans la ville. Chez nous on appellerait ça ; un feignant. Mais quelque chose vint changer la donne sur son métier réel. Qui me choqua d'ailleurs. Elle rétorqua :
« Pour être précis je suis une pute. Et je vends des informations sur un peu tout ce qui se passe. Ça rapporte bien, mais je travaille tout le temps du coup. »
J'étais surpris, choqué, éberlué... Tous les synonymes du mot choqué. Qui aurait cru qu'une fille de cet âge pouvait exercer un tel métier. Mais dans quel monde vivons-nous. J'ai tout de suite insinué, le fait qu'elle voulait que Jango exerce avec elle une partie de jambes en l'air contre de l'argent. Mais ce n'était pas le genre de la bête. Dans son pays, les accouplements ne se passaient pas de la sorte. Il ne devait pas s'accoupler que pour produire une certaine progéniture. Le requin semblait gêné par l'annonce de la fille. Cela nous avait même mis mal à l'aise. Je n'avais même oublié la deuxième partie de sa phrase : « Et je vends des informations sur un peu tout ce qui se passe ». Elle nous avait tellement choqués avec ses propos. Je fis signe à Jango d'attaquer bille en tête pour changer de conversation. Je lui soufflai : « Tu dis que tu vends des informations ? De quels genres ? Sont-elles fiables ces informations ? ». Nous venions d'engager une conversation affaire. La journée n'aurait pas été un si gros fiasco, nous allions peut-être repartir avec un nouvel emploi. La jeune fille, du haut de son petit gabarit. Elle avait du cran quand même, elle n'avait pas eu peur de sauter sur le poisson. Elle avait pris un gros risque en le faisant. Le risque de se faire butter ou croquer par la bête. Mais aujourd'hui, le carnivore ne semblait pas agressif. Elle avait eu beaucoup de chance de son côté. De toute façon, nous allions écouter ses offres d'emploi, enfin d'informations comme elle l'avait si bien dit. Si ses sources sont mauvaises, c'est sûr que le poisson reviendrait pour la tuer. La bête déteste être menée en bourrique. La fillette se devait d'être claire, précise et honnête. Sinon elle aurait à faire plus tard à la colère d'un homme-poisson et ce n'est pas souvent très bon !
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| | Dim 10 Mar - 13:14 Il semblait choqué par ce que je venais de dire. S’en était presque mignon. Et oui, il y a de tout dans ce monde mais peu de gens s’en rende compte. Et encore il ne connaissait pas ma vie. Et oui, j’ai commencé ce boulot a l’âge de dix ans et à cet âge la je crois que j’aurais bien rigolé si j’avais dis a quelqu’un ce que j’exerçais comme métier. Mais bon, si me voyageais ce n’était pas pour me prostitué loin de la. Oui, à la limite pour pouvoir terminer mon voyage mais sinon j’avais mon emploie dans un lieu bien précis. Mais bon, si je voyageais c’était pour recruter et récolter des informations que je revendais par la suite. Mais tout cela ce n’était que des détails. Bien que ce genre de détail semblait intéresser notre poisson ici présent. Notre requin pardon. Oui, il y a une différence entre un poisson et un requin. L’un peut te tuer en un coup de dent et l’autre risque d’avoir un peu plus de mal avec sa mâchoire. Ainsi, il voulait savoir le genre de mes informations et si elles étaient fiables. Je souris. Ma journée n’était pas perdue, j’allais gagner un peu d ‘argent c’était déjà sa. Je souris légèrement et en posant mes deux mains derrière la tête de façon détendue je répondis.
| -Mes infos ? Elles sont en tout genre, de l’assassinat à la protection en passant simplement des techniques de combat d’une personne ou autres. Un peu de tout, tout m’intéresse et je revends tout. Et pour ce qui est de la fiabilité la plupart le son. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne peut y avoir d’erreur.
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Mon sourire s’élargit, oui, si elles n’étaient pas fiables la plupart du temps je serais morte depuis bien longtemps. Il n’était pas la première personne possédant une stature imposante pouvant tuer rapidement qui me demander des informations. Et j’avais rapidement appris à ne pas rouler les gens. Et oui, la mort ça ne me tente pas plus que sa. Bon après si je dois mourir tans pis mais bon. J’ai pas encore tout tester et j’aimerais bien pouvoir le faire avant de décéder plus ou moins violement. Je m’inclinais légèrement en souriant encore plus.
Il allait réfléchir, oui, et ainsi je connaitrais sa véritable nature, qui m’importais peut pour ce qui était des autres mais si il s’agissait d’un tueur il valait mieux prendre ses précaution. Mais bon, il m’avait laissé monter sur son dos donc il ne pouvait pas être bien méchant. Bien que les gens gentil peuvent aussi tuer sans aucun remord ceux qui ne leurs plaise pas.
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| | Dim 10 Mar - 14:56 Un requin? Pas normal ça ![PV Esmera Viend]La jeune fille accepta mon invitation. Nous nous installions sur la terrasse du bar le plus proche. La taverne avait l'air accueillant. Le rouge qui ornait la façade, s'accommodait parfaitement avec le blanc des carreaux de la terrasse. Des fleurs ornaient les alentours. Cela faisait très coquet. Je voulais savoir à quoi ressemblait le barman, où plutôt dans le cadre de vie que le bar donnait, la « barwomen ». Elle s'avança vers nous et nous demanda d'une voix très pulpeuse et sucrée. « Que désirait-vous ? ». En me retournant dans mon bocal. Je perçus la fille. La serveuse n'était pas celle que j'avais prétendue. Elle était d'une forme très ronde. Des petites jambes et un buste assez imposant. Sa voix lui donnait une allure chétive. Comme si, à la moindre secousse elle allait se briser !
Après avoir occulté la serveuse, Jango commanda un des meilleurs breuvages que le boudin pouvait nous servir, un verre de rhum. Ma donneuse d'informations prit un breuvage quelconque, je n'étais pas assez concentré pour entendre le nom de la boisson. Je soufflai au carnivore de relancer la conversation sur les informations qu'elle pouvait nous vendre. Il dit :« De quelles natures sont tes informations ? Quel secteur ? ». Je la regardais, elle avait tout de même un semblant de folle. Elle semblait regardait autour d'elle comme si tous les gens aux alentours lui parlaient. C'était assez étrange. Au bout de quelques secondes écoulées après l'intervention de Jango. Elle répondit : « Mes infos ? Elles sont en tout genre, de l'assassinat à la protection en passant simplement des techniques de combat d'une personne ou autres. Un peu de tout, tout m'intéresse et je revends tout. Et pour ce qui est de la fiabilité la plupart le sont. Ce qui ne veut pas dire qu'il ne peut y avoir d'erreur. »
Sa réplique sur une quelconque erreur sur la certitude des informations me mit dans le doute. Et puis de toute façon, si ses informations étaient fausses, je reviendrais la voir, lui faire une petite frayeur. Rien de bien méchant juste lui mettre les idées en place. Nous continuions à nous interroger avec le requin. Comme la fille voyait que, nous étions plus à l'écoute, elle relança : « Que choisit donc mon cher client ? ». Nous en étions enfin au fait, en tant que cerveau du duo moi le poisson-clown. Je ne savais vraiment pas quoi choisir. Il y avait tellement de choix. La fille, nous laissait dans l'embarra. En y pensant bien, je venais de faire deux travaux en tant que marchand illégal. Je venais de gagner une prime de huit millions de berrys. J'ai eu à faire un colonel sur Log Town. Je sentais qu'il fallait que les affaires nos affaires se calment l'histoire de ne pas avoir de grosses affiches à mes trousses. Je lui donnais mon avis par le biais de Jango. Il balbutia : « En tant que Mercenaire, je vous demande que vous me donniez une information sur une certaine personne demandant de l'aide à sa protection ou si vous n'avez pas, un assassinat ça pourrait être drôle. En fonction de ce que vous avez en stocke. Pour ce qui est du paiement... Mes moyens ne sont pas le plus avantageux. Je ne dispose que de mille berrys sur moi... »
J'étais embarrassé, mais j'attendais de voir sa réponse en attendant, je reprenais un verre de Rhum pour que l'ambiance devienne plus détendu. Dès qu'il est question d'argent. Cela tend tout de suite les choses. Je me concentrais sur la fille pour décerner le moindre mouvement qui pourrait paraître être une réponse ou un mouvement suspect. En tant que mercenaire, il faut toujours être sur ses gardes.
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| | Ven 15 Mar - 23:54 Je l’avais suivis jusqu’à un bar. Sans vraiment m’en rendre compte mais de toute façon ce n’était pas important. Sans doute faisait-il partit des gens qui préféré discuter autours d’un bon verre de rhum ou d’une chope de bière plutôt que debout dans la rue. Pour moi ce n’était pas important, tant que je récupérais l’argent tout m’allait. Je commandais un verre de bière et écouté sa réponse. Oui, je ne buvais jamais beaucoup d’alcool pendant le travail. Déjà que j’étais constamment allumé a cause des drogue alors si en plus j’étais bourré… Mes infos allé s’échapper de ma bouche et ça, ça il ne le fallait pas. C’est avec son choix que je pourrais savoir de qu’elle bois il été fait. Et oui, il fallait que je sache qu’elle type de personne été mon interlocuteur mais aussi jusqu’à qu’elle point il pouvait être dangereux.
Et sa réponse ne tarda pas. Ainsi il prenait de tout mais apparemment il fallait de l’action. Une chose que l’on trouve facilement en ce monde. Ainsi il était mercenaire. La plupart des gens étaient pirates pour une fois cela me changeais. De la protection, oui j’en avais, tout comme des assassinats. Plus ou moins pour le peuples ceux là d’ailleurs. Je buvais tranquillement ma bière en réfléchissant au fur et à mesure qu’il parlait. Oui, la mission de protection, j’en avais une toute récente, de ma précédente île et j’étais certaine que l’homme continuait de chercher. Les hommes fort sont rare et apparemment il été particulièrement menacé. Malheureusement, mon interlocuteur n’avait pas beaucoup d’argent. Je soupirais. Grand dilemme. Oui, il n’avait pas beaucoup d’argent mais puisqu’il serait recruté il en gagnerait à la fin de son travail. Si jamais il survivait. Il me donna l’argent et je l’empochais tranquillement avant de prendre la parole.
| -C’est sur l’île de Goa, un commerçant plutôt connue du nom de Rendieni cherche quelqu’un pour le protéger. Il doit aller à la ville de Shell afin de faire une rencontre commercial. Sauf que apparemment c’est pas bien vue par certaine personne et il est en danger de mort si il ose tenter de prendre un navire. Il embauche quelqu’un a 50 000 berry, nourrit loger et 80 000 berry si l’organisation est complètement détruite. A toi d’aller lui montrer tes compétences pour qu’il t’engage.
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Je terminais ma bière. Pour 1000 berry c’était les seul détails que je pouvais donner. Mais bon c’était le plus important. Je regardais le ciel, oui, il fallait que j’y aille au cas où je parviendrais a retrouver le capitaine. Oui, j’avais quelque chose à lui demander. Une prochaine destination pour être précise. Mais c’était autre chose. Je saluais le requin et lâchais.
| -Voilà, c’est tout ce que j’ai à dire avec l’argent que tu ma passé, si u a encore besoin de moi je serais au Royaume de Trader sur South Blue, cherche le magasin Night Love et demande Esmera Viend. J’ai toujours des informations pour des gens comme toi.
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Je souriais en posant mon skate par terre, montais dessus et poussais un coup sur le sol afin de me faire rouler doucement. Je m’éloignais tranquillement. Si jamais il voulait absolument me rattraper cela ne devrait pas être dur pour quelqu’un comme lui. Mais après, cela dépendait de lui.
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