Rôle-play Solo

Robin City 1

Jim avait dormi la nuit à la taverne du coin, pour replacer le contexte, la veille au soir, il avait interpelé un jeune homme quelque peu louche, mais il s'était enfui alors que le jeune marine fanfaronnait devant un groupe de civil. Donc pour récapituler, le soldat avait complétement foiré la capture d'une mine d'informations totalement précieuse pour la capture du dénommé Mirai Killik. Mais il était loin de se douter de l'avenir et du déroulement de cette fameuse journée qui lui vit quelques sous et les remerciement de pas mal de gens. Donc pour commencer cette petite péripétie, Jim s'extirpa hors du lit, afin de s’habiller, puis de se diriger vers le bar au rez-de-chaussé. Il commanda un verre de lait et deux boulettes de riz, oui les précisions sur son petit-déjeuner son importantes... Vous comprendrez plus tard. Bref, alors qu'il mangeait, un homme entra apeuré dans le bâtiment, il claqua la porte de l'entrée, comme dans chaque histoire dramatique, puis se mit à s'écrouler sur le plancher, comme dans chaque histoire tragique, il reprenait son souffle, car il avait du courir un petit moment afin de venir dans le seul bar de la ville ou un marine tel Jim était pour manger son petit-déjeuner.

"Un.... U-... " L'homme reprit son souffle avant de parler. " Robin a encore volé ! " s'exclama l'homme doté d'un visage mélancolique, son expression faciale montrait la gravité des actes de "Robin", alors Jim, vaillant et courageux, se leva du tabouret, jeta sa dernière boulette de riz dans sa bouche, prit son verre et le but cul-sec. Il gesticulait dans tous les sens, pointant sa gorge, affolé, avant d'avaler la nourriture qui se trouvait dans sa bouche...

"Argh ! J'ai failli m'-... Où est-l ?! " cria Jim à l'homme qui, désormais, était sur le sol de la taverne, le nez en sang, inconscient...

" Mais que lui est-il arrivé ?! " interrogea le marine au barman.

" Et bien, vous gesticuliez dans tous les sens et il à voulu s'approcher, sauf que bah... Bah... " Le barman répondit pointant du doigt le poing du jeune soldat qui était recouvert d'un peu de sang.

" Ahhhhhh ! Je sais... Je fais cet effet-là à beaucoup de gens " dit-il d'un air fier et glorieux en regardant la tête du jeune homme qui souriait sans avoir vu que c'était sa faute. Il se mit à marcher en direction de la rue, poussant les portes du bâtiment. Il réfléchissais sur un moyen de retrouver le fameux "Robin" jusqu'à ce qu'il ce fasse bousculé par un homme cagoulé tenant un sac d'argent dans les mains. Jim tomba au sol, des cris venaient d'un peu partout dans la ruelle.

"C'est Robin ! Au vol !"  s'exclamaient les passants présent aux alentours. Ils pointaient tous du doigt le jeune voleur qui venait de bousculer Jim, mais à la place de ce concentrer dessus. Le jeune maudit se précipita sur un soldat du gouvernement qui était lancé à la poursuite de Robin. Il le plaqua au sol, menotta ses deux bras et le retourna pour lui faire face.

"Alors comme ça on joue au voleur !? Aha ! Vous voyez ?! C'est bon j'ai tout sous contrôle !" dit-il avec fierté regardant chaque citoyen du coin. Leur visage dépité, la plupart d'entre-eux soupiraient et décidèrent de s’éloigner de la scène, alors que les autre ne comprenaient pas réellement les agissement de Jim. Sans attendre une seconde de plus, le maudit aux cheveux bleus souleva le soldat, puis examina ses vêtements.

"Mais où il est passé ?!" s'étonna Jim cherchant partout autour du marine, il pensait sérieusement que Robin c’était fait la malle entre temps et avait remplacé ses mains par celle d'un soldat. Dagon scrutait les environs avec précautions, tenant fermement le pauvre prisonnier et alors qu'il aperçu la silhouette de Robin au loin, il lâcha le soldat qui s’écroula dans la boue. Le jeune marine déplaça son pied en arrière puis prit une pose quelque peu étrange, il tapota le sol très rapidement et disparu à la vision de la foule. Il zigzaguait entre chaque passant à vif allure, bousculant certain soldats, les cheveux aux vents, Jim sautillait partout dans la rue esquivant les obstacles sur son chemin tout en usant de son Soru. Très vite il rattrapa le fameux voleur, mais pour ne lui laisser aucune chance le jeune commandant dégaina une nouvelle paire de menotte et se précipita sur sa main gauche. Manque de chance, Jim rata sa cible et fini la tête la première dans la terre, Robin était très agile...

"Aie... Bon ! fini de rigoler..." s'exclama le jeune maudit désormais debout en train de dépoussiérer ses vêtements. Il secoua la tête vivement, dégaina son katana et frappa l'air sous son pieds avec une vitesse affolante. Le jeune homme s'envola dans les cieux, regardant de hauteur la rue dans laquelle il se trouvait, cherchant Robin le voleur. La cagoule de l'homme apparu aux yeux de Jim et alors précipitant tout son poids en avant, le jeune soldat fit une chute vertigineuse vers sa proie son sabre en avant. On aurait dit un aigle préparant ses serres, la lumière reflétait dans la lame de son arme et en l'espace de quelques secondes, le commandant trancha le sac que le voleur détenait dans ses mains. Robin s’arrêta un cours instant afin d'essayer de ramasser son butin, mais Jim ne lui laissa aucun répit... Tel un héros, il pointa le bout de son katana vers le menton de Robin, faisant signe de se relever et accompagnant le geste, la chair était appuyée contre la lame procurant un sentiment de froid et de peur au voleur. Il leva les main et Jim balança une paire de menotte sur ses deux mains l'emprisonnant facilement, le jeune soldat tenait fermement l'outil en acier afin que Robin ne puisse s’échapper. Tout deux marchaient en direction de la caserne la plus proche et c’était avec fierté que Jim exposait son chef d’œuvre sous les tonnerres d'applaudissement de la foule aux alentours.

Très vite ils atteignirent les cellules et le jeune commandant jeta Robin au fond du gouffre, refermant la porte derrière lui, le voleur se précipita sur les barreaux les tenants durement entre ses doigts. Puis avec haine et engouement Robin s'exclama : " Je me vengerais Jim ! Tu ne m'aura jamais la prochaine fois !" et c'est sur cette phrase que Jim claqua la porte de la pièce et quitta la caserne en direction de la taverne où il avait prit son petit-déjeuner.