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Lun 19 Aoû - 14:35
"Sergent-Chef Hilding. Vous êtes muté à Logue Town. Une enquête importante vous y attend, vous épaulerez un officier sur place. Prenez cette affaire très au sérieux, on a rarement des cas aussi morbides dans l'Est. Comme vous êtes du genre à prendre des bains de sang de temps en temps, ce ne sera que la routine pour vous."

Ce furent les derniers mots du Commandant Vorn, un des chefs de la garnison de Crococo Land dans les mers du Sud, pour Kaïros Hilding. L'homme sauvage attendait cette mutation tranquillement depuis quelques semaines, il faisait juste son labeur tous les jours dans la caserne. Il était devenu peu à peu un visage familier pour les habitants de l'île. Sa carrière se faisait doucement, enfin l'opportunité qu'il attendait se présentait. Ses bagages étaient déjà prêtes, il embarqua pour le premier bateau en direction de Logue Town sans plus attendre.

Le voyage se déroula sans encombre, la mer de l'Est étant l'une des plus paisible du monde. Kaïros avait médité tout du long pour ne pas voir le temps passer et rester concentré sur sa prochaine mission. Il n'avait pas encore eu l'occasion de mener une enquête digne de ce nom, nulle doute que son sens de l'observation allait bien lui servir. On lui avait promis du sang, cela le faisait sourire. La Marine marchait dans l'erreur depuis longtemps en considérant les Impallas, et bien d'autres ethnies d'ailleurs, comme des animaux. La grande quête du dernier Impalla continuait donc sur sa lancée, la purification du gouvernement avançait.

Logue Town, l'île du commencement et de la fin pour l'ancien seigneur des pirates Gold Roger. Cette citée avait vu de grands criminels passer, tout comme de grands défenseurs de la justice. Elle était l'entrée de Grand Line à l'Est, le chemin de traverse pour tout grand aventurier. Kaïros se moquait bien de son histoire, elle avait été fondée par les mêmes hommes qui avaient détruit la sienne après tout. Le cracheur de feu était là pour écrire de nouvelles pages, pas pour remuer la poussière des précédentes.

Le peloton du bateau de la Marine qui avait amené Kaïros jusqu'ici, l'emmena dans la caserne de Logue Town. Là, il posa ses affaires dans le vestiaire et en profita pour prendre une douche car le voyage sous le soleil l'avait fait quelque peu suer. L'homme sauvage enfila ensuite sa tenue d'Impalla ; plastron en cuir, casque doré, pantalon ample. Ainsi, il dénotait des autres soldats vêtus, eux, de blanc et bleu. Pour cette mission il n'était pas obligé de porter l'uniforme, autant en profiter.

Un sous-officier vint chercher le Sergent-Chef pour l'accompagner sur le lieu du crime. Il lui expliqua que la foule était tenue à l'écart de cet endroit balisé à cause de l'atrocité du meurtre qui avait été commis. Kaïros était curieux de voir ce qui l'attendait. Les deux hommes marchèrent dans les rues de la ville prestement et arrivèrent à leur destination en quelques minutes. Il s'agissait d'un hôtel plutôt miteux désormais fermé et pris de siège par plusieurs représentants des forces de l'ordre. Kaïros retira son casque avant de rentrer dans le bâtiment, il voulait montrer qu'il avait lui aussi reçu une éducation contrairement à ce que la plupart pensaient.

Le fils Hilding fut emmené dans une des chambres de l'hôtel, dont l'entrée était obstruée par du gros scotch jaune. Le sous-officier chargé d'accompagner l'Impalla resta à l'extérieur. Le spectacle macabre pouvait donc commencer. Le corps de la victime était sur le lit, allongé et attaché par les mains et les pieds. L'odeur de sang et de mort planait et couvrait tout le reste. Kaïros marcha autour du cadavre et observant toute la pièce avec minutie. Il écarta les rideaux cachant la fenêtre pour laisser entrer la lumière. Comme le faisaient bon nombre de ses frères Impallas aujourd'hui disparus, il commença à parler tout seul :

"Dans les rayons du soleil se cache la vérité. Dans la vérité se cache la douleur..."

Le Sergent-Chef vint caresser les longs cheveux de blés de la femme décédée depuis un ou deux jours déjà. Lorsqu'il retira sa main, il avait dérobé une poignée de cheveux dans le creux de sa main, il les portèrent jusqu'à ses narines pour renifler les odeurs qu'il pouvait percevoir.

"Rose et...Passion. Séduction et exotisme... Fille de joie ou maîtresse pressée... A trouvé mauvais amant."

En parcourant le corps mutilé de la victime aux yeux exorbités et à l'ensemble du visage méconnaissable, il vit que le tueur avait aussi laissé un message sur un petit bout de papier, placé là où aurait dut se trouver le coeur de la personne, lui aussi retiré vraisemblablement. Kaïros lut à voix haute :

"Corrompu par la luxure, ce coeur doit être lavé et servir une cause bien plus grande. Je l'utiliserai à bon escient faites moi confiance..."

Le cracheur de feu soupira. La folie de l'homme l'exaspérait toujours plus. Le meurtre était impardonnable certes, mais là il était face au résultat d'une torture inhumaine absolument ignoble. Comment cela pouvait donc bien exister? Le fils Hilding entendit le scotch barrant l'entrée de la chambre se déchirer une nouvelle fois. Son équipier venait sûrement d'arriver. Kaïros était impatient de le rencontrer et de faire du bon boulot avec lui.
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Lun 19 Aoû - 17:03

Un Coeur de Pierre!






Kyoryo était assis sur le toit d’une maison de Logue Town, le regard perdu dans l’horizon, les pensées vagabondant, retournant encore et encore les images qu’il venait de voir ainsi que les mots qu’il avait lu. Ayant passé quelques temps sur GL assez proche des Dragons Célestes il avait déjà vu bien pire que le spectacle qu’il avait découvert dans cet immeuble, mais il fallait cependant avouer que ces crimes étaient tout de même atroces. Il comprenait que les marines de l’île n’aient jamais vu quelque chose d’aussi horrible, et encore la chambre n’était pas le pire! Non le pire il l’avait découvert lui-même, après que les premiers soldats aient bouclés la chambre il avait emprunté la cage d’escalier qui menait au toit, afin de réfléchir à l’air libre. Et c’est là qu’il avait découvert le corps d’un homme, totalement encastrer dans un mur auquel sa peau avait été cousue. Ici aussi le cœur avait disparu, remplacé par une autre phrase sinistre :

Homme au cœur de pierre, il fait désormais partie des murs, je m’occupe de son cœur et il n’aura jamais été si dur ...

Le jeune marine devait avouer qu’il ne savait pas trop quoi penser de la situation actuelle, la seule chose qui était sûre était qu’on lui avait confié cette enquête et qu’on lui affiliait un Sergent-Chef venu droit de South Blue pour ça. Il avait entendu dire qu’il s’agissait du dernier de sa race et qu’il avait un sens de déduction très aiguisé. Dans tous les cas la seule chose qui comptait vraiment aux yeux  du Poing Céleste comme on l’appelait était d’attraper rapidement ce tueur et de lui faire regretter ses actes.


Kyoryo fut soudainement interrompu dans ses pensées par la venue d’un soldat marine venant le prévenir de l’arrivée de son collègue et partenaire sur cette enquête comme le Lieutenant l’avait demandé. Cela signifiait donc qu’ils allaient pouvoir commencer la traque de leur meurtrier même s’il fallait d’abord qu’ils discutent de ce qu’ils avaient remarqués et surtout qu’ils trouvent par où commencer leur traque. Kyoryo tourna sa tête vers le soldat et lui dit simplement :

Vas le chercher et amènes le ici ... par la cage d’escalier!

A ces derniers mots le jeune soldat sembla blêmir, c’était visiblement la première fois qu’il voyait un cadavre et l’idée de revoir ce corps ne lui disait rien. Cependant il se contenta d’hocher la tête avant de se diriger vers l’échelle de service qui bordait le toit et descendait dans la rue. Ce jeune garçon s’obstinait à passer par là afin d’éviter le corps, Kyoryo était même presque sûr qu’il amènerait le Sergent-Chef à l’entrée de la cage d’escalier et lui dirait simplement de monter, sans l’accompagner. Il ne pouvait pas vraiment l’en blâmer, aucun être humain ne devrait avoir à subir une telle vision mais s’il souhaitait persister dans la marine il faudrait bien qu’il s’habitue à voir des morts. Dès que le soldat disparu Kyoryo se retourna de nouveau vers la ville, attendant simplement d’entendre le grincement de la porte de la cage d’escalier qui annoncerait l’arrivée de son partenaire.
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Jeu 29 Aoû - 14:47
Le jeune troufion débarqua dans la pièce où Kaïros méditait en agitant un grigri au-dessus du corps de la victime. Il commençait à ressentir l'univers de la mort et de la violence ici et de très près. L'homme sauvage s'imprégnait du mal pour pouvoir le pister et le détruire. Le marine qui interrompit sa méditation lui fit signe de le suivre, la mine palote. Kaïros rangea son matériel et le suivit sans un mot. La réflexion prenait toutes les capacités du Sergent-Chef. Le fis Hilding s'arrêta devant le second cadavre du jour, dans la cage d'escaliers. Le procédé meurtrier était toujours le même : rapproche, torture, amputation de l'organe, décès par les souffrances affligées. L'état de la peau, le blanc des yeux, tout plein de détails faisaient que Kaïros pouvait certifier ce schéma de serial killer. Bien sûr, le meurtrier se diversifiait dans les mises en scène, c'était aussi un moyen de dire qu'il prenait son pied en s'occupant de ses victimes.

Cette fois, le message sur ce corps était également orienté vers le châtiment, la purification. La plus grande pièce manquante du puzzle était de savoir qu'est-ce que le tueur faisait des coeurs qu'il volait? Apparemment l'assassin tuait en pensant être une forme de juste. Préparait-il un grand coup pour dévoiler son oeuvre finale? Depuis combien de temps le Voleur de Coeur exerçait ses horreurs à l'ombre des révélations faites aujourd'hui par les autorités? Peut-être qu'il est l'auteur de meurtres depuis bien longtemps mais que personne n'a jamais retrouvé sa trace ou fait le lien tout simplement.

Le jeune soldat qui guidait l'Impalla se mit à vomir un peu plus loin contre le mur. Kaïros s'approcha de lui et posa sa main droite sur l'épaule de l'homme souffreteux :

"Le dégoût, sensation inventée par l'Homme pour dissimuler ses peurs... Et sa faiblesse. Vous avez peur des visions d'horreurs, pourtant vous les provoquez. Tu es petite chochotte... Comme beaucoup d'autres."

Kaïros poursuivit son chemin jusqu'au toit, là où attendait son partenaire. L'homme était de dos, ce qui permit à l'homme sans uniforme de le toiser un peu. Kaïros trouvait son nouveau collègue assez charismatique. Plutôt grand, droit et fier comme un militaire, aux aguets et bienveillant comme un justicier. Bref, le Sergent-Chef voyait devant lui un potentiellement bon enquêteur. Il s'approcha et se présenta :

"Sergent-Chef Kaïros Hilding. Appelles-moi Kaïros, ou juste K si tu zozotes, je ne voudrais pas te mettre mal à l'aise homme blanc."

Comme on lui avait appris, l'homme sauvage avança sa main vers le Lieutenant pour serrer la sienne. Cela voulait dire bonjour et c'était aussi un signe de confiance. Un geste simple pour démarrer une collaboration prometteuse.
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Sam 26 Oct - 9:44

Rencontre Ecourtée!






Le jeune lieutenant laissa l’homme s’avancer en entendant la porte s’ouvrir sans pour autant se retourner. En réalité il avait attendu l’homme seulement car c’était les ordres qu’on lui avait donné, lui savait déjà pertinemment où il allait pouvoir trouver des informations sur les actes qui avaient eu lieu ici. A vrai dire le lieutenant ne voyait pas réellement l’intérêt de cette collaboration notamment que lui avait déjà une enquête en cours. Pourquoi ses supérieurs n’avaient pas simplement donné cette affaire à ce Kaïros, permettant ainsi à Kyoryo de poursuivre son travail sur la propre affaire dans laquelle il avait peu de détails certes mais où il sentait qu’elle l’amènerait sur quelque chose d’absolument énorme. Il laissa son nouveau compagnon d’enquête finir sa présentation avant de se lever et d’arborer un léger sourire histoire de faire bonne impression en lui serrant la main. Il lui répondit alors :

Lieutenant Kyoryokuna appelez-moi Kyo. Quels sont vos avis sur ce que vous avez vu dans la chambre et la cage d’escalier? Pensez-vous que ...

Le marine fut alors interrompu dans sa phrase par la sonnerie de son escargophone. Il était assez rare qu’on l’appelle sauf si c’était important, il s’excusa donc auprès de son interlocuteur et décrocha le combiné :

Lieutenant venez vite à la base on a des nouvelles informations sur l’affaire de disparitions de marines c’est important!

Bien envoyez un autre marine sur le lieu des meurtres du voleur de cœur pour aider le Sergent-Chef Kaïros j’arrive.

Sur ces mots il raccrocha. Il venait littéralement d’être sauvé par le gong! Pas qu’il ne voulait pas travailler avec le marine qui lui faisait toujours face mais il n’aimait pas faire deux choses à la fois et cette première enquête lui tenait particulièrement à cœur. Il releva la tête vers l’homme qui le regardait encore et lui dit simplement :

Je suis navré mais je vais être obligé de vous laisser, urgence oblige. Mais un autre marine viendra rapidement vous assister dans cette enquête, ce fut un plaisir.

Sur ces mots il joignit les mains devant lui avant de se pencher en avant et de se redresser. C’était là la manière de saluer la plus respectueuse qu’on lui avait appris dans son enfance à Marine Ford. Une fois ceci fait il se tourna vers la base et se mit à courir vers le rebord du toit. Ainsi se servant de ses capacités il se mit à sauter de toit en toit pour aller retrouver les informations qu’on avait à lui faire connaître.
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