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Taito Nowaki
The Wildest Lizard
Taito Nowaki
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Mer 26 Mar - 17:23

Robin City 1




« C’EST UN SCANDALE VOUS M’ENTENDEZ ?!! UN S-C-A-N-D-A-L-E !!! »

Ces mots résonnent dans le couloir comme un grondement de tonnerre. Allongé sur mon lit profitant de ma pause, je suis secoué par ses dires qui sortent de la bouche d’un supérieur. L’homme est connu pour son autorité plus que claire. Impartial, il punit les méchants et n’aime pas la défaite. Un homme plus que classique dans les rangs de la marine, mais au final, il sait se faire respecter. Agacé de ces hurlements plus qu'énervants, je me contente donc de soupirer alors que quelqu’un toque à ma porte. Grognant en signe de réponse, je laisse la porte s’ouvrir légèrement laissant quelques mèches blondes dépasser de l’ouverture de la porte et me faire deviner qui est en train d’entrer. Le jeune Hotaru. Un jeune homme qui depuis son sauvetage ne cesse de me suivre, être utile envers moi et ma soeur. Bref, un chien sans l’être dirions-nous. Plus le temps passe, plus je l’accepte dans mon entourage. Au début, il faut dire que son sourire d’idiot bête me rendait dingue. Désormais, grâce à la cure que ma soeur me fait, c'est-à-dire avoir la « zen attitude », je me calme et accepte sa présence, malgré cet air de deux airs qui ne disparaît jamais de son visage. Comme souvent, voilà qu’il m’interpelle. Excité comme une puce, je me retiens de lui mettre un coup sur la tête pour le calmer. Je me contente de bailler aux corneilles pour alors me mettre assis sur mon lit et laisser le jeune homme parler. En effet, celui-ci semble très bavard suite au scandale auditif de notre jeune supérieur.

« Oh la la… Tu devrais le voir le Colonel Streiss. En pétard. Mais pire que d’ordinaire. Remarque, il y a de quoi. »

Me grattant la nuque pour bien me réveiller, j’écoutais à moitié ses dires. En effet, suite à cette phrase, au lieu d’aller droit au but, il recommençait à divaguer sur sa vie. Un vrai cauchemar pour mes oreilles. Vraiment, j’allais devenir fou un jour. Mais bon, j’ai – je pense – trouver le moyen de le arrêter quand il part trop loin. En effet, saisissant une de mes armes, je laisse rouler le barillet et quand celui-ci est bien rechargé, je tire un coup dans le plafond. Le son de la détonation le surprend tellement qu’il se tait et m’écoute une bonne fois pour toutes. À défaut de faire des traces dans le plafond, gâcher une balle et affoler le voisin de chambre, on peut dire que la solution est radicale, mais efficace. Sourire carnassier aux lèvres donc, je le fixe dans ses petites pupilles roses grâce à des lentilles et je lui parle gentiment.

« Accouche… Pourquoi il gueule. »
« Oh… E…euh… Bah… Bah en faite. Disons que c’est la deuxième fois qu’un voleur lui échappe entre les mains. Des riches se font voler par un seul et même type. Menaces, attaques rapides, il semble être bon. Bref, dernièrement, il a volé un riche à la sortie d’un repas entre ami qui était sous-surveillance mineure de la marine. Et là du coup, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Il cherche semblerait-il des volontaires pour l’aider ou carrément faire son boulot à sa place tant il est énervé. »
« Un voleur hein… »
« Oui oui. Un certain Robin City semble-t-il. Pas de prime. Juste des coups réussis depuis son apparition. »
« Je vois… »

Me grattant le menton, je semblais réfléchir et c’est bien ce qui se passait. Je réfléchissais à quoi faire. Au final, mettant de côté l’appât du gain, je me disais que cela serait une belle occasion de faire parler de moi au sein de ma faction. Ainsi donc, suite à cette longue réflexion, j’avais pris une décision. Moi, ma soeur et le jeune Hotaru, nous allions prendre en charge cette mission. Du moins, nous allons participer à la prochaine tentative qui aura pour but de coincer ce voleur.
Pour cela, je n’avais pas quarante solutions. J’étais allé à la rencontre du Colonel en question et je lui ai fait part de mon envie d’aider. L’homme plus qu’énervé ne m’a clairement envoyé balader, tout en me faisant comprendre qu’il me donnait la direction de cette opération, en précisant que j’en aurais l’entière responsabilité y compris en cas d’échec… Pression sur moi, je me devais maintenant d’assurer. Heureusement, malgré les menaces, j’avais toujours mes atouts. Ma soeur et Hotaru devenaient le cerveau de cette enquête fort passionnante. En effet, si cela n’avait tenu qu’à moi, j’aurais simplement ordonné à ce que l'on rassemble tous les riches du coin pour les protéger, puis capturer toutes les personnes suspectes. Bref, ma méthode aurait été bien longue et pas nécessairement efficace. Tandis que la proposition de ma soeur elle… Voilà une idée fortement plaisante qu’elle avait eue, bien que risqué. Elle me précisait en jouant cartes sur table que si je ne voulais pas risquer de me faire blâmer en cas d’échec, je pouvais refuser son idée. Son idée reçut comme simple réponse : « On n'échouera pas ! ».
Son idée était simple, mais risquée comme dit plus haut. Elle consistait à organiser un , un moment où de grandes personnes se rencontreront. Autour de qui ? Un homme riche qui désire raconter ses récits de héros au milieu de sa demeure. Ainsi, le voleur se présenterait à cause de l’appât du gain et nous, nous aurons pour but de l’identifier et l’arrêter. Simple, efficace, mais risqué. J’avais opté pour cette solution, car malgré tout, je comptais bien réussir cette mission. Ainsi donc, après avoir demandé quelques permissions, nous pouvions mettre en place le plan.

Dans un premier temps, je m’occupais de rassembler quelques marines qui seraient aptes à nous aider. Après de multiples demandes, une explication du coup… Je réussis à rassembler une équipe d’environ dix hommes. Ainsi donc, nous avions la « garde » de cette soirée. Une garde qui allait sembler quelque peu faible pour un tel événement, mais fort heureusement, il y avait les éventuels gardes du lieu que nous avions prévu qui allait participer. De se fait, ce qui passait pour faible devenait simplement le juste nécessaire. Du côté de. Hotaru et Violet, ils réussirent à trouver un riche qui allait se prêter à l’expérience. Celui-ci était séduit par l’idée de servir d’appât simplement parce que avec la promesse de réussite que nous lui avions faite, il ne pensait plus qu’à l’impact médiatique qu’il allait recevoir. Bref, le plus gros était fait et cela, dans un temps records. Deux jours et nous étions prêt à mettre en place cette soirée. La nouvelle de cette soirée grandiose se propageait en un rien de temps et au final, nous pouvions lancer l’opération « attrape mouche » quelques jours après.

---------

Le soir était là. L’ambiance de la soirée était vraiment chaleureuse. Une soirée de bourge comme on en voit souvent dans le coin. Les gens entraient dans le bâtiment et nous, nous veillons au grain. Visiblement, personne de suspect ne semblait être entré. La soirée allait-elle au final ne pas intéresser notre cible ? Toutes les poches à vider de l’endroit étaient là. S’il y a bien un lieu où un voleur doit être, ce doit être là… Grognant face au fait que rien d’anormal ne se produisait, je commençais à rouspéter contre moi-même. La soirée commençait. Dans ce magnifique manoir, l’ambiance était festive. Commençant une ronde, je repensais aux moyens déployés pour surveiller les richesses de l’homme. Dix personnes de la marine plus nous, quasiment le double en personnel de sécurité de la maison. Franchement… Qui pourrait passer à travers environ trente hommes sans se faire coincer ? J’étais peut-être trop sûr de moi. Me concentrant sur l’intérieur des locaux, j’invitais ma soeur à me suivre. Hotaru lui était chargé de surveiller avec deux autres personnes l’extérieur. Tout se passait bien jusqu’à maintenant. Visiblement, notre opération avait échoué. L’homme n’avait pas mordu à l’hameçon. Dommage…

« Tai… »
« C’est bon. Pas besoin de dire quoi que ce soit… Je sais… On a merder. »
« Non… dit pas ça. On l’aura t’en fait pas. »

Me retenant de pousser une gueulante, j’étais en train de me retourner brusquement vers ma soeur quand soudain. Un homme se mit à hurler qu’un feu était déclaré dans une aile du manoir. Cette annonce traduite par en effet de la fumée qui sortait de l’aile gauche du manoir faisait paniquer les convives qui commençaient à se diriger dehors. Les sécurités se déployaient pour aider les convives et certains chargés de surveiller la salle du coffre se dirigeaient vers l’aile enflammée pour éteindre le début d’incendie. Pour le moment pour ma part, j’allais prêter main-forte pour éteindre le feu. Moi et ma soeur nous courions en direction de l’endroit sinistré, mais soudain, ma compagne de mission se stoppait. Intrigué, je me retournais pour alors l’interroger du regard. Celle-ci me fit signe de la suivre. Acceptant, c’est là que le jeune blondinet nous hurlait en nous voyant.

« TAITO ! VIOLET ! On a retrouvé deux hommes assommés derrière la maison. »

Désormais, nous avions la confirmation que l’homme était dans les lieux. Commençant à voir où voulait en venir ma sous, je courrais avec elle jusqu’à la salle du coffre. Sur ce point, surprise générale. Un homme se trouvait là. Armé d’une épée, il semblait tenir quelque chose en main en plus d’avoir noué autour de lui un sac d’où dépassaient de grosses liasses. Le foudroyant du regard, je dégainais mes armes et le visais, mais d’un coup, celui-ci usait d’un dial pour alors créer une sorte de vague de flamme. Celle-ci nous surpris et nous fit perdre de vue l’homme. Profitant de l’éblouissement et de l’étonnement de nos personnes face à cette attaque, il sautait par la fenêtre et se rattrapait tel un véritable acrobate. Agile en plus de cela ? Grognant, je vins à me poster à la fenêtre en tentant de le viser, mais en vain. Il courait déjà loin. Tapant du pied, je vins alors à hurler de rage. Devant nous, plus de 5 millions disparaissaient dans la nature. Cela allait faire mal lors du rapport, très mal…

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« C’EST UN SCANDALE VOUS M’ENTENDEZ ?!! UN S-C-A-N-D-A-L-E !!! »
« Je… »
« NON ! TAISEZ-VOUS ! Vous nous avez fait perdre plus de 5 millions. 5 millions de Berry ! Vous vous rendez compte ? Et à cela, c’est donc la troisième fois qu’il nous échappe. Pas une, pas deux… TROIS FOIS ! TROIS BORDELIQUE DE FOIS ! »
« Je sais Colonel… »
« NON ! VOUS NE SAVEZ RIEN ! Vous vous rendez compte des conséquences ? Ah… C’est beau le fameux je n’échouerais pas. Mais les résultats sont là. Vous avez échouez. Vous savez quoi ? Je devrais vous retirer vos fonctions. Au mieux si je suis gentil vous dégrader. Dans tout les sens du terme. Mais bon… Vu que vous semblez vouloir vous racheter… et vous allez le faire… Je vous laisse une semaine. Si dans une semaine ce gredin n’est pas devant mon bureau… Je ne donne pas cher de votre peau. Suis-je clair ? »
« Oui mon colonel. »
« J’ai pas entendu… »
« OUI MON COLONEL ! »

Suite à cet entretient, je me devais de rebondir, sinon, j’allais sauter… Une semaine disait-il ?

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Quatre jours étaient passés. Soupirant à force de réfléchir, je me rendais compte que j’étais dans une merde totale. Ma chère Violet avait beau avoir analysé les méthodes de notre voleur, rien ne nous avait permis de le rattraper, de le localiser ou prévoir où aurait lieu le futur coup s’il y en avait un. Après tout, l’homme désormais peut-être riche avait quitté l’île si cela se trouve non . Bref… Ayant conclu qu à chaque coup il utilisait un élément pour faire diversion, nous nous devions être prêt pour la prochaine fois. L’image de la marine avait pris un certain coup durant cette semaine. J’avais encore plus de pression quant au fait de devoir le stopper rapidement. Mais quoi qu’il en soit, je me devais de le faire.
C’est comme par miracle que Hotaru vint m’informer d’un bal annuel dans l’île. Ce véritable événement semblait pour lui une occasion rêvée pour faire un coup. Pourquoi ? Car l’organisateur de l’événement est un homme riche qui est tellement parano qu’il est réputé pour ne jamais relâcher sa surveillance sur ses biens. Excepté une fois lors de cet événement où sa paranoïa sur la sécurité de ses biens l’emporte sur sa propre sécurité. Ainsi donc, il délaisse sa maison au profit de sa sécurité personnelle durant cette nuit. Après avoir écouté cette hypothèse donc, j’en concluais que je n’avais plus rien à perdre. C’est ainsi que nous décidâmes de tenter le coup.

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Ainsi donc, après quelques préparations du lieu, nous nous tenions prêts. Comment ? Nous avions fait un pacte avec la femme de l’homme. En effet, certain que l’homme avait refusé, nous avions convaincu sa femme de nous faire confiance. Ce qu’elle fit, mais en précisant que si nous échouions… Être dégradé ne serait qu’une balade de santé comparé à ce qui nous attendrait. Bref, la pression était au rendez-vous. Cette fois, en guise de plan, nous avions décidé de jouer dangereux. Autant Hotaru et Violet restaient cachés proche de la demeure pour agir en cas de fuite. Autant moi… J’avais été enfermé dans le coffre où tout l’argent du riche monsieur était déposé. Ainsi donc, s’il venait voler l’argent, j’étais aux premières loges pour l’accueillir ce fameux Robin. Et ce qui était prévu se passait. Alors que je somnolais à moitié, j’entendais un bruit de cliquetis prouvant qu’une personne ouvrait le coffre. Il devait être 23 h 07, bref, le bal n'était pas fini ailleurs. De ce fait, je me tenais prêt alors que la porte du coffre s’ouvrait.

« Hey Robin. Cadeau pour la dernière fois. »

Avec mon arme droite, je tirais des balles dodo ayant pour but de l’engourdir et éventuellement l’endormir à la longue et avec mon arme gauche, je tirais des balles collantes dans le dessein de l’immobiliser. Ainsi donc, prenant la première salve de coups à bout portant, ceux-ci reculaient étonné de me voir ici. Sortant du coffre, je savais qu’il n’allait pas utiliser son appareil qui faisait du feu, à moins de sacrifier de précieux billets. Le fixant, je tentais de tirer, mais là, il esquivait avec une agilité des plus étonnantes. Le fixant dans les yeux, m’emportant dans l’extase de le voir pris dans mon piège cette fois, je vidais mes chargeurs à neuf coups jusqu’à au final me retrouver à sec. Au total, il avait pris deux balles dodo dans le ventre et une balle collante sur le bras gauche. Bref, rien de bien méchant pour l’heure. Alors que je m’apprêtais à viser la tête, voilà que je me rends compte que je suis à sec et qu’il me faut recharger. Hotaru et Violet ne devraient pas tarder puisque les bruits de coups de feu devaient les alerter. Mais en attendant, je le vis déployer sa lame l’air carnassier. Proche de lui, j’avais peu de temps pour recharger. Tch… Me montrant que la tendance venant de se retourner, je le fixais avec un ait de dégoût. Il fonçait alors sur moi pour tenter un coup horizontal et vertical que je bloquais avec mes revolvers m’en servant comme des poings américains à défaut de ne pas pouvoir les recharger. Me prenant un coup me déviant de la trajectoire du coffre, j’étais désormais dans un endroit qu’il pouvait enflammer grâce à son objet. Celui-ci s’empressait de dégainer son dial et par réflexe, je pris mes autres armes. Cette fois-ci, je tirais en visant l’objet et j’arrivais à mes fins. Le coup heurta de plein fouet l’objet qui lui échappait des mains. Tentant de le toucher aux mains et pieds pour l’amocher sans le tuer puisque ces armes-là étaient chargées avec des balles classiques, je me rendis compte encore de ses talents. Il était agile et rapide. Reprenant sa lame, il démontrait sa maîtrise de l’épée assez étonnante. Bon sang… Il me faisait chier lui.

« TAITO ! »

Enfin les renforts étaient là. Ouf. L’homme faisait volte-face et c’est lame contre lame qu’il commençait une sorte de duel. Hotaru restait en retrait à guetter la moindre ouverture. Il s’approchait dans un coin de la pièce et récupérait l’objet crachant des flammes. Tripotant l’objet, c’est par pur hasard qu’il envoyait dans le vouloir un jet de flamme venant vers moi. L’esquivant de peu, je vins à simplement hurler.

« HOTARU !!! T’ES MORT !!! »

Le jeune homme jetait l’objet vers l’extérieur de la pièce se débarrassant de la chose. Prenant le temps cette fois de charger mes armes, je mis deux barillets complets de balle dodo dans mes armes et je visais l’homme. Esquivant quelques-unes de celle-ci, au final, après avoir tiré un total de dix-neuf balles au total, ses gestes commençaient à s’engourdir et ainsi tout de suite, ma soeur le désarmait. Suite à quoi, l’homme tombait de sommeil après avoir encaissé tant de doses. L’histoire était enfin finie. Soupirant en entendant le calme renaître dans cet endroit, je vins pousser un long soupire de soulagement.

---------

8h00 le lendemain. La porte du colonel recevait de beau coups. Quand il donnait l’autorisation d’ouvrir, j’enfonçais presque la porte. Tenant l’homme comme s’il était un véritable forcené, je le plaquais contre le bureau du colonel.

« … Livraison Expresse mon colonel. »

Suite à ces mots, je me retournais pour retourner auprès de mes acolytes. Alors que j’allais quitter la pièce, le colonel criait mon nom dans le dessein de m’arrêter. Réussissant, je me retournais et écoutais ce qu’il me disait. Dans un sourire quelque peu forcé, il me remerciait. Ne répondant rien, je retournais en dehors de la pièce pour alors entendre ma soeur me féliciter et Hotaru aussi. Ouvrant les yeux et les pointant vers le jeune homme, je vins faire craquer mes phalanges.

« Hotaru… Mon cher Hotaru… On a pas un truc à régler toi et moi ? »
« Nouuuus ? … Euh… Nooooon, absolument pas. »
« Des flammes… le soir de sa capture… Cela ne te rappel rien. »
« E…Euh… N.. Non.. J… Oh, j’ai un homme blessé à soigner, on en reparle d’accord ? »
« REVIENT ICI !!! »

Commençait une course poursuite dans le Q.G de la marine. 8h du matin et déjà de l’ambiance dans cette boite-là.






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[QUÊTE] Robin City 1  Signat10
Taito Nowaki
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