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Sam 8 Mar - 19:33
« Rumeurs d'un charme démoniaque ♪ »
J'ouvre les yeux. Je sens de l'eau sur mon visage et je réalise que de l'eau me tombe dessus, petite goûte par petite goûte. Je ferme donc les yeux, soupirant une première fois, puis les ouvre une nouvelle fois. Je regarde quelques secondes le plafond fait d'un vieux bois, sûrement du merisier à en voir la couleur et l'état dans lequel il est actuellement. L'eau vient d'ailleurs d'entre deux planches, elle doit provenir de l'étage supérieur, si jamais il y en a un, puisque l'eau vient du haut. Forçant sur mes coudes, je me lève d'un coup finissant ainsi droit comme un pic, assis au milieu d'une grande pièce vide. Doucement, je regarde à droite, puis à gauche, laissant enfin ma tête revenir à sa position d'origine pour regarder devant moi, passant mes mains sur mon visage. Puis, je soupire une seconde fois, cherchant sur le sol avec ma main gauche ma flûte que je trouve. Elle était, au final, posée juste à côté de moi. Je me gratte ensuite l'oreille ... Qu'est-ce que je fais ici au fait ?
Pour ça, il faut remonter plus tôt dans la journée car il semble faire nuit à vrai dire actuellement. Après mon habituel départ pour me faire de l'argent en jouant de la flûte, sans Rolanda cette fois-ci, j'ai pu constater que cette ville est en fait presque déserte. Ce sont trois hommes, tous moins sobres les uns que les autres qui m'ont indiqué cet endroit pour passer la nuit. Je ne sais pas vraiment mais la ville m'inspirait pas vraiment confiance. Toutes les fenêtres étaient fermées, il n'y avait que des personnes ivres dehors et je n'ai vu aucune femme. Étrange. Puis après avoir joué quelques heures plus pour le plaisir et animer le village que pour me faire de l'argent au vu de la non nombreuse population qui vit ici. Puis, un enfant est sorti de nul part, il s'est assis devant moi qui joue de la flûte et il n'a rien fait d'autre que de m'écouter et ceci pendant presque une demi-heure.
-T'es fort. -Merci ! -Tu veux être mon ami ? -Oui, bien sûr. Tu t'appelles comment ? -Non ! C'est moi qui pose les questions. Tu veux jouer avec moi ? -Hum d'accord ... En tout cas, moi, c'est Mike ! -On joue à la course ?
Puis il se met à courir, ne me laissant même pas répondre à sa question. Je range rapidement la bourse dans une de mes poches puis la flûte dans son étui, commençant ainsi à lui courir après, sortant du village. Bizarrement, l'enfant court très vite et il n'a pas l'air de s'essouffler. Par contre, moi, c'est une autre paire de manches. Je m'arrête donc, m'appuyant contre un arbre en réalisant que le petit m'a mené dans une forêt. Je n'avais pas vraiment fait attention, celle-ci étant vraiment concentrée sur le petit qui revient à la charge, me fixant dans les yeux avec un grand sourire enfantin.
-Tu arrêtes de jouer avec moi ? -Oui, un peu. Je reprends mon souffle là. -Personne n'arrête de jouer avec moi !
Je hausse un sourcil et sans avoir le temps de ne rien faire, il attrape ma flûte et part en courant, me forçant ainsi à le suivre à travers les bois. Je fronce des sourcils, je ne trouve pas ceci amusant, le vol, c'est mal. Je le traque pendant quelques heures, le regardant me narguer car celui-ci s'arrête de temps à autre pour me faire des signes de la main, ma flûte trainant parfois au sol quand le morveux la tient mal. A force de me balader ainsi, nous faisons face à cet immense château entouré par un mur, protégeant sûrement un jardin de voyageurs trop curieux. Je m'arrête quelques secondes, les murs sont si hauts et ceci semble si vieux, j'ai du mal à croire qu'une telle bâtisse soit présente dans un lieu tel que celui-ci.
-Tu viens ?
Je fronce des sourcils à nouveau, perdant mon air étonné que j'ai pris lorsque je suis arrivé devant le château. J'avais oublié que ce sale gosse avait ma flûte. Il commence à partir en contournant l'endroit, se glissant ensuite sous le mur dans une sorte de tunnel digne d'un chien. Je ne réfléchis pas vraiment, quand je réalise, toujours en courant vers le trou, que je ne passerai pas, j'enlève un gant et me pousse au-dessus du mur, atterrissant au loin contre un mur du château, en profitant ensuite puisque je tombe devant l'enfant qui n'a pas du tout comprendre à ce qu'il vient de se passer. Fier de moi, je souris en coin, remettant mon gant.
-Rends-moi ma flûte tout de suite ! -Viens la chercher !
A son tour, il sourit en coin et il me contourne en courant. Je tente de l'attraper pendant qu'il passe à côté de moi mais je le rate, le regardant se jeter sur une corde faite de vêtement, montant assez haut à une fenêtre, sûrement sa chambre. Il commence à grimper et je fais de même, ce gamin commence vraiment à me mettre hors de moi. Les vêtements défilent, chemise rouge, pantalon bleu, pull marron, tout y passe, à un moment, j'ai même peur que la fameuse corde d'habits cède sous mon poids mais lorsque je vois le petit avec ma flûte au-dessus, j'oublie, ne pensant qu'à l'instrument qui n'est pas à sa place habituelle qui est soit à ma ceinture, soit dans ma main. Après un effort physique de presque deux heures en mélangeant la course dans la forêt et le fait de grimper à une corde de vêtement, j'arrive à la fenêtre où je rentre, la fermant ensuite doucement, regardant la corde de vêtement tomber dans la cour en dessous de la fenêtre.
-T'es trop nul ! Comment je vais faire pour sortir maintenant ?
Il jette la flûte au sol, se penchant par la fenêtre puis il sort en courant. Je ramasse rapidement l'instrument, me dirigeant ensuite vers la sortie quand je ressens une forte douleur derrière la tête, tombant au sol. La suite, vous la connaissez.
A présent, je me dirige une seconde fois vers la porte, me retrouvant ensuite dans un long couloir où une fenêtre éclaire de chacun des deux bouts en journée. Plongé dans le noir, je m'avance doucement vers la fenêtre à droite, plus proche que l'autre, laissant ainsi un escalier à ma gauche descendre plus bas. Il fait nuit et de la fenêtre, je ne vois rien d'autre que la forêt. Ce gamin m'a fait me perdre ... Comment vais-je retrouver le bateau moi ?
HRP: Tout comme pour Cloe, je m'excuse pour cette odieux retard, mon absence à l'armée et la rentrée m'ayant grandement handicapés. Bonne lecture!
Invité
Sabor
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Mar 25 Mar - 11:38
« Rumeurs d'un charme démoniaque ♪ »
La nuit, on imagine ce qu'on désire et tout paraît possible. Au grand jour, l'imagination pâlit. La nuit, on voit des choses inexistantes et on y croit. Voici ce qui serait, je pense, la meilleure chose à ne pas dire à quelqu’un d'enfermé seul dans un château aux airs effrayants que ce soit de l’extérieur comme de l’intérieur. Tout semble poussiéreux, comme si le ménage était un mot prohibé ici. Pour moi la nuit est synonyme de paix et de calme. Seulement, dans ce genre de situation elle est plutôt du style à être synonyme de peur, d’angoisse et de cauchemar. Je décide donc de descendre par l'escalier, vu la hauteur des pièces, je suppose être au troisième ou quatrième étage de ce château. Ce qui me terrorise le plus est surtout le fait que le gamin de cet après-midi a complètement disparu depuis que je suis entré et que j’ai reçu un bon coup derrière la tête. Les escaliers sont recouverts d’un tapis bleu aux bordures dorées, sans doute les couleurs du maître des lieux et peut-être même de la ville ou de l’île. Au milieu de celui-ci, je m’arrête, m’approchant de la rambarde, je regarde l’endroit où je descends. En effet, j’arrive dans une très grande pièce où des tableaux magnifiques sont exposés, décorant les immenses murs. Sur ceux-ci, il n’y a que des couples, sûrement les propriétaires du château depuis des lustres et des lustres mais je m’arrête sur le dernier. Le couple est magnifique. Il fait penser aux contes de fées où la Princesse a enfin trouvé le Prince Charmant.
-Ohé ? Il y a quelqu’un ? T’es où gamin ?
Je finis donc de descendre l’escalier, m’approchant du fameux dernier tableau. L’homme sur celui-ci semble jeune et en forme, un vrai Prince Charmant au niveau physique pour la demoiselle juste à côté de lui. Une jolie robe rouge ornée de part et d’autres par des rubis. Celle-ci est accrochée au bras de son époux, souriant tous deux. Je souris à mon tour, cette œuvre arrive à faire ressentir de la joie et du bien-être aux personnes qui la regardent, cependant, je frissonne à un moment, les yeux de la femme semblent bouger et me fixer. Sur le coup, j’ai envie de pleurer et de me faire dessus seulement, je prends sur moi jusqu’à ce que ceux-ci ne semblent plus me regarder. Suite à ça, il se passe une seconde, une unique seconde à je commence à courir, cherchant la sortie. Je me confronte à plusieurs portes fermées à clé. Je ne réalise pas de suite que, de toutes les manières, je ne risque pas de trouver la sortie ici, à cet étage, je dois descendre. J’arrive dans un long couloir où je vois une silhouette à l’autre bout. Elle et moi, pendant quelques secondes, restons figés.
-Restez loin de moi, vous entendez !
Je serre les poings, les desserrant ensuite pour enlever mes gants et les mettre dans ma poche. Je tremble, je suis effrayé mais ce n’est rien, mes yeux s’écarquillent ensuite, quand celle-ci se dirige vers moi, trop rapidement à mon goût, je fais demi-tour, courant vers l’escalier duquel je viens et grimpant à celui-ci de la manière la plus rapide qu’un homme puisse le faire. Une fois dans le couloir à l’étage, je continue de courir, ne regardant pas derrière moi, fonce juste dans une pièce que je ferme le plus doucement possible. L’endroit où je viens d’arriver est en fait une chambre, il y a un grand lit aux draps blancs et à couverture rouge. Je regarde partout dans la pièce, ne voyant rien d’effrayant puis je m’accroupis, regardant à travers le trou de la serrure. Je retiens ma respiration, du moins j’essaie de la maîtriser … La course que j’ai eu mélangée à la peur que j’ai font que je suis essoufflé et que ma respiration est bruyante, de plus, je souffle contre la porte, ce qui fait encore plus de bruit. C’est pour ça que je tente de me maîtriser. Pendant quelques secondes je ne vois rien puis, je retiens ma respiration en mettant ma veste devant le bas de mon visage, entendant des pas et voyant une personne en robe blanche passer devant la porte. A voir l’état usagé de la robe, je pense à un spectre, un monstre qui hanterait les lieux mais à être accroupi, je perds mon équilibre, faisant ainsi du bruit et entendant les pas revenir vers la porte. La poignée de la porte tourne, je recule donc, toujours à terre puis, la porte s’ouvre face à moi … Et merde.
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Jeu 27 Mar - 11:23
« Rumeurs d'un charme démoniaque ♪ »
Je recule, toujours sur les fesses, j’ai l’impression d’être dans un mauvais film d’horreur où la première victime est toujours le petit maigrichon seul. La chose devant moi tend sa main vers moi mais je l’évite, roulant sur le côté. Oui la chose … Je ne saurai dire si c’est un homme, une femme, un humain, un spectre … J’ignore ce qu’il se passe ici mais c’est vraiment bizarre. Je saute sur le lit, sortant de la pièce et fermant la porte, retournant dans la grande salle avec les tableaux aux murs. Une fois dans la salle, j’ai l’impression que les visages des gens ne sont plus comme tout à l’heure, comme s’ils étaient devenus tristes. Flippant, ce château va me tuer ! Je me retourne, croyant entendre un bruit quand je sens une tape sur l’épaule. Je crois qu’à ce moment, je tombe dans les pommes.
Quand il se réveille, le rouquin est dans une cage comme beaucoup d’autres personnes. Il s’est fait capturer et semble complètement zombifié. En fait, la tape qu’il a reçue combinée à sa peur et son évanouissement ont fait qu’il a été plus enclin à se laisser maudire par la sœur du Comte de la demeure. Ce qu’il se passe dans ce château est un phénomène rare. Suite à certains rituels dits magiques, la femme des lieux en l’absence de son frère a succombé à une sorte de magie noire, devenant ainsi, une créature sombre. Ayant honte de son apparence actuelle, la femme n’ose plus sortir et le goût du pouvoir est si bon qu’arrêter juste pour reprendre son apparence de jeune femme n’est pas une assez bonne raison. Celle-ci, à présent plus contrainte par son apparence puisque le musicien est à présent l’un des siens, elle lui caresse la joue en souriant. Ses dents pointues feraient presque peur à un vampire alors que sa chevelure violette foncée, épaisse et longue lui recouvre le haut du visage, les épaules et son dos, mettant en évidence son décolleté.
-Coucou mon mignon. A présent tu es à moi. Mon frère vient d’accepter le fait qu’un visiteur entre dans notre magnifique et grande demeure, va l’accueillir comme il se doit, tu veux ?
La voix envoûtante et directrice de la créature de charme effrayante face à Mike pénètre dans son cerveau comme un ordre. Elle ouvre la cage avec ses mains aux ongles bien trop longs et pointus tels des griffes et pointe du doigt le couloir que le rouquin emprunte sans réfléchir. Celui-ci marche pendant quelques instants, quelles minutes pour être plus précis jusqu’à arriver dans une nouvelle grande salle où la porte du château fait face au visage sans expression du jeune homme, entré ici pour récupérer sa flûte est à présent pris au piège d’un charme machiavélique auquel il ne peut résister. La porte du château s’ouvre et les fenêtres font de même, laissant les immenses rideaux rouges voler à travers la pièce à cause des courants d’airs. La pièce étant vraiment grande, celle-ci possède un escalier derrière le rouquin, celui-ci étant venu du couloir juste à côté de l’escalier. Mike se retrouve donc au milieu de la pièce et il entend au fond de lui une voix, celle de la charmante succube qui lui envoie des ordres.
-Prends ta flûte mon chou, surprends-moi !
Tel un simple sujet, le roux attrape son instrument et attends à travers les rideaux qui volent et l’orage qui gronde dehors, se faisant enfin entendre. Ce château semble vieux mais il est vraiment bien isolé, si bien qu’une bombe pourrait exploser dehors à quelques pas de la bâtisse que l’on n’entendrait rien. Ce château a sûrement connu de meilleures heures que celles s’apprêtent à arriver que celles qui sont arrivés depuis les quelques derniers mois …
-Dès qu’il entre, je veux un accueil digne de ce nom, je refuse que tu finisses en pâté mon petit ... J'ai encore de nombreux projets pour toi !
Celle-ci ne le dit pas clairement mais le jeune rouquin sait ce qu’il a faire, lire entre les lignes n’est pas si compliqué au final et la femme lui demande un combat, son emprise sur le jeune a raison de lui, le pauvre rouquin, même si ce n’est pas dans sa nature, va combattre et ce, uniquement car la Comtesse Want le veut. Jusqu’à présent, Mike n’a croisé qu’un gamin, un mystérieux assommeur et la femme, pauvre de lui.
Shtoum (c)
HRP : Je fasse la narration de Je à Il uniquement car Mike, ensuite, ne réalise pas ce qu'il se passe, il n'est plus lui. (Juste une précision pour ne pas voir ma note baissée avec un "La narration passe de Je à Il on sait pas pourquoi" bah là, vous savez :3)
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Mer 23 Avr - 12:29
« Rumeurs d'un charme démoniaque ♪ »
Rien, absolument rien ne se passait. La porte qui doit s’ouvrir reste close. Derrière le jeune rouquin, la femme commence à perdre patience. Sortant de derrière la rambarde du haut des escaliers de laquelle elle se cache depuis le début pour admirer un combat qui n’arrive pas. Les sourcils de l’envoutante se froncent, lui donnant un air presque maléfique. Agitant les bras dans tous les sens, elle descend en rafale les quelques marches qui séparent les deux individus de la pièce, se positionnant devant le musicien qui n’a pas bougé d’un cheveu depuis qu’elle lui a donné l’ordre d’attaquer. Elle se penche vers lui, la poitrine en avant pour le charmer avant de réaliser qu’elle l’a déjà fait. Être de mauvaise humeur a le don de faire oublier certaines petites choses à la demoiselle qui se redresse, croisant les bras.
-Je ne suis pas satisfaite. Je veux ce combat et je l’aurais. Toi, suis-moi ! Tu me seras encore utile.
Sans dire un mot, le jeune homme regarde la femme partir et il ferme la marche derrière elle, la suivant tel un esclave. Ils empruntent un couloir puis, lorsqu’elle est sur le point d’ouvrir une porte, je me tiens la tête, commençant à hurler puis il tombe à terre, hurlant encore. Je ne veux pas la laisser faire mais il n’y peut rien. Son pouvoir, j’ignore ce que c’est mais à cause de celui-ci, le jeune homme est sous son emprise. Me roulant à terre, la jeune femme soupire et s’approche du rouquin, lui posant une main sur la tête et voilà qu’une fois encore, j’ai l’impression de perdre connaissance.
-Mon doux petit. Personne n’échappe à mon contrôle, j’ai juste à mettre la dose.
Elle entame un petit rire, se figeant suite à ça. Quoi de mieux qu’un appel pour signaler sa présence à son frère et ainsi forcer la curiosité du nouveau venu à rappliquer ici et à se battre contre son nouveau jouet. Souriant d’un air sombre, elle remonte sur ses escaliers, faisant ainsi marche arrière et s’exposant, nue, du sang séché sur tout le corps. Les mains sur les hanches, un sourire en coin et les yeux fermés, elle commence ensuite à rire mais bien plus fort que tout à l’heure, bien plus démoniaque. Alors que le rouquin, lui, attend toujours dans le couloir un quelconque ordre, le rire qui résonne dans tout le château, le fait tourner sur le côté et entamer une marche jusqu’au milieu de la pièce où il était plus tôt.
-Je le veux ce combat, ce sera toi, mon fidèle serviteur contre ce bon à rien de nouveau venu. Ça va être chouette !
S’émoustillant, la femme saute presque sur place, attendant ainsi la venue du visiteur. Puis, elle reprend son sérieux, gardant malgré tout ce sourire maléfique sur le visage, s’exprimant ainsi.
-Et si tu ne viens pas petit oiseau, sache que je connais le nid de mon frère encore mieux que lui, je saurais où venir te chercher et telle une vipère je te mangerai bien avant que tu n’es eu le temps d’éclore !
La tonalité de sa phrase de fait de plus en plus forte au fur et à mesure qu’elle parle, hurlant la dernière syllabe qui résonne à son tour dans les murs de l’immense bâtisse.
Shtoum (c)
HRP : Une fois encore, le passage entre le "Je" et le "Il" est clairement voulu
HRP: Changement de mise en page purement esthétique qui est plus en paire avec mon kit. Halfken n'a pas le physique qui change c'est par rapport au présent à la fin de l'event que son physique s'est modifié sur certains points (plus de chapeau...). Bref !
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Sabor
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Mar 29 Avr - 18:31
« Rumeurs d'un charme démoniaque ♪ »
Quelques minutes passent et rien. Encore une fois, les plans de la terrible créature ne sont pas dans les normes, dans ses normes. L’aventurier qui est entré dans le château n’est toujours pas là et ceci l’agace. Pour exprimer son mécontentement, elle hurle de rage, baissant la tête en arrière puis la baisse en avant, riant. D’où le rouquin est placé, il ne peut voir que la bouche en sang aux dents pointues de la femme, les yeux totalement masqués par sa chevelure sombre. Elle descend les marches une à une et les remonte, se tournant une nouvelle fois face à la pièce vide. La patience de la créature envoutante est proche du seuil zéro et elle éclate, une fois encore me direz-vous. Sauf qu’au lieu de hurler encore et encore, elle entend des pas venir de derrière et là, le bonheur, la jouissance monte dans son être presque parfait.
-C'est... c'est Dame Claudia !
Jelal. Cet imbécile de serviteur bon à rien fait place derrière la gracieuse Claudia, elle n’a jamais pu piffrer ce gars-là. En clair, c’est le petit chien de son frère, elle a été jalouse sur ce point, elle n’a jamais eu de fidèle serviteur, elle.
-Tilintetgjore !
Penchant la tête sur le côté en ne comprenant pas ce qu’il vient de dire. Elle se décale d’un pas et laisse l’homme atterrir dans la salle en bas, tombant à côté du musicien qui garde sa tête penchée vers le bas. Pendant ce temps, elle fonce et attrape le fidèle serviteur de son frère par le cou, ouvrant une porte et le jetant dans une pièce obscure. Elle se remet donc en haut des escaliers, se positionnant comme un mannequin qui poserait sur un piédestal. Laissant ensuite son sourire satisfait disparaître suite à l’enfermement du domestique, elle fixe les deux hommes en bas, hurlant à Mike d’exécuter son ordre quelle lui a donné plus tôt.
-Maintenant, fonce mon chou ! Il est tout seul !
Tirant la flûte hors de son étui, le rouquin la positionne à sa bouche, commençant à jouer une mélodie sinistre. A peine quelques secondes passent et voici qu’un bruit sourd commence à se faire entendre. A travers le bruit du vent et des rideaux qui soufflent, voici que des battements d’ailes se font entendre et ceux-ci proviennent d’un vol de corbeaux qui entre dans la pièce, volant autour de l’inconnu comme s’il était l’œil d’un cyclone de volatile. Les animaux tournent donc autour de lui, lui picorant de temps à autre comme ils peuvent le visage, les bras, les vêtements, les cheveux et même le chapeau de paille.
-Doucement petit prodige ! Je ne veux pas qu’il meure mais que vous me fassiez un combat digne de ma beauté !
Arrêtant de jouer, dans un élan de reprise de soi, le rouquin attache la flûte à la ceinture et court vers l’homme entouré d’oiseaux. Il jette ses gants au sol laissant apparaître ses paumes recouvertes de coussinets.
-Intéressant …
Peu à peu, les oiseaux s’écartent de l’homme mais certains s’écrasent à terre sans savoir pourquoi. Cependant, le rouquin n’y prend nullement attention, mettant sa paume à plat, il s’apprête à donner un coup à l’inconnu. Si ce coup fonctionne, l’homme s’envolera contre le mur entre les deux fenêtres. Il y aura sûrement aussi un ou deux oiseaux qui voleront avec lui sous la vitesse. Seulement, Mike n’est pas à l’abri d’une esquive.
-Dis-moi, petit, c’est quoi ton nom à toi ?
Elle penche une fois encore la tête sur le côté, faisant son sourire le plus sensuel à l’aventurier. Elle espère bien avoir le nom de celui-ci avant de pouvoir prendre possession de celui-ci, d’autant plus qu’elle n’a pas celui de Mike, du moins, pas encore. Le petit garçon qui a mené le musicien dans l’affreux château arrive, ouvrant une porte derrière la femme et courant vers elle, s’agrippant à sa hanche, ayant entendu les dire de la demoiselle depuis la pièce précédente.
-Si tu veux savoir le nom du joueur de flûte … Il s’appelle Mike ! Il me l’a dit tout à l’heure ! -C’est adorable, enfant, et l’autre, celui au chapeau de paille, l’aventurier là, c’est quoi ?
Pointant l’homme du doigt, la femme attend une réponse qui ne vient pas, le petit haussant les épaules, il part ensuite en courant dans les couloirs, chantant une comptine pour enfant qui résonne dans toute la bâtisse … C’est à en avoir des frissons.
Spoiler:
Utilisation de :
Hypnose : Mike utilise sa flûte pour produire une musique qui peut lui permettre de prendre le contrôle d’animaux divers, mais le contrôle dépend de son niveau : -Petits animaux, insectes peu dangereux. Ordres simples tels que : « Attaque » ou « Défend »
&
Abri : Grâce aux coussinets qu'il possède sur les paumes de ses mains et sur la plante de ses pieds, Mike peut absolument tout pousser, que ce soit matériel ou non.
Avis au noteur: Mike était dans les niveaux 19-20 a ce moment, tout comme moi.
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Sabor
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Ven 2 Mai - 9:59
« Rumeurs d'un charme démoniaque ♪ »
Le fourbe, comment a t’il osé tuer plusieurs volatiles au plumage noir ainsi ? Dans sa demeure ? Le sang des volatiles s’était étalé un peu partout, éclaboussant même les premières marches de l’escalier où la démone était postée pour mieux profiter du spectacle. Se prenant ensuite le coup impressionnant de paume du musicien, l’homme vole à travers la pièce et se mange le mur, laissant un cri de jouissance sortir des lèvres de la femme.
-Encore, Mike ! Encore !
Seulement, l’homme se relève, ayant pour le moment fait que des actions vaines. De la même manière qu’ils sont venus, les corbeaux repartent, formant un seul et unique vol sauf pour les derniers, mal en point, qui mettent un peu plus de temps à s’envoler. L’inconnu prend donc appui sur le mur, sautant vers le rouquin qui, d’un geste simple, s’accroupit et pousse le cadavre d’un corbeau en direction du visage de son agresseur, cherchant ainsi à le déstabiliser. Malheureusement, le pauvre animal, déjà mort certes, se retrouve complètement déchiqueté à cause de la drôle d’attaque de l’homme, forçant donc Mike à se jeter sur le côté pour éviter. Sauf que ceci n’était qu’une ruse, l’onde de choc, inquiète pour son petit guerrier, la demoiselle s’exclame.
-Attention mon chou, il arrive !
Se retournant d’un geste brusque, une lame positionnée horizontalement s’approche du rouquin qui ne trouve rien de mieux à faire que de se pousser contre le mur au loin, se cognant contre celui-ci à cause de la mauvaise utilisation de son fruit maudit et se relève, s’accroupissant en regardant l’autre continuer à gesticuler dans tous les sens. La demoiselle éclate de rire à cet instant, pointant du doigt le sabreur baissant la tête en arrière.
-Tu penses vraiment faire peur avec cette tronche ? Imbécile ! Regarde donc ce qu’est la peur !
Il se concentre ensuite, tellement concentré qu’il n’a pas dû entendre les dires de la femme qui, vexée, fronce des sourcils et saute dans le sol, tel un fantôme. Quelques secondes passent, Mike ayant eu l’ordre mentalement de ne pas bouger de la part de son envoûteuse, la laissant donc essayer de faire peur à cet inconnu qui tient tête à son chouchou du jour. Tel un requin, elle nage dans le sol, laissant une queue fine au bout pointu tel un démon dépasser de celui-ci, se dirigeant vers l’homme au chapeau de paille. Surgissant derrière lui avec une forme d’ours et se penchant au dessus de lui, laissant son visage faire face au sien de quelques millimètres, un visage d’horreur ayant pris la place à celui de la séduisante femme. Des sourcils aussi froncés que les méchants des contes, des dents encore plus pointues que les requins, une expression aussi effrayante que celle d’un tueur en série, cette fois-ci, elle avait mis le paquet, disparaissant aussitôt avant de se prendre un coup, préparant simplement le terrain pour une nouvelle attaque du musicien.
-Maintenant !
Certes elle n’était pas encore réapparue au sommet des escaliers mais cela n’empêche pas la douce de parler ou de voir. D’ailleurs seule elle sait où elle est. Le rouquin s’accroupit tel un sumo et commence une rafale de coup de paume dans le vide, formant des bulles d’air qui foncent sur son adversaire poussant parfois des rochers, morceau de bâtiment tombés au sol lorsque le sabreur a volé plus tôt, combinant ainsi sans le vouloir deux techniques de son fruit. Face à lui, l’homme aura donc des bulles d’air d’environ vingt centimètres de diamètre, fonçant à une vitesse encore plus rapide que celle d’un cheval au galop, parfois même des rochers qui foncent vers lui, un vrai challenge pour un aventurier qu’est d’éviter cette attaque.
Spoiler:
Utilisation de :
Abri : Grâce aux coussinets qu'il possède sur les paumes de ses mains et sur la plante de ses pieds, Mike peut absolument tout pousser, que ce soit matériel ou non. & Hâte : Avec les coussinets de ses mains, Mike peut se pousser pour aller où il le souhaite. Si bien qu'on croit qu'il se téléporte. & Close-combat : Rafale d'attaque Forte-Paume plus rapidement et plus puissante.
(Pour que tu saches : Forte-Paume : En poussant l'air, la vitesse de la poussée blesse l'adversaire que Mike vise.)
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Dim 4 Mai - 16:19
« Rumeurs d'un charme démoniaque ♪ »
La première bulle d’air du rouquin vient à éclater contre une lame d’air que le fourreau de l’épée que l’inconnu a utilisé. Ensuite, il le jette en direction du jeune musicien, l’arrêtant dans son attaque et esquivant derrière un meuble en bois plutôt vieux. Les dernières bulles d’air et rochers que Mike a poussés viennent s’écraser en bas de l’escalier, provoquant ainsi un nuage de poussière qui commence à remplir un peu la salle mais qui s’évapore très rapidement. Le fourreau en direction du rouquin, le jeune homme utilise une de ses paumes, poussant ainsi l’objet vers le haut de l’escalier, bien derrière la femme qui manque de peu de se le manger en pleine face. Hurlant elle pointe du doigt l’homme qui se déplace de meuble en meuble se cachant de son adversaire mais pas de la spectatrice.
-Il est là, bute-le ! Bute-le !
Ses dires changent. Alors que tout à l’heure elle ne voulait pas voir sa victime mourir, cette fois-ci, elle s’en moque, elle commence à s’inquiéter pour son favori, réalisant que le voyageur n’est au final pas qu’un simple voyageur mais qu’il est aussi un bon petit combattant capable de rivaliser contre le musicien et de s’adapter au terrain. Chose qu’elle n’est pas capable de dicter au rouquin. D’ailleurs, peu à peu, la créature de charme commence à s’inquiéter, et si son petit amuse-gueule venait à battre son chouchou ? Que ferait-elle avec le sang de son rouquin préféré sur les mains et un adversaire face à elle ? Tant de questions qui commencent à se bousculer au sein de son esprit de femme, détournant quelques secondes les yeux du combat, ne dictant rien à son combattant en bas. Ne bougeant pas d’un cil le coup d’épée du sabreur se rapproche de plus en plus proche du rouquin de plus en plus rapide. Dans un élan de survie, je reprends le contrôle de mon corps quelques secondes, ne réalisant pas trop ce qu’il se passe et courant, évitant sans trop le vouloir le coup du samouraï derrière moi. Je me retourne, le fixant en fronçant des sourcils.
-Mais t’es complètement malade de m’attaquer toi ! Qu’est-ce que je t’ai fait ?!
Je regarde un peu partout dans la pièce, essayant de me souvenir ce que je fais ici. Mes derniers souvenirs remontent à dans un couloir où je suis tombé à genoux, il y a aussi avant ça, dans la chambre avec le monstre qui voulait me manger je crois. Je vais pour me frotter le visage, réalisant que je n’ai pas de gant, et me voici, pousser dans un mur à cause de ma maladresse, quel pouvoir de merde …
-Non ! Ce n’est pas possible, reviens là rouquin de malheur ! Tu m’appartiens !
Je suis contre le mur mais je tente quand même de reculer, la voix démoniaque en colère s’adressant à moi, je ne suis pas vraiment rassuré. Je me relève malgré tout, ne restant pas là et un peu rassuré par la présence de l’homme au chapeau de paille qui n’a pas l’air méchant en fait. Certes, il a voulu me trancher en deux il y a quelques secondes mais bon … Un être humain est toujours plus rassurant en compagnie qu’une voix démoniaque, n’est-ce pas ? M’approchant doucement de lui, je fixe le haut des escaliers, distinguant une forme humaine de femme mais avec une drôle de façon de se tenir, se tordant presque dans tous les sens.
-Hum, je crois que je n’ai pas tout suivi. T’es gentil ou pas toi du coup ?
Elle commence ensuite à hurler, un son froid, voir glacial me donne des frissons dans le dos et me faisant reculer d’un pas. Disons que je suis courageux mais pas téméraire … Avec le bout des doigts, je cherche à voir si ma flûte est à portée et oui, elle est, rassuré, je parcours rapidement l’immense pièce du regard, cherchant mes gants qui restent introuvables. Je fronce des sourcils, regardant la femme qui descend les escaliers d’une façon sensuelle. La charmante créature se distingue du commun des femmes, se déplaçant élégamment vers l’inconnu en premier, tendant son index en avant qu’elle secoue de la manière que l’on utilise pour dire aux gens d’approcher. Au fur et à mesure qu’elle s’approche, je recule, la dernière fois que j’ai eu affaire à elle, je me suis réveillé ici, qui sait ce que j’ai pu faire pendant tout ce temps …
Feuille de personnage Niveau: (38/75) Expériences: (3/350) Berrys: 51.000.000 B
Mar 6 Mai - 15:38
« Rumeurs d'un charme démoniaque ♪ »
Tout droit sortie des Enfers, la créature de charme devient au fur et à mesure qu’elle avance une créature démoniaque. Toujours se dirigeant vers Halfken, drôle de nom soit dit en passant, ses épaules s’élargissent, ses jambes grossissent et s’allongent et son visage se fait de plus en plus gros aussi. Sans oublier la queue digne des démons ainsi que des poils qui poussent. Seulement, l’homme au chapeau de paille lui offre un vent phénoménal. En fait, il a entendu quelqu’un avec une voix masculine provenant du haut des escaliers. Je le regarde monter les marches et partir, restant seul en bas avec le monstre.
-C’est entre toi et moi à présent mon mignon !
Je plisse les yeux, hors de question de cette chose me touche ! Reculant doucement, je vois le gamin qui m’a mené ici arriver depuis le haut de l’escalier. Il semble heureux puisqu’il a un grand sourire sur le visage et qu’il est en train de rire. Il n’a pas dû croiser Halfken je crois, ou alors celui-ci n’a pas dû croire qu’il était un danger et l’a laissé. Je fronce des sourcils cette fois, toujours en train de reculer pour garder une distance plutôt correcte avec le monstre, regrettant un peu de ne pas être monté avec le gars au chapeau de paille il y a quelques secondes. D’ailleurs, je n’ai même pas pu le remercier pour m’avoir rendu mes gants, je le ferai plus tard, pour le moment, la distraction en face de moi commence à s’agiter, me faisant penser à autre chose.
-Tu vas voir, bientôt tu regretteras de ne plus être sous mon emprise !
Je plonge mes gants dans ma poche, me préparant à attaquer si nécessaire. Je ne sais pas réellement pourquoi mais voir un gamin et penser que cette créature démoniaque était une femme il y a quelques instants me perturbe, je ne veux pas prendre le risque de les blesser. Le gamin passe derrière le meuble, il marche juste mais ceci lui permet de devenir un monstre presque aussi hideux que la créature là-bas.
-Je n’ai pas peur !
L’ancienne femme sensuelle se jette sur moi tel un ours qui va pour manger sa proie, ses deux mains énormes et pourvues de griffes semblent aussi grandes que mon buste, celles-ci se dirigent vers moi, chacune d’un côté différent, me prenant en sandwich. Je fais une roulade en arrière, évitant ainsi l’écrasement entre les deux énormes mains massives. A genoux, je fixe les deux monstres tour à tour, fronçant des sourcils et souriant en coin.
-En fait, vous n’avez rien d’humains … Vous n’êtes que des monstres ?
La question est dite sur le même ton qu’une affirmation. Seulement, je n’attends pas de réponse, ils veulent jouer, on va jouer. Il est vrai que je n’ai pas l’habitude de me battre et que je ne suis pas quelqu’un de ce genre, mais je débute enfin mon voyage sur les mers, j’ai enfin commencé ! Je ne vais pas laisser quiconque m’arrêter maintenant ! Si je dois me battre je vais me battre ! M’accroupissant tel un sumo, je prépare une volée de bulle d’air, hurlant pour le coup, exprimant ainsi une sorte de rage envers le fait de penser à quelqu’un qui m’arrête à peine mon aventure commencée.
-Close-combat !
Continuant à hurler la dernière syllabe. Je vise les monstres chacun leur tours, laissant apparaître un énorme nuage de fumée dans la pièce qui reste quelques instants. Là je les ai eus, j’en suis sûr et certain ! Souriant, fier de moi et respirant plutôt rapidement, essoufflé par les gestes que je viens de faire pour attaquer rapidement les créatures diaboliques, je me relève, quittant ma forme de sumo, commençant à rire. Lorsque le nuage de poussière se dissipe enfin, il n’y a plus personne dans la pièce, juste moi, uniquement moi. Je reprends doucement ma respiration, remettant mes gants et regardant un peu partout au cas où le samouraï serait à portée de vue.
-Je pars !
Je n’ai rien compris mais je ne m’attarde pas pour comprendre, je viens de crier au cas où Halfken voudrait partir et maintenant, je sors, poussant la porte et courant vers le village duquel je proviens. Tout ce que je veux maintenant, c’est monter sur le bateau et partir, espérant simplement ne plus jamais mettre les pieds ici …
Spoiler:
Utilisation de :
Close-combat : Rafale d'attaque Forte-Paume plus rapidement et plus puissante.