Voguant toujours sur les mers à l’aide de commerçants … Je voyais depuis quelques mois, de magnifiques paysages. Tous me changeaient de mon île natale. Même les gens, qui peuplaient les îles, où j’allais, étaient totalement différents de mon île natale. Peu étaient autant intéressés par le sport, que ne l’était mes anciens voisins/amis/fans … Cependant, n’étant pas un héros, qui aime avoir des dettes. Ce petit tour des Blues, me coutait quand même un bon paquet d’argent … Et oui ! Rien n’est gratuit dans la vie. Surtout pas le crime. C’est pour ça, qu’il faut tuer les meurtriers. Quoi de plus logique ? Ayant un peu marre, d’être dans le « placard à balais » de 8m² (Ouai, je sais, c’est plus un placard à canon, qu’à autre chose là) qui me servait de chambre. Je décidais de sortir de là. Néanmoins, ce n’était pas pour aller … mais bien pour me réveiller de l’horrible nuit que je venais de passer. Ainsi, j’allais à la douche, histoire de me laver. C’est pour ça que je prenais une petite douche. Et après m’être rincé et « brossé » tout le corps. Je ressortais de là. Vu qu’il n’y avait aucune femme sur le navire où je me trouvais. Je décidais de m’habiller à l’intérieur de ma douche (Ca ne veut pas dire, que j’aurai fait l’inverse devant une femme, voyons). Une fois bien propre et avec des habits à peu près propres. Vu que depuis quelques jours … Faire sa lessive était difficile pour divers raisons. Je sortais prendre l’air. Une fois dehors, je posais mes deux coudes sur le rebord du navire. Avant de sortir une cigarette de ma poche, afin de bien me décontracter. Pendant que je l’allumais. Je pus voir un homme de l’équipage passait avec une pomme. Ayant un peu faim … Je décidais de faire le mec malin. Et disais ainsi à l’homme, que je voulais faire un tour de magie. Bien entendu il acceptait. Ainsi je prenais la pomme et la croquais, avant de dire ça :
« Tu vois, il lui manque un bout maintenant et tu ne peux plus la manger … TADAM ! »
N’aimant pas trop ma petite blague. L’homme se contentait seulement de grogner dans sa barbe. Tout fier de moi, je mangeais ma pomme, tout en fumant … C’était parfait … Même si le mélange entre les deux, ne l’était pas (Non Homer Simpson ! Je n’ai pas encore réussi à reproduire ta Tomacco en version Pomme). Après quelques minutes, où j’avais fini de jeter le trognon du fruit par-dessus bord, tout comme le mégot de mon ancienne cigarette. J’entendais quelqu’un criait … C’était celui, qui était à vigie. Il annonçait une terre. N’ayant pas les yeux de lynx. J’eus du mal à remarquer la fameuse île. Néanmoins, n’abandonnant pas au premier échec. Je réussissais à discerner une ombre dans des nuages bas. Pour y arriver. Nous mettions quelques minutes. Une fois là-bas, je courus vers la sortie pour découvrir un nouvel endroit. Néanmoins, je fus stoppé par le capitaine, qui se mettait à me crier dessus … Est-ce que l’homme, à qui j’avais volé la pomme, lui avait tout dit ? La réponse était non. Il voulait seulement que j’achète du bois pour réparer le navire … Histoire que je puisse continuer le voyage avec eux. Etait-ce du chantage ? Oui, c’en était ! Cependant, ce n’était pas à moi de payer ces frais de bois. Et le papy, le savait parfaitement. C’est pour ça qu’il me donnait un beau petit sac, remplis de billets verts. Voulant profiter au maximum de mes « vacances ». Je décidais de me lancer tout de suite dans cette quête. Et c’est en suivant cette idée. Que je demandais à tout le monde, où se trouvait l’endroit, où le bois s’achetait. On me répondait que c’étaient aux halles. C’était que je devais me diriger … c’est ce que je fis. Après avoir crié partout que je cherchais un vendeur de bois. Un homme vint m’accoster. Il semblait être un expert, mais il avait un regard louche. Vous savez celui, qui n’a que de l’argent dans la vie et aucune femme (Oui je sais ce n’est pas bien de juger les personnes au premier regard … mais … mais … je vous emmerde !). Un gros voleur de pauvre quoi ! L’inverse de moi en fait. Le radin me demandait ce que je recherchais comme bois. Je lui répondais un pour faire des réparations … mais pas n’importe lequel ! Un qui coute cher ! Car on était un équipage riche. Oui, je mentais car après tout le vieux schnock du navire m’avait bien cherché. Il me répondait qu’à son entrepôt, il avait ce que je cherchais. Et c’est ainsi, que je fus embarqué dans une affaire louche. Etant un peu parano’ à ce moment-là. Je décidais de sortir un couteau, afin de pouvoir me défendre, si jamais on m’attaquait. Heureusement pour moi, le hangar où se trouvait cette fameuse ressource, n’était pas caché du Monde. Ainsi, si jamais on voulait me voler ou me tuer. Ils seraient obligés de le faire en public. Et c’est pour cette même raison, que le vieil escroc s’était fait voler. Trouvant drôle, qu’un avare se fasse arnaquer. Je ne pus m’empêcher de rire. Me trouvant surement bizarre et moqueur. L’homme me répondait avec cela :
« Hé toi ! Ne rigole pas ! Je te propose un marché, si jamais tu retrouves les voleurs, je t’offre autant de bois que tu veux. »
D’un simple pouce levé … J’acceptais d’aider ce vieil escroc. Et je partais avec mon sac, plein de billets, crier dans les rues que je recherchais des voleurs de bois … Chose que je ne savais pas à l’époque ! Accepter une telle mission allait m’emmener faire une quête aussi périlleuse, que … drôle.
Codage by TAC
Invité
Sabor
Messages : 566
Race : Humain
Équipage : Inquisition
Feuille de personnage Niveau: (38/75) Expériences: (3/350) Berrys: 51.000.000 B
Jeu 13 Mar - 14:09
« La planète des singes ♪ »
Me voilà dans une jolie merde. Je suis arrivé ce matin et comme à mon habitude, j'ai joué de la flûte pour me faire de l'argent. Seulement, sur cette île de radin, je n'ai eu le droit qu'à de petites pièces ou des regards accusateurs. Un vieil homme est même passé à côté de moi en disant que je n'ai qu'un jeune profiteur. Je ne sais pas si ce sont les habitants ou ma musique mais je n'ai aucun succès au final. Peut-être que c'est ma faute, j'ai sans doute une baisse de régime. En parlant de régime, une vieille dame m'accoste avec des bananes bien jaunes dans les bras, le regard attendrissant et un sourire comme on aime le voir sur les visages de grands-mères.
-Jeune homme, pouvez-vous m'aider s'il vous plaît ? -Vous voulez que je porte vos courses jusque chez vous ? -Oula, non ! J'aimerais un peu d'aide pour monter mon stand et vendre mes bananes ... -Qu'est-ce que je dois faire ? -Et bien, vous voyez là-bas ! J'ai tout ce qu'il faut pour monter mon stand mais le problème est qu'avec mon grand âge et mon dos, je ne peux rien faire seule et personne n'accepte de m'aider ici ...
Je soupire, tous des radins ici, personne n'a de cœur pour aider cette pauvre vieille femme ? Je lui souris, me penchant un peu en posant ma main sur son épaule. La petite femme me sourit à son tour, comprenant que je vais l'aider.
-Arrêtez jeune femme ! Vous devez à peine avoir la trentaine ! Je vais m'occuper de la construction de votre stand, d'accord ?
Je me dirige vers la zone accordée pour qu'elle construise son petit étalage. J'attache ma flûte à ma ceinture et je remonte mes manches, attrapant au hasard un marteau et des planches de bois claires. Puis, ma motivation part. Comment on construit un stand déjà ? Je me gratte la tête puis le dos avec le marteau, le laissant ensuite tomber par terre. Je fouille dans un coffre où je trouve une notice. Apparemment, en comprenant bien le tout, tout s'emboîte, pas besoin de clou ou de marteau du coup. Sur une petite table, je pose l'outil et j'étale le plan, le gardant à l'abri d'un envol à cause du vent en posant le marteau sur un coin et une pierre sur l'autre coin, celui opposé au coin où le marteau est.
Le schéma est clair, je dois mettre les grosses poutres dans les trous prévus à cet effet. Je me dirige vers les poutres donc, attrapant l'une des deux principales qui doivent être placées sur le devant. Je tente de la lever pour la positionner en équilibre sur mon épaule mais je me surestime ... C'est très lourd ! C'est donc en la traînant que je laisse la poutre glisser dans le trou où elle doit être. Je n'ai presque rien fait et je suis déjà en sueur. J'enlève ma veste que je pose sur la table ainsi que ma flûte qui risque plus de me gêner qu'autre chose que je pose contre la table.
Je fais de même avec la seconde poutre, puis, j'attache la banderole expliquant que l'on vend des bananes. Juste des bananes ? J'ignore si la petite madame va avoir un succès avec ce produit frais. Je hausse les épaules, après tout, ce n'est pas mon soucis. Je retourne vers le plan regardant à présent comment monter l'étalage. Et là, ça commence déjà à devenir plus compliqué puisque sur la fin, les explications sont presque effacées. Je cherche la petite dame du regard mais rien, elle a disparu ! Je soupire, ce n'est pas grave, il doit à peine être huit heures du matin et pas mal de stands sont déjà installés. J'en profite pour voir comment certains montent les leurs. Au final c'est plutôt simple, il faut tout emboîter. C'est parti, les planches les unes après les autres, je finis par tout faire tenir en équilibre, remarquant seulement à la fin, quand mes mains servent à tout tenir qu'au final, j'ai besoin du marteau ! La dernière planche est tordue et du coup, elle ne s'emboîte pas, il faut forcer. Tendant le pied vers la table puisque je ne peux pas lâcher le tout sans que ça tombe, je réalise que j'ai l'air stupide d'autant plus que la table est de l'autre côté du stand que je construis. Dans un élan de démotivation totale, je laisse tout tomber, allant chercher le marteau puis recommençant. Ce n'est pas comme si je venais de passer un bon gros quart d'heure à tout monter ... Une fois fait, je vois enfin la vieille femme, tirant avec difficulté son cageot de fruit jaune. Je me précipite devant elle et prends donc la caisse.
-Pourquoi vous ne m'avez pas demandé d'aide ?
Timidement, elle me montre une pyramide de cageot de banane à apporter sur l'étalage. Sur le coup, je pense tourner de l’œil mais ça va le faire ! Un à un, les cageots sont rapidement exposés sur l'étalage monté de mes mains et du marteau qui est resté par terre. Puis ayant reperdu la mamie du regard, je la vois ensuite arriver, une limonade à la main qu'elle me tend.
-Pour vous remercier !
Je souris, c'est très gentil ! Je bois d'une traite, remerciant ensuite le geste puis je m'installe avec elle pour l'aider. Durant la matinée, tout se passe bien quand soudain, deux hommes aux tronches sauvages se ramènent. Je ne sais pas pourquoi mais ils me font penser à des singes, des habits et le langage en plus seulement. Je hausse un sourcil puis, sans que je m'y attende, ils attrapent un cageot de fruit chacun et partent en courant.
-Enfoirés !
J'attrape aussitôt ma flûte et je commence à leurs courir après, arrivant près d'un homme qui lui aussi, crie au vol. Je ne m'y attarde pas trop, poursuivant les deux macaques qui ont volé ce qui semble être pour eux un magnifique butin ... Saleté d'animaux !
Au voleur, au voleur … Voilà les mots, que je ne pouvais m’empêcher de crier, pendant que je marchais dans les rues de la ville. Bien entendu, vu que ce n’était pas très discret … Beaucoup de regards se retournaient vers moi. Néanmoins, personne osait m’aider … Avaient-ils peur de moi ? Ou me trouvaient-ils trop bizarre à mon gout ? Vu que je cherchais des voleurs et que je portais sur moi … Un sac, qui comportait une grande quantité de billets verts … D’ailleurs, qu’est-ce que j’allais en faire de celui-là ? Allais-je le garder pour moi ? Je trouvais qu’être un héros et super avare, n’allait pas bien ensemble. Vous ne trouvez pas ? Vu que les cris, qui sortaient de ma bouche, avaient tendance à assécher ma bouche. Je décidais de m’arrêter quelques instants dans un bar, afin de boire un verre de liqueur de banane … Chose de laquelle, je raffolais … Néanmoins, alors que je m’empressais de la commander … Le serveur me disait, qu’il n’y en avait plus … J’étais quelque peu choqué par ça. Je lui demandais ainsi comment ça se faisait. Il me répondait que depuis plusieurs semaines. Un gang d’ « homme-singes » se mettait à voler bois, banane et dérivés de ce fruit … pour un but, qui était caché de tous. Je trouvais ça bizarre … Je crus même au début, que l’homme se foutait de ma gueule ! Vu que tout cela était cliché. Mais le barman me répondait que non ! C’était bien vrai. A partir de ce moment-là, je compris, que ceux qui avaient volé le papy de tout à l’heure … ne pouvait être qu’eux. Ainsi, avec cette idée en tête. Je repartais du bar, en ayant bu aucune goutte d’alcool. J’étais quelque peu déçu par ça. Cependant, maintenant, je savais qui chasser. Et alors que je marchais tranquillement dans les rues, tout en criant cette phrase :
« Oh les gens ! Z’avez pas vu un groupe d’homme-singes ! J’les recherche pour leur botter l’cul et reprendre ceux qu’ils ont volés. »
Néanmoins … Même si je criais de vive voix … Personne n’osait me répondre ! PUTAIN ! Mais qu’est-ce qu’ils attendaient ? Ils avaient peur de finir en banane ou quoi ? Et alors que je commençais à perdre espoir et à m’énerver. Je vis deux hommes me bousculaient. Ces derniers étaient relativement musclés, grands et poilus … D’ailleurs sur le coup ! Je les pris même pour des macaques géants ! Voulant les arrêter coute que coute. Je sortais quelques couteaux de mes poches et me mettais à les lancer … Cependant, même si j’étais plutôt doué dans ce domaine-là ! Je ne pouvais rien faire contre la grande agilité de mon adversaire et tous mes couteaux étaient déviés de leur trajectoire. Certains se plantèrent dans des civils ! Sur le coup, je m’en foutais un peu. Car une seule chose comptait à mes yeux, c’était d’arrêter ces foutus singes ! C’était pour ça, que j’en lançais encore deux, qui ne touchèrent pas mes cibles. A cause des victimes que j’avais faites … Beaucoup de personnes, m’insultaient d’ « assassin » ou de « tueur ». Cela avait tendance à m’énerver ! Car après tout avec un peu de jugeote ! Ces connards de civils, auraient pu esquiver mes lames, vu qu’elles étaient simplement déviées ! Ce n’est pas de ma faute ! S’ils sont plus concentrés sur le fait de bouffer que celui de faire du sport. Cependant, ne voulant pas de faire un nouveau massacre. J’arrêtais après quelques lancers.
Et alors que je rangeais mes couteaux. Je pus voir que les deux macaques volaient une vieille dame, en lui prenant ses cagettes de bananes. Et c’est à cause de ça, qu’une jeune homme vint dans la course, contre le crime avec moi. Et alors que nous coursions les deux voleurs. Je vis l’un des deux, sortir de l’une de ses poches une banane … Voulait-il la manger ? Ou nous la lancer dessus afin qu’on dérape. La réponse était non ! Néanmoins, cela ne l’empêchait pas de nous la balancer dessus. Ne voulant pas me faire dégueulasser par ça. Je vis quelques pas sur le côté afin de l’esquiver. Et alors que l’objet passait à quelques centimètres de mon oreilles … J’’entendis un « tic-tac-tic-tac ». La première idée qui me passait en tête, était celle-là : Serait-ce une banane explosive … Comme dans ce fameux jeu de rôle sur table, où on contrôle des lombrics, avec des armes abusay ! Si oui ! Où était mon baudet de béton, pour que je les écrase avec, bordel de merde ! Ne voulant pas que mon « nouvel allié » se fasse tuer par une arme aussi basique qu’elle. Je criais cela :
« ATTENTION ! CETTE BANANE EST TRÈS DANGEREUSE ! »
Oui ! Sur le coup ! Je passais pour un gros abruti, qui avait une fruitophobie (La crainte, la plus conne au Monde, surement !) ! Néanmoins, ma phrase n’avait servi presque à rien. Puisque quand je finissais de parler, l’objet avait explosé. Et lorsque je me retournais. Je pus voir un espèce de cratère fumant dans le sol … Est-ce que le jeune homme, aux cheveux rouges, étaient encore vivant … Telle était la question que je me posais. La réponse sera dans mon prochain post’, même forum, même blue, même île, même rp’ !
Codage by TAC
Invité
Sabor
Messages : 566
Race : Humain
Équipage : Inquisition
Feuille de personnage Niveau: (38/75) Expériences: (3/350) Berrys: 51.000.000 B
Lun 17 Mar - 21:31
« La planète des singes ♪ »
A chaque fois c'est pour ma poire ! Tout le temps hein ... Je me retrouve toujours dans de drôle de situations, ce n'est pas possible à la fin ... Je suis tombé dans le cliché de l'année, de plus, deux singes ont volé mes bananes et me voici à leur poursuite pour récupérer les fruits jaunes courbés. Aussi, je suis arrivé auprès d'un homme lanceur de couteau qui ne sait pas viser et qui tue des civils par accident. Je n'ai pas le temps de m'arrêter pour défendre les pauvres gens victimes d'un horrible fou qui a raté son audition pour rejoindre un cirque. Après tout, je dois déjà aider la mamie qui s'est faite voler ses bananes quoi ... Je cours derrière les hommes singes quand l'un d'eux jette une banane que je laisse passer derrière moi, n'arrêtant pas ma course pour autant, s'ils veulent me faire glisser, il m'en faudra plus !
-ATTENTION ! CETTE BANANE EST TRÈS DANGEREUSE ! -Quoi ?
Je regarde quelques petites secondes derrière moi et je sens un truc pas net avec cet homme. J'en profite pour me pousser sur un toit avec mes coussinets, enlevant et remettant mon gant avant et après l'action. j'entends une explosion en bas, là d'où je viens ... Ne me dites pas que la banane a explosé ou que l'homme était armé comme un kamikaze et qu'il s'est fait sauter ! Courant sur les toits, j'oublie rapidement et j'en profite pour prendre une longueur d'avance sur les macaques qui courent encore en bas. J'arrive donc devant eux, ayant environ cinquante mètres d'avance et je saute du toit, en profitant pour essayer les ralentir comme je peux.
-Météores !
Cette fois, je ne cherche pas du tout à blesser les voleurs, je veux juste qu'ils s'arrêtent, qu'ils rendent les bananes et ensuite, je puisse aller m'occuper du fou au couteau s'il est encore là et pas en morceaux au milieu de la rue où a eu lieu l'explosion un peu plus tôt. Dans les airs, je donne des coups de pied qui envoient des boules d'air qui se dirigent vers le sol depuis mes coussinets sous mes pieds qui font voler la poussière au sol, arrêtant les deux singes qui, au lieu de s'arrêter totalement, foncent finalement dans une petite ruelle dans laquelle je m'enfonce également. Courant derrière eux, ils me balancent les poubelles que l'on croise pour m'arrêter et à un moment, ils grimpent à une échelle en fer qui ne semble pas vraiment résistante mais qui supporte tout de même le poids des deux hommes singes qui arrivent trop rapidement à mon goût sur le toit là-haut.
-Rah, les enfoirés !
Je grimpe à mon tour mais avec moins d'aisance qu'eux. Ces sales animaux vont réussir à prendre une longueur d'avance maintenant ... Un à un, je monte aux barreaux de l'échelle pour me retrouver sur le toit une nouvelle fois. Une fois en haut, je regarde un peu de tous les côtés, je cherche où sont donc passés mes proies de course. Je fronce des sourcils en regardant vers le Nord. Je fléchis les jambes, me poussant vers l'un des deux. Je me pousse donc vers celui de gauche. Tel un projectile, je lui arrive dans le dos, nous faisant tomber au sol. Le singe au sol, le second en profite pour ramasser la cagette de son partenaire et partir à toutes jambes, laissant son ami à terre ... Sur le toit mais au sol. Le singe se lève dans une rage noire et me regarde en frottant ses poings ... Je crois qu'il est en colère ...
-Tu veux te battre ?
J'avale ma salive, je n'avais pas pensé à l'éventualité de me battre mais s'il le faut ... Je repense à la douce femme qui m'a servi de la limonade plus tôt dans la matinée et que j'ai aidé ... Je ne peux vraiment pas arrêter maintenant, pas après tout ça !
BOOM … Et tout avait disparu … A l’endroit où la banane avait explosé … Il ne restait strictement rien … Même pas le jeune homme … Comme de nombreuses personnes … Il était mort comme un inconnu … Maintenant, je me devais d’honorer sa mémoire, en tuant ces foutus macaques … Ah en fait nan ! Oubliez ce que je viens de dire. L’homme avait su esquiver cette explosion, en sautant sur un toit. Et oui ! A croire, qu’il était le fils de ces foutus homme-singes … On ne sait jamais après tout ! Ça peut être l’un de leurs complices ! Et quand j’aurai tourné le dos … PAF ! Il me plante un couteau dans le dos (Oui, c’est ce qui s’appelle être un gros parano’). Néanmoins, je n’avais pas le temps de m’attarder sur cette théorie, complétement farfelue … Tout droit sortie du cerveau d’un fou génie … Il fallait que je reprenne la poursuite ! Et c’est ainsi, qu’en faisant de larges pas, j’essayais de combler mon retard. Néanmoins, ce n’était pas aussi facile que ça … Certes les homme-singes ne me balançaient pas de bananes, pour me faire glisser … Mais cela ne les empêchait pas de courir vite.
Même les bombes d’air de l’autre fou … ne les ralentissait pas … Vous vous rendez compte ? Ces homme-singes sont super résistants ! Afin que le jeune homme ne les bombarde plus. Ils allèrent dans une petite ruelle, qui diminuait toutes attaques air-sol (Oui ! Je me crois dans l’armée !). Une fois à cet endroit-là. Les hommes se défendaient comme ils le pouvaient … Ainsi, dans ce but ! Ils balançaient des … poubelles sur moi et l’autre type ! Ayant toujours envie de courir et non de m’arrêter ! Afin de montrer que j’étais moi aussi, quelqu’un de résistant ! Je décidais de recouvrir mon av ant-bras de terre, afin de contrer les objets volants, avec des coups de poing. Et même si à la fin, je puais le vieux poisson et la pizza périmée ! Je m’en étais quand même sorti indemne. Après ça, il fallait faire la queue pour monter sur le toit, à l’aide d’une échelle. N’étant pas quelqu’un de super patient. Je décidais de contourner cet objet. En faisant le yamakasi sur le mur. Afin que le sac de billets, que je transportais toujours, ne tombe pas par terre. Je mettais ce dernier en bandoulière autour de moi. Et à l’aide de petits bons et de prises plus ou moins sûres … Je réussissais à monter tout en haut, sans tomber ! Certes, je n’étais pas le premier à arriver là … Mais bon, cela montrait quand même, que j’étais quelqu’un de stylé ! Quand j’arrivais en haut ! Je pus voir que des drôles de choses se passaient entre … l’homme singe et mon "allié" ! Ils étaient couchés l’un sur l’autre ! Néanmoins, contrairement à quelqu’un, que j’avais déjà rencontré ! Celui, que j’avais en face de mes yeux, n’était pas zoophile ! Car oui, après s’être relevé … Un combat allait commencer entre les deux. Le mi-homme, mi-animal, avait même demandé au jeune, s’il voulait se battre. Et alors que ce macaque faisait craquer chaque phalange de ses doigts … Signe qu’il voulait en effet se battre … Mon jeune « allié » se mettait en position … Tout comme moi … Mais sauf qu’au dernier moment, l’homme-signe disât cela :
« Et bah moi nan ! »
Après avoir dit cette phrase, le voleur partit en courant … Et bien entendu ! Il n’allait pas vers nous ! Sur le chemin, il laissât tomber une banane. Prenant ça pour un dangereux explosif. Je décidais de faire quelques pas en arrière. Afin de ne pas être tué, ou ne plus être sur le toit, qui pouvait s’effondrer. Néanmoins, contrairement à ce que je pensais … Quand le fruit explosât … Il n’y eut rien de dramatique. Mais simplement, un épais brouillard jaune … qui sentait … qui sentait … la banane bien entendu ! Dans cette fumée jaunâtre … J’essayais d’avancer. Mais où que j’allais, il y en avait toujours plus ! C’était super chiant. Et il fallut attendre un coup de vent, pour que tout se disperse. Voyant que l’homme singe, n’était plus présent ici, je criais cette phrase :
« Putain ! Mais t’trop con, ils s’sont enfuis ! Ah bah j’te félicite pas hein ! »
Lui disais-je sous un ton énervé … Maintenant, on allait devoir les chercher … Et vu que je ne connaissais pas cette ville … Et bah ! On était dans la merde ! En plus le blême ici ! C’est que les habitants, refusent de parler de ces foutus homme singes ! Seuls, les plus courageux le font.
Codage by TAC
Invité
Sabor
Messages : 566
Race : Humain
Équipage : Inquisition
Feuille de personnage Niveau: (38/75) Expériences: (3/350) Berrys: 51.000.000 B
Dim 23 Mar - 21:00
« La planète des singes ♪ »
Apparemment, l'homme singe a changé d'avis. D'un coup, celui-ci retourne sa veste, refusant de se battre et préférant fuir, lâchant derrière lui une banane. Je regarde le fruit tomber à terre. Je vais pour le ramasser quand celui-ci explose laissant ainsi échapper un brouillard jaune. Durant la petite explosion qui m'a fait plus de peur que de mal, je suis tombé en arrière, ayant atterri sur les fesses. Pendant de longues secondes, l'épais brouillard m'empêche de voir quoi que ce soit, il faut attendre un coup de vent pour que je vois enfin autour de moi, me relevant ainsi et voyant que le fou qui a tué des civils tout à l'heure avec des couteaux. Celui-ci, en colère aussi je crois, me dispute ainsi.
-Putain ! Mais t’trop con, ils s’sont enfuis ! Ah bah j’te félicite pas hein !
Je fronce des sourcils. Retrouver les singes ne sera pas tâche aisée dans cette ville surtout qu'en plus. Pendant quelques secondes, je me tâte. Au final cet homme est un criminel qui a tué des civils tout à l'heure, je dois me débarrasser de lui car il risque de me gêner, surtout que je ne veux pas avoir affaire à sa sauvagerie, j'en ai assez avec les macaques. Je cours vers lui, toujours sur le toit et tends ma main devant moi, paume en avant pour tenter de le pousser, remarquant ensuite que des bananes sont au sol. En fait, le premier singe a laissé des bananes derrière lui, seulement, son idiot de confrère n'a rien ramassé. Je roule des yeux, ramassant une banane et, reprenant une course, je suis les fruits jaunes courbés. Pendant ma course de toit en toit, je pense au fait de manger les fruits, les tremper dans le chocolat et les manger. Bavant presque à cette idée, je fonce dans une cheminée, réalisant que je me suis éloigné de la piste des bananes. Je fais donc quelques pas en arrière, voyant qu'en bas il y a la ruelle de laquelle je viens. En bas, une femme plutôt dodue se promène avec son chariot de plante à vendre. Je m'arrête donc quelques secondes, reprenant un peu mon souffle puisque je viens de courir et celle-ci, hurlant le nom de la plante qu'elle vend me regarde droit dans les yeux, d'abord intriguée car je suis sur le toit d'une maison, ensuite en colère ou du moins, elle prend un ton agressif.
-Qu'est-ce que t'as coprophage ? Tu veux acheter une citronnelle ou tu veux pas ?
Je recule de quelques pas jusqu'à ce que celle-ci ne puisse plus me voir, la laissant hurler d'autres mots bizarres. Mon objectif est de retrouver les bananes volées, pas de m'arrêter toutes les trois secondes parce qu'un papillon vole ... Il faut vraiment que j'arrive à me concentrer, je ne sais pas ce que j'ai en ce moment mais le moindre petit truc me faire changer d'objectif. Suivant donc les bananes, j'arrive au bord de la ville. Je descends donc du toit, continuant à courir pendant une petite centaine de mètres, longeant la falaise au pied de laquelle la ville est installée. La falaise n'est pas vraiment très haute, cependant, elle laisse une crevasse la couper en deux.
-Bon, aller.
Une belette me passe entre les jambes, effrayée par je ne sais quoi, courant ainsi vers un lieu qui, je pense, doit être le plus loin possible de là d'où elle vient. Quand je lève les yeux, je remarque un arbre à olives mais quelque chose cloche là-haut. Heureusement, il fait jour, le crépuscule du début de nuit aurait nui à ma visibilité. Je vois un homme singe, je fronce des sourcils mais celui-ci sort une sorte de catapulte d'un buisson. Je plisse ensuite les yeux, essayant de comprendre ce qu'ils mettent dans les engins. L'un d'eux court, tirant ainsi une multitude de catapultes, collées les unes aux autres sur une quinzaine de mètres. Ils chargent les engins et un autre homme, plus grand et plus costaud.
-Intrus ! Que veux-tu ? -Je veux récupérer les bananes volées à la mamie du marché bande de voleurs !
Ils se mettent à rire, les uns après les autres, puis celui que je pense être le leader de tout ça reprend la parole.
-Jamais ! Bombardez-le !
Je me pousse dans la crevasse, réalisant que j'ai atterri en plein milieu de leur repaire.
Je venais d’exprimer tout mon mécontentement ! Et cela n’avait pas plu à mon jeune « allié ». Vu qu’en réponse, il se contentait de mon foncer dessus, avec le poing haut. N’étant pas maso’. Je décidais de l’esquiver … Quoi de plus normal … Néanmoins, étant sur un toit, qui avait connu des averses récemment. Mon pieds droit glissât sur de la mousse un peu trop humide. A cause de ça je tombais en arrière. Et si jamais, je ne faisais rien. J’allais m’écraser par terre, comme une crêpe, quelques mètres plus bas. Et bien entendu ! Vu que je n’avais de superpouvoir, permettant un quelconque exploit de ce genre. Telle une bouse jetée du haut d’une fenêtre (Oui, je fais de la poésie médiévale !). Je me fracassais le dos dans … dans … une benne à ordure ! Aaaaaaah ! Je vous ai faits peur hein ! Vous avez cru, que j’étais mort hein ! Hein ! Sans moi, ça aurait était la merde hein ! Vous auriez fait quoi hein ? Rien ! Voici, la bonne réponse ! Cependant, vu que je m’étais pris un petit choc. Mon cerveau ne marchait pas super bien ! Et je mettais quelques secondes à rétablir la connexion entre mes neurones. Ainsi pendant ce court laps de temps. Je pus voir le traitre se cassait ! Car oui ! Le mec, avec qui « je faisais mon équipe », était devenu un traitre à mes yeux ! Puisqu’il avait essayé de me tuer ! Certes, je l’avais peut être insulté ! Mais bon, sur notre belle planète, on a la liberté d’expression non ? Par contre ! Si je ne m’abuse, celle de frapper, n’est toujours pas légale ! Une fois de retour dans notre monde. Je sortais de ma poubelle.
Je marchais maintenant dans la rue … Ne sachant pas où était parti le traitre et les macaques … Je demandais à tout le monde, où se cachaient les fameux homme-singes … Néanmoins, comme tout à l’heure, personne n’osait me répondre ! Ils avaient tous peur de ces criminels ! Et même en disant que j’étais un super-héros, naviguant sur les mers pour protéger les plus faibles … Cela ne changeait rien ! Cela était peut-être dû au fait que j’avais blessé (voire tué s’ils étaient faibles) leurs amis et/ou voisins. Ainsi avec peu d’informations en tête. Je me remettais à aller n’importe où. Croisant au passage n’importe qui, faisant n’importe quoi (TRIPLE COMBO !). Jusqu’à ce que je croise, deux hommes, relativement forts et grands, qui parlaient de … de … banane ! Et oui ! Maintenant il fallait que je les suive ! Or étant quelqu’un, qui se trimballait avec un masque jaune sur la gueule … Je n’étais pas très discret. Ainsi, il fallait que je trouve quelque chose pour me cacher. Et en trottinant dans les environs. Je tombais sur une gigantesque boite à banane sur roulette. Qu’est-ce que ça faisait là ? Je ne le savais pas ! Je n’étais devin (Désolé de vous décevoir) ! Sachant qu’ils cherchaient surement des bananes. Je décidais de me cacher à l’intérieur. Et bien entendu, vu que je n’étais pas un fantôme. Des bananes entrèrent en contact avec moi, et s’écrasèrent contre ma superbe tenue … Ainsi ! Maintenant, en plus de puer la vieille poubelle. J’étais recouvert de banane et maintenant je sentais comme elle. Et vu que tout se passait bien dans mes plans. La caisse de banane était embarquée par les deux mecs, que j’avais croisés avant. Sur le chemin, je me tapais partout. Mais étant un homme fort et résistant. Aucun bruit ne sortit de ma bouche durant ces cinq minutes de confinement. Lorsque le cadi fut arrêté. Les premières bananes furent enlevées du haut de l’objet à la main. Jusqu’à ce que ma tête apparaisse. Et dès qu’ils virent cette dernière. Il ne pouvait s’empêcher de crier. Afin de me faire passer pour une personne que je n’étais pas. Je me levais, tout en touchant une banane sur le chemin. Et une fois avec la tête dégagée, ainsi que le haut du buste. Je disais ça, d’une voix, qui était tout à fait sérieuse :
« Oïé Oïé ! J’me présente ! J’suis un homme-banane ! Et oui ! J’suis né dans c’fruits, que vous avez achetés ! Regardez, j’sens la banane ! Et ma main est même recouverte d’peau de banane ! Donc si vous vénérez c’fruits ! Laissez-moi vivre ! »
Durant les premières secondes, qui suivirent … Je crus que mon coup de bluff n’allait pas marcher … Et c’est ce qu’il se passât ! L’homme me disait ça :
« Bah si t’es une banane, on va pouvoir t’assommer pour te balancer sur les humains ! »
Dès que j’entendis ça et que je vis l’homme, sortir une énorme matraque en forme de banane. Mes yeux sortirent de leurs orbites. Et là, je n’eus qu’une idée ! Me casser de là ! Ainsi, en poussant sur mes bras, j’arrivais à bondir en dehors de mon cadi. Et vu que j’avais pris quelques bananes. J’essayais de les lancer sur les pieds de mon ennemi, afin qu’il glisse et ne me tue pas. Mais cela ne marchât. Et là quand je n’eus plus de fruit en main. Je me contentais de courir partout, tout en esquivant tous les associés de l’homme à la massue et en criant à l’aide le plus fort que je pouvais, afin qu’on me secoure (Oui ! J’avais l’air d’un peureux ! Mais c’est ça, le point fort d’un bon acteur, il faut se mettre dans le corps du personne qu’on incarne #excuseàlacon).
Codage by TAC
Invité
Sabor
Messages : 566
Race : Humain
Équipage : Inquisition
Feuille de personnage Niveau: (38/75) Expériences: (3/350) Berrys: 51.000.000 B
Jeu 27 Mar - 14:52
« La planète des singes ♪ »
Comment je devine que je suis au milieu du repère des hommes singes ? Et bien c’est très simple. Autour de moi, les bureaux, les murs, les étagères et même les poubelles sont remplies de bananes. Il y en a toutes les sauces. Des mûres, des moins mûres, en fruits, en jus, mangées, pas mangées … Lâcher ici un singe et il passera une bonne journée. Réalisant que je suis seul, j’en profite pour fouiller, après tout, s’ils veulent venir se battre ici, ils auront du chemin à faire pour descendre de la falaise sans sauter et se casser une passe. Je pousse donc toutes les bananes du bureau et regard ce que je vais appeler un journal de bord. Je passe les pages jusqu’à tomber sur un nom, Julia Banana. En feuilletant, je trouve aussi une image, sûrement d’elle. Une guenon habillée de façon exotique avec des noix de coco coupées en deux pour remplacer le soutien-gorge et une jupe en feuilles de bambou. Je retourne l’image.
-De Julia Banana, pour toi mon petit jus de banane chéri.
De plus, c’est signé avec une marque de rouge à lèvres jaunes. Je souris, c’est mignon. Je tourne encore les pages et je réalise le pourquoi du comment. Dans le journal, il est écrit que les hommes singes ne sont pas vraiment acceptés sur cette île de radin car ils sont vus comme des sauvages et des voleurs. Seulement en remontant aux origines, je peux constater qu’ils vivaient sur cette île avant l’arrivée des hommes normaux. Certes ils n’étaient qu’un clan d’une dizaine homme singe et ils sont tombés dans l’oubli des récits mais ils étaient là. Sauf qu’avec leurs physiques, ils se voient refuser chaque boulot qu’ils veulent ou peuvent faire et de plus, ils sont allergiques à la nourriture excepté la banane. Je tourne la page, cette allergie est héréditaire, et en fait, ils font tous partis de la même famille. C’est moche en fait, les pauvres, ils ne peuvent pas travailler et manger que des bananes. Du coup, ils sont contraints de voler et de se forger une mauvaise réputation car sinon, ils seraient en train de mourir. Quelle injustice ! J’entends ensuite un bruit de roulette, deux hommes animaux tirent une caisse. Comme je peux, je me cache dans un tas de bananes en profitant pour en manger une. Je crève de faim, je n’ai rien avalé autre que le jus de fruit tout à l’heure offert par la petite mamie. Ils vident la caisse, remplie de banane puis tombent sur quelque chose qui semble les surprendre.
-Oïé Oïé ! J’me présente ! J’suis un homme-banane ! Et oui ! J’suis né dans c’fruits, que vous avez achetés ! Regardez, j’sens la banane ! Et ma main est même recouverte d’peau de banane ! Donc si vous vénérez c’fruits ! Laissez-moi vivre !
Encore lui … Mais ce n’est pas possible ! Ce mec est complètement barré et de plus, je crois qu’il devrait aller voir un médecin pour le cerveau, ce n’est pas un étage qui lui manque, c’est carrément une moitié d’organe. Après quelques secondes de silence, l’un des hommes singe réplique.
-Bah si t’es une banane, on va pouvoir t’assommer pour te balancer sur les humains !
Puis s’ensuit une course-poursuite entre les trois débiles, pas un pour rattraper l’autre dans cette histoire. L’un des singes possède une matraque ou marteau en forme de banane. La forme n’aide vraiment pas à faire saisir l’utilisation première de l’outil. Quant au débile dont je me suis débarrassé tout à l’heure, il a eu la brillante idée de jeter des bananes pour je ne sais quelle raison, comme si elles allaient blesser des gens, ce ne sont que des fruits bon sang ! J’attrape une seconde banane que je mange et je sors ensuite, regardant les trois hommes toujours en train de courir les uns derrière les autres.
-Bon, ça suffit ! Toi ! Pose cette banane géante à terre ! Toi ! Qu’est-ce que tu fais encore dans mes pattes ?! Et toi ! Arrêtes toi aussi ! J’ai lu votre journal de bord et à présent, je sais presque tout !
Tel un super-héros, je monte sur le bureau, les mains sur les hanches et le regard vers le ciel, souriant. Seulement, les singes du haut de la falaise débarquent, des bananes aux mains.
-Je peux tout expliquer ! J'ai lu ça ! Et, j'ai compris !
L'homme singe, le fameux chef, plisse les yeux et la photo de de la guenon tombe par terre.
Je courrais maintenant dans tous les sens. Certains coups, qu’on essayait de me donner, passaient à seulement quelques millimètres de ma tête. Quant à d’autres … Bah ils étaient totalement loupés ! Heureusement pour moi, je n’étais pas tombé sur des pro’s (Et oui, tous ne pouvaient avoir mon style et ma puissance). Ainsi, je ne finissais pas assommer … Mais je tombais bien sur le traitre de tout à l’heure ! Et à ce que je pus voir, il n’était pas content que je sois là. Voulait-il encore me tuer ? La réponse était surement oui ! Après m’être adressé la parole. Il le fit avec les homme-singes. Il se mettait à parler d’un livre, qu’il avait eu le temps de bouquiner. C’était sur nos ennemis communs et la raison, pour laquelle il volait plein de choses, tel que des bananes ou du bois. Afin de montrer qui le jeune homme était, soit un petit marrant, qui se croit tout permis. Ayant compris qu’on (Car oui, je suis dans son groupe, même si on s’aime pas trop) savait tout sur eux (Enfin pas moi hein ! Ouai je sais, je suis dur à comprendre, mais bon ça fait mon charme, demandez aux femmes, elles vous diront que oui, enfin je crois). Leur chef, celui qui avait la banane géante ordonnait à ses hommes de nous foncer dessus. Pas trop content de ça. Je criais à celui, qui était censé être dans mon camp :
« T’ain ! Mais t’veux vraiment ma mort hein ?! A la fois, t’essayes de m’pousser du haut d’un toit t’à l’heure ! Et là, tu nous lances dans une bataille royale à mort ! Certes, j’voulais arrêter c’foutus macaques. Mais bon, pas de cette manière ! Bref, tout ça pour dire que t’pas un génie, mon pauvre ! »
Et alors, que je venais de finir de râler parler. Un allié des homme-singes, s’était suffisamment approché de moi pour me frapper avec un poing américain en pleine gueule ! Et croyez-moi, cela me fit drôlement mal. En plus, j’étais maintenant à terre, quelque peu sonné, je voyais même deux bananes tournaient autour de ma tête. Et une question circulait dans ma tête maintenant. Est-ce que j’allais devoir porter un masque, par-dessus mon masque, vu que mon os zygomatique était peut-être cassé ? En tout cas ! Même s’il était encore en un seul morceau et que je saignais de la lèvre. Je me devais de répliquer. Ainsi, après deux-trois secondes, passées sur le sol. Je me relevais et je prenais en main, l’un de mes fidèles couteaux. Et sur l’homme, je lançais une attaque, qui portait le nom chorizo. D’ailleurs, au passage, vous pouvez vous poser cette question : Pourquoi cette attaque portait-elle ce nom ? Non pas pour qu’on se foute dans sa gueule ! Mais bien, car j’attaquais avec un couteau, et que ce dernier était aussi piquant qu’un bon sauciflard aromatisé au piment ! Et en plus, on pouvait même dire que mon ennemi, le sentit passer ! Vu que maintenant il avait trois trous dans le corps ! Et il n’avait pas pu me porter un second coup. Et alors que je fêtais ma petite victoire. Je vis encore un adversaire, vouloir m’attaquer avec un marteau cette fois-ci. Sachant que je pouvais perdre la vie, à cause d’une si grosse et lourde arme. Je décidais de lancer un couteau sur mon ennemi, afin qu’il ne m’approche pas. Et avec un peu de chance de technique (Car oui ! Dans la vie, meilleure combo il n’y a pas. Et non, dans mon cas, il n’y a plus de chance que de technique ! C’est même l’inverse), l’objet perforant arrivât dans la gorge du type. A cause de ça, une grave hémorragie s’en suivit. Après ça, quelqu’un osait encore me porter un coup. Cette fois-ci, c’était avec un simple branche. Pour contrer ce coup, qui pouvait me faire bien mal. Je touchais le sol avec ma main, afin de la recouvrir de rocher et qu’ainsi, elle puisse stopper l’avancée de l’arme ennemie. Bon point sur le plan tactique et technique : J’eus raison de faire ça, puisque je ne me pris bah une matière ligneuse en pleine gueule et l’arme de mon adversaire, était à présent cassée. Mauvais point : Bah à la place, je pris un bon coup de poing dans le bide. N’ayant pas un corps fait d’acier, j’eus le souffle qui fut coupé, durant quelques secondes. Mon adversaire en profitât pour me donner encore quelques coups un peu partout sur le corps, à l’aide de ses poings. Néanmoins, n’étant pas un gros gros maso’, après quelques secondes de martelage, je fis une roulade sur le côté droit, avant de me relever et de foutre un bon gros coup de paume, dur comme un rocher, en plein dans le plexus de mon adversaire. Ensuite, je désactivais le pouvoir de mon fruit du démon, et je prenais un couteau pour trancher la carotide de ce petit con, car après tout il avait bien cherché. Voyant que plus personne ne voulait s’approcher de moi. Je relâchais un petit soupir, vu que je pensais qu’on avait gagné la bataille. Mais mon impression ne durât pas longue puisqu’au bout d’un coup laps de temps, j’entendis ça :
« Ouh in in in in ! Ne crois pas avoir gagné la bataille ! Tu vas mourir bientôt, même très bientôt ! Ouh ! Ouh ! »
Qui osait me dire ça ? Bah c’était un petit homme-singe, qui ne devait pas dépasser les 1 mètres 50 de hauteur. Là vous pouvez me dire que pour moi, cela allait être du menu fretin. Mais le problème qu’il y avait. C’est que ce type portait sur son épaule, un bon gros bazooka, fait de bois et de métal … Vous voulez savoir la suite de mon combat contre ces macaques hein ! Bah la réponse est dans le prochain rp’ ! Même forum ! Même rp’ ! Même page !
Codage by TAC
Invité
Sabor
Messages : 566
Race : Humain
Équipage : Inquisition
Feuille de personnage Niveau: (38/75) Expériences: (3/350) Berrys: 51.000.000 B
Dim 30 Mar - 18:38
« La planète des singes ♪ »
J'ignore pourquoi le singe avec la grosse massue se met en colère. Sans doute tenait-il à cette image de Julia Banana. D'ailleurs, qui est-elle ? Sans doute une chanteuse connue de cette race de singe. Alors qu'il donne l'ordre de passer à l'assaut, le meurtrier me hurle dessus je crois.
-T’ain ! Mais t’veux vraiment ma mort hein ?! A la fois, t’essayes de m’pousser du haut d’un toit t’à l’heure ! Et là, tu nous lances dans une bataille royale à mort ! Certes, j’voulais arrêter c’foutus macaques. Mais bon, pas de cette manière ! Bref, tout ça pour dire que t’pas un génie, mon pauvre !
Ah oui, c'est bien sûr moi qu'il hurle. Je hausse les épaules, dommage que je n'ai pas réussi à le mettre hors d'état de nuire, j'ai l'impression que ses actes vont être de plus en plus inacceptable. De toute façon, un de nos adversaires communs arrive pour lui décoller la mâchoire avec un coup de poings en acier, enfin. J'espère qu'ainsi il arrêtera un peu de se plaindre. Puis celui-ci, après s'être relevé, il sort des couteaux. Ne me dis pas qu'il va recommencer à tuer pour le plaisir ? Et bien si, impuissant, le regarde tuer trois hommes comme ça, sans, au final, de réelles raisons. Sa première victime finie avec trois trous dans le corps. La seconde, un dont l'arme était un marteau fini, lui, avec un couteau dans la gorge, laissant ainsi sa vie et son sang sortir de son corps. Je ne peux qu'admirer une telle précision de lancer, dommage que ce don soit offert à un tueur. Ôter la vie des gens ne devrait pas être si facile. C'est un crime ! Certes, j'ai aussi tué, mais pas pour me défendre, c'était pour défendre la vie d'autrui et parce qu'aucune autre solution n'était envisageable dans l'immédiat. Sa dernière victime n'est pas connue de mes yeux.
Je me retrouve à terre, ayant subi un coup dans la figure, me faisant ensuite tomber en arrière. Le temps de me relever, j'attrape ma flûte et en donne un coup à l'homme singe qui l'arrête avec son avant-bras. Je laisse glisser un de mes gants au sol, poussant le singe qui me gêne dans un mur. Pendant ce temps, j'entends un singe, un petit, armé d'un bazooka.
-Ouh in in in in ! Ne crois pas avoir gagné la bataille ! Tu vas mourir bientôt, même très bientôt ! Ouh ! Ouh !
Il s'adresse au meurtrier, j'en profite pour remarquer que deux autres singes foncent vers l'homme mais, ne voulant pas les voir mourir, je cours vers les deux singes, les poussant contre les murs de la planque où nous sommes. Puis je regarde le singe avec le bazooka, tirant vers l'homme au masque jaune sur la moitié supérieure de sa tête. Je me jette sur le côté, évitant le projectile et entendant quelques secondes après une explosion derrière moi, faisant voler des bananes partout et ainsi les éparpillant dans la pièce. Il pleut des bananes, je ne pensais pas voir ceci un jour dans ma vie ...
-Écoutez-moi bon sang ! Je viens de vous dire que je sais pourquoi vous volez ! Je ne suis pas contre vous !
L'homme animal plisse les yeux, il ne sait plus vraiment quoi penser ... J'en profite pour continuer de parler.
-Je ne suis pas avec cet homme. De lui, là, vous pouvez en faire ce que vous voulez, il a tué vos hommes, je comprendrais. Mais moi, tout ce que je veux, c'est essayer de faire en sorte que vous trouviez une justice dans ce qu'il vous est arrivé !
Armé de son bazooka, fait de bois et de métal. Le tout petit homme-singe s’apprêtait à tirer. Ne voulant pas mourir. Je décidais de courir dans tous les sens, histoire qu’il ait énormément de mal à me visser. Pendant ce temps-là, je cherchais un ou deux couteaux dans ma poche, afin de contre-attaquer. Néanmoins, je ne fus pas assez rapide et mon adversaire tirait avec son arme. La seule chose que j’eus le temps de faire, était de recouvrir ma main droite, de pierre et de la mettre devant mon visage, afin que je ne sois pas blessé au visage, par un quelconque éclat de banane … Car oui ! Encore une fois, le projectile ressemblait à ce fruit jaune et courbé. Et tout comme le premier que j’avais croisé. Il était explosif. Et dès qu’il touchât le sol, une déflagration s’en suivit. Cependant, grâce à mon réflexe de me mettre la main devant le visage et de n’avoir cessé de courir. Aucun de mes organes vitaux n’avaient été blessés ! Néanmoins, j’avais roulé sur de nombreux mètres et possédaient dorénavant quelques brulures. Une fois que je fus remis de ce choc. Je n’entendais que des bourdonnements dans mes oreilles. Et je pouvais humer que l’odeur de la pierre brulée (D’ailleurs, même si j’aime les choses, qui sont épicés et chaudes … Là, je n’appréciais pas du tout cette senteur !). A cause de ce manque de sens (Car oui ! Etant fainéant et radin, aucun autre osait mieux se développer pour les remplacer), j’étais comme paralyser. Et dès que je fus debout, je vis le traître parler avec quelqu’un d’autre. Croyant qu’il complotait encore une fois contre moi. Ce qui ne serait pas très surprenant. Je criai cela :
« Hé ! Hé ! Hé ! N’faites pas confiance à c’type ! C’un traitre ! Un traitre ! J’vous dis ! T’à l’heure, il a voulu m’tuer alors qu’on f’zait équipe ! Heureusement pour moi, j’suis quelqu’un de résistant ! Hyooshishishi ! »
Après avoir dit ça. Je me relevais et une fois debout, je me débattais dans tous les sens, histoire d’enlever la poussière que j’avais sur moi. Ensuite, je me mettais en garde pour contrer toute attaque ennemie, venant soit des macaques ou soit du traitre ! A mon avis ! La plus grande probabilité que quelqu’un lance une offensive contre moi, venait de mon ancien allié. Néanmoins, pour une fois j’eus faux (Et oui, c’est phrase est vrai, car je n’ai jamais faux voyons !). Vu que c’était l’homme-singe à la gigantesque batte-banane, qui m’attaquait. Cela me surprit un peu sur le coup. Car je le croyais mort ou HS. Pour esquiver ce coup, je fis quelques sauts en arrière et une fois à quelques mètres de lui. Je le regardais et au lieu de renfoncer encore une fois sur moi, il disait cette phrase que je pouvais entendre, vu que mes problèmes de tympan avaient disparu :
« Quoi que vous fassiez ! Nous aurons notre vengeance ! Personne dans ce Monde, ne pourra nous stopper, même pas deux humains, qui ne savent que s’engueuler. »
« T’as bien raison, nous montrerons à la société ce qu’est de nous renier ! Mwouh in in in in ! »
Disait son acolyte au lance-banane explosive, avant de terminer dans un long monologue, où son seul rire « démoniaque » (J’aime bien donner des côtés dramatiques aux choses) dans la salle où nous étions. Alors comme ça ! J’allais devoir me lancer dans un 2 versus 2 ! J’espérais combattre tout seul un ennemi. Et non en duo les deux. Puisque si jamais, c’était le cas, cela allait vite devenir un 2 versus 1 versus 1 ! Et ça, c’était la grosse merde ! Puisqu’on ne sait pas où trop donner de la tête. Même si jamais parfaitement que ma justice dominerait encore une fois le côté cruel de mes ennemis. Qu’allait-il se passer ? Allais-je mourir aussitôt ? Telles étaient les questions que je me posais ! Les réponses seront dans le prochain post’ ! Même forum ! Même sujet ! Même page ! [/color][/b]
Invité
Sabor
Messages : 566
Race : Humain
Équipage : Inquisition
Feuille de personnage Niveau: (38/75) Expériences: (3/350) Berrys: 51.000.000 B
Mer 2 Avr - 23:51
« La planète des singes ♪ »
-Hé ! Hé ! Hé ! N’faites pas confiance à c’type ! C’un traitre ! Un traitre ! J’vous dis ! T’à l’heure, il a voulu m’tuer alors qu’on f’zait équipe ! Heureusement pour moi, j’suis quelqu’un de résistant ! Hyooshishishi !
Pardon ? Nous deux, faisant équipe ? Mais cet homme est complètement barré. Je le pense depuis tout à l’heure mais, je ne sais pas pourquoi, je ne le dis pas. Suite à cela, l’homme se lève, enlevant la poussière qu’il a sur lui, ayant du coup survécu à l’explosion de la banane rocket. Incroyable mais vrai, il n’a pourtant pas arrêté de bouger mais il s'est quand même pris l'attaque, comme si le missile du bazooka n’avait eu aucun impact sur lui. Il est définitivement louche ce gars, ce n’est pas croyable. L’homme au marteau en forme de banane, l’homme singe, s’est relevé et s’attaque au gars là-bas, il esquive, sautant en arrière pour éviter ainsi.
-Quoi que vous fassiez ! Nous aurons notre vengeance ! Personne dans ce Monde, ne pourra nous stopper, même pas deux humains, qui ne savent que s’engueuler. -T’as bien raison, nous montrerons à la société ce qu’est de nous renier ! Mwouh in in in in !
Je n’y crois pas. Pourquoi ces deux idiots de singes n’arrivent pas à comprendre ce que je dis depuis tout à l’heure. Je serre les poings, jetant mon autre gant au sol et fronçant des sourcils. Je cours vers l’homme au bazooka.
-Bien, c’est clair. Je m’occupe de toi. Puis ensuite de ton ami singe puis du fou aux couteaux, ce n’est pas possible que des gens soient aussi bornés dans ce monde !
Le macaque me regarde, les oreilles baissées et je lui donne un coup de paume, faisant en sorte qu’il fonce dans le mur là-bas, lâchant son arme à missile au sol que je ramasse. Je tiens l’arme devant moi, la poussant à travers la fenêtre pour que l’arme ne soit plus à portée du singe et je m’approche de celui-ci, ne faisant pas attention au gars au couteau ainsi qu’au singe avec la massue banane. Je remets mes gants, attrapant le singe par le col.
-J’ai rien fait, je suis innocent ! Moi je suis gentil ! -Ouais, ouais.
Je cours ensuite, prenant le singe qui se débat comme il peut de mes bras jusqu’à ce que j’arrive en hauteur, montant sur un énorme tas d’une centaine voir de milliers de bananes. Et je tends l’homme singe dans le vide, hurlant.
-C’est la dernière fois ! L’ultime chance pour vous ! Vous avez été insulté de tous les noms d’oiseaux et enfin vous ne pouvez pas vous passer d’alliés comme moi ! -Plutôt mourir que t’aider, espèce d’homme normal ! -Ah ouais ?
Je le jette dans le vide, regardant l’autre homme singe qui saute pour attraper son ami, ayant lâché son arme au sol. Je saute du tas de bananes, atterrissant devant l’homme qui tient son ami dans ses bras.
-Alors, vous ne la voulez toujours pas mon aide ? Vous pensez vous en sortir seul face à toute cette île alors que deux simples hommes arrivent à vous mettre la misère ? Je n’y crois pas moi en tout cas !
Je garde les sourcils froncés, essayant d’avoir l’air convainquant. Ils sont désarmés et seuls, ils ne peuvent plus se battre, s’ils tentent quoique ce soit, c’est du suicide … Effrayés, les macaques partent, fuyant l'endroit où on se trouve. pas mal comme technique pour effrayer les gens tiens. Un peu fier de moi, je me retourne, ne faisant pas attention au super-zéro qui se trouve plus loin derrière. Après tout, je ne suis pas de la Marine, ce n'est pas mon travail de l'arrêter.
Je marche quelques instants pour me rendre jusqu'au bateau, voulant simplement quitter cette île bizarre peuplée de personnes tuant des gens en costume de héros et d'homme-singes complètement timbrés, plus jamais je ne reviendrais ici ...