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| Ven 14 Mar - 11:29 Mauvaise ambiance au concours ! Il y a des jours comme ça… Comment disait-on ? C’est un petit pas pour l’homme et un grand pas pour l’humanité. Mon nez avait accueilli l’odeur de myrtille tout juste sorti du four avec un soulagement non dissimulé. Pour peu, j’aurais presque cru que c’était fait exprès, que le hasard m’avait placé ici de son plein gré. Un concours de mangeur de tartes. Et pas n’importe lesquelles ! Dans mon top dix, elles étaient en bonne position, près de celles à la rhubarbe. Je bavais presque devant le délicieux met qui m’attendait, mais la phase de l’inscription fut plus ardue qu’on ne l’aurait cru. On prit mon tour de taille, mon poids, mon âge et toute sorte de petites informations qui suffisaient à rendre suspicieux plus d’un homme. Mais le gain était si appétissant que je n’y pensai pas.
« - Parfait ! Me lança la femme au corps bien fait qui semblait avoir été choisie à ce poste pour envoûter les participants de sexe masculin. Une dernière question, avez-vous des allergies ou des problèmes de santé particulier ?
- Non, répondis-je du tac-au-tac, fier de ma condition physique. »
Elle me lança à nouveau un sourire charmeur et partit dans un autre compartiment après m’avoir remis mon numéro de participation. On était déjà huit enregistrés. Je n’avais aucune idée des critères qui permettaient de valider l’inscription, mais en tout cas je les réunissais ! Avec une certaine fierté, j’exhibai mon bout de papier en allant me désaltérer avec une bonne gorgée d’eau fraiche sur la place du village. Miu semblait plutôt mécontent de l’aventure dans laquelle je venais de m’entraîner et il quitta mon épaule assez rapidement. Ses petites pattes venaient me tapoter la tête avec une force qu’on ne lui aurait pas imaginée au premier abord. Puis il s’en alla sur les toits et disparut entre les maisons. Je ne connaissais pas très bien cet endroit, mais j’étais certain que lui allait réussir à s’y retrouver et qu’au moment où je déciderai de partir, il serait à mes côtés.
En me dirigeant vers le stand qui accueillait le concours, je rencontrai les autres participants que mon regard se mit tout de suite à jauger. Ils étaient de toute taille et de toute corpulence, avec une préférence pour les maigrichons. A côté d’eux se tenait un couple assez imposant qui semblait avoir plus d’acides gastriques dans la bouche que dans l’estomac, ce qui me faisait assez peur tout de même. Inspirant un bon coup, je me dirigeai vers l’un des autres gars du groupe, une sorte de rasta avec des dreadlocks, apparemment perdu au milieu des autres candidats. Lorsque j’allai pour m’adresser à lui, il partit dans une direction opposée. Je gonflai mes joues, assez vexé, comme l’aurait fait un enfant, puis j’essayai d’aborder une jeune femme au regard strict et au tailleur qui semblait prouver qu’elle n’était pas une locale… Même réaction, une sublime esquive qui semblait me prouver que je n’étais pas désiré. Décidément, les concours semblaient rendre vraiment compétitifs. Au moment où je voulus faire un troisième essai avec un autre candidat, les organisateurs nous installèrent à table. Le concours allait apparemment commencé. | | | | |
| | Ven 14 Mar - 12:44 Le monde a changé, l'homme a changé, les animaux ont changé, les sciences ont changé. En effet, le monde est en perpétuelle évolution. Je me rappelais, lorsque j'avais quinze ans, que j'étais un adolescent inconscient de la menace spirituelle qui allais tout basculer dans ma vie. J'étais un gamin qui ne pensait qu'à lui, un gamin qui aimait les jeunes femmes, un gamin fou de libertinage et de jeux de hasard. Il n'y avait point un jour où le terme jeu n'était pas prononcé de ma bouche. Bref, j'étais un adolescent très sot.
Un jour, après que j'eusse une relation sexuelle avec ma très chère compatriote Léonarda, j'entendis une discussion de deux femmes bien laides où elle disait qu'un concours de tarte à la myrtille se trouvait à proximité d'un bar reconnu par la plupart des ivrognes de l'île. L'enthousiasme, la faim, l'ambition de gagner ce concours, étaient en train de submerger mon magnifique corps. Mes bras et mes jambes commençaient à frissonner, ma bouche commençait à s'ouvrir lentement, mon corps transpirait, mon petit bout de bois était en train de raidir. En effet, celui-ci a été causé par une très grande envie de manger. Alors, sans tarder, je décidais de partir là-bas pour pouvoir m'inscrire au plus vite.
En route, bizarrement, je sentais que tout le monde me regardait, à croire que j'étais une star. De plus, je sentis une main touchant mon visage avec douceur. Ah oui ! j'ai complètement oublié, je suis trop beau. D'ailleurs, aujourd'hui, j'avais mis difficilement mon nouveau caleçon volait par moi-même. Ce caleçon, à ce qui paraît, appartenait au plus grand ivrogne de Powder Island, Don Tchap-Tchap. Alors, avec une marche orgueilleuse, je continuais ma route en direction de ce que j'appelais "Mon Rêve".
Une fois arrivée, j'entendis un vieillard présentateur, qui faisait des blagues à chier dessus. Je ne voulais plus entendre ces horreurs qui me donnaient des maux de tête. Alors, je m'éloignais de celui-ci et je m'approchais du stand où l'on devait s'inscrire. Effectivement, lorsque je commençais à donner mon nom et mon prénom, la jeune femme qui était en train de m'inscrire s'approcha de moi. Logiquement, je devais moi aussi m'approcher d'elle pour faire une de mes techniques de dragues, mais, pour une fois, j'étais galant et je la laissais faire son boulot. Elle prit mon tour de taille, mon poids, mon âge. Elle me demanda si j'ai une femme, elle commençait à toucher mon torse et mes pectoraux puis elle termina en disant si je suis libre ce soir. Alors, heureux, je l'invitais dans mon lit ce soir et effectivement, elle me dit oui. Content et satisfait, je l'offris devant tout le monde un baiser qu'elle n'allait jamais oublier. En effet, après qu'elle me dit que je suis inscrit, elle frappa mes fesses qui est un signe d'amour selon moi.
Peu après, j'attendis que le concours commence dans une salle où il était interdit d'entrer. Comme d'habitude, un jeune homme sot et niais s'approcha de moi et me supplia de partir. Alors, logiquement, je l'offris un poing vers son visage qui voulait dire que je ne sortirais pas de là. Mécontent et énervé, il appela ses compatriotes. Sans tarder, je sortis en courant et, comme par chance, le concours allait commencer. | | | | |
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| Ven 14 Mar - 13:34 Intervention. En regardant autour de moi, je pouvais apercevoir qu’un jeune homme poursuivi par un petit groupe était à son tour monté sur l’estrade pour participer au concours. Les hommes chargés de la sécurité s’étaient mis en travers des quelques perturbateurs pour montrer qu’ici, la loi du plus fort n’avait pas sa place. C’était la loi du plus gourmand, et de celui qui aurait l’estomac le mieux accroché. A côté de moi, une jeune femme s’extasia devant le charme que dégageait le dernier participant arrivé. Fort heureusement, j’étais totalement concentré sur l’épreuve à venir et il ne me venait même pas à l’idée de le reluquer pour comparer nos physiques. S’il était plus jeune et plus grand, j’aurais sûrement piqué une crise intérieure. Mais en ce moment-même, mon estomac criait famine, ce qui n’était pas forcément une bonne chose. Un estomac vide aurait peut-être tendance à être calé et dégouté rapidement. Peu importe. Alors que l’on apportait les premières parts de tartes, quelques personnes dans l’assemblée commencèrent à crier des noms comme des fans en délire… Réaction que j’avais du mal à comprendre. Ce n’était qu’un concours de bouffe, on n’était pas de grands sportifs près à mettre leur corps dans une situation extrême… Quoique, c’était sujet à discussion.
Le présentateur commença alors à énoncer quelques règles que j’écoutais à mi-oreille en lorgnant sur les spectateurs, curieux de voir les têtes qui pourraient me sembler familière. Il n’y en avait aucune… Du moins, c’était ce que je me disais, jusqu’à ce que je croise le regard pétillant d’une jeune fille que j’avais rencontré sur une des îles de West Blue ne croise le mien. Elyza. Une petite brigande d’une vingtaine d’année qui m’avait remis à ma place à un moment où je croyais que mon pouvoir me permettait d’être l’égal des dieux. Cela ne me permettait même pas de sauver des vies, alors comment ça pourrait me permettre d’atteindre le statut divin ? Je soupirai et souris à moitié, revoir d’anciennes tête c’était toujours plaisant.
« - A vos marques, prêts… Mangez ! »
Le départ était donné. Je pris une part de tarte dans ma main et commençai à la dévorer d’un coup, avalant les morceaux qui commençaient déjà à couler lentement le long de mon œsophage. C’était dur finalement d’avoir la capacité d’ingurgité une tonne de nourriture en peu de temps. A côté de moi, un homme était déjà à son troisième morceau. En lorgnant pour essayer de gagner du temps, j’aperçus un groupe de personnes assis à une table en train d’écrire sur des calepins. Lorsque mes papilles arrivèrent enfin à sentir le goût de la myrtille, mon estomac cala. Je faillis régurgiter tout ce que je venais de manger. C’est au milieu de cette bataille de nourriture que j’entendis une voix s’élever parmi les spectateurs.
« - Posez vos tartes ou je tire ! »
Un homme d’une trentaine d’année, un pistolet à silex dans les mains, s’était levé de tout son long et, surpassant l’assistance, commençait à menacer les participants du concours, dont moi, à une mort certaine. Je soupirai, c’était vraiment quelque chose de dérangeant. Que pouvait-on faire contre ça à part lever les mains en l’air ? D’un coup, je cherchai Elyza, me demandant si elle avait quelque chose à voir là-dedans. Impossible de la trouver. Je fronçai les sourcils, m’adressant discrètement au beau jeune homme qui nous avait rejoints sur scène en dernier lieu :
« - On est dans la mouise ! » | | | | |
| | Ven 14 Mar - 19:15 Une jeune fille, une jeune femme, une belle demoiselle, touchaient avec leurs mains fragiles et douces mon torse. Je sentais leurs seins qui frottaient mes pectoraux, je sentais une chaleur douce qui provenait de leurs bouches, je sentais leurs jambes qui s’enlaçaient avec les miennes. C'était le moment le plus érotique de ma vie. Je n'avais jamais reçu une telle sensation de bien-être, d'amour. Mon cœur battait tellement vite que j'étais en train de transpirer, mes paupières, belles comme elles sont, étaient en train de rougir, mes parties intimes, petit et divin, étaient en train de gonfler. Bref, c'était la première étape de ma transformation en un homme-violeur. Effectivement, lorsque je dépassais la limite de la perversité, je devenais un violeur et donc, toute jeune fille innocente et belle qui passait devant moi, je l'amenais dans ma tanière pour lui offrir un magnifique enfant. Et, c'est à ce moment-là que les graves problèmes arrivent. La jeune fille ou le père de la jeune fille venait à moi avec plusieurs hommes armés jusqu'aux dents, puis je commençaient à mentir en disant que c'est cette fille qui m'a tenté et enfin, le père allait frapper la fille et moi en même temps et il allait noyer le nouveau-né dans un lac. Certainement, il fallait que je me contrôle.
Alors que j'étais en train de flirter avec mes nouvelles campagnes, le vieillard présentateur avait fini ces blagues et il nous disait de prendre place dans n'importe quelle chaise. Alors, comme d'habitude, je n'allais pas obéir au présentateur mais plutôt faire le contraire de ce qu'il disait : Rester debout et faire tomber un participant du concours. Énervé et mécontent, il descendit de la table où il était en train de dicter les règles puis, il me poussa faiblement en direction d'une chaise. Par la suite, alors qu'il ne savait pas que j'étais très orgueilleux, je l'offris un bon coup de poing dans sa bouche d'où il perdit tous ces dents. Par conséquent, les gardes commençaient à pointer leurs armes en direction de mon cœur, les ivrognes se préparaient à lancer une bouteille d'alcool en ma direction, les barmans sortaient leurs fouets pour pouvoir me.......fouetter. J'étais pour la première fois en train de paniquer, je me disais au fond de moi qu'est-ce que je devais faire. Mais heureusement, grâce à mon charme, toutes les belles filles présentes se collaient à moi pour me protéger. Mes ennemis fous des femmes baissèrent leurs armes et tout est redevenu à la normale. Revenant de son évanouissement d'une centaine de secondes, le présentateur remonta sur la table comme si rien ne s'était passé puis il continuait à dicter les règles.
Quelques minutes passèrent et enfin, le concours commença. Une belle servante nous livra des dizaines de tartes. Alors, affamé, je commençais à dévorer d'une seule bouchée la première tarte puis la deuxième tarte puis la troisième tarte. Tout le monde me regardait avec un regard d'étonnement et d'ailleurs, je pensais, qu'ils se disaient au fond de moi que le gagnant ce serait moi. Alors, ma motivation augmenta, j'engloutis deux tartes en même temps puis trois tartes , j'étais devenu un monstre. Tout à coup, un homme d'une trentaine d'années menaçait les participants du concours avec un pistolet à silex dans les mains. Du coup, je cherchais à m'enfuir mais soudain, un jeune homme me dit discrètement :
« - On est dans la mouise ! »
Alors, mon corps commençait à trembler, mon cœur commençait à battre lentement, très lentement, trop lentement. Je vis des servantes angoissaient par la vue de cet homme, je vis les ivrognes se prosternaient devant lui, je vis les barmans avec une géante bouteille d'alcool. J'avais compris. Alors, je disais au jeune homme :
« - C'était Don Tchap-Tchap, il était venu récupérer son caleçon ! » | | | | |
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| Ven 14 Mar - 20:14 Elyza. Alors il s’agissait de… Je ne retenais pas son nom, presque sûr que ce n’étais pas l’information la plus importante de la phrase. On lui avait volé son caleçon. Et il était venu… Pour le récupérer ? Quelqu’un avait-il finir le cul à l’air ? Cette idée me parut étrange, d’une part parce que pour moi un sous-vêtement était quelque chose qu’on ne partageait pas habituellement, de l’autre j’avais très peu envie de croiser les fesses de la personne visée aujourd’hui. Et ce garçon à mes côtés n’était sûrement pas étranger à l’intervention de ce… Don Tchap-Tchap. Ridicule, mais s’il avait la force de l’imposer ça devenait tout de suite plus sérieux. Sur la table, le groupe de goinfre continuait de s’empiffrer de tartes, ignorant la scène qui se déroulait sous les yeux… Ou plutôt sous leurs babines. Ils ne portaient pas le moindre intérêt à cet homme, et ce dernier ne sembla pas apprécier. Il les visa en haussant les épaules et tira dans leur direction. La femme esquiva aisément, malgré son importante masse corporelle. Il ne devait pas s’agir de n’importe qui, et le regard oppressant qu’elle envoya força l’homme à retourner son arme au milieu des participants.
« - Ne croyez pas vous en tirer à si bon compte ! Ceci est une prise d’otage, tant que je n’aurai pas récupéré mon caleçon… Une personne mourra toutes les douze minutes. »
Il sourit avec une sorte de pause machiavélique qui me donna des frissons. Elyza réapparut à ce moment-là en tenant deux révolvers dans la main, l’un dans ma direction et l’autre vers celle d’une petite fille. J’avais oublié qu’elle ne montrait pas la moindre pitié, mais au moins son avertissement était clair. Si je n’étais pas assez rapide, elle tuerait quelqu’un… Sans remords. C’était le paradoxe avec cette fille. A un moment, elle pouvait se montrer adorable, et à l’autre totalement démoniaque. D’un geste simple, je levai la main en l’air comme pour poser une question. Les participants avaient commencé à descendre de l’estrade, à l’exception des deux voraces que la situation ne perturbait pas plus que cela.
Il fallut bien trente seconde au chef de la bande adverse pour remarquer mon geste et étouffer le rire qui naissait en lui, me donnant par la même occasion l’autorisation de lui adresser la parole. Je comprenais qu’il le comprenne de cette manière, mais ce geste ne signifiait pas que je voulais m’adresser à cet imbécile, après tout je n’avais pas besoin de son accord. Il était adressé à Elyza. Cette jeune fille m’en devait une, et je réclamais mon dû à présent. Elle ronchonna dans son coin avant de se diriger vers l’homme qui lui servait de chef.
« - Vous feriez mieux de les laisser tranquille, on a juste besoin du gars qui a voler votre caleçon, ne blessons personne.
- Je ne me suis pas adressé à toi, morveuse, répliqua Don Tchap-Tchap en visant la tête de mon ancienne acolyte.
- Vous n’auriez pas dû faire cela, intervins-je. »
Ni une, ni deux, la jeune fille prit le bras de l’homme à une vitesse surprenante et le retourna à terre. Sa force surhumaine n’était pas à prendre à la légère. Je déglutis. A sa place, j’aurais eu très mal. | | | | |
| | Sam 15 Mar - 6:47 Obèse, laid et malodorant étaient les plus belles "qualités" de Don Tchap-Tchap. En effet, je remarquais que toute personne étant à proximité de lui s'éloigner de plus en plus vite. Je crus d'abord qu'ils avaient peur mais après maintes réflexions, je conclus qu'ils se sauvaient. Leurs façons de sortir, leurs façons de gesticuler, leurs façons de crier étaient certainement, la preuve de mes dires. D'ailleurs, sans le remarquer, les amateurs de tarte à la myrtille ne bougeaient point. Tellement leurs concentrations se portaient vers les tartes qu'ils avaient oublié ce monde, mais ils étaient en connexion avec un autre monde ou carrément, ils devenaient eux-mêmes une tarte, à croire que c'était une nouvelle façon de transmigrer son âme dans de la nourriture. Par la suite, une magnifique tarte ou plutôt une magnifique jeune fille devenu obèse, était la cible de Don Tchap-Tchap, car, effectivement, elle ne prêtait aucune attention vis-à-vis de lui. Alors, avec une petite haine, il tira en direction de la gloutonne, mais, miracle, elle esquivait avec une incroyable agilité. Incroyable, Stupéfiant, comment......comment cette grosse tarte a pu esquiver une balle? Il faut que j'apprenne leur secret..........mais, ce n'était pas le bon moment.
Fâché et mécontent, Don Tchap-Tchap, avec une grande peur, annonçait à tout le monde ces quelques termes:
« - Ne croyez pas vous en tirer à si bon compte ! Ceci est une prise d’otage, tant que je n’aurai pas récupéré mon caleçon… Une personne mourra toutes les douze minutes. »
Je me suis toujours dit qu'il était un gros "con", mais, aujourd'hui, il m'a complétement démenti, il est un imbécile, un gros nigaud. Pourquoi, va t-il tuer une personne à cause d'un caleçon? Ahh, vraiment aujourd'hui, c'est la journée la plus bizarre de toute ma vie. Des personnes qui deviennent des tartes, une obèse qui a une grande agilité, un vieux qui veut tuer une personne juste pour un caleçon et, d'ailleurs, ma journée n'est pas encore fini, il y aurait peut-être encore des choses anormales. Bon, si je veux rester en vie, il faut que j'arrête de penser à toutes ces choses bizarres, mais, il serait judicieux pour moi de réfléchir sur cette situation non-délicate. Alors, je pris une position complètement stupide et sans tarder, je méditais sur cette situation. Tout d'abord, j'écoutais les dires de mon cœur qui disait que je devais m'enfuir puis j'écoutais les dires de mon esprit machiavélique qui disait de rester ici, et, de regarder cette magnifique scène de "hold-up" pour un caleçon. Par la suite, je me suis dit que c'était la meilleure chose à faire. Donc, je me levais et je commençais à ouvrir mes yeux. Mais, tout à coup, une jeune fille avec une force et une vitesse surhumaine retourna Don Tchap-Tchap à terre. Noon.......nooon.........c'est pas possible...........je pense que c'est un rêve. Comment.......comment......comment une jeune fille pouvait faire cela ? Il faut, que je me repose. Alors, sans tarder, devant tout le monde, je m'allongeais par terre et je fis un tout petit "dodo".
Quelques minutes passèrent et Don Tchap-Tchap qui était retourné à terre à proximité de moi, me donna un coup de tête dans ma........tête pour me réveiller. Énervé, je me levais et je l'offris un enchaînement de coups de pied sur son ventre. Incroyablement résistant, il se leva avec une fureur de loup et tout d'abord, régla son problème avec la petite fille dont je pense, que le jeune homme qui était à proximité de moi la connaissait. Alors, comme je soupçonnais le jeune homme, je regardais avec attention le participant du concours. C'était un adolescent blanc dont ses cheveux sont roux, il avait un tee-shirt blanc dont les "cols" étaient de couleurs noirs et ses yeux que je dirais petits, étaient, je pense, de couleur marron. Je vis en cet homme beaucoup d'espoir, un fou de libertinage, un fou de jeux. À travers lui, je me voyais, je voyais ce petit adolescent qui courait derrière les filles, qui courait derrière les garçons pour qu'il puisse voler leurs jeux, qui jouait avec ses meilleurs amis à un jeu appelé: le cache-cache. J'étais stupéfié, je n'arrivais pas à y croire, pour une fois, un enfant me ressemblait. Alors, je le tapotais le dos et je lui dis:
« -Que va t-on faire?» | | | | |
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| Sam 15 Mar - 12:01 Le pouvoir de Don Tchap-Tchap. « - On doit le battre et le faire quitter l’île, lançai-je en roulant les yeux au ciel, chose qui m’arrivait rarement en dehors des situations exaspérantes… Et c’en était une. »
Je prenais avec le plus grand sérieux les revendications de cet homme, même si au final ce n’était mon problème de m’occuper de son cas. Je pouvais tout simplement attendre que les marines interviennent, j’avais en effet entendu parler d’une flotte à proximité, mais il ne fallait pas compter sur leur intervention immédiate et, si Elyza s’était barrée après avoir accomplie sa part du marché, cet homme allait sûrement rester un petit moment. La plupart des hommes et des femmes s’étaient dispersés. Il n’y avait plus que les deux goinfres, quelques curieux, le jeune homme à côté de moi et ma personne. D’un geste simple, je me saisis d’une tarte à la myrtille et l’envoyai dans la tête de mon ‘adversaire’. Gagné ! Il la reçut en pleine poire et put alors déguster le met préparé avec soin pour le concours.
Quelques personnes remarqueraient sûrement cette petite bataille de nourriture et penseraient à une blague. Mais le dénommé Don Tchap-Tchap n’était pas du même avis. Cela semblait être une insulte à ses yeux. Une offense. Il avait viré au rouge, ses joues empourprées se gonflant avec sa respiration saccadée. Qu’avait-il de particulier ? Sentant une odeur d’œuf pourri dans l’air, je compris que des effluves provenant de son corps s’intensifiaient pour former une sorte de nuage invisible dans l’air, une zone dans laquelle l’odeur insupportable de son corps devenait omniprésente. C’était étouffant. Ma tête en tournait même, et derrière moi les deux derniers participants du concours encore à table se levèrent et partirent avec le reste des tartes. Les traitres !
« - Qu’est-ce que… ?
- C’est ma technique spéciale ! Hurla l’homme en riant, arrêtant alors de contracter son corps. J’ai réussi à intensifier l’odeur naturelle de mon corps en utilisant un pouvoir qu’on appelle le Retour à la Vie. C’est une technique que seuls les plus grands maîtres maîtrisent… »
J’en avais bien sûr entendu parler lors de mon périple, mais je ne pensais pas qu’on pouvait l’utiliser d’une manière si… particulière. En effet, ce genre de technique nécessitait un entraînement très important, mais aussi une parfaite maîtrise de son propre corps. J’essayai d’arrêter de respirer mais l’odeur pestilentielle qui était née dans l’atmosphère avait mis à bas mes dernières forces. Même les hommes de main de cet homme n’osaient pas s’approcher.
J’aurais pu en vomir. Quand je repris enfin le dessus sur moi-même, je sentis qu’on me tirait en arrière. Elyza, dans un geste plus qu’élégant, venait de me sauver. Elle portait sur elle un masque à gaz, protection nécessaire dans ce genre de situation. Dans un même geste, elle s’était aussi saisie du beau jeune homme à mes côtés. Qu’il ait besoin d’aide ou non par ailleurs. Mon corps semblait déjà aller mieux en tout cas, assez pour me permettre de tenir correctement debout. Je me tournai vers mon acolyte d’infortune, et lançai d’une voix à la fois curieuse et intéressée :
« - As-tu une idée pour qu’on puisse esquiver son… pouvoir ? » | | | | |
| | Sam 15 Mar - 13:09 « - On doit le battre et le faire quitter l’île, lança mon camarade. »
Pour la première fois, je me sentais faible. Tout cet orgueil qui était en moi disparaissait d'un coup. Je commençais à transpirer, je commençais à avoir ce sentiment d'humilité, je commençais à être une personne sérieuse et réfléchie, je commençais à faire sortir des larmes. En effet, j'étais un lâche. Je n'aimais pas combattre, je n'avais aucune aptitude dans le combat, je ne pouvais pas penser que j'allais frapper quelqu'un. Je me disais au fond de moi qu'aujourd'hui, serait mon dernier jour et j’espérais que lors de mon enterrement plusieurs personnes allaient m'insulter, car, effectivement, durant ma vie, j'ai fait trop de péché. Alors, avec un désespoir profond, je décidais de rester ici et d'aider mon pote au cas où il aurait besoin d'aide. Au moins, pour une fois, j'allais mourir comme un héros, je l'espère en tout cas.
Par la suite de cela, mon compatriote lançait une tarte en direction de la tête de Don Tchap-Tchap. Connaissant son pouvoir destructeur, je commençais à affoler, j'étais à deux doigts de crier comme une fille. Mon cœur battait vite, puis d'un coup sec, il battit très lentement. Que m'arrivais-je ? C'était la première fois que je ressentis une sensation ainsi. Peut-être est-ce la peur que mon père m'a parlé ? Non, ce n'était pas possible, je ne peux pas arriver à ce stade, je suis bien trop beau et puissant. Alors, que devais-je faire ? Devais-je faire une grande méditation ? Hum......je suppose que oui. Donc, je commençais à m'asseoir par terre, puis je fis la position du lotus. Par conséquent, j'oubliais ce monde, et je parlais avec mon cœur. Celui-ci, m'ordonna impérativement de penser à tous ce que j'ai appris à partir de mes six ans. Ayant une grande confiance en mon cœur, je commençais à me lever puis j'examinais la situation qui se présentait à moi.
Trois minutes passèrent, et, tout à coup, je vis le visage de Don Tchap-Tchap devenir rouge, puis, il s'apprêtait........à faire une de ses techniques les plus puissantes : Le Retour à la Vie. Comment est-ce possible ? Il n'avait pas mangé assez pour pouvoir faire cette technique. Je vois, il l'a perfectionné. J'espère qu'il n'a pas augmenté la puissance de ces techniques, car, en effet, ce serait notre mort assuré. Comme m'avait conseillé mon cœur, je décidais de penser à tous ce que j'ai appris à partir de mes six ans. Je repensais à tous ce que disaient mes professeurs lors de mes cours de sciences, de physique chimie, mais rien. Je ne trouvais point la solution à ce problème coriace. D'ailleurs, tout d'un coup, je me sentis faible. Je sentais une très mauvaise odeur rentrait dans mon nez. Effectivement, la technique de Don Tchap-Tchap m'affecta.
Soudain, alors que j'étais en train de perdre petit à petit mes forces, j'avais trouvé la solution à ce problème. C'était le parfum. En effet, comme tout le monde le sait, le parfum est le plus grand ennemi de la puanteur. Mais, le problème c'est que l'on ne sait pas où l'on pourrait trouver un parfum. D'ailleurs, il est rare qu'on en trouve avec un homme. Mais........on peut en trouver avec des femmes. Ils s'en mettent tous les jours et à chaque heure. Alors, sans tarder, j'essayais de trouver une femme quand tout à coup la jeune fille extraordinaire me sauva en me donnant un masque à gaz. Pour la première fois, j'ai dit merci à une personne autre que moi. Par la suite, mon camarade m'adressa quelques paroles en disant :
« - As-tu une idée pour qu’on puisse esquiver son… pouvoir ? »
« - En effet, mais, moi je ne cherche point à l'esquiver mais plutôt l'arrêter, dis-je»
Alors, je continuais en disant qu'il faudrait qu'on trouve la source de cette mauvaise odeur puis qu'on l'asperge de parfums que l'on pourrait trouvait chez les servantes et les filles qui étaient présentes au concours. Donc, sans tarder, je m'approchais discrètement des jeunes filles évanouies qui se trouvaient à proximité de nous. Et, effectivement, je trouvais trois flacons de parfums assez odorants. Mais, la mauvaise odeur persista encore plus, alors je ne savais plus où j'étais, car, en effet, pour pouvoir me guider, j'utilisais mon odorat. Maintenant, comme je ne suis plus disponible pour faire cette mission, je l'ai donné à mon camarade, qui je pense, n'est pas aveugle.
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| Sam 15 Mar - 22:50 Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Le jeune homme à mes côtés semblait avoir une petite idée en tête, mais son nez n’avait pas l’air du même avis puisqu’il faillit passer l’arme à gauche juste avec l’odeur pestilentielle de Don Tchap-Tchap. Je regardais ce dernier avec une nouvelle prudence, voyant que même le parfum ne pouvait pas couvrir sa capacité. Pire encore, le mélange d’effluves affectait plus encore l’air ambiant ! C’était une véritable infection ! Quelques personnes semblaient pourtant rapidement s’y habituer, Elyza, elle, avait la parade : Utiliser un masque à gaz pour contrer l’atmosphère. Pour ma part, je n’étais pas aussi bien équipé. Elle aurait pu m’en fournir un mais me voir dans la panade la réjouissait trop, et je le savais. Cette fille était vraiment pleine de contradiction. Et elle connaissait mon pouvoir. C’était donc l’heure de marchander. D’une certaine manière, je pouvais convenir d’un accord, la téléporter où bon lui semblait, l’emmener en quelques instants sur l’île de son choix. Pour seul prix : mettre hors d’état de nuire le gars qui cherchait son caleçon. Drôle de façon de dire les choses. Je la regardai, elle me sourit. Bien sûr, si on avait été dans une société où un bout de papier signifiait quelque chose, j’aurais été un stylo à la main en train de lire les termes du contrat. Ici, il n’y avait pas besoin de cela.
« - Marché conclu, me lança-t-elle, ses lèvres plus remontées que jamais. »
D’un pas agile, elle s’élança vers l’homme qui intercepta son poing. Apparemment, la dernière fois ça avait été une erreur d’inattention de sa part s’il s’était laissé emporter à terre. A présent, son corps réagissait de manière plus vive, reflétant certainement un long entraînement. Lorsque je le vis détruire le sol de l’estrade, créant un énorme trou à son propre emplacement, je compris qu’il n’était pas à prendre à la légère. Son pouvoir avait été développé suite à un intense entraînement… Et une évolution de sa force. Cependant Elyza ne semblait pas plus effrayée que cela. Elle esquivait avec aisance chacun de ses coups avant de répliquer… Jusqu’à ce qu’il réussisse à l’envoyer valser contre nous. Apparemment, l’odeur commençait déjà à se dissiper. On était en extérieur, le vent soufflait un peu et il devait se concentrer pour laisser émaner de lui l’infâme puanteur.
C’était notre salut. Le gros couple revint sur scène, les quelques morceaux de tartes ayant survécu à leur appétit dans la main, et se mirent eux-aussi en position de combat. J’éloignai le jeune homme qui était tombé à terre pour éviter qu’il ne soit blessé par le combat. Alors quelque chose d’étonnant se déroula, la grosse femme s’élança vers Don Tchap-Tchap et l’écrasa à terre de tout son poids – ce qui était très, très lourd. Elle venait d’agrandir le trou déjà créé, et sûrement d’assassiner par asphyxie le chasseur de caleçon. Lorsqu’elle se releva, fière de son affaire, je remarquai avec une certaine stupeur qu’un couteau était planté dans son ventre, rebondissant et bougeant au rythme de celui-ci. Alors, dans un geste plutôt lent, elle retira la lame de sa chair, et le jeta par terre, comme si de rien était. Il y avait des gens vraiment étranges dans ce monde.
Je dis alors à l’adresse du jeune homme :
« - On dirait que ce n’était pas notre bataille… Est-ce que ça va, toi ? »
Puis me tournant vers Elyza, je constatai que celle-ci avait une photo de l’endroit qu’elle voulait visiter. Déglutissant, je compris qu’il s’agissait d’un lieu plutôt dangereux. Il me faudrait une discussion avec elle, plus tard. Après avoir jeté un regard curieux sur le corps inanimé de Don Tchap-Tchap, étalé à terre en forme d’étoile, je reportai mon attention sur mon camarade d’infortune.
« - Au fait, je m’appelle Erwin Dog ! » | | | | |
| | Dim 16 Mar - 12:15 Qu'ai-je fait ? Comment ai-je pu oublier que l'odeur nauséabonde de Don Tchap-Tchap était anormale ? Comment ai-je pu empirer la situation ? Pourquoi ?......Pourquoi ?...........Pourquoi ai-je fait cela ? Pourquoi m'a t-on créé sot ? Je ne peux plus, Je ne veux plus rester dans ce monde effrayant. Il faut impérativement que je me suicide afin de ne plus causer de désordre, mais la question à se poser est comment? Car, en effet, je ne sens plus, je n'entends plus, je ne bouge plus. Que faire? Certainement, aujourd'hui, est la plus effrayante de toutes les journées que j'ai passée. J'espère sincèrement que je vais mourir car, j'aime bien trop le monde et ses habitants pour les faire souffrir de la sorte. Alors, j'essayais de me lever puis j'allais dans une direction inconnue. D'ailleurs, à chaque fois que je marchais, je me cognais sur une table. En effet, je pense, qu'il y en avait partout. Si je me rappelle bien, on en pouvait dénombrer 50 d'après les dires du vieillard présentateur. Mais heureusement, j'ai pu éviter les 10 tables spéciales qui étaient spécialement pour les personnes obèses, très obèses, trop obèses.
Après que je me suis cogné sur une quarantaine de table, j'arrivais, je ne sais pas comment, devant mon camarade, l'adolescent que j'allais tuer. Il était accompagné de la petite moutarde qui avait retourné Don Tchap-Tchap à terre. Elle, avait beaucoup de chance: Elle avait toujours son masque à gaz. En effet, j'ai perdu le mien lorsque j'avais pris le parfum car, en voyant les seins de la belle servante, je ne pus résister au fait de mettre ma tête sur les seins de celle-là. Alors, je tirais mon masque à gaz et je fit cela avec beaucoup d'amour et de perversité. D'ailleurs, afin de pouvoir mourir, il serait judicieux pour moi de ne pas penser à tout cela car, cela pourrait me faire penser aux plaisirs dont on a lorsque l'on reste en vie. Donc, j'arrêta tout de suite et je me reconcentrais dans l'examination de la situation.
Don Tchap-Tchap était toujours dans son monde illusoire où il pensait que c'était lui le plus fort. Alors, avec beaucoup de courage, la jeune fille l'offrit un coup de poing, mais, miracle, il interceptât son poing. Effectivement, il était logique que Don Tchap-Tchap intercepta son poing. Il avait fait des entraînements intensifs tandis que, je pense, que la jeune fille n'a rien fait de cela, mais plutôt juste s'exercer sur les personnes plus faibles qu'elle. Hum.....On voit bien que c'est une étrangère dans cette île tout comme le jeune adolescent. De plus, alors qu'elle devait être effrayée par la force de Don Tchap-Tchap, elle fit autrement que la logique : Elle était indifférente vis-à-vis de cette force surprenante. Je me disais alors au fond de moi, que ces personnes étaient incroyables. Soudain! Alors que j'étais comme toujours dans mes pensées, après que l'odeur commençait à se dissiper grâce au vent, une grosse femme laide, très laide, trop laide s'élança en direction de Don Tchap-Tchap qui succomba par une asphyxie. C'était incroyable, j'étais heureux, le goût de vivre est revenu en moi, le désespoir laissa la place à l'espoir, j'avais le sourire aux lèvres, mon cœur qui battait très lentement, commençait à présent à battre ni vite, ni lent, il était neutre. Encore une fois, pour la première fois, j'ai jamais reçu une telle sensation indescriptible. Certainement, aujourd'hui, était le plus beau jour de ma vie ( je suis très indécis.)
Puis, le jeune adolescent qui était à proximité de moi m'adressa quelques paroles :
« - On dirait que ce n’était pas notre bataille… Est-ce que ça va, toi ? »
« - Oui, merci, à présent, je vais bien et je te remercie, dis-je avec courtoisie»
En effet, depuis que l'odeur se dissipait et que Don Tchap-Tchap était mort, je me sentais plus heureux, mon ouïe était revenu, mon odorat était revenu. Dans mon cœur, je sentais qu'une toute petite chose frissonnait, je sentais une toute petite chose qui me donner une certaine sensation de bien-être, je sentais des pas doux. En effet, c'était la joie licite. C'était la première fois que je ressentis cela. Alors, étant devenu quelqu'un de bien, je caressais la main de la toute petite fille et tout à coup, mon bon camarade me dit :
« - Au fait, je m’appelle Erwin Dog ! »
Je n'arrivais pas à y croire c'était mon tout premier ami, car tous les amis que j'avais je ne connaissait pas leurs noms et ils étaient toujours en train de m'insulter, de m'injurier, de me frapper. Mais, heureusement, grâce à Don Tchap-Tchap j'eus un nouvel ami qui je pense s'amuserais avec moi, jouerais avec moi, et draguerais avec moi les belles filles de Powder Island. Donc, avec beaucoup d'amabilité et de sincérité je lui dis :
« -Et moi, Je m'appelle Filippe Morgane ! »
PS :En effet, comme vous l'avez remarqué, il y a eu une évolution entre le Filippe d'avant le concours et le Filippe d'après le concours. D'ailleurs, sans vous le dire, dans ce rp il y a une belle morale qui y ressort.
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