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Lun 31 Mar - 0:10

« FERT : Portés disparus »

Encore une jeune femme a besoin de moi !


J’étais depuis quelques jours sur l’île de Las Camp … C’était un endroit que j’aimais bien … Vu qu’ici, il n’y avait pas vraiment besoin de super-héros … Ainsi, vous pouvez vous dire, que je devais bien m’emmerder … Mais non voyons, je faisais des choses comme … comme … euh Marcher ! Oui marcher, c’est super bien d’ailleurs. En plus, la randonnée, ça renforce le système cardio-vasculaire. Pourquoi ne restais-je pas au même endroit … Bah la réponse est simple ! Ce qui se passe  dans une ville, ne veut pas dire que c’est pareil dans une autre, juste à côté d’elle.

Ainsi, l’histoire que je vais vous raconter … commence dans la campagne. Et oui ! Je sais c’est original, pour quelque chose, qui se passe sur une planète, majoritairement recouverte d’eau. Mais bon ! Comme quelqu’un a dit : Le changement, c’est maintenant. Afin que je ne vous perde pas. Le héros, c’est toujours moi, malheureusement pour vous et je marchais sur un sentier de randonnée, tout en étant entouré de nombreux ruminants, qui me regardaient avec leur aire de débile. Voulant avoir un air de babacool, je fumais une petite cigarette au piment. Et alors, que je venais de m’allumer la cinquième de la journée. J’entendis le cri d’une jeune femme. A son teint de voix, la femme qui avait laissé ce bruit, s’en allait de sa bouche, devait avoir 20 ans. N’étant pas un pervers, mais bien un superhéros. J’allais au secours de la belle. Et vu que le cri n’avait duré que quelques secondes. Je me fiais plus à mon instinct, qu’à autre chose pour aller dans la bonne direction. Et avec beaucoup de chance. J’arrivais sur le lieu du drame. Mais il n’y avait plus rien … sauf des traces de pied sur une dizaine de mètres, puis plus rien. Trouvant ça bizarre, je marchais dans tous les sens, afin de voir s’il y avait un quelconque indice. Ayant un peu faim et voulant aussi quelques informations sur ça. Je décidais de me rendre à la ville la plus proche, qui se trouvait qu’à 2 kilomètres. Et après quelques minutes de marche. J’arrivais là-bas et commençais à chercher un magasin dans cette ville, où peu de monde était dans les rues. Sur différents panneaux, je voyais même des affiches de Wanted, non pas pour des pirates ou hors-la-loi, mais bien pour des disparitions d’êtres humains. Et oui ! Comme quoi, ici kidnapper des personnes, était quelque chose, qui commençait à devenir de moins en mois rare. Sachant que je pouvais trouver des informations dans un bar. J’entrais dans l’un d’eux. Et après m’être installé au comptoir, je commandais un bon BBQ ribs, sauce épicé avec un pichet de bière. Pendant que je patientais, j’essayais de parler à mes différents voisins, mais aucun n’osait me répondre. Pareil pour le barman. Ils avaient comme peur de quelque chose. Je plongeais mon « grand désespoir » dans l’alcool et le repas qui venait de m’être servi. D’ailleurs au passage, même si le restaurant où j’étais, était un simple comptoir qui proposait des plats, peu recherchés. Une fois que j’eus fini de manger mes travers de porc, frites et bière. Je décidais de ne pas commander plus, vu que je n’avais plus faim. Et tel un mec, qui n’avait aucune manière, je montais sur le comptoir et criais cela :

« Bon les gens ! J’me présente, j’suis Fukashi Eiketsu, un super héros interblue. Et j’suis venu ici pour vos disparitions, car cela m’intrigue. Si jamais, quelqu’un veut m’aider dans cette tâche, j’suis ouvert. »
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Ren Tao
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Lun 31 Mar - 17:23

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Las camp… Un endroit typiquement ennuyeux. Si bien, qu’il serait ridicule de s’y installer. Pour sûr, si un jour quelqu’un conquiert l’endroit, ce ne sera pas pour gagner sa vie. Les paysans qui vivaient dans cette île n’avaient rien d’intéressant niveau richesses. Méchants, passez votre chemin me disais-je. Cette île était l’endroit idéal pour se reposer et se faire oublier du grand public. Rien de plus. C’est donc avec une envie de simplement me faire oublier que je m’étais réfugié ici. Soufflant de lassitude, je ne me doutais pas que cette île n’était plus si calme depuis quelque temps. Ainsi donc, après avoir fait une petite visite des lieux, je m’étais mis à la recherche d’une petite auberge ou un bar pour manger quelque chose. Je ne me doutais pas que j’allais être témoin d’une belle connerie. En effet, avant qu’un certain homme fasse son discours, je m’étais commandé un plat du jour que le lieu faisait.  Un BBQ rib épicé accompagné d’un petit pichet de vin.

Une fois que le plat arrivait, je m’empressais de manger à ma faim. La viande était tendre, épicé, que demander de plus ? Souriant, j’étais bien content. Je m’apprêtais à partir de là quand une voix se fit entendre. Une voix des plus étonnantes. Détournant la tête vers le responsable de ce vacarme, je vis une personne debout sur le comptoir. Un homme qui visiblement ressemblait à un super-héros de comics. Des disparitions ? Ainsi donc, il y avait un réel soucis ici. Soupirant, je laissais les gens regarder l’énergumène. Ils semblaient silencieux avant de chercher une personne apte à l’aider. Moi, je ne voulais pas, je n’avais aucune envie d’aider à retrouver des gens disparus. Cependant, je disais cela jusqu’à ce qu’un vieil homme se mette à hurler dans le sens du jeune héros.

«  Oui ! Il faut arrêter ces personnes et cette femme aux cheveux verts. »

Vert ? Une femme ? Aussitôt, je commençais à me retourner avec un certain intérêt. Silencieux, je vins alors m’approcher du vieil homme.

«  Quelle femme ? »
«  Une femme, grande, avec une chevelure verte et des yeux jaunes. Elle vous fixe comme un serpent et… elle vous attaque. Cette femme, je l’ai rencontré il y a peu dans les rues le soir. Les ruelles sombres du village proche du cimetière. Là où les gens disparaissent… »

Réfléchissant, je vins alors à regarder l’homme qui s'est enflammé tout à l’heure. J’avais un intérêt et si je donnais de l’aide dans cette chasse à l’homme, autant l’aidé non ? Bref, j’espérais que son costume et son discours quelque peu embarrassant étaient une chose rare chez lui. Devoir le supporter trop de temps serait peut-être nocif. Le fixant, je vins alors à prononcer d’une voix calme.

«  … Je vais t’aider… »


Les paysans semblaient quelque peu intrigués et appréciaient l’idée que des gens tentent de résoudre le souci. Ainsi donc, je m’en allais dehors pour fumer une clope. Attendant que l’homme à l’apparence de pseudo guignol sorte, je réfléchissais à toutes ces histoires. Se pourrait-elle que cette femme soit ici et sème la zizanie. Elle ? Semer la zizanie ici ? J’imaginais plus sa personne dans un lieu lugubre. Mais passons. Je regardais cette petite fumée qui devenait comme un petit serpent dans l’air. Je devenais rêveur.







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Mer 2 Avr - 1:54

« FERT : Portés disparus »

Les cimetières, ce n’est jamais cool !


J’étais à présent sur le comptoir du bar. Ne voulant pas rechercher des personnes seules ! Au cas où si je tombais sur un gang, lié à un quelconque trafic d’humains. Soit l’une des choses que je détestais surement le plus au Monde. J’essayais de me vendre (Et non ! Ce n’est pas une habitude pour moi que je fasse ça ! Même si les jeunes femmes aimeraient bien !), afin de trouver un coéquipier. A ça, un vieil homme me répondait. Heureusement pour moi et lui. Il ne voulait pas m’accompagner dans cette dangereuse quête, mais simplement me donner quelques informations. Selon lui, toutes les disparitions étaient liées à une demoiselle. Aaaaah ! Cela commençait à m’intéresser ! Non pas parce que j’allais encore rencontrer, une personne faisant partie de la gente féminine (Encore une fois ! Je vous répète que je ne suis pas un pervers !). Mais bien, car les crimes sont le plus souvent commis par des hommes que par des femmes. Aux dires du grand-père. Quelqu’un de mon âge, se mettait à lui répondre, en lui demandant, qui était cette fameuse jeune femme. Le vieil homme lui rétorquait, que cette dernière avait les cheveux verts, ainsi que des yeux jaunes (Choses rares dans ce Monde au passage !) et qu’elle trainait aux environs du cimetière. Trouvant surement ce cas intéressant. Celui qui avait les cheveux rouges me regardât avant de me dire, que j’allais devoir faire équipe avec lui. Le seul truc qui m’embêtait dans cela, n’était pas le manque de boobs, mais bien celui de muscle ! Car n’étant pas doté d’une incroyable force musculaire moi non plus. Cela allait nous causer des problèmes si l’on devait taper fort quelque chose ou pousser un objet, pour entrer quelque part (Non, ce n’est pas une excuse à la con, pour dire que le problème, c’était le manque de seins dans notre team). Néanmoins, n’étant pas le dernier des salops. Je l’acceptais d’un simple pouce levé vers le ciel.

Avec mon jeune acolyte. On sortait maintenant du bar. Tout comme moi, il profitait de l’air libre pour allumer une cigarette. Et contrairement à moi, la sienne n’était surement pas au piment !  Car oui, ceux qui ont les mêmes gouts que moi dans ce Monde, sont bien rares et cela est fort dommage. Je profitais des quelques tafs que je respirais, pour penser à la mission et à la jeune femme. Après ça, moi et mon jeune allié, nous décidions de partir pour le cimetière. Sur le chemin, j’appris le nom du jeune homme, qui m’accompagnait. Ce dernier était Ren Tao. Bien entendu, je ne lui disais pas le mien. Non pas parce qu’il était moche (D’ailleurs c’est bien vrai ! Donc arrêtez de vous moquer), mais bien par ce que je n’en avais pas envie ! Comme dans la plupart des cas. Après cinq ou dix minutes de marches, durant lesquels, nous ne nous étions par perdus. On arrivait enfin au cimetière. Comme tout lieu, qui porte ce nom. Ici, il y avait plus de morts que de vivants (Oui je sais, c’est assez lugubre, mais bon c’est la vérité). Croyant qu’ils habitaient dans un far-west. Les croque-morts avaient même mis un panneau avec marqué le nombre de personnes enterrées ici. On ne savait pas si c’était pour faire déprimer les gens ou pas. Car si moi, on me montrait un truc comme ça. Je prendrai mes jambes à mon coup, pour me casser super loin. Vu le nombre qu’il y avait marqué sur cette affichage. Etant donné que les corps étaient surement enterrés dans un cercueil et non directement dans la terre. Leur corps ne pouvait servir d’engrais naturel et donc il n’y avait aucune herbe, qui arrivait à pousser correctement ici (Petit rappel de bio au passage). Après avoir traversé la grille, qui séparait la ville du cimetière. Je demandais cela à mon jeune « ami » :

« A ton avis, on s’divise en deux pour rechercher cette femme, ou on va voir l’croque-mort du coin pour lui d’mander des info’s ? »


Si on m’avait demandé mon avis. Je n’aurai choisi aucune des deux propositions. Vu que se diviser n’est jamais une bonne idée, en territoire ennemi. De plus, le croque-mort pouvait être un allié de la jeune femme. Alors pourquoi, je lui posais cette question ? Non pas pour le tester ! Mais bien pour avoir son avis personnel sur le cas. Vu que moi, je ne savais pas trop quoi faire.

[HRP]Ren m’a autorisé à dire dans mon rp’, qu’il me renseignait sur son nom[/HRP]

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Ren Tao
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Mer 2 Avr - 17:21

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Faire équipe. Peu sont les fois où j’ai fait équipe avec quelqu’un. Celles-ci se comptent sur les doigts de la main. Il y a les fois où faites des coups pour tuer, des vols de banque, comme la fois avec Yao ming et dernièrement, lors du sauvetage de Cloé. D’ailleurs, rien qu’en prononçant dans ma tête son nom, je ne peux m’empêcher d’avoir comme un frisson. Comme si chaque fois que je pense au Cornellia, il y a un petit quelque chose qui me fait tilter. Marvin… Quelle enflure celui-là. S’il y a bien une personne que je n’aimerais pas croiser de sitôt, c’est bien lui. Son comportement arrogant, jaloux et quelque peu sombre ne m’inspirait rien de bon. Limite, je trouvais qu’il faisait tache dans cet équipage qui respirait la bonne humeur. D’ailleurs, j’y pense chaque fois que je regarde mon poignet et un des trois bracelets que j’ai sur celui-ci. Le bracelet que Rey m’a donné en guise de remerciement ? Je ne connaît pas la signification de ce bracelet, mais quelque chose me dit que s’il m’en a donné un, c’est qu’il y avait quelque chose. Du moins, je le pensais. Bref…
Revenant à moi, j’avais allumé une cigarette. Pensif, j’attendais l’autre clown. Pourquoi avais-je choisi de l’aider au final ? J’allais sûrement m’en mordre les doigts car dans le genre d’affaires dans lesquelles on se dirige, il faut être discret et non débarquer comme un guignol. Je me demandais bien quel était le fin mot de l’histoire dans ce mystère de disparitions. S’agissait-il juste de la miss sanglante ? Si oui, alors je pense qu’il était de mise de prévoir une belle flotte de client chez les pompes funèbres dans les jours à venir. En effet, vu comment la miss semble être de base, je doute qu’elle soit apte à supporter des prisonniers. Non… Elle en aurait fait des tartares vivants. Soupirant je fumais ma clope doucement, la savourant avec soin.

Après un petit temps, voilà que l’homme sort. Clope au bec, il semble lui aussi fumer. Mais étrangement, la fumée que je ressens n’a rien à voir avec du tabac. J’ai une drôle d’impression. Bizarre… Mais passons. Suite à cette pause clope après le repas, nous nous dirigeons donc vers le lieu lugubre qu’est le cimetière. En chemin, je faisais un brun de parlote avec mon compagnon d’aventure et je lui dis même mon nom et prénom. Pas pour faire ami-ami, mais pour éviter les classique «  hey toi, oh, hey … ». C’est lassant de se faire appeler bêtement ainsi. Soufflant une dernière taffe, je jetais ma cigarette dans la nature, puis je vis au loin l’air sombre du lieu lugubre se dessiner dans le paysage. Un endroit reculé de la ville. Quoi de plus normal. Restant stoïque face à cela, je regardais en coin mon partenaire qui ne sourcillait pas. Nous finissions par arriver dans ce lieu étrange à l’odeur de mort. Quoi de plus normal ?  Entrant tranquillement après un grincement de porte des plus strident, je vins à écouter mon collègue du jour qui parlait. Sage décision que demander un avis. Au moins, cela prouve qu’il en a à faire de moi. Haussant les épaules, c’est d’un ton las que je répondais à l’énergumène.

«  … On se divise et on fait quelque chose pour signaler sa position à l’autre en cas de trouvaille intéressante… »


Suite à ces mots, je me dirige donc vers la petite maisonnette du croque-mort. Quel nom d’ailleurs. Croque-mort. Celui qui mord les doigts de pieds des morts pour voir s’ils le sont vraiment. Soufflant de lassitude, je frappe plusieurs fois à la porte et pousse la porte. Aucune résistance, elle s’ouvre. J’entre donc et commence à admirer les lieux. Regardant l’endroit qui représente bien l’ambiance du lieu, je note un homme qui semble assis à une table interpellé par ma venue. Le laissant me poser des questions habituelles, je me présente rapidement et je note chacune de ses mimiques. Il semble étrangement nerveux… Trop nerveux pour un homme qui n’a rien à se reprocher. Vivant seul de base, il me raconte un peu sa vie et suite à quelques questions, il m’affirme que des choses étranges se passent. Il se justifie même en disant voir des choses la nuit. Restant calme, je continue la discussions, jusqu’à lui demander s’il n’avait pas une lampe. Après tout, il m’en faudrait une chauffée à l’huile pour visiter les lieux le soir. L’homme m’intime de le suivre et indirectement, je visite donc sa maisonnette. Une chambre m’interpelle, visiblement, il semble… héberger quelqu’un ? Restant silencieux, je vins alors à le suivre dans une cave et nous remontons après avec une petite lampe à huile. Suite à cette visite à l’improviste, je retourne dehors pour chercher des indices sur les lieux.

De son côté, qui sait ce qu’avait trouvé le héros. Seule un détail étrange aurait pu l’interpeller, c'est-à-dire, une sorte de tache de sang encore fraîche. Une tache prouvant qu’un meurtre ou un saignement a eu lieu récemment. La conclusion de tout cela était une petite cachette qui cachait un corps mort d’environ quelques heures. Et fruit du hasard oblige, une petite cabane délaissée se trouvait sur une petite colline. Rien de suspect me diriez-vous, mais qui sait ce que l'on peut y trouver la nuit ou dans la journée ? En effet… La demoiselle aux cheveux verts se trouvait là, non loin de la position des deux jeunes hommes. Elle-même n’avait pas conscience que des recherches sur elle étaient effectuées en ce moment. A vrai dire, l’histoire ne faisait que commencer et de beaux rebondissements étaient prévus dans cette histoire.







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Dita | Epicode
Ren Tao
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Jeu 3 Avr - 1:25

« FERT : Portés disparus »

A chaque fois, ça n’arrive qu’à moi, je vous jure !


Alors comme ça, Ren avait choisi ma première proposition. Cela me dérangeait, mais bon ! Pour faire le mec courageux, je décidais de ne rien dire. Et pendant que lui allait rendre visite au croque-mort … D’ailleurs quelle idée d’appeler un type comme ça ? A croire qu’il faut être cannibale pour faire ce boulot ! Pfff n’importe quoi je vous jure ! En plus pour faire ce métier, il faut travailler dans un cimetière, ou dans un endroit où on vous pose ces questions-là « Vu que vous allez surement crever un jour, vous voulez quoi comme cercueil ? ». C’est vraiment n’importe quoi. Bref revenons au plus important … à moi, qui ne m’occupais en rien des morts (Même si j’achevais parfois quelques personnes, oui je l’avoue ! Mais bon, pour limiter les vagues de criminel, il faut bien faire ça, croyez-moi), mais qui marchais tranquillement dans un cimetière.

Je marchais maintenant seul dans ce cimetière. Plus je m’avançais dans ce jardin, où étaient entreposés les morts et plus j’avais les chocottes. Vu que je ne voulais pas tomber sur la jeune femme ou sur un mort-vivant … Car oui ! On ne sait jamais. Ça se trouve, la demoiselle kidnappait des personnes, pour les faire devenir ses esclaves, après les avoir tués. Histoire de me donner du courage. Je décidais de me rallumer une petite cigarette. Et après avoir fait ça. Je me mis en « Mode enquêteur », regardant ainsi dans tous les sens. Histoire que rien ne m’échappe, que ce soit d’étranges éléments, cris ou personnes me fonçant dessus. La seule chose, que je remarquais, était le nombre d’animaux, enterrés ici. Et oui ! Je ne savais pas si les habitants d’ici avaient un culte envers ses compagnons à quatre pattes ou à plumes. Mais en tout cas, je trouvais ça fortement bizarre.

Ainsi, je fis chou blanc durant de longues minutes. Jusqu’à tomber sur une stèle, où dessus, il y avait quelques gouttes de sang, relativement fraiches. Même si je n’avais pas mon brevet d’inspecteur. J’essayais d’inspecter un maximum, l’environnement qui entourait cette fameuse dalle de pierre. En faisant ça, je remarquais diverses traces dans la terre. Certaines avaient été faites par une femme, portant des talons. Et cela attirât encore plus mon attention. Cependant toutes allaient vers cette stèle et aucune n’était dans l’autre sens. Pensant qu’il y avait surement un passage secret, j’essayais de soulever l’objet, fait de marbre. Néanmoins, même avec ma force qui était loin d’être prodigieuse, je n’arrivais à rien faire. A ce moment-là, dans mon esprit, je me mis à entendre deux voix (Non, je ne suis pas fou), chacune représentait une partie de mon esprit. Un peu comme dans les bandes dessinées, avec l’ange et le démon. L’une me disait de partir de là, histoire d’aller chercher d’autres indices. Quant à l’autre, bah elle me disait de détruire cette foutue plaque de pierre. Ne voulant pas m’attirer plus d’ennuis, que j’en avais déjà. Je décidais de partir de là. Cependant, tout ne se passât pas comme prévu. Non, personne ne m’attaquât en traitre, car il savait que j’avais un pied sur un indice cruciale. Mais je fis bien une chute en avant.

Et là, ma main droite heurtât une pierre, qui eut le drôle de réflexe de s’enfoncer dans le sol. Et à cause de ça, la dalle de marbre se décalât sur la droite. Faisant ainsi rouler mon corps sur sa face et ce dernier tombât dans un escalier. Et encore une fois, qui se prit deux chocs pour le prix d’un ! Bah mon visage pardis. Et là, je pus vous dire que me heurter plusieurs fois la tête contre un minerai assez dur. Ca fait putain de mal, et ça vous assomme un peu. Quand je repris mes esprits. Je me relevai et pus voir, que le sentier sous terre, faisait un demi-tour.

Etant doté d’une humeur aventureuse aujourd’hui, je décidais de m’aventurer dans ces galeries. Pour m’éclairer dans cet environnement obscur et très humide. J’allumais l’une des torches, qu’il y avait contre le mur. Et plus j’avançais et plus je découvrais, qu’il y avait un véritable labyrinthe sous terre. Chaque bruit bizarre qu’il y avait, créait dans mon corps une mini crise cardiaque (Moi peureux, dans des tunnels chelous, jamais voyons !). En plus, je ne vous dis pas que le manque de lumière, augmentait cette panique (Ah oups, je viens de le faire), tout comme le fait de marcher sur un sol, relativement bizarre. A cause de ça, je n’osais même pas regarder, de quoi il était constitué. Ne voulant pas me perdre. Je décidais de continuer toujours tout droit. C’est ainsi ce que je fis et heureusement pour moi, je ne tombais sur aucun ennemi. Mais simplement sur une échelle à la fin de mon parcours.

Voulant dire à Ren, quelle découverte, j’avais faite. Je décidais de monter ces quelques barreaux. Et après avoir ouvert une trappe, je revoyais la lumière de Dieu (Cimetière-Dieu, vous avez compris ?). Une fois dehors, je pus voir que je me trouvais maintenant proche d’une maison, c’était surement celle du croque-mort. Ainsi que de mon « allié ». Voulant lui dire ce que j’avais trouvé, je me mettais à courir vers lui, jusqu’à entendre ces mots-là de la part d’un vieillard :

« Si tu veux vivre, ne bouge pas et ne fais rien de con! »


N’étant pas suicidaire et maso’. Je décidais d’obéir à ce papy. Néanmoins, voulant de l’aide dans cette épreuve. Je décidais d’alerter Ren en shootant dans un caillou, qui allât heurter le derrière de son crâne. Qu’allait-il devenir de moi ? Est-ce que Ren avait compris mon SOS ? Toutes les réponses que vous attendez, seront dans mon prochain post’ ! Même forum, même rp’, même page !
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Jeu 3 Avr - 17:04

Drôle d'affaire.




Jouer au héros n'est guère une chose que j’apprécie. Rare sont les fois où je ne le fais pas par envie. Quand j’y réfléchis bien, au final, il n’y a que quand je suis allé sauver Cloé que j’ai joué au héros de mon propre gré. Je me rappelle encore ce jour où un monstre marin l’avait capturé. Quelle journée. Maintenant, quand je regarde le cadeau que Rey m’a fait, je ne cesse de me demander s’ils vont bien. Pourquoi m’en soucier au fond ? Peut-être qu’au fond… Je me suis attaché à cette petite famille au point de souhaiter les revoir, malgré mes projets encombrants. Je partirais un jour à la recherche de cet équipage et je dirais bonjour à ceux-ci. Mais en attendant, je me devais de réfléchir et de revenir à l’instant présent. Récapitulons la situation…

Il y avait des enlèvements dans ce lieu depuis quelque temps. La fille que je recherche pour discuter semble là. De ce fait, vu son caractère c’est elle. Aucune preuve, à l’exception du discours du vieil homme. Vérité ou mensonge ? Allez savoir. Pesant le pour et le contre, je me demandais vraiment pourquoi un vieil homme aurait à mentir. Serait-il sous pression ? J’en doute, mais passons. Le croque-mort. D’après lui, il n’y aurait rien de particulier dans son cimetière. Qui de mieux que lui pour affirmer cela ? Après tout, il est là tout le temps non ? Pourtant, j’étais intrigué par cet air comme inquiet. Il était comme sous pression et cela se sentait. « Pourquoi » me revient toujours en tête. Qui logeait-il ? Car j’en étais certain, dans une des chambres, un lit était défait et des habits traînaient dans la pièce. Ma vision ne m’a pas trompé. Qui loge-t-il et pourquoi ne pas en parler à la limite de fuir le sujet ? Toutes ces questions faisaient que ce lieu était devenu le lieu premier où chercher les disparus.

Mais pour l’heure, je refaisais la synthèse - faite plus haute - plus haut dans ma tête et me mis à réfléchir. Cette situation devenait un véritable Cluedo. Qui était le tueur, où et avec quoi il a tué x personnes ? LA question était un véritable mystère, mais elle aurait une réponse bientôt. Pour sûr. J’attendais indirectement que le super-héros revienne. J’espérais qu’il ait trouvé quelque chose. Cela pourrait éventuellement nous faire avancer. Car dans le cas présent, je suis dans une impasse. Sans preuves, paroles compromettantes et d’autres choses qui pourraient nous faire avancer, nous étions bloqués dans cette enquête. Et pour une fois, je voulais résoudre cela le plus facilement possible. Attendant avec une patience de maître, je commençais à perdre cette patience. En effet, même si je suis patient à la base, j’avais hâte de mettre en place mes plans pour former mon groupe. Mais là, plus j’attendais, plus je retardais ce fameux moment où j’attendais avec impatience.

* Grouille toi… guignol *


Ma pensée ne pouvait malheureusement pas se téléporter jusqu’à sa tête. Soupirant de lassitude, je vins alors à m’allumer une cigarette ? Restant proche de la maison, je faisais une pause dans cette enquête en priant que l’autre ne tarde pas. Je regardais le paysage qui était morbide. Des tombes à perte de vue. Si j’avais 100 Berry à chaque tombe, pour sûr que je serais riche pour le moment. Ce genre de lieu est peu plaisant. Quelle vie cela doit être celle d’un croque-mort. Rien que l’origine du nom, c’est étrange. Alors la vie en elle-même… Fumant avec envie, je laissais la fumée zigzaguer dans l’air tel un serpent s’évaporant dans l’air. Hum… Quel plaisir que de sentir cette fumée courir le long de mes poumons. Le temps passe et je ne le vois pas.
Le plaisir de fumer m’envahi tellement que je ne fais pas attention à une situation étrange toute proche d’ici. Un vieil homme – celui du bar semble avoir quelque chose à dire au super-héros. Tranquille dans mon coin, je ne remarquais pas la scène et ce n’est que quand un caillou heurtait le derrière de mon crâne que je vins à me retourner doucement. Je vis alors le jeune homme de tout à l’heure et visiblement, il était immobile ? Hum ? Avançant doucement, voilà que le vieux me vis et il s’avançait un peu plus vers le héros en appuyant le canon de sa carabine dans le dos.

« Bouge pas… Que veux-tu toi ? Vous deux… Que voulez-vous vraiment ? »
« Vous aider … »
« Ils disent tous la même chose. Même l’ancien au masque l’a dit… »
« Masque ? »
« J’en ai trop dit…. Oubliez et partez d’ici au plus vite… Simple conseil. »

Alors que cette discussion devenait quelque peu bizarre, voilà que le croque-mort sort de sa maison et est interpellé par ce rassemblement. Demandant s’il y a un souci, voilà que le vieux semble blanchir à vue d’œil. Que se passe-t-il donc pour qu’il ait peur ainsi ? Intrigué, je me tais et finalement, le vieil homme part sans un mot, tel un enfant honteux après avoir fait une bêtise. Regardant le croque-mort qui de nouveau fermait sa porte et fermait ses volets, je vins me retourner vers l’homme à l’allure de héros. Haussant les épaules, je vins alors à désigner d’un signe de la tête la petite cabane.

« Allons voir là-bas… Tu as trouvé quelque chose au faite ? »


Je restais calme, mais cette allusion à un homme masqué ne me disait rien de bon. S’Il s’agissait de la personne que je pensais que s’était, je me devais d’éviter ce genre de rencontre. Attendant que le héros parle, je me dirigeais vers cette petite colline. Quand on y repense, c’est un endroit idéal pour se cacher à l’abri des regards. Silencieux, je semblais plus sérieux que jamais. Concentré et complètement absorbé par la situation des plus étonnantes. Cette histoire prenait des proportions des plus intrigantes pour moi.
Autant prévenir mon acolyte.

" ... Il y a un truc qui cloche avec ces gens. Sans vouloir te donner d'ordres, tient toi prêt à tout et n'importe quoi. Notamment à te battre. "






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Dita | Epicode
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Lun 2 Juin - 15:10

Drôle d'affaire.




La petite cabane était suspecte. Moi et mon acolyte, nous nous devions d'y aller. Du moins, je me disais cela. Attendant son avis, au final, je me demandais s'il était vraiment à la hauteur ? En cas de pépin, arriverait-il à tenir tête à la possible miss ? Elle n'est pas un gentil chaton, mais plutôt un véritable serpent qui attaque sans se retenir. Moi-même, j'ai subi ses assauts et ais goûtés à sa violence. N'ayant pas le temps de douter, je m'y dirige tranquillement. Le lieu est toujours aussi lugubre et visiblement, cela ne va pas changer. Quel dommage... Soupirant, je me poste devant la cabane qui semble abandonnée. Qui semble uniquement, car étrangement, j'ai eu la brève impression d'y voir quelque chose. Une lumière qui s'éteint ou autre chose ?

Prenant mon courage entre mes deux mains, je lance un regard sérieux à mon compagnon en lui faisant signe de rester là. Il allait assurer la sortie au cas où elle tenterait de fuir. Je vins pousser la porte en douceur et j'entre sans faire de gestes brusques. L'endroit est vide au premier coup d'œil, mais quand on regarde de plus près, dans un petit coin sombre, il y a une couverture semblant bien enflée. Quelque chose se cacherait-il ? Elle observe et attend. Elle se lèche les lèvres. Elle ressent ton pas et sourit de manière mesquine.
Approchant ma main de la couverture, c'est au dernier moment que j'hésite et que tout s'enchaîne. Bondissant sur moi, la belle est bien là. Son regard perçant se plonge dans le mien et ses mains se dirigent sur moi. Une de ses mains est équipée d'une sorte d'appareil lui permettant de mettre des lames connectées à ses doigts. Ainsi donc, dans un premier mouvement de recul, je bloque avec une main son bras armé. Tout deux, nous tombons au sol, la miss me surplombant.

" Encore toi ? ... Moi qui croyais que s'était l'autre con masqué ? "

Maintenant son bras à distance, je me demande bien ce qu'elle fait ici. La fixant calmement, je place une jambe entre les siennes tandis qu'elle se colle à moi. Cette position est malsaine, tout comme elle d'une certaine façon. Zen bien qu'en alerte intérieurement, je l'interroge du regards.

" Toujours sur ton idée de me recruter hm ? Décidément, c'est une mode on dirait..."
" Pourquoi enlèves-tu des gens ? "
" Hm ? De quoi tu parles toi ?"

Quoi ? Intrigué, je hausse un sourcil et je reprends possession de mes moyens. Elle semble sincère quand elle insinue être innocente. Mais alors, si ce n'est pas elle, qui est-ce hein ? La fixant dans les iris, je l'observe se lécher encore les lèvres avant d'approcher de ma nuque et voilà qu'elle recommence. Son membre buccal parcourt ma nuque tel un serpent qu'elle est. Frissonnant, je la repousse tant bien que mal et me mets en position de défense.

" Vous me faites tous chier..."
" Oh, je vous rassure, la gêne est partagée..."

Cette voix. Me retournant brusquement, voilà qu'un homme inattendu apparait. Fronçant les sourcils, je comprends mieux l'allusion au masque. IL est là. D'un bref coup d'œil, je remarque le corps étalé de l'homme masqué. Inconscient, mais pas mort vu qu'il n'y a aucune trace de sang et que cet homme face à nous n'est pas du genre à tuer inutilement quand il le veut. Il applaudit avant d'entrer. Il se fait imposant, lui et son pseudo-charisme.

" Décidément, vous avez décidé de faire une réunion de famille c'est ça ? "
" Pas du tout..."
" Toujours aussi charmante n'est-ce pas ? ... As tu réfléchis à ma proposition ?"
" Oui et je te dit merde au cas où tu l'aurais toujours pas compris."
" Quel dommage..."

Retirant ses gants, l'homme jette l'un d'eux sur nous et suite à ce geste pour nous distraire un court instant le voilà qui se dresse devant la miss. Sans l'avoir sentit venir, je le vois donner un coup puissant dans le ventre de la belle. Il l'envoie valser contre un mur en bois qui se brise sous la force du coup. Impressionné, je tente de garder mon calme et me jette sur lui en visant sa nuque. Mais cette tentative est veine. Il m'intercepte et me repousse sans difficultés. J'analyse brièvement le lieu, mais rien ne m'aide. Une couverture, un petit meuble, une fenêtre, et c'est tout. Me relevant avec un peu de mal, je regarde l'homme bien décidé à en découdre. Je me saisis donc de la couverture proche de moi et l'envoie sur le monstre masqué.
Fuir ? C'est une possibilité. Regardant vers là où est partit la miss, je la vois au loin partir d'ici. Tant mieux. Je lui souhaite de bien fuir comme il faut. Mais de mon côté, je me dois de sortir de là avec mon acolyte inconscient. M'occuper seul de ce type, c'est presque impossible pour le moment. Me mordant la lèvre, je le laisse se débattre avec la couverture et lui donne un violent coup en priant toucher les oreilles. Après tout, si on tape trop violemment cet endroit, on peut déstabiliser l'adversaire. Suite à cela, je prends mes jambes à mon cou, me saisis du corps de l'autre masqué et je cours le plus vite possible en direction d'un endroit où se cacher.

Malheureusement, ce n'est pas cela qui va l'arrêter. En effet, alors que je me pensais sortit d'affaire, voilà que l'ombre apparait et qu'un coup dans le dos se fait sentir. Projeté en avant, je termine contre une pierre tombale qui me sonne. Bon dieu que cela fait mal. Me grattant la tête, je redresse le regard pour l'observer. En colère ? Sûrement.

" Tu ne va nul part... La dernière fois dans la grange, tu as eu de la chance, mais ici... c'est une autre histoire."

Il a pas tort. Il me connait aussi bien en tant que personne qu'au combat. Moi en revanche, ce n'est pas réciproque pour lui. Me tenant contre la pierre, je me demande bien comment me sortir de là. Mon regard dans le sien, je sais bien que je ne suis pas un égal pour lui. Il est plus fort et il le sait. Là est ma chance. Il me sous-estime et tant mieux. Je tousse donc et attends qu'il attaque. Quand il se met à foncer tel un taureau vers moi, je me décale au dernier moment pour alors lui donner un coup dans la jambe. Espérant la briser, j'assène un coup-de-poing vers le visage pour qu'il ait moins de chance d'esquiver le coup crucial qui est le coup de pied. Le boss essaie de parer la main et au final, mon pied heurte son articulation ce qui doit lui faire un bien fou. Le regardant s'étaler, je grimace en me sentant faible. Son coup m'a bien affecté. Tenant ma tête d'une main, je me recule et reprends mon collègue après avoir remarqué que mon attaque a eu l'effet escompté.

Ne me faisant pas prier, je m'enfuis avec mon poids sur les épaules et je le dépose dès que je peux. Suite à cela, je me dirige vers le port ne pouvant plus rester ici. La fuite est le seul moyen de m'en sortir contre lui pour le moment. Bien des questions me trottaient dans la tête, mais je n'avais pas le temps de les poser.

De son côté, l'homme mal en point ricanait nerveusement. S'exclamant envers lui-même.

" Tant pis... J'ai mes cobayes de toute manière..."







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