U n retour vers la perversité, une intention de suicide, un objectif terroriste, tel était les desseins de mon nouveau livre, une interpolation innovante d'un livre ancien. En réalité, je n'avais plus d'inspiration, les passions qui ont le rôle de faucheuse d'âme ont pris le dessus et, on fait de moi un animal concupiscent. Le regard, le toucher, l'odorat, l’ouïe, était minutieusement transmigré dans l'être apathique et inerte qu'était l'apparence fantomatique des Dieux. En effet, je suis noir, ma conscience est noire, mon âme est noir, mes yeux sont noirs. Je ne vois plus mais je suis toujours aussi libertin en faisant une conception même d'un bar où la prostitution serait chose courante et obligatoire. Voyez-vous, j'ai changé depuis, pourquoi ? C'est facile, la philosophie n'est plus mienne. Je ne pense plus à cela, je suis plus cela. Cette amour de la sagesse qui était l'un des principes de mon existence a disparu soudainement sans un adieu, sans un mot d'amour. Effectivement, il y a eu des conséquences dévastatrices dans mon esprit. Confusion, inintelligibilité, fantaisie, sensation illusoire, hallucination. J'étais vraisemblablement voué à ce monde de souffrance et de misère appelé enfer. Je ne ressent plus cette sensation de béatitude, le résultat d'une dichotomie entre existentialisme et fatalisme. Je n'ai plus cette air de noble, d'aristocrate au sens éthique du terme. En effet, c'est la crise d'adolescence. Et, je suis en train de perduré dans les plus affres parties du néant, sans aucune chance de m'en sortir. Ainsi, fallait-il que j'erre dans un monde plein de miséricorde et de bonheur et de faire quelques remémorations de ces événements antécédents de cette crise noire. Peut-être se pourrait-il de par sa philanthropie, l'esprit reviendrait en moi ? En outre, cela pourrait être même une source de bien-être dans un monde de « mal-être ».
C'était un jour banale et simpliste, dans cette mer de East Blue, dans une île spécifiquement xénophobe. J'étais dans ma chambre d’hôtel, prêt à aller réfuter les superstitions et les mythes qui se proliféraient de manière exponentielle. Un servant, une servante, arriva et, dans leurs mains, quelques mets assez pittoresque d'apparence mais immonde intérieurement. Voyez-vous, de par leur prestation originale, tout de même, je ne puis que les remercier grâce à leurs sourires rayonnants et nobles si j'oserais dire. Entre autre, il faisait beau dehors, les enfants diabolisés par les dires des octogénaires étaient en train de gambader et de s'époumoner dans un jeu qui engendrait désunion et division. Les Mama comme on le dit avaient comme d'habitude une tenue d'esclave et un cœur de roc. Les majeurs, eux, étaient en train d'attirer les jeunes femmes de par leurs sifflets, objet méticuleux qui extasier d'une certaine manière tous types de femmes. Que dire de plus, c'était une belle journée où le bonheur à la manière immorale était chose atypique et magique.
Harassé, nerveux, colérique, je sortis de mon antre, en direction de la terrasse où l'on pouvait lorgnait la montée de l'anarchisme dans cette petite île de Dawn. C'était laid, moche........A chaque dizaine de minutes, une dispute éclata pour une raison aussi sot qu'il soit. Voyez-vous, c'est en regardant cela, que je cogitais, je pensais, je réfléchissais d'une manière socratique. En effet, la vue de l'obscurité augmente de manière constante la production d'anticorps de l'esprit qui molestait avec véhémence ces ondes négatifs qui parcouraient mon âme. Ainsi, je débutais mon livre sur l'anarchisme dans un monde utopique.
Après cette méditation atypique, je fis comme tous philosophes, je prit mon sac et tous ceux qui se rapporte à mon métier de professeur. Puis, je m'avançais dans la rue calmement d'un air complaisant et bienséant. Je regardais les gens qui passaient devant moi avec des yeux d'un patibulaire. En effet, une personne bizarrement a cru que je l'ai mis au piédestal, montrant ainsi une attitude orgueilleuse et ostentatoire. Mais, voyez-vous, de par cette amour vis-à-vis de l'humanité, je le pris joyeusement et je l'emmenais dans une salle comparable à celui d'un cinéma. C'était ma salle et lui, c'était mon élève Jean Guyaud.
.
Invité
Sabor
Messages : 566
Race : Humain
Équipage : Inquisition
Feuille de personnage Niveau: (38/75) Expériences: (3/350) Berrys: 51.000.000 B
Jeu 24 Avr - 19:39
« Débat intéressant sur la musique ♪ »
Je suis ici, sur l’île de Dawn depuis environ trois jours je crois. Honnêtement, je ne compte plus vraiment le temps, tout semble aller si vite. Ce que je peux dire, c’est que j’ai retrouvé Erwin ici et que je ne suis pas parti depuis. Notre rencontre avec l’homme poisson m’a plus ou moins intrigué et j’ai demandé à rester ici le temps que mon capitaine marchand parte faire un aller-retour entre ici et je ne sais plus où. En attendant, j’ai changé de moyen de vivre, ayant assez, je me suis accordé le luxe de dormir dans un hôtel. En effet, les auberges suffisent quand il s’agit de passer une nuit, mais quand il faut en passer plusieurs, une ancienne expérience m’apprit que cela pouvait facilement apporter des problèmes et parfois, ça fait même très mal. Du coup, ma chambre est magnifique, les couleurs des murs sont la même que celle de ma peau, les draps du lit en bois clair sont blancs et le sol est recouvert d’une moquette orangée mais très claire elle aussi. Lorsque je suis arrivé, j’ai dit à la femme qui m’a accompagné dans la pièce que j’avais peur de la salir. La gentille femme m’a simplement répondu que ce n’était pas grave, que son métier était de nettoyer avec les clients, sur le coup, j’ai quand même été un peu gêné puis, on s’habitue au luxe de pouvoir manger dans le lit super confortable.
Donc, si je suis resté ici, sur cette île, c’est aussi pour surveiller Varyan, l’homme poisson que mon ami Erwin et moi avons sauvé d’une drogue bizarre, seulement, quand j’ai voulu aller le revoir le lendemain, il était déjà reparti, ce que j’ai trouvé bien étrange d’ailleurs mais passons, j’ai pu de ce fait profiter de ce superbe hôtel et aujourd’hui, je vais visiter le reste du bâtiment. J’ai entendu un orchestre dehors, de la musique classique d’ailleurs, je vais peut-être pouvoir me joindre à eux et apprendre de nouvelles mélodies, qui sait ? Sauf que cette immense bâtisse est vraiment immense, je suis à peine sorti de ma chambre que me voilà déjà perdu entre les escaliers et les couloirs qu’il y a partout.
-Ah, quelqu’un ! Excusez-moi, je suis un peu perdu. -En effet, vous êtes au sous-sol, étage réservé au personnel ! Je vais vous conduire dehors. -Merci, vous me sauvez la vie !
Heureusement, le seul bagage que j’ai est ma flûte traversière. Pouvant presque laver mon linge à volonté, je l’ai lavé chaque soir depuis que je suis ici, du coup, je n’ai pas besoin de me changer. La femme du personnel me conduit donc à la terrasse extérieure, me laissant ici en me prévenant de ne pas recommencer. Je m’excuse, n’ayant pas fait exprès de me rendre dans les sous-sols de l’hôtel, m’installant enfin dans une chaise rembourrée en tissu rouge très confortable elle aussi. Je m’étire, profitant du soleil qui joue à cache cache avec les nuages et surtout de la musique qui a lieu en bas, dans la cour. L’unique problème étant que les divers barons et baronnes passent leurs temps à se chamailler pour des raisons vraiment inutiles. Par exemple, derrière moi, une femme en veut à son mari car celui-ci a oublié la date de naissance d’un oncle lointain et décédé depuis de nombreuses années. Passons, j’appuie mon coude sur la rambarde devant moi, prenant l’instrument dans la main qui ne tient pas ma tête qui tente d’ignorer les disputes pour profiter de la musique en bas.
-Bon, si vous voulez vous disputer, faites le dans votre chambre ! J’aimerais écouter la musique, merci !
Le couple me dévisage, partant à l’intérieur de l’hôtel. Je me réinstalle donc, ne remarquant même pas que j’ai crié et que pas mal de monde me regarde à présent.
Shtoum (c)
_________________
Sabor
Invité
Invité
Jeu 24 Avr - 21:11
Une Retrouvaille
A rrivé dans ma salle, surpris par le nombre de personnes, j’essayais de me faire passer pour un néophyte afin de voir quel était la cause de ce surnombre. Ainsi, je pris place dans une des chaises qui se présentaient à moi. Sale, malodorante, puante, tel était les propriétés de cette chaise. En effet, voyez-vous, l’hygiène est une chose sans moindre importance. Elle est comparable à ces divertissements qui ne sont là que pour le plaisir et le bonheur d’avoir un remède contre l’ennui. On ne l’oblige pas dans les sociétés de cette île. Elle est une secondaire. La seule chose à faire est de sensibiliser de manière éloquente et courtoise c’est personnes qui sont auto-proclamés nobles. Ainsi, ils pourront le faire propager et donc, faire une « hygiénisation » de cette île.
Tout le monde, était impatient de me voir, de m’entendre, de m’apprécier physiologiquement parlant. En réalité, des rumeurs concernant moi, sans être orgueilleux, ont eu des conséquences épouvantablement positives. Depuis, on me faisait des panégyriques, des éloges de grande qualité, des chansons, des poésies d'où se trouvait une très grande ingéniosité de leurs parts. Les nobles qui sont eux-mêmes intellectualiste, de par leur admiration, ont été dans les premiers rangs de la salle montrant ainsi leur participation dans le mouvement filippisme. Les Hommes de science qui étaient présent dans cette île, avait une physionomie montrant une certaine admiration rarissime. C’était stupéfiant, incroyable, irrationnel. Je me disais que ceci n’était que pure chimère et j’étais dans ce rêve appelé communément paradis. Mon cœur s’emballait, frissonnait à la pensée même de ce surnombre. Mon âme passait au stade d’orgueilleuse mangeant ainsi les fiertés festoyant qui s’approchèrent de mon être. Mon corps jouissait de ce bonheur en tremblotant de manière excessif pour évacuer tous les tracas qui étaient là-dedans. En somme, c’était un moment magique et inoubliable.
Pour ne pas leur faire attendre encore plus, se peut-il qu’il se lasse d’attendre, je me faufilais discrètement dans une porte qui me mènerait directement à l’estrade où la conférence débuterait. De ce fait, de par mon humeur lunatique, j’ouvris la porte, et surprise ! Il y avait des mots éblouissants, grandiloquents, pompeux, unique, qui exprimait une sensation d'amour qui ne m'a jamais été connu. Ainsi, cela m’accorda une sensation de bien-être absolue. Ces étudiants, mes chers comparses, mes chers amis ont conquis mon cœur et m’ont prouvé qu’ils faisaient partie de ces personnes bonnes comme le dit-on. C’était une première dans cette carrière débutante et pleine d’avenir. J’étais de plus en plus heureux, je commençais à goûter ce concept appelé bonheur. L’épanouissement était en moi et j’étais l’épanouissement. Mon âme changeait, se transformer en une entité bienfaisante qui rayonnait et extérioriser la lumière de l’Homme, qui se trouvait dans les profondeurs abyssales de son esprit. Cela, était dur, mais, j’ai réussi à ressortir un moment de paix dans une atmosphère d’orgueil. Je devrais être fier de moi, mais, voyez-vous, ce n’était pas cela mon objectif, non. Mon objectif est l’éradication même de la xénophobie et du racisme dans une île qui se trouve être juste et bienséant après maintes réflexions. Ainsi, l’ensemble de la salle pris un air sérieux et par conséquent, débuta le cours ou la conférence d’une certaine manière.
Je commençais tout d’abord par une introduction qui abordera directement le vif du sujet qui était ce soir : Xénophobie et racisme, bienfaisant ou malfaisant ? Ainsi, cela parlementer d’une manière philosophique sur les éléments importants de la conférence qui va être détaillé de manière explicite dans les différentes parties qui seraient présentés. Ayant toujours un œil sur le public, je remarquais leurs mouvements patibulaires et sournois qui se développèrent encore plus lors de l’explication des parties. En effet, à cause de cela, je finalisais tout de suite l’introduction pour ne pas leur blesser, car, voyez-vous, j’avais cette pensée que la cause de cela était l’introduction. Puis, je commençais la première partie.
Invité
Sabor
Messages : 566
Race : Humain
Équipage : Inquisition
Feuille de personnage Niveau: (38/75) Expériences: (3/350) Berrys: 51.000.000 B
Ven 25 Avr - 15:39
« Débat intéressant sur la musique ♪ »
L’orchestre se débrouille très bien, j’observe particulièrement et avec attention le joueur de flûte, me concentrant à m’en faire péter les nerfs pour entendre uniquement ce qu’il joue, cherchant à chaque note le son de la flûte à travers les mélodies des autres instruments. Cependant, je perds rapidement ma concentration, laissant mon esprit profiter de la musique, tout simplement, même si mon regard, lui, reste fixe sur le joueur de flûte. Je regarde son touché sur l’instrument, faisant de même sur ma flûte, posée sur mes genoux. Un homme arrive, se pose à côté de moi et me sourit.
-Vous faites partie de l’orchestre ? -Pardon ? -Vous avez une flûte.
Je baisse les yeux pour regarder mon instrument, laissant à présent la musique n’être qu’un son de fond, entamant une discussion avec l’homme à côté de moi.
-Je joue de la flûte traversière, oui, mais disons que je suis plus un solitaire. -Expliquez-moi donc ça. -Disons que je voyage d’île en île avec un navire marchand. Du coup, je ne me pose jamais, lorsque je joue, c’est pour le plaisir ou me faire un d’argent dans la rue. -Intéressant.
Il regarde l’orchestre qui s’arrête quelques secondes, commençant ensuite une nouvelle musique.
-Je jouais du piano étant petit, mais j’ai arrêté à cause de mes parents.
J’acquiesce, ne sachant pas vraiment quoi répondre. Je tourne la tête vers lui, le regardant enfin plus en détail. Ses cheveux sont longs et fins, aussi blancs que les draps de ma chambre et son regard noir pourrait effrayer un enfant, comme le mettre en confiance. Au final, il a un visage charmeur, comme ceux des princes charmants dans les histoires pour petites filles. Je soupire, entendant que la musique est coupée par des braillements de nobles qui pensent sûrement que le monde leur est dû car ils sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche.
-A vous voir contempler la musique ainsi, je me sens désolé de vous avoir interrompu. -Oh, non, vous ne me dérangez pas du tout. Je suis resté ici parce qu’un ami était malade et me voici ici, bloqué avec ces gens qui hurlent du matin au soir. -Votre nom ? -Tay. Je suis Mike Tay. -Bien.
Je reste plutôt vague sur le pourquoi du comment je suis là. Cette histoire avec l’homme poisson est assez louche, même moi j’ai dû rater des épisodes, ce n’est pas pour aller raconter ceci à n’importe qui. Je dois arrêter de faire aussi facilement confiance aux étrangers. Je veux naviguer sur Grand Line, là-bas tout peut arriver et si je confis le moindre truc à la mauvaise personne, ceci peut faire basculer ma vie.
-Je vais vous laisser, au revoir, Mike Tay.
Je le regarde partir, lui souriant. Retombant dans mes pensées, je me dis que je suis encore jeune, je dois prendre ma vie en main et ce n’est pas en restant assis ici à regarder de la musique qui ne m’apportera rien que je vais évoluer. Tapant du poing sur l’accoudoir de la chaise, je me lève. Erwin, où que tu te caches, je te trouverais ! Il était sur l’île avec moi pour sauver Varyan, peut-être y est-il encore après tout ?
Shtoum (c)
_________________
Sabor
Invité
Invité
Ven 25 Avr - 20:10
Une Retrouvaille
D ans cette conférence atypique, dans cette sensation d’euphorie excessive, dans ces pensées farfelues et confuses, je me trouvais dans cette impasse intemporelle où l’éternelle confrontation entre mes deux êtres faisait une sorte de réaction chimique. J’étais là, au seuil d’une porte cabalistique, énigmatique nonobstant son non-originalité. En effet, on pouvait remarquer les quelques tâches rougeâtres pénétraient la porte qui avait pour résultat une sensation d’existence de celle-ci. C’était un art, une science, un mode de vie. Les traits diagonaux diabolisés par l’extension de la mort, donnaient cette envie, cette soif de cannibalisme. Elle m’entraînait avec elle dans les affres de la mort, montrant une obscurité irrationnelle. Elle avait deux cornes, elle était de couleur rouge, elle ressemblait à une chèvre. Son visage qui était de plus en plus maladive par la mocheté de son âme, s’obscurcit à chaque regard fixe que je lui accordais. Je sentais sa douleur, son sarcasme qui proliférait de manière odorante. J’entendais, les cris, les hurlements, les beuglements, de ce personnage souffreteux. Mon cœur était embarrassé de le voir ainsi, mon âme était radicalement changée devant une entité bienfaisante et complaisante. Qui plus est, la musique des rhapsodes squelettiques donnait cette sensation de folie, ce trouble de l’esprit dont l’illusion était la mort. Cette porte qui était objet de méditation artistique, devient une pensée extravagante servant strictement à rien. Ange dans un enfer. Intellectualisme dans divertissement. Que dire de plus, je n’étais plus moi-même, j’avais séparé ma conscience de ce monde faisant une sorte d’ascétisme pathologique. J’avais oublié cette nature corporelle qui s’inquiétait dans la conscience de mon inconscience. Ma tête tournait, ma pensée divaguait, mon éloquence disparaissait, ma conscience n’était plus. J’étais en plein agonie. Ce n’était pas croyable, je ne voyais personne que ce fond noir, obscur, dangereux. J’essayais par tous les moyens l’accessibilité à ce monde afin de pouvoir distribuer mes quelques adieux aux personnes les plus chères de ma famille, de mon entourage. Introuvable ! Elle n’était nulle part, elle m’a abandonnée dans mon triste sort. En outre, l’agonie se termina et je mourus dans des pires atrocités inimaginables. En effet, peu après, j’arrivais dans un monde blanchâtre qui me semblait assez familier. Je voyais de plus en plus de manière claire et simpliste. Je sentais une odeur anodine qui divulguer à nos être la quintessence même de la souffrance interminable auquel il eût. C’était stupéfiant, spectaculaire et rarissime. Terminable ! La vue que j’eusse était en pleine clarification qui, à présent, est en pleine finalisation. Noir, blanc, blanc clair, blanc transparent, Terre. J’arrivais, en effet, dans ce monde appelé La Terre Bleue. J’étais inconscient, mais, maintenant me voici conscient.
L’amour est revenu, la pensée a été épurée, l’âme est devenu. Je suis revenu à la normale, je suis sorti de cet enfer exponentiel, je pu sortir de cette antre positivement épouvantable. Fort heureusement, la chance à jouer aux jeux de hasards, ainsi, j’ai pu me guider à travers l’odeur sensibilisante de celle-ci. Cela, n’était valable qu’une fois, la deuxième fois, je risquerais de perdre mon public qui était à proprement parler, passionné par mes dires.
J’entamai la moitié même de la première partie. L’ambiance qui s’est formé durant ses quelques blagues de ma part à favoriser la montée de la concentration vis-à-vis de mes dires. Les nobles et scientifiques, qui se trouvaient à la première place, étaient dans cette méditation philosophique et épistémologique, qui accorda à cela des vérités demeurées cachées. Les enfants, aussi joueur qu’il soit, se faisaient silence et écoutèrent attentivement, le traducteur enfantin de philosophie. En somme, la salle était époustouflée à la vue de mon charisme.
Argument irréfutable, contradiction irréfutable, apologie véridique, tel était les propriétés même des dires argumentatifs que j’eusse exposés de manière rhétoricienne. La croyance et la réflexion, était les principes même de ma réflexion inhabituelle de cette longue réfutation de ces sentiments inhumains. En effet, cela pris des minutes, même des heures avant la fin de la première partie. C’était d’ailleurs pour cela que j’eusse vu mes comparses faire des gesticulations ordonnant de passer à la deuxième partie. Ainsi, après cela, je passai à l’autre partie assez intéressante.
.
Invité
Sabor
Messages : 566
Race : Humain
Équipage : Inquisition
Feuille de personnage Niveau: (38/75) Expériences: (3/350) Berrys: 51.000.000 B
Mar 29 Avr - 13:37
« Débat intéressant sur la musique ♪ »
Je pousse ma chaise avec l’arrière de mes genoux en me levant, la faisant ainsi tomber et provoquant de la sorte un brouhaha infernal dans la cour où je me situe pour écouter la musique que j’interromps d’ailleurs à cause du bruit. M’excusant en mimant de la bouche, je ramasse la chaise et commence à sortir, enfin à entrer pour sortir. Je retrouve l’homme aux cheveux longs et blancs, parlant avec une femme que j’ai déjà vue mais je pense me tromper, avec tous les visages que je vois dans ce monde, impossible de savoir si j’ai déjà croisé quelqu’un sans avoir vécu de moment particulier avec cette personne. Je souris en passant devant l’homme, lui faisant en même temps un signe de la tête, arrivant pour la première fois à sortir de cet hôtel sans me perdre. Quel exploit !
-Excusez-moi, pour aller au port, c’est bien par ici qu’il faut aller ?
Je m’adresse à une femme, pointant du doigt une direction qui me semble familière et elle me confirme que oui. Je soupire, rassuré de n’être qu’une personne sans sens de l’orientation uniquement dans le bâtiment derrière moi et non aussi dans la ville. D’un pas rassuré, je commence ma marche vers le port, passant par les routes principales et non les petites ruelles sombres, autant éviter de réellement me perdre dans cette ville, j’aurais l’air fin … Marchant à un rythme plutôt lent, prenant mon temps pour profiter du beau soleil, des gens me saluent, me reconnaissant pour certains car j’ai réussi à vaincre le fou du port il y a peu de temps. Heureux que l’on me reconnaisse, je prends un peu la grosse tête et commence à accélérer le rythme, marchant de manière hautaine jusqu’à arriver au port où je croise un membre de l’équipage marchand. Me reconnaissant, il court vers moi, une banane à la main.
-Hey le maudit ! On est là depuis quelques minutes à peine, tu tombes bien, on ne va pas avoir besoin de faire de pause du coup. En route !
Il me tire le bras et me mène sur le bateau où je finis enfin dans ma chambre. Je prends ma flûte et regarde à l’extérieur, je ne sais pas trop ce qu’il se trame mais sur le bateau, il y a une étrange atmosphère, je me retrouve directement enfermé dans ma cabine.
-J’ai fait quelque chose de mal ?
Je parle à ma flûte, tout va bien, puis soudainement, la porte s’ouvre. La capitaine arrive, un énorme gâteau d’anniversaire avec de nombreuses bougies enflammées sur le dessus. Une vingtaine de personnes entrent dans ma cabine, chantant l’hymne des anniversaires. Sur le coup, je reste perplexe, je ne me souviens plus de ma date précise d’anniversaire mais ce que je sais c’est qu’on le fêtait en début d’année, pas en plein milieu comme ça.
-Ouais, bon on ne connaît pas ta date de naissance alors on le fête puisque ça fait un peu plus d’un an que tu voyages avec nous mon grand, souffles donc tes bougies !
Je souris, quelle douce attention, soufflant mes bougies d’un seul coup, ils applaudissent et hurlent que l’on doit à présent manger le gâteau puis on part vers de nouveaux horizons.