Il faisait chaud ce jour la, chaud et incroyablement dangereux.
En ce jour étonnamment ensoleillé pour la saison, les habitants de Logue Town étaient sortis beaucoup moins vêtus qu'à l’accoutumée. Ces habits légers laissaient les bourses plus ou moins remplies de berrys scintillants beaucoup plus vulnérables pour les voleurs !
Et en parlant de voleurs, en ce jour de marché, l'un des plus discrets étaient à l'affut.
Malgré le nombre conséquent de soldats de la marine, les vols à la tire ou à l'étalage n'étaient pas rare, quelqu'un avec un minimum de doigtée pouvaient rafler une paie d'une journée en quelques secondes sans laisser ni traces ni indices, pas vu pas prit.
Cependant ce n'était pas les pièces sonnantes et trébuchantes qui attiraient notre voleur encapuchonné aujourd’hui. Malgré le fait qu'il portait une tenue peu commune (un manteau qui recouvrait l'intégralité de son corps surmonté d'une capuche), il passait quasiment inaperçu.
Il y a beaucoup d'avantage à être une belette de 30 centimètres de hauteur.
Avec agilité, Aldous Schrodïnger zigzaguait dans la foule, esquivant au mieux les paires de jambes qui allaient dans tous les sens. Il était très ardu de ne pas au minimum effleurer quelqu'un, même pour un acrobate de son calibre. Mais grâce à sa vitesse, il s'éclipsait parmi les passants avant même qu'on ne sache quelle boule de poil venait de nous bousculer la cheville.
L'épicier Benthor était très populaire au marché. Il ramenait toujours de bons fruits et légumes frais cueillis le jour même, beaucoup de monde venaient faire leurs achats devant son étal et la foule n'y était pas rare. Cela ne rendait le jeu que plus aisé, accroché discrètement au sac d'une donzelle aléatoire, Aldous attendait le moment opportun, ce petit voleur de nourriture prenait son job aussi sérieusement que si le destin du monde en dépendait.
La propriétaire du sac le releva pour y prendre sa monnaie, en un éclair, la belette fondait sur l'étal de l'épicier, il était déjà caché dans le panier à pommes quand la femme sortait son porte-monnaie de son sac.
Boum !
Rapide comme l'éclair, Aldous bondit hors du panier, propulsant les fruits sur la foule qui, surprise, se baissait ou s'écartait pour éviter les projectiles dont ils ignoraient encore l'identité. Schrodïnger en profitait pour sauter de tête en tête, il entendait derrière lui les cris de l'épicier, mais c'était trop tard, sa besace était déjà remplie de délicieuses pommes.
Un repas est tellement meilleur quand il est volé !
La foule était encore en remue-ménage, ce n'était pas la première fois qu'un voleur invisible disparaissait avec de la nourriture. Ils cherchaient délibérément le coupable parmi les êtres humains encore sur place, ne s'imaginant même pas que le voleur de pommes était un petit animal.
Encore satisfait de sa dernière rapine, Aldous bondissait hors des limites de la villes vers son "terrier" provisoire, dégustant déjà en chemin le fruit de son labeur.
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Sabor
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Mer 2 Avr - 12:44
« Les loups, le renard et la belette ... ♪ »
Comme à mon habitude, je dors, bercé par les vagues de la mer qui nous porte vers notre prochaine destination.
-Mike, on arrive à Logue Town, debout gamin. Cette île compte pour toi il me semble, non ? -Ouais ... Merci capitaine.
Je me frotte les yeux et je commence à me préparer, allant de cabine en cabine pour trouver l'endroit où je peux trouver un costume chic ou des affaires classes, je ne peux pas aller là-bas habillé comme un simple civil ... Puis, je tombe sur la femme qui s'occupe de laver les habits du bateau et, suite à quelques mots sur mon problème, elle me fait un clin d’œil et me demande de la suivre. Une fois arrivé à destination, toujours dans le bateau, elle ouvre une porte et attrape un costume qu'elle me colle sur le torse, plissant ses yeux pour mieux regarder quelque chose.
-Vas finir de te préparer mon grand, je m'occupe de recoudre ça et tu seras magnifique !
Je lui souris, mon angoisse de faire mauvaise impression est partie. Une heure après tout ça, je suis habillé, prêt et le bateau accoste, me laissant descendre, la flûte à la main pour aller en ville. Je suis à la fois pressé et à la fois stressé, j'ai peur à vrai dire mais je dois le faire. Me promenant dans la ville à la recherche d'un endroit pour acheter des fleurs, je passe devant l'école où j'allais étudier la musique. Par curiosité, j'entre, réalisant malheureusement que l'endroit est devenu une épicerie. Je ressors comme si de rien n'était et aperçoit au loin de nombreux bouquets de fleurs exposés devant un magasin qui fait l'angle d'une rue. Je lève les yeux vers le ciel et une envie de pleurer me monte au nez, c'est ici que travaillait ma mère de temps à autre. Ce n'était pas une boutique de fleurs cependant, c'était une sorte de cabinet médical qui soignait les petites blessures. J'entre et au final, tout à changé.
-Bonjour. Vous désirez ? -Des fleurs ! -Ca tombe bien, il n'y a que ça ici ! -Hum, oui, c'est vrai. Je voudrais des fleurs de gracidée. S'il vous plaît ! -Je vous apporte ça, ce doit être une grande occasion. Vous connaissez le prix de ces fleurs ? -J'ai de quoi payer ! Je veux deux bouquets s'il vous plaît !
Je sors ma bourse, posant toutes mes économies sur le comptoir et partant les bouquets, laissant beaucoup trop d'argent mais je ne peux plus attendre. Je dois y aller ! Sur le chemin, je transpire. Il est vrai que lorsque j'étais petit, je courais sur ce chemin, j'adorais même faire rouspéter ma mère car elle ne suivait pas le rythme mais là, je cours si vite ... Petit à petit, j'arrive à voir mon ancienne maison, peu à peu, elle apparaît à l'horizon puis je m'arrête, voyant ce que j'espère secrètement voir à côté de mon ancien foyer.
-Je suis arrivé à la maison maman.
Je tombe à genoux, pleurant. Tout ce chemin, toute cette vie pour enfin arriver ici. Toujours en pleurant, je me lève et me dirige vers les deux pierres tombales. Je m'arrête devant les deux, lisant les inscriptions. Il y a bien sûr les noms et le jour du décès.
-Sophie, maman, je suis rentré.
Je pleure de plus belle, posant les bouquets devant les pierres et m'agenouillant quelques instants. Les fleurs roses de gracidée représentent la gratitude, et c'est tout ce que j'ai à offrir aux personnes qui tenaient le plus pour moi lorsque j'étais petit. Je me relève, oubliant que je pleure puisque les larmes coulent toutes seules sur mon visage avant de tomber au sol, la tête baissée en avant. Je veux rentrer dans ma maison mais j'ai peur ... Je me dirige quand même vers celle-ci, poussant la porte et voyant un homme à l'intérieur, faisant à manger dans la cuisine que je connais si bien.
-Qu'est-ce que ça veut dire ?
L'homme se retourne, renversant sa marmite au sol, attrapant un couteau et fronçant des sourcils, contournant la table pour venir me découper en rondelles, j'ai peur !
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Dim 27 Avr - 23:01
Laissant un trognon de pomme sur la route, Aldous continuai d'avancer. Titubant légèrement sous la bouchée un peu grosse qui enflait encore ses joues, il avala difficilement ce qu'il avait voulu finir un peu trop vite, puis se mit à sautiller, histoire de digérer un peu tout sa !
Le chemin menant à la petite maison dont il se servait de cachette était située hors de la ville et s'y rendre faisait une légère trotte. Tout en sautillant, la belette entendait de ses oreilles tendues les hurlements des animaux qui communiquaient entre eux. D'ailleurs parmi ces cris, Schrodïnger semblait entendre celui de quelques bestiaux pas très commodes, il reconnaissait distinctement les jappements canins que pouvaient pousser les loups, et cela ne le rassurait pas, surtout quand une petite proie comme lui se baladait avec un sac rempli de délicieuses pommes juteuses.
Heureusement, les loups ne semblaient pas s'intéresser à lui, du moins pour l'instant, ne voulant pas attendre d'attirer l'attention, il accéléra le pas vers la petite maison qu'il apercevait enfin après plusieurs minutes.
Il avança à pas feutrés, il savait qu'une personne habitait déjà l'endroit, il avait veillé à se faire un petit nid douillet dans un trou du toit, la ou personne n'irait le chercher. Un bruit d'assiette qui se brise attira son attention à l'intérieur, plusieurs voix s'élevaient depuis la fenêtre entrebâillée, recevait il de la visite ? et si oui, pourquoi criaient ils comme si ils se bagarraient ?
La petite belette ayant la curiosité maladive, décida de s'engouffrer par la fenêtre pour observer le spectacle.
Celui qui habitait la maison poursuivait un petit humain, armé d'un couteau, les deux personnes couraient autour d'une table de manière plutôt comique. L'air un peu hagard, Aldous observa la scène quelques instant, il avait même commencé à croquer dans une seconde pomme quand il se dit qu'il devait intervenir.
Laissant son petit sac sur le rebord de la fenêtre, il empoigna sa faucille. Le petit humain, bien que semblant être l'intrus dans l'histoire avait besoin d'aide.
De toute manière, Aldous n'appréciait pas du tout la gueule du type au couteau.
Prenant appuis sur ses pattes, il bondit sur le grand humain qui brandissait son couteau, agrippant la chaine qui reliait sa faucille à une lanterne, il visa le poignet qui tenait l'arme pour enrouler sa chaine tout autour, et ceci en plein vol.
Serrant fort, il parvint à faire lâcher prise à l'homme sur son couteau, malheureusement il fit un grand mouvement du bras dans sa douleur, envoyant la maigre belette volée à l'autre bout de la pièce, et atterrir dans ce qui semblait être un bouillon, renversé sur le sol prêt d'une marmite tout aussi renversée.
"Ouaaiilllle, c'est chaud, c'est chaud !!!"
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Lun 28 Avr - 15:56
« Les loups, le renard et la belette ... ♪ »
Une sorte de petit animal au pelage blanc débarque de je ne sais où, désarmant l’homme face à moi qui, dans un élan de douleur, envoie la bestiole dans le potage qui se retrouve au final renversé au sol. Mon regard suit la pauvre bête quand l’inconnu qui semble habiter dans la maison de ma défunte mère s’exprime.
-Ce n’est pas possible !
Il fonce ensuite chercher un balai afin d’aller aplatir l’animal mais je le retiens par le bras, le retournant voyant qu’il a malgré tout réussi à prendre le balai, fronçant des sourcils.
-Qu’est-ce que vous faites chez moi ?! -J’habite ici depuis presque dix ans, gamin, lâche moi maintenant, je dois me débarrasser de cette bestiole avant que sa tribu rapplique ! -Depuis dix ans ? Ce n’est pas possible ! A qui vous avez acheté la maison ? -Je l’ai hérité ! -Hérité ? Mais de qui ! -De ma sœur, elle a été tuée avec sa fille, son gamin, lui, avait disparu, il est sans doute mort aussi. Ça te va comme réponse ? Maintenant, tu sors de ma maison, immédiatement !
Mon oncle ? Cet homme serait en fait, mon oncle ? Je pointe une photo du doigt accroché au mur. Je le fixe ensuite, celui-ci fait de même et je crois qu’il a compris puisqu’il laisse tomber son balai par terre et me prends dans ses bras. Il sent la sauce tomate sûrement à cause du potage qu’il faisant et son tablier est gras, je le sens contre mon t-shirt.
-Oh bordel … Mike … Je suis tellement content de te savoir en vie !
Il me serre fort, trop fort, puis me lâche, gardant ses mains sur mes épaules et me souriant. Il commence ensuite à me secouer. Puis, il me prend dans ses bras à nouveau quand il se souvient de l’animal qui est entré dans la maison et qui lui a enlevé le couteau des mains. Ramassant son balai, je passe par-dessus la table, plongeant les pieds dans le potage et formant ainsi deux traces de coussinets dans la nourriture au sol.
-Qu’est-ce que tu comptes faire ? -Virer cette bestiole de chez moi ! -Cette bestiole t’a désarmé pour éviter que tu ne me donne un coup de couteau ! Tu crois vraiment qu’un balai en bois comme ça va lui faire peur ? -Ah ouais … -Ramasse donc la bouffe qu’il y a par terre, je vais m’occuper sur la bestiole.
Je me retourne donc, sortant de la nourriture. Je ne sais pas si je suis fou mais il me semble qu’il a crié comme un humain quand il est tombé dans la marmite. Serait-ce une sorte d’homme bête comme Izzy que j’avais rencontré avec Aria ? Je lui avais sauvé la vie et ensuite, la femme chat m’avait aidé puis plus de nouvelle. Comme dirait l’autre, pas de nouvelle, bonne nouvelle. Une fois hors de la nourriture étalée au sol donc, je me penche, cherchant sous les meubles la petite bestiole en faisant un drôle de bruit avec ma bouche, appelant les animaux ainsi en tendant doucement la main en frottant mon pouce sur mon index, repliant les autres doigts au creux de ma main.
-Où es-tu petite chose, n’ait pas peur, on ne te fera aucun mal !
Je recommence donc à faire mon drôle de bruit, ça marche avec les chiens et les chats, pourquoi pas avec cet animal ?
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Sam 17 Mai - 18:03
"Ouaaiilllle, c'est chaud, c'est chaud !!!"
Les cris de la petite bestiole indiquaient que la nourriture était un peu trop chaude à son goût. Ne semblant pas apprécier que l'on critique sa cuisine, le plus vieux des deux humains ramassa un balai avant de faire volte-face sur Aldous, il fût cependant arrêté par le plus petit, celui qu'il avait aidé.
Mais trêves de plaisanteries, la Belette observa leurs courts échanges verbaux, puis il pensa qu'il était peut-être mieux de s'éclipser quand il vit que les deux hommes s'étreignirent comme de vieilles connaissances.
Décidément ces humains....
Discret comme une Belette, il s'essuya les pattounes avant de se glisser sous les meubles vers un trou de souris qui donnait sur l'extérieur, direction sa petite cachette !
En sortant la tête du trou, il tomba museau contre museau avec un lièvre, sans doute sauvage. Les deux animaux s'échangèrent un regard, Aldous se demandant si la nourriture dans laquelle il avait fait trempette contenait des carottes.
Puis un hurlement déchirant retentit, faisant fuir le petit lièvre. Schrodïnger Aldous en profita pour sortir, les oreilles dressées pour écouter les échanges de cris entre loups, ils leurs semblaient plus nombreux et plus menaçants, une grande chasse était peut-être prévue cette nuit.
Ou bien une Louve en chaleur se trouvait dans le coin....
Prenant soin de voir si des créatures hostiles se trouvaient dans les environs, la Belette grimpa sur le toit à la recherche de son trou, lorsqu'il le retrouva, il s'y pelotonna chaudement en espérant trouver le sommeil pour une petite sieste.
N'y parvenant pas, il se mit à philosopher en fixant le ciel, il se souvint alors qu'il avait laisser son sac rempli de pommes volées sur le rebord de la fenêtre, préférant ne pas allez le rechercher tout de suite, il se dit qu'il allait attendre la nuit en espérant que les humains n'y touchent pas, mais était rassasié de toutes façons.
Les hurlements de loups se poursuivirent, tendant l'oreille, Aldous se rendit compte qu'il entendait les voix juste en dessous, dans la petite maison ou se trouvait ses deux petits humains préférés du moment.
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Mer 21 Mai - 16:23
« Les loups, le renard et la belette ... ♪ »
Je me relève, essuyant mon pied par terre, du potage encore collé à la semelle de ma chaussure quand je vois mon oncle, à deux centimètres de mon visage, souriant avec son balai de nouveau de retour dans ses mains. Je reste quelques secondes là, à attendre que quelque chose se passe, complètement immobile quand il soupire, me faisant reculer la tête à cause de la chaleur qu’il dégage.
-C’est dingue ce que tu peux ressembler à ta mère. Elle était magnifique ta mère.
Il soupire encore une fois, me posant une main sur la tête et me caressant les cheveux quand je lui fais remarquer qu’il marche dans la nourriture. Lorsqu’il réalise la chose, je recule une nouvelle fois de quelques pas, me recoiffant alors qu’il se met à quatre pattes pour nettoyer. Je tire une chaise, m’installant comme si j’étais chez moi. D’un côté, il est vrai que c’était chez moi donc je m’y sens encore comme tel mais tout est si différent. Je me tourne littéralement les pouces quand, lorsqu’il fait maintenant la vaisselle, mon oncle me dit qu’il s’est installé dans la chambre de mes parents suite au décès de ma mère mais qu’il a eu du mal.
-En même temps, ta tante était morte d’une maladie juste avant ça. Perdre deux femmes importantes à mes yeux en un aussi court terme, je ne pensais jamais m’en remettre.
Je me lève de la chaise, s’il s’est installé dans la chambre de ma défunte mère, il n’a sûrement pas touché à ma chambre ! Montant les marches des escaliers deux par deux en souriant, j’arrive dans ma chambre où presque tout est intacte. Je suis rejoint par l’homme qui, d’un air désolé, s’exprime.
-J’ai rangé un peu car c’était un peu le bazar quand je suis arrivé. J’ai aussi fait le ménage. J’espérais au fond de moi que tu ne sois pas mort et que tu rentres un jour. D’ailleurs, tu restes ?
Je hausse un sourcil. Il est vrai que ça doit lui sembler évident pour lui mais moi, disons que j’ai un peu formé ma vie à côté, j’ai des amis, presque une famille. Mais lui, il a attendu si longtemps d’avoir un quelconque signe de vie que je suis, je ne peux pas le laisser ainsi. Grimaçant, j’entre dans la chambre, l’écoutant répéter la question deux ou trois fois alors que j’ouvre un coffre à jouets contenant mon bazar.
-Je ne sais pas …
Soupirant pour exprimer sa déception, il se retourne, regardant dehors pour voir quelques hommes accompagnés de loups qui se mettent, presque aussitôt que mon oncle m’informe, à hurler. J’aime entendre les animaux, je me sens bien avec eux. Retrouvant l’homme à la fenêtre, les inconnus non loin de la maison au final, lâchent les animaux qui s’empressent de foncer vers la porte encore ouverte, se dirigeant eux-mêmes vers les tombes de ma famille. Je fronce des sourcils, descendant les escaliers en trombe pour arriver dehors où je pousse les loups sur mon chemin, me dirigeant vers les hommes quand j’entends la porte se fermer derrière moi.
-Que comptez-vous faire ?
Mes gants déjà bien enfoncés dans mes poches, je tiens mes mains à plat, prêt à me battre contre ceux qui pensent sans doute dégrader les tombes de mes proches. Nonchalamment, le premier commence à me menacer quand l'un de ses gars lui fait remarquer mes drôles de main, réalisant que je suis un utilisateur de fruit du démon. Ils détallent tous au final ... Trop facile ... J'en profite pour partir, mon oncle grimaçant un peu mais je reviendrais et il le sait ...