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L'homme de la situation ... ou pas !
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Ven 21 Fév - 20:33

« Super-héros cherche emploi »

Mais euh ... Je ne suis pas un voleur !


Depuis un bon mois … J’étais sur Trader Kingdom's (C'est plus classe en anglais, qu'en français !) Et oui ! Ca faisait long, pour quelqu’un, qui était censé chasser des méchants ! En plus, ici, il n’y avait que peu de délinquants ! Alors pourquoi y restais-je ? Tout simplement, car j’étais anormalement pauvre en ce moment ! Et pour voyager, il faut un minimum d’argents. Même si c’est pour payer des marchands, qui n’en demandent pas énormément ! Bien entendu, là, vous pouvez dire que je suis un con ! J’aurai pu faire des économies et partir, il y a quelques semaines ! Mais nan, je n’avais pas pu en faire ! Pourquoi ? Car j’aimais un peu trop manger des piments, dans un bar que j’avais trouvé, lors des premiers jours, où j’avais accosté sur l’île. A cause de ça, j’étais obligé de faire des petits boulots à la con, qui ne durait que quelques jours, dans la plupart des cas (Et oui, je ne suis pas quelqu’un de fidèle ! Désolé de vous décevoir les filles ;-)). Cela m’avait valu de faire la connaissance de nombreuses personnes, que ces dernières soient des amis ou des ennemis, dans le pire des cas.  Afin de ne pas payer trop cher, pour être logé. Je passais mes nuits, dans un hôtel miteux, où des femmes, faisant le plus vieux métier du Monde, y animaient un drôle de spectacle chaque nuit. (Oui ! Je l’avoue, parfois, j’allais à leur rencontre !). Ainsi, maintenant que vous savez dans quel contexte, se passait mon séjour. Je vais vous raconter une sympathique histoire ! (Et surtout, ne vous endormez pas ! Sinon, vous aurez affaire à moi ! è_é)

Après une matinée, où j’avais reconstruit le mur d’une église. Je me rendais au bar à tapas, où j’avais l’habitude de manger. Même si j’étais sali par la poussière du chantier. Je ne passai pas par la chambre de mon hôtel, pour me changer, même si cette dernière était sur le chemin, que j’empruntais. Ainsi, une fois que j’eus fini de faire les cinq minutes de marches qui me séparaient le lieu, où je travaillai et celui où je mangeai. J’entrais dans la sympathique échoppe et d’’un simple revers de main, je saluais le patron de l’établissement. Et alors que je commandais quelques brochettes, aromatisées aux diverses épices. J’entendis des personnes parlaient derrière moi, d’un endroit où on pouvait rencontrer des personnes, pour se faire facilement du fric. Etant dans la déche en ce moment ! Cela m’intéressait. Et alors que je me levais pour leur demander où se trouvait les personnes, précédemment citées.  Ces quelques mots parvinrent jusqu’à mes oreilles :

« Bla bla bla … Port … Bla bla bla … Dock 7 … Bla bla bla … Truc de fou … Bla bla bla … Être timbré …»


Et oui ! Mon écoute était loin d’être parfaite ! (Critiquez moi hein ! J’en ai l’habitude avec vous ! Rolling Eyes-)) Mais bon, j’avais su glaner quelques informations au moins ! Et c’était loin d’être les pires ! En plus j’avais appris, que c’était un truc pour les fous et timbrés. Cela tombait bien, j’en étais un ! (Pour une fois que je l’avoue :-P). Sur le chemin de la sortie, j’ « empruntais » un pichet de bière à un couple, qui se trouvait non loin. Et bien entendu, cela ne se fit pas dans la bonne humeur. D’un côté, ceux à qui, j’avais emprunté l’alcool, n’arrêtaient pas de me crier dessus et de dire que j’étais un voleur. Quant au barman, il me disait que si je lui remboursais pas le verre, il allait me trucider. Po la la ! Je vous jure ! Pour qui me prenaient-ils ? Non ! Je n’étais pas un voleur ! Juste quelqu’un, qui faisait des prêts ! Ainsi, avec cette bière en main, je faisais un simple coucou de la main, à tous les gens qui me criaient dessus, avant de me mettre à courir ! Et bien entendu, n’étant pas super agile avec quelque chose en main. Mes chaussures étaient à présent, toutes trempées, en plus de sentir la douce odeur de la bière (Quoi que ça doit mieux sentir que mes pieds). Et après avoir bu seulement le tiers de mon verre … Car oui, c’est ce qu’il restait à la fin. J’étais enfin arrivé au fameux dock ! Afin de signaler mon arrivée. D’une manière, guère silencieuse, je m’exprimais en criant ces quelques mots :

« Ooooooooh ! C’où pour s’faire du fric ? J’veux être riche moi ! Tant que c’pas une arnaque ! Pour moi c’bon ! »
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Ven 21 Fév - 23:10


Le Cornellia embauche

Le Cornellia avait déposé une cargaison au port de Trader. L'équipage était réduit, l'un des matelots avait quitté le navire. Le capitaine ne savait que faire avec un homme en moins, les commandes s'enchaînaient dernièrement pour Salvicrus Rey. La jeune femme n'était pas encore à l'aise avec cet univers, elle utilisait ses capacités pour aider l'équipage, mais ce n'était pas suffisant. Le bâtiment était maintenant à l'arrêt depuis cinq jours, les commandes accumulaient du retard, ce qui n'était pas le bienvenu pour Rey. Quand il livrait en retard, il devait déduire les jours par rapport à un taux de retard appliqué par la convention des marchands ambulants sur les océans. Il pouvait perdre son année, si cela arrivait, il devra quitter son statut et retourner à son île natale après avoir indemnisé son équipage.
Cloé était restée dans le bateau avec le capitaine, il avait autorisé des jours de congés aux autres matelots. Elle s'approchait de son protecteur pour engager la conversation. Elle l'enlaça comme le ferait une fille avec son père.

-Rey, je me sens mal quand je te vois comme ça...
-Si on ne trouve personne d'ici quatre jours, on peut fermer boutique.
-Que veux-tu dire?
-Je perds de l'argent à cause d'un membre en moins...


La demoiselle ressentit la détresse du capitaine, elle le serra un peu plus fort pour faire part de sa compassion. Puis elle eut un éclair de génie.

-Dis-moi, j'ai une idée pour régler ce problème? Tu me laisses faire?
-Fais mon ange! Si tu arrives à nous sortir de là, au prochain port tu pourras dévaliser les boutiques.

Avec ce deal, la charmante créature était remontée à bloque. Elle se dirigea vers la ville, elle quittait le navire avec détermination. Elle déambulait dans les rues pour trouver ses collègues, elle colporta son idée à travers la ville : le Cornellia recherche un matelot, sélection stricte. Elle trouva Marvin avec deux autres matelots, elle divulgua ses pensées, chacun comprit la situation délicate, ils étaient tous concernés, alors ils suivirent la proposition de la jeune femme. Ils quittèrent le bar pour préparer les lieux.
Autour du navire, une sorte de ring avait été construit avec quelques bouts de ficelles et des tonneaux. Marvin avait installé un bureau d'inscription, la foule commençait à grandir. Un autre matelot s'occupait des annonces et le dernier était dans le ring prêt à en découdre. Cloé revenait, elle était avec un petit groupe d'hommes, ils bavaient tous en matant la demoiselle se déhanchant en bout de cortège. Elle s'installa en hauteur sur un tonneau et monta le son de sa voix angélique.

-Bien, si vous êtes là c'est pour obtenir un post sur le Cornellia. Il y aura des épreuves. Bonne chance.

Pendant son discours, elle aperçut un homme étrange qui se dirigeait vers le dock. Il n'était pas comme les autres. La demoiselle redescendit, la première épreuve était simple : battre le meilleur combattant du navire dans le ring en moins d'une minute sinon c'était l'hôpital. Sur le papier de Marvin il y avait au total 23 participants, rapidement il resta seulement huit personnes encore debout. Le mystérieux homme était dans le lot, la demoiselle s'intéressa à ce jeune homme. Elle avait un ressent spécial envers lui, pas au niveau sentimental, mais autre chose. La prochaine épreuve était vraiment lâche, il ne fallait pas succomber aux charmes de la demoiselle en question. C'était un coup-bas mais, au moins les plus pervers seront éliminés. Elle revêtit une tenue très légère, un bikini. Elle commença à poser, elle était mal à l'aise, elle ne pouvait pas reculer, c'était son idée à la base. Trois hommes trop sensibles tombaient sous le charme, le quatrième succomba face aux "boing boing" de la poitrine avantageuse de Cloé. Il reste en course un vieux, un adolescent, l'homme mystérieux et un homme ivre. Le vieux essaya de toucher la jeune femme, il fut expédié par l'un des organisateurs à la mer. L'adolescent, quant à lui, perdit connaissance quand la bretelle du bikini se détacha légèrement, dévoilant un peu plu les atouts de la belle. L'épreuve prenait fin, les deux restants avaient tenues le coup avec difficultés. La charmante créature avait jeté son dévolu sur inconnu, mais elle ne pouvait imposer son choix juste sur un ressentit. C'était Marvin qui prit la parole pour clôturer la recherche.

-Il ne reste que deux valeurs hommes, la dernière épreuve est simple! Un combat! Le premier qui touche le sol avec un seul membre est déclaré perdant. Celui qui obtiendra la victoire, aura décroché un contrat avec le Cornellia jusqu'à la prochaine île.

Le décor était posé, Cloé voulait faire connaissance avec le mystérieux homme. Elle l'aidera en toute discrétion. Elle se dirigea vers l'individu, en passant derrière lui, elle murmura quelques mots.

-Je t'aiderais dans l'ombre, je souhaite en apprendre plus sur toi.

Il n'y avait rien de sentimentale envers lui, juste de la curiosité. Elle se retourna vers lui et sourit. Le ring était encore installé, ça serait le lieu où tout sera décidé. Elle avait encore une idée en tête.

-Je l'aiderais avec mes suberines balls! , se dit-elle.

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Mar 25 Fév - 0:36

« Super-héros cherche emploi »

Boum Boum Boum … Fait mon petit cœur


J’étais à présent au port … Au Dock 7 pour être précis … Et malheureusement pour moi, je n’étais pas le seul. D’autres voulaient gagner de l’argent ! Je les remarquais après avoir parlé, en tournant la tête. Durant ce même mouvement, que je fis grâce à ma nuque. Je pus remarquer, qu’un ring était placé devant un navire. Alors comme ça. Nous allions devoir nous combattre … Bonne nouvelle pour moi ! Je n’étais pas une merde dans ce domaine-là. Ainsi, j’avais petite une chance de toucher le pactole, qu’il y avait à la fin de ce tournoi. L’idée que j’avais en tête, fut confirmée par une jolie jeune femme, qui se trouvait sur un tonneau. Afin que j’ai un bon avis de la part du jury. Je profitai qu’elle soit une zone élevée, pour lui adresser un petit clin d’œil ! Alors comme ça … Je devais combattre d’illustres (ou pas) inconnus. Cela m’arrangeait bien ! Car dans ce domaine … Je n’étais pas le dernier … loin de là ! Avant d’aller sur le ring, je prenais quelques-uns de mes couteaux en main. Néanmoins un homme m’arrêtât. Disant que les armes, n’étaient pas autorisées ici et que je devais me débarrasser de toutes celles que j’avais sur moi.  Je ne vous cache pas, qu’à ce moment-là ! J’avais envie d’étrangler ou/et de tabasser ce juge-arbitre. Mais bon ! Prenant sur moi, en pensant à mes faibles économies. Je ne le fis pas. Et je jetais par terre toutes les armes blanches, que je portais. J’en fis pareil pour mes gants, afin de pouvoir utiliser les pouvoirs de mon fruit du démon. D’ailleurs j’en profitais pour l’activer et  recouvrir ma main droite, avec le métal de l’une de mes « anciens » couteaux. Avec ça, j’étais maintenant ok pour envoyer valser des méchants.

Et alors que j’entrai sur le ring. L’un de mes adversaires essayât de m’attaquer … Histoire que je perde direct. Néanmoins, la seule chose, qu’il réussissait à faire. C’était de se prendre un bon direct du droit dans la mâchoire, qui eut pour conséquences, de faire voler quelques dents de ce malotru sur plusieurs mètres et de le mettre à terre … Et 1 de moins ! Ça c’était fait. Croyant encore une fois, que j’étais un tricheur et que je portais encore une arme sur moi. Ce connard de juge me fit une remarque. Afin de lui montrer, que la vérité ne sortait pas toujours de sa bouche. Je désactivais le pouvoir de mon fruit du démon, afin que ma redevienne « normale ». Et ainsi montrer à cet homme, que je possédais simplement, une capacité spéciale. Bien entendu comme vous vous en doutez ! Etant distrait par autre chose. Quelqu’un osât m’attaquer. Ne voyant ce coup, venir au dernier moment. Je me pris une bonne mandale en plein dans l’arcade. En plus d’ouvrir cette partie-là de mon visage. Cela me fit bien mal et je fléchissais même les jambes. Néanmoins, ne voulant pas être éliminé aussi tôt. Je réussissais à ne pas tomber par terre. Après cela … Comment dire ? Je fis un joli coup de pute (Et oui ! Car après tout est permis dans un combat), en donnant un petit coup de tibia dans les parties intimes de mon ennemi. Etant un homme. J’eus mal pour lui à ce moment-là. Cependant, cet état ne durât pas trop longtemps, car seulement quelques plus tard, je donnai un headbutt sur le nez de mon ennemi. Et cela eut pour conséquence de le mettre K.O.

En tournant sur moi-même, pour trouver des ennemis. Je pus revoir, la magnifique jeune femme de tout à l’heure, qui était cette fois-ci en bikini. Et là ! Je ne peux pas vous mentir ! Mon corps se transformât en un seul moment (Et pas uniquement au niveau du caleçon :ee:). Ainsi, ma peau adoptait la couleur du célèbre piment de South Blue, tout en transpirant à grosse goutte. Bien entendu, mon rythme cardiovasculaire augmentât d’un seul coup. Complétement émerveillé par ses boobs, qui rebondissaient au grès des mouvements de la jeune femme (Naaaaaaaaan, je ne suis pas un pervers !). Ma bouche s’ouvrit et j’eus l’impression, que mes yeux sortaient de leurs orbites ! Quand je vous dis, qu’elle me fascinait. Je ne vous mens pas. Voulant protéger cette ravissante jeune femme de tout. Dès que je vis quelqu’un, tentait de l’attaquer de derrière. Je me précipitais vers cette personne. Sur le chemin, je décidais de recouvrir mon tibia gauche de la pierre, qui recouvrait le sol, où je me trouvais. Un fois assez proche. Je donnais un coup de pied, au niveau du tibia de mon ennemi, afin de le faire tomber, avant de l’assommer avec un solide coup de basse-jambe à la tête. Après avoir fait ça. J’étais fier de moi. J’avais sauvé une jolie demoiselle et peut-être attiré son attention. Néanmoins, même si j’avais déjà éliminé trois personnes. Il en restait encore quelques-uns de debout. Néanmoins, pour les deux, je n’eus rien à faire. Vu qu’un se fit éliminer par le charme de la charmante demoiselle. Quant à l’autre … Bah comme un con … Il se gamellât devant moi ! Comme quoi ! Même si je n’étais pas aussi beau que la jeune femme ! Des personnes s’évanouissaient devant mon talent et mon style (Modestie ! Modestie !).

Maintenant, il ne restait plus la jeune femme, un autre homme et moi. Monsieur Captain Obvious fit la même remarque et énonçât les règles. Ces dernières étaient simples. Celui qui touchait le sol en premier, était éliminé. Quant à l’autre, il sera embauché sur le navire, tout en ayant la possibilité d’aller jusqu’à la prochaine île … Tout ce que je voulais quoi ! Content de ça, un petit « Hyooshishishishi ! ». Et comme si ce rire avait un effet séducteur sur les ayant des gros seins. La jeune femme me proposât son aide, pour se débarrasser du dernier homme qu’il restait, en étant mon « ombre ». Heureux de cette situation, je lui répondais avec ces quelques mots :

« Même si j’n’aime pas voir les femmes combattre. J’ne peux pas refuser l’aide d’une si belle mam'zelle. Hyooshishishi ! »


Et alors que j’étais en train de rire. L’ennemi qu’il restait, fit le malpoli en me chargeant. Ne pouvant pas toucher le sol avec mes bras. Je ne pouvais pas faire de roulade pour esquiver un quelconque cout. C’est pour cela que je fis plusieurs sauts sur le côté. Avant de prendre appui sur mon pied gauche de foncer sur le vieux barbu. Pour augmenter mes chances de lui faire. Je recouvrais encore une fois ma jambe droite, de 6 centimètres de rocher, avant d’essayer de foutre un coup de pied dans le dos de mon ennemi. Même si mon coup était lent … La puissance était là ! C’était pour cette raison qu’il esquivât mon coup. Et tout comme moi tout à l’heure, il le fit avec des sauts, mais cette fois-ci beaucoup plus grands. J’espérais que cela allait créer une ouverture, afin que la big-boobs-girl (Je vous dire que nan ! Je ne suis pas un pervers !) puisse lui caler un coup.
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Mar 25 Fév - 13:48


Remplaçant trouvé! Imprévu à la taverne!

C’était le choc des titans entre un vieux et un homme remplit de vigueur, la demoiselle observait la scène avec intérêt. Elle essayait de trouver le bon moment pour agir. Elle aperçut le jeune homme prendre un coup violent, elle se redressa pour voir s'il n'avait rien de grave et heureusement il n'avait pas toucher le sol. L'espace d'un instant elle lisait les mouvements d'un vieil homme, il poussait le jeune sur les cagettes et ainsi le bloquer pour mieux le battre. C'était une stratégie intéressante, mais la demoiselle devait intervenir, elle changeait de position et se plaça vers le coin où les deux hommes se dirigeaient au fur à mesure du combat. Le soleil cognait fortement sur les deux combattants, les ombres des hommes se projetaient sur les caisses cachant ainsi la charme créature des deux arbitres. D'un pas discret et maîtrisé, elle virevoltait juste derrière le jeune homme, son corps entrechoquait doucement celui du mystérieux. Elle susurrait quelques mots.

-Ne bouges pas d'un pouce. Quand je te tirais vers le sol, ne tombes pas et fais un saut sur ta droite. Compris?

Elle exécutait son plan, tout était planifié pour assurer la victoire à l'homme. Le vieil homme se dirigeait dangereusement du duo, mais la belle était sûre d'elle, elle tira son bouclier humain vers le sol et en une fraction de seconde elle sauta puis se replaça ni vue ni connu sur la pile de sacs non loin d'elle. Quand elle était concentrée, sa maladresse se dissipait pour laisser place à la perfection corporelle. L'entraînement au sein du Cornellai portait ses fruits, elle pouvait même passer les examens pour devenir agent dans un organisme si elle le souhaitait, mais ce n'était pas ce qu'elle voulait. Bref, le vieil homme glissait mystérieusement et filait droit vers les cagettes. Sa chute le disqualifia et permit de donner la victoire à l'autre, Marvin avait compris le manège que la petite fleur avait manigancé. Il sourit et émit un rire parmi les autres matelots qui regardaient ce spectacle. La belle se redescendit de son perchoir tout en passant sa main dans ses cheveux. Le vent donnait un mouvement à cette chevelure, pendant un instant une scène angélique se déroulait sous les yeux de l'équipage et du gagnant. La demoiselle était heureuse, elle ferait une nouvelle rencontre et pourra assouvir sa curiosité envers cet individu. Dans un premier temps, le recrutement touchait à sa fin et l'ensemble des hommes du navire saluait ce nouveau venu, le capitaine lui marchait lentement. Il avait revêtit son manteau de capitaine, la jeune femme se tenait dans une posture solennel en bas du navire à atteindre son protecteur. Marvin rétablit l'ordre dans les troupes. Tous saluaient le capitaine à leur manière, il passait devant chacun d'eux avec le sourire. Puis, il s'arrêta devant le nouveau. Il perdit le sourire et changea de comportement. Il était très sérieux voir limite effrayant.

-Je suis Salvicrus Rey, le capitaine. Tu es notre nouveau membre? Remercie la belle plante à côté de moi. C'est elle qui a organisé tout ça avec mon second Marvin.

Il tapotait la joue de l'homme et lui sourit avant de retournait sur la bateau. La demoiselle restait devant cet individu. Elle patinait autour de lui, à sonder le moindre détaille. Dans toute sa grâce et sa splendeur, ses cheveux étaient détachés, ils formaient un cercle autour de l'homme. Un parfum se diffusait, c'était un mélange de fleurs et parfums sucrés. Elle s'arrêta devant lui.

-Je t'apprécie déjà! Je suis Cloé Bellavi.

Elle empoignait l'avant-bras de l'homme et elle l’emmena dans la direction opposé du navire.

-Le chargement se fera sans nous! Et puis le Cornellia ne lèvera l'encre quand le temps sera plus clément.

Elle marchait rapidement avec un sourire aux lèvres. Le capitaine observait la fuite de ces deux personnes depuis le gouvernail, à ses côtés Marvin.

-Alalala, elle est vraiment intenable!
-Elle est intervenu lors du dernier combat. doit-on vraiment engager cet homme.
-Si elle a fait ça, c'est pour une bonne raison. Et puis, j'ai observé notre nouveau mousse, il est un maudit.
-Elle les attire à ces créatures!

Le capitaine eut une montée de colère, il frappa son second au niveau de l'estomac. Marvin ne s'attendait pas du tout à cette réaction. Il cracha un peu de sang.

-Je connais ta haine envers les maudits, mais tu ne hais pas notre Cloé?
-Pardonne-moi Rey...

Le capitaine hochait la tête et faisait signe à Marvin de quitter les lieux. Rey avait une appréhension diriger vers son second, d'habitude que ce soit un homme ou une femme, s'il était maudit, l'homme avait une répulsion et une haine pour ces gens. Il n'en parla jamais à sa petite fleur, elle avait un lien avec Marvin, il ne savait pas à quoi jouer celui-ci avec elle. Mais pour le moment, il donnait ses ordres pour charger les vivres avant de lever l'encre. Cependant, ce n'était pas pour de suite, le temps était orageux, partir était trop risqué pour le navire et l'équipage. Il envoya un courrier par mouette pour prévenir du retard à son client.

Pendant ce temps, la belle avait emmené son nouveau compagnon à un bistrot réservé aux gens des commerces ambulants. Le tenancière était plus que ravis de voir qu’une charmante créature venait dans son modeste auberge. Il sortait de son comptoir pour guider la douce à une table, sa meilleure, à la baie vitré. 

-Vous et votre ami venez manger un bout?
-Oui c'est ça!

Le tenancier allait chercher les cartes pour Cloé et le bleu. Une aura de jalousie envahissait les lieux, les autres clients, essentiellement masculins regardaient en direction de la table. L'aubergiste revenait avec les menus en main.

-Ne faites pas attention à eux. Parcontre je ne vous conseille pas le plat du jour, puis le reste de la carte....
-Pourquoi donc?
-Notre chef a une vision faussée de l'art culinaire... Je ne sais pas comme je tiens encore mon commerce...

La jeune femme comprit la détresse de l'homme, elle se levait de sa chaise et prit les mains de l'aubergiste.

-Je ne peux pas vous laisser dans cet état! Je vais vous aider pour aujourd'hui!

Elle laissait son compagnon seule à sa table et s'engagea dans les cuisines. Le cuisinière dormait, des plats brûlaient sur le feu, la cuisine était en très bonne état. Elle enfilait un tablier accrocher au mur et poussait son compère vers l'extérieur, il ne se réveillait pas, son sommeil était vraiment profond. Puis elle se dirigea vers le sellier, il y avait ce qu'il faut pour pouvoir réaliser des plats convenables. Elle appelait le tenancière.

-Monsieur, il y aura un seul plat aujourd'hui! De la vantréche fumé avec des frites et sa salade de saison.

Elle épluchait les pommes de terre, rinçait les salades et faisait chauffer l'huile. En moins d'une heure les ingrédients étaient prêts. Elle sorti seulement sa tête des cuisines pour faire signe à son ami et au tenancier.
Le tenancier installait une pancarte dehors avec écrit : " Plat du jour : Vantréche et ses frites accompagné de sa salade de saison.  Préparé par Cloé Bellavi." . Les matelots connaissaient la douce par sa beauté, la clientèle augmentait rapidement. Toutes les tablettes étaient remplis, non seulement par des matelots mais pas des commerçants ou des gens de passages. Le service perdait en vigueur le gérant avait du mal à gérer toutes les commandes. Il servit un plat au compagnon de la belle.

-Mange! Tu vas devoir nous aider avec ton amie.

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Mar 25 Fév - 23:43

« Super-héros cherche emploi »

Naaaan ! Je ne suis pas un petit con !


L’homme venait d’esquiver mon coup. Malheureusement pour lui, tous les malheurs n’étaient pas finis … et il n’allait pas tarder à être éliminé. Alors que le vieux me poussait vers un endroit. La jeune femme, aux formes plus qu’avantageuses, se mit en position, soit juste derrière moi. Je pouvais même sentir ces … euh sa délicieuse odeur (Comme ça, j’évite de passer encore plus pour un pervers). Mon « alliée » me disait même quelques mots à l’oreille. Que quand elle me tirera vers le sol … Il fallait simplement que je saute sur le côté, afin de ne pas tomber.

Quelques secondes plus tard. Le plan était mis en place. J’étais tiré vers le sol … Heureusement pour moi ! La jeune femme ne m’avait pas trahi et j’avais pu sauter sur le côté, tout en n’étant toujours pas entrainé vers les cagettes, qui étaient derrière moi. Quant au vieux, il se contentait de foncer tout droit, tout en se classant la gueule contre les objets, faits de bois. Ainsi, avec la majorité de son corps, qui touchait le sol. Il était dorénavant éliminé.

Après ça. Je vis toutes personnes, qui composaient le personnel du navire, se rassemblait … Vu que maintenant, j’en fais partie. Je décidais d’en faire de même. Après quelques secondes, un homme d’une quarantaine d’année, fit l’état des troupes, jusqu’à aller jusqu’à moi, pour se présenter et dire que le concours avait été organisé par la Big-boobs-chan et un autre homme. Après cela, l’homme me tapotât la joue, tout en me souriant. Quand il partit, je lui disais ça :

« Ok ok papy, t’es vachement sympa en fait. »


Je n’eus le temps de rien faire, que je me prenais un(e) gros(se) mandale/claque/poing/torgnole/beigne (faites vos choix, c’est gratuit) dans la gueule. Cela eut pour conséquence de me faire valser sur quelques mètres, avant que je ne heurte le sol. Et pendant que je me relevais. Tout le monde allât vers moi, pour soit me dire que j’étais fou ou pour prendre de mes nouvelles. Néanmoins, je ne pus ouvrir la bouche, avant que mon ancienne alliée, me prenne la main et m’entraine avec elle. Sur le chemin de la ville, elle me disait son nom et prénom, qui étaient Cloé Bellavi, ainsi que la raison, pour laquelle on pouvait s’absenter. Etant quelqu’un de poli et courtois, je répondais à la jeune femme, en prononçant ces quelques mots :

« Ok ok, c’sympa qu’on n’fasse pas l’chargement, car j’t’avoue qu’avec l’ventre vide, j’peux pas faire grand-chose. Sinon mon nom c’Fukashi Eiketsu. »


Après quelques minutes de marches, nous arrivâmes à une sympathique auberge, dans laquelle où nous allions manger. Vu que ma nouvelle coéquipière devait surement connaitre le tavernier. Nous eûmes l’une des plus belles tables. Et pendant que Cloé parlait avec le gérant de l’établissement. Je regardai la population masculine du bar, pour les narguer avec des grimaces. Quand je me retournai. Je vis la jeune femme, partir. Que me faisait-elle ? Je ne la compris pas sur le moment… Je crus même qu’elle me mettait dat rateau … Jusqu’à ce qu’elle aille vers les cuisines … Comme quoi, elle voulait me faire la cuisine ! (Ah si, ça ce n’est pas parfait ?). Et après quelques minutes, je fus servi. N’aimant pas les plats, qui n’étaient que peu trop épicés. Je me déplaçais dans le restaurant, histoire de prendre un moulin à poivre et une bouteille, contenant de l’huile pimentée à pizza. Et avec ces deux choses en main. Je revenais à la table, où mon plat se trouvait et j’agrémentais ce dernier, à ma façon. Même si maintenant, il était noir de pauvre et complétement en gras. Dans ma bouche … C’était merveilleux ! Après quelques coups de fourchettes et de couteaux. Cependant, je n’eus pas le temps de digérer, que le gérant du bar, venait me voir pour me demander un service. De sa voix grave et bourrue, il me demandait :

« Vu que t’as l’air quelqu’un de sympathique. Puis-je te demander un service ? *Me tendant un papier, pendant que je me contentais de hocher la tête *Peux-tu faire de la publicité dans la rue, en lisant ça ? »

D’un simple et rapide mouvement de la main. Je prenais le post-it. Tout cela avant de me lever de là où j’étais assis. Et pendant que je me dirigeais vers la sortie. Je lisais les fameux mots qu’il y avait marqués sur le petit papier. Même une fois que je fus dehors, je continuais d’apprendre ce discours, tout en évitant les différentes personnes, qui fonçaient sur moi (Car oui ! Ce n’était pas moi, qui allais dans n’importe quel sens !). Une fois avec tout cela en tête. Je commençais à accoster les gens et à leur dire la fameuse phrase qui était :

« Salut, permettez-moi d’vous déranger. Mais j’aimerai vous parler d’un superb’ restaurant. Son nom est l’Blacoffi. On y mange super bien, d’ailleurs le menu d’aujourd’hui, c’d’la ventrêche fumée, accompagnée de frites et d’salade d’saison. Pour l’dessert on vous propose une tarte aux pommes, ni cuite, ni pute, ni soumise. Et n’vous inquiétez pas ! L’ cuisinier a changé et la nouvelle est superbe bonne sur tous les points …»


Je finissais ce petit discours par un magnifique sourire. Histoire de bien vendre le produit. Lors de mon spitch, je pus voir un petit signe sur le visage des personnes, lorsque je disais la fin de mon discours … Chose qui m’arrivât à plusieurs reprises ! Sur le coup, je me disais que c’était, le menu qui paraissait super bon !  Parfois, pour motiver encore plus les gens, je disais que la cuisinière m’aguichait (Et non je ne parlais pas de Jeanne ! D’ailleurs elle est où Jeanne ?) … Histoire que les gens y aillent un peu pour moi aussi et non uniquement pour leurs estomacs. Quand je revins voir le gérant de la taverne. Ce dernier avait l’air furieux … Il me disait que beaucoup de personnes, prenaient son resto’ pour un bar à « personnes, travaillant la nuit ». Je répliquais par cette phrase :

« Oh c’pas d’ma faute, j’ai lu ton discours, où y’avait marqué ni cuite, ni pute, ni soumise *Sortant le papier où il y avait marqué le discours, puis le lisant à voix haute* … Avec une tarte aux pommes, ni cuite, ni crue *Captant l’erreur que j’avais faite, avec un petit « Ooooooooh le con », qui circulait dans mon esprit* … C'pas d'ma faute, si t’écris mal. »


Me prenant pour un rigolo. L’homme me disait que j’étais viré … Je ne comprenais pas ça ! Car après tout ! J’avais fait de la pub’ pour son restaurant … Même si cette dernière était mensongère, mais bon. Cela avait motivé les pervers de l’île au moins. En plus, il a beau me critiqué. Mais il y a quelques minutes, ce n’était pas moi, qui disais que les plats du resto’, étaient dégueulasses.
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Mer 26 Fév - 14:49


Cornelliens VS Terphysiens

La taverne tournait à pleins régimes, la belle cuisinière était aux fourneaux et elle n'avait pas un seul instant pour souffler. La clientèle ne diminuait pas, les matelots du Cornellia entraient à leur tour dans le bistrot afin de manger la délicieuse nourriture proposé par la douce Cloé. Au bout de quelques minutes, ils étaient servis. Le plat était rempli de bonne volonté et d'amour, chaque bouché était un régale pour les papilles. Mais la bonne ambiance allait tourner d'une autre manière au sein de la taverne. Le nouveau membre avait été viré et quitté les lieux on ne sait où. La belle aperçut sa silhouette passait devant les fourneaux, elle soupirait un instant pour ensuite esquissait un sourire. Elle n'était pas fâché contre son nouveau ami, elle savait au fond d'elle que le gérant tôt ou tard aurait jeté cet original dehors. Elle continuait à préparer les repas, quand soudainement, des bruits dans la salle se faisaient de plus en plus fort. Les membres du Cornellia en étaient la cause. Certains clients avaient parlé du Cornellia de l'un des membres. Les fourbes avaient insulté la jeune femme dans leurs propos et les matelots du Cornellia défendaient leur petite sœur qui se démenait à la tâche. L'un des matelots se rapprochait du groupe de méprisants.

- Tu sais au moins qui t'a fait ce repas?
- Ouais, c'est la chienne du Cornellia. Il paraît qu'elle se fait tirer tous les soirs par tout l'équipage. Hahahaha.
- La chi....

C'était le mot de trop, le marin taillé comme une armoire perdait le contrôle, il fracassait la table de l'individu. Les autres matelots se levaient de leur place pour soutenir leur collègue. Les marins avaient une corpulence assez musclé et imposante. Le duel allait être puissant et violent. Un tourbillon d'éclats de bois et tout genre avec quelques dents volaient es la pièce. C'était les matelots du Cornellia contre ceux du Terphyse. Ce n'était pas rare que ce genre de baston faisait son apparition entre matelots. Un homme du Terphyse volait dans les airs à travers la pièce, il gémissait comme une fillette, celui qui l'avait balancé rigolait à pleins poumons et puis il se prit un coup par un terphysien ( membre du Terphyse). C'était à celui qui restait debout le dernier. Un cornellien ( membre du Cornellia) donnait des coups de pieds sur un terpysien frêle, la course du pauvre homme se dirigeait droit vers un autre cornellien. Par maladresse, il s'accrochait au pantalon du marin, baissant ainsi son haillon. On y aperçut un boxe avec des nounours, l'homme se cachait ses parties comme il le pouvait, mais le mal était fait. Un grand éclat de rire envahit l'ensemble des combattants qu'ils soient du Cornellia ou non. Cependant, le désordre reprit de plus belle, les bagarres entre matelots étaient mouvementés et duraient généralement un bon moment, pour y mettre un terme il fallait la présence des capitaines ou les autorités. Soudainement, dans la cuisine, un fracas résonnait, les matelots du Cornellia se stoppaient nette. Ils connaissaient ce bruit, c'était la maudite, elle s'était éveillé comme un démon endormi. Un du Cornellia murmurait un mot à l'un du Terphyse.

-Je vous conseil de vous arrêtez...


Mais l'homme n'écoutait gère l'avertissement de son ennemi, les terphysiens avec un cornellien sous le coude, continuaient à se bagarrer sans se soucier de leur avenir. Les matelots du Cornellia s'enfuyaient tant bien que mal de la taverne en laissant sur le comptoir des petites bourses. Le restaurant était bien calme, il y avait que les terphysiens à rire et à continuer d'insulter la belle. La démone sortait des cuisines son aura était diabolique et elle était très énervé. Le plus effrayant était de voir son visage avec un sourire forçait et un couteau de boucher à la main. Elle le balançait en l'air comme si elle jouait avec.

-Alors je suis une chienne ? Bien. Je vous plaint pauvres bêtes.

Dans un geste précis et rapide, elle utilisait son couteau pour tailler en lambeaux les vêtements de ces méprisables clients. Ils détallaient tous nus comme un ver  à l'extérieur, la foule se moquait de ces hommes ridicules, c'était une humiliation bien mérité. La jeune femme lançait son couteau dans l'encadrement de la porte de cuisine. Elle s'inclinait devant le gérant qui était dépassé par les événements.

-Veuillez excuser mon équipage, ils sont intenables quand ils ont faim.

Il émit un grand rire avant de prendre la parole.

-Ce n'est rien, ça faisait longtemps que mon établissement n'avait pas ressentit une telle agitation ! Et puis les fautifs sont les matelots du Terphyse.

Il se tapotait les épaules et se relevait, il commençait à remettre ce lieu dévasté en un endroit plus propre. Les matelots du Cornellia étaient à l'extérieur, collés aux fenêtres pour observer si la douce était calmé, elle les aperçut et leur fit signe. La petite troupe se mettait à l'action pour ranger les lieux. Le service était largement finit pour les restaurant et le temps c'était arrangé. Il était temps pour les membres du navire de rejoindre leur poste.
Sur la route du Retour, la jeune femme croissait le nouveau membre temporaire du Cornellia.

-Tu aurais dû rester, tu as manqué de voir une paire de fesses, des dents volaient et des hommes finirent nus dans la rue ! Hahaha !

Elle passait son bras sous celui de l'homme et le traîna avec elle en direction du navire. La route n'était pas bien longue, le temps d'un fou rire entre compagnon et les voilà sur les planches du bateau . Le capitaine était furieux, comme toujours après une bagarre, les hommes se reposaient sur la douce, elle savait comment s'y prendre avec Rey.  Elle se retirait de son nouvel ami et sauta dans les bras du capitaine.

-Ne te fâche pas contre eux, il ont défendu le trésor du navire. Ils ne voulaient pas que tu interviens car sinon  tu sais comme tu peux être.... Un peu violent.
-Oui, mais...
-Je les ai arrêté à temps. Et puis on s'est bien défendu pour des fillettes.

Salvicrus Rey regardait ses hommes avec un regard noir, ses yeux brillaient avant de émettre un fou rire à plein poumons. Il serrait sa petite fleur dans ses bras. Cloé était tout pour lui, il avait peur qu'elle se blesse dans les imprévus comme ceux du bistrot.

-Tu n'es pas blessé ?
-Non, Rey.
-Bien. Et l nouveau il a participait ?
-Je ne sais pas, demande-lui !

Le capitaine relâcha son emprise sur la jeune femme et lui donna un baiser sur la joue, puis il s'avançait vers le bleu. Le capitaine était heureux, un sourire un peu malsain s'était dessiné sur son visage.

-Alors, fiston. Tu aimes le Cornellia ? C'est un brigantin, un petit bateau mais rapide sur les flots. Raconte-moi un peu, Cloé t'a embarqué dans une embrouille ? Ne t'inquiète pas ça ne sera pas la première sur ce navire.

Il donnait des coups sur le dos du jeune homme tout en riant fortement, les autres en faisaient de même. Il appréciait ce nouveau matelot original. Puis il reprit la conversation.
-Vu que tu es parmi nous, tu as bien sûr un rôle sur le navire. Tu devrais nettoyer le point le matin et le soir, jusqu'à l'amarrage sur la prochaine île. Je vois tu as une odeur d'épices bien prononcé.

Il clignait de l’œil vers le jeune homme.

-J'en informerais notre belle cuisinière.

Il le quittait pour rejoindre sa cabine, les matelots embarquaient leur nouvel ami pour faire visiter les lieux. La salle à manger avec la cuisine, les dortoirs, la vigie, les douches communes et la porte de la cabine de la belle.

-Cette pièce nous est interdit, c'est les appartements de Cloé. Je ne sais pas si tu l'as vue dans le restaurant, mais elle est parfois diabolique alors si tu tiens à ta vie....

Puis chacun des matelots racontaient au bleu à quel point la jeune femme était leur rayon de soleil, elle était leur petite sœur, leur trésor. Ils l'a chérissaient et l'aimaient comme tel. Une vague de douceur remplissait le cœur de ces durs à cuirs. L'un d'eux proposait un truc au nouveau.

-Si tu souhaites lui parler, vu que tu es blessé... C'est l’occasion, elle prendra soin de toi.

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Jeu 27 Fév - 23:55

« Super-héros cherche emploi »

Faut pas m'énerver ! è_é


Enervé … Je m’en allais de là … Honteux … Je décidais de ne pas aller voir Cloé, pour dire que j’avais été viré … Sur le chemin, beaucoup de personnes me regardaient avec un regard, que je n’aimais guère. Ils avaient surement entendu l’engueulade que j’avais eue avec mon ancien employeur … Et maintenant, ils me prenaient pour je ne sais qui. Et après quelques pas. J’entendis des injures sur le Cornellia. Disant qu’ils ne valaient plus rien de nos jours. Ils étaient tellement useless, qu’ils avaient osé recruter un mec comme moi, au style dépassé. N’aimant pas trop ces paroles, dénis de sens (Surtout le dernier passage). Avec un regard hargneux et un pas alerte. Je m’approchais de celui, qui criait le plus fort. Et une fois assez proche. Je lui demandais de répéter ce qu’il venait de dire. Il ne le fit pas, mais répondit à la place, que je n’étais qu’une sous-merde. PUTAIN ! IL ALLAIT ME LE PAYER CE BATARD ! IL ALLAIT VOIR CE QU’UNE SOUS-MERDE POUVAIT FAIRE ! Avec cette pensée en tête. Je ne mis pas deux secondes à dégainer un coup de poing. Mais bien une seule ! Oui une seule, vous avez bien entendu ! J’étais la nouvelle gâchette de l’West … de South Blue (Oui, oui, ceci est un super jeu de mot. Ne soyez pas jaloux de ma créativité surtout ! Et non, je n’ai pas voulu dire West Blue !). Ma main finissait sa trajectoire dans la gueule du pauvre homme. Et croyez-moi, avec toute la hargne, la justice et la force (SUPERCOMBO !) qu’il y avait dedans. Le nez du mec, partait maintenant de traviole, en plus de saigner comme une cascade. Bien entendu mon « ennemi » essayât de contre-attaquer. Néanmoins, ces coups étaient devenus lent (Enfin, s’ils allaient déjà à cette vitesse avant … Ma phrase n’a plus aucun sens, mais bon) et je les esquivais avec une facilité déconcertante. Et après avoir fait ça, avec plusieurs coups ennemis. Je montrais à l’homme que j’affrontais, que mon uppercut n’avait rien à envier au direct, que je lui avais précédemment mis dans la tronche. Ainsi sonné et avec une mâchoire en mauvais état. L’homme tombait à la ramasse. Et même par terre, je lui assénais encore trois droites, avant de dire ça, droit dans les yeux de ma victime :

« Alors, c’qui l’patron? Hein la sous-merde, c’toi avoue-le !T’vois un super-héros, ça s’laisse pas marcher dessus ! Et ça aide c’qui sont dans l’besoin. Hyooshishishishi …»


Tout en me relevais … Je riais à plusieurs reprises, avant de foutre un coup de pied, dans le ventre de l’homme, que je venais de tabasser. Histoire de le relever. Après ça, je m’en allais de là, sous les huées et cris de la foule en colère. Sur le chemin, je trouvais un vieux torchon par terre. Je m’en servais pour essuyer, mais mains, qui étaient recouvertes de sang, avant de le jeter. Et alors que je venais de finir ça. Cloé m’avait retrouvé et venait vers moi. Et non ! Elle ne m’engueulât pas ! Elle me parlait juste d’une bataille qu’il y avait eu, ainsi que d’une paire de fesses … Si c’étaient pas les siens, je n’avais rien loupé (:ee:) … Car en terme de baston, je venais de faire le plein. Ainsi, je disais ces quelques mots à la belle rose (Ce n’est pas de ma faute, si l’expression est nulle ! Les responsables sont les cheveux de Cloé) :

« Oh t’sais, j’me suis bien diverti sur l’chemin, en t’attendant. »


Et oui ! Je n’avais pas parlé des fesses … Je suis quelqu’un de courtois MOI voyons … Si si c’est vrai, je vous jure ! Avec la jeune femme, nous reprîmes le chemin du navire. Afin que je ne m’enfuie pas. La jeune femme me ceinturait avec son bras. Et après avoir ri sur le trajet. Nous étions déjà arrivés. Et une fois devant le navire, nous pûmes voir, que le papy nous attendait. Etait-ce l’heure de l’engueulade ? La réponse était non ! L’homme de 50 ans, se contentait de discuter avec moi, en me demandant si Cloé n’avait pas trop cherché les emmerdes. Avant de m’informer sur la tâche qui m’attendait, tout en me frappant le dos. Vu qu’il avait senti que j’aimais les épices, il allait en informer la cuisinière. Content de ça, je disais ça :

« Wooaaw un grand merci papy ! »


Et tout comme la dernière fois, que j’avais appelé l’homme « papy ». Il me frappât avec un puissant taquet derrière la tête. Certes, je ne tombais, mais qu’est-ce que ça faisait mal. Une fois, que je fus monté sur le navire. Je fus accosté par deux hommes, qui me faisaient faire la visite du navire. Alors que l'on avait fini avec ça. L’un d'entre eux me disait qu’il était formellement interdit d’entrer dans la chambre de Cloé … Quant à l’autre … Il me disait d’aller voir cette dernière, vu que j’étais blessé … Et oui, on me prenait pour un con ! Mais lequel avait raison ? Telle était la question. Ayant envie de faire mieux connaissance avec la douce. Je décidais de faire le fifou. Ainsi, après avoir toqué à sa porte. J’ouvrais cette dernière en disant ça :

« Désolé de t’déranger, mais on m’a dit que t’étais médecin et tout à l’heure en frappant d’énervement, un truc. Je m’suis un peu ouvert la main. Et vu qu’on a pas eu l’temps de s’parler tout à l’heure. Bah pourquoi pas l’faire maintenant. »
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Mer 5 Mar - 13:34


Aux petits soins

La belle avait reçu une demande un peu particulier du capitaine : il voulait manger épicé. La jeune femme connaissait quelques recettes avec des piments et autres épices bien relevés. Elle s'était donc retirée dans sa chambre pour lire un bouquin de cuisine. Soudainement dans la tranquillité d'une fin d'après-midi, la porte de ses appartements s'ouvrir. La personne qui se tenait derrière n'avait aucune manière, pas de 'toc toc, pas de formules de politesse, juste le culot de rentrer comme cela et sans peur. Elle armait son bras pour lancer à cet impoli son livre et elle commençait à grimacer. Mais elle aperçut le nouveau, elle rangea son arme littéraire en le cachant derrière elle et changea la grimace en un beau sourire. L'homme lui demandait de soigner les blessures qu'il avait reçu lors de la baston avec les matelots du Triphasée. Elle se levait de son lit et tirait un petit cube en mousse pour installer son patient.

-Mets-toi sur le bouf. Je vais faire de mon mieux.

Elle avait les cheveux attachés avec une longue tresse, ses vêtements étaient très décontractés. Un pantacourt fluide, un t-shirt large avec son haut de Bikini en dessous qui était un peu dévoilé par la transparence du haut. Elle marchait pieds nues en direction de sa salle de bains. Dans un petit meuble, elle sortit une trousse de soin.

-J'espère que tu n'es pas une mauviette car ça va piquer!

Le zip retentit, elle sortait de l'alcool à 90°, une paire de ciseaux et quelques bandages et pansements.

-Bon, retire tes vêtements dans la salle de bain et tu gardes ton sous-vêtement !!!!!

La demoiselle prenait son rôle très au sérieux, elle avait déjà soigné les hommes du Cornellia donc il n'y avait pas rien d'intime pour elle.

Au bout de quelques minutes, elle aperçut l'homme. Sur les côtes il y avait un hématome qui était violacé et gonflé puis quelques égratignures sur les poings, les jambes et le visage.

-Tu auras le droit à du repos car tu n'as pas fait semblant.

La jeune femme empoigna le bras de l'homme et l'installa sur le cube.

-Ne Pas bouger!

Elle commençait à nettoyer l'hématome et les petites plaies avec un bout de coton imbibé d'alcool. De temps à autre, elle tenait son patient car celui-ci faisait des petits sursauts. D'une poigne ferme et un peu puissante, elle agrippait la clavicule de l'homme.

-Reste tranquille. Tu es un homme ou non?

Elle continuait à soigner doucement. Son visage dégageait une certaine douceur un peu comme une mère. L'ambiance dans cette petite chambre était assez délicate et calme. La posture de la belle était droite, les mains de celle-ci s'activaient à mettre un bandage sur les côtes du patient et à coller quelques pansements.
L'opération avait duré entre dix et quinze minutes, elle s'était concentré sur l'homme pour le soigner le mieux qu'elle pouvait. Elle n'était pas médecin, mais elle savait guérir les petits bobos du quotidien comme une mère. Elle terminait de poser un dernier pansement et c'était fini. Elle se leva et ouvrit la porte de sa cabine.

-Voilà ! Maintenant dehors, personne ne reste dans ma chambre quand je ne suis pas là.

Elle allait préparer le repas et tentait de faire un plat épicé. Ce n'était pas des plats qu'elle réalisait firmament, mais c'était une demande cu capitaine alors cela changé tout. Elle fermait la porte de ses appartements derrière le jeune homme. Elle le dépassa avec une petite glisse.

-Ce soir ça sera épicé!! Ne fais pas trop le fou.

Elle disparaissait dans les cuisines en quelques secondes. Cependant, durant l'espace d'un instant, elle était seule dans cette cuisine et elle se sentait seule, mais ce sentiment disparu une fois qu'elle entamait la préparation du repas. À l'extérieur, les matelots s'activaient à ranger les voiles et à stabiliser le bateau pour la nuit. Le capitaine avait ordonné de arrêter la course du navire pour la nuit. Rey voyait le nouveau membre et lui faisait signe de monter. Quand les deux hommes étaient l'un à côté de l'autre, le capitaine engagea la conversation.

-Alors ? Ma petite fleur t'a soigné ? Elle n'a pas beaucoup parlé je parie. Elle viendra d'elle-même, ne lui force pas la main sinon tu auras droit à sa furie.

Salvicrus Rey riait très fortement et dévoiler quelques informations sur la belle. L'homme dévoilait son attachement de cette jeune femme tout comme les matelots. Il n'y avait rien d'intime, c'était une relation très familiale entre le capitaine et la douce. Certains matelots qui passaient par là, lâchaient des révélations sur la demoiselle. Son comportement très calme et doux qui pouvait subitement virer à celui d'une démone furieuse. Marvin racontait aussi sa rencontre avec Cloé, son ton utilisait était moqueuse et un peu agacée. Puis ce fut autour du capitaine de décrire sa rencontre avec la belle.

-Au début j'étais très en colère, mais quand j'ai vu son visage d'ange. Je ne pouvais pas laisse cet être fragile finir au fond de la mer. Elle m'a redonné un nouveau souffle, une nouvelle vision. Mais tu as pu voir sa gentillesse tout à l'heure et tu le verras encore pour ce repas.

La clochette des cuisines sonnait, c'était le signal. Une troupe d'hommes affamés, quittaient leurs postes et se ruaient vers la salle commune. La scène était surréaliste, les hommes s'étaient changés en animaux et cela venait des odeurs esquisses qui étaient émît depuis les cuisines. Une fois tout le monde installait autour de la grande table, le capitaine au bout, Cloé à sa droite et Marvin de l'autre. Il ne restait pas de place pour se mettre auprès de la belle, c'était une bataille à chaque repas, le premier arrivé était souvent à côté de la belle cuisinière. Au centre de la table, il y avait un grand plat, la sauce faisait des bulles. C'était du chili con carne. Le capitaine reniflait les vapeurs et soudain il se reculait.

-Je l'ai raté, c'est ça...
-Je crois que c'est vraiment épicé!

La jeune femme était heureuse, son sourire rassurait certains matelots un peu méfiants face à ce plat. Dans un geste naturel, la belle se levait et apporta des gares de lait. Le capitaine donnait le signal pour que chacun prennent un peu de ce plat. Elle avait préparé des petits pains en forme de boule pour pouvoir saucer et beaucoup de riz blanc. Puis après une bouchée, certains matelots quittaient la table avec le visage rouge, à suer à grosses gouttes et à boire du lait à la tonne. Le capitaine essayait de faire honneur au repas et restait à table. Après quelques minutes, il ne restait seulement pas le capitaine, le nouveau et la belle. Cloé faisait signe à l'homme de se rapprocher.

-Viens avec nous!

Le plat épicé ne semblait pas déranger la demoiselle, elle le dégustait avec grâce. Elle avait des manières très soutenues un peu comme une riche, mais ceci était dû par son ancien métier de domestique. Le capitaine taquinait la douce avec sa posture et les manières qu'elle faisait preuve. Puis Rey regardait le seul courageux.

-Alors tu aimes ?

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Mer 12 Mar - 0:04

« Super-héros cherche emploi »

Repos + Repas =/= Repoas, mais bien à rp’


N'attendant même pas une réponse, de la part de Cloé. Je décidais d’entrer dans sa chambre … A ce que je pouvais voir … Elle n’avait pas aimé mon manque de politesse. Et en main. Elle avait une arme ! Mais pas n’importe laquelle ! Bien un bouquin de cuisine. Vous savez, ceux qui font 400 Ou 500 pages. Ainsi, si elle ne loupait pas son coup. Je pouvais finir avec un nez et une arcade cassés dans le meilleur des cas. C’était con pour une personne, qui voulait se faire soigner un ! Enfin … soigner … Je disais juste ça pour ma morale, je voulais surtout discuter pour mieux connaitre la jolie infirmière (Car oui, encore une fois, c’était une bombasse ! Est-ce que c’était l’emploi, qui nécessitait cela ? Je ne sais pas, mais faudrait l’indice de cohérence entre ces deux variables (Naaaaaaan j’ai fait trop de stat’s aujourd’hui !)).  Ne voulant pas me faire me faire fracasser … par une femme, qui plus est. Pendant que je parlais, je me mettais en position de prière. Et là, je ne sais pas, si ça faisait trop pitié ou mignon. Mais la jeune femme finissait par ranger son livre, pour sortir un gros pouf … Non je vous rassure ! Elle ne voulait pas m’écraser avec ! Car là ! Oui elle aurait pu me tuer avec cette artisanale. Après avoir fait ça. Elle me demandait de me déshabiller. Un peu choqué par ça, venant d’elle. Je la regardais d’un regard, qui voulait tout dire, dont un « Oh you ». Pendant que je faisais ça. Elle allait chercher de l’alcool à 90%, des cotons et des pansements … Oui oui ! J’ai bien dit alcool à 90% … Etait-ce pour m’empoisonner ? La réponse était non ! Elle ne voulait en aucun cas tuer mon foie ! (Et d’ailleurs ! Pourquoi suis-je parano’ d’un seul coup ?)

Maintenant, mon corps, n’était recouvert que ... d’un simple bandeau autour de mon visage, et d’un magnifique caleçon violet aux rayures jaunes … Ayant foi en mon capital de séduction … Je savais qu’en était à poil et même blessé … J’avais encore toutes mes chances dans le domaine qu’était de séduire la belle (Et oui ! C’est ce qu’on appelle être opportuniste !). Néanmoins, il n’y eut aucun rougissement sur le visage de la jeune femme … J’étais quelque peu déçu … et la confiance, que j’avais en moi, avait pris un sale coup. Néanmoins … Je savais, que j’aurai encore d’autres occasions pour faire succomber la belle, avant que je ne parte du (je ne m’en souviens plus du nom). Après avoir vu, où j’avais été blessé. Elle commençât à désinfecter et à panser les plaies pour éviter que je meure d’une foutue septicémie Bien entendu … Vu que je n’étais pas insensible à la douleur … L’alcool à 90°C me titillait quand même un peu. Cependant, pour montrer à la belle, que j’étais quelqu’un de fort et résistant. J’essayais de ne pas me débattre dans tous les sens. La seule chose qu’on pouvait voir, était quelques rictus sur mon visage. Une fois bien soigné …

Je n’eus même pas le temps de commencer à faire la discussion, avec celle qui avait les cheveux roses, qu’elle me jarretait de sa chambre … Et oui mon plan avait loupé ! Je n’étais pas fier de cet échec. D’ailleurs, sur le chemin, je lâchais même un petit soupir. N’ayant pas eu le temps de me rhabiller avant de sortir. Je le fis dans le couloir. Quoi de plus logique. Certaines personnes, me regardèrent. Avant qu’un vienne m’accoster. Il me disait qu’il allait m’accompagner jusqu’à ma chambre. Sur le chemin, il m’arrêtait avec son bras et me demandait, ce que j’avais fait avec Cloé. Était-il jaloux que je ressorte de la chambre de cette dernière, aussi peut vêtu ? Je lui répondais qu’elle m’avait soigné et que rien d’autre ne s’était passé (Malheureusement … Enfin ça je le gardais pour moi, histoire que je ne me crée pas de problèmes ici). Après même pas une minute. J’étais arrivé devant la chambre … enfin dortoir que j’allais occuper. Elle n’était pas très grande et était partagée en 4 zones, chacune occupée par d’autres personnes, que je ne connaissais pas encore.

Ayant besoin de profiter du paysage (pas celui de la chambre hein). Je décidais de sortir sur le pont. Une fois dehors, je sortais une cigarette au piment, de mon pantalon. Histoire de me poser et de fumer tranquille. Néanmoins, je ne fus pas seul bien longtemps. Vu que le papy capitaine venait me parler encore une fois (Nan c’est faux ! Je ne barre pas un mot sur deux dans cette phrase !). Il me demandait si la jeune femme m’avait bien soigné. Et il me disait, qu’elle n’était pas facile à aborder. Cela me choquait un peu, vu qu’elle avait l’air super ouverte et sympathique. Je lui répondais ça :

« Oui, c’ça, j’me sens requinquer maintenant ! J’pète l’feu, même l’piment maintenant. J’enregistre tes remarques pour Cloé. »


Après ça … Le vieux commençait à me raconter, la vie de Cloé dans l’’équipage. Entre deux de ces phrases. Il y avait un rire … puis deux … puis trois … Cela avait l’effet, de ne pas le rendre discret et d’attirer tous les gens vers nous. Ceux-là aussi me donnaient quelques info’s sur la jeune femme. Une fois que les discussions furent finies … Et que ma clope en fit de même. Il était déjà l’heure, d’aller manger. Et c’est en courant qu’on y allait ! Et malheureusement pour moi. Je n’avais pas réussi l’exploit à m’asseoir à côté de la si belle cuisinière. J’étais seulement à 4 ou 5 places avec elle. Après un regard sur le plat, qu’il y avait au centre de la table. Je pus voir que c’était un chili con carne … Ou chili con carnage, comme ça s’appelait chez moi. Après m’être servi avec une louche. Je commençais à manger … N’étant pas un gentleman. La table eut aussi le droit à gouter à ce plat, qui était bon, même très bon, voire succulent. Etant content de ce plat, qui « pétillait » en bouche. Contrairement, à certains, qui n’en pouvaient plus et qui avaient leur tête, de la couleur d’une tomate. Je disais ça, une fois que j’eus fini de tout manger :

« C’plat est merveilleux ! Merci à toi de l’avoir fait ! Franchement j’te remercie un peu trop aujourd’hui. »


Après dix minutes et un ou deux bol(s) de rabe. Je décidais de me lever de table. Et une fois debout, je prenais encore une fois la parole, pour m’exprimer et prononcer ces mots :

« Bon bah, moi après un bon repas, il faut un café ? Qui est pour ? J’me propose de le faire, histoire de servir à quelque chose. »


Beaucoup me répondaient d’un non, en hochant la tête, d’un côté à un autre. A part moi, deux autres en voulaient. Et c’est avec cette idée en tête, je partais en cuisine. Une fois arrivé dans ce grand espace … Je regardais dans tous les sens. Et je pus voir qu’en effet ! C’était Cloé, la chef du navire, tout était bien rangé et tout. Je mis plusieurs minutes à ouvrir tous les tiroirs, et à trouver le café … qui était dans un pot où il y avait marqué en gros, le mot « COFFEE », tout cela étant placé sur le plan de travail (Oui vous pouvez le dire ! Je suis douuuuuuuuuué !). Après avoir rempli la cafetière italienne en eau et poudre noire. Je la mettais sur le feu. Vu que ce n’était pas instantané. J’eus à attendre quelques minutes. Une fois que tout ça fut prêt. Je remplissais les tasses, avant de les mettre sur le plateau. J’accompagnais cela de quelques morceaux de café et de sucre. Avant de prendre ce plateau et d’aller vers la table. N’étant pas super agile, ni doté d’un fameux sens de l’équilibre. Je renversais un bon tiers de chaque tasse sur le plateau, avant de toute les déposer, là où l’on avait précédemment mangé. Avant de m’asseoir à côté de Cloé, vu que la personne, ancienne à côté d’elle, était partie. Je fis cette remarque et posais cette question :

« J’vois qu’ y’a un paquet d’cartes. Ca dit à personne d’y jouer ? »
»
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Mer 12 Mar - 22:21


Café et cartes

Le nouveau membre avait complimenté le repas de Cloé et s'était même servi plusieurs fois. La demoiselle était vraiment contente de voir cet homme mangeait comme un ogre et c'était un honneur. Il ne restait plus que quelques personnes dans la salle à manger et le nouveau avait pris l'initiative de préparer du café. Le capitaine ne refusa pas un bon café après le repas, mais Cloé, elle n'avait jamais bu de café. C'était une grande enfant, elle aimait le chaud chocolat avec des marshmallows dedans. Quand la tasse de café bien noir était devant elle, cela ressemblait plus à du goudron que à une boisson chaude. Elle voyait le capitaine boire ce jus noir avec plaisir. Elle prit la tasse avec hésitation. Puis elle déposa ses lèvres au bord. Lentement elle bascula la tasse et le liquide commençait à se diriger vers la zone buccale de la demoiselle. Elle avalait une légère gorgé du breuvage chaud. Soudain, le visage charmant changeait, elle grimaçait.

-Mais c'est dégueulasse !
-C'est une boisson pour les grandes personnes, mon ange.

Le capitaine rigolait et regardait sa protégée avec défie.

-Tu ne pourras pas finir la tasse, Cloé.

La demoiselle agrippa la tasse et regardait la capitaine droit dans les yeux. Elle but d'un seul trait la boisson noire. Elle évita de grimacer pour démontrer son sérieux et sa détermination devant son capitaine. Elle reposa la tasse et l'ébrécha sur le côté. 

-Alors c'est qui l'enfant ?
-Toi, mon ange.

Elle bouda un peu et rejoignit le rire du capitaine. Elle prit place sur les genoux de Rey, comme le ferait une fille avec son père. La soirée continuait son cours, Cloé et Rey discutaient de tout et de rien. Puis Fukashi sortit un jeux de cartes et proposa une partie. Cloé se retira des genoux du capitaine et s'installa auprès de Fukashi.

-Je connais quelques jeux, mais je ne suis pas très douée.

Bien sûr, elle mentait. Avec son intelligence, elle utilisait les mathématiques pour tricher aux cartes, car tout était question de logique et de maths avant tout. Quand elle pouvait, elle pariait aux jeux et généralement elle gagnait par son intelligence et ses atouts.
Elle proposait un jeu à son ami. 

-Je te propose la bataille de Trader. On a le même nombre de cartes en main. Cela se joue avec les cartes non visibles. On retourne une carte par tour.

Elle tria les cartes pour en sortir quatre.
Figures du jeu de cartes:

-Alors si tu tombes sur l'une de ces figures, tu dois retirer des cartes de ton tas en conséquence. Tant qu'il n'y a pas de figures au bout d'un certain nombre de cartes il remporte le tour et c'est aussi valable pour toi quand tu poses une figure. Pour l'as quatre cartes, pour le roi 3 cartes, pour la dame 2 cartes et le valet 1 seule carte. Les autres cartes n'ont pas vraiment de valeur. Si tu as des figures identiques comme deux 10 ou deux reines, tu peux taper sur le tas et donc récupérer le tout. Si tu as par exemple un roi, une autre carte et puis un roi tu peux aussi taper sur le tas. Le but c'est d'avoir toutes les cartes dans sa position. Les jokers ne comptent pas et sera retiré du jeu. C'est bon pour toi ?

Elle mélangeait les cartes, elle faisait son petit show et les cartes virevoltaient dans les airs avec grâce et souplesse. Mais la maladresse de la charmante demoiselle ne manqua pas à faire une petite intervention. Quelques cartes finissaient leur trajectoire dans le visage de Cloé.

-Je connais les règles mais je n'ai jamais vraiment gagné... À part avec les membres du Cornellia car ils me laissent gagner... 

Elle récupéra les cartes sur le sol. Le capitaine laissa les deux jeunes gens dans la salle.

-Ne vous couchez pas trop tard, demain il y a du boulot !
-Compris Rey. À demain !

Rey referma la porte de la cuisine derrière lui, la grande salle semblait immense et froide sans tout l'équipage. Cloé regardait autour d'elle avant de commencer à jouer.

-Tu choisis la récompense pour le vainqueur. Et après tu souhaites jouer ailleurs, je te propose la poupe du navire ou plus chaleureux ma cabine. 

La naïveté de Cloé était comparable à celle d'une enfant, elle ne pensait pas à mal, mais plus à jouer avec un ami aux cartes et à discuter sur une bonne partie de la nuit. Elle se levait du banc commun, puis elle prit les cartes et les plaça dans son décolleté. Elle se dirigeait vers la porte de la salle, son déhanché était vu de derrière était fatal. Cloé avait commencé à jouer en utilisant ses charmes pour déstabiliser Fukashi. Le pauvre homme, il allait s'engager dans une partie de cartes bien spéciale dont Cloé allait peut-être ou non maîtriser de a à z.

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Dim 16 Mar - 2:40

« Super-héros cherche emploi »

Si je gagne ce pari … Cloé fait tout ce que je dis … Quand je vous dis qu’elle m’aguiche ! Je ne mens pas. ^^’


Voyant que Cloé n’aimait pas le café … Cela me fit un peu sourire … Pourquoi ? Car je trouvais ça faisait un peu cliché, pour une fille aussi gentille qu’elle. Avec cette idée en tête, je déposais les différentes tasses sur la table, avant d’aller m’asseoir. Et quand le moment fatidique arrivait … Du coin de l’œil, je regardais la jeune femme … Pour voir, quelle tête, elle allait tirer … Et bien entendu, cela ne fut pas super joli … A cause de cela, quelques rires s’échappèrent de ma bouche. Oui ! Niveau galanterie, j’étais proche du niveau zéro là … Mais bon ! Au moins, je n’étais pas le seul, qui rigolait de ça. Le papy-taicho fit même une remarque à la belle. Disant que le café, était pour les adultes et non pour les enfants ! (Et bim dans taggle) Cependant, la jeune femme, ne voulut pas se laisser faire par le vieux. Et décidât de boire son café en entier, afin de monter à nous, les hommes, qu’elle aussi, pouvait aimer cette boisson. Et malgré une grimace, qui était particulièrement hideuse. Elle réussissait à ne laisser aucune goutte dans la tasse blanche. Une fois qu’elle eut fini. Elle demandât à son capitaine, qui était l’enfant maintenant ? (Et contre-bim dans taggle le vieux !) Vu qu’il ne restait plus beaucoup d’option pour le papy. Il lui répondit que c’était elle … A cause de ça … La jeune femme boudât dans son coin, chose que je ne compris pas. (Femme : 1, Mon cerveau : 0). Avant d’aller sur les genoux de l’homme. Pendant ce temps-là. Qu’est-ce que je faisais ? Bah je buvais mon café, vu que je n’avais toujours pas eu le temps de le déguster, pendant tous les événements, qui venaient de se passer. Je finissais ça, par manger l’un des bouts de chocolat, qui accompagnait la célèbre boisson.

Une fois que j’eus fini de faire ça. La jeune femme se mettait à me parler … Disant que heureusement pour moi (ou malheureusement pour elle, cela dépend du point de vue …), elle n’était pas très douée aux cartes. Pensant qu’elle n’osait pas me mentir. Cela eut pour conséquence de me faire sourire, vu que je n’aimais pas perdre, surtout pas contre une femme (Macho, macho-man …). Après ça … Elle continuait de blablater, en disant qu’elle me proposait un jeu … ce dernier était la bataille de Trader. Je connaissais ce jeu … Néanmoins, je n’y avais pas joué depuis longtemps, vu que moi, je préférais le poker, la belote, le 1er ministre ou le black-robert comme jeu de cartes. A cause de ça … J’écoutais les explications de la jeune, tout en essayant de toutes les comprendre … Et au fur et à mesure, qu’elle avançait. Certaines de ces règles me revenaient en tête. Voyant que ce jeu pouvait durer longtemps. Le capitaine du Cornellia décidait d’aller se coucher (C’est normal à son âge après tout Rolling Eyes#heureusementquilnelitpasdansmespensées #hashtagsuperlong). N’étant pas un connard (surtout pas après, ce que je viens de penser), je souhaitais bonne nuit à celui, qui s’en allait. Une fois, que l’homme fut parti, la jeune femme, que j’avais en face de moi, devenait quelqu’un d’étonnement ouverte, vu qu’elle me disait que si jamais, je gagnais à ce jeu … Je pouvais choisir ma récompense … Bien entendu, vu que je ne vous mens jamais *manque de s’étouffer* … quelques idées passèrent pas ma tête … Certaines étaient perverses … d’autres non … Quoi de plus normal ? Ne se sentant pas super bien, dans la salle où nous étions … Chose que je comprenais, vu que cette dernière était super grande et vide … La jeune femme me demandait où je préférais jouer … Que ce soit sur la poupe du bateau ou dans sa chambre. À cela, je répondais cette phrase :

« Et ben dis donc, t’sais motiver les troupes toi. Crois-moi, ça m’donne plus envie de perdre maintenant. Sinon, j’crois qu’dehors, il fait un peu trop froid, du coup, ta chambre sera la bienvenue. »


Non, ce n’est pas pour la raison, à laquelle vous pensez, que j’ai choisi la chambre. Sur ceux … La jeune femme mit les cartes dans son décolleté. Dès que je vis cela. Mon visage se découpât en deux … D’un côté, mon menton et de l’autre, le reste. Bien entendu, étant quelqu’un, qui n’est pas un pervers. Je fermais ma bouche dans les secondes qui suivirent. Et si jamais, la belle me demandait d’aller chercher les cartes à mains nus … J’étais pour ^^’. Avant de suivre la jeune femme, qui se déhanchait parfaitement jusqu’à sa chambre. Une fois là-bas, je décidais de déplacer les pouffes, afin de jouer dans les meilleures conditions. Ne voulait pas jouer par terre. Je décidais de m’asseoir sur l’un d’eux. Avant de dire ces quelques mots :

« Allez ! Moi, j’suis prêt. Désolé, si j’ne t’laisse pas gagner, mais j’ai une âme d’vainqueur. »

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Dim 16 Mar - 19:51


La bataille de Trader commence

Les deux jeunes étaient donc dans la cabine de la belle. Entre couleurs douces et l'odeur de parfum. L'univers très féminin de la demoiselle dévoilait les plaisirs de la jeune femme. Elle s'installa sur l'un des pouffes que Fukashi avait préparé. La chaleur de la petite cabine augmentait, la demoiselle usait de ses charmes pour faire vaciller le jeune homme. Elle avait engagé le duel avec l'homme. Elle sortit délicatement les cartes de ses seins. Un mouvement de cette poitrine généreuse fit son aparition. Tout était calculé, elle savait qu'elle gagnerait par un procédé un peu déloyale. Elle mélangeait les cartes avec dextérité et rapidité. Démontrant à son adversaire, qu'elle n'était pas une simple débutante. Elle distribua les cartes en quelques secondes. Deux tas devant les joueurs face cachés. Elle tira la première carte un valet et elle remporta les cartes. Ensuite elle mit des cartes quelques, elle tapait quand les doubles ou autres apparut et son tas commençait à monter. Puis soudain, ce fût le revirement de situation. Le tas de la jeune femme baissait. Il fallait réagir au plus vite.

-J'ai un joueur à ma hauteur ce soir.

Elle laissa la bretelle de son haut descendre, dévoilant le sou-vêtment de la douce. Elle se pencha pour mettre sa prochaine carte. La vue était parfaite, la peau porcelaine et un peu d'intimité corporelle de cette charmante. Elle toucha l'homme en plein coeur. Elle joua de ses charmes et gagna quelques cartes. Elle profitait de la distraction du jeune homme pour reprendre l'avantage.

-Mais tu n'as presque plus de cartes, Fukashi. Que se passe-t-il?

Elle lui sourit et releva sa chevelure. Le parfum de la belle envahissait l'air. Une touche de fleurs et de sucré. Elle començait à connaître les combinaisons des cartes à venir. pour son tas de cartes. Sa prochaine carte était une dame. Elle eut une lueur dans les yeux, mais quand elle pose sa carte, la carte adverse était également une dame. Elle savait qu'ellle allait perdre cette manche. Mais cela allait enveler l'avantage de la demoiselle.

-Je n'avais pas prévue une autre dame dans ta manche... Tu as pris un léger avantage.

Cloé devait une nouvelle fois faire prévue de subterfuges pour encore une fois déstabiliser l'homme. Elle commençait à parler d'elle tout en jouant.

-Par moment mon corps s'emballe... J'ai chaud puis froid. Mes émotions sont chamboulaient face à toi. Il n'y a eut un seul homme dans cette chambre depuis que j'y suis... Cela me rend nerveuse...

Voilà qu'au même moment, un bout épaule était subtilement dévoilée par la belle. Son visage était un rouge, les yeux bleus plongeaient en direction de ceux de l'homme et les lèvres humides de la demoiselle provoquait son adversaire. Elle mordilla sa lèvres inférieur.

-Tu voudrais succomber ? Je vais te laisser une chance d'y arriver.

Elle savait que la prochaine carte de Fukashi était la dame qu'il avait gagné plus tôt. Elle allait déposé sa carte, une autre dame. Elle avait dans son tas deux dames, trois valets, un roi et un as et le reste des cartes bidons, mais avec des doublons. La carte adverse se posa puis celle de la demoiselle aussi. La main de Cloé était la première à se poser sur les cartes. Les deux mains des jeunes gens se touchèrent. La main de la demoiselle était assez froide. Cloé prit les mains du jeune homme. Le pauvre avec les techniques qu'elle utilisait, il ne sortira pas indemme de ce duel.

-Mais tu as les mains si chaudes !  Je me permets de réchauffer les mêmes.

Cette phrase était accompagnée par un sourire angélique et une posture fatale. Par maladresse contrôlée, la jeune fleur tomba sur l'homme. Les deux corps étaient collés l'un à l'autre. Les formes de la belle époussait celui-ci l'homme. Tout était dans son plan, pas un seul moment son coeur fut chamboulé. Elle s'écrata de l'homme et se répositionna sur le pouffe avant que quelque chose de plus intime n'arrive.. Elle se passa une main dans les cheveux pour mettre un d'ordre et garder une prestence.

-Tu as envie de boire quelque chose? On a quelques alcool.

Elle rangea ses cartes entre ses seins et se leva. Les cheveux roses de la demoiselle caressa son adversaire. Elle quittait la cabine, laissant l'homme seul. Elle se dirigea vers le sellier. Cloé croisa quelques matelots sur son passage.

-Alors tu l'as bien plumé ?
-Bientôt !

Le groupe d'hommes émit un long rire et la demoiselle prit du whisky et de l'eau plate pour elle. Elle arracha l'étiquette de la bouteille d'eau et colla celle d'une bouteille vide de voodka. Derrière ce visage séraphique et sans défens était caché , celui d'une jeune femme avec des stratagémes calculés. La belle rentra à nouveau dans ses appartements et déposa les deux bouteilles à côté d'elle. Elle gardait la fausse bouteille alcoolisée et rapprochait l'autre vers Fukashi.

-Si tu as envie de boire une bonne boisson, je te propose ce wisky.

La partie reprennais lentement et la demoiselle usait de tous se techniques pour renverser le jeux si nécessaire.

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Mer 19 Mar - 20:15

« Super-héros cherche emploi »

Le reve de tout homme !


Nous étions maintenant dans la chambre de Cloé … et après qu’elle ait mélangé les cartes, comme l’aurait fait un pro’ du poker. Après ça, elle donnait à chacun de nous, un paquet de taille identique. Et la partie commençait maintenant. Et alors qu’on commençait à jouer … et que mon tas commençait à baisser vachement. Cloé commençât à faire sa … hmmm … chaudière, nous allons dire, histoire de ne pas choquer les plus jeunes, avec un vocabulaire trop provocateur (WTF ? Pourquoi je suis aussi poli moi ? Il n’y a pas que Cloé, qu’est bizarre hein !) ! Et oui ! C’était surprenant ! Elle n’avait bu aucune goutte d’alcool pendant le repas. C’était peut-être le café ? Vu qu’elle n’en avait jamais bu … Ou peut-être qu’elle succombait enfin à mon charme ! HALLELUJAH ! Si jamais, c’était ça ! Je devais être l’un des hommes les plus chanceux au Monde ! Pas trop jaloux les mecs ? Bref, revenons à nos moutons … La jeune femme fit tomber la bretelle de son haut. Me dévoilant ainsi, une partie de son soutien-gorge … Certes, c’était quand même quelque chose, vu ses PUTAIN de formes. Mais bon ! Moi, je l’avais déjà vu en bikini, donc limite, je m’en foutais un peu. Après ça, la jeune femme me demandait comment ça se faisait, que mon paquet de carte, était si petit. Je lui répondais ça :

« J’réfléchis trop, c’surement à cause de ça. »


Et hop ! Une excuse à la con de sortie ! Après avoir parlé, je lui montrais, que j’avais encore du répondant dans le jeu, vu que je réussissais l’exploit de lui chiper une dame, en étant le plus rapide à taper sur le tas. Commençant surement à avoir trop chaud (On se demande à cause de qui ? Hein ? Hein ? Hein ? OUI ! Je suis fier ! Et NON ! Cela ne se voit pas du tout), la jeune femme commençait à divaguer, en me parlant d’elle … Disant que la présence d’un homme dans sa chambre, la rendait nerveuse (Ding ! Ding ! Ding ! Jackpot !) ? Avant de me dire si je voulais succomber. Si c’était à elle ? La réponse était oui ! Enfin, mon rêve devenir un super-héros, entouré de jolies et jeunes femmes, se concrétisait ! A sa phrase, je choisissais de ne dire aucun mot, mais simplement de me mordre la lèvre et me pincer les doigts. Au coup, d’après nos deux mains se touchèrent réciproquement. Voyant que les miennes étaient plus chaudes que les siennes. Elle me disait qu’elle souhait réchauffer les siennes avec … Si elle voulait mon avis ! Elle pouvait se réchauffer d’autres parties avec (*SBAM*). Je lui répondais ça :

« C’surement le stress, qui me fait cet effet-là ! »


Et hop ! Une autre excuse à la con de sortie … Comme si le stress allait me réchauffer comme ça … C’était autre chose voyons. Après ça, la jeune femme se levât un peu. Et là, j’eus la vision que tout homme voudrait, pour mourir heureux ! Une vue plongeante dans le décolleté ! Dès que je vis ça. Je ne pus m’empêcher de mordre ma lèvre, encore une fois. Néanmoins, je ne pus profiter de ce magnifique collinéen, durant longtemps. Puisque n’allant pas mal. La jeune femme tombait sur moi. Une fois dans cette position. J’espérais qu’aucun phénomène biologique ne s’opère. Et vu que j’étais l’un des meilleurs amis de Dieu. Ce dernier avait écouté mes prières et rien ne se passât … Ouf ! Content de ça, je soupirais. Pendant ce temps-là. La jeune femme se relevait, avant de me demander si je voulais, un quelconque rafraichissement. Ayant peur qu’elle tombe par terre sur le chemin, je lui proposais ça :

« Attends, n’bouge pas, t’as l’air fatigué, j’vais y aller à ta place. »


Néanmoins, la jeune femme n’écoutât aucune de mes paroles. Et se contentait d’aller là où se trouvait l’alcool. Me prenant peut-être pour un tricheur. La jeune femme remit son paquet de carte, dans le décolleté qu’elle abordait si bien. Et pendant qu’elle était partie. Je décidais d’ouvrir le hublot de la cabine, afin de rafraîchir un peu la jeune femme, quand elle reviendra. J’en profitais pour écouter le bruit de la mer. Une fois qu’elle fut de retour. Avant que l’on reprenne le jeu, la jeune femme me proposait un verre de whisky. N’étant pas trop fan de bourbon. Je décidais de boire un verre de vodka. Ainsi, je subtilisais la bouteille, contenant ce liquide, qui se trouvait à côté de la belle. Avant d’en boire quelques gouttes. Après une bonne gorgée. Je m’apercevais, que ce n’était rien de plus que de l’eau. D’une grande bonté, je disais cela à la jeune femme, tout en mettant mon paquet de carte, dans la poche de mon jean :

« Mince, ce n’est que d’l’eau, n’bouge pas, j’vais aller voir s’il n’y en a pas d’autres à la cuisine. »


Et c’est ainsi qu’à mon tour. Je partais en direction du placard à alcool. Sur le chemin, je vis un groupe d’homme, rigoler … Il devait surement croire que j’avais perdu contre Cloé ! Mais non, ce n’était pas le cas ! Et vu la forme de la jeune femme ! Je n’étais pas loin de gagner ! Une fois arrivé en cuisine. Je cherchais une bouteille de vodka, jusqu’à en trouver une, sur le chemin, j’enlevais le bouchon de la bouteille. Vu que j’avais une petite soif. Et alors que je rerentrais dans la cabine de la jolie demoiselle. Je me prenais les pieds dans le tapis, avant de tomber en avant. Livrant ainsi une pluie d’alcool sur la jeune femme et ses cartes. Navré, je m’excusais en disant ça :

« Oh nan, j’suis vraiment désolé. Désolé, mais c’ce foutu tapis ! Maintenant à cause de moi. Ta chambre est toute dégueulasse. Si t’veux pour m’faire pardonner. On fait comme si t’avais gagné ok’ ? »


Et oui ! Le côté galant prenait sur le côté macho/fan de victoire. Car après tout ! Pour voir, si vous plaisez à une femme ! Il faut voir, ce qu’elle veut bien vous demander et non s’imposer à elle.
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Jeu 20 Mar - 19:18


Une victoire offerte

Cloé patientait dans sa cabine, son adversaire avait compris le stratagème de la jeune femme. Il avait bu dans la bouteille d'eau. Face à cette découverte, la demoiselle ne savait pas quoi répondre. Elle esquissa juste un sourire à l'homme. Elle se retrouvait seule, l'homme était sorti récupérer une vraie boisson. Elle attendait et se ronger les ongles.

-Mince, je suis découverte... Il a sans doute compris ce que je mijotai... Bon bé... Je dois la jouer réglo.

Son ami revenait dans les appartement de la jeune femme avec la véritable boisson alcoolisée. La porte se refermait derrièsre l'homme. La demoiselle était sur le point de révéler son petit jeu. Soudain, le contenu liquide quitta son contenant sur les vêtements de la jeune femme. Elle avait son t-shirt mouillé et à travers on voyait son soutien-gorge rose. Le liquide s'était répandu sur le tapis également. Cloé voyait sa cabine s'imprégnait de l'odeur alcoolisée. Elle comprenait la maladresse du jeune homme, mais les sentiments qu'elle éprouvait sur le moment prenaient le dessus. La chevelure rose de la belle gouttait, les muscles étaient tendus et les poings fermés. Tout indiquer que la douce allait se transformer en monstre des mers bientôt.

-Heureusement que tu me donnes la victoire.... DEHORS !

Elle poussait le corps de son ami vers l'extérieur, elle ouvra violemment la porte encore une fois et jeta Fukashi dehors. Elle claqua la porte au nez de l'homme. Les yeux de la demoiselle étaient remplis de larmes. Son univers était saccager pour le liquide. Elle retournait la chambre pour enlever les objets trempés et imbibés de vodka. Elle avait retiré ses vêtements également, ne laissant que sur elle un boxer et un soutien-gorge assorti.
Par contre à l'extérieur, les matelots étaient en train de regarder le voyageur avec moquerie.

-Alors, elle ta rejeté ? Tu as utilisé l'une de ses culottes ? Elle va te faire la tronche jusuqu'à demain matin.

Le marin qui avait interpellé l'homme, s'avança vers lui. Il passa son bras autour du cou de l'homme et lui passa vivement sa main dans les cheveux.

- Ne t'en fais pas, si elle prend une douche et qu'elle dort ensuite. Tu pourras faire tes excuses. Sinon tu peux dire adieu à son câlin une fois à terre !

Un autre matelot rigolait avec son compagnon.

-Elle est encore trop jeune pour comprendre les envies masculines cette petite !
- C'est bien vrai ! Elle est si naïve par moment. Mais on l'aime pour ça.

Chacun des hommes présents sur le pont ce soir-là, rougissait et se frottait le haut du crâne. Ils saluèrent le voyageur avant de rejoindre les dortoirs du navire. La nuit avait bien avancé et le Cornellia était bien arrrivé au prochain port. Le voyage fût court mais chaleureux.
À peine les rayons du soleil sortirent que l'activité reprit. La jeune femme avait passé une nuit courte et agréable. Malgré l'incident de la part de Fukashi, elle ne lui tint pas pour responsable. Elle s'étira à l'vant du navire.  Le tapis et les autres objets trempés étaient en train de sécher. Les mouettes volaient au-dessus du navire et réveiller l'équipage. Rey sortit de sa cabine et parla d'une voix puissante et grave.

-Allez, bande de moux du bulble! On s'active ! Six aux voiles, deux aux cordages et un à laver le pont ! Allez, Allez, Allez !

Le capitaine aperçut sa protégée à l'avant du Cornellia et quitta son poste en verrouillant la barre.

-On rêvasse demoiselle ?
-Je profites avant d'aller faire le déjeuner. Les premiers rayons du matin sont si fortifiants.
-Pourquoi tu as mis tes affaires dehors ?
-C'est une longue histoire.

Sans chercher à en savoir plus, le vieil homme laissa sa fleur tranquille. Il lui donna un baiser sur le front avant de rejoindre le gouvernail.
Le soleil commençait à approcher le zénith. C'était le moment de préparer le repas. La belle alla vers les cuisines. L'activité avait ralenti à l'extérieur pour se diriger vers les cuisines avec à sa tête la belle Cloé. La cuisinière prépara un repas à base de riz, d'oeufs, de lard, et tomates. Pour le gourmet un peu spécial, elle lui prépara une galette de maïs avec des poivrons et piments accompagnés de poulet. Au bout de deux heures, le repas était enfin préparé. Cloé sortit sa tête en dehors des cuisines et siffla la flotte. Comme de bons petits chiens dressés, les marins quittaient leurs postes avant de rejoindre la belle en cuisine.
Une fois tout ce petit monde servit et à la fin du repas, le capitaine prit la parole.

-Merci pour ce repas ! Comme vous le saviez, notre matelot d'un jour quittera le navire une fois le Cornellia amarré et déchargé. Alors remercions son aide et sa compagnie une dernière fois.

Subitement, l'équipage sauta sur l'homme concerné. Ils l'immobilisèrent et le recouvrèrent d'une pâte blanche un peu liquide et le rincèrent avec de l'eau salée. Le capitaine s'avança devant l'homme avec un visage sérieux.

-Tu peux repartir à zéro sur cette terre.

C'était une tradition sur les navires marchands, quand un membre quittait le navire. Il devait être lavé de toutes choses antérieures. L'espèce de pâte semi-liquide était un mléange de fécule de maïs et blé avec du rhum et cela sentait fort. L'eau salée était le seule remède.
Le navire amarra et la cargaison se déchargea lentement. La belle utilisait ses capacités pour faire glisser les caisses les plus lourdes sur le quai. La fine équipe s'activité et l'après-midi était déjà s'installer. Les adieux étaient proches. En continuant la tradition, une fois l'ancien membre sur la terre ferme, l'équipage devait le quitter sans émettre un regard ou signe de chagrin. Le Cornellia quitta ce port en tournant son regard vers le jeune homme. Un linge blanc s'envola en direction du port et tomba sur le quai aux pieds de Fukashii. C'était l'écharpe du capitaine.

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