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Dim 1 Fév - 16:27
Bonjour, je regardais mon ordinateur et je regardais mes anciennes présentations... Je me dis que cela ne sert à rien de les faire croupir dans un coin obscur de mon ordinateur. J'ai donc décidé de vous les partager pour ceux qui souhaitent connaître quelques uns des personnages que j'ai pu incarner ou non au cours des derniers temps. Vous pourrez donner vos avis évidemment et ce sera avec un grand plaisir.
Dans un soucis de flemme et de donner la vérité, je n'ai pas touché les présentations en terme de codage ou autres. Il en va de même pour mes fautes de français !
Les notes du borgne :
Volke : personnage qui était prévu pour un forum SNK. J'ai eu des soucis d'administration avec le staff qui aura mit un temps bien trop long pour une simple demande. Ainsi, l'inspiration s'en est allée et j'ai décidé d'arrêter cette présentation.
Ross Athem : Il est loin notre Kain... Ross était un drogué fou furieux. Un personnage que j'aimais beaucoup, mais qui était trop difficile à jouer pour moi. C'est un personnage appartenant à un contexte de Fairy Tail complètement revisité. J'utilisais l'avatar de Shinya Kogami de Psycho Pass !
Sting Valentine : Personnage appartenant à l'univers de Bleach. L'avatar que j'utilisais était celui de Dante (DMC).
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Valentine D. Kain
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Dim 1 Fév - 16:29
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Dim 1 Fév - 16:31
Volke Van Hellsing a écrit:
Volke Van Hellsing
29 ans
Garnison
Médecin militaire
QUESTIONNAIRE
► En vue de ce qu'il s'est passé les cinq dernières années, êtes-vous plutôt optimiste ou pessimiste ? Pensez-vous que l'humanité l'emportera ?
Les jours passent, cinq années déjà et pourtant Volke s'en rappelle comme si c'était hier. Il y a cinq ans, l'humanité avait faillie être écrasée. Une défaite cuisante parmi tant d'autres. L'avis de Volke sur la question ? On ne peut pas vraiment dire qu'il soit optimiste ou pessimiste. Son avis est mitigé sur la question. Volke apprécie l'être humain pour sa faculté à penser et à trouver le courage nécessaire afin de mener une quête qui semble être perdue d'avance à bien. L'humain est capable de prouesses martiales et peut vaincre à l'aide de sa technologie de pointe les fameux Titans qui font plusieurs fois leur taille. N'est-ce pas incroyable ? Notre héros aime la métaphore de la fourmi capable de terrasser à elle seule un être humain. Il y a cependant un "mais" dans son avis sur une victoire possible des humains. Même si certains humains sont en mesures de faire l'impossible, il ne s'agit malheureusement que d'une poignée d'entre eux. La majorité des êtres humains sont peureux et se renferment dans le sentiment fautif qu'est la foi. Croire que les Titans ne s'attaqueraient pas à l'humanité, qui, plutôt que de se battre, préfèrent s'enfermer au sein des murs en repoussant l'inéluctable. Cette aisance à sombrer dans le désespoir à le don de le fatiguer. Finalement, il doit bien avouer que les humains ont une chance de l'emporter, si ce n'était pas le cas, il ne vivrait d'ailleurs pas parmi eux actuellement. Pour la survie et le bien être de l'humanité, Titans et Humains ne semblent vraisemblablement pas pouvoir coexister. La survie d'un des camps entraînerait l'éradication de l'autre. Les humains ont besoins de véritables leaders qui seront en mesure de faire pencher la balance....
Ce qui semble jouer avec le destin, un espoir semble finalement être né. L'arrivée du jeune promu des bataillons d'explorations, le jeune et très prometteur Eren. Il est le premier humain capable de se changer en Titan que l'humanité rencontre publiquement. Pourquoi publiquement ? Car notre héros est bel et bien un de ces rares humains capable d'obtenir un tel pouvoir et pourtant, encore à ce jour, personne ne doute de rien... Il existe très probablement d'autres humains camouflés parmi la masse grouillante qu'est l'humanité possédant aussi cette capacité unique. L'Humanité se voit donc confronté à une nouvelle option, doit-elle faire confiance à cet Eren, jeune garçon qui pourrait être le symbole d'un jour meilleur pour les hommes ? Ou doit-il être vu comme un traître et être assassiné avec brutalité... Il est encore trop tôt pour en tirer des conclusions quant à leur décision mais la réponse à cette question selon Volke est acquise. Les leaders tant attendus viennent d'entrer en scène et il semblerait que les bataillons d'explorations possèdent les heureux élus qui seraient à priori capable d'amener l'humanité vers des jours meilleurs. La venue d'Eren est, d'après les journaux et l'opinion publique, vu comme un malheur. La situation ne semble pas jouer en sa faveur et la barbarie humaine ne connaissant d'égale que celle des Titans eux-mêmes, ne laisse qu'une faible marge de manœuvre à cette jeune recrue prometteuse. L'évolution de ce jeune homme dans un tel univers est un point clef de l'histoire et Volke se tient là, dans l'ombre, à regarder le destin d'Eren le Titan s'accomplir.
► Quelle est votre principale qualité et quel votre principal défaut d'après vous ?
Nous allons commencer par aborder la principale qualité de Volke. La plus grande qualité de Volke est sans aucun doute sa capacité à garder son sang froid et ce, même dans des situations critiques. Bien qu'étant un privilégié au sein de la garnison, il n'est pas rare qu'il soit confronté à des cas extrêmement graves. Notre héros lui-même ne sait pas vraiment comment cet attrait de personnalité s'est ancré en lui. Ce qui est certain, c'est qu'il en est devenu le modèle de certain ou la risée de nombres d'autres avec cette qualité. Le fait qu'il puisse devenir un modèle est que son sang froid exemplaire lui permet très souvent de trouver une solution rationnelle voir réaliste à un problème donné. Pour citer un exemple, si une personne s'est vue se faire arracher les deux jambes et que cette dernière est destinée à mourir ou à devenir complètement inutile à l'armée, Volke sera le premier à l'assassiner discrètement durant l'opération. Par la suite il ira dire à la famille de la victime dans des mots bien cousus "j'ai fait tout ce que j'ai pu pour l'aider, mais il était déjà trop tard" (qui a dit que tuer de sang froid par abstraction du futur ne faisait pas vraiment parti du sang froid comme on le pense ? Toi ? Lecteur 5 c'est ça ? Viens par là que je te tire l'oreille...). De l'autre côté, les personnes qui se moquent principalement de Volke supposent que notre héros est juste un fou sociopathe qui ne comprend pas l'étendu du danger que peu représenter un Titan. Bien évidemment, ces personnes sont souvent dotés d'une intelligence limitée par le bien mystérieux encéphale humain qui se voudra ici capricieux.
Le principal défaut de Volke ? Je dirai que son principal défaut vu par la société n'est autre que son indépendance plus qu'apparente. Pour une personne qui se voue à soigner et aider les soldats du mieux qu'il peut cela peut paraître vraiment étonnant. Cependant, lors d'une mission qui tourne au vinaigre, il est le premier à s'échapper par la petite porte, usant de sa ruse pour s'en sortir indemne. On pourrait rattacher cela à de l'égoïsme et il y a un peu de cela aussi. Le narrateur préfère malgré tout garder le terme d'indépendance car il préfère éviter le contact avec la société le plus que possible. Plus le monde extérieur en connait moins sur sa personne et plus il peut vaquer à ses affaires sereinement. Volke ne voit que par lui et ne peut s'intéresser à une personne particulière que parce que cette dernière peut l'aider à atteindre un objectif qu'il s'est fixé. Le terme d'ami ne semble désigner finalement qu'un échange de bons procédés. Il évite ce type de relations plus que tout car il a déjà réussi à s'en sortir pendant tant d'années seul, alors pourquoi cela devrait-il changé maintenant ? Ne pas dépendre des autres ou de la politique conservatrice du roi ne semble pas être un signe de faiblesse, bien loin de là. Rappelons que ce "défaut" qui peut vous sembler désormais n'en être pas un, est le défaut vu par les autres et non pas par lui-même. Pour Volke, il ne s'agit purement et simplement que de bon sens pratique et "utile à la survie".
► Une des personnes qui vous est la plus chère vient de se faire attraper par un titan et est immobilisée dans sa main. Comment réagissez-vous ?
Volke s'assoit sur la chaise qui était posée là, devant cet homme qui lui posait une question bien étrange. Il le regarde et sourit légèrement avant de lui répondre de la manière la plus compréhensible possible.
Volke : Il est effectivement possible qu'une telle chose puisse m'arriver. Cela dépendra uniquement de la situation dans laquelle on se trouve, si jamais cette dîtes personne m'ordonne de m'enfuir et tente de me faire gagner du temps, et si malgré tout il arrive à se faire attraper par un titan... Alors je m'exécute, je m'en vais le plus rapidement possible. *il attend quelques instants avant de reprendre* Si jamais il ne m'a pas donné de telles informations avant de se faire attraper et que je sais que je ne pourrai pas le sauver que ce soit selon l'endroit où on se trouve actuellement comprenant le nombre de Titans présents, alors je m'en irai de ce pas aussi. Tourner les talons m'a permis de rester en vie jusque ce jour et ce, encore aujourd'hui. *Voyant la réaction de l'homme Volke se mit à ricaner légèrement avant de continuer sa réponse* Il peut cependant arriver que je doive sauver cette hypothétique chère personne à mes yeux. Il existe effectivement une raison pour laquelle cette personne peut valoir la peine d'être sauvée et ce même si je dois y risque ma vie l'espace de ces quelques secondes. La réponse est très simple, il faut que la vie de cette précieuse personne me soit tellement utile dans un futur plus ou moins proche, et que cette dernière soit en mesure de m'apporter bien au-delà pour lui sauver la vie si j'y parviens. Ainsi, il s'agira là d'un digne échange de bons procédés qui sera utile à notre survie à tous les deux. Je pense que cette réponse à dû vous satisfaire quant à mon avis sur une telle situation. Cependant si je puis ajouter deux petites choses avant de passer à la suite, la première est que votre question me semble idiote, et la seconde, vous ne feriez très probablement pas de ce cas de personne "précieuse" que je pourrai venir sauver, que ce soit dans la main d'un titan ou sous l'emprise d'une grippe qui vous sera fatale.
► Avez-vous déjà vu un titan de vos propres yeux ? Si oui, qu'avez-vous ressenti à ce moment-là ? Si non, malgré le fait que vous n'en ayez pas vu, les titans vous font-ils peur ?
Volke est une personne très peu loquace, il n'a donc jamais à ce jour vraiment donné son avis sur la question. De par sa nature, il a effectivement vu des titans de ses propres yeux. La première fois, il fut très impressionné par la taille et par la force colossale dont ils sont capables. Leurs doigts gigantesques dont chacun est capable d'écraser le crâne d'un être vivant d'une simple pression, des pieds capable de faire trembler la terre à chacun de leurs pas, les hurlements titanesques de certains. Les mâchoires d'un titan sont d'une telle puissance... Leurs dents semblent être tranchantes comme des lames de rasoirs, et bien que l'on puisse penser qu'ils soient lents, ce n'est pas le cas de tous. Nombre d'entre eux possèdent des réflexes insoupçonnés, nous avons l'impression d'être en face de créature ne désirant que de se nourrir des êtres humains. Des monstres, bien qu'à l'apparence vaguement humanoïde qui ne possèdent que comme seul caractère en commun avec cette espèce un appétit vorace. La volonté d'avoir le plus d'espace possible comme le font les électrons autour d'un atome. Ils ne possèdent qu'une cohésion apparente, là où les humains se regroupent pour réunir leurs forces, les Titans semblent ne pas avoir besoin d'une telle logique. C'est ce qu'à vu et pensé Volke la première fois qu'il les a vu. Le sentiment qui lui est resté restera indélébile. La peur est un sentiment pour ceux qui ne savent pas à quoi s'attendre. Ce n'est pas le cas de notre héros, il a bien conscience du pouvoir dévastateur des Titans, c'est une raison qui semble plus que suffisante pour pouvoir rester le plus en retrait possible lorsque ces derniers font une apparition.
► Quel est votre plus grand rêve ?
Le plus grand rêve de Volke, l'inavouable. Il a bien évidemment un rêve mais ce dernier est bel et bien un rêve car irréalisable... Il rêve d'un monde où les murs n'existeraient pas, où l'ignorance aurait disparue de ce bas monde qui est en train de le mener sa perte dans une lutte fratricide entre deux camps qui pourraient être alliés. La faiblesse des Titans est le manque de conscience et ne voient en les êtres humains qu'un troupeau de bétail. Pourquoi font-il cela ? Ils ne les mangent même pas pour survivre car ils vomissent leurs cadavres lorsqu'ils sont plein. Ils n'ont pas besoin de manger d'autres animaux ou végétaux pour pouvoir survivre. De l'autre côté se trouve la race humaine, qui ne voit en les Titans que des monstres. Combien de personnes parmi ces dernières s'intéressent-elles vraiment aux titans ? Pour leurs mœurs, ce qu'ils sont vraiment, ce dont ils ont besoins et pourquoi ? Aucun être humain n'a encore répondu à ces questions sauf les Titans Shifters cachés qui ont conscience de leur situation. Trop de questions restent en suspens. Ces questions sans réponses sont le blocage au rêve de Volke qui cherche un monde pacifique où les deux camps pourraient tenter de vivre en paix... La notion de règle ne s'applique pas, uniquement celle de la survie. Notre héros le sait, il n'est pas assez fort pour faire repenser l'être humain. Nous pouvons être d'ailleurs sceptiques quant à l'évolution du cas Eren Jäger... L'opinion publique ne semble pas propice, la politique engagée par le Roi non plus... La répétition mes chers lecteurs, l'ignorance est l'arme du désespoir.
► Que représente une vie humaine pour vous ?
Tout dépend de la vie humaine en question. Toute vie humaine à plus ou moins d'importances selon le rôle qu'elle a encore à jouer ou qu'elle a déjà jouée dans le jeu de la survie de l'humanité. Toute vie humaine peut avoir une importance, il en va de même pour une vie de Titan. Tout dépend de ce qu'elle a à faire. Le sacrifice est une notion qu'il faut acquérir pour pouvoir comprendre la logique de Volke. La vie humaine tombe comme du bétail par centaine dès qu'ils doivent faire face à un titan. Se rapprocher de l'une d'entre elles c'est prendre le risque de la perdre peu de temps après. L'avis de Volke rejoint en de nombreux point l'opinion publique quant à l'avis sur cette question. La vie d'un être humain est un bon compromis si la notre dans le cas présent est épargné. Tant que ce sont les autres qui en pâtissent et pas nous, alors tout ira pour le mieux. C'est là une pensée de lâche mais soit, la lâcheté peut être synonyme de longévité. Cette fameuse lâcheté a permis à Volke de vivre pendant 29 ans et il a, a priori, encore l'intention de vivre quelques années, pourquoi abandonner une telle opinion ? Là où l'opinion de notre héros peut se séparer de l'opinion commun est qu'il faut être en mesure de sacrifier les bonnes personnes au bon moment. Ne pas dilapider sans compter et sans faire attention aux personnes envoyées à l'abattoir et ce, même si ces dernières sont volontaires. Le devoir de chacun doit être accompli, la vie humaine n'est qu'une facette de tout cet ensemble complexe.
- Que pensez-vous du Culte du Mur ?
C'est avec la fissure du mur qu'une telle information a pu s'ébruiter jusqu'aux oreilles de Volke. Il n'était pas personnellement présent lorsque le mur Maria fut endommagé par le combat titanesque. Les murs ont des oreilles et chuchotent très facilement. Il eut vent de rumeurs et ces rumeurs ont portées leurs fruits dans l'encéphale de notre ami. Aussi étonnant que cela puisse paraître cela ne l'a guère étonné. La réponse à la question prend son sens, comment un Titan peut-il se trouver dans le mur et comment le mur a-t-il été bâti ? Si il avait été bâti par les dieux comme le stipule publiquement le Culte du Mur, alors les dieux sont bien des feignants. Les dieux auraient donc vu la lutte entre les humains et les titans et auraient décidés de faire apparaître des murs comme par magie pour protéger la race humaine ? Il aurait tout aussi bien pu faire la même chose pour les titans et les enfermer dans des murs, voir même, ne pas autoriser l'existence d'un tel fléau pour les humains. Doit-on en conclure ainsi que le véritable danger gardé en cage ne sont pas les titans mais les humains eux-mêmes ? Cela semble peut probable au vu de la difficulté des humains à lutter face aux Titans. La seule possibilité est donc que les humains ont bâtis ces murs haut de cinquante mètres. Cependant, là encore vient se poser un problème, comment ont-ils fait ? Les murs sont parfaitement plat, épais et solide. Lors de sa construction, les Titans auraient posaient de nombreux problèmes et l'attaque du mur Maria l'a prouvé. Les maisons et les bâtiments ont été anéantis par les Titans, même le plus faible des titans est en mesure d'exploser une habitation de pierre en se jetant dessus. La pierre qui compose ces murs est donc bien plus résistante que la pierre qui fut utilisée pour bâtir ces villes et villages. Comment en cent années aucun Titan n'a, ne serait-ce, qu'abimé le mur Maria ? Alors que nous venons de prouver à l'instant qu'ils étaient capable de briser la pierre aisément. La réponse tombe sous le temps, la pierre utilisée est plus solide, elle n'est pas la même qui a été utilisée pour bâtir les villes, les ponts, les barrages. Ainsi, seul les Titans eux-mêmes ont pu construire un tel mur que ce soit par leurs mains ou par leurs corps. Ce qui semble être effectivement le cas d'après les rumeurs qui arrivent aux oreilles de Volke. Bien que rien ne soit encore sûr, il est possible que les Titans aient coopéré à un moment où un autre que ce soit sous la contrainte ou de leur plein gré pour bâtir ces murs. Cela répondrait alors à toutes les problématiques quant à l'existence même de ce mur... Finalement, il semblerait donc que le culte du Mur connaissent la vérité et ne vendent qu'un beau tissus de mensonge à la populace. Des mensonges à l'intérieur même de l'humanité, alors que cette dernière est déjà en difficulté, ont-ils encore besoin de faire des complots internes ? Le secret gardé par le culte du Mur doit être d'une honte gargantuesque pour qu'il soit gardé encore jalousement.
- Quel est le trait de caractère qui vous définit le plus ?
Le trait de caractère qui définit le plus Volke est probablement "Malicieux". Pourquoi Malicieux ? Volke n'est pas forcément la plus grande lumière qu'il soit sur cette terre. Il n'est pas le génie parmi les génie. Cependant, il est en mesure de suivre son intuition qui se trouve souvent être la bonne. Il est en mesure de prendre les bonnes décisions au bon moment en gardant sa tête froide. Manigancer, faire preuve de ruse et de coups fourrés est l'une de ses spécialités. Ce trait de caractère lui est venu naturellement. Il n'est pas le plus intelligent, bien que loin d'être idiot ou téméraire, et il n'est pas non plus le plus fort physiquement (même sous sa forme de Titan il reste très faible physiquement). Notre héros a dû donc apprendre à survivre dans cet univers de tromperie, la ruse est son fer de lance, la discrétion. Volke est un fripon, il ne faut cependant pas mal le prendre selon la situation à laquelle on est sujette en sa présence. Il est un personnage imprévisible, agacez le et il pourra très bien vous faire tomber dans l'eau d'une fontaine d'un simple coup d'épaule ou alors oublier de soigner de soigner votre bras saignant fraîchement mangé par un Titan. Soyez donc prudent avec lui, Volke n'est pas rancunier... Il a juste une très bonne mémoire (^w^).
- Quel est votre passe-temps préféré ?
Le passe-temps préféré de Volke ? Il s'agit probablement de la lecture et de l'observation en général. Il n'apprécie pas n'importe quelle lecture, bien qu'elle se fasse rare, il n'est pas forcément fan de tous ces livres pour enfants prépubères rattachés à des dessins ou des êtres humains auraient des capacités surnaturelles idiotes et terrasseraient des méchants qui seraient théoriquement bien plus fort qu'eux. Non, le genre de lecture que Volke aime est entre autre, la lecture de livre d'histoires, cela lui permet de voir l'histoire vue par des yeux humains ce qui est fascinant. Selon la personne, le lieu de vie et l'époque, les humains ne voient pas les faits de la même manière. Avoir plusieurs avis sur un évènement est très excitant selon lui et particulièrement fascinant. L'humain est plein de ressources et c'est ce qui lui a permis de survivre depuis l'arrivée des Titans entre autres. L'observation est donc un avis qui rejoint naturellement sa passion de la lecture, plus que tout, les livres d'histoires sont des faits passés alors que l'observation demande à voir un fait actuel. Il peut donc voir par ses propres yeux mais aussi l'avis direct des personnes qui l'entourent. Il apprécie rester dans l'ombre et se nourrir d'informations passionnantes. C'est un passe-temps pacifique et relativement passif, c'est vraiment génial, non ?
- Si un jour l'humanité parvient à exterminer tous les titans, quelle est la première chose que vous ferez ?
Volke n'a pas envie que l'humanité parvienne à exterminer tous les Titans. La raison est vraiment très simple... Il est lui-même un Titan shifter, d'après vous, si TOUS les titans sont exterminés, que serait-il lui ? Un titan parmi la masse exterminé, il serait mort et les morts ne font pas grand choses. Comme nous l'avons dit précédemment dans la fiche, Volke est une personne dont le rêve absolu est un monde où Titans et Humains auraient trouvés un terrain d'entente et seraient en mesure de vivre sans murs et sans frontières. Une cohabitation parfaite, une véritable utopie. Ainsi, notre héros ne s'est jamais vraiment penché sur la question, l'humain est belliqueux, il a le potentiel d'exterminer tous les titans. Si la question est posée par contre et que Volke arrive à s'en sortir malgré l'extermination des titans, alors il aimerait vivre parmi les humains et aller dans un endroit calme où le danger n'existe pas... Où les titans ne tenteraient pas de le manger et où les humains ne seraient pas là pour lui poser des questions. Quelque chose comme piquer un somme au milieu d'un champ est une action qu'il apprécierait beaucoup... De plus, il est fort probable que Volke se mette finalement en tête de trouver une femme pour vivre paisiblement la fin de ses jours. Quelque chose donc de très banal où ils finiraient par avoir plein d'enfants et pleins d'autres choses.
- Comment vous représentez-vous dans cinq ans ?
Notre héros aimerait se voir représenté dans cinq ans. On ne sait pas de quoi est fait le lendemain et surtout, durant ces temps de crises que traverse l'humanité. Ceci entre l'apparition d'Eren, le titan féminin, le titan dans le mur. Toutes ces choses apparaissent à un rythme légèrement trop soutenu ce qui rend toutes prévisions extrêmement délicates. Volke désire, dans cinq ans, être encore en vie. Concrètement, il pense qu'il aura un rôle à jouer mais que son heure n'est pas encore venue. Il est encore trop tôt, il pense qu'il devra se trouver une place auprès d'Eren à un moment ou un autre, en tant qu'ennemi ou en tant qu'ami il ne le sait pas encore. Le jeune Titan Shifter est encore trop immature au goût de Volke, trop téméraire, bien que la témérité soit une faculté propre aux titans, il lui faut de l'expérience. Leurs destins sont liés, si Eren voyait la mort avant les cinq prochaines années à venir, alors notre héros se verra dans l'obligation de s'en aller. Trouver un autre logis sera nécessaire car il saura que l'humanité sera condamnée.
- Quelle est votre plus grande angoisse ?
La plus grande angoisse de Volke est banale, il n'est réellement angoissé que de sa propre mort. Raison pour laquelle il est venue à rejoindre la garnison, entre autres. Il fuit la mort depuis sa plus tendre enfance, il la fuit comme la peste, se réfugiant dans la masse, il fait toujours en sorte d'être le premier à s'échapper et dans les conditions les plus sûres possibles. Il réfute le danger et se donne bonne conscience en soignant ou en s'occupant de trier ceux qui n'ont pas eu le temps de s'échapper plus tôt comme lui l'a fait. La mort fait partie intégrante du quotidien d'un soldat mais Volke à sa petite expression qu'il aime répéter, riant de la mort, lui échappant sans cesse bien qu'il sache que cette dernière finira par le rattraper tôt ou tard : "not today ~".
- Une petite chose dont vous avez honte ?
Une toute petite chose dont Volke a effectivement honte, c'est de son petit compagnon qui le suit tous les jours. Un petit animal de compagnie qui se camoufle dans les vêtements, les cheveux de notre protagoniste. ce dernier le suit partout qu'importe où il aille quitte à ce que ce dernier fasse ses besoins sur les vêtements de notre héros. Il s'agit d'un petit hamster qu'il nomma Nescafé. Cette petite bouboule de poil fut adoptée par Volke alors que le mur Maria fut attaqué. Un petit animal survivant au plus grand désarroi de tous à ce massacre. Au moment des faits, Volke le mit dans sa poche et s'en alla rejoindre la population fuyante avec lui. Depuis, il le nourri et aussi étonnant que cela puisse paraître, le bougre adore le café pour une raison que personne ne connaît. Il a aussi la mauvaise manie d'avoir un penchant pour les fortes poitrines féminines, se glissant à l'intérieur. Bizarrement, la gente féminine est rarement contre malgré le désarroi totale de Volke dans ce genre de situations. Notre héros suppose que le hamster adore ce genre d'endroit car c'est très.... "doux" ? Quoi qu'il en soit, il essaie de le cacher le plus que possible et n'arrive pas à ce débarrasser de l'animal, l'ayant adopté, il ne peut plus l'abandonné de nouveau. Il s'agit là d'un trait de caractère profond qui sera développé dans le background de notre personnage.
- Quelque chose à rajouter à propos de vous ?
Volke possède deux signes distinctifs au niveau de son physique qui méritent un approfondissement ici. Il s'agit en premier lieu de sa cicatrice au niveau de son œil gauche. Malgré sa position de Titan Shifter, il est l'un des titans possédant les capacités de régénération les plus faibles qui soient. La cicatrice qui lui fut causée eût été tellement violente au moment de sa cause que son œil fut crevé et son orifice oculaire profondément meurtri. Bien qu'il ait retrouvé son organe visuel, pour une raison inexplicable, il conserva cette cicatrice. Cela lui donne la chance entre autre de mieux se camoufler parmi les humains. Ce que l'on sait des Titans shifters et leur faculté formidable à se régénérer, un autre titan shifter n'aurait donc pas une telle cicatrice au niveau de son visage...
Le second signe distinctif que l'on peut citer ici vient de ses cheveux décolorés malgré son jeune âge. Scientifiquement parlant, cela est dû au fait que ses cellules capillaires crâniennes ne sécrétaient que peu de mélanines dans son jeune âge (la mélanine est la protéine responsable de la teinte des cheveux). Il était donc très blond, puis peu de temps après, la mélanine cessa d'être sécrétée ce qui entraîna sa couleur de cheveux. Cependant, il y a aussi une explication rationnelle dans ce processus qui explique pourquoi à un si jeune âge il en vain à avoir déjà les cheveux blancs. Cela vient de sa capacité à devenir le Titan Poison. Le Titan poison est une monstruosité mais aussi un gage d'une certaine faiblesse par son porteur qui convertit entre autres ses capacités immunitaires et sécrétrices de protéines naturelles par d'autres. Son poison en tant qu'être humain est donc sa faible capacité à se régénérer et sa chevelure blanche. Attention cependant, même si aux yeux des Titans Shifters, il se régénère lentement, aux yeux des êtres humains normaux, il récupèrera toujours beaucoup plus vite.
MILITAIRES
- Pourquoi avoir choisi la section dans laquelle vous êtes ? Ou pour les recrues, qu'envisagez-vous pour la suite ?
La section que Volke a choisit est la Garnison, gardienne des villes et des murs protégeant l'humanité. Les raisons qui expliquent un tel choix sont on ne peut plus simple. Il n'a pas décidé de s’enrôler dans la Garnison par désir de défense de patrie mais par dépit. Dans le premier cas, nous allons expliquer pourquoi il n'a pas choisi les brigades spéciales. La brigade spéciale se doit de servir le Roi et enquête sur les crimes ayant lieu au sein du peuple. Cette section pullule très probablement de complots en tout genre et de travaux qui se doivent d'être salissant. Les humains, selon la situation, se peuvent d'être beaucoup plus dangereux que les Titans. Le vice n'est pas une qualité que possède uniquement Volke, elle est partagée par nombres d'autres humains et notre héros ne veut pas en faire les frais. La politique le dépasse et est souvent signe de mauvais présage. Plus loin il se tiendra du Roi et de ses proches et mieux il se portera. C'est un choix qui semble tout à fait raisonnable malgré la promesse d'une vie paisible au sein des murs.
Vient ensuite le refus de la section d'exploration... Lecteur, vous voulez vraiment une explication ? Soit, si Volke se trouve parmi les humains c'est avant tout pour fuir les Titans. La section d'exploration va chercher les titans chez eux, et souvent, c'est signe de mort prématurée dans d'atroces souffrances. Volke préfère éviter cela. Fuir ainsi toute sa vie et se jeter au suicide à la moindre occasion n'est pas vraiment signe de sagesse. Incarner l'espoir de l'humanité pour aller mourir dans une boucherie élégante à l'extérieur des murs ? Ce sera sans façons pour lui. Le compromis est donc vite vu, de par son statut, sa meilleure place n'est autre que la Garnison. Après tout, des meurtres au sein de la brigade sont nombreux chaque années avec des "accidents malheureux", des pertes s'élevant au delà de 30% par expéditions pour la section d'exploration contre deux accidents majeurs pour la Garnison en l'espace de cinq ans... Volke a plus de chances de s'en sortir, surtout que de par son statut de spécialité en médecine il augmente ses chances de survies au sein de cette section.
- Quelle est votre discipline de prédilection ?
Sa discipline de prédilection semble être de manière assez évidente l'assistance aux personnes. De par sa qualité en tant que médecin militaire, il est en mesure de permettre un diagnostic efficace sur le terrain même. Cependant, Volke n'appartient pas au domaine du paramilitaire, mais est bel et bien un militaire enrôlé. Sur le domaine militaire pur du combat, sa spécialité est la tridimensionnalité. Il tire très bon parti de son agilité et peut se déplacer à très grande vitesse avec une bonne aisance tout en prenant l'information de son entourage. Habituellement si il a appris à se déplacer si vite, cela lui permet entre autre d'avoir la possibilité de rester cacher jusque l'annonce de la retraite générale. De ce fait, dans 90% des cas, son escouade entière se fera laminer et il ne pourra être déclaré comme fugitif ou traître... Son escouade se sera vaillamment battue et lui sera l'heureux survivant. Sa mobilité et son instinct de survie hors normes lui ont déjà permis de s'échapper de situations délicates. Il peut être malin de le suivre si notre but est de fuir les titans pendant une opération. Comme nous l'aurons dit précédemment, prenez tout de même garde. Volke est un solitaire, il n'hésitera pas à vous sacrifier si vous tenter de le suivre ou à faire en sorte d'être véritablement seul s'il juge la situation nécessaire. Loin d'être une personne de confiance, il agit pour lui et à obtenu les aptitudes nécessaires à pouvoir survivre en solitaire et à ne pas compter sur autrui. La dépendance dans ce monde infernal n'est jamais vraiment de bonne augure.
TITAN SHIFTERS
Depuis quand savez-vous vous transformer en titan, et savez-vous maîtriser cela ?
Les informations qui vont suivre dans cette parties ne sont connues de personnes. Il est donc important de noter avant tout que Volke n'en parle jamais et ne dévoilera ses pouvoirs que si jamais il y est contraint ou dans le plus grand des secrets. Dans tous les cas, Volke fait parti des quelques personnes ayant pleinement consciences de ses capacités de métamorphoses. Il le sait depuis bien longtemps, cependant, personne ne saurait dire depuis quand et comment. Cependant, il y a bien quelque chose avec laquelle on peut être certains. Volke maîtrise parfaitement sa force de Titan. Il l'a connait jusque dans les moindres recoins, il sait ce qu'il peut faire et ce qu'il ne peut pas. Il semblerait qu'il l'ait appris à le maîtriser, à apprendre comment gérer ce fardeau. Maîtriser sa transformation en Titan lui permis par exemple de comprendre pourquoi sa chevelure était blanche comme la neige. Ce n'est pas tout, connaissant toutes les capacités de la transformations que ce soit les conditions ou les conséquences, il porte toujours sur lui une petite lame de rasoir camouflée dans l'une de ses manches, prête à être utilisée en cas de besoin. Une simple petite lame qui lui permettrait de dévoiler sa véritable force si jamais il y était contraint.
Quelle est votre particularité sous forme de titan ? (décrivez-nous en détail ce que vous pouvez faire, et vos limites)
Sous sa forme de Titan, Volke est connu sous un autre nom de par les humains qui est tout à fait singulier. On le surnomme le « Titan Poison ». Désignant de ce fait sa capacité principale... Volke est, comme pour la plupart des titans shifters, en mesure de prendre sa forme de Titan sous différentes formes et tailles selon le besoin de la situation et la mission qu'il se fixe. Nous allons uniquement nous attarder sous sa forme complète. Le Titan poison mesure environ une dizaine de mètres. Ce qui est fabuleux et le rend particulièrement différent en apparence des autres titans, est en premier lieu, par rapport à la majeur partie des autres titans, est que ce dernier possède des proportions très proches de l'homme. Ceci en terme de proportions tête/tronc/bras et jambes. Une autre chose est aussi à noter est qu'il conserve la même chevelure que sous sa forme humaine. Ainsi, si jamais on venait à le découvrir sous sa forme de Titan Poison, il ne serait guère difficile de le reconnaître parmi les hommes. Cela rend son camouflage fragile au sein de la société, il ne peut faire ce qu'il veut. Le Titan Poison peut sembler réellement ignoble aux yeux des humains. Sa peau, en général, est d'un pâle qui marque réellement les esprits. On peut réellement le comparer à une personne blafarde, malade. Ce n'est pas tout, sa peau peut paraître à certains endroits verdâtres, le vert similaire à la couleur du vomi. Cette couleur se déplace tel un fluide de par son corps et se reflète aux rayons du soleil. Ses longues sont longs et possèdent une couleur macabre, se rapprochant d'un noir pourrissant. Ses dents sont jaunies à la racines et dévoilent une mâchoire machiavélique où ne se trouve de lèvres. Ses pupilles jaunes donnent l'impression d'avoir un prédateur lorsqu'il vous scrute. Son regard est en mesure de paralyser le plus courageux des hommes. Ses sourcils son fins et d'un noir étonnant, marquant son humeur rarement joviale. Sa langue a une couleur mauve, cette est anormalement longue pour un Titan. En effet, largement plus grande que la taille d'un humain, il serait en mesure par exemple, d'envelopper un être humain avec cette dernière comme de se toucher l'oreille. Cependant, ce n'est pas la chose la plus effroyable que l'on puisse penser de ce personnage singulier. Il se trouve que le Titan ci-présent possède une particularité avec cette fameuse couleur verdâtre et sa langue principalement. Voyez-vous, pourquoi sa peau serait translucide ? Au point de laisser le crâne apparent avec une peau si fine. C'est parce que l'arme la plus redoutable du Titan Poison n'est pas sa force physique, bien que ce dernier soit en mesure s'en malle d'écraser un homme dans la poigne de sa main ou de l'envoyer s'écraser dans une maison d'un coup de pied bien placé, c'est ce qui se trouve sous sa peau qui en fait un véritable danger. Son sang possède une toxine extrêmement puissante qui s'évapore très facilement une fois en contact avec l'azote. Son poison ne connaît aucun remède à ce jour et n'attaque que l'être vivant. Ce poison peut s'ingérer par les voix buccales comme respiratoires. Il s’immisce dans votre corps par le biais de vos pores de peau de la même manière qu'il est en mesure de s'échapper des pores du Titan. Ce poison va rapidement remplacer l'oxygène que prend le sang et va éliminer les globules rouges non contaminés. Ce dernier se dirige jusque la moelle épinière ainsi que l'encéphale de la personne contaminée. Là, il se libérera un peu plus et va effectuer son travail au niveau de la transmission motrices du corps. Ici, elle va exciter la totalité des nerfs de la victime dans un premier temps. Elle va être prise de spasmes incontrôlables, un humain est tout a fait en mesure de se suicider durant cet effet sans le faire exprès. Ses tendons se contractent et se décontractes à vive allure. Le moindre mouvement devient une douleur ignoble et insurmontable. La personne a l'impression qu'on lui arrache l'épiderme cellule par cellule, que faire un pas serait comme si un cheval s'écraser sur son pied. Cela n'est cependant pas le seul effet de ce poison. Exposé plus longtemps à de telles toxines, et le traumatisme cérébrale qui s'ensuivra sera tellement violent qu'il mènera à la mort de cette personne de manière inéluctable. Venons-en désormais à sa seconde arme unique, son sang. Son sang est le réceptacle du poison mais avec une condensation telle qu'il se présente sous forme liquide. La densité de ce poison couplé à ses propres défenses immunitaires en font un acide particulièrement puissant. Le sang même de ce monstre est la gangrène de l'humanité. Rappelez-vous de cette couleur verdâtre fluctuant sous sa peau... Il ne s'agit en réalité que de son sang. Son sang empli de toxines possèdent des reflets verdâtres surpassant l'hémoglobine elle-même. Cet acide est extrêmement corrosif, à tel point qu'il est capable de faire fondre le métal au contact. Une personne touchant cet acide va brûler et fondre littéralement. L'acide est éjecté comme une sorte de bombe à eau mortelle lorsque vous coupez la peau du Titan. Il est à noter que le Titan Poison est immunisé à cet acide, de plus, au niveau de ses machoires se trouvent des plaies ouvertes qui laissent couler de l'acide le long de ses dents. Il en va de même pour ses ongles qui reluisent légèrement. Les morsures et les ongles reativement long et aiguisés du Titan Poison lui permettent de pénétrer aisément la chère des Titans et de pouvoir sectionner un canon en deux d'un coup net. Dans le cas du poison sous forme de gaz, le Titan poison possède deux points clefs où le poison s'éjecte plus aisément. Tout d'abord sa gorge, c'est d'ici qu'il est capable de cracher le poison le plus loin possible, il possède une portée d'une vingtaine de mètres. Le diamètre que va prendre le gaz volatile une fois éjecté va dépendre uniquement du vent. Il est en mesure d'embaumer une maison entière avec un tel souffle par exemple, à contrario, ce même souffle peut se volatiliser en quelques secondes si il y a de fortes rafales de vents. Le second point où il peut éjecter aisément son poison n'est autre que depuis la paume de sa main. D'ici, il ne peut projeter son poison que de 3 à 4 mètres environ. Bien que la portée soit faible, c'est d'ici que la pression du gaz s 'échappant est la plus violente. La dose de poison injectée peut être extrêmement violente en l'espace d'une seconde seulement à tel point qu'un être humain peut en mourir instantanément. Dans un cas d'extrême urgence, le Titan poison est en mesure de faire s'échapper du gaz de par la totalité de ses pores de peau, il sera alors enveloppé d'une épaisse couche de poison d'une vingtaine de diamètre avec pour épicentre le Titan lui-même. Il n'y a qu'un seul endroit duquel le Titan poison ne peut libérer son gaz, il s'agit, vous l'aurez devinés, de sa nuque. C'est ici que se trouve Volke et il ne possède naturellement pas ce poison sous forme humaine, il n'est donc pas en mesure de participer à la libération du gaz. À chaque fois, la projection du poison prend quelques secondes. Ainsi, dans une position difficile, un humain possèdera toujours une poignée de seconde pour venir lui couper la nuque au bon moment. Même si cette action est synonyme de suicide, il peut rester en mesure de le tuer avant de mourir lui-même sous l'effet du gaz. Ce ne sont pas les seules limites du poison. La dose mortelle est automatique si vous inspirez le gaz. Cependant, une personne traversant le nuage à l'aide de la tridimensionnalité à grande vitesse tout en retenant sa respiration n'absorbera pas la dose mortelle de gaz. Il en pâtira et en subira des effets certes mais il pourra s'en sortir si il reste au calme. Une personne restant cinq secondes dans ce nuage de gaz est suffisant pour ingérer la dose mortelle. Pour terminer, le Titan Poison n'est pas un titan possédant une rapidité et une force hors norme pour un titan. Nous pouvons dire que sa force est égale à celle des Titans de dix mètres. Il est commandé cependant par un humain dôté d'une intelligence, il est donc en mesure de courir, de sprinter, de sauter etc. Notez qu'il ne pourra jamais lutter à force égale contre un titan de quinze mètres par exemple sans avoir à utiliser son poison ou son acide. Quelles sont les limites de ce titan et ses faiblesses ? Il faut désormais en parler car malgré ce que vous pouvez penser, il en a de nombreuses. Sa première faiblesse est sa peau. Il possède la peau la plus fine de tous les titans, un simple couteau est capable de l'entailler. Il est donc techniquement parlant, l'un des Titans les plus facile à tuer. Il suffit d'un coup rapide et précis afin de l'achever. Il ne possède pour ainsi dire, aucunes défenses vis à vis de son épiderme. Cela en fait une faiblesse importante mais peut s'avérer être une arme si la projection du poison est envisagée par le Titan Poison lui-même. En second point vient ensuite sa projection de gaz. Il ne peut pas projeter du gaz comme il le souhaite. Ainsi, il doit choisir à chaque fois, il projettera son poison par ses mains ou par sa bouche ou par ses pores de peaux. De plus, à chaque fois qu'il souhaite utiliser du poison, le Titan doit rester immobile. La concentration demandée pour un tel acte est importante, il ne peut pas donc courir tout en crachant du poison ou faire déplacer le nuage à son gré. Le Titan poison est l'un des plus sensible aux armes à distances. Les coups de canons ou de balles sont beaucoup trop rapides pour fondre avec l'acide et ne sont pas affectés par le poison. Il est très simple de tuer le Titan poison de deux tirs de canons bien placés. Si vous voulez l'affronter, l'artillerie restera l'arme la plus sage contre lui. Il en est conscient et c'est une faiblesse que la plupart des Titans Shifters ont pu surmonter. Il est le seul à ne pouvoir rien y faire et qu'importe la méthode envisagée, il n'y arrivera jamais. Enfin, en dernier lieu, la dernière particularité du Titan poison vient de sa capacitée régénératrice. Pour employer des chiffres, la régénération du Titan Poison est deux fois plus lente que celle des autres Titans Shifters. Bien sa vitesse de régénération puisse varier selon s'il s'y attèle pleinement ou pas, il faut garder à l'esprit qu'il sera de toute manière le plus lent de tous les Titans Shifters. Une fois le Titan Inconscient ou privé de son crâne, il n'est pas en mesure de lâcher du poison car comme dit ci-dessus, cela lui demande une concentration trop importante.
Comment avez-vous réagi quand vous avez pris conscience de votre pouvoir ?
La première réaction de Volke fut extrêmement négative lorsqu'il pris conscience de son pouvoir. Pourquoi ? Car il fait parti des Titans qui ont besoins d'un artifice, d'un truc pour pouvoir s'en sortir. Si il était privé de son pouvoir il devenait automatiquement l'un des Titans les plus faibles de l'histoire. La force brute n'est pas un atout pour lui et cela est bien dommage en son sens. Il n'est même pas suffisamment rapide sous sa forme de Titans pour pouvoir s'enfuir, ainsi, il devra alors lutter jusque mort s'ensuive ou alors devoir recouvrer sa forme humaine et s'enfuir ainsi. Pour Volke, le pouvoir qui lui a été conféré est en quelques sortes plus un fardeau qu'un cadeau des dieux. Cela s'est vu avec le jeune Eren, son pouvoir n'est apprécié de personnes si ce ne sont ses proches. Les Titans voient en Eren une proie de choix et les humains voient en Eren une nuisance pour l'Humanité en tant que vivant. C'est pour cette raison entre autres que Volke cherche à cacher le plus longtemps possible son pouvoir, bien que tôt ou tard, l'Humanité remarquera cette supercherie, mieux vaudra tard que jamais et notre héros répètera alors à chaque jour nouveau où son pouvoir ne sera découvert « not today ».
Volke aimerait utiliser sa capacité pour, à vrai dire, personne. Comme dit, il préfère cacher le plus que possible sa capacité et rester à l'abri des regards. Cependant, si jamais il venait à être découvert, alors l'utilisation de son pouvoir ne dépendra pas de lui mais bel et bien de son entourage. Si l'Humanité souhaite sa mort plus que tout, il ne luttera pas pour l'Humanité. Si il ne trouve pas sa place auprès des autres Titans Shifters, alors il préfèrera lutter pour l'Humanité. La survie est son mot d'ordre, il suffit d'observer. Quel est le camp qui sera en mesure d'apprivoiser Volke, il est un véritable mercenaire qui moyenne sa vie en échange de ses services. La balle n'est donc pas dans son camp. Dans l'immédiat vous pouvez vous dire qu'actuellement parlant, Volke se bat pour l'Humanité, s'étant engagé dans l'armée... Rien n'est éternel, aux humains de dénicher le pouvoir de Volke et de le soumettre de manière intelligente si ils veulent compter l'un des Titans les plus mortels parmi leurs rangs.
BACKGROUND
On ne sait que peu de choses sur les origines de Volke, lui-même n'en a jamais réellement parlé. Il semblerait que la plupart de ses dires sur son passé ne sont en réalité qu'un véritable tissus de mensonges. La société n'en connait elle-même que peu, il en va de même pour les personnes l'ayant côtoyé. Volke reste un mystère, qui est-il ? Nous ne le savons pas vraiment. Il reste silencieux et serait l'une des dernières personnes à dévoiler ses pensées, ses désirs et communiquer sa volonté. L'histoire qui va suivre va donc conter ce que nous pouvons en dire, ne vous méprenez pas si moi-même ne pourrait être précis, il en va pour mon bien et surtout pour le votre aussi...
D'après ce qu'il nous dît, Volke est né dans un petit village éloigné, village limitrophe au mur Maria. Il y aurait eut une enfance difficile. De sa famille, sa mère était une femme fragile et était complètement soumise à son mari, une brute épaisse. Sa famille était pauvre, à tel point que la maison se résumait à une simple pièce avec un mur bricolé pour séparer le lit de ses parents du sien. Tout jeune, Volke trouvait cela normal d'entendre sa mère hurler et écouter son père hurler des mots effrayant les poètes les plus vulgaires. Lorsqu'il voulu questionner ses parents pour savoir pourquoi ils étaient obligés de crier pour pouvoir s'endormir le soir alors que lui n'avait droit de dire mot. Il n'eut en retour qu'une gifle mémorable, l'excuse qui s'ensuivit ? Il n'était pas en âge de connaître de telles choses et il comprendrait lorsque son tour sera venu. Sa mère était couverte de bleu régulièrement, le jour il travaillait au champ avec son père, la nuit, il ne dormait que peu. Il fit parti de la génération des enfants apeurés par le tyran qui gérait la famille. De mal en pi, il était régulièrement battu par le paternel. Ce dernier ne cessait de le traiter avec la plus grande sévérité. Alors qu'il grandissait, il eût un jour l'audace de répondre à son père, fatigué et frustré de se faire battre ainsi alors que les enfants de son village semblaient en paix. La seule chose qu'il souhaitait, c'était pouvoir rentrer dans la masse des enfants, pouvoir jouer lui donnait envie. Cependant, les parents voisins retenaient leurs enfants et leur conseillait d'éviter le jeune Hellsing sous peine de s'attirer des ennuis. Comme si, comme si la famille Hellsing était une famille maudite de par son existence même. Le jour où le jeune homme répondit à son père, ce dernier ne répondit rien. Il ne souriait pas, ne grimaçait pas. Il posa sa main sur l'épaule de son fils et lui ordonna de le suivre, ce qu'il fit. Volke, prenant pleinement conscience de l'acte impardonnable qu'il venait de faire en élevant le ton de sa voix alors qu'on le lui avait dit de ne dire mot, suivi son père, il était tétanisé. Ils allèrent dans l'un des bois autour du village, bois où ils étaient à l'abri des regards, usuellement utilisé pour les quelques chasseurs que comptait ce village. Une fois la lisière du bois quitté, le père de Volke lui tendit un couteau. Il ordonna à son fils de ne pas bouger d'un pouce et alla se poster à deux petits mètres en face de notre héros. Là, il se tourna vers lui, croisa les bras, et le regarda avec des yeux fermes, haut de trois têtes de plus que Volke et monté comme un buffle. Il hurla, on aurait cru voir un ours et non plus un homme à cet instant. Le père fixa le fils, pointa le couteau du doigt et lui dit de l'attaquer sans retenue. Notre héros fut paralysé sous le coup, il avala sa salive, comment pouvait-il ? Lever une arme vers la personne qui lui avait donné naissance ? Malgré tout le mal qu'il avait commis, méritait-il un tel sort ? Et surtout, pourquoi lui permettait-il lui-même de se faire assassiner par son propre fils ? Le jeune garçon alors âgé d'une dizaine d'années à peine se mit à pleurer, et se rua vers son père tout en hurlant au désespoir...
[suite à venir, onch]
HORS JEU
Pseudo :Trolol, Amnesia Âge : 18 ans, majorité me voilà fufuh Que pensez-vous du forum ? Design très agréable et chaleureux, le règlement simple et sans prise de têtes m'a donné envie ! Des suggestions ? J'ai remarqué une lettre oubliée dans la description de la partie "En Cours" du registre => "Et pour es membres", il manque donc un "l". ^^ Personnage sur l'avatar : Legault de Fire Emblem 7 Comment avez-vous trouvé SNK RPG ? Mon partenaire et moi souhaitions nous remettre au rp après une pause d'un an à peu près. On voulait changer de thèmes et s'essayer à SNK qui est un manga que l'on apprécie particulièrement. Ce forum a donc été trouvé grâce à la recherche google *-*
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Spoiler:
Kain parle en #990000
Valentine D. Kain
Valentine D. Kain
Messages : 688
Race : Humain
Équipage : Dokugan
Feuille de personnage Niveau: (36/75) Expériences: (265/350) Berrys: 10.393.000 B
Dim 1 Fév - 16:36
Ross Athem
"Did i tell you the definition of insanity ?"
Informations globales
Nom: Athem Prénom: Ross Surnom: Bullseye Age: 24 ans Sexe: Mâle orientation sexuelle: Hétérosexuel But: Inscrire son nom dans les livres d’histoires Camp/ Guilde : Solaros Genre : Mage Objets possédés : Un caleçon *rire*, mais aussi une montre spéciale si c’est autorisé je vais expliquer son fonctionnement et son utilité dans l’histoire. De plus, ce dernier possède toujours un paquet de cigarettes, avec un briquet, il lui arrive en effet d’avoir la flemme d’utiliser sa magie du feu pour allumer sa cigarette… Il lui arrivera d’avoir sur lui diverses drogues, totalement dépendant de ces dernières du fait de son instabilité psychologique en tenant compte de ce qui existe et ce qui n’existe pas. Ps : le magnum présenté dans la présentation est une arme de famille dont Ross ne se sert pas, il l’a conserve dans une vieille boîte dans sa chambre à Solaros. Ainsi techniquement elle compte comme si elle n’était pas en sa possession.
Magie
[Si mage] Magie : : Heaven's Fire : Le feu… l’homme est capable de maîtriser cet élément avant même la découverte de la magie élémentaire. Certains voyaient dans le feu comme une arme de destruction massive et d’autres comme une source de vie. Souvent liant le feu à la chaleur de certains sentiments comme l’amour. Le Feu Divin fait parti de la magie du feu se rattachant à la première catégorie. Cette magie poussa le mage le maîtrisant à aller jusque s’unir avec cet élément. Cette magie est extrêmement dangereuse et n’est que très peu connu de par sa difficulté d’apprentissage. Mais ses capacités destructrices ne sont plus à démontrer… Cependant cette magie ne dérobe pas la règle élémentaire, toute personne ne sachant pas correctement maîtriser cette magie sera bien faible en comparaison avec une personne maîtrisant son art. En plus de pouvoir manipuler le feu avec une puissance hors normes, le pratiquant est en mesure de manière inconsciente de transformer son corps en flamme…
Type de magie : Magie Interdite [Si non mage] Style de combat : /
Coté Physique
Description globale: 15 lignes minimum Décrire physiquement le personnage que je souhaite incarné ? Cette tâche qui m’est incombé n’est pas des plus aisé. Je vais essayer de m’atteler à ce travail tout en vous rendant votre lecture des plus limpides et agréable à lire… Afin de donner une structure correcte à cette description, je m’en vais décrire point par point chacun de ses traits allant de la généralité vers le détail.
Commençons par la base, il faut savoir que mon personnage possède une taille moyenne. Ce dernier mesure un mètre soixante-seize centimètres et pèse aux alentours des soixante-huit kilogrammes. Ainsi ce dernier n’est point enveloppé et ce que vous nommez communément graisse apparente n’a point lieu d’être, ne sachant se mettre dans quelconque partie de son corps.
Son visage, mon personnage possède un visage relativement fin. Il possède les cheveux mi longs, ces derniers doivent mesurer en moyenne une quinzaine de centimètres pour les plus longs jusque cinq centimètres pour les plus courts. Sa chevelure n’est pas également répartie au niveau des proportions. Il possède des pattes longues. Les cheveux sur le centre du crâne sont relativement long. Les cheveux au niveau de sa nuque ne tombent guère qu’au niveau du cou et n’iront pas jusque atteindre sa base. Ses cheveux sont coupés de telle sorte que l’on puisse voir ses oreilles aisément. Ce dernier possède le cheveux épais, de plus, de par son statut de mage il a l’habitude de vagabonder et les bains sont un luxe qu’il ne peut se permettre d’effectuer quotidiennement. Ainsi, ces derniers peuvent être gras et forment des paquets, cependant, bien que sale, ces derniers peuvent donner une coupe harmonieuse mettant en avant un certain charisme venant de la part de ce personnage singulier.
Attaquons maintenant la description de la face de notre personnage. Ross possède des sourcils fins qui sont légèrement inclinés. Ainsi cela donne un caractère grave sur son visage, on peut penser qu’il fait preuve d’insolence lorsqu’il vous regarde mais ce n’est normalement pas le cas. Ross a les yeux d’une couleur enviable, en effet ces derniers sont bleus. Cette couleur caractérise une sensibilité au niveau de sa capacité visuelle, ils sont extrêmement sensibles. Son bleu n’est pas azur comme l’eau, on peut penser à un bleu qui se rapprocherait plus du gris que du turquoise afin de mieux définir leur couleur. Il possède un nez fin tout comme ses narines, il a la chance de n’avoir aucun poil qui ne dépasse de ses narines, dans le cas contraire, cela mettrait un sacré coup à son charme *rire*… Afin de terminer sur son visage, Ross possède les lèvres fines et son menton fin vient terminer harmonieusement son visage. Attaquons maintenant son buste ainsi que ses bras. Le jeune Athem est un personnage qui n’aime pas se fier uniquement à sa puissance magique brute. C’est ainsi qu’il décide malgré tout de faire de nombreux entraînements physiques rigoureux. Cela se remarque sur son corps qui est extraordinairement bien formé par dame nature. Sa musculature est exemplaire. Il possède une pilosité relative au niveau des aisselles et son nombril est rentré et est marqué par la cicatrice de la coupe de son cordon ombilicale. On peut noter ici et là quelques petites cicatrices, et diverses traces de coupures. Cela est dû à ses entraînements mais aussi aux quelques missions qu’il pu accomplir jusqu’aujourd’hui au sein de sa guilde. Ainsi, cela montre une fois de plus que malgré ses compétences, personne n’est invincible en ce monde.
Attaquons finalement la dernière partie de son corps à savoir le bas. Cette fois-ci il n’y aura malheureusement pas grand-chose à décrire. Afin d’éviter de choquer les plus jeunes, les mensurations du phalus de Ross ne seront pas données, le parti s’excuse encore auprès des jeunes demoiselles qui sont curieuses. Nous nous devons de satisfaire une grande majorité, ainsi il vous faudra venir lui demander personnellement bien que nous pensions qu’il vous propose probablement un échange… Peut être pour votre bonheur qu’en savons-nous après tout ? Athem possède bien évidemment des poils sur son pubis mais n’en possède pas sur son postérieur. Musclées ces dernières sont petites et fermes et ne laissent rien transparaître d’une quelconque trace de cellulite. Ses jambes vont de mêmes avec le buste, on remarquera quelques cicatrices notamment au niveau de ses genoux, de plus sa pilosité est relativement développée au niveau de ses tibias. Afin de terminer sur une information qui n’est guère utile, nous conclurons cette description physique d’Athem Ross sur ceci : Il chausse du 44 si l’on se réfère à l’échelle commune connue de tous.
Description Vestimentaire : 10 lignes minimum Je m’en vais vous décrire le style de tenue qu’il a tendance à porter. Mais aussi son habit phare, celui dans lequel la plupart des personnes le voient. Il faut savoir que notre personnage ici présent ne possède en aucun cas le culte du vêtement, ce n’est pas ce que l’on pourrait appeler une « Fashion Victim » loin de là. Il n’aime pas l’extravagance. Ainsi vous le verrez habillé d’un T-shirt ainsi que d’un jean plus facilement qu’avec un pull à col roulé rose fushia accompagné de son pantalon bien trop court rivalisant avec celui porté par les jeunes femmes aux cuisses hospitalières que vous pourrez croiser dans quelconque ruelles fréquentées par des personnes de peu de vertus.
La tenue que Ross aime porter est relativement sérieuse. En effet, ce dernier aime s’habiller d’un véritable costume. Il s’habille d’un pantalon et d’une veste aux couleurs unis noire. Au dessous de sa veste il met une chemise blanche qu’il garde propre le plus possible ainsi qu’une cravate elle aussi noire qu’il ne sert qu’à moitié. Ainsi elle a tendance à voleter et à partir dans des directions incertaines lorsque le vent est présent. Pour la petite anecdote : sa cravate l’énerve lorsqu’elle lui revient constamment dans la figure lorsqu’il y a trop de vent. *rire*
Lorsque le temps se rafraîchit et qu’il commence à faire bien trop froid pour un amateur de la magie du feu, ce dernier mettra à la place de sa veste habituelle une veste couleur olive épaisse composée de nombreuses poches. Cette dernière est accompagnée d’une capuche ample avec du poil synthétique autour afin de rajouter une touche esthétique à la veste.
Ses chaussures quand à elles sont habituellement les mêmes bien qu’il doive racheter souvent la même paire du fait de ses nombreux déplacements elles ont en effet souvent tendance à s’abîmer rapidement. Ces dernières sont faîtes à partir d’un cuir noir de qualité. Les chaussettes allant avec bien évidemment. Cependant décrire des chaussettes banales ne vous sera pas d’un grand soutien, je vous le garantie…
Coté Psychologie
Description Mentale : 30 lignes minimum Nous venons de terminer avec la partie barbante et monotone de la présentation ! Enfin nous allons nous atteler à la mentalité de ce personnage. Elle est en effet complexe, vous êtes en présence d’un personnage unique. Et accrochez-vous bien, il y a de fortes chances que vous vous perdiez au fil de cette description qui se veut complète.
Ross est un jeune homme qui possède une intelligence correcte. Bien qu’il ne s’agisse pas d’une lumière ce n’est pas sa capacité à apprendre qui lui permit de survivre jusque ce jour mais son adaptabilité. En effet, cette compétence que tout humain possède, ce dernier l’a mené à un niveau au-dessus des autres. Ainsi il est capable de s’adapter avec brio à certaines situations. Ross est un personnage qui possède aussi une forte motivation, il aime aller jusqu’au bout. L’idée qu’il choisit de réaliser, il tentera jusque les mesures du possible de la réaliser. Cependant si sa mentalité devait s’arrêtait là, alors notre personnage serait parfait et il n’y aurait guère besoin d’aller chercher plus loin.
Il faut savoir que le jeune représentant de la famille Athem est un personnage qui est bien singulier. Bien qu’en ville il essaie de se maîtriser , il est un personnage extrêmement instable psychologiquement. Il possède bien évidemment les notions de sentiments, mais ce qui le rend si différent de la plupart des autres personnes, c’est qu’il possède ses propres définitions. Vous pouvez penser ainsi que cela n’est pas très grave, mais au contraire cela chamboule toutes ses notions. Ainsi votre description afin de décrire l’Amour n’est pas la même description qu’il donnera à ce même sentiment. On peut considérer que Ross est un personnage lunatique. Cela est extrêmement dérangeant lorsque l’on discute avec lui. Il est comme une véritable bombe, en effet, comment ne pas avoir une pression tordantes lorsque ce dernier est capable de vous embrasser et dans la seconde qui suit parce que vous lui avait tâché la chemise avec un peu de chocolat qu’il vous saute à la gorge pour mettre fin à vos jours ?
Ross est un jeune homme que l’on pourrait qualifier de puéril, comme énormément de personnes il a horreur de perdre. Cependant sa notion de défaite est différente, en effet, dans un affrontement il ne cherchera pas forcément à vous tuer physiquement. Peut être cherche-t-il à faire autre chose ? Ne pas achever un ennemi afin de le torturer et de savourer une victoire enivrante outre mesure ? Un mot permet de qualifier ce comportement, l’imprévisibilité.
Il n’est réellement pas quelqu’un de recommandable, mais aussi étonnant que cela puisse paraître, quelques personnes ont tendances à le rejoindre à ses côtés. Vous pouvez le qualifier de fou, je vous l’accorderai sans grande difficulté. Cependant rappelez-vous il n’a pas les mêmes définitions que vous tous car selon lui, il n’est point fou. Je pense que le meilleur moyen de décrire sa notion de folie est de vous donner son explication mot pour mot. La voici : « La folie, c’est lorsque tu vas t’efforcer de faire la même chose, les mêmes actes continuellement afin d’atteindre quelque chose que tu n’as pas su atteindre par cette méthode. Et là tu te dis, « cette fois-ci, ce sera différent » alors que c’est totalement faux ! ». Ross est un personnage qui pourra être doux comme un agneaux envers certaines personnes et très froid avec d’autres de manière totalement illogique. Il lui arrive parfois même d’avoir ces deux styles de comportements avec une seule et même personne de manière totalement aléatoire.
Il faut savoir que notre jeune garçon n’a pas eu une enfance faite uniquement d’amour et d’eaux fraîches ainsi il en a découlé une vulgarité qui en vient à tuer la langue de Molière, chacune de ses phrases sont potentiellement un blasphème verbal pour notre précieuse langue. Il possède une notion de jeu abstraite et n’hésite pas à rigoler lorsqu’il se bat de manière dérangeante. Il n’aime que peu rester impassible. Ainsi malgré tout ce que je suis en train de vous apprendre sur ce dernier, souhaiteriez-vous tout de même aller à sa rencontre afin de le connaître plus amplement ? Seriez-vous prêt à vous embarquer dans une histoire périlleuse avec lui ? Car oui en effet, ce personnage aussi fou parait-il, est quelqu’un qui est capable de s’adapter. Au final, Ross est un personnage qui aime découvrir, il est curieux de nature. Chercher quelque chose d’abstrait ou de concret il n’en a cure. Il est un personnage qui vit de par et grâce à ses émotions. De manière hypothétique, si aller chercher un paquet de mouchoir chez la voisine et s’engueuler avec elle est quelque chose d’épique alors il le fera tout autant qu’aller à l’autre bout du monde à la recherche d’une relique, vestige du passé oublié. Oui, j’ose espérer que malgré cette maigre description mentale du personnage que je souhaite incarner, vous vous êtes déjà attaché à lui. Vous allez découvrir maintenant dans la prochaine partie de cette présentation son histoire, pourquoi est-il devenu comme ça ? Quelques questions méritent réponses et elles vont vous êtres données sans plus attendre…
Histoire
Histoire : 40 lignes minimum
La salle est noire… J’ai du mal à voir, mes paupières sont lourdes… Mes jambes… J’ai mal… Où suis-je ? Ah oui... Il y a cet homme en face de moi habillé de sa chemise blanche et de son pantalon noir, sa cravate était mal serrée, ça ne lui rendait pas hommage quant à son sérieux apparent... Il a un sourire malsain aux lèvres et tient un couteau dans sa main droite… Mes mains sont enchaînées. Je suis affalé sur le sol, il suffit que je regarde ne serait-ce qu’une seconde mon corps pour voir que je suis en piteux états… Il fait froid… Il s’approche de moi et m’attrape par le menton. Je le regarde avec des yeux déterminés, que me veut-il déjà ? Il me donne un coup de boule en plein dans le nez… J’essai de calmer ma respiration, la douleur est vive et je saigne… Ce dernier commence à parler de nouveau, je ressens comme une impression de déjà vu…
Homme : Alors, répètes-moi, quel est ton nom ?
??? :...
Homme : On dirait que t’as perdu ta langue… Ou peut être que tu ne veux pas l’utiliser. On devrait peut être la couper après tout.
Des personnes disent que c’est dans ces moments là que l’on se rappelle toute notre vie... Ce que l’on a fait jusque aujourd’hui… Comment on est né, ce qui nous a formé et construit, ce qui fait de nous au final des hommes, des héros ou des crapules… Je me remémore ma vie depuis le début, j’eu l’impression que cela était tout proche et si loin de moi à la fois…
I- Mon enfance…
C’est dans une famille qui vivait Orpheus que je naquis. La famille Athem… Le père, fils unique avait épousé une femme belle et douce, elle s’appelait… Eleanor… Ils avaient connu ce que l’on appelle le... Coup de foudre, je crois que l’on appelle cela comme ça oui… Ils se sont vus un soir d’automne alors qu’ils allaient tout deux à un bal. Le vin coulait à flot, mon père un peu ivre à cause de la boisson vit ma mère et lui proposa une danse qu’elle accepta avec le sourire. Depuis ce jour, ils ne se quittèrent plus. Le premier jour ils s’aimaient, puis le suivant ils se détestaient. Ils étaient heureux. La troisième année suivant leur mariage ils décidèrent de procréer, de s’adonner au plaisir de la chair dans le but d’avoir un descendant… Cependant ce premier essai échoua, il s’agissait d’un œuf blanc. Ma mère était touchée par cet échec. Mais mon père lui redonna le courage d’essayer de nouveau. Et cette seconde fois, il y avait bien un petit être qui était en train de prendre forme dans son ventre. Un garçon, le jour de l’accouchement, mon père était en train de s’impatienter, il pouvait ouïr les cris de sa femme qui essayait de faire voir la lueur du jour à cet enfant tant attendue. Une fois qu’il fut mis dans un drap blanc qui rappelait la pureté de ce nouveau né, ils l’admirèrent. La mère pleurait tout comme l’enfant à qui on venait de couper le cordon ombilical. Il hérita du prénom de Ross, il s’agissait de moi. Leur premier enfant.
Je fus chéri auprès de ma famille, j’étais véritablement choyé. J’étais l’enfant que la famille attendait. Celui qui représenterait plus tard la famille et qui offrirait sa semence afin de faire perpétuer le sang de la famille Athem. Alors que je venais de faire mes deux années, ils décidèrent de faire un second enfant. Cette fois-ci, il s’agissait d’une jeune fille. Ils l’appelèrent Alice. Mon père et ma mère me prirent à part peu de temps avant sa naissance. Lorsque je collais mon oreille contre le ventre de ma mère, je pouvais entendre les battements du cœur de cette jeune âme qui allait rejoindre le périple de mon enfance. Mon père me donna un ordre, c’était un ordre droit et juste, je devais protéger et aimer ma sœur. Je ne comprenais pas vraiment comment mais j’ai hoché la tête suite à ses paroles. Lorsque ma petite sœur arriva, j’étais heureux moi aussi, je pouvais déjà marcher. La première année fut difficile pour moi, en effet, mon père et ma mère restaient sur le qui-vive et lui adressait énormément d’attention. J’étais bien trop jeune pour comprendre ce que cela signifiait. Alors la nuit, lorsque j’étais seul dans mon lit, je me mettais à pleurer, appelant ma mère. Cette dernière venait alors afin de m’embrasser sur le front, me demandant de me calmer. Il s’agissait pour moi inconsciemment d’un moyen de reconnaissance quelconque de la part de ma famille à mon égard. A la fin de la première année, je commençais réellement à m’attacher à ma petite sœur, à lui faire des câlins et jouer avec elle. Les moments que l’on passait ensemble étaient privilégiés, lorsqu’elle pleurait, j’essayais de la calmer et de la réconforter en la prenant dans mes bras. Cela marchait et à l’intérieur de mon être, j’étais satisfait. A l’orée de mes trois ans, la séparation avec ma petite sœur fut compliquée, en effet, je devais découvrir quelque chose qui m’était encore totalement inconnue, c’était l’école. On habitait dans Orpheus je ne savais pas vraiment ce que cela signifiait, mais ce que je savais, c’était qu’apparemment j’avais incroyablement de chances d’être né ici. J’étais privilégié, ma famille était riche selon les dires. Mon arrivée à l’école fut difficile, en effet, la droiture que m’avait inculqué ma famille jusqu’à ce jour, bien que faible, était difficilement applicables dans de telles écoles. Il y avait nombre d’enfants de mon âges qui étaient déjà très arrogants et qui n’hésitaient pas à faire l’étalage de l’argent et des pouvoirs politiquement parlant que possédaient leurs parents. J’étais à la tête de la classe, j’étais l’élève exemplaire à mon plus jeune âge. Du moins, c’est ce que me disait mon père. Ma sœur et moi étions relativement séparés, en effet, alors que j’entrais en classe afin d’apprendre à lire et à écrire, elle entrait à peine dans la première section et faisait ses débuts à l’école. J’étais le grand frère protecteur qu’avait tant recherché mon père. A la fin des cours, j’étais là, à l’attendre les bras ouverts. Elle courrait et essayait de ne pas se prendre les pieds dans les marches de l’escalier avant de sauter dans mes bras. C’était habituellement ma mère qui venait nous chercher. J’appris peu de temps après que mon père était un mage faisant parti d’une guilde prestigieuse du nom de Solaros. Je pense que c’est en partie dû à mon père que je portais déjà à cet âge une attention toute particulière à la magie.
J’étais passionné par les histoires que me racontait ma mère sur les aventures de papa, lorsqu’il partait en mission périlleuse à la recherche de trésors. Lorsqu’il allait vaincre ces monstres infâmes qui venaient de cette terre que l’on appelait Khrëss Thail. Je me disais que moi aussi, un jour j’irai rejoindre mon père à ses côtés afin de vaincre le mal. Je connaissais déjà la voie que j’allais emprunter, celle de madoshi. Lorsque mon père rentrait de mission, exténué, il avait affaire à moi et à toutes mes questions lorsque je ne jouais pas avec ma sœur. Je souhaitais qu’il m’enseigne à maîtriser moi aussi la magie. Mais à chaque fois, la réponse était la même « tu es trop jeune encore, je te l’enseignerai lorsque tu seras grand ». C’est pendant quatre années d’affilées qu’il me disait la même rengaine à chaque fois. C’est alors que je devins mauvais élève à l’école. Je souhaitais montrer à mon père que je n’appréciais plus cet environnement et que j’avais réellement besoin de le rejoindre dans ses quêtes. Ma petite sœur elle restait studieuse, première de la classe à chaque fois, ma mère s’exaspérait à mon égard. C’est ainsi, lorsque je fus âgé de 10 ans, que mon père décida de m’enseigner sa magie. Une magie qu’il disait extrêmement puissante et dangereuse à la fois… La magie qui portait le nom de « Feu Divin ». Ce nom était bidon et sonnait creux à mes oreilles mais j’étais tout bonnement impatient de commencer mon apprentissage.
Cet homme me donna un coup de manche de son couteau dans la pommette. Je crache du sang. Il me regarde toujours avec ces yeux froids. Puis il s’approcha de mon visage avant de me cracher à la figure.
Homme :Pourquoi tu t’es ramené par ici avec tes petits compagnons ?
Je ne souhaitai pas lui répondre, cet homme me répugnait au plus haut point. Il me félicita par un coup de pied dans l’abdomen.
Homme : REPONDS-MOI !
II- Le Feu Divin...
Papa et moi sommes partis avec un sac à dos chacun. Mon père embrassa sa femme et câlina Alice, j’en fis de même. C’est sur ces adieux qu’on quitta la famille. Je me demandais où il comptait bien m’amener. Une fois sorti de la maison, il m’amena tout d’abord prendre un train. Nous quittâmes Orpheus et nous voyageâmes jusqu’une petite ville que je ne connaissais pas, même aujourd’hui je ne saurai vous donner son nom. Une fois sur place on alla se loger chez un de ses amis. Il expliqua que j’étais fin prêt à apprendre… Je ne savais quoi encore. Alors que je m’imaginais déjà lancer des sorts en prononçant des incantations, je fus rapidement démystifié lorsqu’il me mit sur un bureau une pile de livres et d’encyclopédie. Il m’expliqua que l’apprentissage de la magie ne pourrait commencer tant que je n’avais pas appris tout ceci. En mon for intérieur, je me disais qu’il se moquait éperdument de moi et qu’il ne s’agissait ici que d’une méthode radicale afin de me faire continuer mes études sans broncher. Cependant, mon idée se métamorphosa lorsque je pris le premier livre qui était ma foi bien poussiéreux. Il s’agissait d’un livre expliquant toutes les notions du monde magique. Un autre parlait de la géographie du monde actuelle. Un autre parlait de ce continent qui était apparu des siècles avant moi mais ils utilisaient des mots trop compliqués alors je n’osais pas le lire. Le dernier était probablement celui qui m’intéressa le plus. Il s’agissait d’un livre d’histoire parlant des héros des siècles passés. Des noms qui avaient marqués l’histoire, des guerres magiques terrifiantes. Certains personnages me donnaient réellement envie. Lorsque je lisais ces livres j’étais capable de m’imaginer la totalité de la scène. J’étais réellement bercé, je dévorais ces livres. Le personnage que j’aimais le plus dans ce livre d’histoire était peut être Natsu, l’histoire d’un jeune Dragon Slayer, ces mages qui avaient eu la chance ou la malchance de se faire élever par un dragon. Il y avait aussi des mages étranges et des mages méchants comme ce machin dont j’ai oublié le nom qui apparaissait déjà dans les livres d’histoires de mon ancienne école. Rien que de voir ce nom me donnait envie de déchirer la page… C’était époustouflant.
Une fois cette lecture terminée qui dura bien deux semaines, je suis retourné voir mon père, fier, prêt à subir une interrogation de sa part comme à l’école mais il ne fit rien. Il me faisait confiance. Le sourire aux lèvres, il m’annonça tout en rigolant que mon périple allait pouvoir commencer. La première des étapes était… Peut être la plus horrible. C’est dans la tenue d’un véritable eskimo que je fus sapé, en plein été. Afin de montrer l’exemple il en faisait de même. Et nous commencions à faire des marches et des courses ainsi que divers activités physiques sous le soleil. La chaleur m’enivra et les premiers jours étaient rudes. Je tombais souvent voir tout le temps dans les pommes. C’était vraiment horrible, toute cette chaleur qui emplissait mon corps était des plus désagréables. Afin de rendre le tout encore plus difficile, lorsque l’on était en sortie afin de m’entraîner, je n’avais pas le droit à la boisson. Je ne comprenais pas réellement ce qu’il cherchait à m’apprendre au début. Ceci dit, six mois puis une année entière passa. Loin de maman et d’Alice je commençais à m’inquiéter de ne plus les voir malgré les nombreuses lettres que l’on s’échangeait par pigeon voyageur. Mais au fond de moi, je ne devais pas perdre espoir et il était hors de question de rentrer chez moi sans avoir pu maîtriser cet art. Mon corps s’habitua à la chaleur intense. Et finalement, alors que je commençais à perdre espoir, mon père me fit un cours topologique sur la magie qu’il était disposait à m’enseigner. Il m’expliqua que cette dernière était extrêmement puissante mais que sa maîtrise était elle aussi extrêmement difficile. Au fond de moi j’avais du mal à comprendre, en effet, la magie du feu était l’une des magies les plus répandues du monde. Et je n’ai jamais lu dans aucun livre que l’entraînement qu’il était en train de subir était nécessaire. Mon père vit alors que je ne comprenais pas réellement ce qu’il était en train de m’expliquer. Ainsi, il sortit de son sac à dos une arme, un revolver lourd, il avait un canon long et pouvait tirer six balles sans qu’on ait à le recharger. Il me le tendit et tira le chien. Là, il me demanda de lui tirer dessus, en plein milieu du front. Complètement désemparé, je pose l’arme au sol et me met à pleurer ne comprenant pas ce qu’il essayait de faire. C’est alors que dans un soupir, il se saisit du revolver, et appuyant sur le chien, amena le revolver sur sa tempe. Le traumatisme pour un gamin de dix ans était énorme. En larmes, j’essaye de me jeter sur lui pour l’empêcher de le faire. Mais je ne pu l’en empêcher et une balle siffla. Je m’écroule alors au sol, tétanisé. C’est alors que je vis ce qu’il se passa. La balle… venait de traverser sa tête. Il n’y eu que des flammes à gauche à droite. J’étais tout bonnement abasourdi. C’est alors que je compris… Son corps, était une véritable torche humaine. Il ne craignait pas les balles, il ne craignait pas la chaleur, car il était le feu lui-même… La maîtrise du feu requise était tellement difficile, un sacrifice que peu de personnes étaient capables d’accepter. Devenir la flamme elle-même…
Après ce traumatisme, c’est ainsi que repris mon apprentissage de cette magie. Je n’eu de cesses à m’entraîner, surtout ma vitalité. La concentration demandée en énergie était colossale. Durant des années je n’ai cessé de m’entraîner, apprenant à devenir plus fort et à devenir l’égale des mages que l’on pouvait voir dans les guildes, dans les livres d’histoires… Moi aussi, j’avais envie d’avoir mon nom et mes photos répertoriées dans ces livres. Que des enfants à travers le monde puissent dire « j’ai envie de ressembler à ce garçon ». C’est à mes 19 ans que mon père jugea bon de me ramener auprès d’Alice et d’Eleanor. Bien que l’on se tenait au courant via des lettres, revoir Maman ainsi que ma petite sœur me ferait le plus grand bien. Mon père me confia sa montre que je mis au poignet. Il m’expliqua alors que cette montre avait quelque chose de spéciale. Elle était capable d’atténuer la puissance magique de celui qui l’a portait. Ceux qui ne maîtrisaient pas totalement les magies comme la mienne devaient porter cette montre ou un objet quelconque aux propriétés semblables. Ainsi, bien que j’étais tout de même capable de manipuler le feu. Je n’étais plus fait de flamme, je n’étais plus cette torche humaine qui brillait lorsque je portais cette montre. Je pouvais ainsi évoluer dans un environnement sain lorsque je la portais. Mon père m’interdit de retirer cette montre sauf en cas de crise. En effet, il affirma que je ne maîtrisais pas encore assez mes pouvoirs afin de pouvoir vivre auprès des autres sans les mettre en danger inconsciemment. J’avais du mal à accepter son ordre. Mais je m’exécutai par simple mesure de politesse.
Homme : Tu sais ce qu’il t’en coûte de vouloir nous défier ? J’espère que Papa et Maman tiennent beaucoup à toi car comme ça ils auront une bonne raison de se suicider !
??? : … Fils de pute…
Homme :Pardon ? J’ai pas bien entendu… Qu’est-ce t’as dit ?
??? : … Fils de…
L’homme s’approcha de moi et me frappa de plus belle, il me brisa quelques côtes. Sa main attrapa mon nez et me le tord encore plus, la douleur est trop vive je ne peux m’empêcher de hurler. Mais il ne s’arrête pas là, ce dernier me donne un soufflet du revers de sa main.
Homme : FERMES TA PUTAIN DE GUEULE, ok ? Je crois que t’as pas compris qui c’est le patron ici !
III- Retour à la maison
On ne tarda pas à rentrer chez nous… Les retrouvailles furent chaudes en émotions. J’en avais bavé pendant tant d’années. Les larmes coulèrent d’elles-mêmes dans les deux partis. J’avais passé beaucoup trop de temps à l’étranger et il était temps pour moi désormais de rattraper le temps perdu. Ma sœur avait désormais 17 ans, elle était devenue très belle. Alice était devenue l’idole de son école. Elle avait trouvé un petit ami qui était fort sympathique. Beau, intelligent et attentionné, je ne pouvais qu’espérer le bonheur de ma sœur auprès de ce jeune homme. J’étais au fond de moi un peu jaloux, mais j’arrivais à me dire que si j’étais parti ce n’était pas pour rien au final. Il était temps pour moi de rattraper le temps perdu. Je n’avais aucun diplôme, il m’était donc impossible de trouver un travail à temps complet afin de pouvoir avoir de quoi me nourrir. De plus, mon père ne me jugeait pas encore prêt pour rejoindre une guilde. Il trouvait que je manquais de maturité. D’un certains côté je le comprenais c’est pour cela que je ne l’ai jamais contesté. Il fallait que j’arrive à me débrouiller par moi-même, arriver à endurer le dur coût de la vie et à comprendre ce que signifiait le mot « galérer ». Et il ne me fallut que peu de temps avant d’en connaître toute l’ampleur. C’était réellement terrible. Arriver à trouver un petit job et regarder toutes ces personnes qui s’amusaient, riaient pendant que toi tu devais vendre du pop corn ou autres sucreries en tout genre à la criée dans les rues. En sachant que tu ne pouvais pas y toucher, pas mêmes aux petites barres chocolatées sous peine d’être amendé. Cependant je ne souhaitais en aucun cas perdre a maîtrise de cette magie pour laquelle j’avais dû sacrifier tant d’années. Je m’efforçais, dès que l’occasion s’offrait à moi de prendre une semaine de congé afin de parfaire ma maîtrise de ce feu. C’était réellement difficile, je savais que j’étais loin d’atteindre le niveau de mon père. Je ne pouvais me concentrer qu’une heure à puissance maximale. Bien que cette fameuse puissance maximale ne me permettait guère plus qu’à lancer deux boules de feux… J’étais réellement lamentable et j’avais tendance à perdre confiance à moi de temps à autres. Mais Alice était là, pour m’aider et me réconforter. Elle me présenta d’ailleurs à ses amies de l’école. Je pu faire la connaissance d’autres personnes en dehors du cercle familiale. C’est d’ailleurs grâces aux nouvelles connaissances que m’avait fait rencontrer ma sœur que je pu finalement m’adonner au plaisir de la chair pour la première fois de ma vie. J’y pris d’ailleurs goût et aimer me laisser bercer dans les bras doux, reposant ma tête sur un cœur battant chaleureux d’une jeune femme pleine de bon sens. J’étais réellement heureux. Mais ce n’était sans savoir que peu de temps après il y allait avoir cet évènement qui allait bouleverser ma vie de manière définitive…
On appela l’homme alors qu’il finissait de me sermonner. J’avais tellement morflé que la douleur semblait disparaître d’elle-même ce qui semblait bien ironique. J’entends un bruit métallique, ainsi qu’un frottement. Je crois que l’on vient de faire passer un morceau de papier à mon tortionnaire. C’était peut être des directives ? Ce dernier se rapprochait de moi tout en hochant la tête comme s’il venait de comprendre quelque chose…
Homme : Alors comme ça tu viens d’une famille d’Orpheus et tu as une petite sœur… Ô mais elle est morte… C’est triste…
??? : Ne…
L’homme en noir donne alors un coup de genou dans le nerf situé au niveau de mon biceps. La douleur est vive et je me tais immédiatement.
Homme : Tu sais quoi… Finalement on se ressemble pas mal… J’avais une petite sœur aussi… J’aurais tout fait pour elle, absolument tout… J’en étais devenu fou d’ailleurs… Et tu sais ce qui est drôle ? Hein ? C’est qu’elle, elle ne pensait vraiment pas la même chose de moi cette garce… Ah ! C’était la bonne époque… Tu ne trouves pas ?
IV- Le Drame…
Nous étions en automne. Je venais de terminer ma journée de travail, exténué, c’était avec peu d’entrain que je rentrais chez moi. Ma seule envie ? Terminer ma journée au lit sans avoir à penser au lendemain ! Arrivé au seuil de ma porte, je n’entendais aucun bruit venant de l’intérieur de mon chez moi. Je trouvais cela vraiment étrange, habituellement on pouvait entendre les bruits de pas de ma mère qui faisait le ménage ou préparait le souper. Mais cette fois-ci, rien, les volets étaient tous fermés. Je pensais que ma mère et ma petite sœur étaient probablement allées faire quelques courses au supermarché d’à côté. Nous n’étions que trois à vivre dans cette maison actuellement, mon père était parti en mission cela fait une semaine déjà. Il ne devait d’ailleurs pas tarder à rentrer, son expédition ne durerait que peu de temps et il devait être de retour pour le week-end. La porte était fermée à clef. Je sors machinalement ma clef et l’insère dans la serrure, la tournant délicatement jusque entendre le fameux « click » significatif. Ouvrant la porte, je me rends compte que rien n’est allumé. Haussant les épaules, je referme la porte derrière moi. C’est alors que j’entends des gémissements venant de mon dos. Faisant volte face, je n’eu le temps de voir cette barre de fer qui me donna un coup si violent au front que je m’écroule sur le coup. Puis après, je ne vis plus rien… On venait d’agresser notre famille… Et on venait probablement nous kidnapper. C’était une situation que je n’avais jamais vécu auparavant. Cette montre, si jamais je ne l’avais pas porté à ce moment, cette barre de fer ne m’aurait fait aucun mal et j’aurai pu m’occuper de ces personnes en moins de deux…
Me réveillant, j’avais une forte douleur au crâne. J’avais mal aux bras, je me rends compte que j’étais assis, les mains liées dans une cage. Je regardais abasourdi à gauche à droite, il y avait l’amant de ma petite sœur en face de moi. Il était totalement tétanisé par la peur. Moi aussi, je me demandais bien ce que l’on nous voulait. Cherchant ma mère et ma sœur du regard je les retrouvent un peu plus loin à part, elles aussi attachées. Les hommes qui nous avaient kidnappés étaient fort nombreux. L’un d’eux qui semblait être le chef rigolait à pleins poumons. J’avais la bouche occupée par un linge, je ne pouvais nullement crier ou me débattre, j’étais à leur merci. J’essayais d’écouter discrètement ce qui se disait de la part de mes détracteurs. C’est là que je pu comprendre pourquoi on nous avait amenés ici. Ils étaient une bande de brigands relativement dangereux, mon père, à cause d’une mission confiée à sa guilde, avait dû leur faire du tord. Ils souhaitaient donc lui tendre un piège ou quelque chose comme ça. Je ne me faisais pas de soucis. Je me disais qu’il allait bientôt venir à notre secours et que tout ceci serait bientôt terminé. C’est alors que je vis ceci, ce simple objet qui allait mettre fin à mes espoirs et qui allait me faire sombrer dans la folie. Celui qui semblait être le chef de cette organisation, avait en possession une arme qu’il s’amuser à caresser, admirant sa couleur et ses traits. Il s’agissait du revolver de mon père, le même que j’eu toucher il y a des années de cela. Il s’agissait un petit peu comme d’un objet familial sacré. Mon père ne se séparait jamais de cette arme. J’aurai pu la reconnaître entre milles, et la voir entre ses mains ne pouvait signifier qu’une seule chose… Des larmes commençaient à perler, mon nez coulait. Je n’en revenais pas. C’est alors que je le vis, des photos, des images, des documentaires à la télévision sur les faits divers. « Un membre de la guilde Solaros est décédé », « le mage sauvagement assassiné ». Ainsi, mon père était tombé dans le piège et s’était fait tuer par ces monstres. Mais ce n’était pas la fin de mes peines, loin de là.
Alors que mon cœur me faisait mal dû à la douleur de cette perte, rien ne pouvait s’arranger avec les hurlements de ma mère. Alice totalement hébété ne disait rien et tremblait dans son coin les yeux écarquillés. C’est alors que j’entendis un coup de feu. Relevant mes yeux, je regardais ma mère, qui gisait ici bas, morte. Le sang tâchait les dalles des escaliers. J’essayais de hurler à travers ce morceau de chiffon mais c’était impossible, seul un bruit sourd s’en échappait. J’osais espérer que tout ceci n’était qu’un cauchemar, un mauvais rêve, que j’allais bientôt pouvoir me réveiller. Je voulais pouvoir espérer que je me sois écroulé au seuil de ma porte à cause de la fatigue. C’est alors que je vis le chef de la bande tendre le pistolet à Alice, il lui faisait des messes basses. Des armes étaient braquées sur elle. Que cherchait-il à faire ? Un ultimatum, des plus terribles. C’est alors que je la vis se lever, marchant lentement, s’écroulant à chacun de ses pas, faible. Ils l’a relevaient de force, elle essayait de se débattre mais rien à faire, ils étaient bien trop fort et la menace des armes était sans appel. C’est alors que ce chef au visage terrifiant nous fit part de son ultimatum à moi et au petit ami d’Alice. Ce qu’elle devait faire ? Il lui promit qu’il allait la libérer avec une autre personne. Il lui laissait le choix de cette autre personne. Ceci n’était qu’un pur mensonge je le sentais dans son regard, il n’hésiterait pas à nous abattre comme des chiens une fois que l’on aurait dépassé le seuil du camp. Alice devait ôter la vie à son amant ou à la mienne. J’espérer seulement être en mesure de pouvoir la protéger une fois sortie du camp. D’utiliser mon pouvoir afin de la protéger. Mais mon âme se brisa définitivement à ce moment là. Ce moment, où, tremblante, elle leva le revolver dans ma direction…
L’homme se mit alors à parler, me regardant avec un air niais. Il disait « Tu sais mon p’tit gars, dans la vie il y a deux types de personnes, ceux qui écrasent… Et les autres. ». Les yeux écarquillés je regardais ma sœur dans l’espoir qu’elle se ressaisissent, mais son regard devenait de plus en plus déterminé, noir. Je hurlais à travers mon chiffon alors qu’elle tirait le chien du revolver. Le temps sembla se dérouler au ralenti, alors qu’elle appuyait lentement sur la détente. Le coup parti, je pu voir des flammes apparaître au bout du canon. La balle fusa en ma direction… Puis… une explosion. Personne ne réagit puis, soudain, tous étaient étonnés, puis effrayés. La balle traversa la cage et alla se loger dans la cuisse d’un des kidnappeurs. Je n’étais pas mort. Alice se mit à stresser et tout en criant vida le chargeur du revolver sur moi. Visant mon visage, elle faisait pourtant mouche à chaque tir et pourtant, je ne mourrais pas. Je relève alors ma tête et comprend… Je n’avais plus ma montre, ils me l’avaient retirés, dans le but probable de la revendre à bas prix. Ils m’avaient pris mes objets de valeurs… Cette montre en faisait parti. Alice désemparé jeta le pistolet au sol et beugla des paroles traumatisantes, je m’en rappelle encore aujourd’hui, ces paroles qui brisaient votre humanité « Pourquoi tu ne peux pas crever Ross ?! Meurs merde ! ». Je comprenais maintenant pourquoi la magie que mon père m’avait enseignée était si dangereuse et si puissante. Je venais dès l’instant présent d’éviter la mort. Devenant complètement instable, et comprenant que je possédais les pleins pouvoirs de mes capacités magiques, c’est dans un hurlement que mon corps tout entier se mit à s’embraser. Le feu brûla mon chiffon, mes liens qui me retenaient et cette cage de bambou. La proximité des flammes tua le petit ami d’Alice ainsi que ma petite sœur elle-même. Mon kidnappeur s’était déjà enfui. Sortant de ma cage, j’attrape alors ce fameux revolver. Courant dans tous les sens, les kidnappeurs étaient sans dessus dessous. Retrouvant mes affaires personnelles, j’attrape ma montre que je glisse dans ma poche et m’enfuit de cet endroit, le maudissant… Je ne savais pas comment je m’en étais sorti, ils avaient réussis à abattre mon père mais pas moi… Peut être était-ce dû à l’effet de surprise ?
??? : Je ne suis pas comme… vous… Ma sœur est morte… D’une maladie… Vous n’êtes qu’un pauvre demeuré !
L’Homme sans un mot pointa alors son couteau en direction de ma jambe. D’un geste vif, ce dernier le plante dans ma cuisse. Le sang coulait, la douleur était à la limite de l’insurmontable. Mais aussi étonnant que cela puisse le paraître, il me fit un bandage pour stopper le saignement… Il voulait probablement me tuer à petit feu.
Homme : Tu sais… Ma sœur aussi est morte d’une maladie grave… Tu sais ce que c’est ? Cette maladie qui consume chaque être humain dans des situations de stress intenses… Tu sais comment ça s’appelle ? Je vais te le dire, c’est…
V- La guilde Solaros
De retour chez moi, le choc fut rude. J’étais devenu complètement instable dans ma tête. Tous ces démons qui venaient m’envahir, je n’étais plus capable de dormir correctement. Toutes les nuits ces cris et la trahison de ma sœur me hantaient. Je ne savais que faire, je ne savais plus qui j’étais. Il m’arrivait souvent de me mettre dans un coin de ma maison, recroquevillé et les mains sur la tête. Regrettant amèrement d’avoir voulu suivre les traces de mon père dans le monde magique. J’avais échoué dans ma mission de protection. Me trahir faisait-il parti aussi du plan ? Je tournais en rond dans ma tête durant deux mois. J’étais devenu quelqu’un de totalement associable, instable. Mes cernes étaient profondes et la populace avait tendance à me fuir. J’ai commencé ainsi à me droguer avec différents produits locaux afin de pouvoir oublier. Que ce soit par les alcools coûteux ou les plantes médicinales que je roulais avec du tabac, rien ne me suffisait afin de combler ce vide que je ressentais. C’est alors que les paroles de cet homme qui bouleversa ma vie se mirent à tourner en rond dans ma tête «… Dans la vie, il y a deux sortes de personnes, ceux qui écrasent, et les autres… ». C’est alors que je compris, les paroles de ce fou n’étaient pas si insensées. Il venait de m’apporter beaucoup plus que ce que je n’osais l’espérer. C’est alors que j’eu décidé d’appliquer ses paroles à la lettre. J’allais devenir l’homme qui écrasait les autres. Le magnum de mon père, héritage personnel, portait une histoire bien trop sombre. Le simple fait de le regarder me donnait des nausées. C’est alors que sur un coup de tête, j’ai décidé de le ranger dans une vieille boîte poussiéreuse en compagnie de quelques autres vieux dossiers tel que des photos de familles. J’ai économisé en continuant à faire des petits boulots mais ce n’était pas assez si ce n’était pour vivre. Il me fallait un autre moyen, quelque chose qui allait me rapporter l’argent nécessaire à mes besoins. Un endroit où je serai entendu et non rejeté par la société. Où des souffrances telles que les miennes seraient écoutées et partagées. C’est chez Solaros que je décidai de me rendre. L’accueil ne fut pas chaleureux, bien au contraire. Mais finalement, en annonçant mon nom, je pu être entendu par la chef de la guilde. Une femme froide, riche et puissante. Elle me regardait avec des yeux mesquins et semblait bien arrogante mais je n’en avais cure. Elle me demanda pourquoi je souhaitai les rejoindre. Je lui ai expliqué tout ce que je savais sur mon père, qu’il faisait déjà parti de cette guilde durant son vivant, je lui ai aussi expliqué que j’avais bel et bien l’intention de ne pas reprendre son travail, mais de devenir bien plus puissant que lui et obtenir des choses dont il n’aurait même pas osé rêver. Cette ambition, je pense que c’est ce qui lui a plu ou peut être le fait que je possédais l’héritage magique de mon père. Aussi étonnant que cela puisse paraître je fus accepté au sein de la guilde. Il était désormais temps pour moi de faire mes preuves et de grandir. Les débuts furent difficiles au sein de cette guilde, je devais être en mesure de me tenir à carreaux. Dans le pays où on était tout dépassement vaudrait une exclusion définitive et permanente de la guilde et je ne pouvais me permettre cela. J’avais donc tendance à prendre certaines substances illicites en cachette afin de pouvoir rester calme. Cependant dès que je quittais l’enceinte de la guilde et que je partais faire des petites missions, je laissais libre cour à ma colère et à mes sautes d’humeurs. Les années passèrent au sein de cette guilde. Et au fur et à mesure je me fis un nom sans pouvoir y apporter mon grain de sel. Ils décidèrent de me surnommer Bullseye. C’est de par ce surnom que petit à petit on commençait à me connaître. Au sein de ma guilde, rare étaient les personnes qui m’appelaient par mon prénom. Cela m’irriterait si je n’étais pas complètement détruit psychologiquement parlant lorsque je suis dans l’enceinte de ma guilde. Cependant avec de la réflexion, cela allait dans le sens de mon but, devenir connu. Bullseye serait le surnom et ce qu’il y aurait écrit dans les livres d’histoires pour les enfants. C’était un pas de plus vers mon but, mon rêve, malgré ma situation de toxicomane, l’histoire avait tendance à effacer les petits détails. Je m’y en vente la maison dont j’ai hérité. J’avais désormais tendance à porter la montre de mon père. D’un certain point de vu, j’étais de nouveau heureux. De par ma nature, on me confia quelques missions « sales » car avec mon instabilité, je n’hésitai pas à faire du zèle. J’ai désormais 24 ans… Et c’est à ces mots prêts que se termine mon passé, il est désormais temps de laisser le champ libre au présent.
On vient de lui passer de nouveau un dossier à travers cette fameuse fente. Ce dernier le récupère et semble calme quelques instants. Puis il se met alors à parler.
Homme : Hey regardes, il y a ton nom marqué sur cette feuille… Alors… C’est quoi ton petit nom déjà ? Je l’ai déjà oublié… Voyons…
??? : Finissons…-en… Je n’en… peux plus.
Homme : Comment ça, TU VEUX EN FINIR ? Mais pourtant je trouve que l’on s’amuse tout les deux, tu trouves pas ?
???:...
Ce dernier se rapproche, parlant d’un air niais tout en regardant le plafond.
Homme : Bon bon bon, d’accord… Finissons-en… Je suis d’accord avec toi.
L’homme se rapproche encore plus de moi. Il ne devait y avoir guère plus de trente centimètres qui nous séparaient désormais l’un de l’autre.
Homme : Alors… Je te laisse le choix… J’suis un type cool non ? Regardes, soit… -Il me colle la lame du couteau contre ma gorge- tu te tranches la gorge, soit… -Il colle alors la pointe du couteau au niveau de son cœur- ou tu me tues… Alors, tu décides quoi ? T’ATTENDS QUOI POUR TE DECIDER ?
???:… Crèves… Bâtard.
J’use alors de toutes mes forces. Afin d’enfoncer dans un ultime effort mon couteau dans sa poitrine. Ce dernier feint une grimace met il se met alors à rigoler comme un demeuré.
Homme : Alors, tu la trouves comment ma blague ? Hein Allan ? C’est comme ça que tu t’appelles hein ?
Allan : Espèce de… Comment…
Homme : Mais… Tu n’as jamais entendu parlé de moi ? Je suis Athem… Ross, Athem, tu sais non ? BULLESEYE TROU DU CUL ! Je suis un membre de la guilde Solaros, S-O-L-A-R-O-S, SOLAROS PUTAIN ! TU SAIS, LA GUILDE QUE T’AS ESSAYE DE CREVER AVEC TES P’TITS COPAINS ?!
Allan : C-Co…
Ce dernier se relève alors, reprenant le couteau, ce dernier le plante sur la table qui se trouvait derrière lui. Il met alors la paume de sa main droite au niveau de son visage. Aussi étonnant que cela puisse paraître, cette dernière commence à s’illuminer et le feu commence à l’embraser ; il tourne alors son visage en ma direction, me regardant droit dans les yeux.
Ross : Dis-moi Allan… Je t’ai déjà donné la définition du mot folie ?
Hrp :
Spoiler:
Une petite explication sur le chapitre IV. En effet on peut se demander comment est-ce possible ? La question est légitime. J’ai écris le récit à la première personne et cela me pose des contraintes.
La mort du père de Ross : Les kidnappeurs forment en réalité une pègre. Qui dit pègre dit argent, ces derniers possèdent des moyens élevés. Après avoir kidnappé la famille de Ross, ces derniers ce sont fait injecté des drogues afin de les maintenir endormis. Ils laissèrent un mot de menace au père de Ross, lui donnant ainsi un rendez-vous. Bien évidemment il s’agissait d’un piège. Cependant, ils lui donnèrent un rendez-vous éloigné de sa famille. Souhaitant sauver sa famille il n’avait d’autre choix que de se plier au règle. Malheureusement ces derniers étaient bien trop nombreux et malgré son immunité qui semblait presque totale, sa vitalité ou ses ressources magiques ce sont épuisées vu les attaques qu’il subit. Devenant vulnérable c’est ainsi qu’il s’est fait tuer.
Le choix d’Alice : Le deuxième problème vient alors avec le choix d’Alice. Pourquoi a-t-elle décidé de tuer son frère plutôt que son petit ami ? Elle avait 17 ans et demi. Traumatisé par la perte de son père et de sa mère, l’ultimatum aurait normalement dû aller en faveur de son frère aîné. Cependant elle cacha quelque chose à toute sa famille y compris son frère lui-même. Elle sortait avec cette personne depuis l’âge de ses 15 ans. Ce dernier lui faisait des promesses tendancieuses. Trois semaines avant le drame ils décidèrent de s’adonner aux plaisirs charnels sans protection. Ainsi, elle était donc tombée enceinte. Elle n’était pas idiote et pensait pertinemment savoir ce qui allait se passer. Mais elle voulait espérer. Pour le bien de l’enfant qu’elle souhaitait avoir avec son amant, tuer Ross était pour elle la meilleure solution. Elle souhaitait que son enfant puisse connaître un père et une mère. D’où les paroles blessantes que Ross pu ouïr, sous l’émotion elle ne balbutiait, un sentiment de désespoir qui se changeait en rage. Ross ne le savait pas et ne le sait toujours pas ce qui entraîna sa folie. Il n’était qu’un jeune madoshi comme la plupart, bien faible moralement en somme. D’où son penchant pour les drogues etc.
La fuite de Ross : Comment Ross a-t-il pu s’enfuir ? Cette question possède une réponse bien plus compréhensible. Une fois son père mort, ils envoyèrent son arme par colis express afin d’annoncer la nouvelle au camp où se trouvait le reste de la famille Athem. Ainsi ils n’étaient qu’en effectif réduit. Hors à bas niveau, la maîtrise de Ross ne lui permettait pas de dégager de chaleur lorsqu’on retirait sa montre hormis si on venait à le blesser avec des armes tranchantes ou par balles on ne pouvait le savoir. La surprise fut totale dans le camp au moment où Ross laissa libre cours à sa colère. Ainsi, désemparés, ils n’eurent le temps de se réorganiser et d’abattre le jeune Athem qui s’est enfuit rapidement même si pour lui cela pouvait sembler être une éternité !
Voilà, la première personne m’empêchait de dire cela, j’espère que j’ai répondu à quelques questions d’illogisme dans mon histoire. Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas je répondrai le plus promptement possible.
Bien à vous.
Test RP
Test Rp (si magie demandée : dragon slayer, magie interdite/oubliée, Métamorphe légendaire, mercenaires ): 60 lignes minimum, une qualité irréprochable est exigée.
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Dim 1 Fév - 16:37
Bar quelque part dans l’archipel d’Orpheus, 9.00 p.m
Je frappe mon poing contre la table… Mon esprit était embrumé par tous ces maléfices qui me hantaient. Depuis ce jour funeste ; cela faisait déjà 2 mois que cette nuit terrible où seul le sang avait été mis en avant. Ma famille, mon père et ma mère avaient étés sauvagement assassinés par ces raclures. Ma sœur avait essayé de me tuer… Et moi ? Qu’étais-je devenu dans tout cela ? Un sale ivrogne qui passait ses soirées dans les bars depuis une semaine durant. Je ne faisais que me lamenter et je ressassais sans cesses le passé. Je me lamentais sur mon propre sort, regrettant d’être venu sur Earthland. Le suicide était-il envisageable ? Il n’y a pas de doutes, j’y pensais sans cesse. Il était encore tôt et pourtant il y avait déjà quelques personnes dans le bar. On devait être une dizaine de clients sans compter le barman. Je me trouvais au fond de la pièce, dans un angle. Je regardais la bière que j’avais commandé il y a déjà une demi-heure. J’admirais la mousse qui disparaissait petit à petit de ce liquide jaunâtre. Un homme vint alors à ma table. Je ne le regarde pas et contente d’amener ma choppe aux lèvres, absorbant une gorgée de ce liquide amer. Ce dernier pose lui aussi une choppe en fasse de moi. Il semble me vouloir quelque chose, cependant je ne fais rien et n’engage la conversation. C’est alors que ce dernier décide de parler, engageant un échange.
Homme : Toi aussi j’ai l’impression que ça ne va pas fort. J’ai tord ?
Je fis mine de ne pas l’entendre. La réponse semblait bien évidente. Je me contente simplement de boire une nouvelle gorgée, ne lui répondant pas.
Homme : Tu sais hermano, j’ai moi aussi eu des problèmes lorsque j’avais ton âge… Et j’ai trouvé une solution qui me permet encore aujourd’hui d’être en vie. Un moyen… pour oublier cette douleur qui te saisit le cœur.
J’avais du mal à comprendre ce qu’il me voulait. Mais ses paroles résonnèrent dans ma tête avait-il vraiment un moyen miracle pour me faire oublier cette douleur ? Cette douleur qui me poignardait le cœur chaque instant de ma vie, chaque seconde de mon existence qui était une véritable torture ? Je décide finalement à lever les yeux vers ce dernier, c’est alors qu’il me fait signe de la main de le suivre. Se levant, il pose quelques pièces sur la table. J’en fais de même et le suit au dehors du bar. Il ne dit alors mot et me demande de le suivre sans faire de bruit. Nous nous déplaçons en silence, le quartier était mal famé, ainsi on n’attirait que peu l’attention. J’avais des cernes profondes je ne dormais que peu la nuit, lui, semblait être le stéréotype du type louche. Le genre de personne que vos parents préconisent de ne jamais approcher dans la mesure de possible. Mais maintenant que ma famille était morte je ne voyais pas réellement d’intérêt à refuser son invitation. C’est alors, que nous étions dans une ruelle, à l’abri des regards indiscrets, qu’il se mit à fouiller ses poches. Il en sortit quelque chose que je n’avais jamais vu jusqu’alors. Cela ressemblait à une cigarette, mais elle était bien plus grosse et longue. La cigarette semblait avoir été roulée et avait quelques couleurs verdâtres. Il me demande si j’ai du feu, je lui demande de mettre cette chose à ses lèvres et allume le bout de mon index d’une petite flamme. Il l’allume donc et me remercie. L’odeur de la fumée qui dégageait me donnait des nausées. Qu’était-ce ? C’est alors qu’il me tendit la chose, après avoir tiré dessus. Il me le tend gentiment. Acceptant sa proposition, j’amène ce qui semblait être un morceau de carton à mes lèvres et aspire dedans avant d’inspirer de l’air. Mes poumons brûlent et je tousse, ma gorge me faisant mal au passage. C’est alors en répétant la même action quelques fois que je sentis quelque chose d’étrange monter à mon cerveau. Une sensation… de bien être. Qu’était-ce ? Un bien-être intense, je me mis à sourire seul. Mon cerveau embrumé, la douleur qui me saisissait le cœur s’était volatilisée. C’est sans m’en rendre compte que je finissais ce qui semblait être un pétard. Je regarde alors cet homme qui m’avait fait montrer ça. Le sourire aux lèvres on se mit à rigoler pour un rien. On tissait des liens, on s’amusait. Il urinait sur les poubelles publiques, je me fendais de rire. Cela faisait combien de temps que je n’avais jamais ressenti cette sensation de bien être ? Deux mois ? Un an ? Peut être plus ou peut être moins… Je ne savais plus, j’avais oublié. Cet homme avait raison. Il m’apprit le nom de cette plante. Il s’agissait d’une drogue. Nous parlâmes assis sur un banc, alors qu’il en allumait un autre. Je regardais les étoiles dans le ciel, je n’avais plus aucune notion du temps, les heures défilaient. Je me sentais tellement bien ainsi que j’avais envie que cela ne se termine jamais.
Comme on pouvait s’y attendre, la nuit passait et lui devait s’en aller. J’en fis de même. Je le savais, les effets n’étaient pas à durée illimitée. La sensation d’euphorie qui me saisissait il y a peu disparut. C’est alors que je me rendis compte que j’avais besoin de cette sensation ressentie il y a peu. Je me retournais sans cesse dans mon lit, repensant à ce que j’ai pu essayer cette nuit là. Mes démons avaient refait surface, cette euphorie omniprésente qui saisissait mon âme avait totalement disparue. Le lendemain, je n'eu qu'une seule idée en tête, retrouver cette même sensation. C'est ainsi que commença ma vie de toxicomane. L'herbe ne me fit rapidement que peu d'effet. Je m'étais habitué à la sensation qu'elle me procurait, et aussi prévisible que cela puisse être, il m'en fallait plus. Je me m'y à chercher partout, essayer les drogues locales était ma devenu ma raison de vivre. Mon cerveau semblait tenir un catalogue de ces produits illicites. J'en venais même à essayer d'ingurgiter des objets quotidiens qui étaient toxiques afin de me détruire l'encéphale. Ma santé n'était plus très bonne, mais aussi étonnant cela puisse paraître, mon corps s'y habituait et petit à petit je devais augmenter les doses. Sans que je ne m'en rende réellement compte, mon corps devenait résistant à des doses de substances jusque l'extrême. Un humain qui essayait ne serait-ce qu'une fois ce que j'avais tendance à prendre aurait tantôt pu être grièvement malade ou peut être même mort. C'est alors, qu'en prenant un verre d'alcool je me rappelle ce jour, où j'avais essayé pour la première fois quelque chose qui n'était pas d'ici... Un petit champignon, dont je ne saurai vous donner l'origine. Il m'a été donné par un vieil homme, un scientifique apparemment. Il disait faire des recherches. Je me rappelle encore ce moment où j'ai amené ce champignon à mes lèvres le humant puis... arrachant une partie de son chapeau avec mes incisives.
Ross :Qu'elle est cette... sensation...
Alors que j'avalais le champignon ma tête, cette dernière semblait comme passer sous un rouleau de fer. Mes membres, je ne les contrôlent plus, je commence à tituber de manière complètement aléatoire. Ma vision se trouble. J'avale alors le champignon et après l'avoir mâcher l'avale aussi sec. Je sens mon corps tomber en arrière, le ciel bouge. Je me retrouve à marcher sur ce dernier. Je suis apeuré quelques secondes. Les personnes se métamorphosent devenant des silhouettes informes puis, se transforment en végétation. Les bâtiments deviennent énormes. Je peux marcher sur les murs de ces derniers. Cette sensation est tout simplement incroyable, aucun autre mot ne pourrait décrire cette sensation que je ressens. Des oiseaux naissent des fleurs. Ils viennent et dévorent les arbres. Je ne me rend pas directement compte que je commence à sourire. Je rigole puis me met à m'égosiller, mon ventre me fait mal tellement je ne peux m'empêcher de rire. Je continue d'avancer sur ces murs. Les fenêtres se brisent et deviennent de la poudre. Lorsque j'approche ma main, cela ne me fait pas mal. Lorsque je souffle, la poudre de verre vient se mélanger avec les oiseaux qui se transforment de nouveau en quelques monstruosités. Je commence alors à courir, sautant de mur en mur, utilisant le tronc des arbres presque aussi large que le mur de ces bâtiments comme appuie pour me déplacer. Une lumière apparaît au loin. Je continue de courir, je saute, le monde derrière moi se flétrit et disparaît petit à petit au fur et à mesure que je m'approche de cette lumière. J'y suis presque. Dans un ultime saut je tend ma main afin de saisir cette lumière. Au moment où je l'attrape, je me sens comme projeté en arrière avec force, dans un hurlement de terreur je plonge dans les ténèbres qui m'engloutissent. Mon corps commence à me faire mal. Je ferme alors les yeux et sens quelque chose me frapper la joue. Je commence à cligner des yeux et suis projeté de nouveau dans le monde réel. Le vieillard était là au-dessus de moi, je pouvais voir ses dents jaunis alors qu'il souriait. J'étais plein de sueurs. Une fois l'instant de terreur passé je me mis à rigoler, ce même rire malsain qui me caractérisait depuis peu, que j'avais adopté.
Peu après cet évènement je me rendis compte qu'il existait des substances magnifiques en dehors d'Orpheus. Je n'avais cependant pas les moyens de me payer de tels voyages. J'eu de nouveau de l'ambition. Retrouver mes rêves enfouis il y a longtemps de cela. C'est alors pour la première fois que je tourne mon regard vers cette guilde qui pourrait assouvir tous mes désirs pour peu que je me rende utile... Cette guilde n'était autre que Solaros...
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Dim 1 Fév - 16:47
Valentine Sting
Nom : Valentine
Prénom : Sting
Pseudonyme : Kokuen (Tr: Smoker, en référence à la fumée que l'on ne peut attraper)
Age : 280
Genre: Un mâle viril et *la suite n'est pas disponible, veuillez souscrire à un pack gold*
Grade désiré(division/etc) : Ex-vice capitaine de la 11ème division si possible. Il est homme à tout faire dans le monde des humains.
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Description Physique :
Sting… Un personnage énigmatique qui cache un passé bien lourd. Ce qu’il faut savoir, c’est que Sting n’est pas son véritable prénom. Alors, pourquoi une telle mascarade ? Vous le découvrirez très certainement dans son histoire qui risque d’être palpitante et très intéressante. Mais, ce personnage dont nous parlons, à quoi ressemble-t-il ? Quels sont ces traits qui font de lui un personnage hors du commun ou du moins, qui le distinguent des autres. La liste est si longue qu’elle risquerait de vous donner mal aux yeux si le tout se trouvait à être empaqueté en un seul et même bloc. Procédons par paragraphe distingué afin de rendre le tout net et plus agréable à la lecture voulez-vous ? Nous allons décrire ce personnage physiquement du haut vers le bas en allant du général au précis.
Tout d’abord commençons rapidement par parler de ses mensurations (les filles rien de pervers ne sera énoncé durant cette description physique non mais ho !). L’homme qui se trouve en face est un homme de grande taille, ce dernier avoisine le mètre quatre-vingt-cinq/quatre-vingt-dix. Il doit probablement flirter avec la barre des quatre-vingts et quatre-vingt-dix kilogrammes. Oui en effet, c’est assez approximatif comme idée mais voyez-vous, le personnage ci présent n’est pas l’archétype féminin/androgyne qui aime se mesurer taille et peser sa masse corporelle tous les jours. On va dire qu’il… a autre chose à faire de sa vie en effet, employons vos mots. Cet homme est du A+ (oui je parle du sang), pourquoi une telle anecdote ? Et bien je pense qu’il est plus utile d’en parler ici que dans la description mentale bien qu’elle pourrait y trouver sa place mais nous y reviendrons.
Après avoir abordé ses mensurations, passons maintenant à la description morphologique de sa tête. Cet homme semble pourtant jeune, il ne possède ni ride, ni carrure, ni posture laissant présager un âge avancé. Cependant, il possède des poils capillaires d’un blanc immaculé. Etrange n’est-ce-pas ? Et pourtant cela est bel et bien vrai. Pour on ne sait qu’elle raison, ses cheveux blancs sont arrivés relativement tôt, quelques décennies après son intégration dans le Gotei 13. Ces derniers sont fins et lisse, l’on croirait de la soie au toucher. Luisant à la lumière du soleil haut dans le ciel, ses cheveux tombent de part et d’autres de son visage. Ils ne sont pas très longs, ils ne lui arrivent guères au niveau des yeux en ce qui concerne la partie frontale et descende jusqu’au niveau de la mâchoire sur les côtés. Atteignant la moitié de la nuque à l’arrière de sa tête. Ses cheveux sont une marque de distinction parmi les autres, en effet, rare sont les personnages avec des cheveux blancs comme lui. Ils laissent présager un mentalité froide et seiche, pourtant la vérité est tout autre…
Descendons ensuite un peu plus bas, nous allons nous intéresser à la face du personnage. Ce dernier ne possède que très peu d’imperfection à son visage. Mais cela est assez… spécial, comment dire, il ne possède pas le visage fin, ni même des yeux à en couper le souffle. Pour le dire en quelques mots, son visage va de concert avec le reste de son corps. C’est comme si le tout ne faisait qu’un, que l’on ne pouvait retirer chaque micromillimètre de son corps sans en abîmer la totalité. Ses yeux sont assez longs et ne ressemblent guère à des amendes. L’iris de l’œil , ni rouge, ni aucune autre couleur abracadabrante sortie tout droit des contes de fées les plus absurdes comme le mauve. Ses yeux sont d’un bleu clair et profonds à la frontière entre le bleu ciel et le blanc. Imaginez cet homme qui vous contemple de loin avec ses yeux perçants. On dit que les yeux sont les fenêtres de l’âme, et bien ici cette expression n’a jamais trouvé aussi bon exemple. Les yeux de cet homme pourraient aisément trahir toute la mentalité et la façon de penser du protagoniste. Ils sont capable d’exprimer à eux seuls sa soif insatiable de barbarie comme il seraient capable de vous montrer la profonde solitude qui habite son âme. Les yeux sont habillés par des sourcils fins qui lui sieds bien.
Le nez de cet homme est fin et les narines ne sont ni trop grosses, ni trop fines comme les femmes par exemple. Il a le bout du nez légèrement pointu vers le haut. Sa principale utilité ? Et bien comme 99% des animaux dotés de nez , à respirer et à renifler (et accessoirement à attirer son mucus dans sa gorge pour le recracher aussitôt, dans un langage familier c’est un molard oui ). Aucun poil ne dépasse de ses cavités ce qui ne retire pas un charme certains. Vient ensuite ses lèvres qui sont fines et ne sont nullement roses et pulpeuses. Ses derniers sont assez pâles comme le teint de sa peau qui est assez claire, habitué au climat de la ville, le climat nippon ne lui permet pas de bronzer de façon efficace et ses origines ne l’y aide pas non plus. En effet notre homme est d’origine américaine, plus précisément de l’Amérique du nord dans une ville des Etats-Unis où il n’y passa que peu de temps. Il possède une mâchoire relativement large, comme cité plus haut il ne possède nullement un visage fin. Au niveau de sa dentition il possède ses canines étrangement bien entretenu. Sa langue est relativement longue, il fait parti des personnes qui ont la fabuleuse compétence de se toucher le bout du nez avec la langue. Cette dernière pointu dans un excès de folie il peut à la manière des chiens enragés laisser pendre sa langue tel une écharpe autour du cou qui se laisserait aller au vent d’automne. Cela a tendance à rajouter un côté… machiavélique et malsain à son personnage lorsqu’il combat. Sa façon de faire vient d’un groupe de métal où le bassiste du groupe avait tendance à faire tomber sa langue jusqu’au menton, c’est glauque et pas très esthétique à voir, je vous l’accorde, mais c’est du métal et ce n’est pas sensé être très folichon. Afin de terminer sur son visage brièvement, on peut noter que son menton est relativement étendu, il ne se termine pas finement. De plus sa pilosité faciale à tendance à se développer rapidement, ainsi il n’est pas rare de le voir avec une barbe naissante et il a tendance à piquer des joues ! Oui il n’entretient pas très bien son corps, il trouve cela inutile par exemple de se doucher tous les jours car on se salit le lendemain… Il y a un semblant de logique là-dedans.
Après avoir décrit partiellement la plupart des parties visibles de sa tête, nous allons pouvoir nous attaquer à la description des autres parties de sa morphologie.
Vient ensuite la nuque de l’homme. Ce dernier ne possède pas un cou relativement fin, en effet, ce dernier est musclé et prend donc la place nécessaire. Ce cou montre avec plus d’évidence qu’il n’en faut sa trachée au milieu du cou avant qu’il n’y ait quelques os qui se montrent timidement à la base du coup. Deux pour présenter le torse de l’homme et les deux autres afin de signaler le début de ses bras.
Ses bras sont tenus à l’aides d’épaules qui sont assez larges. Les trapèzes sont gonflés de façon adéquate afin de donner une certaine carrure au personnage. Vient ensuite ses bras en eux-mêmes, ses triceps, biceps, avant bras et j’en passe sont développées. Tout ceci n’est que preuve qui vient appuyer un passé à un entraînement rigoureux, une vie antérieure mouvementée mais ce n’est pas tout. En effet, on voit aussi grâce à ses bras (et autres parties de sont corps bien évidemment ) que ce personnage aime les combats rapproché ou du moins armé. De part sa carrure athlétique il est clair qu’il n’est pas du style à se tourner les pouces à l’arrière du champ de bataille et à réfléchir consciencieusement à la tactique qu’il faut adapter pour telle ou telle situation. On peut noter finalement que la pilosité sur ses bras se fait assez timide.
Son torse et son dos, deux masses qui peut être intéressant d’aborder. Son torse est dessiné, il est gonflé avec les formes qu’il faut pour être un modèle parmi les autres shinigamis. Mais en réalité, ce n’est pas son torse mais le dos qui risque d’être plus original, en effet, que dire de plus sur son torse à part le fait qu’il est musclé, qu’il y a un nombril ? Ainsi je m’explique, pourquoi son dos risque d’être plus originale ? Parce qu’il a été marqué. Il s’agit d’une trace violette allant de son omoplate droite jusque le côté gauche de la hanche de l’homme. Cette marque n’est autre qu’une cicatrice à la taille XXL. Assurément ce n’est pas très agréable à voir au premier coup d’œil, mais après l’étonnement vient le questionnement… Comment ce shinigami a-t-il pu se faire une telle marque ? Et qui plus est indélébile ? Les avis sont partagés, certains disent qu’il l’avait depuis le début, d’autre que c’est un hollow qui en est à l’origine voir même un shinigami. Une question qui pourra trouver solution peut être dans l’histoire qui sait, si notre protagoniste daigne bien nous en faire part.
Nous descendons ensuite de plus en plus bas et nous atteignons (oui les filles) son bassin. Ses fesses sont belles et bien fermes et ne laissent dépasser aucun sillon de graisse apparent et ne possèdent aucunes vergetures non plus. Quand au devant du bassin… Nous allons dire que notre cher ami possède une pilosité moyenne qu’il daigne s’en occuper un tant soit peu et qui… a été gâté par la nature ? Bref je suis embarrassé, pas facile de faire toujours des descriptions morphologique dans le détail. Nous allons devoir d’ailleurs nous empresser de passer à la dernière partie de cette description !
Vient ensuite ses jambes, ces dernières ne sont ni trop ni pas assez larges, comme on l’a dit en début de description le tout forme un. Sans ses jambes il ne pourrait pas se déplacer, bien que l’on ne peut pas dire qu’il s’agisse d’un as de la vitesse, étant donné qu’il était un vice-capitaine à l’époque, il était tout de même capable de se déplacer à une certaine allure par rapport à un shinigami lambda. Cependant, si on le compare avec d’autres personnage, c’est sûr, notre héro est loin d’être le personnage le plus rapide au monde, on pourrait même dire qu’il est lent. Mais il ne faut pas confondre lenteur et faiblesse ! Même s’il est lent il est redoutable en combat en corps à corps à mains nus. Le sous-estimer parce qu’il est relativement lent pour un ex-vice capitaine est une grave erreur que je vous conseille de ne pas commettre. En ce qui concerne finalement ses pieds, on peut dire qu’il a la aussi de sacré patte. En effet, ce dernier chausse du 46/48. Oui, vous n’imaginez pas l’odeur nauséeuse que ses pied peuvent dégager, c’est relativement infecte.
Enfin la suite parait assez logique, vous le devinez aussi bien que moi, bien qu’il aime bien se mettre à poil pour faire… des choses pas pour vous jeunes adolescents pré pubères, notre cher ami a aussi l’habitude de s’habiller comme vous et moi ! Nous n’allons pas écrire des choses abracadabrantes car après tout, Sting est un shinigami oublié, ainsi, il est très difficile pour lui de ne pas changer de vêtements régulièrement. Il a bien évidemment sa tenue de shinigami habituelle bien que cette dernière possède une petite particularité, en effet ce sont ses manches qui sont courtes à la manière d’un t-shirt. Pour quelles raisons ? C’est parce qu’il les a découpées en prétextant, que se battre dans de telles tenues c’est comme vouloir « manger un sandwich avec des p***** de gants de boxe » a-t-il annoncé. Nous respectons donc son choix. Ensuite en ce qui concerne ses habillages dans le monde des humains, on peut dire qu’ils sont assez variés, vous le verrez la plupart du temps avec un t-shirt, une veste longue de couleur variable, mais surtout, d’un jean troué et pourri avec probablement quelque drogues dans ses poches et de l’argent humain sale. Tout ceci je pense que vous l’aurez compris, donne à ce personnage un petit aspect unique qui lui permet de s’épanouir à l’écart des autres, pour le meilleur… mais aussi pour le pire.
Cette description physique est terminée *entend des ronflements*, désormais nous allons discuter dans une autre partie de la description morale de notre héro. Comment pense-t-il ? Comment réagit-il ? Tant de questions auxquelles je vais m’empresser de répondre…
Description Morale :
Sting Valentine, deux mots qui sont sensées nommer un personnage. Ce personnage est une personne bien complexe. Il ne fait pas partie de ceux qui souhaitent sauver leur prochain à tout prix, prônant l’amitié plus que tout et recherchant la paix sans arrêts. Il n’est non plus de ceux qui recherchent à assouvir leur vengeance ou encore ceux qui souhaitent dominer l’univers par pur orgueil. L’ancien vice capitaine est quelqu’un qui possède son caractère propre, loin du stéréotype que l’on a pu mettre sur pied après des siècles et des siècles. Peut-on mettre un point sur sa caractéristique principale ? Non. Sa mentalité joue de concert avec sa morphologie, cela forme un tout.
Le shinigami oublié est quelqu’un qui paraît en apparence de quelqu’un de véritablement turbulent. Un casse pied en puissance, il n’hésite pas à se moquer de vous en vous faisant des remontrances assez tranchantes et qui ont tendances à atteindre rapidement les zones sensibles de notre subconscient. On le lui fait le reproche souvent mais il s’en moque. Il a d’autres combats à mener que celui des autres.
Il est quelqu’un de déterminé. Cela n’en fait aucun doute, comme beaucoup de ses comparses d’ailleurs, la flamme de sa volonté est telle qu’il est extrêmement difficile de lui faire faire marche arrière. Une idée en tête, un projet, si l’on ne se bat pas pour atteindre son objectif alors cela n’en vaut pas la peine. Notre héro part de ce principe et le suit à la lettre. C’est d’ailleurs ce trait de caractère qui a été prédominant qu’en plus de sa force à proprement parlée qui lui ont permit d’atteindre un tel grade au sein du Seireitei. Modèle pour beaucoup, sa détermination a réussi à venir à bout de nombreux ennemis. Sa détermination pourrait être assimilée au courage certes, mais l’équation est la même que l’on soit un héro ou un antagoniste : un grain de courage pour trois grains de folie.
La frontière qui sépare le courage et la folie ne tien qu’à un fil. Le courage qu’est-ce ? C’est la capacité à aller au-delà de ses limites afin d’atteindre son but et de vaincre tout ennemi sur son passage ? Possible, mais la folie en fait aussi partie. Alors, qu’est-ce que la folie ? Si on l’adapte à notre personnage, car il est vrai que nombre de personnes ont leur propre définition de la folie et du courage, S. Valentine est quelqu’un de véritablement fou, un cinglé par nature. Un mort sans limite. Voyez-vous, afin de différencier courage et folie une bonne fois pour toute, le courage peut être lié à la prudence. On peut être prudent tout en faisant face à l’adversité. La folie elle, ne requiert par la prudence. Imaginez, un shinigami doit affronter un hollow, avec son zanpakutô tout en prenant ses arrières et en réfléchissant à la meilleure tactique afin de le vaincre et ce, malgré les difficultés. Et maintenant, imaginez le même shinigami qui doit affronter le même hollow mais sans son arme et sans réfléchir ? La différence doit vous sauter aux yeux désormais. Et bien, notre héro et plus apte à adopter le second exemple.
Le sens de l’amitié selon S.Valentine : « L’amitié est trompeur. N’avez-vous jamais pensé, pourquoi votre ami ne venait-il jamais lorsque vous aviez des problèmes dont il n’avait que faire ? Pourquoi ce dernier disparaît de votre vie du jour au lendemain lorsque les siens sont résolus ? L’amitié est une notion de scélérat. Une personne ne se lie d’amitié avec une autre que pour assouvir ses besoins, quelque chose qu’il recherche et qu’il espère obtenir en restant avec cet « ami ». La confiance ? Pour qu’il vous poignarde dans le dos dès que possible, pas vraiment ma tasse de thé. Être un shinigami signifie avoir des responsabilités et avoir l’esprit clair. Avoir l’esprit embrumé par l’amitié n’est pas une bonne chose pour les shinigamis et leur devoir sacré de protéger le monde des humains et le monde des morts. » S.Valentine, lieutenant de la 11ème division.
Le shinigami oublié, depuis qu’il ne vit plus dans le Seireitei a trouvé un nouveau passe temps : la recherche du plaisir. Suite à des aventures tumultueuses et à l’obtention d’un gigai décent, ce dernier a essayé de se construire une nouvelle vie. Il est un touche à tout, toujours à la recherche de nouvelles choses. En effet, dans la Soul Society, le terme de sentiment est un terme assez brumeux, toujours à la recherche du devoir et de la paix. Autant dire que dans le gotei 13, vous n’aviez pas vraiment le temps de vous amuser si ce n’est boire et jouer aux cartes lors de vos permissions. Ainsi notre shinigami s’est-il essayé à de nombreux plaisirs que cela passe par le salaire, par la musique, par la drogue, la motorisation et les femmes. Notre shinigami aime ressentir toutes ces palpitations en son corps et il en raffole. Mais cela ne s’arrête pas avec la simple vie quotidienne. Cette recherche de plaisir, d’amusement, se retrouve aussi lorsqu’il combat. Il ne prend que rarement les combats aux sérieux, même si ces derniers sont à mort et où il se trouve en difficulté, Sting aime l’adrénaline et il ne va pas s’en priver. On peut le comparer un petit peu à Zaraki Kenpachi, actuel capitaine de la 11ème division, élu après le départ de notre shinigami oublié.
La colère, un sentiment qui fulmine à l’intérieur de chacun d’entre-nous. L’ancien lieutenant n’est pas une exception, loin de là. La colère est un sentiment qui est capable de surgir de son profond intérieur en une demi seconde. Il a aussi eu ses moments d’injustices, des faits qui n’auraient pas dû avoir lieu ou qui ne ce sont pas déroulés comme prévu. Au final, on peut penser que Sting ressemble beaucoup plus à un humain désormais qu’à un dieu de la mort. Sa colère est féroce et elle peut surgir en combat comme en faisant tomber ses clés dans des bouches d’égouts par exemple.
La haine, un sentiment qui rime avec colère. Colère qui peut exprimer la haine du protagoniste. Sting est un shinigami haineux, bien que cela soit proscrit par leur règlement, il est capable de vouer une haine inouïe à un concept. Haine, Colère, Folie, tous ces mots sont liés et sont capables de s’enchaîner et de tourner en boucle comme un vieux disque rayé. Mais sa haine, est-elle forcément vouée aux hollows ? Pas du tout, la boucle infinie de la vie est comme cela, il faut survivre. Afin que l’humain subsiste il doit se nourrir et se soigner. Le hollow en fait de même en se nourrissant d’humains. Le shinigami s’il veut avoir une raison de vivre, doit affronter et purger les âmes des hollows. Il n’est peut être pas opportun de vous dévoiler toutes les facettes de cette haine qui hante tant notre héro, mieux vaut attendre le moment adéquat afin de rendre le tout plus palpitant, à suivre donc.
L’amabilité : Non, il n’est pas si aimable que ça. Sting est quelqu’un de laxiste, et comme dit dans son concept de l’amitié, il n’est pas trop apte à devenir « gentil » et « tout mignon » avec la première personne qu’il croise dans la rue. Est-il déjà arrivé à Sting de se lier d’amitié avec quelqu’un ? Peut-être bien, mais c’est du passé. Le shinigami exilé prône sa solitude et le vit étonnement bien.
L’ancien vice était réputé pour être quelqu’un de quasi incontrôlable, le sens du devoir ? Notion inconnue, il a toujours agie par instinct et désirs personnels. Avoir tendance à décliner un travail qu’il jugeait « pas intéressant » n’était pas rare. Arriver à motiver le vice capitaine était compté comme étant un haut fait. Mais cela ne se limite pas au travail qu'on lui proposait mais à la totalité de ses faits et gestes.
Capricieux, oui, S. Valentine est capricieux, cela se ressent surtout dans l'état précaire dans lequel il vit dans le monde des humains. A tel point qu'il n'apprécie comme nourritures que les pizzas sans olives et ne mange en dessert que des glaces à la fraise et ce, même en hiver.
Malchanceux, notre héro n'a jamais eu de chance et pourtant il aime jouer, parier que ce soit de l'argent ou sa vie. Il a tendance à perdre énormément de paris, surtout lorsque cela consiste à réfléchir comme le poker ou le black jack, ce n'est pas qu'il est le premier des idiots, loin de là. Mais utiliser son cerveau lorsque cela n'est pas une question de vie et de mort est un acte qui requiert beaucoup d'effort pour lui...
Tout ceci donne une personnalité bien définie à notre Shingami exilé. Cependant, une telle philosophie de vie n’est pas arriver comme par magie. En effet, il aura fallut une sacré expérience de vie au shinigami afin d’en arriver à ça. Mais comment cela se fait-il ? Quoi de mieux que de débuter l’histoire de notre candidat afin d’en savoir d’avantages.
Histoire du personnage
Histoire : [be patient ! D:]
[à relancer]
Chapitre 1 : La vie n’est pas si facile que ça…
Amériques, Vendredi 13 Janvier 1710,
Voici l’histoire d’une jeune famille. Une maison des plus aisés de l’époque, faîte de pierre avec un toit et une isolation des plus commodes de l’époque. Bien que ce quartier était des plus calmes, cette fois-ci, tout le quartier était en effervescence. Des chevaux étaient étalés dans un coin du jardin, couchés, se tenant chaud en se collant l’un contre l’autre, une journée d’hiver où il neigeait encore. Une voiture était posée sur le bois qui était disposé de telle sorte afin de dessiner les limites du terrain habité. Cette dernière était accroché afin d’éviter qu’elle ne glisse. Toute la vie de cette maison était concentrée dans une seule et unique pièce, la chambre à coucher des parents. Il y avait avec eux un homme en noir avec un haut chapeau posé sur une commode. Il était prêt de la femme, cette dernière avait posé ses pieds sur deux chaises basses placées de telles sortes que ces dernières étaient bien écartées. Le ventre de la femme était rond, comme l’est la planète terre. Un grand homme aux cheveux blancs était aux côtés de la femme, lui tenant la main et lui épongeant le front avec un chiffon humide. L’homme en noir lui donnait des conseils, lui demandant de souffler calmement… L’accouchement allait avoir lieu d’une minute à lors. Puis vinrent les premières poussées du bébé et les premiers cris de sa mère. Cette dernière mena un combat difficile afin d’enfanter le bébé qu’elle avait attendu depuis 9 mois déjà. Une fois le bébé sortit, le docteur se saisit d’une paire de ciseau et découpa le cordon ombilical qui liait de façon intime la mère et son bébé qui était un garçon. Ce dernier pleurer, respirer pour la première fois l’air de l’atmosphère est des plus traumatisants pour les nouveaux nés. L’homme l’enveloppa dans un drap blanc comme les flocons qui tombaient dehors et tendit l’enfant à sa mère qui le prit dans ses bras, le câlinant et le rassurant avec des mots doux. L’appelant par son prénom qu’elle et son père avait choisis « Sting ».
Deux années passèrent, le bébé pouvait marcher sur ses deux jambes et possédait une petite touffe de cheveux noirs sur la tête. Souriant et riant, il fit le bonheur de ses parents. Cependant, une décision venait d’être prise avec le père et la mère, pour des choix de vies, la famille avait décidé de quitter les Amériques pour aller vivre dans un pays où les coutumes et les croyances étaient tout autres que la religion chrétienne qu’ils s’étaient forcés à suivre à la lettre. Leur destination n’était autre que le Japon, dans une petite ville constituée quasiment que de paysans, cette ville porte le nom de Karakura. Les Valentines ne prirent que le stricte nécessaire et embarquèrent sur le premier bateau en partance pour le Japon. Il n’y avait pas de guerre entre les deux pays, cependant, la famille du jeune garçon avaient une passion inconsidérés pour ce pays, bien qu’il n’y soient jamais aller, le peu de vent qu’ils avaient pu ouïr et la culture locale les avaient charmés. Le voyage dura un mois durant, il était difficile de se nourrir et la mère du jeune héro était fatigué. Mais finalement, le voyage se passa s’en soucis apparent. Une fois arrivés au Japon, il firent deux semaines de routes avant d’arriver à destination. Là, ils ne furent pas accueillis comme ils le souhaitaient. Il existe des problèmes de racismes partout dans le monde et cela est d’autant plus vrai au 18ème siècles. Les européens craignaient et répugnaient les pays du sud et de l’Asie de l’ouest et l’Asie de l’est craignait et répugnait les blancs. Malgré les doigts pointés vers eux, ils firent comme si ne rien n’étaient et tentèrent de s’intégrer dans la petite société. Le père travailla d’arrache pied, bâtit une maison précaire de bois à la seule force de ses bras. La mère s’occupait toute la journée de son enfant qui devait absolument apprendre le japonais. Au fil des années, la situation ne s’arrangea guère. Sting avait alors douze années de vie sur terre. Il n’avait qu’un seul ami qu’il ne voyait que peu de temps, en effet, le garçon grandissait et les besoins en nourritures se faisaient plus important ainsi que de quoi avoir un minimum de monnaie. Ainsi, il devait aider son père au maximum de ses capacités à travailler le riz. Le faire pousser est simple, cependant afin d’en avoir des quantités raisonnables il fallait être capable de rester à moitié assis, à moitié debout tout le long de la journée, à avoir les pieds dans l’eau ainsi que les bras qui plongeaient les jeunes pouces ou les retirées de la terre noyée. Un travail harassant que tous devaient pratiquer. On pouvait dire que la vie du jeune garçon était difficile mais pas invivable, il était heureux, après tout il n’avait quasiment connu que ça. Il était venu bien trop tôt au Japon pour avoir un souvenir concret des amériques. Mais il semblait qu’il n’était pas né sous une bonne étoile car le destin avait décidé d’en faire autrement avec lui.
Quelques mois après l’anniversaire de ses treize ans, le garçon tomba malade d’une épidémie qui sévissait dans la région. Il était atteint d’une fièvre mortelle, il ne pouvait plus bouger du lit, ses muscles étaient atrocement engourdies. Ses parents se faisaient un sang d’encre, sa mère pleurait toute la journée. Son père, conscient de la gravité du problème, prit des provisions, de l’eau douce et s’en alla sur les chemins à la recherche d’un médecin qui serait gré de soigner son fils si cela était possible. Il traversa la région à pied ainsi que les régions avoisinantes à la recherche d’un médecin, tous lui claquèrent la porte prétextant qu’ils ne souhaitaient aider un blanc. Le père se battait nuit et jour à essayer d’argumenter, de supplier et de pleurer afin que quelqu’un puisse daigner les aider. Voir les personnes vous tourner le dos et les parents faire tourner le regard de leurs enfants tout en faisant demi-tour comme pour protéger leur progéniture était extrêmement blessant pour le père de famille. Se battre pour une cause que les gens semblaient perdues était futile car il n’était pas de la même race qu’eux. Lorsqu’il trouva enfin un docteur de bon cœur afin de soigner son fils, m.Valentine se sentit revivre avec une nouvelle lueur d’espoir dans les yeux. Il retourna en compagnie du docteur à Karakura. A peine eut-il franchit le seuil du village qu’il se mit à courir jusqu’en n’avoir plus de souffle. Il ouvrit la porte en la faisant claquer contre le mur, sa femme et son enfant étaient là, assis sur une chaise, elle avait les yeux fermés, la tête couché sur les cheveux de son fils qui l’enlaçait. Il était déjà trop tard, Sting avait été emporté par la maladie et sa mère se laissa mourir de chagrin. Il fut abattu, se laissant tomber au sol, il poussa des cris de tristesses qui furent entendu par le quartier qui ne vint pas pour autant le voir pour le réconforter. Le docteur fit brûler de l’encens et récita une prière pour la paix de leurs âmes. Le père saisit par la force du désespoir, récupéra leurs corps et alla les enterrer dans une plaine, à une dizaine de kilomètres de Karakura. Là, malgré la pluie, il se saisit d’outils et creusa à n’en plus pouvoirs afin d’enterrer sa vie. Il fit graver les noms de sa femme et de son fils sur des pierres avant de les placer respectivement sur la tombe de sa famille. Ainsi se termina la vie bien trop courte du jeune héro. Son esprit vogua dans Karakura, il ne pu monter au ciel directement, il avait un regret sur cette terre et voulait accomplir son devoir, c’était de dire une dernière fois au revoir et embrasser son père. Son esprit resta aux côtés de ce dernier qui se laissait mourir, le jeune Sting s’époumonait mais rien ni faisait, il ne pouvait l’entendre ni même le voir. Son père mourut et il ne pu l’enterrer du fait de son statut d’esprit. Malgré tout, un shinigami venu tout droit de la Soul Society descendit à Karakura et pu libérer l’esprit du jeune garçon en lui apposant le sceau sur son front avec le cul de son zanpakutô. C’est ainsi que s’achevèrent les péripéties du futur shinigami sur terre.
Chapitre 2 : le Rukongai. Rukongai, Quartier n°80 Mardi 25 Octobre 1723
Notre héro arriva finalement au Rukongai, sa nouvelle vie allait débuter et n’allait pas être des plus aisée. En effet, il avait atterri dans la zone la plus crainte de l’époque. Il était dans le 80ème quartier du Rukongai, plutôt connu sous le nom de quartier Zaraki. Il s’agissait d’un quartier où la vie était quasi impossible si l’on avait l’intention d’y vivre comme un honnête citoyen. Beaucoup de personnages connus comme des criminels de haut rang se disputaient les biens de ce quartier. Il y avait notamment un bandit des grands chemins à la réputation montante, même les criminels les plus infâmes le craignait. Ce bandit avait pris le nom du quartier lui-même, il se nommait Zaraki Kenpachi. Deux mots troublant, notre héro apprit par le biais de deux ivrognes qui parlaient dans un bar qu’il possédait le prénom du quartier du Rukongai le plus mal famé et le nom d’une famille combattante extrêmement belliqueuse. Le jeune homme n’avait quasiment plus de souvenirs sur son passé, ni même son prénom. Comme s’il avait subit un lavage de cerveau. Il partit alors à la recherche d’une personnalité, d’un nom et d’un but. Mais le tout n’était pas aussi simple, il avait encore la maturité et le corps d’un enfant. Cependant, la première chose à apprendre rapidement à faire dans un tel quartier était de survivre. Il vécut caché, ne répondant au début a aucun nom, il vivait de vol. Profitant de la moindre seconde d’inattention d’un commerçant ou d’un brigand contemplant son butin afin de lui chaparder. Les premières années furent rudes, au début il n’arrivait à échapper à ses poursuivants ni même à voler suffisamment pour manger à sa fin. Mais cette situation ne fut pas définitive, son corps s’habitua au nouvel air de la Soul Society, ses muscles se développèrent aux fils des années qui passaient et il profitait de sa petite taille pour se faufiler n’importe où. Il était capable d’aller là où la plupart des brigands n’osaient s’aventurer. Par exemple, du fait de son faible poids et de son agilité il était capable d’accrocher son butin dans une bandoulière et de grimper sur le toit des bâtiments avant de s’échapper aussi vite que la foudre et aussi léger qu’une plume. Il répondit au pseudonyme de Zoku Futeki ce qui signifiait en japonais le voleur sans peur. De ce pseudonyme il en fit une véritable identité et le simple pseudonyme devint son nouveau nom/prénom. Il se fit bâtir durant les cinquante années qui suivirent son arrivées au Rukongai une réputation de voyou et de chapardeur sans âmes pour les commerçants. Ces derniers n’avaient pas totalement tord, après tout, comme le disait Zoku-san « tout ce qui est à toi, est désormais à moi ».
Il devint une racaille digne de ce nom, sa carrure et son développement physiologique lui permirent d’affronter désormais les poursuivants un petit peu trop gênants. Il apprit finalement à se battre, emmagasinant de l’expérience à chaque pugilat. Il commença à se faire apprécier de certains et le rejoignirent afin de former une sorte de gang ou de bande de voleurs. Zoku mit sur pied une véritable hiérarchie dans le groupe et un partage du butin qu’il jugeait équitable. C'est-à-dire 70% du butin pour lui et le reste pour sa bande. Notre héro apprit à maîtriser certaines armes blanches de façon succincte afin de pouvoir faire des agressions à mains armées. Il apprit à maîtriser des armes communes comme le couteau et la matraque par exemple. Le caïd était un véritable merdeux par la suite, il devint charmant, avec le côté brun ténébreux il pu passer à une nouvelle catégorie de crimes. Il décida de quitter son quartier où il avait grandit depuis son arrivé et se rapprocha progressivement du centre de la Soul Society où siégeait le Seireitei. Là, il profita de son physique et de ses belles paroles a fin de charmer les demoiselles et de leur soutirer avec aisance tous leurs bien matérielles. Il fit de même dans différents quartier, s’enrichissant de façon significative. Mais toutes ces aventures commençaient à lasser le vaurien qu’il était devenu. Le pillage n’avait plus de secret pour lui, il était capable de devenir riche en quelques jours de vols et d’escroquerie, mais il n’était plus « excité » par le danger qu’entraîner un vol. Il avait besoin d’une nouvelle source d’adrénaline, et rien de mieux que de se battre. Cependant sur ce côté-là aussi il y avait un problème. D’un côté il était capable de mettre au tapis la plupart des adultes du Rukongai, profitant de ses jeunes muscles et de sa vivacité pour les mettre à terre, mais de l’autre, certaines personnes hors du commun comme Zaraki Kenpachi étaient des adversaires bien trop puissant pour lui. Il prit alors une décision, que personne n’aurait pu soupçonner venant de lui. Il allait revenir dans le droit chemin en allant s’inscrire à l’académie des shinigamis. Il ne faut pas se leurrer, sauver la vie des gens et faire respecter l’équilibre du monde de part son devoir de shinigami n’était pas son but. Son but était de devenir puissant et de vaincre toute adversité qui pourrait s’opposer et se mettre en travers de sa route.
De part son franc parler et ses attitudes négatives ( crachat à l’intérieur du bâtiment, curage d’oreilles et insultes à pleins poumons ), son inscription ne fut pas des plus aisées. Mais au final ils l’acceptèrent dans l’académie, à contrecœur, se demandant ce qu’ils pourraient bien tirer d’un voyou pareil. C’est ainsi que Zoku Futeki entra dans l’académie des shinigamis où il allait commencer à apprendre son futur métier de dieu de la mort
Chapitre 3 : Une lumière cachée...
-ZUKO ! Viens ici immédiatement et réponds moi à cette question ILLICO !
Le professeur était réellement en colère. En effet, il y aurait de quoi, sa classe possède le meilleur niveau intellectuel des premières années. Elle aurait pu se placer en tête du tableau si un élève ne venait pas réduire le niveau général faisant en sorte que la classe doive se contenter de la seconde position. Cet élève, c’est Zuko… De plus sa relation vis-à-vis des professeurs n’est pas des plus enviable… Ce dernier baille avant de répondre, il avait les pieds sur sa table et le bassin en avant afin de se mettre dans une position agréable, bras croisés derrière la nuque.
Non.
Et pourquoi ça ?
Le professeur avait les bras croisé tout en jouant un rythme soutenu avec sa sandale sur le sol.
Pas vraiment envie de me rendormir devant, le sol n’est pas très agréables. Répondit-il tout en baillant de nouveau.
Telle était la vie pour notre ami dans l’académie, difficile et semée d’embûches. Il devait être probablement l’un des plus gros cancre de l’académie. La seule matière où il était bon était le combat au sabre. Cependant en ce qui concerne les études d’apprentissage des lois des shinigamis ainsi que du kido ou encore de l’hado, il était résolument le plus mauvais. Est-ce parce qu’il n’était pas intelligent ? Pas vraiment, la véritable raison est qu’il n’en trouvait pas réellement l’intérêt, à quoi bon s’amuser à réciter un poème en plein combat contre un hollow alors que ce dernier vous fonce dessus pour vous avaler tout cru ? C’était une logique qui selon lui se tenait. Les entraînements se faisaient habituellement sans lui et les évaluations lui valaient des zéros pointés. Pour des raisons qui n’ont pas lieu d’êtres selon lui, en effet, pourquoi le blâmer d’avoir fait une sieste en plein milieu d’une course d’orientation dans une ville modélisée par le département de recherche et développement à la recherche de hollow ? Il a beau leur expliquer qu’être fatiguer avant un combat peut être nuisible, rien ni faisait. C’est ainsi qu’il fit ce que beaucoup de shinigamis ne faisaient pas, il redoubla. Normalement, les apprentis shinigamis terminent leurs études et sont capable d’entrer dans une Division après 6 années d’apprentissage. Pour Zuko, c’était… spécial, il lui fallut non pas six années mais dix avant d’arriver à l’étape finale. Il faillit à plusieurs reprises se faire exclure de l’académie, mais dès que le renvoie était imminent il devenait une toute autre personne et était capable de faire des merveilles ne donnant plus aucune raison à un quelconque renvoie intempestif. Il jouait un drôle de jeu mais au final réussi. Il pu avoir la force nécessaire afin de posséder ses zanpakutôs. Oui, pour une raison qui lui échappait encore, lui ne possédait pas qu’un mes deux katanas trancheurs d’âmes. C’est pour cette raison que l’apprentissage à main armée fut plus compliquer car ce sont des cas extrêmement rares et des enseignements spécifiques pour de telles personnes n’existait pas et on allait encore moins enseigner un tel savoir et faire des efforts pour lui. Avec une telle entrée fracassante dans le Gotei 13, ce fut la onzième division qui lui fut indiquée, il allait ainsi faire la rencontre de la division avec la meilleure réputation de tout le Seireitei. Avec à sa tête une véritable tête pensante… Kenpachi Kiganjo.
Chapitre 4 : Une ascension rapide.
L’arrivée de Zoku dans le Seireitei au sein de sa division ne passa pas inaperçu. En effet, ne serait-ce qu’à l’aspect mauvais garçon toujours amoché et ses deux zanpakutôs croisés dans son dos, il n’était pas le genre de personne que l’on croisait dans les rues. En effet, à ce jour, il n’y avait que trois personnes qui étaient capable de manier deux zanpakutôs, il s’agissait actuellement de deux jeunes capitaines, Ukitake Jyuushiro et Kyôraku Shunsui respectivement capitaines de la treizième et huitième divisions. La dernière personne qui à ce jour manipulait deux sabre trancheurs d’âmes était Zoku lui-même. Bien évidemment il s’agissait d’un pur débutant dans l’art du shinigami, d’ailleurs, il ne connaissait même pas le nom de ses zanpakutôs à l’époque. Les premières missions étaient relativement simples et lui suffisaient amplement, il n’avait pas à vraiment se fatiguer. Puis vint progressivement les premières embrouilles au sein de la division, entre les ivrognes de la division et le gros capitaine de la onzième, Zoku était servi en postillon. Ne souhaitant laisser passer une telle honte qui lui fut infligée et de par sa nature, il se mit à s’entraîner et à redemander des missions plus délicates à chaque fois. Chaque mission qu’il faisait le rendait plus fort, il commençait petit à petit à avoir l’estime de ses pairs, gagnée à grand coup de poing dans le nez. Il apprit au final le nom de ses armes, un véritable lien de folie mentale les lia les uns des autres. Bien qu’il resta fidèle au Gotei 13, Zoku aimait s’amuser et faire mal. Il appliquait même la quasi-totalité de ses missions avec un zèle inquiétant n’hésitant pas une seule seconde à utiliser ses pleins pouvoirs pour littéralement atomiser et réduire en poussière radio cosmique les hollows qui « osaient » comme il aimait dire croiser sa route. Sa force lui valurent plus tard après une soixantaine d’années passées dans le Gotei 13 (il avait alors environ 110 ans), il obtint finalement le titre de vice capitaine de la Onzième division.
Qui dit Vice capitaine dit alors nouvelles responsabilités. Il avait gagné le respect de ses pairs et il pouvait à la limite estimer se la couler douce. Mais il restait toujours ce Kenpachi Kijango qui lui faisait de l’ombre et qui n’hésitait pas à se moquer de son vice capitaine. Mais ce n’était pas bien grave, cela n’était qu’une question de temps dans la tête de notre jeune homme avant qu’il ne puisse vaincre à plat de couture son capitaine et ainsi prendre sa place. C’est lorsqu’il siégea en tant que vice capitaine que Zoku rencontra les autres membres du Gotei treize dont notamment deux personnages. Urahara Kisuke qui était alors le vice capitaine de la seconde division, mais aussi Iroai Senkou, vice capitaine de la neuvième division. Le premier, Zoku ne l’appréciait pas réellement, il le trouvait un petit peu trop étrange avec ses manières et sa fâcheuse tendance pour paraître pour le roi des imbéciles lors des réunions des lieutenant. Ceci dit, il ne lui cherchait pas des ennuis, il n’avait donc aucune raison de lui en vouloir. Cependant, en ce qui concerne le second, Iroai, bien que ce dernier ne l’eut pas énervé en direct, il était exactement le genre de personnage qu’il répugnait. Selon Zoku, s’amusait à prendre une épée, et à la brandir pour hurler à la mort « vive le Gotei 13 » et courir pour aller mourir pour des raisons aussi futiles était digne de la plus grande idiotie qui puisse être sur cette terre. Hors, Iroai était en quelque sorte ce style de personnage, extrêmement fidèle et respectueux vis-à-vis de son capitaine, ce que Zoku n’était pas. Peut être un léger sentiment de jalousie ? Qui sait.
Dans tous les cas, la vie continua paisiblement, tout se passait pour le mieux pour Zoku qui se donnait à cœur joie dans son travail de shinigami, jusqu’au jour où le monde sembla s’écrouler sur sa tête. Alors qu’il était en train de dormir, une équipe de shinigami vint l’attraper et lui saisir ses sabres, le ligotant et lui masquant le visage avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit. Des menottes lui pompèrent son énergie spirituelle et il fut amené sans qu’aucun ne le sache. Le lieu où il allait être amené n’était connu que d’une seule division du Seireitei hormis le Capitaine Commandant et quelques rares autres privilégiés. Cet endroit était une sorte de prison pour les innocents si vous souhaitez et il porte le nom de, le nid d’asticot.
Chapitre 5 : La prison d’innocents
Une fois arrivé, il fut mit dans un hakama blanc et ses menottes, sa capuche et ses deux armes lui furent retirés. Il se trouvait dans une sorte de caverne gigantesque éclairée et gardée par des shinigamis masqués tout autour du lieu. Il n’était pas le seul dans cette situation, des dizaines de shinigamis étaient dans sa situation. Il s’approcha du collègue le plus proche et lui demanda quel était cet endroit. On ne lui répondit pas, la seule réponse qu’il pu avoir fut une tentative de frappe au visage. Esquivant il voulut lui rendre la monnaie de sa pièce mais ils furent instantanément arrêtés par des shinigamis qui semblaient faire les sentinelles. Il ne resta pas sans réponses bien longtemps, peu de temps après, le vice capitaine de la seconde division vint. Zoku pensait avoir trouvé son billet de sortie et vint à lui afin de lui demander dans quel endroit il pouvait bien être de façon bien grossières, liant paroles aux grands gestes. Urahara lui expliqua calmement qu’il s’agissait en quelques sortes d’un asiles où ils mettaient les personnes jugeaient dangereuses. Il lui raconta aussi que toutes les personnes enfermées ici n’avaient rien fait de mal mais qu’ils risquaient de devenir « nuisible » à la Soul Society. Par la même occasion, il amenait dans ces geôles un personnage bien singulier à la figure hautement maquillait répondant au nom de Kurotsuchi Mayuri. Ce dernier fut enfermé dans une cellule privée, égarée, personne ne le revu depuis ce jour. Zoku fut vexé d’être enfermé comme un simple prisonnier pour n’avoir rien fait. Quelque chose lui échappait dans son raisonnement. Il demanda au fur et à mesures des années et des visites de Kisuke s’il pourrait sortir un jour, il lui répondit que c’était possible mais que cela était un évènement extrêmement rare qui n’était pratiqué qu’en cas d’extrêmes urgences. C’est en haussant les épaules que Zoku reparti dans son coin et attendit que les années passent. Ses cheveux devinrent blancs et un entraînement corporelle le gratifièrent d’une carrure d’athlète. Le jeune gringalet chétif avait grandit et il s’était habitué à la prison. Puis vint le jour où Kisuke devint capitaine de la douxième division, amenant avec lui une petite peste blonde. Un combat fut mené comme souvent dans le nid contre Urahara afin de pouvoir sortir de ce nid, Zoku n’y a pas participé pour la simple et bonne raison que ça ne servait à rien, il avait désormais le niveau de capitaine, il ne faisait pas le poids. Ce dernier récupéra le prisonnier le plus forcené du nid, Mayuri. Zoku fut intérieurement dégoûté de ne pas avoir été choisi, il était resté plus longtemps que ce clown dans cette geôle et ils ne voulaient même pas le revoir. Puis Urahara ne vint plus, ce fut un remplaçant idiot comme ses pieds, un véritable tyran qui le remplaça. Tout se déroulait désormais comme si Kisuke n’avait jamais existé.
Les années passèrent, le temps semblait ne plus s’écouler, et il devint le roi du nid d’asticot, s’entraînant et faisant de son corps une arme. Il était l’exemple des prisonniers, le personnage qui n’était pas du genre à désespérer dans son coin et à pleurer comme une petite fille. Zoku avait eu le temps de méditer et il s’était dit que, le jour où on aurait besoin de lui, il serait prêt. Et ce jour vint à l’orée de ses 280 ans. Des shinigamis vinrent le récupérer, lui mettant les mêmes menottes et le même foulard sur les yeux. Ils lui firent quitter le nid d’asticot dans le plus grand des secrets comme à son arrivée avant d’être mené devant le lieutenant du Capitaine Commandant, Sasakibe Chôjirô.
Chapitre 6 : Dénouement
Zoku se demandait bien ce qu’il pouvait s’être passé durant touts ces années. Apparemment, la situation était plutôt grave. Ce fut le lieutenant de la première division qui lui fit le rapport de ce qu’il s’était passait durant toutes ces années. Ceci prit une bonne heure, ainsi, Zoku apprit entre autres le départ rapide de nombreux capitaines et vice capitaines dont Urahara Kisuke, la mort de son capitaine qui fut remplacé par Kenpachi Zaraki, la montée au pouvoir de nouveaux capitaines et l’intrusion d’une âme errante répondant au nom de Kurosaki Ichigo dans le Soul Society. Tout ceci jusque la trahison d’Aizen Sosûke, personnage que Zoku ne visionnait même pas dans sa tête, il ne devait même pas être un siège du Gotei 13 lorsqu’il était lieutenant. C’est alors qu’une mission hors du commun lui fut proposée. Depuis la trahison d’Aizen, une nouvelle vague de hollow fit son apparition dans le monde des humains et tout particulièrement à Karakura. On ne souhaitait en aucun cas prendre l’initiative d’une guerre, la Soul Society avait encore besoin de se préparer au pire. C’est pourquoi, on était venu le chercher lui, Zoku Futeki, un électron libre qui serait capable de se cacher n’importe où et de passer pour un civile quelconque. Un personnage que ni le Gotei ni le Hueco Mundo n’était au courant de sa possible existence encore au jour d’aujourd’hui. Le peu de personnes qui étaient présentes ici l’avaient recommandés suite à une lettre retrouvées dans les archives de Kisuke demandant de faire appel à ce dernier si jamais ils étaient dans une telle situation. C’est alors que ce dilemme lui fut imposé, soit il reprenait les armes et accepté de jurer fidélité au Gotei 13 dans cette avant-guerre et de mener cette mission à bien en échange de sa liberté et de sa réintégration à la Soul Society en tant que shinigami, ou alors le retour à la prison d’où il venait.
Sa décision ne se fit pas attendre, On lui rendit sa tenue, Zoku fit une entaille sur son ancien emblème de vice capitaine. On lui offrit aussi une pillule contenant un mod soul et un gigai afin d’évoluer dans le monde des humains. Un portail dans le plus grand des secrets fut ouvert pour le Gotei. Le peu de shinigamis ayant vu ce personnage quittait la Soul Society n’y voyaient qu’un shinigami ordinaire encapuchonné.
Le portail s’ouvrit et Zoku en sortit, mais pour lui, cette mission signifiait bien plus que de simplement tuer du hollow la nuit, il fallait qu’il change de nom de nouveau. Pour une raison de sûreté il ne fut pas relâché en plein milieu de Karakura afin de passer le plus inaperçu possible. Il se trouvait sur un étrange sentier à quelques kilomètres de Karakura. Là, les shinigamis qui l’accompagnaient l’abandonnèrent, il enfila alors son gigai, sa trace spirituelle disparaissant quasi-totalement. Il pu enfin respirer l’air frais du monde des humains, cela faisait tellement d’années qu’il ne pouvait les compter. Reculant d’un pas, il trébucha sur un morceau de pierre. Se relevant il se rapprocha de la pierre, il se trouvait sur une tombe et pas sur n’importe laquelle, celle d’un dénommé « Sting Valentine ». Il pu le lire après quelques efforts, suite à l’érosion le tout n’était quasiment plus lisible. Hochant de la tête, il partit en direction de Karakura, là où sa mission risquait d’être périlleuse, éviter la bande des âmes errantes dont il avait ouïes tant de haut faits ne sera pas tâche facile. Mais être cool c’est savoir prendre des risques et Sting Valentine, aime être cool.
Test RP : Aucun en prévision actuellement.
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Description de l'arme ou du pouvoir :
Kichigai (Incarnation de la rage)
Et
Hana no Itamu ( Fleur du mal )
âme du zanpakutô, description physique et morale :
Hana no itamu :
Ce zanpakutô est l’âme d’une jeune femme. Cette dernière possède un corps délicieux aux formes plus que provocantes et aux cheveux d’un blonds naturels relativement courts quelle coiffe avec deux chouchous ces derniers partants de part et d’autres de sa tête. Ses yeux sont d’un rouge sanglant qui alarme un instinct de prudence, ses canines sont développées et plus grandes que la normale. Elle est moins impulsive que son comparse mais peut se montrer sadique lorsque la situation le lui permet. Elle n’est pas réellement du genre autoritaire avec Sting mais elle aime garder sa position de zanapkutô. Elle est habillée d’une tenue de militaire, un petit peu spéciale. Elle possède de longues bottes lacets ainsi qu’une jupe et un haut boutonné comportant plusieurs poches le tout marrons clair unis. Elle n’entretient pas réellement de bonnes relations avec son frère jumeau, ils ont tendances à se chamailler.
Kichigai :
Il est grand et méchant, il s’agit du Zanpakutô le plus puissant de Sting. Il aime se servir de la totalité de sa puissance pour écraser ses ennemi et n’est pas aussi gentil que sa sœur jumelle. Il n’apprécie pas la dominance de Sting et préfère lorsque le dernier les traite de tel sorte qu’il soit le supérieur. Il n’est pas docile et est capricieux. Cependant il s’agit d’un atout de poids pour Sting et ses conseils sont généralement précieux pour notre shinigami en herbe. Il est habillé d’un pantalon, de chaussures et d’une chemise noir. Il possède par-dessus une veste aux tendances anglaises ainsi qu’un grand chapeau rouge sans compter ses lunettes de soleils en forme de lune aux verres orangés qui cachent des yeux rouges tout aussi mauvais que ceux de sa sœur jumelle. Il possède tout comme sa sœur des canine prononcées qui lui donne un sourire dérangeant. Il juge sa sœur comme étant une gamine trop gâté et n’aime pas lorsqu’elle lui fait de l’ombre.
Forme scellée :
La forme scellée de ses zanpakutôs ne prend pas la même forme que celles de Shunsui, en effet, Sting ne possède pas un Wakisashi et un katana mais bel et bien deux katanas. Bien que Kichigai est plus long qu’Hana no Itamu et mesure 90cm, cette dernière n’est pas loin derrière avec ses 70cm. Sting a plutôt tendance à utiliser Hana no Itamu car sa lame est plus légère et plus rapide que celle de son frère jumeaux, les combats contre les hollows de base sont ainsi rapidement expédiés. Mais il n’hésite pas à utiliser les deux dès que l’adversaire en vaut le coup.
Kichigai possède une lame noir comme les ténèbres, le tout unis du pommeau jusque la pointe de la lame en passant par la garde. La seule couleur qui varie vient d’un ruban rouge sang déchirait qui sort du haut de la garde, entourant le bas de la lame avant de se laisser pendre au vent. Bien que l’on pourrait croire que cette l’âme est fabriquée avec du bois sombre comme de l’ébène il n’en est point du tout. Sa lame est bel est bien tranchante comme une lame de rasoir et la lune est capable de refléter sur celle-ci la nuit.
Hana no itamu, quant à elle, est une lame aux milles éclats. Le ruban qui recouvre le pommeau est blanc et doux comme la soie. Sa garde est d’or et sa lame est d’argent. Ce katana est léger par rapport à son jumeau maléfique mais n’en n’est pas moins dévastatrice. Bien que la force de frappe en soit amoindrie sa beauté et sa maniabilité permettent à son possesseur de faire une véritable danse macabre sur le champ de bataille
Shikai :
Le shikai de Sting est un petit peu spécial. En effet, contrairement à la plupart des shinigamis qui possèdent une variante de leurs sabres, les zanpakutôs de Sting changent radicalement de forme et prennent la forme de deux pistolets lourds. Leurs canons est longs, mesurant environ 13 cm de longs. Cependant, Sting est un shinigami et qui de plus s’est entraîné bien longtemps avec ces derniers. Pour faire appel à ses zanpakutôs, il peut prononcer la phrase suivante : « baretto no seisho gyasukatsu no akuma », ce qui signifie « que les balles saintes massacrent le démon ». Ses zanpakutôs sont alors illuminés d’un halo de lumière et se métamorphosent prenant la forme respectivement d’un pistolet noir et d’un pistolet blanc. La vitesse de tir de ces armes est équivalentes et est très rapide. En temps normal, lorsqu’il combat on pourrait comparer la puissance de ses tirs au kido l’éclair blanc mais il n’en est pas du tout ainsi. En effet, les tirs de Sting puisent des parties infimes de son reiatsu. Il est capable d’en mesurer la puissance ainsi mais certaines conditions permettent l’augmentation significative de la puissance et la réduction de ses coups en reiatsu. Il y a deux conditions, une pour chaque zanpakutô. En ce qui concerne Kichigai, il faut qu’il fasse couler du sang de ses victimes avec ses tirs. Plus ces dernières saigneront et plus il pourra utiliser des attaques puissantes. Pour Hana no Itamu, cela est plus délicat, il faut que ce soit lui-même qui subisse des dégâts afin d’augmenter la puissance de ses tirs. La mise en danger de la vie de Sting mettrait la vie elle-même des Zanpakutôs en péril et la jeune femme ne veut pas de ça.
Un peu de vous
Comment avez-vous connu le forum ? : Hahaha... c'est une excellente question... En faite j'ai toujours voulu devenir boulanger et... hah ce n'est pas la question ? ha ! Oui c'est le manque de rp bleach avec Iroai et on s'est ramené ici *w*
Quelle est votre expérience dans le rp ? : 6 années de rp, ça ne me rajeunit pas, tout comme Iroai je suis un ex-admin de Bleach requiem et j'ai du faire 3 à 4 années de rp bleach. Après à mes début c'était du naruto et dernièrement un peu de fairy tail.
Quelque chose de particulier à dire ? : Dans la vie il y a deux types de personnes. Ceux qui font du rp et les autres.
Souhaitez vous que votre présentation soit publique ou masquée ? : Publique