Fils parvenu d'un petit exploitant en bétail, Henrich règne sans partage sur son pays et a le droit de vie et de mort sur ses sujets. Il a instauré tout un culte à son image, allant de chants louant ses prouesses à des livres de contes pour enfants. Il a même poussé le vice jusqu’à faire ériger un musée à sa gloire, même si entre temps, le lieu est devenu une galerie d’art classique, avant de brûler entièrement (voir :
Une nuit au musée) La durée de vie des habitants s'est grandement amaigrie depuis son arrivé sur le trône.
Père de trente-cinq enfants bâtards, il choisira comme héritier celui ou celle qui aura su se débarrasser des autres. Et entre frères et sœurs, tous les coups sont permis. Cette gigantesque guerre fratricide combinée au pouvoir absolu qu’exerce l’unique dirigeant donne une idée de l’ambiance qui règne sur cette île au décor de carte postale.
Saint Johns (vous noterez le surnom qu’il s’est donné, en référence aux Dragons Céleste) n’est affilié à aucune faction, de ce fait, quiconque ne respectera pas ses lois sur son île se retrouvera emprisonné.
Après la mort du Roi, la guerre fratricide a eu lieu et l'immense majorité des enfants de ce dernier ont péri dans le sang. C'était Raife qui allait prendre le titre jusqu'au moment où Elisabeth Reina est intervenue, mettant un point final à ce conflit sanguinaire. Depuis lors, elle oeuvre pour légitimer sa présence et cherche à démocratiser le pays en créant un conseil politique dans le but de la guider.
En 1507, le Gouvernement Mondial lance une opération de Buster Call afin de récupérer l'île de Saint-Johns. Grâce à l'aide de l'armée révolutionnaire ainsi que du Constella Karim Ookami les forces du Gouvernement Mondial purent être repoussés. C'est après cela que le Royaume de Saint-Johns devint la Démocratie de Saint-Johns.