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Race : Humain
Équipage : Escouade anti-décima
| Dim 11 Jan - 19:49 Guerre X Apocalypse X Ragnarock
« On m'appelle. On scande mon nom. On dit de moi que je suis porteur de mort. »
L'homme aux cheveux bleus se tenait assis sur un tas de corps inconscient. Luvneel venait de voir un nouveau combat entre marines et hors-la-lois. Les territoires étaient toujours disputés par les deux camps dominants : les révolutionnaires, tenant la capitale, et les marines les encerclants sur le reste de l'île. Mais cet homme, à la tignasse azurée, ne faisait parti d'aucun de ces deux camps.
« Je suis le meneur de troupes. Je suis le voleur de mari, le voleur de fils, le voleur de père. Quiconque me cherche me trouve. Je suis partout, dans chacun de vous ! »
Les villageois commencèrent à sortir de chez eux, les uns après les autres. Le silence s'était une fois le nombre de soldats morts devenant trop important pour continuer ce genre de bataille. Le chef marine ordonna le replis et les révolutionnairesen profitèrent pour s'en aller avec les blessés. Les morts gisaient toujours quand l'homme à la coiffe hirsute arrriva et débuta son monologue.
Un viel homme lui engagea la conversation, de loi.
« Qui êtes vous ?! - Je suis le messager de la haine. Le destructeur de Royaume. Je suis un cavalier de l'apocalypse ! Je suis la guerre et en ce moment l'on me requiert à travers le monde ! La mort arrive de toutes parts, vous privant de votre famille, vos amis, vos voisins. - Arrêtes ton charl. Fit un homme aux cheveux de feu. Que fais-tu sur les corps de ces pauvres malheureux ? - Je savoure la victoire. - Quelle victoire ? Reprit un bolnd, un peu plus loin. Il n'y a aucune gloire dans la mort d'autrui. - Que tu dis... Marine. Qui êtes vous ? »
Le type à la chevelur d'or s'avançat à travers les badauds. Il tenait une batte de baseball dans une main et un magnifique sniper dans l'autre. Il fut rejoins par celui aux cehveux roux, portant un kimono et deux sabres. Rapidement un troisième homme les rattrapa. Un type chatain qui ne portait aucune arme sur lui.
« Nous sommes les Prodigies Marines, au service direct du Gouvernement Mondial. Lança Kazuma. - Vous n'avez pas du tout la tête de l'emploi ! Un Yakuza, un samourai et un mafieux. Vous me faites rire. »
Et c'était vrai, il se mit à rire immédiatement après...
L'équipage, toujours à la suite de Daisuke l'avait manqué de plusieurs semaines. A crois que plus ils le suicaient plus il s'éloignait. Par contre, cette fois, ils savaient déjà où il était et ce qu'il y faisait. Il s'était rendu sur Marijoa pour participer à une grande réunion. L'équipage aurait bien voulu le rejoindre, mais ils avaient trouvé quelques indices sur le Ragnarock sur Luvneel. Alors, ils allaient y rester un moment.
« As-tu tuer ces hommes ? Demanda Okita. - Non. J'aurais pu, mais ce n'est pas de mes mains qu'ils sont morts. Je n'ai touchés aucun de ces hommes de leur vivant. Cependant, je ne suis pas étranger à leur fin, ah ah ! - Que veux-tu dire ? Continua le roux. - Simplemente que j'ai dit. - Se... Se pourrait-il que vous soyez le chef des révolutionnaires ? L'interrogea discrètement Firo. - Non ! Ne me compare pas à ces misérables. Je suis un cavalier de l'apocalypse. J'ai été choisi par le monde lui-même pour le mener à sa perte. Je n'ai aucun idéal semblable aux votres. J'engendre la guerre et la désolation... Mon travail ici est terminé. »
L'homme sortit du monticule formé par les corps et commença à s'en aller s'en rien dire de plus. S'approchant d'Okita et s'éloignant de Kazuma.
« Où penses-tu aller comme ça ? Tu crois vraiment qu'on va simplement te laisser partir ? Lança le frénétique Okita. - Et bien oui. Je n'ai rien fait de répréhensible, à ce que je sache ! - … »
Il dépassé Okita, mais le chef des marines présents le rattrapa.
« Ca, c'est à nous d'en décider. Il serait agréable que tu nous suive bien gentiment. Je ne voudrais pas qu'il y ait de nouveaux blessés. »
L'autoproclamé déclencher de geurre s'arrêta alors, remarquant la présence du blond. Il se tourna alors vers Kazuma puis lança avec un sourire enjevin.
« Vous ne pouvez pas arrêter la guerre. Elle est immuable et, sans cesse, renouvelée par de nouvelles générations... Au fait, Kazuma, te rappelle tu de la dernière guerre à laquelle tu as participé ? Comment Clyde a tué ton frère ? »
Les souvenirs de cette pénible épreuve ressurgirent chez les trois hommes. La peine se transformant rapidement en colère chez Kazuma suivit d'un cri de haine
« Comment oses-tu ?!! »
La colère changea le calme marine en bête furieuse et il s'élança sur Guerre sa batte de baseball entre les mains.
« Que sais-tu de mon frère ? Comment me connais-tu ?! »
Le type à la touffe bleue esquivait les premiers coups d'un cheveux, puis s'éloigna pour pouvoir lui répondre.
« Je vous l'ai déjà dit. Je suis autrement plus qu'un simple humain. Je suis un cavalier de l'apocalypse. Je suis la guerre. Rien sur les sept mers ne m'échappent. Sache que je suis au courant de tous ce qui se passe durant une guerre. Je suis... »
Un coup de feu lui imposa d'arrêter son monologue. Okita venait de prendre un fusil au sol pour lui tirer dessus.
« Tout ce que je vois devant moi, c'est un gamin qui se raconte une histoire pour paraître cool. Si tu étais vraiment si invulnérable, tu n'aurais pas eu à esquiver cette ''misérable'' balle. »
L'homme le regarda avec un sourire menaçant.
« Il y a des forces qui te dépassent, Okita. »
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Le roux se réveilla difficilement. La nuit avait été rude. La douleur lui lancinait au niveau de sa hanche. Les coups surpuissant du jeune homme l'avait rapidement hors combat. Il se leva en crispant les dents. Il se dirigea alors dans la cuisine où Kazuma buvait déjà un café. Firo était toujours couché. Aucun des deux hommes n'osaient parler. Seul Kazuma était resté conscient du combat et il avait ramené ses collègues au bateau.
« Je descends en ville. Firo et toi, vous restez ici. »
L'autre ne répondit même pas. Il souffla sur son café pour le refroidir et laissa son supérieur partir. Depuis la veille, une atmosphère tendu planait sur le bateau. Leur défaite se faisait sentir. Kazuma quitta l'équipage et se força à rejoindre la capitale. Il se dirigea rapidement vers la taverne, l'endroit qui lui permettrait de trouver ce qu'il cherchait, des informations. La ville, toujours aux mains de la révolution ne changeait pas de d'habitude. Les gens vivaient comme si de rien n'était. De simples postes de frontière étaient parsemés autour de la cité. Il se fit passer pour un simple villageois venant faire du marchandage.
Une fois dans la taverne, il comprit rapidement qu'il n'aurait aucun mal à discerner les bonnes informations. Après une belle demi-heure, un lieu se détacha, le port. C'était vraiment banal comme cache. Le midi approchait lorsqu'il arriva devant le premier hangar du port. La plupart était encore vide, d'autres à moitié calciné. Certains avaient été réparés, permettant ainsi l'approvisionnement. Un, le plus grand, avait un symbole révolutionnaire sur sa porte. Gardés, par trois hommes, il était impossible d'y accéder directement sans se faire repérer. Le marine entra dans un de ceux qui semblait abandonner, recherchant un indice sur le Ragnarock.
« Que faites-vous ici, monsieur le marine ? »
Il fallait croire qu'il était connu par ici. Il se tourna alors vers l'endroit d'où semblait se trouver l'homme qui lui parlait.
« A qui ai-je l'honneur ? -Ton pire cauchemard ! »
Alors que la veille, le jeune homme surpuissant ne dégageait aucune réelle puissance, celui-ci semblait bien plus vaillant. Il était musclé comme deux hommes, portait deux larges gants et avait un bazooka dans le dos. Pourquoi devait-il toujours avoir ce genre de soucis ? Kazuma souffla, il n'avait même pas ses armes sur lui et en face, un homme armé jusqu'au dent voulait sa mort pour il ne savait quelle raison. Ce fut l'autre homme qui attaqua en premier. Il fonça sur le marine et le frappa brusquement. Par reflexe, Kazuma esquiva et fut surpris par la puissance de l'attaque. Son coup détruisit le mur entier dans un brasier important. L'homme sourit en fonçant de nouveau sur lui. Il le frappa avec son second poing et c'est dans des éclairs que la colonne de fer s'éfondra.
« Je suis un ancien membre du Ragnarock, Kazuma, et je porte des armes de leur confection. Tu étais une de mes cibles lorsque j'étais encore dans leur rang. Maintenant, ils ne sont plus rien, j'ai préféré les quitter pour rejoindre la véritable révolution. Je vais quand même te tuer, pour le plaisir. - Pour le plaisir, tu dis ? Te fous pas de ma gueule ! »
Kazuma subit par la suite plusieurs assaults du type en pouvant, à chaque fois, éviter sans soucis. Alors qu'une nouvelle allait l'atteindre, il prit le temps de menacer son ennemi.
« Tu as raison, tu ressembles à mes pires cauchemards. Les gens qui aiment tuer pour le plaisir. J'en ai une peur bleue, mais toi... Tu n'es rien d'autre qu'un ridicule petit merdeux. »
Alors que le coup du révolutionnaire s'approchait de lui, il ne fit qu'un simple pas sur le côté et pu éviter sans soucis. Ensuite, il frappa si fort dans les côtes du baraqué qu'il pu les entendre se casser. Il frappa alors trois ou quatre fois avant de l'achever d'un coup derrière la nuque.
« La mort n'est pas un jeu. J'espère que tu auras compris la leçon... Comme ça, ces armes sont du Ragnarock. Je les réquésitionne. »
Il prit les gants et les deux chargeurs. C'était la première fois qu'il voyait des chargeurs de ce style. ''Loki'' et ''Thor'' étaient inscrits sur chacun d'eux. Cependant, ce n'était pas sur ça qu'il devait se concentrer. Le combat avait attiré ses ennemis. Un attroupement de révolutionnaire s'était présenté devant la porte du hangar.
« Là ! Il est là ! »
Le blond couru rapidement vers une fenêtre et s'enfuit. Il courra à travers la ville en quête de sureté, mais en vain, les hors-la-lois l'encerclèrent.
« Que fais-tu ici, marine ? »
Ce n'était sans doute pas la dernière fois qu'il entendrait cette tirade aujourd'hui.
« Qui vous dit que je suis un marine ? - Qui d'autre serais-tu ? - Si on continu à répondre à des questions par d'autres questions, on est loin d'avoir fini, non ? - Réponds bien sagement aux miennes et tout ira mieux. - Je ne suis pas venu ici pour répondre à vos questions. - Il aurait mieux valu que tu ne viennes pas tout court. - Vous avez raison, je n'aurais pas du venir. Simplement, je suis là maintenant et je ne compte pas mourir. - C'est dommage, car tu vas mourir ! »
Une grande explosion vint les interrompre à deux maisons de là. Okita apparut alors de derrière la poussière.
« Je ne pouvais pas te laisser là, cap'tain. - Je ne suis pas le capitaine, c'est Dai'. - Ouais, ouais. On s'en va, vite. - Ouais ! »
Alors que la fumée s'évaporait, les révolutionnaires virent les deux marines quitter la ville. Un groupement les suivirent, mais dans la forêt, les deux hommes avaient l'avantage. Par chance pour les marines, aucun des révolutionnaires n'étaient que de simple soldats, ils n'eurent affaires à aucun officier.
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Une fois au bateau, Okita et Kazuma eure affaire à un Firo à moitié dans les vappes.
« Comment tu vas, Firo ? Je vais plutôt bien, je crois. Je ne me souviens que d'avoir vu disparaître le type chelou et il t'a frappé, Okita. Ensuite, il est apparu derrière moi et m'a frappé. Après, je ne sais pas, j'étais dans le lit. - Après, il s'en ai prit à moi, mais m'a laissé conscient, pour ne pas qu'on se fasse attaquer par les révolutionnaires. Il m'a dit : « Je ne suis pas la mort. La guerre est terminée ici, je me dirige vers Baltigo et ton capitaine. » - Il veut s'en prendre à Daisuke ? - Je ne sais pas, mais on y va ! - Et pour le Ragnarock. Demanda Firo. - Ils ne sont plus ici depuis un moment. Fit remarqué Kazuma. Je vous expliquerais tous plus tard, partons vite. - Ouais. Firent-ils ensemble. »
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