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Mar 8 Juil - 14:22
Loup où es tu ?
Le temps est passé. Mon succès a été reconnu ou non. Qu'importe. Quoi qu'il en soit, désormais, je voyageais à la recherche de la miss aux cheveux roses. Après maintes histoires et recherches, j'avais entendu des rumeurs comme quoi une certaine " casse noisette " se trimballais sur Grand Line. C'est donc depuis ce jour que j'avais pris la route pour une île précise. Accompagné là-bas par des gens qui avaient acceptés de me prendre en tant que passager, je me faisais passer pour un magicien en quête de challenge. Incognito donc, je profitais de mon séjour sur le bateau. Me la coulant douce, je jouais au poker, faisais quelques tours pour amuser la galerie, bref, vous l'aurez compris, je tuais le temps sans tuer qui que ce soit. J'en oubliais presque le passé et cette mort qui m'a intérieurement marqué. Neko-kun... repose en paix mon vieux. Levant les yeux sur le ciel bleuté de cette douce journée, au loin l'île attendue apparait enfin. Holiday Island. Un lieu parfait pour se reposer. Connaissant Madoka, si elle s'en va sur la route de tout les dangers, pour sûr qu'elle ira dans un endroit tranquille. La suite, je l'ignore. Sera-t-elle encore au milieu de quelques ennuis ou bien sera-t-elle simplement en train de siroter un alcool doux au bord d'une piscine ? Bah... je verrais bien. Souriant en soin, je semblais durant un bref instant nostalgique.
Le voyage une fois terminé, je me dirigeais sur le port pour regarder les navires. Rien de bien inquiétant. Mais malheureusement, rien ne me prouvait qu'elle était là. Soufflant, je vins donc me concentrer sur un nouvel objectif : trouver un logement temporaire. Ainsi donc, direction le premier hôtel que je trouvais. Je ne remarquais pas la classe qu'il avait et donc, je n'imaginais pas les prix astronomiques de celui-ci. M'adressant à la femme de l’accueil, celle-ci me faisait immédiatement descendre les pieds sur terre. 10 000 000 la soirée, en effet, ça fait un petit trou dans les fesses à ce prix là. Mais par miracle, en écorchant un peu mon nom, la demoiselle c'est mise à me prendre pour un autre qui justement a une réservation. C'est donc non pas monsieur Akuma qui était là, mais... Ayuma. Ouf. Et le meilleur dans l'histoire était que la personne avait annulé sa réservation. J'avais donc les mains libres pour dire qu'en réalité, j'avais dit cela sous le coup d'une colère certaine suite au fait que ma femme m'avait cassé les pieds la veille. Bref, j'avais donc un logement luxueux que je ne paierais pas, bien entendu.
Sortant de plus belle, je me mis donc à marcher sur cette île à la recherche d'un lieu où les gens auraient pu voir une frimousse comme la sienne. Silencieux, ignorant les regards en ma direction sûrement dûs à mon accoutrement spécial, je me dirige vers une taverne bien occupée. Tirer les verres du nez du barman est difficile, mais heureusement, un petit tour de magie classique, une consommation prise et voilà que sa langue se délie. Ainsi donc, j'apprends que la personne que je cherche a fait des siennes en effet. Elle semble avoir cassé quelques entre-jambe à coup de genoux suite à une drague intempestive. Quelle sucre d'orge cette fille, elle a pas changé.
Ma recherche sur " casse-noisette " continuait donc et c'est avec peu d'indices que je repartais pour une visite des lieux. Tranquille, trop tranquille pour ma personne, il me fallait faire bouger tout ceci. Ainsi donc, dès que je vis un endroit susceptible de servir de scène, je vins à me mettre dessus bien en évidence et lancer le show. Interpellant quelques personnes, je me jouais d'elle pour attirer l'attention en priant qu'à la longue, le bruit que je fasse quelque chose s'ébruite et qu'à la longue, des gens intéressants apparaissent. Usant de mes coups classiques comme : Les chiffons qui sortent de la manche, la pièce derrière l'oreille, le déplacement d'objet dans les airs, au final, il ne me restait plus beaucoup de coups à faire à moins d'utiliser mon fruit et au final, ce n'était pas sans regrets que je le faisais.
" Et maintenant... Admirez avec quelle facilité je vais jongler avec ... des épées."
Prenant une épée, je commençais à la faire flotter tellement proche de ma personne et notamment ma main qu'on ne pouvais presque pas voir la supercherie. Sourire aux lèvres, après un numéros à une seule épée, j'en pris une deuxième, puis une troisième et enfin une quatrième. Mais même avec quatre épées, ce prestige ne me plaisait pas. Mon sauveur apparaissait sous mes yeux. Un officier de la marine avec deux énormes épées aussi que des haches de guerre passait par là et c'est poliment que je l'interpellais tout en continuant mon jonglage. Après avoir négocié donc, je faisais prendre les épées à un passant pour qu'il affirme qu'elles étaient lourdes, puis avec aisance, usant de mon magnétisme pour m'aider, je les soulevais pour alors les lancer dans les airs. Là, le spectacle était plus jouissif selon moi. Quand les quatre lames de petite taille étaient dans les airs, mes mains jouaient avec les grosses et inversement. J'admirais le regard des gens qui semblaient plus qu'émerveillaient. Bien que d'autre étaient sceptiques. Il faut bien des rabat-joie. Bref, c'est donc tranquillement que je faisais mon show espérant attirer du monde et notamment, les personnes que je désirais vraiment.
Putain quelle joie. Cette île était à n’en pas douter une des sept merveilles du monde. Je me réveillais, totalement alcoolisée de la veille, regardant autour de moi les cadavres de bouteilles et humains, entre mort et vie, nous étions l’exemple même du pourquoi vivre. C’était la fête, la liberté qui nous avait unis sous la même bannière. Je souriais en attrapant mes sous vêtements pour m’en vêtir, s’exhiber en ce début de soirée serait mal venu ! Ha oui, il était déjà tard, la nuit passe vite quand la soirée se termine aux alentours des dix heures du matin. La chambre semblait des plus délabrée après ce festival de têtes primées faisant la java avec des civils fortunés et des révolutionnaires. Malgré le fait que cette île soit hétéroclite, nous préférions ne pas faire de bruit, nous, les hors-la-loi, c’est pourquoi les morts étaient jetés à la mer par ce que nous qualifions de « nettoyeurs ». Après un passage sous la douche et la pièce déserte, nous nous étions tous dirigés vers la sortie de l’hôtel, prenant chacun des directions différentes.
Je m’étais aventurée, sans surprise, dans la rue principale, celle où les bars naissent comme des champignons ! Je me plaisais à boire en l’attente de trouver des personnes qui sauraient me faire vibrer et avec qui j’aurai envie de naviguer. Ce n’était pas à l’ordre du jour. Les dernières personnes intéressantes que j’avais rencontré étaient sur south blue et chacune d’entre elles avaient des projets qui leurs étaient propres. Je m’ennuyais depuis ce jour. Il faut dire que nous avions détruit une bonne partie de l’île avec mon amie Reï. Je me plaisais à me rappeler du passé alors que j’enquillais les verres comme s’il s’agissait de lait. Entre bastons et cris, rires et pleurs, je ne savais plus où donner de la tête. C’est mon collègue de boisson de la nuit qui me fit signe de le suivre non loin de là, un gars assez marrant faisait des tours de magie et des acrobaties de jonglage avec des lames, ça lui semblait énorme. Interrogée, je ne me fis pas prié, ce genre d’évènement provoque toujours des risques. C’est simple, sur une île comme celle-ci, ou l’argent, l’alcool et les drogues coulent à flot, il y’a les sceptique et les optimiste. Ils ne s’aiment pas. C’est totalement alcoolisé que je fis face à l’homme en question, perché sur une table. Il me semblait étrangement familier, mais c’était surement l’effet de l’alcool. Je trouvais ça tellement cool que moi aussi je voulais jouer avec lui !
Je lui lançais alors mes deux lames à ma ceinture, sans en jauger la force, l’alcool faussant mes approximations. Je risquais plus de le tuer ou de tuer un passant que de l’aider à étoffer son tour ! Je me mis alors à rire aux éclats tandis que les lames fusaient vers l’acrobate. Les passants autour de moi me jetèrent un regard des plus abasourdit tandis que mes amis de la nuit eux faisaient une ovation à l’arrivée des lames. Ils savaient pertinemment que j’avais un tempérament des plus cinglants et sanglants, bien que la tentative de meurtre n’était cette fois-ci absolument pas volontaire. Comment allait-il réagir ?
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Faire le show, c'est ma spécialité. Jouant avec la naïveté de ces gens, je continuais mon oeuvre. Jonglant faussement comme un véritable pro, je me nourrissais de cet entreint qu'ils avaient tous. Mais parfois, certains imprévus arrivent et alors que je continuais en attendant un miracle, il s'en produit un, mais pas celui espéré. En effet, alors que mes lames dansaient dans les airs comme s'il ne s'agissait de rien pour moi, voilà qu'une dame dans la foule semble vouloir intérargir avec moi et sans réfléchir, elle lance deux lames sur moi. Le coup n'est pas nul, bien au contraire. Tenterait-elle de me tuer là ? N'appréciant guère cette pseudo interruption, je lance en l'air les deux énormes épées du marine et rattrape les quatre épées normales. Deux dans chaque mains, c'est donc de justesse que j'évite ces lames. D'ailleurs, je n'évite pas, je dévie. C'est sans doute pour cela qu'une trace rouge très fine apparait sur ma joue, démontrant bien qu'une des lames m'a bien éffleurée. Waow, quel coup. J'ai bien eu peur...
Cessant le show, je souris en mimant de ne rien ressentir. Pas même de la frustration du fait d'être interrompu. Oubliant la présence de la marine, je lance les quatre épées en l'air, je rattrape les deux grosses que je lance aussitôt dans les airs, puis d'un geste, voilà qu'elles se stop dans les airs comme si elles flottaient. Ce qui est indirectement le cas. Usant de mon pouvoir, je ne peux m'empêcher de cacher plus longtemps mon léger énervement. Sans trop déformer mon visage avec une grimace de mécontentement, je laisse ma voix voguer dans les airs exprimant mon agacement.
" Voilà une bien étrange façon de me faire une ovation... Laissez moi donc vous rendre... "
Ne terminant pas ma phrase, je lève les bras et les met vers l'arrière, quand soudainement, je les lance vers l'avant en direction de mon agresseur. Saoul ou non, cela n'est pas une raison pour m'interrompre et elle va l'appendre à ses dépends.
" La pareil !!! "
Suite à mon mouvement qui mimait un lancement, les armes se jettent sur la foule comme si elle étaient commandées. En effet, j'use du magnétisme pour les propulser vers ma cible. Malheureusement, ce genre de dérapage ne fait pas que lancer une simple bagarre de rue... La marine ici présente se doit d'intervenir et elle ne se fait pas prier. Elle commence donc à viser ma personne me jugeant comme étant LA personne dangereuse dans le cas présent et d'un geste de la main, je stop leurs balles. A vrai dire, je stop tout sur le coup, les armes, les balles, plus rien ne bouge. Le temps semble presque s'arrêter pour me laisser la parole.
" Ceci a un air de déjà vu et je n'aime guère ça... On doit recommencer encore ? Mes affaires sont mes affaires voulez-vous ? "
Les ignorant donc, je fait un geste de la main comme pour les pousser et ceux armés d'un objet en métal sont propulsés vers l'arrière. Sur cinq personnes présentes de la marine, quatre sont repoussés. Il n'y a que le gros lourd à qui j'ai emprunté ses armes qui reste là analysant la situation. Revenant à ma chère amie, je la fixe et lui lance un regard pas très joviale.
" On en étais où ? "
D'un claquement des doigts, les armes se lèvent et assoment les agents de la marine qui tentaient de se relever, excepté le gros lourd de tout à l'heure qui semble attendre une opportunité. Bras cassé va... La foule panique et se disperse, nous laissant presque seul à seul, tout les trois. Quelle charmante réunion.
Le saltimbanque en face de l’assemblé avait été obligé de parer les lames en croisant celles avec lesquelles il jonglait quelques secondes auparavant. Je soupirais doucement comme pour montrer ma frustration quant au fait qu’il ait loupé son retour en scène. L’alcool m’aidait à ne plus être très cohérente en cet instant. Pour moi, il s’était simplement foiré et s’était coupé la joue comme une bleusaille. Je commençais à étouffer un léger rire en m’avançant doucement tandis qu’il figeait ses lames au-dessus de sa tête. C’était quelle sorte de magie ça ? Un fruit du démon, tout le monde de censé sur grand line s’en serait rendu compte, moi de-même si je n’avais pas cinq grammes dans chaque œil au point de confondre rêve et réalité. Je n’étais pas loin de voir des éléphants se balader en tutu dans les allées marchandes. Alors que, sans même avoir perçu les paroles de mon interlocuteur, ce dernier balança ses bras en avant, jetant ainsi ses lames vers la foule. Je ne me fis pas prier pour me servir de passant comme de bouclier humain.
C’est dingue comme l’odeur du sang vous remmène brusquement à la réalité. C’était un rappel à l’ordre radical, vous indiquant très clairement que votre vie, en cet instant précis, est en danger imminent. Je me ressaisis rapidement en jetant un œil derrière moi, la marine avait décidé d’agir et visiblement sur la personne du saltimbanque. Je m’en sortais plutôt pas mal, j’aurais pu m’éclipser en douce pour continuer ma nuit de débauche, mais je me devais de récupérer mes katanas qui étaient toujours sous le contrôle du clown. Alors que la marine ouvrit le feu, le temps sembla se figer. Quel était ce tour ? C’était donc effectivement un fruit du démon et même un drogué alcoolique aurait pu le remarquer maintenant. Je lançais un regard agressif vers sa personne tandis qu’il souhaitait, d’après sa déclaration, s’occuper de ses affaires seul. Pourquoi refuser son invitation ? Je fis signe à des amis de beuverie d’occuper les marines et les civils en déclenchant une baston générale, ce qu’ils ne tardèrent pas à faire. Les marines près de l’homme volèrent en arrière tandis qu’il revenait à ma personne. Il semblait décidé, j’aime les hommes décis. La foule se dispersait peu à peu tandis que l’homme me dévisageait, mes collègues courraient dans tous les sens, nous laissant bientôt quasiment seul dans cette rue. Je ne prêtais même pas attention au marine. C’était une bonne chose qu’il ait assommé les marines avec les armes en sa possession, je pouvais simplement me pencher pour récupérer mes armes, mais sérieusement, je préférais éviter pour le moment.
« Tu me plais toi, jouons ensemble… J’aurai une récompense si tu arrives à me surprendre ! »
Sans me faire attendre, je pris mes appuis et en une propulsion sur le sol à l’aide d’un soru, je fonçais sur mon adversaire pour lui assener un simple coup de poing, pour ouvrir les festivités gentiment.
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Je ne remarquais pas tout. Que ce soit son coup du bouclier humain, le fait que des collègues à la miss nous aidaient à tenir à distance les marines. Finalement, avec une certaine rapidité, nous nous retrouvions seul à seul quasiment. Un combat s'annonçait-il ? Je me demandais bien ce qui allait se passer. Est-elle forte ? Ou bien est-elle juste alcoolisée au point de combattre alors que si ça se trouve, elle est juste bonne à faire la cuisine ? Préjugé à la con... Grimaçant, je laissais les armes tomber au sol ce qui lui donnait l'occasion de reprendre ses lames. L'observant, j'écoute ses dires qui sont assez amusants. Elle se moque de moi ou bien je rêve ? Sait-elle qui je suis ? Connait-elle mon prestige ? Nn'a-t-elle jamais entendu parler de " Ayato le magnifique " ? D'accord j'exagère un peu, mais passons. Elle est sérieuse dans ses dires. Morte mentalement ou non, elle veut se battre, alors faisons ainsi.
D'un coup, elle disparait pour apparaitre face à moi. Tout semble se passer au ralentit. Je l'admire dans sa position déjà prêt à me lancer un direct du droit. J'ai à peine le temps de ouvrir grand les yeux que son poing écrase une de mes joues et m'envoie voler un peu plus loin, brisant une petite table qui trônait là, au pied d'une terrasse de café désormais abandonné. Waow... Elle peut disparaitre et apparaitre comme ça ? Cela me fait presque penser à ce chat que j'ai rencontré il y a quelques temps. Paix à son âme. Passant une main sur ma joue, je me redressais en venant m'étirer. Quel mal de dos, elle tape pas comme une fille celle-là. Cela promet d'être intéressant. Avançant en douceur, je passe mes mains sur mes habits pour retirer la poussière.
" Quelle technique... Si je t'intéresse, pourrais tu me l'apprendre ? .... Je suis sûr qu'on pourra grandement s'entendre..."
L'art de parler. Creusant doucement la distance entre nous, alors que je me trouve approximativement à 6 mètres d'elle, je prends plusieurs cartes en métal et je les lancent vers elle. Bien sûr, celles-ci n'arriveront pas à la blesser, mais avec moi, tout est pensé. Ainsi donc, les cartes lancées, elles ne la touchent même pas, s'éparpillant un peu sur notre champ de bataille improvisé. Sourire aux lèvres, on pourrait croire que j'ai fait ça pour bluffer, mais non. Au cas où elle serait surprise de ce loupé magistral en apparence, je m'approche le sourire le plus narquois au monde aux lèvres.
" Bah quoi ? Elles ne sont pas belles ?"
Ni une ni deux, je fonce sur elle à pieds. Pas de disparition, je ne suis pas aussi rapide qu'elle, mais je compte bien tenter ma chance. Une fois que je me sent assez proche, c'est un coup du gauche qui part, mais alors que j'allais frapper, j'ouvre ma main qui envoie de manière non offensive des cartes au niveau de son visage. Le but ? La distraire. Car pendant que son regard est peut-être rivé sur cet écran formé de cartes, mon bras droit lui, plonge dans cette distraction dans l'objectif de lui mettre une belle droite. Est-ce que cela allait marcher ?
Plus loin, non loin de notre position, une personne marche à contre courant des gens qui fuient la situation. Armé d'un petit sac à dos, elle écoute les gens qui hurlent le fait que " ce magicien est fou ". Son regard neutre ne change pas, seul un soupire se fait entendre.
Je ne pus retenir un rire amusé quand ma main vint s’écraser sur la joue du saltimbanque pour l’envoyer dans le décor, explosant un table au passage. Le voilà maintenant qui avançait vers moi comme si de rien n’était. J’aimais ce ton légèrement assuré et hautain à vrai dire. C’était des hommes de cette carrure, forts ou faibles, qui étaient les plus intéressants. Ceux qui ont confiance en eux au point d’en irradier les autres, ce sont des meneurs. Je souriais en relâchant ma garde, je laissant approcher tandis que je réfléchissais à ce que j’allais bien pouvoir faire de lui une fois que je l’aurai mangé. Cela dit, je ne devais pas me relâcher, il pouvait très certainement lui aussi me surprendre sans que je ne m’y attende, surtout avec son fruit du démon, je n’avais pas encore eu l’occasion de découvrir quel il était. Finalement, alors qu’il avançait, il prit la parole, à ma grande surprise.
" Quelle technique... Si je t'intéresse, pourrais tu me l'apprendre ? .... Je suis sûr qu'on pourra grandement s'entendre..."
Quel cran. Je souris alors en posant une main sur ma taille en lâchant « Si tu t’en sors bien, tu es obligés de créer un équipage avec moi. J’ai de grands projets que je ne peux réaliser seule. A ces conditions seulement, je t’apprendrai des choses… De plus en plus intéressantes… ». Enfin, il saisit des cartes pour me les envoyer. Même pas nécessaire de bouger, c’était une mauvaise blague ? Je lui adressais un regard inquiet, comme pour indiquer ‘hé, si tu ne fais rien mec, tu vas crever tu sais ?’. Cependant, lui, semblait amusé, les cartes étaient parsemées un peu partout sur l’air de combat. Il se mit à courir en ma direction, me menaçant de la gauche pour finalement ouvrir sa main en grand, attirant les cartes qui attirèrent immédiatement mon attention, je balançais alors mon visage sur la gauche pour le jeter sur son poing droit, me faisant voler un peu en retrait, bien que toujours debout. Je vins cracher une gerbe de sang au sol en essuyant ma bouche, lui adressant un large sourire. Il était sympathique en fin de compte comme personnage ! Je le voulais comme compagnon de voyage, c’était décidé. Il n’était peut-être pas le plus fort des personnages sur cette île mais il était surement le plus courageux et le plus atypique pour ne serait-ce qu’oser m’affronter sans trembler et porter ses convictions jusqu’au bout.
« Tu me plais toi… J’ai hâte de voir comment tu vas réagir à ça… Ha au fait, laisse-moi me présenter, je suis Element D Emishi… Je veux qu’à compter de ce jour, tu m’appel capitaine ! Xu Bin ! »
Roulant au sol, je rompis en une fraction de seconde la distance qui nous séparait en apposant mon pied sur le sien, le clouant donc instantanément au sol. L’esquive d’un coup à venir allait donc être simplement improbable ou juste miraculeuse. Toujours au position du sol, je me redressais brusquement, toujours aussi rapidement, en venant percuter son estomac de mon genoux avant de lier mes deux poings pour tenter de lui fracasser le crâne, si toutefois ce dernier avait le malheur de se pencher en avant « Le silence traverse le corps ! ». Après quoi, bien entendu je me permis d’enchaîner, pourquoi laisser une chance à un ennemi temporaire ? « Liu Ling - Le geste balaie le vide. » je vins m’abaisser pour lui infliger non pas un coup de katana mais un coup de fourreau derrière le genou, espérant ainsi l’handicaper lourdement pour le reste de la soirée. Comment allait-il réagir à cet assaut violent ?
techniques:
♣♠♣ Nom ♣♠♣ Xu Bin - Le Silence traverse le corps ♣♠♣ Description ♣♠♣ Le bretteur effectue avec agilité une roulade qui lui permet de parvenir rapidement au corps à corps et de surprendre son adversaire en lui bloquant le pied avec son pied d'appui. Ce faisant, il peut profiter d'un coup inesquivable de façon classique.
♣♠♣ Nom ♣♠♣ Liu Ling - Le geste balaie le vide ♣♠♣ Description ♣♠♣ Le bretteur inflige un coup de lame dans l'arrière du genou de son adversaire, ce qui lui empêche de se mouvoir correctement jusqu'à la fin du combat.
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Pour une raison que j'ignore, elle me plaisait. C'est pas le physique, c'est pas le mental, c'est ce qu'elle dégage. Une certitude à toute épreuve. Son autorité qu'elle exprime clairement. Alcoolisée ou non, elle me rend toute chose et je prends plaisir à cette rencontre. Oubliant presque mon objectif primaire, je note ce qu'elle me dit. Dieu que c'est ambigüe. Je me permet même de le souligner en lui disant sans détours.
" Apprendre des choses de plus en plus intéressantes ? Arrête voyons, à t'entendre, je suis incompétent dans ce domaine..."
Pas besoin de dessin pour expliquer que je faisais des sous entendus coquin. Après tout, malgré ses habits, on devine une paire assez attractive. C'est une femme quoi. Sourire aux lèvres donc, je lançais mon assaut en priant faire mouche. Peut-être allait-elle éviter, mais à ma grande surprise, elle tombait dans le panneau. Se prenant mon poing dans la face de plein fouet, je la vis cracher un peu de sang. Waow, je l'ai touché ? Vraiment ? Mais je suis trop fort en réalité. Souriant, je regarde, que dis-je... j'admire son sourire qui semble ravis. Elle jouis autant que moi de ce moment ? Ses dires s'envolent dans les airs et elle scelle définitivement notre pacte. Le résultat de ce combat déterminera mon avenir. Sauf si je change le cours du spectacle. Après tout, JE suis le magicien ici non ? Elle attaque et pas avec le dos de la cuillère. Je me fait plier en deux suite au fait qu'elle m'a donné un puissant coup de genoux et enchaînée avec un coup dans la tête, me sonnant. Impossible d'éviter donc son nouvel assaut qui consiste à me donner un joli coup dans le genoux. Elle veut me briser les jambes ou quoi ? Pas certain que mon corps soit totalement indemne, je m'écrase au sol, complétement possédé par une vive douleur. Elle est douée et mérite son grade de capitaine à mes yeux. Mais... N'a-t-elle pas demandé du spectacle ? Que je l'étonne ? Ainsi donc, voici ma carte secrète huhu. Semblant inerte, seul un sourire dément se dessine sur mes lèvres. Levant légèrement le bras, ma main fermé laisse juste mon index se lever comme si je voulais demander une chose : son attention.
" Aimes... tu la magie ? Car... on m'a toujours dit que chaque questions, chaque gestes, et même chaque paroles n'étaient pas dû au hasard. Ainsi donc... Voici ta surprise tant demandé."
Pliant l'index comme pour faire signe à quelqu'un de venir, du sol se détâchait une des cartes en métal que j'avais jeté plus tôt. Répétant le geste plusieurs fois, je ne bougeais pas, me contentant de faire venir à moi les cartes précédemment lancées en priant que sur le trajet, celles-ci coupe ne serait-ce qu'un peu les habits de la demoiselle. Je rigole en attendant, allongé à faire des signes de venir à mes cartes. Ce combat m'amuse, elle m'amuse, la vie m'amuse. C'est décidé, je la suivrais. Mais pour l'heure, le combat n'est pas terminé, elle peut encore décider de tester une ultime fois ma personne en ayant pour idée de me frapper avec un coup pouvant être mortel. Ce serait... quelque chose de plaisant. Un test à haut risques. Une fois les cartes revenues proches de moi, j'essaie de me redresser en vain. J'ai la flemme de bouger. Proie facile, je me contente simplement de lui poser une petite question.
Finalement, il tombait à genoux, et semblait heureux, bien que la douleur doive avoir pris possession de son corps en cet instant précis. Je le regardais, légèrement souriante, une main posée une ma taille et l’autre ballotant dans le vide, à la recherche de mes lames, mais toujours quelque part sur le sol. Je soupirai doucement. C’était la première fois que j’avais peur d’utiliser mes lames face à quelqu’un, ce pirate, il n’était pas n’importe qui lui non plus. Enfin pirate, je n’en savais rien avant de ne décider qu’il serait un membre de mon équipage, crée tout spécialement de manière des plus officielles suite à cette rencontre au combien attrayante ! Il semblait aimer la fête lui aussi, et semble assez porté sur les sous entendu douteux comme j’aime à en faire. Ça ne faisait pas un pli, je voulais aller sur les mers avec ce type. Enfin, il prit la parole, semblant maintenant totalement allongé sur le sol, il me demandait si j’aimais la magie, quelle question, j’aime tout ce qui est incompréhensible, tant que ce n’est pas dirigé contre moi.
« Tout dépend. Mais tu as un tour à me proposer ? »
Il appela alors à lui toutes ses cartes réparties sur le terrain, espérant ainsi m’affecter en me touchant. Il ne pouvait pas imaginer à quel point c’était difficile, à ce moment là, de bouger de manière si vive en étant alcoolisée. En effet, je manquais de me casser la gueule à chaque esquive, titubant sur une jambe, puis sur l’autre, ses lames à jouer tailladant ça et là mes habits, tantôt ma chaire. C’était assez douloureux en y repensant, mais sur le coup, la seule chose qui m’intéressait c’était de lui faire exploser la caboche pour m’avoir fait tourner en bourrique ! Je me relevais, une fois le balaie aérien terminé, l’on pouvait apercevoir plusieurs traces de coupures sur mon flanc gauche et droit, ainsi qu’admirer une bonne partie de mes fringues éparpillées sur le sol. Il plaisantait surement, non ? Il voulait simplement me déshabiller ?
« Hé, le show est pas mal… Mais si tu veux avoir le droit de vivre, tu vas devoir me montrer ta détermination. »
C’était clair, net, précis. Je venais de faire quelques pas pour ramasser mes lames et les ranger dans leurs fourreaux pour enfin revenir à son niveau. J’avais pris ma décision. Mon prochain coup serait fait dans l’unique but de le tuer. S’il pouvait se surpasser pour éviter la mort, il serait assez efficace et fort pour venir voguer sur grand line. Il y est indispensable de savoir tromper la mort, je refuse de perdre de nouveaux compagnons car j’aurai manqué de jugement au moment des recrutements. Je m’étais placée au niveau de sa tête et venais de lever la main au ciel, j’allais simplement l’abattre sur sa nuque avec violence, cherchant à la briser, sans style particulier. Une mort n’a pas à être belle. Quand vous êtes mort, vous êtes mort, tout le monde s’en fou du style donné. Je lui en ai toujours voulu pour ça, à … Le coup parti d’un coup sans prévenir. Je n’avais aucune attente particulière, mais s’il parvenait à survivre, ce serait la plus belle surprise de ces derniers mois.
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Un tour à lui proposer ? Si elle savait. Usant du pouvoir de mon fruit, je faisais revenir à moi les cartes dans l'objectif de la surprendre un peu. J'étais un génie au final. Une personne qui répond à des souhaits formulés gentiments. Du moins, j'espérais fortement, car mine de rien, elle esquivait tant bien que mal. Oh ? Même bourrée elle arrive à bouger ainsi ? Ses mouvements sont amples, bien trop pour ne pas succomber à quelques coups. C'est donc fier de mon coup que je l'admirais se redresser. Elle n'est pas K.O, une personne comme elle, il lui en faudrait mille fois plus. L'envie de continuer est là, mais mon corps ne réponds pas. Je suis fatigué intérieurement, mais intérieurement, je pète le feu. Sourire aux lèvres, je jette un coup d'oeil à la miss qui semble avoir pris un peu cher. Amusé, je me délecte de cette vision à la limite de l'érotique. Oui, j'ai une définition spéciale du mot " érotique ", mais passons. Ce sang qui coule très légèrement, ces habits devenus passoires... Miam, c'est une vue qu'un pervers aimerait plus que tout.
Malheureusement, chaque acte a une conséquence. Et elle l'a aussi bien saisit que moi. La regardant, voilà qu'elle approche de moi. Rangeant ses lames au passage, je me demande bien ce qu'elle compte faire. M'apprendre quelque chose en publique ? Oh ? Mon sourire ne disparait pas alors que je cesse de bouger mes mains. Tel un homme inerte, je la fixe faire. Un bras se levant vers le ciel, elle semble avoir pour idée que de m'écraser la tête. Et malgré mon état enjoué, je ressent cette sensation qui vous crie de fuir. Elle compte me tuer, son regard ne trompe pas. Mais malgré une légère inquiétude, il y a toujours cet amusement qui m'empêche de perdre le sourire.
" Oh ? ... "
Me concentrant, j'essai d'appliquer le pouvoir de mon fruit à ses lames. Après tout, si je repousse ses lames qui sont sur elle, elle devrait être tiré en arrière et ainsi, je devrais esquiver. Malheureusement, entre la théorie et la pratique, il y a un gouffre. Son coup mortel ne va pas être lent. Une fois son bras à son apogée dans le ciel, je m'attends à une brusque descente. Mon sourire se perd d'un cran. Serait-ce la fin ? Il semblerait bien. Un simple soupire s'échappe d'entre mes lèvres l'air de dire " c'est le jeu... " Attendant le moment fatidique avec une certaine excitation, le coup par tout seul. C'est un véritable choc. Tout s'enchaîne rapidement. Le coup selon moi est si puissant que un large nuage de poussière se forme autour de nous.
C'est ça d'avoir la tête écrasée ? C'est dingue, j'aurais presque l'impression que je l'ai encore bien remplie. Me demandant ce qui se passe, la poussière disparait doucement et la réponse à nos questions se dévoile. Woaw... Un corps à moitié crispé au dessus du mien, visiblement, quelqu'un a intercepté le coup pour me protéger et quand je lève les yeux pour tombez nez à nez avec des cheveux roses, sur le coup, mon sourire revient.
" On peut dire que pour une fois.... TU m'as surpris huhu." " ... Crétin."
Sa voix est dure, froide et pourtant, amicale. Elle est là, se tenant juste au dessus de moi; un genoux au sol. Ses mains l'une contre l'autre, elle a intercepté le coup de la fameuse capitaine. Madoka... Son regard fixe celui de la femme qui s'amusait avec moi et sa voix se fait entendre sans plus attendre.
" Je sais pas ce qu'il a fait, mériter ou non, mais une chose est sûre... JE suis le seul autorisé à le tuer. "
Son ton glacé démontre un sérieux à toute épreuves. Elle n'a pas froid aux yeux la miss. Rigolant, je me marre comme un enfant qui a entendu la meilleur blague de ce monde. J'espère que le combat ne va pas tourner en règlement de compte. Rompant sa position délicate, la fameuse Madoka se redresse et se place entre moi et mon capitaine désormais. Avant que ça parte en sucette, je me contente de reprendre la parole.
" Ne te trompe pas Madochoutte... Elle n'est pas une ennemie, mais plutôt... un capitaine. Mon capitaine."
Cela ne semble pas entrer dans son cerveau. Elle est têtue et semble vouloir aussi tenter sa chance contre elle. Bah, je ne pourrais sans doute pas la faire changer d'avis. La regardant sortir de ses poches des aiguilles, elle se tient en position de défense. Habillé d'une sorte de kimono juste au corps afin de lui permettre des mouvements plus amples, elle se tient parfaitement comme il faut. Poussant un soupire, je me demande comment ça va finir tout ça.
Mon choix était fait, j'allais rejoindre son équipage, du moins, quand celui-ci sera plus... engagé. Car me retrouver seul entre Madoka et elle, ce ne serais pas la chose la plus plaisante qui soit, à moins de vraiment me retrouver dans une position avantageuse si vous voyez ce que je veux dire. Bref, regardant alors mon amie vouloir me protéger, voilà que celle-ci veut se mesurer à la capitaine. Hm ? Vraiment ? Elle va tenter de faire cela ? Intrigué, je laisse donc la miss s'occuper de l'autre demoiselle. Loin de me douter de ce qui va arriver, je reste là, dans un coin, reprenant en douce mon souffle.
Assis dans un coin bien tranquille comme le meilleur spectateur que je suis, je ne me lasse pas de ces deux femmes qui vont s'en donner à coeur joie. Le combat commence donc, et ce que je vois est plus que surprenant. Je ne m'attendais pas à un tel combat avec une férocité féminine des plus innatendue. Impressionné, je me recule de temps à autre pour éviter d'être un dommage collatéral. Waow... Madoka serait-elle devenue si forte en si peu de temps ? Elle semble réussir à tenir tête à la demoiselle, mais ne prends pas trop d'initiatives offensives. Elle tente d'user de ses aiguilles maintes et maintes fois, jusqu'à ce que finalement, des bruits d'explosions se fassent entendre. Un canon ? Un bazooka ? Que se passe-t-il ? Détournant la tête, voilà qu'un groupe conséquent de marines armés débarquent. Visiblement, la demoiselle que je considère comme étant mon " capitaine " est recherchée et en plus de cela, ça étonne la marine de la voir " en vie " ? Hm ? Quel est le sens de tout ceci hein ?
Quoi qu'il en soit, la situation devient chaotique. Les marines décident de nous arrêter tous sans exception. Pour ma part, nul besoin d'essayer, leurs balles sont inutiles. Ainsi donc, je commence à protéger ma personne et Madoka, mais voilà que les explosions et tirs de bazooka se multiplient de plus en plus. Tch, quelle plaie. Ainsi donc, voyant que repartir ensemble dans l'immédiat semble pas vraiment possible, je jette de quoi me communiquer à Madoka, puis je m'en vais pour ma part. Ni une ni deux, j'use de mes dons pour me faire un chemin dans ce déluge de métal et de feu. La guerre ridicule, c'est pas pour moi...
Trouvant un petit bateau, je monte dedans avant de finalement prendre la mer. Partant comme un rat qui quitte le navire avant qui coule, je m'éloigne le plus de l'île dans l'objectif de trouver une autre île ou village capable de m'héberger en douce. Soupirant, une fois en mer, j'use de mon appareil de communication pour alors contacter la miss. Dommage que la discussion soit ... endiablé.
" Espèce de petit con va... Partir alors que je t'avais retrouvé. Non mais je te jure, c'est pas vrai de voir ça. Où tu vas maintenant ? " " ... Je n'ai rien pour naviguer précisément, du coup... Retrouvons nous quelque part de précis." " ... Shabaody. Et magne toi."
La voilà qui raccroche de plus belle. Souriant en coin, je me rends compte que la belle est toujours aussi hyper active.