Feuille de personnage Niveau: (52/75) Expériences: (879/1000) Berrys: 2.235.426.002 B
Dim 12 Juin - 17:14
Trêve méritée. feat. Holly
Rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux. ▹ Marc-Aurèle
Une silhouette encapuchonnée et pourvue d'une ample cape aux allures brunes se faufilait prestement parmi les ruelles étroites et oppressantes du Royaume de Trader. Faisant religieusement fi de ce qui l'entourait, notamment des divers avis de recherche qui recouvraient les murs entre lesquels il s'aventurait, l'homme semblait prendre grand soin toutefois à ne pas avoir à croiser trop de badauds : dès lors que l'un d'entre eux lui apparaissait, il s'arrangeait précautionneusement pour prendre immédiatement la tangente, attirant indéniablement l'attention sur lui mais uniquement durant un très court laps de temps. L'étranger semblait vouloir fuir l'animation, à tout prix, et avait manifestement pour ambition celle de ne surtout pas être reconnu... Cela expliquait beaucoup de chose, y compris le manque de signes distinctifs apparents grâce à sa tenue vestimentaire quelconque et trop peu personnelle pour donner quelques indices quant à son âge, ou encore à sa provenance, voire même à sa corpulence précise. La scène se prolongea durant quelques longues minutes, pendant lesquelles l'inconnu parcouru un nombre ahurissant de ruelles pavées, de dédales de roches et de poussières sans jamais parvenir à mettre la main sur un havre de paix conséquent, suffisamment tout du moins pour marquer un court arrêt. Lorsque cela fut enfin le cas, ce fut au beau milieu d'une place totalement déserte, et qui manquait singulièrement d'animation... Probablement car l'endroit était l'un des plus éloignés des plus grosses boutiques et des autres lieux d'attraction : à moins d'y vivre, peu de raisons de s'y rendre de manière volontaire... D'une main leste, l'inconnu vint ôter sa capuche, dévoilant derechef une chevelure dorée et vive, abondante et indomptable. Nakata secoua brièvement la tête, replaçant les quelques mèches égarées en travers de son visage encore juvénile là où elles devaient se trouver avant de pousser un soupir à demi-satisfait. L'infiltration s'était bien déroulée, et personne ne semblait encore l'avoir remarqué... Il avait quitté Armageddon Town depuis quelques temps déjà, et n'avait désormais plus qu'un seul objectif : celui de rentrer à Graou Island aussi vite que possible, afin d'organiser promptement la communication maritime entre ces deux îles. La conquête s'était bien déroulée, et aucune conséquence ne s'était pour l'heure faite remarquer... Restait à savoir si cela n'était guère plus qu'une question de temps, ou si le Gouvernement Mondial avait définitivement fait une croix sur son envie de discipliner le corps des Capitaines Corsaires. Une décision que bien des hommes auraient pu considérer comme étant raisonnables, fut-il dit en passant.
Pour autant, cela n'était pas la seule et unique chose que le Phoenix avait en tête. S'il était venu ici, sur Trader, là où il avait tant d'ennemis et de mauvais souvenirs, c'était tout simplement car l'escale devenait une belle occasion de remettre la main sur une personne qui lui était chère... Sa bien aimée, Holly, se trouvait effectivement, aux dernières nouvelles tout du moins, sur cet espèce de casino flottant, délabré, et souffrant d'une grossière oligarchie économique et tyrannique. Pas franchement certain de comprendre pourquoi la jeune rose se trouvait ici, au beau milieu de cet océan de dépravation et de criminalité qui ne seyait guère à son innocente beauté, le Fenice songea brièvement que ses précautions n'étaient peut-être finalement pas aussi nécessaires qu'il n'avait pu l'imaginer de prime abord. Les forces de la Guilde Marchande ne l'avaient jamais vraiment intimidé, même lors de ses touts premiers passages, notamment en tant que membre de l'équipage des Raiu no Kaizoku... L'homme qui avait tué l'un de ses camarades ici, répandant son sang abondamment parmi ces bâtisses ébranlées, c'était un marine. Pas un mercenaire, pas un criminel, pas un pirate... Juste un soldat, venu ici pour tenter de mettre la main sur quelques gros poissons. Autrement dit, aucun représentant du Royaume de Trader n'avait jamais vraiment su lui mettre de bâtons dans les roues et s'il savait pertinemment désormais que Mozero leur était lié, le zoan mythique ne se faisait pas beaucoup de soucis. Il était devenu fort, bien plus que nul n'aurait jamais pu l'imaginer des années plus tôt, et peu, très peu de combattants pouvaient prétendre pouvoir seulement l'inquiéter, ici, sur les Seas Blues. Probablement se comptaient-ils tout au plus sur les doigts d'une main... Cependant, cela n'excluait pas l'usage d'un brin de prudence : les combats menaient toujours à quelques débordements, et les débordements à des victimes collatérales. Or, si le musicien abhorrait bien l'un des points de vue du Gouvernement Mondial, c'était celui qui consistait à dire que les civils habitant sur des îles guidées par quelques hors-la-loi méritaient la mort qui les frappait malencontreusement... Le droit de naître était universellement équitable, et nul ne choisissait ni sa famille, ni son océan. Tuer un homme sous prétexte qu'il avait sans le vouloir été élevé dans une autre société, avec d'autres mœurs, et parce qu'il était sur notre chemin au mauvais moment...
«Ils feraient mieux de chasser la corruption, plutôt que de s'essouffler au jeu du petit justicier...»
Le bellâtre se racla la gorge un corps instant, prenant ainsi le temps d'apprécier les remugles pestilentiels qui l'encerclaient à leur juste valeur. Les gérants de la Guilde Marchande ne mettaient vraisemblablement pas la priorité sur le nettoyage de leurs pavés, et c'était bien regrettable... Songeant que leurs villas et palaces se trouvaient probablement dans un bien meilleur état, le garçon se contenta de hausser les épaules avant d'imaginer qu'il lui faudrait bien, un jour ou l'autre, venir à bout de cette grotesque organisation également. Le pouvoir par l'argent... Rien de plus efficace pour détruire les vertus des petites gens, qui se mettaient ainsi à rêver par orgueil et par avarice simultanément... Lorsqu'il ne s'agissait pas directement d'envie. Songeant que le temps d'une véritable équité était encore bien loin, le Schichibukai se remit lentement en route, moins ardemment qu'auparavant tout du moins. Il lui fallait mettre la main sur Holly, et pour cela, rien n'était plus simple... Ses yeux se fermèrent l'espace d'un instant, et son haki de l'observation, comme un véritable sonar, lui fit parvenir les voix et les intentions de toutes les personnes présentes dans un vaste périmètre, tout autour de lui. Y était-elle ? Il n'allait pas tarder à en être assuré !
Called to the ring, Taking me round by round It hurts and it stings, Taking me down, down, down You think that you caught me, I can hear you taunt me Fractured and I'm falling down, My enemy is watching me bleed
But I'm not dead yet So watch me burn.
Fenice Nakata
Holly Wate
Pirate
Messages : 1277
Race : Humaine
Équipage : Tengoku no Seigi
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Mer 15 Juin - 17:45
❝ Trêve méritée
• feat. Nakata Fenice •
Agaçant. La rose leva le nez de ses cartes, dardant sur l’homme en face d’elle un regard noir. Son air suffisant, son sourire en coin, sa manie de pianoter sur le bois de la table avec le bout de ses doigts, tout lui donnait envie de lui en mettre une. Surtout après le coup qu’il venait de lui faire. Pourtant, la soirée avait bien commencé. Son mal de tête ne faisait pas autant des siennes que d’habitude, elle était parvenu à se procurer quelques herbes nécessaires en cas de rechute et, comble du bonheur, il faisait plus frais sur le Royaume que la veille. Holly avait donc décidé de sortir ce soir-là, afin de profiter un minimum de cette île en ayant l’esprit lucide et les pensées non accaparées par toutes ces voix. La jeune pirate s’était laissé porter par la foule, trouvant refuge dans un bar une fois ses pieds douloureux. La suite se déroula de manière rapide. Une fois assise à une table, son verre de jus de fruits en face d’elle, elle se mit à écouter ce qui se déroulait autour d’elle. Quelques personnes, avec un verre de trop dans le nez, chantant des chansons paillardes. D’autres, plus sobres, complotant avec leurs voisins. Puis, il y avait aussi les joueurs de cartes un peu plus loin. C’est l’un d’entre eux qui vint à sa rencontre, quelques minutes plus tard, pour l’inviter, arguant qu’il manquait un joueur pour pouvoir débuter. Quelque peu sceptique, Holly l’avait d’abord observé. Un sourire trop faux pour être honnête, des mimiques étranges, mais un visage charmant. Son regard s’était alors porté sur la table un peu plus loin, où les autres conversaient en attendant le retour de leur comparse. Au départ, lorsqu’elle était arrivée, ils étaient cinq autour de cette table. Il n’en restait dorénavant plus que quatre, le dernier étant parti en courant pour une raison obscure. Ce qui, elle devait bien l’avouer, la rendait totalement indifférente.
Elle avait alors accepté l’invitation, partant sur le principe que, de toute manière, elle n’avait rien à faire.
Son regard se porta sur les traces de sang à peine sèches sur son coin de table. Son prédécesseur ne s’était pas enfui en un seul morceau. En arrivant, la rose avait parfaitement vu le doigt présent sous sa chaise. Terriblement glauque. Laissant échapper un soupir, Holly releva ses yeux vers son vis-à-vis. Elle ne connaissait pas son nom, mais se fichait éperdument de ce détail. Tout ce qui importait était ce sourire arrogant. Elle lui ferait ravaler à un moment donné, la rose s’en faisait le serment. « J’me couche. » Son jeu était on ne peut plus minable. Ses sourcils se froncèrent lorsque l’autre se mit à rire, dévoilant son jeu avec une satisfaction certaine. Quinte flush. La demoiselle se renfrogna, mécontente de la tournure que prenaient les choses. Depuis le début, elle ne parvenait pas à réunir la moindre combinaison un minimum intéressante. A contrario, cet homme enchaînait les combinaisons gagnantes et ne se privait pas pour narguer les autres. C’était une arnaque. Une arnaque complète visant à déplumer les pauvres pigeons prêts à se prêter au jeu. Elle faisait partie de ces pigeons, tout comme le type assis ici avant elle. Sauf qu’elle ne comptait pas y laisser un doigt ou une autre partie de son anatomie. La rose désirait partir, s’éloigner de ces parties truquées et chercher un quelconque amusement autre part. Si ce n’était rentrer directement dans sa chambre d’hôtel pour retrouver ses animaux. « Bon, les gars. » La demoiselle posa ses mains sur la table, amorçant ensuite un geste pour se lever. « Pas que je m’ennuie avec vous, mais j’ai d’autres choses à faire. » Son sourire, à la douceur aussi fausse que les dents en or de l’homme à sa gauche, s’élargit toutefois en voyant l’air mécontent de celui qui lui avait pris plus d’une centaine de berrys. Il perdait déjà son deuxième pigeon, son deuxième gagne-pain. Quelle tragédie.
Pour un peu, elle aurait bien versé une larme pour lui.
La demoiselle marqua un temps d’arrêt quand celui aux dents en or attrapa son poignet, l’air presque aussi furieux que l’autre. « Hep là, ma jolie, tu vas pas nous abandonner maintenant. On en est à peine à la cinquième manche. » Comme si elle comptait se gêner. Elle transforma son poignet en neige sans sourciller, échappant à la prise de l’autre tout en se délectant de sa mine surprise. Il ne s’attendait pas à ça, tout comme les autres. C’est toujours avec le sourire que la rose se leva, faisant fi des remarques qu’elle pouvait entendre venant de cette table. Et elle aurait continué, elle aurait avancé jusqu’à la sortie, si l’un ne s’était pas décidé à lui barrer la route en sortant une hache d’elle ne savait où. Sérieusement ? «Z’êtes lourds, vous le savez ? »
C’est en se frottant les mains que la pirate sortit dans la rue, retrouvant les lumières artificielles avec plaisir. Derrière elle, le bar se voulait résolument calme. A ses côtés, dents en or s’octroyait un petit somme. Autour d’eux, quelques amas de neige offraient un aspect presque hivernal au lieu. Le nez en l’air, les mains dans les poches de sa veste, Holly reprit sa route à travers les rues de cette ville.
Qu’allait-elle donc bien pouvoir faire maintenant ?
•••
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Holly Wate
Fenice Nakata
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Race : Humain
Équipage : Tengoku no Seigi
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Jeu 16 Juin - 19:19
Trêve méritée. feat. Holly
Rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux. ▹ Marc-Aurèle
Ses paupières s'étaient tout juste closes, trahissant momentanément son regain de concentration, qu'il avait brutalement perçu la douce et délicate voix de sa compagne à quelques rues de cela. Sans même avoir à tenter de l'analyser, à essayer de s'en assurer ou à scruter les environs pour s'assurer qu'il ne s'agissait pas simplement d'une voix ressemblante, le Schichibukai prit immédiatement la direction toute indiquée, replaçant sa capuche sur sa chevelure dorée avec un soupir de lassitude. Elle se trouvait dans un lieu manifestement plus ou moins fréquenté... Une taverne, un bar, un restaurant ou quelque chose de ce genre. Elle n'allait probablement pas s'attendre à le voir arriver... Mais il n'allait pas chercher à la rencontrer dans un lieu désert. Il n'allait pas se donner ce mal, surtout pas pour éviter une confrontation directe avec la Guilde Marchande... Nakata n'avait guère envie de jouer le jeu de cette oligarchie financière qu'il ne portait pas vraiment dans son estime. S'il était repéré par l'un de leurs émissaires et qu'ils envoyaient des gardes à sa rencontre pour l'appréhender, alors les responsables de Trader allaient très certainement s'en mordre les doigts : il entendait bien fracasser chaque immeuble qui se trouverait sur sa route s'il le fallait pour profiter d'un moment de calme et de tendresse avec sa dulcinée. Oui, quelque part, le pirate n'était pas vraiment jouasse... Il fallait le comprendre : la pression et la tension s'étaient accumulée des jours durant, l'obligeant à s'occuper d'affaires urgentes et importantes sans pouvoir lever le pied un traître instant. La récréation d'Armageddon Town s'était elle-même vivement interrompue, et avait incontestablement apporté son lot d'inconvénients et de formalités. S'occuper d'une île et de ses habitants, a fortiori lorsque ceux-ci avaient à souffrir de la tyrannie depuis des décennies, n'était jamais une partie de plaisir... De facto, la soirée qui s'annonçait au sein de la lune blanchâtre déjà levée risquait d'être un véritable havre de paix, un repos du guerrier bien mérité pour le Phoenix à la tête blonde. Depuis combien de temps n'avait-il plus profité du sourire d'Holly ? De sa grâce, de sa prestance et de sa délicatesse naturelles ? De sa malice, de sa chaleur paradoxale, de sa candeur émouvante ? Trop longtemps, assurément. Le Fenice allait enfin pouvoir y remédier. Et il était déterminé à l'idée d'en profiter. Il allait mettre un point d'honneur à leur garantir de belles retrouvailles.
Pourtant, après avoir subrepticement traversées ruelles et pavés de maison, lorsque le garnement se remit enfin à user de son haki de l'observation pour vérifier la position de sa bien aimée, il se rendit compte que la situation initiale avait manifestement été ébranlée par quelques péripéties. En effet, la jeune femme s'était apparemment écartée du reste du groupe, dont les voix, comme calfeutrées et passives, témoignaient d'un état physique pas franchement optimal. Se maudissant pour avoir baissé sa garde ne fut-ce que durant quelques paires de secondes, se remémorant le fait qu'il était désormais largement en mesure de maintenir l'utilisation de l'observation durant plusieurs heures sans avoir à en souffrir même s'il n'était clairement et ne serait d'ailleurs jamais un expert dans le sujet, Nakata décida de faire l'impasse sur ce détail et de se concentrer sur l'essentiel. Après tout, qu'elle tabasse un ou deux badauds, cela ne la dérangeait aucunement : elle n'en était pas à ses premiers et même si cela était le cas, il aurait été bien mal indiqué pour lui adresser quelques remontrances à la matière... Souriant presque bêtement en songeant qu'elle avait toujours aussi mauvais caractère, le capitaine corsaire se mit en quête de son irritante compagne, toujours plus promptement et avidement, comme si c'était désormais le seul et unique obstacle qu'il lui fallait franchir avant de trouver son Eden, son Eldorado, son utopie. Et lorsqu'il put enfin observer sa silhouette gracile et fluette gambader doucement au sein de Trader, il sentit son cœur se dérober un bref instant, et un sourire béat recouvrir ses lèvres mécaniquement. Sans vraiment réfléchir davantage, et sans même prêter attention à son environnement immédiat, le blondinet ôta sa capuche et entreprit de rattraper sa bien-aimée, qui continuait à marcher devant lui, de dos. Il se voyait déjà l'attraper dans ses bras sans crier gare, la couvrir de mille baisers et compliments, lui chanter son amour et lui dire combien elle l'avait manqué... Mais il n'en eut malheureusement guère l'occasion. Pas dans l'immédiat, tout du moins !
Car ôter sa capuche avait été une erreur grossière, du point de vue des mercenaires de la Guilde Marchande tout du moins. Même si, à l'orée de la nuit, cette rue était plus ou moins désertée et nettement plus calme que les gros carrefours proches des différents ports locaux, rien ne se passait jamais comme escompté... Ainsi, le Fenice n'eut pas le temps de héler sa dulcinée qu'un violent coup de pelle vint le percuter de l'arrière, le précipitant sur les pavés contre lesquels il se fracassa sèchement. Pour la rencontre idyllique et romantique, c'était manifestement raté... Le type qui l'avait cogné fit quelques pas en arrière, apparemment satisfait, s'empressant désormais de sortir un escargophone de ses vêtements. Probablement pour informer ses supérieurs d'une capture importante... Malheureusement pour lui, il fut privé de cette opportunité : un éclair blond se redressa vigoureusement et avala promptement la maigre distance de sécurité que le mercenaire avait tenté de placer entre lui et le capitaine de Tengoku no Seigi, et le coup de poing qui percuta l'abdomen du pauvre bougre l'expédia à l'autre bout de la rue, contre un mur dans lequel il allait sans aucun doute laisser sa marque... Comme si de rien n'était, le Schichibukai épousseta ses mouvements avant de pivoter pour faire face à la rose, secouant sa chevelure que le bandeau avait déserté, et le tout en lui adressant un signe de la main ainsi qu'un sourire chaleureux au possible :
«Désolé, j'avais pensé à des retrouvailles un poil plus émouvantes...»
Called to the ring, Taking me round by round It hurts and it stings, Taking me down, down, down You think that you caught me, I can hear you taunt me Fractured and I'm falling down, My enemy is watching me bleed