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Ven 26 Aoû - 1:50
« Quand la musique est bonne ! »
Trois ans et demi. Cela faisait déjà trois longues années que j'avais quitté mon ile natale. Que j'avais perdu tout espoir de revoir la belle de mon cœur. Trois année qui n'avais fait que nourrir ma rancœur pour celui qui me l'avais volé. Je m'étais doucement mais surement enfoncé dans des ténèbres que je ne soupçonnais pas pouvoir découvrir, au point ou je ne commençais a désiré qu'une choses détruire ce qui lui tenait le plus a cœur. Son empire. Il était tout pour lui plus important que ses propres filles ou quoi que ce soit d'autres. Toutes ses richesses. Tout cet argent, cette gangrène purulente qui plus que lui corrompait la petite parcelle de ce monde que j'avais découvert.
Je ne voulais qu'une choses. Lui enlevé tout ce qu'il avait, comme il me l'avait arrachée. A cette époque qui me semblait remonté a une éternité je voulais passer ma vie a ses coté. Les souffrances de mon passé s'envolé lorsque je plongé dans l'océan de ses yeux. Mon cœur battait un rythme divinement mélodieux et mon cerveau entré dans une ébullition des plus totale parle simple contacte de sa douce peau contre la mienne. Mais toutes ces sensation harmonieuse m'avait étais volé. Comme privé d'une partie de moi même. Je désirais le privé d'un de ses membre fétish comme il m'avait privé de tous ces doux plaisirs.
Cela faisait déjà quelque mois que j'étais sur Mirror Ball, cette île si festive d'un coté et pourtant tellement maladive de l'autre me plaisait pourtant. Tel les deux facette d'une pièce a la fois diamétralement opposé mais obligatoirement lié les deux ambiguïté de l’île vivait harmonieusement. S'en était presque beau. Mais je n'étais pas venu ici pour admiré ce doux paysage amusant et tranchant a la fois, mais bien dans le but de collecté certaines informations sur l'ordure qui servait de père a Mélia. Or comme toute choses en ce monde. Les informations coûtes de l'argents que je n'avait pas. J'avais donc décidé d'employer mes talents de musiciens afin de collecté un petit pécule. Cela faisait donc plusieurs mois que j'éculé les salles de concert et les tavernes de l'île afin de pouvoir me payer un logement d'un coté et l'informations qui m'importait.
Spoiler:
Je me retrouvais donc dans les ténèbres. La douce sensation du plancher sous mes pieds. L’excitation du publique montant dans la salle tel une marée endiablé. Je sentais mon rythme cardiaque pulsé de manière dantesque. Ce n'était pas ma première fois mais j'adoré cette sensation de liberté totale. L'impression de plané au dessus de tout, de ne plus appartenir a ce monde mais d'être dans une dimension ou tout tracas est exempt.
Je commençais alors a jouer. La musique ce mit en branle. Je me laissait emportait par la fougue du morceaux en même temps que les projecteurs m'éclairé sur la scène. Je me mit alors a chanter laissant volé en éclats tout les tracas que je pouvais avoir. Cette musique libératrice m'emportais sur les tendre cris de joie de la foule agglutiné dans la fosse de la salle de concert. Je continuais de m'embraser pour cette foule qui était venu m'écouter donnant tout ce que j'avais pour ce doux peuple libérateur.
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Raki Goshuushou
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Ven 26 Aoû - 4:32
Quand la musique est bonne !
Le pied léger, gonflé par la gaieté et la bonne humeur ambiante sur l’île entière, je rentre dans la salle de concert. Mirror Ball est une ville qui ne dors jamais. J’aime particulièrement cet endroit, la fête y bat toujours son plein. Comme à mon habitude, je ne porte pas d’uniforme car il est plus embêtant que tout autre chose ! A peine entré, Sia me tire en direction du bar sans me demander mon avis. Avec un sourire en coin j’exerce une fausse résistance avant de me laisser entrainer. Comme d’habitude, elle commande pour nous deux connaissant parfaitement mes gouts. Les soirées ici sont toujours fort semblable, on boit quelques verres, ensuite Sia se met à danser. Je finis par me joindre à elle légèrement éméché et on se réveil le lendemain, midi passé, dans un endroit inconnu parfois louche. Le dernière fois on avait réussi à trouver une chèvre peinte avec des motifs satanique… mais pas moyen de se rappeler comment. Bref de grandes soirées !
« Je connais pas le musicien de ce soir ! Si son concert on irait bien le taquiner un peu après non ? »
Me dit ma compagne avec un petit clin d’oeil en s’avançant en direction de la scène. Encore une fois, elle n’attend pas de réponse de ma part, elle sait que je suis toujours partant pour un coup foireux. Nous avons de bonnes places, la salle n’est pas bien grande et le public pas spécialement dense. Ca doit être un jeune artiste encore à l’aube de sa carrière. En effet, après seulement quelques secondes, il arrive sur scène et le spectacle commence. Très rapidement, la salle s’enflamme. Sa voix est puissante, orchestration bien présente, c’est du rock et du vrai ! Sia est la première a hurler dans la foule comme une adolescente hystérique. Sa joie de vivre est remarquable et son verre déjà étrangement vide. Sans crier gare, elle se retourne vers moi en prend le mien pour le descendre cul sec… elle va pas finir la nuit si elle continue comme ça, en plus elle va probablement vouloir aller dire bonjour au chanteur une fois le concert terminé…. Ca promet !
La scène est sienne, l’artiste sait si prendre, il a ça dans le sang. Cependant, les show bien répété ne sont pas les plus intéressant selon moi ; j’aime une petite touche d’improvisation. Avec t ours ce même sourire en coin légèrement sournois, je me met à inspirer profondément. La pièce n’est pas bien grande, je devrais pouvoir prendre tout le monde dans mon filet. Doucement, sans que personne ne puisse le remarquer, un gaz incolore et inodore se répand dans la pièce. C’est un hallucinogène. Conscient des risques, je le dilue fortement, les hallucinations créée ne seront pas fortes et sans doute de courtes durée mais devraient atteindre le chanteur. Avec cet instinct d’amusement qui me pousse, je me demande comme il va réagir ! Laissant Sia danser, j’observa la scène avec attention !
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Mar 30 Aoû - 2:18
«Ce Regard !»
Spoiler:
La foule certes disparate était endiablée après ce premier morceau. Je me sentais comme au septième ciel, emporté par la mélopée enté tente de ma musique je poursuivais sur un second morceau. A ce moment la ma vision commença se troubler légèrement. était-ce du surmenage ou quelque choses du genre. Non cela était certainement du à la chaleur provoqué par les projecteurs braqués sur moi. Je fermais alors les yeux me concentrant pleinement sur ma musique. Je ressentais la sensation des cordes contre mes doigts comme jamais auparavant. Les notes volant dans l'air de la salles pour formait une mélodie a la fois très rock et très sensuelle. Pour une fois je n'ajouté pas de parole à la musique laissant libre court a la danse folle de mes ongle sur les cordes. Je me déchaînais me mettant à genoux sur la scène. J’exécutais tout ça comme le damné que j'étais. Me laissant entraîné dans les affres de cette transe psalmodiante.
Jusqu'au moment ou j'ouvris alors les yeux sur le publique qui se trouvais devant moi. Les femmes y était nombreuses et elles étaient toute plus attirante les unes que les autres. leur joies de vivre exacerbé par la mélodie de ma douce. Je ne sus retenir une larme qui coula doucement le long de ma joue. Le spectacle qui se présentait a moi me plongea dans un profond amour pour ce public qui apprécié ma musique a ce point. La larme s'écoula, jusqu'au moment ou mon regard se fixa sur une belle demoiselle au cheveux d'un brun noisette a croquer. Mais ce qui retenu mon attention furent ses yeux d'un bleu profond. Elle avait la couleur exacte des yeux de ma douce aimée. étais-je entrain d’halluciné, je n'en savais rien mais j'était hypnotisé par ce regard emplis de bonté et de sérénité. Je ne sut tenir d'avantage. Ne sachant exactement ce qui poussait mes jambes a faire ça. Je bondis de la scène, comme d'habitude il y avait toujours des marchand ambulant de roses rouge dans la salle. Je pris une roses a la volé alors que je fondé sur la belle donzelle et lançant ma douce maîtresse dans les air je laissait la note en suspens provoquant un effet romantique. Je penchait pendant ce cour laps de temps la belle en arrière et lui volé un tendre baisé. Une fois ce baisé fugace envolé, j'attrapais ma maîtresse de ma main libre, laissant la musique doucement s'amenuisé je dit d'un air charmeur en tendant la belle écarlate a ce doux ange:
" Permettais mademoiselle de louer votre beauté sans égale. accepté cette douce fleur en gage de mon attrait pour vous. Rejoignait moi donc a l'entracte que nous buvions et discutions ensemble. "
Une fois ma tirade lancé je me remis a jouer en ne fixant qu'elle. M'éloignant de la douce pour regagner la scène a reculons. Je ne pouvais quitter son regard, je voulais me plonger dans son regard comme j'avais put me plonger dans celui de Mélia. J'atteignais alors la scène et lui faisant comprendre en un regard que ce solo était pour elle seul je donnais alors tout ce que j'avais.
Spoiler:
profitant du piano qui se trouvais sur la scène je me mis a jouer une musique des plus romantique rien que pour ses beaux yeux. Je me laissait emporté par la douce mélodie, n'ayant qu'une idée obsessionnelle, ce regard !
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Jeu 1 Sep - 5:33
Quand la musique est bonne !
Toujours en train d’endiablée la piste de danse, Sia continue de boire quelques verres tours à tours. Déjà légèrement imbibée d’alcool, elle perd en réflex ; suffisamment que pour se laisser surprendre ce qui n’est pas son genre habituellement. En effet, le jeune chanteur, plus ardent que jamais plonge sur elle avec une vitesse surprenante. Sans se poser plus de question, il pose un baisé fugace sur ses lèvres laissant la jeune fille incertaine. Plongeant ses yeux dans le creux des siens, elle l’écoute sans réaction. En effet, elle avait déjà prévu de le rejoindre à l’entracte mais d’une tout autre manière. Je ne sais quoi en penser, je n’apprécie pas spécialement la voir embrasser un autre bien que nous ne sortons pas ensemble… quel étrange sensation. Quoi qu’il en soit, je ne m’inquiète pas pour elle mais plutôt pour le jeune homme entreprenant. Sia est la douceur et la gentillesse incarnée mais l’alcool a tendance à la rendre obstinée et parfois même, agressive.
Sans crier gare, il retourne sur scène. Le fait d’avoir basculé ma compagne avec son verre dans le nez lui fait perdre l’équilibre. Déjà, elle se retrouve sur le sol alors que Raki exprime toute sa musique dans des sons qu’il dit pour elle. Un léger sourire en coin se dessine sur mon visage alors que je vois les oreilles de Sia rougir… surement par sa colère. Le vrai spectacle est sur le point de commencer. Tranquillement, je m’accoude à une table et tend encore une fois mon verre à mon acolyte connaissant sa manière de fonctionner. Elle le prend et le descend en seulement quelques gorgées. La ninja se retourne en direction de la scène ou plutôt du chanteur pour être précis. Elle se met en position et tire ! Le verre vole au milieu de la salle en direction de Raki, si il n’évite pas le coup, se sera un headshoot en plein sur le front.
« Non mais tu te prend pour qui chanteur d’opérette ! »
Ca y est, elle commence a être de mauvaise fois. La musique de Raki est exactement le genre qui lui plait habituellement pourtant. Sans même regarder le résultat de son lancé, elle s’avance en direction de la scène et en voltigeant de manière hasardeuse suite à l’alcool finir par atterrir aux côté du jeune homme. Elle s’adresse cette fois-ci directement au publique de sa voix forte sans la moindre gène.
« Mesdames et messieurs les spectateurs, l’entracte est quelque peu avancé ! Logan, on se rejoint en coulisse ! »
Et elle se retourne pour attraper Raki par le col et le trainer jusqu’au coulisse… tout du moins elle essaye, le garçon va sans doute se débattre et force est d’avouer qu’elle n’est pas en pleine possession de ses moyens. Elle ne me laisse d’ailleurs pas trop le choix… alalala c’est toujours pareille, faut jamais la laisser boire, ou en tous cas pas du whisky…
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Logan Seyfried
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Mar 6 Sep - 1:11
Le moins que l'on puisse dire c'est que la belle avait un tempérament volcanique. A première vue mon présent délicat ne lui avait pas plut le moins du monde, son doux visage avait viré a l'écarlate en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire et elle s'enfila un autre verre qu'un rouquin a priori hilare lui avait tendu. ET la le verre fusa, je ne su malheureusement évité le projectile qui me percuta au front laissant une marque rouge et me forçant a arrêter de jouer.
Je n'eux pas non plus le temps de faire quoi que ce soit que la donzelle décrété un entracte improvisé et qu'elle commençais a me tirer en gueulant comme un putois a un certain Logan de la rejoindre dans les coulisses. Je la laissait faire, un sourire carnassier sur les lèvres. Nous atteignirent assez rapidement le derrière de la scène et je me dégager a ce moment la de la poigne de velours de la bonne femme. Me redressant et m'adossant tranquillement comme si de rien n'était contre une caisse j'en profité pour allumer une clop que je fumais avidement. A mieux y regarder elle ne devait pas détenir ce que je recherchais. Elle était trop propre sur elle, certes imbibé d'alcool mais, elle n'avait pas cette posture de malfrat a laquelle on pouvais reconnaître les hommes de Gunther. Ce qui voulais donc dire que mon mélodieux spectacle devrais durée autant de temps et de jour qu'il le fraudais. JE n'envisager pas de ne pas obtenir d'information. Et sachant a quel prix le gros porc avait mit ma tête a prix sur Ironfall, il devrais y avoir quelque baladin audacieux désireux de s'attirer ses bonne grâces.
Enfin l'heure n’étais a encore venu pour cette toile de maître de tendre les mains vers son apothéose. Je me tournais donc vers la belle afin de lui dire d'un ton calme affichant toujours ce sourire carnassier:
" Que me vos l'honneur d'une si audacieuse visite ? Je doit vous avouer que je n'ai pas pour habitude d'interrompre mes concerts. Sachez que si mon geste vous as offusqué je m'en excuse et je serrais ravi de vous prouver ma bonne fois en vous offrant quelque goutte de ce doux nectar ambré. "
Je sortis alors une flasque de ma veste. Je m'enfiler une longue rasade de whisky, puis lui tendant la flasque je continuais en lui disant:
" Permettez que je me présente, Raki Goshuushou, J'ai peu de temps devant moi, mais si vous le désirez je serrais ravi de vous signer un autographe a votre ami et vous. "
A ce moment la un des videur de la boite se pointa. Il me murmura a l'oreille, un murmure qui me fit largement sourire. Je venais d'apprendre une nouvel que j'attendait depuis un temps qui m'avais semblait une éternité. Mon palpitant battit une mesure effréné, laissant libre court a l'osmose sensorielle que pouvait provoquer l’excitation qui grandissait en moi. Je m'enfilais une autre rasade de whisky et tirant une longue inspiration sur ma cancéreuse je dis alors a la jeune femme:
" Il semblerait que les autographe doivent attendre, en revanche serriez vous intéressés par un pugilat des plus intense votre compagnon et vous même ? "
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Jeu 8 Sep - 3:43
Quand la musique est bonne !
Sur mon pas léger qui se donne suite à aucun son, je pousse doucement la porte qui mène dans la loge du chanteur portant le nom de Raki. Dans mon sillages, quelques corps profondément endormit des membres du personnel ayant essayé de m’interdir l’accès des coulisses jonchent le sol. Un léger sourire en coin au visage, je me remémore le head shot de Sia avec mon verre en guise d’arme. Sia a cette fâcheuse tendance d’être très lunatique quand elle a un coup dans le nez… je préfère toujours la garder à l’oeil car personne ne sait ce qu’elle pourrait faire dans cet état.
« Un autographe ? Non mais tu m’as prit pour un groupie ou quoi ? »
Ah ? Sia n’est pas contente… bon en même temps je la comprend, je dois bien avouer que, moi même, la voir se faire embrasser par un parfait inconnu ne me rempli pas de joie. Qui plus est, la chasse des autographes n’a jamais fait partie de ses passes temps… elle a tendance à préférer se faire offrir des verres. Quoi qu’il en soit, je ne perd pas plus de temps et signale ma présence en prenant la parole dé mon entrée dans la pièce.
« Sia, laisse un peu ce pauvre garçon tranquille. Ne soit pas de mauvaise fois, nous savons toi et moi que son genre de musique est celui que tu adores. »
Je me retourne avec mon sourire amical dans la direction de la star de la soirée pour lui tendre ma main délicatement. J’en profite pour le détailler quelques secondes. Les effets de mon hallucinogène devrait normalement avoir prit fin depuis quelques minutes.
« Enchanté, Logan V. Seyfried. Désolé pour l’entracte avancé… »
A ce moment, un vigile rentre dans la salle à son tour. Il semblerait qu’un problème soit survenu dans la salle de concert ? Moi qui espérait pouvoir me reposer un peu ce soir, il semblerait que c’est mal partit. L’air de rien, Raki nous propose, à moi et à Sia de prendre part au combat. Il a du remarquer au lancer de Sia qu’elle n’est pas n’importe quel touriste ce qui est vrai ; ses origines Kuja font d’elle une femme pulpeuse au caractère bien trempé ! Tout ça avec de l’alcool font qu’elle ne peut s’empêcher de foncer tête baissée.
« Après avoir vu de quoi je suis capable, c’est toi qui va vouloir un autographe ! »
Pour ma part, je combattrais si besoins, dans le cas contraire, ce divan semble très confortable.
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Jeu 8 Sep - 23:34
Que la chasse commence !
Je resté plonger dans mes pensées. Cette divine chasse que j'avais entrepris aboutissait, j'était a deux doigt d'obtenir les information que je désirais et par la même occasion de faire mordre la poussière a des homme de Gunther. Rien qu'a cette seul Idée je me mit a me lécher les lèvres sadiquement, en affichant un sourire stigmatiser par des spasme démentiel. J'écoutais a moitié ce que la donzelle et le rouquin pouvait dire. J'en comprenais le sens mais j'étais trop plongé dans les limbes de mon esprit pour leur répondre immédiatement. Mon cerveau tournais au rythme éfreiné de la mélopée cardiaque que mon palpitant produisait. Le plan que je désirais mettre en place prenait divinement forme pour enserré dans une étreinte mortel ceux que je désirait plus que tout voir six pied sous terre. Je pris tout de même le temps de leur répondre, mon ton et mon regard passant du joyeux charmeur au psychopathe en manque de meurtre:
" Pour l'autographe je ne te garantis rien ma belle, tout ce que je peux te garantir c'est plusieurs bonne bouteille a partager au bout du compte..."
Je laissait ma tirade en suspend portant mon regard sur ce rouquin qui posait gentillement ses fesses l'air de rien sur un divans qui m'était destiné, il manquais pas de culot le bougre ! je finit ma tirade en m'adressant a lui:
" Pour l’entracte mon lascar y a pas de mal, comment résister au charme d'une si jolie demoiselle. J'espère ne pas avoir rompu quelque serment que ce soit. Enfin si tu n'est point intéressait vient au moins admirer le spectacle je te le garantis mémorable et sans aucun effet spéciaux...."
Je me tournais alors vers la belle demoiselle pour continuais:
" Quand a vous très chère, attendais juste mon signale, lorsque les lumière s'éteindront, un projecteur serra pointer sur les cibles. Cela ne durera que quelque secondes, j'ai payer le machiniste pour ça on peux lui faire confiance. J'ai tout les moyen de pression nécessaire pour ça !"
Spoiler:
J'avais finit mon long monologue en effectuant un sourire machiavélique, je m'était ensuite retournais empoignant ma belle de jais pour remonter sur scène me préparant a jouer ma musique. Je bouillonnais d'impatience, la rage brûlant en moi tel un feu sacré je mourrait d'envie de faire payer a ceux qui avait aider Gunther a tant me prendre. J'arrivait alors sur scène. La scène s'éclaira alors au fur et a mesure la que la mélodie monter. Puis arrivant au paroxysme du refrain les projecteur de la scène s’éteignirent pour enluminé un groupuscule proche du bar. Ma mélopée pris le dessus je fondis dans le noir fondant sur eux a travers la foule je stopper ma musique pour empoignais le premier, l’entraînant dans les ténèbres en lui écrasant la trachée.
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Lun 12 Sep - 5:03
Quand la musique est bonne !
Ce jeune chanteur ne semble douter de rien. Sia a beau être plus que légèrement alcoolisée, après avoir eu quelques secondes pour réfléchir elle peut voir le regard de Raki qui n’a plus rien de charmant. Je l’observe moi même de mon oeil énigmatique sans pourtant rien dire. Après tout, pourquoi devrions nous lui venir en aide ? Je ne l’ai jamais vu et une intrusion a son spectacle est plus que louche, surtout qu’il semble connaitre les cibles de manière presque personnelle. Peut être devrais-je simplement tous les neutraliser ? Finalement, je pose les questions qui me taraudent avant de le laisser filer au combat dans une salle encore possiblement pleine de civils.
« Dis moi un peu, tu sembles les connaitre… qu’est ce qu’il se passe ici ? »
Pas que j’aie pour habitude de prendre mon travail particulièrement à coeur mais il ne me plait pas de laisser des innocents se transformer en dommage collatéraux d’un combat que je peux éventuellement éviter. Je fais un petit signe de tête négatif à Sia pour lui demander de ne pas intervenir. Maintenant que l’alcool commence doucement à retomber, elle réalise que j’ai raison. Nous ne savons rien de ce type, à nos yeux, il n’est qu’un chanteur plutôt doué croisé lors d’une soirée… et qui a fait une première impression plutôt catastrophique au final.
Finalement, je le laisse retourner sur scène avec Sia mais elle reste sur le bas côté de la scène avec moi. Nous pouvons ainsi surveiller la suite du concert. Je n’hésiterai pas une seule seconde à intercepter Raki. Si il veut se battre, grand bien lui fasse, je m’en fiche. Tant que la vie de personne n’est en danger, ce n’est pas mon problème. Déjà le tout commence. Il saute sur le premier éclairé. Pour le moment il se contente de lui écraser la trachée. Après tout, l’île n’est pas référencée comme appartenant au territoire de la marine. J’évite d’ailleurs de révéler mon grade, les soldat, et surtout les haut gradé, ne sont pas les bienvenus ici… bien que très honnêtement je ne risque pas grand chose sur une petite îles des mers bleues… tout du moins c’est ce que je pense.
Quoi qu’il en soit, pour le moment je me contente d’observer la scène. Si besoins, mon gaz anesthésiant est pret et je suis aux aguets.
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Mar 13 Sep - 23:24
Cruel Dilemme
Les éclaires lumineux pulsée dans la salle toujours en direction du groupe d'individus. Tout cela donnait une folle impression de ralentis. Il entendirent plus qu'ils ne virent leur collègue tomber au sol rendu inconscient par le manque d'oxygène. Je sentais quand a moi la diabolique tension de la proie se sachant traqué grandir dans cette salle.
Spoiler:
Je prenais un malin plaisir a les entendre jurer et appeler leur compère. Je jubilais en mon fort intérieur de les voir ressentir une peur que j'avais plus qu'eu tous vécu et ressentis. La simple peur de l'obscurité, de l'inconnu, de ne pas savoir quand le couperet allais tomber. Je sourit d'avantage dans la pénombre je laissais tendrement grandir cette mélodieuse crainte grandir dans le cœur des homme de Gunther. La musique commença a s'estomper doucement laissant place a un silence démoniaque, tombant tel une chape de plomb sur les ténèbres de la salle j'empoignais a nouveau ma guitare. Puis commençant a jouer un morceau endiablé je lâchais tous ce que je pouvais ressentir pour ses hommes et leur maître dans ce simple morceau.
Les pulsassions battante dans ma poitrine, Le rythme divinement diabolique la musique emportant tout sur son passage, je me décharger sur les chaines que gratter mes doigt pour produire cette mélodie venu des abysses de mes ténèbres. Je me mit alors a chanter. Laissant ma hargne prendre le contrôle de ma voix. Je fondit alors une seconde fois, faisant une apparition fugace dans l'éclaire lumineux qui auréolé ma cible. Je ne lâché pas ma guitare, mais je lui envoyait un coup de pied sauté qui envoya volé le lascars contre le comptoirs du bar. Je pris le temps alors de regarder les autres durant le court laps de temps que m'offrait cette lumière angélique. Je penchais la tête sur le coté laissant échapper un long et langoureux rire démentielle. Puis laissant l'obscurité prendre a nouveau possession de la scène je bouger a nouveau pour m'éloigner d'eux. C'est alors que j'entendis:
" Bon, bon, bon ! Raki tu me laisse pas le choix, on va pas y passer la nuit ! Gunther te veux mort ou vif, mais tu vaux bien plus cher vif que mort donc je te laisse le choix. Soit tu nous suis gentillement, soit la belle petite trainée qui sers la picole va se retrouvais au cimetière plus vite que tu ne le penses. A toi de choisir. "
Mon sourire s’effaça, laissant place a une expression de frustration extrême. Diego l'un des homme de mains de Ce foutu gros porc. Il n'était pas particulièrement le plus fort mais certainement le plus sadique de tous et lorsqu'il garantissait une tel choses il n'oublierais pas d'y ajouter l'étape de la torture avant le cimetière. Il pris alors a nouveau la parole:
" On te laisse jusqu’à minuit c'est a dire a peux prés deux heure pour te décider. Passer ce délais la petite garce va se retrouvais littéralement en charpie. Je te laisse les deux gus pour savoir ou nous trouver."
Ils se retirèrent alors, emmenant la pauvre femme avec eux. De mon coté la hargne n'avait fait que croître je ne pouvais décemment pas laisser la pauvre fille au mains de ces bouchers. Mais je ne pouvais pas non plus me livrait comme ça sans broncher. Qu'allais-je bien pouvoir faire a présent ?
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Lun 26 Sep - 4:42
Quand la musique est bonne !
Confortablement installés dans les coulisses, nous restons la à observer le spectacle sans jamais réagir. Sia est impulsive ; si elle avait été seule, elle aurait sans le moindre doute foncé dans le tas mais je suis la pour l’en dissuader. Pendant une seconde, j’observe le jeune Raki. Le musicien d’un peu plus tôt semble loin maintenant. Un sourire presque carnassier est dessiné sur son visage et il semble se délecter de l’anarchie ambiante. Prit dans sa folie passagère, il ne remarque pas qu’un des hommes du fameux Gunther a kidnappé une jeune employée de l’établissement. Etrangement, le jeune musicien n’est pas insensible à ce geste. Je l’ai imaginé plus froid et diabolique que ce qu’il n’est sans doute ? Quoi qu’il en soit, je ne peux plus me permettre de ne pas réagir je suppose. Ma première réaction réside dans un long soupire las de tout effort… Et moi qui pensais être en congé…
Usant de toute ma dextérité, je me faufile sans le moindre bruit derrière l’homme qui mène les troupes laissant Sia derrière moi quelques instants. Comme à mon habitude, je passe par les hauteurs usant des différentes barres métalliques sur les quelles reposent les spots pour m’assurer une discrétion parfaite. En seulement quelques secondes, je suis a leur niveau, pret à bondir. Mon approche est cependant bien plus calme. Sans que personne ne me remarque, je me faufile tout en finesse. Une fois juste derrière Diego, je passe ma lame sous la gorge de la brute qui retient la serveuse en induisant une légère pression faisant timidement perler quelques goutes de sang le long de la dague.
« Il se trouve que je ne suis pas aussi clément. En ce qui me concerne, tu n’as que deux secondes pour relâcher cette charmante demoiselle. »
Tous les gardes se retournent dans ma direction en pointant leurs fusils droits sur moi. Le front de Diego est plein de sueur. Il ne sait pas comment réagir car il est prit de court. Face à son manque d’initiative, j’appuie mon menton sur son épaule je tourne légèrement la tête en direction de la sienne. Je souffle doucement en direction de son nez et de sa bouche. Seulement quelques secondes après, ses yeux commencent à se fermer. Il tombe finalement profondément endormi dans mes bras alors que je garde la lame bien en position pour dissuader ses gardes du corps.
« Je vous promet de ne tuer personne si vous partez maintenant. »
Le plus effrayant ne réside en réalité pas dans ma phrase. Non, ce qui est à glacé le sang est le sourire chaleureux qui repose sur mon visage. Cet aspect parfaitement serein en désaccord total avec les menaces que je proclame. Etrangement, tout le monde comprend pourtant que je suis parfaitement sérieux et que j’ai les moyen de les exterminer tous. Je conclus mon intervention avec un petit clin d’oeil à l’intention des deux armoires à glaces.
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Jeu 6 Oct - 0:18
Pause et contre-temps !
Le moins que l'on puisse dire c'est que je ne m'attendais pas a cette intervention. Ce gars m'avait semblait plus désabusé qu'autre chose lorsqu'il s'était présenté avec sa belle et déliceuse donzelle. Et la je le voyais non seleument allonger Diego de façon si facile. J'en étais presque honteux tandis que j'observais la scène se déroulé sous mes yeux.
La belle petite serveuse pris la fuite, emmenant avec elle une bonne partie des client qui s'était trouvé ici pour faire la fête. Finit les douce soirée de ripaille et de musique endiablé, je m'approchais des deux armoires a glaces les regardant d'un regard emplis de cette rage froide qui m'habitait. Ils commencèrent a se dirigeait calmement vers la sortie laissant la salle sombrer dans un silence de plomb tandis que je regarder le rouquin qui détennais Diego. Je m'approchais d'eux tout en m'allumant une cigarette, je laissais la nicotine penetré et parcourir mon organisme afin de me calmer. Je regardais le visage de cet homme qui m'avais fouettais et marquer au fer avant que ma belle ne me libère. J'observais ce visage endormis burinais par l'age et le soleil pale de notre patrie natale. Je fis un signe de tête au rouquin pour le remercier empoignant le lascar au bois dormant je lui liais les poing et les pieds dans l'attente de son reveil. Je me dirigeais ensuite vers le bar déserté et prenant trois bouteille de whisky j'en lançais une a la donzelle et l'autre a cet homme a la chevelure de feu. J'empoignait la mienne et m'assayant sur une banquette proche de Diego je posait mes pied sur la table tout en m'enfilant une longue rasade de cette ambre liquide. Puis je dis alors d'un ton calme:
" Comme convenu, la tournée est pour moi. Permettez que je vous demande un peu plus de détail sur vous en attendant que je puisse interroger ce bouffon. Où avez vous appris ça ? Je veux dire ce qu'avez vous utiliser pour le mettre KO si vite ? "
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Raki Goshuushou
Logan Seyfried
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Dim 23 Oct - 0:51
Quand la musique est bonne !
Cet éternel sourire aux lèvres, je m’écarte du corps momentanément inerte. D’un mouvement de main désintéressé, je fais signe à ses deux hommes de main de partir tant je me fiche de la suite des évènements. Je suis venu ici en vacance et empêcher une exécution en publique d’accord mais arrêter des criminels, il ne faut pas exagérer. Une fois remis de ses émotions, Raki offre sa tournée comme promis. Dans un mouvement calculé, une bouteille vient se glisser dans ma main. Je vais sauter le bouchon de mon pouce avant de prendre une rasade généreuse pendant que Sia de plus en plus soule en profite pour draguer un des hommes baraqués resté sur le bas côté de la scène. Avec délicatesse, je m’approche du jeune homme et m’assied sur un des tabourets du bar. J’appuie mon coude sur le comptoir et laisse reposer ma tête sur mon poignet. Posant mon regard sur lui, je ricane doucement face à ses interrogations avant de lui répondre, amusé.
« Voyons, un bon artiste ne révèle jamais ses secrets. »
Dis-je en posant doucement mon index sur mes lèvres mimant un silence obligatoire. Je ne sais rien de lui et je n’ai pas pour habitude de révéler mes techniques au premier venu. Je n’aime pas parler de mes capacités comme ça, ou alors c’est calculé dans l’espoir d’obtenir d’autres informations en retour. J’évite aussi de dire que je suis un commandant de la marine. Ce genre de révélation n’apporte généralement que des problèmes, que ça soit une demande d’aide ou alors des ennemis auto proclamés.
« La seule chose que je peux te dire c’est que ton petit délire sur scène venait aussi de moi. »
J’en profite pour lui adresser un rapide clin d’oeil énigmatique. J’ai toujours aimé jouer avec mes interlocuteurs. A ce moment, un paquet de carte attire mon attention. Une idée lumineuse, probablement pas en réalité mais soit, illumine ma tête. Sans demander la permission, je l’attrape et l’ouvre pour commencer à mélanger dans une adresser presque inhumaine.
« Je te propose un petit jeu pour passer le temps et attendre que ton porc se réveil. Le principe est simple. »
En quelques mots, je lui explique les règles de base. Comme ça, le jeu parait facile mais il n’en est rien. Il faut compter les cartes avec attention et les probabilités ainsi que les stratégies tiennent une place très importante dans le bon déroulement de la partie.
« Le perdant boit ! »
Pendant que je lui explique les règles, j’en profite pour dissimuler quelques cartes de manières stratégique. Je n’en suis pas à ma première arnaque, plusieurs années d’entrainement font que ma discrétion est incroyable. Normalement, il ne peut pas avoir vu car j’utilise ma concentration maximale. Pendant une fraction de seconde, mon cerveau est tellement focalisé sur ce que je fais que le temps lui même semble être grandement ralentit pour pouvoir exécuter à la perfection mes tour de passe passe !
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Logan Seyfried
Raki Goshuushou
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Jeu 27 Oct - 3:22
Sombre réveille !
Un artiste ne révèle jamais ses tours ! Je ne pouvais comprendre que trop bien cette douce citation. Le roux m'apprenais rapidement par la suite que mon envie irresistible et mes phatasme concernant ma belle n'était dut en fait qu'a lui. Je ne cherchais pas plus loin me doutant dans un sens de quoi il s'agissait je ne voulais en savoir plus. j'avais l'impression d'avoir une dette enver cet homme qui ne me connaissait pas. Ce rouquin que je ne connaissait quasiement pas mais qui m'avais pourtant aidé lors de cette capture si importante a mes yeux. Diégo, ce pouceau qui avait tant fait souffrir sur Ironfall ce retrouvais enfin entre mes mains, non pas pour assouvir ma propre souffrance mais bien pour me livrer ses informations quelqu'en serrais les moyens.
Inconsciement je remercier ce Logan, il semblait desinteressait voir mêm blaser en cette instant du moins c'est l'impression que j'en avais. Et pourtant il était intervenu, Par moralou par principe je n'en savais rien, la seul chose que je savais c'est que j'en était reconnaissant.
Ces pourquoi lorsqu'il me proposa un jeu de carte que je ne connaissais pas, dont le but était purement et simplement de faire boire l'autre, je ne cherchais pas a comprendre. J'acceptais sa proposition. posant mes fesse sur la banquette en face de lui je pris mes carte et tandis qu'il m'expliquait les règles, je les analysais. elles étaient complexes et ne laissaient presque pas d'échappatoire a l'adversaire. Je prie alors la decision de le laissait gagné coup sur coup.
Enfilant les verre au fur et a mesure que la partie avancer je finit enfin par lui sourire en lui disant un simple:
" Merci !"
Je n'avais d'autre mots a dire, le lascar attaché qui ne tarderais pas a se reveiller avait des informations concernant ma belle. Des informations de la plus hautes importance a mes yeux. J'avais traqué, manipuler, et réduit en cendre toutes choses qui avait touché de prés ou de loin au trafique d'arme de Gunther. Je ruminais tout en jouant a ce jeu, enfilant les verres au fur et a mesure. Je ne cherchais a vrai dire pas vraiment a gagner, je ronger mon frein, attendant impatiement le réveille de Diégo.
Ce qui finit enfin par arriver. Il laissa échapper un rale de douleur suivis d'une quinte de toux prononcée. Posant les cartes sur la table et m'enfilant un autre verre je ne lui laissait pas le temps de se ressaisir. Je lui envoyais directement un violent coup de pied dans le diaphragme. Le laissant reprendre sa réspiration, je me tournais vers le rouquin pour lui dire d'un ton a la fois badin et haineux:
" Permettez l'ami que je vous fasse les présentations ! Je vous présente Diégo, une vieille pourriture originaire de la même ile que moi, c'est un trafiquant notoire et il a quelque information concernant une certaine demoiselle de mon coeur dont j'ai besoin ! J'oubliais, son passe temps favoris, le marquage au faire rouge, l'arrachage d'ongle et les coups de fouet. Un joyeux lurron en somme vous ne trouvais pas ? "
Je finissais ma tirade en décochant une droite dans la machoire du lascare pour me tourner a nouveau vers Logan en lui affichant un large sourire amicale.
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Mar 1 Nov - 19:38
Quand la musique est bonne !
Il ne me faut que quelques secondes pour remarquer son stratagème. Il me laisse gagner. Je n’ai pas réellement besoins de ça mais peut importe, mon objectif étant de le faire boire ; peut importe la manière employée. Après une petite demi heure, il s’est déjà enfilé une grande partie de la bouteille. Ses gestes sont plus floue ainsi que c’est parole. Etrangement, il conclus notre jeu par un simple merci. Je ne répond pas, le regardant à peine. Je m’en fiche en réalité, je ne l’ai pas fait pour lui. Je ne l’ai fait pour personne en fait, juste par principe d’être un marine. Les vacances tranquilles sont vraiment beaucoup trop difficile à trouver. Disons que j’ai fais ma bonne action du jour.
Finalement, le vieux porc finit par se réveiller… Je détail son visage un peu plus attentivement pour me faire une nouvelle fois surprendre par sa laideur. Il n’a pourtant pas l’air très dangereux. Comparé aux criminels trouvé sur Grand Line, il n’est rien de plus qu’une petite frappe. Je regarde Raki se lever et donner un violent coup de pied sur l’homme. Je fais comme si de rien n’était et le laisse s’amuser un peu… qui plus est, l’alcool le rend surement plus cru dans ses coup. Il finit par s’adresser une nouvelle fois directement à moi. Encore face au comptoir, je pousse un léger soupire avant de m’exprimer.
« Sans vouloir te décevoir mon grand, tout ça ne m’intéresse pas le moins du monde. Je suis simplement intervenu par pure convenance pour éviter de devoir lui courir après mais sans plus. »
Ce n’est surement pas la réponse qu’il espérait mais peu importe. Personne ici ne sait que je fais partie des forces armées du gouvernement et c’est très bien comme ça. Loin de moi l’idée de le dire au milieu d’une bande de pirate. Pour peux que ceux-ci soient irréfléchis, je me verrais dans l’obligation de tous les assommer. Quoi qu’il en soit, je retourne pret de mon amie pour lui adresser un doux sourire et la couper ainsi dans ses tentatives intenses de dragues.
« Allez Sia on s’en va. Raki, amuse toi bien avec ton goret, à une prochaine fois peut être. »
En espérant que tous les concert de ce jeune musicien en herbe ne soient pas toujours aussi mouvementés.
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Logan Seyfried
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Mar 8 Nov - 23:24
Vous pouvez répéter la question ?
Je ne lachais pas du regard le lascars qui se trouvait ligoté devant moi, écoutant en même temps les dires du rouquin. Son discour semblait d'une logique implacable, loin de me décevoir je préférais également garder le temps que Diégo allait passer en ma compagnie rien que pour nous deux. J'avais quelques questions à lui poser et la berceuse que j'allais lui jouer n'était pas audible par tous et toutes. C'est pourquoi je répondis succintement lorsqu'il s'en alla:
" T"inquiète pas pour ça ! Je vais le faire chanter comme jamais il ne l'as encore fait !"
Spoiler:
Je laissais alors le lascar à la chevelure feu s'en aller, puis me tournant vers l'homme de Gunther je lui souris de façon carnassière, le mépris de son regard tentant de me poignardais et la rage que je pouvais voir battre dans les veines de ses tempes formant une mélodie rythmée et entrainante. Je me délectais de le voir dans cet état, lui le berceur comme il s'appliquait a le rappeler bien trop souvent lors de ses concertos se retrouvais dans une situation qu'il avait l'habitude d'imposer aux autres et non de subir. Il commençait seulement à comprendre, il commençais juste à appéhender que la suite des festivités allait lui arracher quelque chants douloureux et lancinant.
Je le laissais mijoter, amenant la pression qui s'épanouissait en lui à des degrés plus intense. Je le baillonais alors le laissant fulminer dans son mouchoir pour enfin l'emmener dans une ruelle attenante à la salle de concert. La nuit était magnifique ce soir là, la lune doucement coloré d'un sang qui n'avait pas encore coulé, me regardait de son oeil apaisant comme pour m'apporter son soutien dans ce morceau douloureux que je répugnais et souhaitais jouer à la fois. Je marchais ainsi pendant plusieurs mêtres, m'enfonçant plus profondément dans les ténèbres de la nuit et de mon être.
J'envoyais alors Diégo contre le mur d'une impasse, lui enlevant son baillon je le laissais chantonner dans un premier temps ses invectives qui ricochaient sur moi comme sur un lac placide. Peu à peu elles se changèrent en complaintes de pitiè qui ne cessérent de monter jusqu'a ce que vint la pause, lorsque je ne sortis qu'un ustensile, un simple couteau de pécheur émoussé. Les danseuses de ballet firent alors leur plus belle représentation sur le visage du truand. Ce fut à ce moment la que la symphonie macabre entama son premier mouvement, j'agissais machinalement, laissant le ressentiment que j'avais accumulé toutes ses années prendre le controle de mon être. Tout me sembla passé si vite, à la fois horrifié par mes actes et exalté par ceux-ci.
Les choeurs douloureux qui accompagnaient les notes lancinantes, ne prirent fin que lorsque le soleil se leva. Les rayon sanglant se déployant sur l'horizon nacré de l'océan. J'avais les réponses à mes questions et je connaissais ma prochaine déstination. J'allais revoir ma terre natal, avec certes pas la moindre gaité de coeur mais il le fallait pour sortir ma douce et Tendre mélia des griffes de ce mariage qui se profilait assombrissant un peu plus mon horizon déjà enténébré par la nuit passé.
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