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Shiki M. EikiGénéral de la Révolution | Messages : 633
Race : Humain
Équipage : Inquisition
|  Mar 31 Juil - 17:35 Rapatrié par l’Inquisition, il ne nous restais plus qu’à être totalement remis de nos blessures et sans doute de voir Erwin pour revenir en force sur le terrain. Mais pendant que Komari se reposait, moi, je me levais de mon lit pour alors aller demander de l’aide à une certaine personne. En effet, parmi nos troupes il y en avait qui pouvaient appeler aisément des numéros gouvernementaux et pour cause... À titre d’exemple simple, Ken Shuri était un ancien marine. Bref... Ayant demander un service à Alibaba - qui était heureuse de mon retour - celle-ci m’avait fournie bien des numéros utilitaires.
M’isolant dans une pièce donc, je vins à faire un certain numéros et contacter le gouvernement. Pas un numéros fixe nous n’avions pas cette force. J’espérais juste tomber sur quelqu’un de compétent pour accéder à ma requête. Attendant que le denden mushi soit décroché à l’autre bout de la mer, quand j’entendis le fameux “ gotcha “, je pris une grande respiration avant de me faire entendre.
“ ... Bonsoir. Shiki M. Eiki à l’appareil... Membre de l’Inquisition. Aussi étrange cela puisse-t-il paraitre, pourrais-je parler à une personne qui est apte à gérer les primes ? “
La politesse dans le ton était marqué et laissait peu de chance à la personne de se dire “ encore un malade qui veut faire ‘ agrougrou ‘ à l’escargophone “. Attendant quelque peu, je ne pu m’empêcher d’ajouter quelques mots pour appuyer mes arguments futurs.
“ Cela concerne l’affaire du ‘ tueur blanc ‘ “.
Bien que mineure, cette affaire concernait la mort d’un nombre importants de personnes et notamment affilées au groupe gouvernemental dont j’étais le supposé responsable. Cependant, je me devais de rétablir la vérité désormais... Question d’honneur personnel. | | | | | |
| | Mar 21 Aoû - 14:35
Une voix nasillarde et trop aigu décrocha l'appareil. - Hum, Véronique bonjour, ne quittez pas je vois c'que j'peux faire pour vous... On appelait souvent les instances Gouvernementales pour des broutilles, et apparemment les primés qui demandaient à parler aux responsables n'étaient que légions. "On m'a mis une prime par mégarde", "J'vous jure que c'est pas moi.", en bref ? Que des personnes qui n'assumaient pas. Claquant son chewing-gum au bord de ses lèvres, elle utilise sa langue et son aspiration pour lui faire regagner une bonne place. Quelques secondes plus tard, après s'être faite réprimandée, elle reprit son appel en cours. - Alors, mon supérieur m'a dit de prendre vos plaintes. Il s'est passé quoi monsieur ? _________________  | | | | | |
Shiki M. EikiGénéral de la Révolution | Messages : 633
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| Mar 21 Aoû - 19:55
Écoutant la personne qui répondait à l’appel, au début je cru à une mauvaise blague. La marine a vraiment une « unité « destinée à ce genre d’affaire ? En tout cas, vu le ton de la personne s’était pris pas très au sérieux. Est ce une blague ? Quoi qu’il en soit j’attendais patiemment qu’on m’accorde un peu d’attention et finalement quand on me demanda de m’expliquer, je le fis sans hésiter.
Racontant mon récit, je donnais le moindre détail à savoir qu’elle était l’affaire connue à ce jour et ensuite ses anecdotes. Ainsi, j’avouais avoir pris le rôle d’un autre pour endosser le rôle du méchant et permettre à des innocents de s’enfuir. En soit l’intention est noble, mais il y a une part de danger. Et au fond, pour m’en sortir j’avais aussi agresse des forces de l’ordre donc au final j’avais ma part de torts. Bref, assumant pleinement cela je viens alors à passer mon ultime message, ma proposition, en espérant qu’ils y réfléchiraient.
« J’aimerais qu’on retire la mauvaise réputation de la prime, à savoir que je ne suis pas le tueur blanc. Pour se faire... je vais donner de mon temps et de ma personne pour attraper et vous livrer le véritable tueur. J’aimerais connaître prochainement la décision de vos supérieurs quant à cette proposition qui me semble... raisonnable. »
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| | Mar 21 Aoû - 20:33
Ponctuant l'intervention de "Huhum" et de "Hein, hein", tout en continuant à mâcher son chewing-gum, la standardiste bailla brièvement. Elle passa une main dans ses cheveux, avant de bailler grandement tandis qu'elle haussait les épaules. - J'veux bien, mais vous avez pas dit que vous étiez de l'Inquisition ? C'pas l'organisation de ce criminel... Ouais, enfin bref. J'pense que c'est assez pour garder une prime. S'vous livrez le mec et que vous livrez votre chef, on peut sûrement s'arranger, vous en pensez quoi ? Elle s'arrêta à nouveau et leva les yeux au ciel. Le néon semblait clignoter, et ça l'agaçait un peu. _________________ | | | | | |
Shiki M. EikiGénéral de la Révolution | Messages : 633
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| Mer 22 Aoû - 17:09 A l’autre bout du fil, je me demandais de plus en plus qui j’avais en face... En effet, durant mon récit, la demoiselle semblait mâcher un chewing gum et cela m’irritais quelque peu. Se foutait-elle de ce que je lui disais ? Visiblement ... Oui. Alors que je pensais à une mauvaise farce, voilà qu’elle semblait vouloir négocier. Et pour le coup, mon appareil escargophone retransmit à merveille mon air ... Choqué.
“ ... Erwin Dog. Il ne s’agit en rien d’une organisation criminelle ... Pesez vos mots si je peux vous donner un conseil... “
Des menaces ? Pas vraiment. J’avais beau être irrité, je n’étais personne pour me montrer hostile envers le gouvernement. Cependant, je n’aime pas qu’on traite des gens de façon injuste. Bref, sa proposition était clairement ridicule et j’allais remettre les points sur les “ i “.
“ Je crois qu’il y a un quiproquo... Si vous cessiez de mâcher bruyamment et prenez la situation plus sérieusement... Sachez que je ne demande pas à retirer la prime, comme vous l’avez souligner, être complice du Dog fait automatiquement tomber une prime... Cependant, je désire changer officiellement la raison de cette dernière... La rumeur court comme quoi je suis le fameux tueur blanc, ce qui est faux. Accusez moi d’opposition à l’autorité du gouvernement mondial, associé à l’arrestation de la Vice-Amiral Penma, combattant auprès de la révolution du Dog... Mais... Comme demander tout à l’heure... J’aimerais qu’on retire la rumeur comme quoi je suis le tueur blanc.. En l’échange du vrai criminel. “
Me mordant la lèvre, bien que on pourrais croire à des supplications, je vins à dire d’un ton sérieux.
“ C’est une question d’honneur. “
Connaissent-ils le vrai sens de ce mot ? “ Honneur “ ? J’osais espérer que oui... Et d'ailleurs.
" Et à ce titre... Je ne vendrais jamais ni mon chef et ami... Ou mes compagnons. "
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| | Mer 22 Aoû - 20:01
Si Véronique de l'accueil ne fut pas vexée par les propos de son interlocuteur, elle continua à mâcher son chewing-gum avec plus d'insistance encore. C'était une femme qu'on ne prenait pas comme ça, sur le pied d'une table, avec tellement d'insistance. Elle ne supportait pas qu'on la bâche de cette manière : c'était tout de même un peu d'orgueil. Ainsi, elle laissa tout de même un instant de suspens lorsque finalement elle lâcha sur un ton à moitié exaspéré : - Ouais... Bon, j'comprends. J'vais voir ce que j'peux faire. La demoiselle laissa une musique d'attente merdique, la plus agaçante possible. Puis, après quelques minutes à débattre avec son chef et à boire un café avec ses collègues, elle revint en soupirant. - C'est possible si vous montez un dossier, si ça vous amuse. J'vous donne un numéro à contacter quand vous les aurez. Vous pouvez noter ? Si oui, elle lui donnerait le numéro d'un gars sans préciser de qui il s'agissait. Puis elle raccrocherait après lui avoir souhaité "La bonne journée". _________________ | | | | | |
Shiki M. EikiGénéral de la Révolution | Messages : 633
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| Jeu 23 Aoû - 16:59 Visiblement, la “ standardiste “ ne mettait clairement pas du sien. En effet, en seule recourt possible, elle me proposa de faire de la paperasse. Ou du moins, me soumettre à une véritable torture administrative qui n’avait pas lieu d’être. Plissant les yeux derrière mon combiné, je vins à réfléchir à un nouveau plan et simplement me dire qu’une fois le coupable capturé, je le téléporterais avec l’aide d’Erwin et il lui suffira de faire les fameux aveux. Sans quoi, il s’agissait de récolter les témoignages de tout les anciens capturés concernés par cette affaire et autant le dire, il y a du monde... Trop de temps pour ... Quelque chose de ce genre, même si c’est important. Raccrochant donc, peu satisfait de cet échange, je vins à soupirer.
Pourvu que ces histoires ne mettent pas plus d’ennuis sur le dos du groupe. Regardant alors la personne à mes côtés, j’observais celle-ci qui dormait en douceur. Attendris, je regardais alors l’horizon et essayais de m’apaiser délicatement. Cette histoire devrait être fermée au plus vite. | | | | | |
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