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Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato]
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Jeu 27 Déc - 16:24


Logue town, encore et toujours cette même ville. A croire que je ne partirais jamais. Pour le moment, je n’avais aucune nouvelle. Oui, j’aurais bien aimé partir voir le monde. Mais bon, pour le moment ce n’était pas possible, je restais en cuisine ou, de temps en temps j’allais faire un tour en ville. Pendant mes pause ou lorsque je devais patrouiller ou faire une commande. La en l’occurrence, j’étais simplement allé au terrain d’entrainement. J’étais un peu fatigué et je n’avais plus de travail après. Du moins pour les quatre prochaines heures du moins. Maintenant je pouvais rentrer chez moi et me reposer un peu. Et manger aussi. Oui, mangé c’est important. Pour rentrer plus rapidement je choisis de prendre un raccourcie. Bon, il ne passait pas par les meilleurs endroits de la ville, surtout les coins sombre et reculer. On y trouvait des restaurants la plupart du temps fréquenté par des brutes tout comme quelques auberges. Mais bon, cela faisait longtemps que je passais par la et les dirigeant des établissements me connaissait plutôt bien.

Cinq bonnes minutes plus tard, j’arrivais vers le premier restaurant, et des bruits de lame se faisaient entendre. J’avançais d’un pas plus rapide et j’aperçus rapidement un large cercle formé devant le restaurant. Je soupirais, ce n’était pas la première fois que cela arrivait. Un duel. Pour une raison que je ne connaissais pas encore. Je m’approchais du cercle et aperçus le gardien entrain de ce battre. Ho bien sur il savait manier une lame, mais l’homme en face de lui était bien sur bien meilleur. Je demandais la raison du Duel. Simplement un repas. Juste pour pouvoir manger. Faire quelque chose d’illégal pour sa. Bon d’accord, quand on a la dalle, c’est sur que l’on commence à faire un peu n’importe quoi. Mais bon. Je dégainais mon katana et m’interposait. Bousculant par surprise le gardien, je stoppais la lame de son adversaire qui s’amusait avec lui.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -Stop, on arrête la avant que quelque chose n’arrive, je paye le repas si besoin.


J’étais en uniforme de marine, normalement, j’aurais du faire une amende, quelque chose comme ça. Mais, le dirigeant était un ami. Et un bon. Je savais que je pouvais compter sur lui et je décidais de laisser passer pour cette fois. De toute façon, j’étais de bonne humeur, et je n’avais pas envie de me fâcher pour une broutille de Duel. Bon d’accord, c’était illégal. Mais il n’y avait pas eu de mort et de blessé. Je rengainais mon katana et claquait des mains.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -Allez, le spectacle est finit, retournez a vos occupation !

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Jeu 27 Déc - 16:49
J'ai faim !
"Je rembourse en nature..."




Spoiler:

Logue Town, je venais à peine de quitter west blue et la révolution que déjà j’étais en manque de protéines. Manger, il fallait que je mange, sinon j’en mourrai à coup sur. Ha, c’était donc ça, la raison de ce que j’étais en train de faire avec un type dont j’ignorais tout ? Cet homme, je ne me rappelais même pas lui avoir demandé de payer mon repas, c’était surement pour cela que je me contentais de parer ses coups sans les rendre. Mais maintenant que ça me revenait, un repas offert par le perdant. Je m’affichais inutilement dans cette rue, mais je l’assumais complètement, entre mourir et ce nourrir, il faut choisir, pour moi le choix est vite fait. Alors que j’allais porter un coup d’estoc au niveau du thorax de mon adversaire, ce dernier se fit bousculer par une jeune femme, qui vint parer ma lame en déclarant le combat terminé. Hein ? NON ! Et ma nourriture ? D’instinct, je m’immisçais dans sa garde après avoir décalé sa lame pour me trouver au corps à corps, la distance l’empêchant tout coup de lame, et je lui saisis le col.

« Tu plaisantes ou quoi ? Pour la peine c’est toi qui… »

-Stop, on arrête la avant que quelque chose n’arrive, je paye le repas si besoin.

Ha bon ? Je le regardais l’air interloqué, pourquoi ferait-elle un truc comme ça sans contrepartie ? Je ne pouvais décemment pas accepter un repas sans combattre, c’était une insulte à mon titre de bretteur. Je soupirai longuement avant de la détailler du regard, bien que je ne puisse pas voir grand-chose à cause des rayons du soleil caressant mon visage aux cheveux d’opaline. Ha oui, je m’étais décoloré les cheveux aussi ! Mais putain il s’était passé quoi en deux semaines ? J’avais changé de cheveux, de style vestimentaire, et de mode de vie, tout ça pour cet enfoiré de Nakata qui voulait que je recrute, et pour ne pas me faire chopper par la marine ? Nan mais j’hallucine ou quoi ? Je rengainais mon katana en pestant dans ma barbe, me voilà réduit au titre de voleur ? Ha mais non, cette fille, elle payait la nourriture, n’est-ce pas ? Je lui adressais alors un léger sourire en m’approchant d’elle, l’air innocent. Cette dernière claqua des mains, ordonnant à la populas de vaquer à ses occupations, ce qu’ils faisaient. Elle bossait pour la mairie ou quoi cette fille ? Dingue cette autorité ! Je m’appuyais contre le mur, à côté d’elle, maintenant à l’abri des rayons du soleil, je reprenais petit à petit mes esprits. Le soleil, c’était réellement ma plus grande faiblesse, mais je ne pouvais décemment pas passer ma vie à l’ombre. Finalement, tournant légèrement la tête vers elle :

« Alors c’est toi qui pay… !? »

Je me stoppais net. J’avais repris mes esprits, ma vue n’était plus floutée, je voyais parfaitement ce qu’il se passait maintenant, cette autorité, cette prise de risque en venant parer ma lame, et moi qui venait de la saisir par le col avant qu’elle ne disperse la foule. Ce qu’elle avait sur le dos, c’était un putain d’uniforme de marine ! Je vins déglutir avant de cacher mon visage de mes doigts, feintant le fait de remettre mes cheveux en place. Mais attends, je n’avais aucune raison d’avoir peur ! J’étais tout simplement méconnaissable comme cela ! Il fallait que je termine ma phrase, et vite, avant de paraitre trop suspicieux.

« Je ne savais pas les forces de l’ordre si généreux. J’accepte ce repas que si vous venez à ma table, et comme je ne fais pas la manche, il faudra que vous trouviez un moyen de me faire payer cette dette. »

Après quoi, au risque de prendre une amende – que dalle à côté du fait que je sois recherché pour X millions – je la saisis par la main en l’entrainant à l’intérieur du restaurant, m’installant à la première table disponible en commandant plus que de raison des sushis, sashimis, des viandes rouges, du riz et plusieurs sake. Cette fin d’après-midi allait être longue pour elle, mais un régal pour moi. Après tout, n’étais-ce pas elle qui s’était interposée ? Il fallait maintenant assumer le fait de couper un épéiste dans son élan, d’autant plus quand il est dans un état comateux et ne sait pas ce qu’il se passe !






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Sam 5 Jan - 13:57


Tout le monde retournait à ses activités. C’était déjà sa de régler. Un problème de moins maintenant, il restait le repas du combattant. Quelqu’un que je ne connaissais pas et qui semblait un peu étrange. Je me tournais vers lui et le détaillais légèrement. Il c’était mit à l’ombre. Je frottais légèrement ma gorge qu’il avait saisit juste après que j’ai bloqué son arme. Si il avait voulu, j’étais sur qu’il aurait pu me tuer. Mais bon, tout c’était plutôt bien passé pour le moment. Appuyé contre un mur, il avait les cheveux décolorés, la peau blanche et des yeux rouges. Un mélange un peu étrange mais qui lui allait bien. Tout comme ses vêtements montrant chez lui sans aucun doute une certaine richesse. Qui disparaissait lorsque l’on voyait qu’il ne pouvait pas ce payer un repas. Comme quoi, il vaut parfois mieux ne pas bien s’habiller et pouvoir manger que l’inverse. Il commença à parler et s’arrêta brusquement. Je ne savais pas pourquoi mais bon. A si, pour remettre ses cheveux en place. Drôle de manie. Il reprit la parole plus assuré disant que les forces de l’ordre étaient généreuses, qu’il faudrait trouver un moyen pour qu’il le rembourse. Et sans argent je n’en voyais aucun. Enfin si, il y en a un mais bon rare sont les gens à accepter.

Avant que je ne puisse répondre, il m’attrapa la main et m’entraîna à l’intérieur. Beaucoup d’autre marine aurait mit une amende pour non respect a l’ordre. Mais bon, j’étais dans ma pause, et puis ce n’était pas parce que j’étais dans la marine que j’étais supérieur à tout le monde. J’avais dit que je payais, il avait faim. Voilà, il n’y avait pas à chercher plus loin. D’ailleurs, moi aussi je commençais à avoir faim. Et vue ce qu’il commanda, lui avait très très faim. Et soif aussi. Je haussais un sourcil avant de me résigner, autant en profiter aussi. Je commandais aussi de mon côté pas mal de viande, un peu de riz au curry et du saké. Je ne tenais pas très bien l’alcool, non, mais j’avais 4h devant moi pour m’en remettre donc j’en profitais. Oui, j’allais passer une bonne après midi. Qui ne serait sans doute pas de tout repose. Tranquillement, j’enlevais ma veste dévoilant un tee-shirt noire et la posait sur le dossier de ma chaise. Je regardais l’homme.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -Donc pour me rembourser, je ne sais pas ce que tu es prêt à faire, donc si tu a des propositions.

Je regardais la salle, il n’y avait pas grand monde au final, dehors, c’était surtout les voisin qui était sortis pour voir le combat, ou quelque travailleur qui pendant leur pose venait boire un coup ici, comme tout le monde.

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    -Ha au faite, je m’appelle Jula et toi ?



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Dim 6 Jan - 14:17
J'ai faim !
"Je rembourse en nature..."




Spoiler:

Finalement, cette marine semblait avoir la tête sur les épaules. Elle venait de se présenter. Soupirant, je déclarer m’appeler « Tsukoyumi, et je n’ai pas de nom de famille ! ». Je ne pouvais décemment pas lui donner ma véritable identité, je risquais bien plus qu’une amende pour le coup, et vue mon état, bien que je sois que sur les seas blues, je risquais d’y passer ne serait-ce fasse qu’à un homme. Je ne dis plus rien, je n’avais pas encore répondu à sa première question. Comment je comptais la rembourser hein ? Excellente question. Je suis un bretteur, moi, pas une missionnaire, pas un riche héritier. Soupirant et mon posant mon regard dans le sien, je lui adressais un large sourire dévoilant mes canines, les yeux clos, en disant tout haut « Je peux payer en nature ! ». Après quoi, je rigolais de ma propre bêtise. Elle était marine après tout, pas moyen qu’elle accepte un truc du genre, vraiment pas moyen. Mais au final, c’était peut-être la solution la plus simple, et lors d’échange de ce type, j’avais, disons, mon secret pour transporter les gens au septième ciel.

« Je plaisantais. »

Après cela, mes yeux se rouvrirent doucement, laissant le serveur arriver en posant les plats commandés sur la table, tout ceci, c’était le signe de ma survie. Je ne savais réellement pas comment la remercier au final. Je détachais les baguettes avant d’entamer le repas en lâchant un petit itadakimasu discret, contrastant grandement avec ce que j’avais pu dire avant. J’étais peut-être trop stressé de manger aux côtés d’une marine, cela ne m’étais encore jamais arrivé, mais il fallait bien un début à tout au final. Soupirant, j’entamais le riz, il était bon. Toute personne vivant dans l’opulence l’aurait trouvé banal, semblable à un autre, mais pour quelqu’un frôlant la mort c’est une denrée rare et précieuse au combien exquise. Enfin, les sushi, j’en engloutissais un avant de tourner mon dévolu vers le sake dont je bu une pleine coupe d’une traite avant de me resservir un verre. Mon regard se posa sur Jula.

« Tu ne mange pas ? »

Mon ton était totalement différent de l’accoutumé, j’étais maintenant plus calme et posé que précédemment, la part de folie qui semblait m’habiter avant avait totalement disparu. Mais c’était là ma vraie personne, mon vrai moi, ma vrai âme. J’étais plutôt quelqu’un de simple, trop réfléchir me donnait souvent des maux de crânes pas possible, et pour une fois que je pouvais me considérer comme étant en ‘vacance’, du moins le temps de l’escale. Je pris un sushi entre mes baguettes et les emmenaient vers la commissure des lèvres de la marine en lui adressant un sourire sincère et enclin à la sympathie et l’innocence. « Si tu ne manges pas, je vais tout prendre pour moi tu sais ? Haaaa ~ ». Un Hato retombé quelques temps auparavant, le Hato civil, celui qui n’a aucun problème et qui fait ce que bon lui semble et quand il en a envie. Bonjour Jula, je fais ce qu’il me plait et en l’occurrence il s’avère que tu rentres totalement dans les attributions de ce que je qualifie comme étant mon loisir ! CRETIN ! A quoi pouvais-je bien être en train de penser !? Pouffant de rire à mes propres conneries, je manquais de m’étouffer avec du riz.

« Désolé, haha ! C’est qu’au final, je n’ai vraiment aucun autre moyen de te rembourser ! »





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Dim 6 Jan - 22:08


Il ce présenta, un nom compliqué à retenir mais bon. Au moins, je pouvais l’appeler de cette façon. C’était mieux que rien. Il me proposa de rembourser en nature, je souris. Oui, s’il ne possédait rien, moi ça m’allait parfaitement. Cela permettrait de passer un magnifique après midi avant de retourner en service. Malheureusement, il renonça. Quand il renonça, il avait les yeux fermé, des yeux qu’il rouvrit a l’arrivée du repas. Un repas qu’il attaqua immédiatement. Personnellement, je ne mangeais pas tout de suite, je ne savais même pas pourquoi, sans doute la proposition de cette homme me tentait bien plus que ce que je voulais bien me l’avouer. Mais bon. Lui mangeait pour deux, ce n’était pas un problème. Commençant même à boire. Il me regarda, prit un sushi avec ses baguette et me l’apporta a la commissure de mes lèvre en parlant. J’éclatais de rire et le mangeais tranquillement avant d’attaquer ce que j’avais commandé. En tapant un peu sur le saké au passage. Sans doute une erreur. Car oui je ne tenais pas bien l’alcool, mais en boire ne me dérangeais absolument pas. Même si il était très fort. A croire que j’avais un peu abusé sur les fêtes. Il rigola en disant qu’il n’avait aucun moyen de me rembourser. Je pris mon saké et lâcher très sérieusement.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -j’y vois aucun inconvénient c’est un remboursement parfait.




Puis je bue. Oui, je pouvais passer pour une femme qui ce faisait payer pour coucher. Mais non, je profitais simplement de la vie et une rencontre ce n’était rien. Oui, je pouvais bien me le permettre. Mon père serait encore en vie il dirait sans aucun doute que j’étais la honte de la marine. Mais il était mort, et ma mère n’était pas au courant de tout ce que je faisais. Je reposais mon verre un léger sourire aux lèvres, c’était le deuxième et déjà je commençais à en sentir les effets. Je mangeais donc en le regardant de temps en temps, oui, je ne voulais pas oublier son visage.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -Au faite, tu habite ici ou tu es juste de passage ?



Je ne l’avais jamais aperçue et pourtant, il n’avait pas un physique très discret donc, j’étais presque sur qu’il était juste de passage. Une aventure d’une après midi, rien de plus parfait. Et puis de toute façon, le colonel n’en saurait rien. A moins que je sois complètement déchiré en arrivant au service. Mais bon, au pire, je me prendrais une punition, des heures supplémentaires ou autre chose. Mais cela n’avait pas d’importance. Tant que l’on passait un bon moment auparavant. Mais d’abord le repas, oui, moi aussi j’avais faim. De nouveau je continuais de manger comme si tout ce qui ce passait ne sortait pas de l’ordinaire.





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Lun 7 Jan - 8:04
J'ai faim !
"Je rembourse en nature..."




Spoiler:

Elle était sérieuse ? Je m’étais arrêté dans mes mouvements lors de cette annonce. Donc elle acceptait de coucher avec moi en échange d’un repas ? Je reposais lentement ma tasse en plongeant mon regard dans le sien, sans rien dire, pendant qu’elle était en train de manger. Il me serait impossible de dire combien de temps aurait pu s’écouler ainsi, sans que je ne me lasse de regarder son visage aux traits fins et délicats. Son regard lui, contrastant avec ses traits, semblait déterminé, sachant parfaitement ce qu’elle veut, montrant une personne et une volonté parfaitement décis et précise. Elle était donc sérieuse, je pouvais le sentir. Au final, j’avais lâché cela comme cela, mais c’était réellement le seul moyen. Mais après, pour quoi passerais-je ? Je n’en avais rien à faire, cette femme m’avait surement sauvé la vie, je lui devais bien plus que la simple vue de mon corps et le goût de mes lipses et de la lésine m’habitant. Jula, tu es assez intrigante et impressionnante. Tu sembles savoir parfaitement ce que tu veux et désir et ne semble réfuter absolument aucune envie. Comme j’aimerai pouvoir faire des choix aussi simplement. Soupirant, je lui adressais un léger sourire avant de saisir ma coupelle de sake avant de la porter à mes lèvres. La boisson des dieux était douce aujourd’hui, c’était agréable de le sentir couler dans ma gorge pour venir glisser dans mon œsophage avant de venir percuter mon estomac.

« Je suis de passage… »

Voilà Qui était sèchement répondu, mais j’avais mis toute la douceur du monde dans ces mots là. On aurait pu penser que j’usais d’hypnose auditive et inductive à ce moment-là mais il n’en était rien, j’étais simplement naturel, pour changer un petit peu. Je ne me prenais pas la tête sur les attraits de ma race, je ne pensais à rien d’autre qu’à l’instant présent aux côtés de cette marine, Jula, qui n’en avait au final que le titre. Rien, absolument rien chez elle ne me rappelait les gouvernementaux. Jula, il me semble que ta vie serait bien plus palpitante à mes côtés, sur un navire pirate, à s’amuser, boire, faire la fête et se battre pour le plaisir de libérer les peuples et de devenir plus fort. Peut-être un jour viendras-tu à moi ? J’ai en tous les cas bien l’intention de te revoir après ce jour-là. Prenant une bouchée de riz, je me laissais doucement tomber en arrière en souriant. Ha, légère précision, les vampires ne se nourrissent pas que de sang, disons qu’il s’agit là d’un complément, comme vous vous prendrez des vitamines. Cela dit, sans ses vitamines, il meurt. C’est un besoin donc, et une obligation, mais pas quotidienne.

« Tu m’impressionne, Jula, tu sais ce que tu veux toi au moins. J’ai jamais connu quelqu’un comme toi, tu serais mieux sur les mers à faire ce qu’il te plaît plutôt qu’à suivre des ordres. » En me redressant, je vins remettre une mèche de ses cheveux derrière son oreille en souriant. « Où allons-nous, donc… ? J’ai hâte de voir à quel point tu mets en œuvre tes désirs, et j’ai un cadeau pour toi… ». Le genre de cadeau empoisonné dont j’ai le secret, une morsure, transportant ma victime à un Eden insoupçonné. La concrétisation de tous les fantasmes et les sensations de bien être allant de manière exponentielle au rythme de mes sucions. Je suis un vampire après tout.




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Ven 11 Jan - 14:59


Je terminais mon repas, il était bon, au moins, le cuisinier faisait bien son métier. C’était un bon point. Ce n’était pas la première fois que je venais manger ici et je devais avouer qu’il c’était améliorer depuis la dernière fois. Ou bien simplement ils avaient changé d’employer. Mais bon, cela m’aurais étonnée. Ainsi Tsukoyumi était de passage, comme je le pensais, il n’était pas d’ici. D’un côté c’était une bonne chose. D’un autre côté, si on voulait ce revoir, cela deviendrait compliqué. Oui, c’était le mauvais côté de ces relations. Il parla disant que je l’impressionnais. Que je serais mieux sur les mers pour me faire plaisir comme je le voulais. Oui, cela aurait était une bonne option. Mais pour cela, il faudrait que je déserte, que je devienne pirate ou quelque chose comme ça. Est c’était hors de question. Devenir comme ceux qui avait tué mon père, cela je ne le voulais pas. Et puis de toute façon, le monde était constitué grâce aux ordres des supérieurs. Même si je devenais pirate, il faudrait que je suive les ordres d’un capitaine. Et je ne me sentais pas du tout commander un équipage donc bon. Il ce redressa et remis une mèche de mes cheveux derrière mon oreille, je souris et je hochais la tête à sa question en terminant mon dernier verre de saké. Ainsi il avait un cadeau pour moi.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310

    -On va chez moi, c’est pas loin d’ici et on seras plus tranquille.


Je me levais sortant mon argent afin de payer, régler le repas et mit ma veste sous le bras. Oui, je n’étais plus en service. Je n’avais donc pas besoin de la porter tout le temps. L’attrapant par la main, je l’entraînais dehors. Je marchais d’un pas léger et tranquille me dirigeant vers ma maison. Elle n’était pas très grande, mais suffisamment pour faire ce genre de chose. Avec un matelas double directement sur le sol pour empêcher que les monstre ce cache en dessous. Ce matelas fait pour accueillir un invité, voir deux. E oui, rare sont les gens à pouvoir dormir correctement dans un hamac. Contrairement à moi qui détestait les lits par peur. L’amour. La seule chose que je parvenais à faire dans un lit parce que j’étais trop occuper pour penser à quoi que ce soit d’autre. Les rues étaient principalement à l’ombre. Sans un mot, j’entraînais l’homme dans un dédale de rue ou la plupart des gens ce serait perdue en dix secondes. Puis, après environs dix minutes de marche, je sortis une clef de ma poche et ouvrit la porte d’un petit bâtiment. Je pénétrais à l’intérieur.

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    -Bienvenue chez moi.


Trois pièce, directement à droite il y avait la chambre, la pièce ou j’allais le moins. C’est la ou dormait les invités. Avec un matelas double posés directement sur le sol. Le couloir menant au salon ne faisait pas plus de trois mètre, parfait pour faire une simple entré ou posé veste et chaussure. Un porte manteau était d’ailleurs accroché contre le mur de droite. Je me débarrassais de mes chaussures et me tournait vers Tsukoyumi.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310

    -On a trois heures devant nous, après je reprends le service.


Lentement, je l’entraînais dans la chambre en jetant ma veste par terre. Nous aurions continué dans le couloir, nous serions arrivées dans le salon/cuisine. Une pièce plutôt petite d’une vingtaine de mètre carrée avec un hamac au milieu. La pièce ou je passais le plus de temps puisque je dormais dans ce hamac. Enfin, la pièce juste après la chambre, c’était la salle de bain et les toilettes. Petit mais agréable. La chambre elle avait était faite de façon à être confortable. D’une dizaine de mètre carrée elle comportait un matelas sur le sol avec deux couverture et plein de petit coussin, une armoire ou l’on pouvait ranger ses affaire et, sur les murs, des livres afin de s’occuper. Je frissonnais en pensant au lit puis, je me forçais à penser à la suite. Ce n’était pas un lit. Juste un sol beaucoup plus confortable que les autres.







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Dim 13 Jan - 17:18
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"Je rembourse en nature..."




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Ha, comme ça ? Bon. J’avais à peine eu le temps de finir que déjà elle avait sortie de l’argent de sa poche, l’avait déposé sur la table, s’était levé en m’attrapant la main et était sortie. Elle avait dévalée les rues, si bien que même une explication de plusieurs heures n’auraient pas suffit à me faire comprendre ou elle habitait. Sa maison, je me demandais sincèrement à quoi elle pouvait bien ressembler au final. Resserrant légèrement mon étreinte sur sa main, je souriais, cachant mon visage des rayons du soleil qui semblaient vouloir venir me torturer avant que l’on arrive à destination, chose qui finalement fut rapidement faite. Elle pénétra dans un hall, avant d’entrer chez elle. L’entrée était banale, bien que bien présentée, je me baladais alors, parfaitement à mon aise. A droite, la chambre, sobre, le lit directement sur le sol, pas de sommier, tant mieux. Un salon un peu plus loin, avec un hamac, elle semblait passer plus de temps ici qu’ailleurs, vue l’agencement de la pièce. Soupirant longuement, j’affichais un léger sourire avant d’aller rejoindre la chambre. Aucun moyen d’y couper donc ? Pas de problème, il fallait aussi, après mon corps, que je nourrisse mon âme damnée. Elle m’entraîna dans la chambre un peu plus rapidement que ce que j’avais prévu au final, déclarant n’avoir que trois heures avant de reprendre du service.

« C’est bien plus que ce qu’il ne m’en faut pour te remercier convenablement… »

Après quoi, je la poussais sur la matelas avant de passer au dessus d’elle. Elle ne semblait pas très à l’aise visiblement. Etait-ce le fait d’assumer jusqu’au bout ses mots ? Non, sa voix montrait bien cette envie naissante et grandissante qu’est celle du désir. Alors d’où pouvait bien venir le malaise ? La pièce ? Possible. Le lit ? Surement. Elle n’aimait pas dormir de manière totalement banale, allongée, les yeux au plafond, comme sur un lit de mort ? Le plus probable. Mon sommeil, moi, appelé sommeil de mort, me plongeait dans un état duquel l’on pourrait me prendre la vie aisément. Aucun son, aucune voix, aucun ressenti, aucun mouvement ne pourrait me tirer de cette phase où je me retrouve totalement prisonnier des ténèbres, de la mort elle-même, bien qu’étant parfaitement conscient de ma propre existence et de ma damnation. Mais l’heure n’était pas à ma personne. Venant quérir ses lèvres en mettant une de ses mèches en place avant de venir lui adresser un sourire charmeur, accompagnant mon regard hypnotique avec une voix suave et combien emplie de désir, une voix inductive, tout chez moi à ce moment précis était fait pour envouter celle que j’avais désigné comme étant ma proie, celle qui serait ce soir la reine de mon monde.

« Jula, détends toi, tu ne mourras pas sur ce lit, pas ce soir, ni le suivant… Je vais te faire découvrir des choses inconnues, à n'en pas douter… Détends-toi, relaxe-toi, relâche-toi… »

Désir hypnotique. Tout était fait pour l’apaiser un peu plus, la faire se décontracter totalement, faire en sorte que tous ses muscles se relâche et qu’elle ne prenne que le meilleur de tout ce qui pourrait se passer par la suite. C’était souvent comme cela que je procédais pour ‘mordre’, mais jamais je n’avais hypnotisé quelqu’un de manière si raffinée ou élégante. Je me contentais d’un ‘dors’ en temps normal, mais je ne voulais en rien la brusquer, elle qui avait été gentille avec moi, et qui m’avait en plus de tout sauvé la vie face à la faim physique propre aux humains. Je vins de nouveau quérir ses lèvres. Ménandre à dit "Bien des gens ont été perdus par leur langue.". La mienne, en ce moment, venait jouer avec celle de la marine, glissant la main précédemment sur sa joue au niveau de sa nuque. J’allais me délecter d’elle, en ce début de soirée.





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Dim 13 Jan - 21:28


Il avait visité rapidement la maison. Bon de toute façon, c’était pas grand. Et désormais nous étions dans la chambre. Il disait que trois heures était largement suffisantes pour me remercier convenablement. Je souris, j’attendais avec impatience de voir sa. Il me poussa sur le matelas et je me tendis légèrement. Passant au dessus de moi. Il alla chercher mes lèvres mais, étrangement, je n’arrivais pas a bien me détendre. C’était le lit, ce foutue lit. C’est fou ce que je ne l’es supporter pas. Etre allonger dessus était tout simplement abominable. Heureusement que je n’allais pas dormir dedans. Oui, il fallait que je me détende. Souriant alors qu’il me regardait, je l’entendis parler. Une voix magnifique, une voix qui attire l’attention. Ou l’on ce focalise dessus. Oui, il avait raison, je n’allais pas mourir sur ce lit. Et si il me faisait découvrir des choses inconnues ce serait parfait. Je me détendis lentement. Mes muscle ce relâchant progressivement. Oui, l’après midi allait être parfaite.

Un détail me fit sourire encore plus, ce fus les yeux de mon partenaire. Oui des yeux étrange. La pupille ce dilatait puis rétrécissait. Très rapidement. Un peu comme si on faisait clignoter une lumière devant les yeux d’un chat. C’était étrange. Amusant même. C’était la première fois que je voyais cela chez un homme et pourtant, cela ne changeais en rien la confiance que j’avais en lui. Lorsque je fus complètement détendue il revint à mes lèvres. Sa langue jouant avec la mienne. Sa main glissa sur ma joue allant jusqu’à ma nuque alors que mes propre main passèrent dans son dos. Oui, tout commençait. Ce n’était pas ma première fois loin de la. Mais je devais avouer que c’était la première fois que j’étais aussi rapidement détendue dans un lit. Que ce soit seul ou avec un homme, cette fois-ci je me sentais bien. Si bien que s’en était bluffant. Si seulement je n’avais pas service ce soir. Ce moment aurait pu durer beaucoup beaucoup plus longtemps. Mais bon, je m’en contenterais. De toute façon, cela semblait bien commencer.

Lentement, je passais mes mains sous sa veste afin de l’enlever doucement et délicatement. Oui, fallait bien commencer à un moment ou un autre. Autant ce mettre à l’aise jusqu’au bout et personnellement, j’avais hâte de pouvoir me coller contre sa peau blanche. Pouvoir me coller contre lui sans rien pour stopper les sensations. Pouvoir tout faire sans aucune gène. Voilà ce que je voulais. Voilà ce que je recherchais. Mais désormais, cela dépendait de son efficacité. Après tout, je ne pouvais pas non plus tout faire et je ne pouvais pas deviner les choses qu’il voulait me faire découvrir. Ce que j’avais hâte.


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Lun 14 Jan - 7:51
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Ton regard semble soudainement plus doux, moins crispé, comme le reste de ton corps, et tu commences alors à t’aventurer sur mon corps, glissant d’abord tes mains dans mon dos avant de me retirer ma veste, délicatement, donnant l’impression de ne pas vouloir brusquer les choses, mais sais-tu que dans des moments comme cela je m’abandonne totalement à toi ? Je suis tiens à cet instant, pour toujours, éternellement lié dans la luxure et un amour éphémère. Éphémère… ? Non, mais ça, j’étais bien loin de m’en douter..Quand mes mains glissent sur ce corps, te couvrant de caresses crescendo, je te sens frissonner sous mes doigts fugueurs. Ton corps s’abandonne à moi quand je t’effleure. Mes mains glissent avec justesse sur ton corps étendu, unies de mes caresses et ta peau confondue. Sans ta peau, sans ton corps, je suis comme en exil, emplit d’une luxure que je ne peux assouvir. Tu es le trésor de mes voyages tactiles. Je m’égare alors dans tes courbes et dans les creux que forme ton corps, et mes mains s’affolent au contact de ta peau, sur ton corps. Comme un oiseau qui s’envole perdu en plein essor.

« Jula… Ferme les yeux… »

La chaleur de ta peau M’invite maintenant sans retenue, à l’assaut de ton corps si brûlant. Mes baisers le parcours pour te dire combien te faire l’amour commence avec mes mains. Secrètement tu me guide au travers de ton plaisir et de tes frissons, et finalement, tu joues aussi des sensations que nous partageons. Tu te laisse aller au plaisir au fur et à mesure que mon corps s’abandonne au tiens, oubliant toutes les voix, oubliant tout mouvement autre que celui de nos deux personnes, allongés chez toi. Un simple repas peut mener à des rencontres spéciales, à des énumérations d’aventure je passe a des sensations véritables. Aussi loin que je puisse remonter dans mes souvenir il n’ m’a guère été donné de profiter pleinement de la joie du corps féminin. Tu es une exception à la règle, à celle de ma chaîne d’alimentation. Tu es bien plus qu’une simple aventure, mais malheureusement, dès demain, je devrais te quitter, Jula. Nous vivons dans deux monde opposé, et bien que tous les pores de ma peau semble hurler ton prénom, l’amour impossible que cela représenterai me ferait surement perdre la tête, et jamais je ne pourrais me permettre une telle folie. Jula, Jula, comment veux-tu que je sois pleinement concentré dans mes gestes, te rends-tu compte à quel point tu me tourmentes ? D’une simple invitation, nous nous retrouvons tous deux au summum de la luxure, mes mains venant dévêtir totalement ton corps pour te laisser apparaitre, petit à petit, dans ta tenue d’Eve, prisonnière de mes caresses. Tu te laisse simplement aller au désir, aussi simplement que moi je le puis. Luxure ? Non, véritable désir, sincère, une envie intanchable de l’autre. Glissant ma langue dans son cou, je laissais mes canines frôler sa peau douce et claire sans oser la souiller de ma marque. Pourquoi tant d’hésitation ? Glissant mes lipses jusque tes lèvres, je semble maintenant hésitant dans mes mouvements, continuant de caresser ta peau de mes mains...

« Pourquoi… Es-tu prête à aller jusque-là ? Pourquoi tu me troubles tant...? Je n'arrive pas à lire en toi...»





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Sam 19 Jan - 18:57


Ces mains bougeaient doucement, caressant tout mon corps, provoquant des frissons incontrôlable. Ce n’était pas la première fois qu’il le faisait, j’en étais certaine. Oui, il était efficace. Je m’abandonnais à lui alors que je terminais de retirer sa veste. Il me demanda de fermer les yeux et, sans une seule hésitation, j’obéis. Avec n’importe qui d’autre, j’aurais légèrement hésité. Quelqu’un que je ne connaissais pas qui me demandait de fermer les yeux. Mais lui, c’était différant. Pour je ne savais qu’elle raison, j’avais confiance en lui et ce sentiment de confiance perdurait et me permettait de faire ce qu’il fallait. Décidément, cette après-midi ce passerait bien. Même très bien vue comment cela avait commencé.

Désormais j’avais donc les yeux fermé. Il continuait ses caresses enlevant peu à peu mes vêtements. Je les sentais partir un par un alors que mon plaisir augmentais peu à peu. Je ne pouvais plus deviner ce qu’il allait faire, chacune de ces caresses étaient une nouvelle surprise toujours plus agréable. La surprise allant avec les sensations. Un ensemble parfait. Un gémissement m’échappa juste avant qu’il ne pose des questions. Pourquoi je le troubler. Pourquoi. Il ne fallait pas ce posé ce genre de question dans ce genre de moment, non, en ce moment là. Il fallait ce laissé entrainer par nos sentiments, nos envies. Et faire ce que l’on voulait.
Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -Je suis prête à tout, la vie vient comme elle est et il faut en profiter. Arrête de penser, agis. Parfois, il ne faut qu’agir.


Oui, désormais j’étais à lui autant qu’il était à moi, dans un ensemble magnifique. Ma voix était légèrement tremblante, d’envie. Oui, j’avais envie que cela continue. Aussi parfaitement, encore mieux même. Oui, si nous pouvions allez plus loin ce serait encore mieux. Monter dans les sommets, changer de ciel peut à peut, jusqu’à arriver au septième. Le meilleur des ciels. L’ultime but de ce genre de chose. Ce qu’il y avait de mieux. La perfection absolue. Une perfection que l’on ne pouvait véritablement atteindre seule. Oui, il fallait être deux pour accéder à cet endroit. Je murmurais à son oreille.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -Allons au septième ensemble, sans nous poser de question.


Oui, les questions viendraient après, lorsqu’il faudrait ce quitté, lorsque tout s’arrêterait. Pour le moment, il fallait ce faire plaisir. Le faire durer. Car la vie n’est pas faite que de cela. Et je comptais bien profiter de ces moment au maximum du possible. Quitte à en perdre la raison. Même si pour cela, je devais finir rejetée et mourir. Je voulais profiter de la vie un maximum. Lentement, je retirais le reste de ces vêtements. Oui, je ne serais pas la seule à en profiter. Lui aussi devait trouver le bonheur dans ce moment. Caressant doucement son corps, d’une main légèrement, l’effleurant parfois à peine. Je gardais les yeux fermé. Oui, j’en avais l’habitude, ce n’était pas la première fois que je faisais ce genre de chose. Et ce ne serait sans aucun doute pas la dernière.



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Sam 19 Jan - 19:27
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-Je suis prête à tout, la vie vient comme elle est et il faut en profiter. Arrête de penser, agis. Parfois, il ne faut qu’agir.

Surement, Jula, tu as surement raison. Mais pourquoi tout semble être si simple dans ton esprit ? Tout s’embrouille dans le mien, mais ce n’est pas la seule cause résultant de nos différences de races. Après tout, rien ne m’avait empêché de me plaire en jouant des femmes avant, mais là c’était différent, un sentiment totalement autre. Je me sentais comme obligé de la complaire dans son désir, obligé de rester maître de moi-même, de ne pas sombrer dans la folie, de rester là à ses côtés en caressant son corps, la protégeant, la suivant quoi qu’elle puisse faire. Mais, une marine ? Le mieux ne serait-il pas encore de lui révéler ma vraie nature, et par la même occasion, ma réelle identité, cette du pirate vampire, Tsukiyo no Hato. J’allais le faire, il fallait simplement que je saisisse le bon moment au vol et que je ne le laisse pas s’échapper, mais trop de réflexion, j’allais simplement pour le moment profiter de l’instant présent comme elle le désirait. Glissant ma main dans ses cheveux, je vins lui voler un baiser fougueux avant qu’elle ne reprenne de nouveau la parole.

-Allons au septième ensemble, sans nous poser de question.

« Pour accéder au cieux, il faut connaître les enfers, Jula. Je te promets les deux en cet après midi… »

Jula. Lentement, elle vint retirer le peu de tissus faisant résistance sur mon corps pour me dévoiler dans ma tenu d’Adam, face à elle, au dessus d’elle si je puis dire. Nous étions sur la couche où la lune dansait, si blanche et peu farouche, dont nos corps là baignés prenaient sous la lumière des formes d’hologrammes grouillants et occupés à se bien satisfaire… Jula et Hato, des souffles murmurés qui sortaient de nos bouches, de beaux propos osés et des corps qui se touchent, qui s’épousent, s’unissent, se retiennent soudés. Mes lèvres vinrent glisser dans ton cou lors de cette union pour finalement laisser mes canines érafler ta chaire, laissant une goutte de sang perler avant de venir mourir à la commissure de mes lèvres. Folie, goût du péché, fruti défendu de mon jardin d’Eden, me faisant connaître l’enfer pour mieux entrevoir le monde des divinités. Je vais te le faire découvrir, ce fruit défendu, ce jardin d’Eden, ce septième ciel auquel tu sembles vouer un culte presque équivalent au mien. Enfonçant mes dents dans ton cou, je signais là notre union parfaite, une danse macabre et emplit de luxure, dansant de mon corps contre le tiens, accroissant le plaisir au fur et à mesure des mouvements, des suçons, qui sans aucun doute devaient te faire mal, l’enfer. Mais le vois-tu, dans cet enfer, ce petit brin de liberté qui te montre qu’au final tu n’as aucune rattache dans ce monde ? Oui, tu peux le voir, celui que l’on appel le plaisir, la jouissance, le summum de l’intégrité physique porté au saint graal. Le saint suaire, les clous de la sainte croix, rien en ce moment n’avait plus d’importance que toi, que nous.

« Jula… »

Nous buvions de nos âmes tous les désirs cachés, tes beaux yeux sont las, pauvre amante. Reste longtemps, sans les rouvrir, dans cette pose nonchalante où t'as surprise le plaisir. D'une seule caresse, je te ferai briller de tout ton éclat. Plus tard on me découpera, on trouvera les milliards de grains de ton pollen, de la farine de toi, roulée par le vent. Je ne cesserai pas de chanter la morsure rouge des ses lèvres, l'épaule insoumise. Alors je l'embrassais ma bouche sur la sienne déposait les baisers les plus doux et je prenais contre mon corps son corps si lisse et si tranquille pour laisser s’accroître cette envie. Mais bientôt la fatigue vainquit notre étreinte, nous tombions endormis, ayant prit jouissance, nous tombions au sommeil du monde où les amants ensemble gisent séparés.





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Dim 20 Jan - 18:30


Ainsi d’après lui, pour aller à notre destination, il fallait d’abord passer par l’enfer. L’enfer de la douleur, une chose que je connaissais bien pour avoir fait un gigantesque tatouage. Et je dois dire que lorsque je l’avais fait, j’avais eu un léger aperçu de cet enfer. Cela m’allait, personnellement j’avais aimais ce moment la il y a quelque année. Et oui, même dans la souffrance on peut trouver du plaisir et j’attendais de voir ce qu’il allait faire. Je m’abandonnée a lui, une total confiance en cet inconnue qui me proposer de passer en enfer. Une chose que peu de gens ferait et que moi j’acceptais, sans aucune hésitation. La luxure est un des péchés capitaux et, j’accepte avec plaisir ce péché acceptant tout ce qui va avec. De toute façon, il me promettait le ciel et les enfers, un ensemble parfait.

Ses lèvres glissèrent dans mon cou, une dent m’effleura et je sentis une goutte de sang perler je frissonnais et il enfonça ses dent. Deux pour être précis. Je sentais clairement les deux endroits d’où la douleur commença. Ce rependant dans mon corps comme une langue de flamme. Je gémis, d’abord de douleur. C’était donc sa son enfer. Un endroit parfait, il méritait très bien son nom. Le temps passait lentement, une seconde semblait être une année. Mon corps ne parvenait même pas à ce cambré sous la douleur, je n’ouvris même pas les yeux. Je gémissais. Un gémissement de douleur qui se transforma en gémissement de plaisir lorsque la vague de feu douloureuse devint bonheur. Le septième ciel fut atteint en quelques secondes. Un changement radical, tout simplement effrayant et plaisant. Un changement que je n’avais encore jamais vécue et qui me plaisait parfaitement. Cela semblait durer une éternité. Une éternité qui s’arrêta bien trop vite à mon goût. Bien que je ne savais absolument pas combien de temps cela avait duré. De plus, je n’avais pas vraiment comprit ce qui c’était passé, seule les magnifiques sensations restait dans mon corps. Mais cela me suffisait. Il m’embrassa encore un peu mais, rapidement la fatigue nous envahit et c’est l’un contre l’autre que nous tombions endormit.

C’est plusieurs heures plus tard que je me réveillais. Bien trop tard pour mon service, il faisait déjà nuit. J’étais bonne pour les corvées. A moins que je parvienne à dire que j’étais vraiment malade. Oui, c’était possible, cela faisait un moment que je n’avais pas eu d’absence involontaire. Silencieusement je soupirais. Mon partenaire dormait encore et c’est avec douceur que je sortis du lit. Oui, le bien être était passé et le malaise du au lit revenait rapidement. C’était toujours pareil. Me relevant je me rhabillais, un peu seulement enfilant uniquement mes sous vêtement et un pantalon. Oui, c’était la ma tenus d’intérieur, celle que je portais toujours lorsque j’étais chez moi. Silencieusement je me dirigeais vers mon salon afin de préparer à manger. Oui, ce n’était pas le même appétit que précédemment mais il fallait aussi le combler. Tranquillement je préparais un beau morceau de canard avec des pommes de terre en accompagnement. Juste de quoi ce caler l’estomac. Je portais la main à ma gorge sentant deux petit troue à l’endroit ou je l’avais sentit me mordre. Décidément, cet homme était étrange.



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Dim 20 Jan - 21:30
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Réveil silencieux au moment où la lune éclair le ciel de ses rayons lumineux idyllique. Quoi de mieux pour me faire me sentir parfaitement bien, reposé et détendu ? Je souriais, voilà bien longtemps que l’amertume de ma propre existence ne m’avait pas prise lors de mon éveil au monde réel, loin de mes songes. Jula. Je tournais la tête sur ma gauche en ouvrant lentement les yeux, passant ma main dans une moitié de lit vide, sans présence, aucune. Pourtant j’entendais sa voix, elle ne devait pas être loin. Venait-elle de partir ? Etait-elle toujours présente dans cet appartement ? Soupirant, je me levais, m’habillant seulement du drap blanc qui nous avait servi de couche, l’enroulant autour de ma taille en me dirigeant vers la cuisine d’où provenait cette bonne odeur. Je la voyais finalement, Jula, en train de cuisiner, était-ce donc là son métier ? J’avais dans ce cas étais bien mal adroit de la faire entrer dans un restaurant. J’étais appuyé contre l’encadrement montant de la porte et je la regardais faire, simplement, toujours le regard dans le vide mais semblant plonger dans sa direction, les bras croisés. Je pense qu’à ce moment-là, l’idée de me ranger définitivement et de rester dans cette ville m’avait traversé l’esprit. Mais un instant seulement, c’était impossible, elle ne connaissait pas mon identité. Avançant vers elle sans faire le moindre bruit, je vins passer mes bras autour de sa taille en déposant un baiser dans son cou, à l’endroit même où je l’avais mordu, avant de lui sourire faiblement, de manière totalement sereine en prenant la parole :

« Mon vrai nom est… Tsukiyo no Hato… Je ne voulais pas te cacher ma véritable identité mais je n’avais aucune idée de comment tu pourrais réagir. Mais maintenant je m’en moque royalement… J’ai passé un agréable moment, que j’espère réciproque, et je ne parle pas simplement de… Enfin là où je veux en venir, c’est que j’aimerai te revoir… Je devrais partir demain matin tôt pour rejoindre les miens… Hmm, et désolé pour la morsure si elle te fait mal, elle partira rapidement… »

Après quoi, je restais ainsi sans rien dire, regardant simplement ses faits et gestes, mes bras enlaçant toujours sa taille avec tendresse. Je n’étais pas stressé pour un sous de cette révélation. Je savais ce qu’elle pourrait penser, imaginer, entrapercevoir. Les pirates semant la mort, le désespoir, tout le tralala, mais de ce point de vue là, nous étions plus porté sur la justice, la vraie, plutôt qu’à piller et tuer sans raison. Elle le saurait si elle était ouverte, si elle avait un minimum confiance en la personne que j’étais. Bien qu’étant marine, je lui faisais pleinement confiance, sans réellement savoir pourquoi ni si cela était réellement prudent, à vrai dire je n’en avais franchement, sincèrement et purement rien à faire. Je faisais pour au moins un temps ce que mon âme entier me dictait de faire. J’avais rarement ressenti un tel sentiment d’unité avec moi-même, avec mon propre cœur, celui qui ne bâtait déjà plus. Pourtant, nous respirions le même air, dans le même ébat, pour les mêmes raisons. J’avais souvent fait des escales m’adonnant à la luxure pure, mais jamais cela ne s’était passé de cette manière, aussi simplement et ‘sentimentalement’. Au final, je me détachais d’elle en lâchant un léger « Désolé. » avant de regagner la chambre où je commençais à m’habiller, plus décemment en tout cas qu’à la manière romaine. Je n’avais pas pris le temps de voir comment elle réagirait, mais je doutais fortement qu’elle accepte de prendre la mer avec moi, du moins pas pour le moment, il était trop tôt pour elle, pour ce rendre compte que la réelle justice ne se cache pas sous cet uniforme.






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Dim 20 Jan - 22:14


Je cuisinais tranquillement, absorbé par ma tâche. Oui, j’avais à la fois hâte de pouvoir manger, mais aussi la patience pour avoir quelque chose de bon pour mon palais. J’étais tellement concentré pour ce plat simple que je n’entendis pas mon partenaire arriver derrière moi. Il passa ses bras autours de ma taille et m’embrassa pile à l’endroit ou il m’avait mordue je souris doucement en levant la main gauche pour lui caresser la joue. Puis, rapidement je recommençais à cuisiner, oui, il ne fallait pas que le plat brûle. Ainsi il s’appelait Tsukiyo no Hato. Pirate primé à 37 million si mes souvenirs étaient exacts. Et j’avais couché avec lui. Bien sur je ne connaissais absolument pas les motifs de sa prime. Mes mains ce crispèrent sur les outils que j’utilisais. Lentement je les reposais à leur place. Il continuait de parler disant qu’il avait tout de même passé un agréable moment et que la morsure disparaîtrait rapidement. Un dernier désolé finit par arriver et il me lâcha retournant dans la chambre.

J’attendis qu’il sorte de la pièce, immobile. Je stoppais la cuisson, de toute façon c’était terminé. Attrapant une poêle sur le bord je la balançais à travers la pièce. Volant, elle s’écrasa sur un pot de fleur qui ce brisa sous le choc tombant par terre. Mon poing vint frapper une armoire qui s’ouvrit sous le choc et déversa son contenu sur moi. Je détestais les pirates mais le pire, c’est qu’au fond de moi, je ne pouvais nier que j’avais passé un magnifique moment, un moment que je partagerais bien à nouveau. Même si c’était lui. A moitié recouverte d’ustensile de cuisine en tout genre et de plat je frappais à nouveau dans une armoire qui tomba sur le côté. Un bruit de verre brisé retentit et des morceaux de verre s’étalèrent un peu partout. Décidément, j’étais énervé. Mais pas contre lui, contre moi-même. Toutes mes convictions s’effondraient. Comme quoi les pirates était tous des brute ne pensant qu’à tuer ou quoi que ce soit. Non, lui avait était doux avec moi malgré la morsure. Je me dégageais du fouillis que j’avais provoqué et marchais dans les morceaux de verre afin d’aller le voire. Oui, il n’allait pas partir comme sa. Je me coupais un peu partout en bas des jambes, principalement des coupures légères mais au moins, j’avais mon excuse d’absence. J’arrivais a la porte de la chambre, respirais un bon coup avant de parler.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -Tu peux rester pour manger, j’ai préparé pour deux mais tu devras partir avant que le soleil ne se lève, je ne veux pas que quelqu’un voie que tu étais la.


Ma voix était sans aucune émotion, cachant ma colère, une simple invitation à rester encore un petit moment. Sans attendre de réponse, je retournais dans le salon afin de mettre la table, deux assiettes et des couverts. Cela ne prit que quelques secondes, heureusement, les assiettes n’avait pas était victime de ma colère. Je servis le repas en attendant qu’il arrive avant d’ajouter du saké comme boisson. Oui, de l’alcool, la j’en avais besoin. Vraiment besoin.



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Dim 20 Jan - 22:41
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Je venais de finir d’enfiler mon pantalon, j’allais pouvoir passer mes hauts lorsque le bruit du verre vint fracasser mes tympans. Soupirant longuement, je continuais de m’habiller, passant ma ceinture autour de ma taille. A cette époque là, je n’étais pas encore vêtu simplement de tissus por faciliter mes mouvements, je n’étais pas encore ce que je qualifierai de sabreur pur et dur. J’aimais m’amuser, j’aimais les katanas, mais ma défaite contre le sword master m’avait fichu un coup au moral, ce qui faisait que j’étais, pour compenser cela, devenu plus précieux, prêtant plus attention à mon apparence physique qu’à ma vitesse ou à l’amplitude de mes mouvements. Je l’avais remarqué plus tard, sur little garden, d’ailleurs, l’endroit où les marchands de passage m’avaient donné des tissus à ma taille, me faisant me découvrir tel que je suis dans le monde de nos jours, mais passons, elle était là maintenant, face à moi. Elle semblait avoir marché dans le verre casé, ses jambes et pieds étaient couverts de plaies plus ou moins profondes, soupirant, je la regard d’un air presque désolé pour elle, j’allais saisir mes katanas, ma veste, et me diriger vers la sortie, mais c’était avant qu’elle ne prenne la parole.

-Tu peux rester pour manger, j’ai préparé pour deux mais tu devras partir avant que le soleil ne se lève, je ne veux pas que quelqu’un voie que tu étais la.

Tétanisé, c’est le mot. Je me bloquais dans mes mouvements en tournant les yeux vers elle, plongeant mes pupilles dans les siennes. Elle était sérieuse ? Je me redressais lentement, sans avoir pris les katanas, montrant ainsi mon intention de rester un peu plus. Après tout, il faisait nuit noire dehors. Je m’avançais lentement vers elle mais elle tourna les talons en ce dirigeant vers le salon, de nouveaux des bruits de vaisselle, mais rien d’agressif cette fois-ci. Je décidais de réfléchir trente secondes. Elle était marine, j’étais pirate, nous avions couché ensemble et là j’allais encore manger à sa table ? C’est moi ou y’a un truc qui déconne ? Je semblais perdre l’instant magique de quelques instants plus tôt, je ne voulais pas le perdre… Je me dirigeais vers le salon et pénétra dans la pièce au moment ou elle semblait servir le sake. Arrivant dans son dos, je posais ma main sur la sienne en soufflant « Ne te venge pas sur l’alcool… » avant de la retourner, de manière à ce qu’elle me fasse face en venant quérir son cou en glissant ma main dans ses cheveux, l’autre se baladant simplement au niveau de sa taille pour la préserver contre moi. Soupirant, soufflant un léger air chaud sur son échine semblant être le dernier de mon existence, je me détachais d'elle, l'observant de haut en bas, sentant comme un poids sur ma poitrine, sur mon cœur mort, me laissant transparaitre comme un sentiment de renaissance, comme ci ce dernier c'était remit à battre, et ciel, c'était douloureux.

« Qu’attends-tu de moi ? Tu sais que je suis, et tu ne réagis pas ? Pourquoi… ? »





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Lun 21 Jan - 0:20


Je servais le saké et il m’en empêcha en posant sa main sur la mienne. Décidément, ce début de nuit n’aller pas être aussi plaisant que l’après midi. C’était à prévoir. Oui, ne pas me venger sur l’alcool, pourtant il est un bon remède à ce genre de problème, boire un coup, retrouver la joie. C’était ce que je voulais, faire en sorte que tout redevienne comme cette après midi, dans mon ignorance totale ou je ne sais pas qui il est. Mais désormais c’était impossible. Il me retourna, de façon à ce que je sois face à lui. Ces mains ce baladait sur moi, dans mes cheveux, sur ma taille, et, bizarrement, je ne voulais pas m’en empêcher. Il posa des questions, des questions justes. Oui, il avait raison, et le temps de réfléchir était arrivé. Mais réfléchir fait mal, très mal. Je le regardais ouvrant légèrement la bouche. Une larme coula sur ma joue gauche rapidement suivit d’une autre avant que d’autre apparaisse sur la droite. Ce n’est pas que je ne réagissais pas, non, c’est que je ne savais pas comment réagir. Il faisait partit des hommes avec qui j’aurais bien aimé passer beaucoup plus de temps, avec qui j’aurais bien aimé rester. Mais aussi ceux que je détestais par-dessus tout. Lentement, j’appuyais ma tête contre son torse. Mes larmes coulant jusqu’à mon menton avant de s’écraser sur le sol.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -Je sais pas… Je sais pas quoi faire…. Je sais pas comment réagir…. J’attend rien de toi…. je suis marine et tu est pirate…. mais j’ai passé une des meilleurs après midi de ma vie.

Ma voix était emplie de détresse. Entrecoupé par des sanglots. C’était impossible que je l’accompagne la marine me tuerais. Mais c’était aussi impossible qu’il reste car si il ce faisait découvrir cela signerait son arrêt de mort. Un amour impossible à moins de risquer sa vie et la, tout de suite, je n’étais pas prête à cela. Je levais vers lui un visage plein de larme et murmurais d'une voix suppliante.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -Dit moi ce que je dois faire.

Et oui, je n’aimais pas réfléchir, je détestais par-dessus tout me prendre la tête et la, j’y étais obligé. Une chose qui n’aurait jamais du arriver. Je devais trouver quoi faire sinon, rien n’irait, cela finirait mal. Mais je ne pouvais pas le suivre, pas maintenant.




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Lun 21 Jan - 7:54
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J’avais lancé là, en elle, comme une sonnette d’alarme. Je faisais maintenant partie dans son être, en elle, comme celui qui a perturbé ses habitudes, ses croyances et espérances, mais mieux vaut se tromper qu’être dans le tord toute sa vie non ? Elle pensait les pirates foncièrement mauvais, assassins, je n’étais pas de ceux-là moi. Déjà j’étais second, j’écoutais les ordres qui me plaisaient, nous ne tuions que les enfoirés et ceux qui sèment désolation, celui inclus malheureusement la marine dans bien des cas. Mais je ne pense pas qu’à ce moment, lui faire des révélations sur la marine et les pirates était la meilleure chose à faire. Je l’observais, voyant cette première larme naitre dans ses yeux avant qu’elle ne pose son front contre mon torse, pleurant simplement, elle semblait totalement perdue. Je pouvais le comprendre, moi-même plusieurs fois dans l’après midi j’avais pensé à rester, mais étant plus terre à terre et certain de son identité j’étais un peu plus réaliste. Elle avait peut-être déjà envisagé des choses plus sérieuses ? Ma main passa dans sa nuque, l’autre dans son dos, la gardant contre moi un temps en lui souriant du fond du cœur, faiblement, mais honnêtement.

-Je sais pas… Je sais pas quoi faire…. Je sais pas comment réagir…. J’attends rien de toi…. je suis marine et tu es pirate…. mais j’ai passé un des meilleurs après midi de ma vie.

« Tu sais, tous les pirates ne sont pas mauvais, Jula, regarde moi… Et mon capitaine à un sens de la justice encore plus aiguë que moi… C’est un ancien marine. J’ai aussi passé une bonne journée, et pour rien au monde je ne voudrai changer cela… » Finalement, elle releva son visage pour plonger un regard humide dans le miens, accentué d’une voix triste, suppliante, exprimant là toute sa détresse. Ça me mettait mal à l’aise quelque part, mais d’autre, j’étais heureux de pouvoir voir quelqu’un pleurer ce que je suis, ce que nous étions et allions devenir.

-Dit moi ce que je dois faire.

« … Aime-moi, attends-moi Jula… » Ma main passa sur sa joue pour sécher ses larmes. « Je t’emmènerai en mer, tu te rendras compte par toi-même de ce qu’est la vraie justice, ainsi que la liberté, mais il est encore trop tôt… Je reviendrai te chercher, mais ne me demande pas de t’oublier s’il te plaît… » Finalement, légèrement hésitant, mes lèvres vinrent quérir les siennes une fois de plus en un baiser doux et chaleureux, emplit de tendresse, se volant rassurant et comme pour signer cette promesse que je venais de lui faire. « Je te protégerai, je ne laisserai personne te faire du mal, mais il est trop tôt pour que tu ne m’accompagnes Jula… ». Glissant ma main sur sa nuque, je vins nicher ma nuque dans son cou pour respirer son odeur, gouter une fois encore à sa peau avant d’en perdre le goût, jour après jour, jusqu’à ce que finalement nous puissions nous revoir. Je la gardais contre moi, encore, toujours, désireux de ne l’avoir que pour moi, pour toujours. Laissant mon être jouer avec le sien, je la poussais légèrement sur la table pour l’y faire s’assoir, toujours collé à elle…





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Lun 21 Jan - 20:34


Il me répondit rapidement. Lui ne semblait pas vraiment avoir d’hésitation sur cela. Il savait quoi faire. Sa main passa sur ma joue séchant mes larmes. Il continuait de parler disant qu’il m’emmènerait, mais pas tout de suite. Afin que je découvre la vraie justice et la liberté. Une justice que pour le moment j’étais certaine de suivre bien que la liberté ce n’était pas encore sa. Il est vraie que la marine et assez strict et que faire quelque chose qui en sort un tout petit peu conduit la plupart du temps au corvée. Mais la « liberté » n’était pas pour tout de suite, oui, il ne pouvait pas m’emmener. De toute façon j’aurais sans doute réussis à refuser, oui, je ne pouvais pas partir comme ça. Et je connaissais le sort réservé au déserteur. Prime et poursuite. Je savais parfaitement que je n’avais pas la force de résister a une poursuite, rien que ma puissance de combat était minime par rapport a mes supérieurs. Il m’embrassa m’empêchant de lui répondre, doucement, un baiser plein de tendresse et lorsque cela s’arrêta j’étais calmé. La phrase qui suivit me fit sourire légèrement. Au fond de moi, je le savais, je voulais être avec lui. Oui je l’avais vue ce battre et j’étais sur qu’il cacher une puissance bien supérieur à ce qu’il avait montré. Glissant sa main sur ma nuque il vint nicher la sienne contre mon cou me poussant doucement sur la table pour m’y faire assoir. Je me laissais faire.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -Je t’attendrais.

Je venais de murmurer à son oreille, comme une promesse sans fin. Oui, j’étais marine, il était pirate. Je détestais les pirates mais, étrangement, je venais de tomber amoureux de l’un d’eux. Un amour qui me faisait mal mais je décidais de revenir a mes habitude. Agir et ne pas me poser de question. C’était tellement plus simple, tellement plus facile à gérer. Lentement, je passais ma main gauche dans ses cheveux, descendant doucement dans son cou. L’effleurant tout juste. J’étais bien. J’ignore combien de temps ce moment duras. Ni combien de temps je restais immobile ma main dans son cou. Mais ce que je sais, c’est qu’un magnifique gargouillement sortit de mon estomac. Après la colère et que mes narines ais capté l’odeur du repas. Cela m’avait donné faim. Je murmurais a nouveau dans son oreille.

Que du bonheur [PV: Tsukiyo no Hato] 12310
    -Tu ferais mieux de partir maintenant. Quand tu sortiras, prend à gauche et arriver à la grande rue à droite. Cela te mènera directement au port.

Oui, au final il valait mieux qu’il parte maintenant, de façon à ce que la séparation ne soit pas trop dur, que je parvienne à la le supporter. Lentement, je m’écartais de lui signifiant ainsi que ce serait plus facile pour moi. Oui, l’attendre serait long, une éternité. Mais cela me permettrait de refaire mon point de vue sur le monde. De revoir ce que juger bien ou mal. Et ainsi de pouvoir l’accompagner. Mais pour cela, il fallait m laisser le temps. Pas mal de temps.




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Lun 21 Jan - 21:10
J'ai faim !
"Je rembourse en nature..."




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Une rencontre prédestinée, un cadeau du monde fait à deux êtres que tout semblait opposer. Et malgré tout. Soupirant doucement, je la laissais passer sa main dans mes cheveux avant de venir effleurer mon cou. J’aurais pu l’hypnotiser, faire en sorte qu’elle oublie tout ce qui c’était passé durant cette journée, mais cela n’aurait pas été honnête, ça m’aurait surement fait plus de mal que de bien. Finalement, elle vint se détacher de ma personne, me faisant fi de partir. C’était surement la solution la plus sage oui, partir après une nuit à ses côtés risquait d’être d’autant plus difficile, pour elle comme pour moi. Je lui adressais un léger sourire avant de, sans prendre la parole, me diriger dans la chambre pour prendre mes katanas que je vins attacher à ma ceinture. Je voulu repasser par le salon pour la revoir avant de m’éclipser, mais ce n’était surement pas la chose la plus sage à faire. J’étais torturé intérieurement entre ce que je désirai, ce que je laissais entrevoir et ce que j’étais vraiment. Elle m’avait vu, elle, sous mon jour le plus vrai possible, le plus plausible, celui que je suis au fond, sans compromis, sans arrières pensées, sans attente, sans le simple but de me nourrir. Offrir, faire plaisir, s’offrir au final soi-même corps et âme pour plaire à la personne qui nous plaît et pour qui l’on sourit. Je vins me mordre violemment la lèvre inférieure en baissant légèrement la tête, inconsciemment, je laissais partir deux mots d’entre mes lèvres, à peine audible, si bien que moi-même je ne me souviens pas les avoir entendu. C’est après cela que la bruit de la porte d’entrée ce fit entendre. Me voilà donc à l’extérieur. Allons bon. Je souriais à moi-même, face à ma pathétique couardise, finalement, j’aurais pu faire plus, non ?

L’emmener avec moi, de gré ou de force ? Lui prouver par A plus B que mon monde est celui de la liberté, le vrai, du bonheur d’être en mer et du sens de la justice véritable ? A quoi bon ? Elle aurait tout le loisir de le découvrir par elle-même, et ce jour-là, ce jour où elle aura acquise une maturité suffisante des réalités, je reviendrai la chercher pour l’emmener en mer à nos côtés. Patience est mère de vertu. Enfilant ma veste, je vins caresser mes katanas du bout des doigts. Finalement, je ferai peut-être mieux de troquer ses vêtements contre quelque chose de plus léger, me permettant de me battre réellement. J’avais une personne de plus à défendre maintenant, je ne pouvais pas laisser s’éparpiller mes forces à cause d’éléments matériel. Je m’enfonçais dans les rues, par les passages qu’elle m’avait indiqués, pour finalement me retrouver face au port, face à mon navire. J’en avais fais du chemin depuis que j’étais revenu sur les seas, j’avais rejoins l’équipage du phénix et j’avais été confronté à la révolution, pour finalement m’y affilier. La, East Blue, j’avais trouvé un potentiel menuisier et un femme dont la compagnie me faisait simplement me sentir bien, me faisant simplement oublier les réalités trop dures à supporter pour ne faire face qu’à l’instant présent d’être avec celle qui peut nous faire tant de bien, et l’instant suivant tant de mal. Une personne dont on veut prendre soin, une relation à entretenir. La lune était haute dans le ciel cette nuit-là, et c’est sifflotant un air pirate que je remontais sur mon navire pour retourner vers Nakata. L’aventure allait devenir réellement vivante à compter de ce jour. Je me donnais quelques mois avant de retourner dans cette maison, pour venir la serrer de nouveau dans mes bras, d’ici là, j’allais simplement vivre ma vie comme si de rien n’était, sans pour autant oublier.

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Mar 22 Jan - 9:48


Il me lâcha. C’était une bonne chose, j’en étais certaine. Oui, au final, moins il restait moins ce serait difficile de se séparer. Un simple sourire et il ce détourna. Un sourire qui voulait tout dire qui prévoyait un retour dans l’avenir. Oui, il reviendrait plus tard. Je restais appuyer contre la table, je n’avais pas la force d’aller le voir, lui dire adieu. J’entendis la porte s’ouvrir puis ce refermer. Il était partit. C’était finit. Non, ce n’était pas finit, c’était seulement le point de départ d’un immense changement dans ma vie. Au fond de moi, je le sentais, je ne pourrais pas l’oublier. Non, ce n’était pas possible pour moi. Je pris la petite carafe de saké et la portais à mes lèvres. Plusieurs gorgées coulèrent dans ma gorge, brûlant tout sur son passage. Je relevais mon pantalon et verser le reste sur mes jambes pour désinfectait. Le saké devenait rouge récoltant le sang des plaies. Cela brûlait, différemment. Mais ce n’était pas désagréable, loin de là. Cela occupait mon esprit qui parvenait au moins à comprendre cette nouvelle information. Lentement, je me dirigeais vers la salle de bain, fouillait dans l’armoire et en sortit des bandages et de la crème cicatrisante. Elémentaire pour guérir. Lentement, je massais mes jambes avec la crème puis, je les enveloppais de bandage pour les protéger.

Lorsque j’eus terminé j’allais mettre mes chaussure pour éviter de me couper à nouveau, je pris un baller et retourner dans le salon. Soupirant en voyant le carnage, je commençais à balayer. Un amas de verre de plusieurs cm de haut était présent à la base des armoires. Quelques assiettes, principalement des plats en tout genre. Des couteaux de cuisine aussi était présent et je comprenais désormais certaine de mes coupure largement plus large que les autres. Mais qu’en surface. J’avais eu de la chance mais, j’en garderais des marques pendant plusieurs mois. Cela c’était sur. Je me contentais d’en faire un tas dans un coin, trop grand à mon goût. Cela allait me coûter chère. Très chère mais bon, ce n’était pas le plus important. Lorsque le sol fut niquel sauf dans le dit coin, je m’appuyais contre le balai le pliant dangereusement. J’étais fatigué. Je regardais ce que j’avais cuisiné, intact, le repas avait échappé au carnage. C’était parfait. Ho bien sur il devait être froid mais cela restait mangeable. Et puis j’avais la flemme de le réchauffer. Prenant la nourriture avec les mains, je mangeais directement dans la poêle. Je n’en mangeais même pas la moitié, de toute façon, c’était un repas prévu pour deux.

Laissant les restes sur place, je m’essuyais lentement les mains avant de me diriger vers le hamac, oui, il faisait encore nuit. Toutes ses émotions m’avaient fatigué et il fallait que je me repose. Sans doute aurais-je une visite dans la journée d’un marine venant pour connaître la raison de mon absence. Une absence que je pouvais désormais justifier avec le carnage qui restait par Terre et l’état de mes jambes. M’allongeant dans le hamac je regardais mes mains pour me calmer. Regarder les lignes des paumes. Toujours les même, c’était calmant. Et c’est à ce moment la que je remarquais que mes phalanges étaient écorché. Décidément, je m’étais bien abîmer en m’énervant. Après plusieurs minutes à regarder mes main, je fermais les yeux, enclenchais un léger balancement du hamac et m’endormis en quelques secondes.




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