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Sam 31 Oct - 0:20
C’était l’automne sur Lunas. Le paysage ne changeait pas tellement, à l’exception de la partie montagneuse au pied de laquelle de denses forêts s’habillaient aux couleurs orangées. Quelques animaux courraient encore dans leurs terriers, ou s’amusaient à parcourir les branches pour se faire la cour. Les lieux étaient emprunts d’une magie propre à ce qu’on pouvait lire dans les contes pour enfants. Quelques hérissons s’approchaient de leurs futures réserves qui tombaient au sol, et allaient les ramasser pour les cacher entre les racines des arbres. De temps à autre, un écureuil plus velu que les autres narguait les passants avec sa queue, jouant au-dessus de leurs têtes. Certains s’arrêtaient et lui souriaient, sans comprendre ses réelles intentions menaçantes, qui ne prenaient finalement jamais plus forme que cela.
Le Mischief était en train de se balader lui aussi dans ce paysage étranger. Il avait fui North Blue et la pression de cette époque pour retrouver des terres plus amicales, sur Grand Line. Il y effectuait une sorte de pèlerinage avant l’heure, dans le but de se trouver, et de trouver les raisons pour lesquelles il continuait d’exister ici-bas. Avant cela, avait-il jamais quitté les Seas Blues ? Quelques rares fois, il était venu s’enquérir des nouvelles des habitants de Grand Line lui-même, mais n’était jamais allé plus loin que Paradise.
- Qu’est-ce que c’est paisible, faisait-il en fermant ses yeux et en écoutant le vent passer entre les arbres, soulevant quelques feuilles de manière élégantes.
Elles dansaient autour de lui dans un tourbillon, tandis que quelques animaux s’étaient mis à le regarder comme une curiosité. Il reprit sa route sans prêter attention à eux. Plus loin, un petit parc était aménagé au pied de la montagne, et une fontaine avait été érigée pour que les couples puissent s’y recueillir, y faire même leurs demandes en mariage. Il se demanda comment Boern allait, et reprit sa route pour s’asseoir sur l’un des bancs en bois. Ce jour-là, il portait un manteau qui lui tombait jusqu’aux genoux, marrons, et une écharpe rouge. Il avait l’air d’un vieil homme, assis à observer le temps qui passait. Ses yeux détaillaient pourtant la population, comme s’il cherchait quelqu’un, ou quelque chose.
Il n’était pas seulement en pèlerinage, il était à la recherche de réponses. Le Constantinisme, religion d’état du Gouvernement Mondial, avait un défaut dramatique : celui de corrompre et de convertir des personnes qui n’étaient que de simples citoyens, et se révélaient être des dévots prêts à condamner à mort des âmes innocentes, comme il en avait fait les frais. Il voulait savoir s’il avait réellement eu raison de survivre jusqu’ici. Boern, le soldat qui l’avait sauvé, était sans cesse de ceux qui l’incitaient à vivre pour autre chose que la vengeance, et il se questionnait sur cette vengeance. Son regard se perdit dans les feuilles jaunes et rouges avant d’entendre les rires d’une petite fille qui attirèrent son regard.
Elle était avec ses parents. Le père s’amusait à la faire tourner dans ses bras, tandis que la mère avançait, les fixant avec une tendresse chaleureuse. C’était une petite famille parfaite. Et c’était une journée parfaite. Il ne pouvait rien se produire, n’est-ce pas ?
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Itazura D. Mischief
Agote Edel Dukke
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Sam 31 Oct - 14:42
Agote
Edel Dukke
UNE JOURNEE PARFAITE
Avec Itazura D. Mischief
1506 - Lunas - FlashBack
C’était un peu difficile mais il n’y manquait qu’un rien !
Amusée, une jeune femme aux cheveux verts observait une petite fille tentant d’attraper un livre placé trop haut sur une étagère. Malgré le mini-escabeau, l’adorable enfant n’arrivait pas à arracher l’ouvrage bleu de son antre. Devant son acharnement et ses valeureux efforts, la voyeuse était pleine d’admiration et fière de voir encore aujourd’hui des enfants si intéressés. Son corps se rua donc, gaiement, aider la petite fille.
« Hihi et voilà pour toi ! » « … » « Un livre sur les arbres de Lunas ? Comme c’est intéressant ! »
L’étudiante en science géologique et dendrologique redressa ses grosses lunettes rondes, et souriante, elle continua, malgré le manque d’expression et de parole de son interlocutrice :
« Si tu veux, je peux t’apprendre ! C’est l’un de mes domaines de prédilection ! On peut même aller dans la forêt ensemble si tu veux. Il n’y a rien de mieux que la pratique pour apprendre. »
La petite fille fronça légèrement le sourcil. Devant elle, une horripilante jeune femme, dont l’apparence lui donnait un air d’arbre vérolé avec son pull marron délavé, ses cheveux verts et ses tâches de rousseur, s’était permis de lui adresser la parole avec un air supérieur, après avoir démontré que la taille prouvait l’ascendant d’une personne par rapport à une autre. Gesticulant avec sa poitrine omnipotente, l’insolente suggérait que la duchesse Agote Edel Dukke n’était pas apte à apprendre et lire par elle-même un livre, et que sa personne était indispensable pour lui inculquer les bases de la dendrologie de Lunas. De plus, l’éclat de ses lunettes qui blanchissaient ses yeux jaunes lui donnait un air antipathique.
« Je ne peux pas aller dans la forêt. C’est interdit » « Heeein ? » « Mes tutrices veillent au grain. Depuis un accident survenu il y a un mois, elles refusent qu’on sorte de la ville. La bibliothécaire me laissera sortir que si une de mes tutrices viennent me chercher. » « Heeeein ??? C’est nul ! Les alentours de Lunas sont magnifiques ! Tant de choses à voir et à apprendre ! En plus on est en automne ! Si je t’accompagne, il ne devrait pas y avoir de soucis non ? »
La discussion était désagréable mais son contenu intéressa la petite fille. En effet, cela faisait un moment qu’elle voulait récupérer ses jouets qu’elle avait caché dans la forêt. Se rendre compte de leur état depuis était important. D’autant plus qu’elle avait perdu tout moyen de les contacter. Les restrictions que lui imposait les trois femmes qui s’occupaient d’elle et des autres enfants étaient étouffantes et rendaient ses opportunités minces.
« Essayez alors… »
C’est ainsi qu’une petite fille blonde adorablement mignonne se balada en compagnie d’une jeune femme gaie et souriante dans la forêt orangée de Lunas.
« Alors, tu le sais sûrement mais la majeure partie de la forêt est un marécage […] La route que nous prenons ressemble davantage à une forêt classique, avec un sol beaucoup moins humide mais qui n’est pas non plus sec. Au contraire […] »
Marchant, la professeure improvisée commença son cours. Bientôt, elles allaient arriver au parc. L’endroit demeurait aménagé pour les promeneurs, contrairement à d’autres parties de la forêt beaucoup plus sauvages. Quelques chemins grands et bien tracés partaient dans différentes directions : le port, la mer, des points de vue, … Tandis que d’autres semblaient plus obscurs et il était impossible de dire s’ils avaient été tracés par des hommes, des sangliers ou d’autres créatures mystérieuses. Malgré tout, la petite fille était ravie d’apprendre toutes ces choses et il s’avérait que l’étudiante ne manquait pas d’ajouter des détails qui n’étaient pas dans le livre, comme des explications concernant les sols et sur les champignons qui jouaient un rôle dans la croissance des arbres. Elles s’arrêtaient souvent pour observer. Au parc, la jeune femme précisa qu’elle voudrait faire une pause, profitant des bancs qui étaient normalement à disposition là-bas.
Arrivée, l’étudiante s’étira, encore toute souriante. Cette journée était très agréable et elle appréciait beaucoup la compagnie de l’étrange petite fille. Les arbres aux feuilles colorés qui s’éparpillent au sol, l’humidité et la fraicheur ambiante, les animaux, la jolie famille qu’elle venait de voir, tout lui prouvait encore une fois que la vie était magnifique. Cependant, elle ne s’attendit pas à retrouver dans ce tableau un jeune homme assis sur un banc, dont le visage et l’allure lui firent trembler le corps et rougir les joues en un instant. Son envie de lui parler la démangeait.
« Oh … A… Agote, tu as vu ce jeune homme ? On pourrait.. Hmm. Euh… l’inviter à notre cour ? » « … »
L’absence de réponse de la fillette ne l’avait pas du tout aidé, espérant une approbation extérieure pour l’encourager à l’aborder. Hésitante et tremblante, la jeune femme continua à lancer des regards au jeune homme, puis à les retirer successivement, incapable de prendre une décision.
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Agote Edel Dukke
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Dim 1 Nov - 19:26
Il était assis, obnubilé par le mouvement des feuilles qui valsaient devant lui, transportées par le vent. Son sourire se détachait parfois de ses lèvres de manière inaperçue, et il imaginait les danses qu’il aurait pu réaliser. Il n’était pas un très bon danseur, mais il en connaissait quelques-unes, à l’époque où il accompagnait la princesse dans ses cours d’étiquettes au lieu de jouer. Cette pensée lui arracha une vie triste, tandis que ses pensées divaguèrent en direction de la jeune fille qui n’avait jamais pu grandir. Ah, qu’est-ce qu’il s’en voulait de ne pas avoir été là… Et pourtant, le fil de ses pensées s’arrêta quand il entendit un son derrière lui. Un couinement, un bruit qui ne lui était pas familier, lui qui n’avait pas énormément de forêt là où il habitait autrefois.
Il se retourna tout doucement, et une image se matérialisa devant lui : un marcassin. Un petit sourire s’étira sur ses lèvres, et il tendit cette fois-ci la main vers laquelle l’animal confiant se dirigea. Il avait toujours eu un truc avec les animaux : et cela semblait fonctionner. Depuis qu’il avait son Zoan, c’était d’autre plus présent qu’il était capable de comprendre plus ou moins ce qu’ils étaient. Il se sentait en tout cas plus proche d’eux.
- Viens ici, bonhomme, ajouta-t-il.
Et l’animal entendant sa voix leva sa tête, passant de la main au bras, du bras à l’épaule et de l’épaule à la tête. Il renifla, voyant cependant que la personne en face de lui n’était pas de la nourriture. Finalement, après un instant d’hésitation il s’approcha à nouveau, comme à la recherche d’un contact qu’il obtint. La caresse sembla lui plaire, et les doigts de Chief parcoururent la fourrure drue du bébé animal.
Quelques heureuses secondes se poursuivirent ainsi sous le regard insistant de la jeune femme et de la petite fille ennuyée, avant que le marcassin ne se rende compte qu’il avait perdu de vue son objectif. Il s’ébroua, sans pour autant qu’il y ait d’eau sur sa peau, et repartit à la recherche de glands qu’il rapporterait sûrement aux siens. Ainsi allait la vie, se disait le jeune homme en se relevant doucement et apercevant enfin la personne qui le fixait. Il lui adressa un sourire et prit le parti de se diriger vers elle.
Il avait vingt-et-un ans. Ses cheveux châtains dominaient en bataille un crâne bien formé, tandis que ses yeux ocre rappelaient l’éclat de l’ambre dans des propensions tout aussi bonnes. Il avait un air taquin qui ne quittait jamais ses traits, sauf quand ils devenaient plus graves, ce qui ne semblait pas se produire. Ses joues étaient légèrement creusées, tandis que son mètre quatre-vingt lui donnait souvent l’ascendant sur les femmes, sans pour autant que cela s’exprime en une quelconque agressivité. Il semblait assez juvénile, ou plus exactement un jeune homme en pleine fleur de l’âge.
S’approchant du duo incongru, il ne put s’empêcher de remarquer la jolie petite fille aux côtés d’une femme plus âgée, et porta alors son attention sur elle :
- Mesdemoiselles, le temps est agréable aujourd’hui. J’ai vu un marcassin à l’instant, je ne savais pas que les animaux à Lunas étaient aussi sociables.
Ils ne l’étaient normalement pas, comme partout ailleurs. Celui-ci était-il une exception ? S’agissait-il d’un don que Chief possédait ? En tout cas, cela valait peut-être le coup d’étudier la question. Ce n’était pas aux projets du garçon qui prenait un jour de repos dans ses péripéties, ou plusieurs.
- Si je peux me permettre, qu’êtes-vous venus faire dans cette forêt ?
Il posait la question à la femme la plus âgée, mais si sa réponse était incomplète il tournerait son regard vers la petite blonde, dans le but de quémander plus d’informations.
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Itazura D. Mischief
Agote Edel Dukke
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Mar 15 Déc - 20:10
Agote
Edel Dukke
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1506 - Lunas - FlashBack
La jeune étudiante n’en pouvait plus : en plus d’être absolument charmant, le jeune inconnu était encore plus beau vu de près et semblait apprécier les animaux. Elle tressaillit à la mention du marcassin, imaginant cette adorable petite bête caressée par cet ange aux cheveux argentés. Cependant, cette jeune femme du nom de Colinne était incapable de donner son nom, ni de répondre au jeune homme qui lui secouait le cœur. Son esprit ne pouvait pas s’empêcher non plus de partir dans différentes rêveries sucrées, lui faisant perdre peu à peu sa perception de la réalité.
Agote Edel Dukke, quant à elle, derrière son regard impassible, maudissait le jeune homme d’être venu les rejoindre. Une écervelée lui suffisait déjà, elle n’avait pas besoin d’un boulet ami des animaux en plus. Cependant, quelques secondes plus tard, le nouveau venu trouva tout à coup une place intéressante dans ses pensées. En effet, il ferait un parfait candidat pour attirer l’attention de la jeune femme et laisser l’occasion à Agote de s’échapper seule dans la forêt. Il fallait juste que cet étranger ne lui adresse pas particulièrement d’attention. Ce qui n’était pas gagné car ses légers coups d’œil sur la petite fille démontraient une certaine curiosité à son égard – en espérant que ce ne soit pas autre chose.
Ainsi, dans un moment fort embarrassant, Colinne s’exprima
« Hmm … Euuh … Aaaah … »
Tandis qu’Agote se prépara à son simple plan d’entremetteuse pour mieux se faufiler dans la forêt.
« Bonjour monsieur, je m’appelle Agote et elle c’est Colinne »
« Aaaah, oui oui Colinne … Et vo ? toi ? Voous ? »
Ça n’allait pas être gagné avec la grande perche qui l’accompagnait. Et prononcer cette phrase l’horripilait au plus haut point :
« Colinne m’apprend la dendrologie, la science des arbres ! C’est très intéressant ! Vous connaissez ? Vous voulez venir avec nous ? »
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Itazura D. Mischief
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Lun 28 Déc - 0:07
La jeune femme n’avait d’attraits que sa beauté, de toute évidence. Elle était incapable de formuler une phrase, mais le Mischief mit cela sur le compte du stress. Peut-être avait-elle besoin de quelques minutes pour prendre pleinement conscience de la situation… Ou peut-être pas. La forêt alentours était une véritable mine de bruits en tout genre : les petits champs des oiseaux, le bruissement des feuilles, l’agréable bruit des branches brisées qui indiquaient la proximité des animaux… Il avait beau être un Zoan, Itazura n’avait jamais poussé son lien avec les animaux très loin. Et le nombre de tigres à dents de sabre était relativement limité. Un petit sourire s’étira sur ses lèvres tandis qu’il écouta le chant de parade d’un oiseau… Mais il devait se concentrer, et ce sourire pourrait être interprété comme un petit charme à l’égard de la demoiselle, un encouragement maladroit.
Ce fut la petite fille qui parla le plus, et qui semblait être l’interlocutrice parfaite. La fameuse Colinne était une jeune femme charmante mais peu douée dans l’art de l’éloquence. Itazura fit mine de réfléchir un instant, mais il n’avait rien de mieux à faire à l’instant. Il était en quête de lui-même, alors cela n’avait pas d’importance qu’il étudie les arbres.
- La dendrologie, en voilà un mot compliqué pour une… Je suis désolé, de vieilles habitudes, tu es très éloquente. Je connais quelques petites choses, mais je doute d’être doué dans ce domaine. Si ça ne te dérange pas, je vais venir avec vous. Au besoin, je pourrai vous protéger des animaux sauvages. S’il y a des marcassins, il y a peut-être des sangliers.
Il n’avait pas le physique du garde du corps, certes, mais il était doué dans ce qu’il faisait. Se battre n’était pas un problème, mais pour en arriver là il aurait fallu que les animaux commencent à passer la barrière de la peur qu’il imposait en forme animale. S’il fusionnait avec ses habits, il était au garrot suffisamment grand pour dominer n’importe lequel des animaux des forêts de Lunas. Il n’y avait donc pas de quoi s’inquiéter…
Les tas de feuilles cachaient sûrement quelques réserves que les animaux avaient faites. Il devait y avoir quelques chênes et noisetiers, étant donné la proximité des fruits. Les feuilles étaient différentes sur cette île, car elles avaient dû s’adapter au climat de celle-ci, par rapport aux arbres du même nom sur South Blue dont les fruits étaient souvent plus sucrés. L’automne avait du mal à venir sur son île natale.
- Je vous laisse nous guider, Mademoiselle Colinne.
Avec la différence d’âge, il tutoyait inconsciemment – ou consciemment, il aurait été ignorant de supposer qu’il ne savait pas ce qu’il faisait dans ses interactions sociales – la jeune Agote, tandis qu’il vouvoyait Colinne.
- Je m’appelle Chief, dit-il. Je m’excuse pour la présentation tardive.
Il avait commencé à s’avancer vers l’une des routes qui menait à l’intérieur de la forêt. La multitude d’arbres sur le chemin donnait l’impression qu’il y avait une variété impressionnante, alors qu’en réalité ils n’étaient pas si nombreux que cela. Il y avait quelques bouleaux aux feuilles jaunes, à l’écorce blanche et craquelée. Il y avait quelques éléments qu’il connaissait bien sur cet arbre, à cause d’un petit problème de santé quelques années auparavant. Certes, il y avait moins de bouleaux là où il vivait, mais on lui avait ramené de l’écorce pour faire baisser sa fièvre.
- Comment en êtes-vous arrivé à étudier les arbres, Mademoiselle Colinne ? Fit mine de s’intéresser Itazura dont le regard voyageait entre les deux jeunes femmes.
Ils allaient pouvoir avancer à l’intérieur de la forêt en quittant le sentier. Les animaux semblaient pour l’instant se tenir écarter : un point positif pour ceux-ci.