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Sam 14 Nov - 2:27
Le Retour du Cirque [1]
L’archipel Shabaody. L’endroit où commençait et se terminait le rêve de beaucoup d’aventuriers, de forbans, de criminels dans ce monde. Sakuga avait posé les pieds sur l’archipel pour la première fois, il y a un moment mais aujourd’hui c’était pour une raison tout autre. Il était venu directement pour réaliser à la fois un pèlerinage à l’église qui avait été construite sur l’archipel après que la purge ait eu lieu. Si l’ancien criminel n’était pas encore constantiniste à l’époque de cette fameuse purge, il aurait aimé qu’elle se passe autrement. Beaucoup de criminels avaient tout simplement péri ici sans avoir eu la moindre de chance d’atteindre une rédemption qui les aurait permis de devenir des hommes meilleurs.
Après avoir réalisé sa prière dans cette église, le bretteur sortait donc pour visiter un peu l’Archipel ou plutôt un des anciens grooves de non-droit. Sa volonté était de bien vouloir aider et se rendre utile pour ceux qui auraient été des victimes ou des dégâts collatéraux d’une attaque commise par les siens. Ainsi le bretteur fut doucement attiré vers les lieux du drame qu’il y avait eu quelques mois auparavant. Tout semblait bien plus calme et paisible dans cet endroit si particulier. Il donnait un coup de main par-ci en aidant des gens à porter des caisses ou en offrant des morceaux de pains aux petits mendiants. Il était étonnant que si proche de Marijoa la terre sacrée divine, il existait une telle misère. Le bretteur voulait néanmoins donner un coup de main et apporter la lumière de son culte sur l’archipel tant qu’il le pouvait.
C’est alors que le bretteur vit une affiche qui attira son attention, un concert caritatif était organisé non loin de là pour les personnes qui avaient soufferts. Une intention bien louable de la part de cette troupe musicale pensait alors le bretteur. Il n’aimait pas réellement la musique au départ mais il allait quand même lâcher un peu d’argent pour assister à ce concert afin de continuer sa bonne œuvre de charité. C’est donc en donnant de l’argent à la personne qu’il avait désormais son billet pour le concert de la soirée. Il se demandait bien quel type de musique pourrait y être joué, peut-être de la musique classique pour attirer les nobles ? Ou alors c’était un concert populaire avec des jeunes artistes prometteurs ?
« Allez allons voir ça de nous même après tout. », dirait-il alors à haute voix.
Il allait donc prendre au milieu de la salle de concert et se mit alors en place en attendant que la représentation des artistes ne commencent…
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Sakuga Keigo
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Sam 14 Nov - 22:33
Je vous présente Sakuga Keigo !
Cela faisait un moins de six qui s'était écoulé depuis la prise de Maisestsu et mon périple a travers les mers en quêtes de changement, j'avais arpenter les océans non pas cette fois afin de faire évolué mes idéaux anarchiste mais bien pour faire évoluer et faire découvrir ma musique a tous. Je profitais ainsi a chaque escale pour organiser des concert soit gratuit soit a but caritatif afin de venir en aide au population local. Et voilà que j'étais de retour sur l'Archipel Shabondie, certes un lieu qui avait connu beaucoup de dommage dernièrement mais qui de ce fait avait également besoin par la même occasion de soutien, notamment les personnes qui avait subit de plein fouet les dégâts et la désolation induite par la purge constantiniste.
J'était entrain d'observé depuis un recoin sombre de la salle la foule entrée au fur et a mesure, ayant pris ma forme de chat afin de ne pas être reconnu et de pouvoir étudier un peu le public du jour afin d'adapté ma musique au mieu, le tout pour les emmené litteralement en voyage sur mon petit nuage musicale. A ce moment la un visage me marqua, une chevelure blonde et ces yeux bleu, il avait certes vieillie et semblait un peu plus apaisé qu'a l'époque, il n'en resté pas moins que je reconnaîtrais ce visage entre mille. Que faisait Sakuga Keigo a un de mes concerts ? Lui qui a une époque me répété sans cesse qu'il détestait ma musique et particulièrement la mienne, que faisait-il ici ? Je commencerais alors a bouger, le suivant d'abord de loin a travers la foule je finirais par le rattraper doucement, me frottant a ses jambes comme tout bon chat amical l'aurait fait, j'aurais même droit a une caresse avant de prendre la poudre d'escampette, voyageant entre les jambes de la foule pour me diriger vers les coulisse. Le concert allait pouvoir débuter et tandis que je me préparais et donner des instruction a mes musiciens un sourire radieux se développa sur mon visage. J'avais une idée en tête vis a vis de cet ancien camarade que, comme Akira et Vincent, je considérais comme mon frère.
La salle commencerait par être plongée dans le noir, nous laissant l'occasion de monter en scène tandis que je commençais a gratter délicatement des notes sur ma guitare a un rythme jazzy, laissant ma voit prendre enfin son envole d'une voix suave et entraînante tandis que la lumière du projecteur se déployait peu a peu sur moi et mes acolyte. La musique exploserait alors un peu plus, gardant toujours cet aspect jazz tout en y incorporant une pointe rock je laisserais la mélodie me transportait autant qu'elle pouvait transporter le publique qui commencerais a chanter et a applaudir a la fin du morceau. J'embrayerais ainsi sur différent morceau tantôt funk parfois bien plus rock, par moment romantique a d'autre mélancolique je ne me lasserais de jouer donnant toujours plus de ma personne dans ces morceaux pour ces orphelins de la purge. Je finir enfin mon concert en apothéose
Le temps d'un instant la lumière se coupa, le temps de faire entrée sur scène un piano, j'avais depuis le début de ma tournée adopté un rituel, jouer une musique lié de prét a l'histoire récente de l'île qui m'accueillait, ici les note commencèrent a s'envolé délicatement tandis que je me remémorais mes propre souvenir de la purge, les cris, les pleures, les explosions, la peine, la désolation. Tout remonter a une vitesse impressionnante me plongeant littéralement dans un état second mon chant fendit la salle perforant le cœur des amateur de musique présent au point que certain commencerait a sortir des briquets pour les faire volé au vent au rythme de ma mélodie qui irait jusqu'à m'arracher quelque larmes. Je finirait enfin le morceau sur une note déchirante suivit de l'acclamation général. Les lumière illuminerait alors entierement la scène, et je prendrais alors la parole :
« Je te remercie Shabondie, ou dois-je dire, les orphelins vous remercie. Pour être tout a fait honnète avec vous, ce concert n'aurait pas était possible sans un homme, présent ici ce soir dans cette salle. Il est trop modeste pour venir de lui même c'est pourquoi je vous demande un tonnerre d'applaudissement pour Sakuga Keigo, qui a eut l'idée de recueillir des fond pour la création d'un orphelinat pour les enfants orphelin de la purge. Je vous demande a tous de l'applaudir bien fort »
Et tandis que mon discourt prenait de l'ampleur l'un des projecteur de la salle se braquerais sur mon ancien camarade que je montrais du doigt dans la foule, prenant ensuite le temps de faire un signe de mains au public tandis que les applaudissement s'élever de plus en plus alternant entre mon nom et celui de Sakuga je prendrais la direction des backstage, m'installant tranquillement proche de l'entrée en m'allumant une cigarette et attendant tranquillement un Sakuga accompagner d'un probable sermon.
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Dim 15 Nov - 20:24
Le Retour du Cirque [2]
Alors qu’il avait pris place dans un endroit plutôt au milieu de la masse populaire pour rester discret due à son statut de commandant pour le gouvernement mondial le bretteur fut une étrange rencontre. Un petit chat était venu directement se frotter à sa jambe en ronronnant. Souriant alors le blondican s’abaissait alors pour caresser l’animal. Le bretteur aimait très honnêtement les animaux après tout eux aussi était doté d’une conscience bien que plus primaire que celles de l’espèce humaine, ils étaient tous amenés à évoluer. Ce chat deviendrait peut-être dans le futur, un père de famille ou un protecteur, c’était un animal qui allait vivre une belle vie. Cela rappelait l’endroit où Sakuga vivait désormais, Graou Island, toute les nuits les habitants se transformaient en hybride mi-homme mi-animal pour devenir des créatures sanguinaires. Il aimait profondément les habitants de l’île de Graou et se battait tout les soirs pour eux et ainsi essayait au maximum de les guider dans leurs choix au quotidien. Il était devenu un bienfaiteur se relevant alors et regardant l’animal partir. Il fallait maintenant qu’il essaye à minima de passer un bon moment même si il n’aimait pas très honnêtement la musique.
« C’est une blague ? »
Le bretteur venait juste de se rendre compte alors que les yeux mirent feux à la scène de la salle de concert. Des souvenirs qui explosaient, une mélodie qu’il connaissait, tout cela se mélangeait et l’envahissait du plus profond de son être, du plus profond de son âme. Il connaissait cette façon de chanter, il connaissait cette mélodie et tout ce qu’il s’en suivait tandis que le public adorait le concert qui se produisait le bretteur explosait intérieurement. Son monde s’effondrait comme si le temps s’arrêtait autour de lui, il ne prit pas beaucoup de temps à reconnaître que ce n’était que le Maestro de l’Anarchie qui se trouvait sur scène, Raki son ancien frère d’armes au sein des Psycho Circus. Si le Keigo avait ruminé pendant toute ces deux dernières années, la disparition du brun et d’Akira, il était en colère contre les deux criminels non seulement ils avaient continué leurs méfaits mais il y avait aussi la sensation d’abandon qui était encore là dans le cœur du bretteur. Il avait été trahi par les siens autrefois et c’est ce qui avait commencé à provoquer un sentiment de rédemption chez l’ancien pirate, il était désormais un commandant au service du gouvernement mondial avec une force bien plus grande que ses collègues. Celui qui se trouvait sur scène désormais était un criminel hautement recherché par les services du gouvernement mondial car il avait tout simplement tenu en échec un Contre-Amiral ici à Shabaody il y a déjà quelques mois de cela.
« Il doit mourir. », pensait-il en premier lieu alors qu’il essayait tant bien que mal de supporter la musique du Goshuushou. Si le Régicide devait mourir des mains d’un gouvernemental ce serait de celle de Sakuga. Il était l’une des preuves vivantes de son passé, une preuve vivante qu’il avait échoué autrefois et sa foi lui dicterait qu’il fallait que cette personne soit éliminée. C’était une décision qui n’était pas sage cependant pas en état, le bretteur n’était pas venu pour éliminer Goshuushou, il n’était pas préparé pour le combat. Il était après tout en pèlerinage ici à Shabaody, il fallait qu’il garde cet esprit de prière qui l’accompagnait. La non-violence était aussi une solution. Lorsque les projecteurs de la salle mirent la lumière sur le bretteur, il eut pour réflexe de cacher son visage avec la cape blanche qu’il l’accompagnait en toute circonstance. Il ne voulait pas être sous les feux des projecteurs, pas aujourd’hui pas maintenant pas après tout ce qu’il avait fait. Quelles étaient les intentions du dirigeant de Paradise en faisant cela ?
« T’es vraiment qu’un chien ça n’a pas changé. T’as profité de ta forme animale pour avoir des caresses le chat mal lavé. », dirait-il une fois qu’il aurait en vue Raki. Il était en colère mais il essayait de cacher cela par un sourire qu’il abordait quand il était encore pirate. « Pourquoi vous êtes partis ? Pourquoi vous nous avez abandonné ? Si je n’étais pas venu à Shabaody pour prier je t’aurais certainement attaqué sur le champ. Dis-moi pourquoi Raki.»
Il y avait beaucoup de rancœurs et de colère dans les paroles du bretteur. Il voulait comprendre pourquoi s’était-il retrouvé seul. Il voulait connaître les raisons du musicien, les raisons de cette haute trahison. Il voulait connaître l’histoire de son vieil ami.
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Lun 16 Nov - 0:44
Tout a commencé sur Shimotsuki Town !
Je ne pourrait m’empêchait de sourire en entendant la voix du blondican, il ne s'en était plutôt pas trop mal sorti pour s'extirper de la foule. Je lèverais les yeux vers mon ancien compagnon d'arme devenu a présent commandant de la Marine rien que ça ! Je pu m’empêcher de remarquer son sourire, pas besoin d'utiliser le haki de l'observation pour remarquer qu'il dissimulait une certaine colère derrière ce masque. La suite ne tarderait pas a me donner raison, sa voix était pleine de rancœur, ce que je ne pouvais que comprendre. Je tirerais longuement sur ma cancéreuse avant de soupirait logueument. Les évenement qui avait suivit notre départ a Akira et moi de l'équipage des Psycho Circus n'avait pas était forcément la plus joyeuse de ma vie, et ressasser tout ça n'était pas forcément la chose qui me faisait le plus envie, mais je lui devais bien ça. Je finirais mon soupire en lui faisant signe de la tête de me suivre, je prendrais la direction de ma loge avant de dire d'un ton calme et amical :
« Je suppose que tu veux la version longue blondinet ? Vas me falloir un verre et qu'on s'installe confortablement yen a pour un moment..... »
Je ne pourrait masquer complètement la légère pâleur qui s’imprimerait sur mon teint en repensant a ce que m'avait fait vivre mon père, a cette impression de mort imminente que j'avais éprouvé a ce moment la. Cette torture psychologique m'avait tenailler pendant des jours, brisant une partie de moi-même allant jusqu'à transformer une part de l'être que j'étais. Le regard fixe perdu dans la brume de ces souvenirs je ne sortirais pas un son de plus jusqu'à ce que je sorte deux verre et les remplisse de whisky, en tendant un a Sakuga je m'installerais sur un des fauteuils de la pièce m'allumant une cancéreuse, je commencerais en disant calmement :
« Pour être tout a fait honnête avec toi, tout a commencé a Shimotsuki Town, tu te souvient de Pernica que nous avions rencontré sur Dwarf Town ? J'ai cru l’apercevoir, déguisé certes, mais elle m'avait laissé un mot, une simple lettre qui stipuler, Gunther n'est pas mort. Le mot vous menaçait également tous de mort, et je n'ai pas voulu me résigner a vous méler a mes affaires encore moins vous traîner dans la déchéance qui a toujours était la mienne. Akira a vu le mot quand je préparais mes affaires il n'as strictement pas voulu me laissait y aller seul et tu sais a quel point il peut être buter quand il a une idée en tête. »
Je poursuivrait tranquillement lui expliquant tout dans les moindres détails, notre trajet de l'île au quatre Dojo, jusqu'à Logue Town, la rencontre sur Logue Town avec les Brandades de Kabi-yo et enfin l'affrontement entre Pernica, Akira, moi et Mélia. Je lui expliquerais tout, ma surprise de retrouver la femme que j'avais toujours aimé vivante alors que je la croyais morte, mais surtout son désir de me tuer, sa révélation vis a vis de son désir de me voir mort. Je lui expliquerais le pacte que j'avais passer avec Pernica me livrant a elle pour sauver la peau d'Akira.
Je m’arrêterais la deux minute le temps de boire une autre gorgé de whisky, et tiré un peu plus sur ma cancéreuse, mon teint deviendrais alors un peu plus pâle, mes yeux un peu plus vide, tandis que j’entamerais l'explication de ce que j'avais subit sur Ironfall, les quelques jours passé dans le cercueil de métal enterré dans le sol gelé de mon île natal, les retrouvailles morbide avec le visage sans vie de ma défunte mère dans un bocal de formol, je ne pourrais m’empêcher de versé une larme en repensant au sort qu'elle avait eut pendant tant d'années. J’enchaînerais sur la découverte de l'identité de mon géniteur qui n'était autre que Gunther, et enfin la découverte de ma jumelle en la personne de Pernica. Je lui expliquerais la rébellion que nous avions mené avec Akira sur Ironfall, le ralliement de ma jumelle a notre cause, et la création de Paradise. J’arrêterais mes explication, lui souriant tristement :
« J'ai conscience que j'aurais très certainement du faire les choses autrement sur Shimotsuki Town, et je m'en excuse encore, mais la suite des événements m'as prouvé qu'en quelque sorte ce que j'ai endurer je vous l'ai épargner en agissant comme ça. Je ne cherche pas a me dédouaner tu as toutes les raisons du monde de m'en vouloir. En tout cas je tiens quand même a te félicité, de nous tous les ancien du cirque, tu doit bien être un des seul avec Akira a être en paix avec toi même, ou du moins tu semble l'être. »
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Mer 18 Nov - 1:29
Le Retour du Cirque [3]
« Raconte-moi tout avant que je décide de te livrer directement à Impel Down. », disait-il d’un ton empli d’une haine. Il était curieux de connaître ce qui avait fait le Goshuushou pour quitter l’équipage des Psychos Circus et ainsi abandonner les personnes avec qui ils étaient censé être un ami. Le bretteur se demandait déjà quelle pouvait être la mystérieuse excuse de son ancien ami qui était tombé dans la dépravation, dans le désespoir.
Au vu du Goshuushou qui pleurait les larmes de son corps, le blondican comprit que c’était peut-être une raison sérieuse ou alors c’était un stratagème du zoan pour attirer la compassion du bretteur. Qui pourrait bien savoir la vérité mise à part Raki. Il écoutait donc le récit de l’anarchiste notant avec attention tout les noms des personnes qui avaient distribué le mal autour de Raki.
« Pernica ? La femme de Dwarf Town, je m’en souviens. Nous tuer ? Elle n’avait qu’à essayer, nous sommes plus forts que cela tu le savais bien. », commentait-il alors en regardant le hors-la-loi avec un regard. Il attendait la suite de l’histoire pour savoir qui était ce fameux Gunther. Le Supernova Akira avait suivi Raki dans sa fuite pour l’île natale du Goshuushou Ironfall. Plus l’histoire avançait, plus le bretteur commençait à avoir une envie de vomir. Son ancien ami avait du éprouvé tout cela, une torture mentale que le bretteur connaissait pour avoir vécu une situation similaire. La vie n’avait pas été facile pour le Goshuushou comme si la malédiction des faux dieux célestes continuaient à s’abattre sur les personnes qui ont comptés pour le bretteur.
« Tu penses vraiment nous avoir protégé en partant comme cela avec Akira ???? », disait-alors le Keigo. « Tu penses vraiment qu’il fallait fuir la vérité tout ce que tu cachais et que tu ne désirais pas affronter ? Ce n’est pas un acte de bravoure mais un acte de lâche. Nous sommes des amis Raki. Nous devions affronter cet épreuve ensemble car un lien nous unissait plus fort que tout. Tu crois que l’abandon cela ne fait pas mal ? J’ai cru que vous étiez morts, que vous m’aviez lâchement abandonné sur la route. Je n’ai fait qu’apprendre durant mon procès que j’étais en vie. »
Soupirant alors, le visage du bretteur semblait être un peu plus apaisé qu’à la normale. Il était bien plus calme et il essayait de réfléchir à comment raconter son expérience. Il n’y avait rien de mieux que de se mettre torse nu, le maudit du chat pourrait alors voir toute les cicatrices de combat que le bretteur possédait. Raki pourrait également remarqué qu’il y avait une croix du Constantinisme qui pendait au bout d’un collier entre les deux pectoraux du bretteur. Se retournant alors pour exhiber ses nouvelles ailes, le Goshuushou pourrait cependant apercevoir qu’il y avait deux grosses cicatrices semblables à des cavités juste en dessous de la base des ailes du bretteur.
« Si il est temps de révéler des secrets, voilà le mien. », disait-il avec une voix grave. « Je viens de l’île de Bilca dans le ciel comme les autres anges de mon espèce avec les mêmes ailes que moi. Les cavités que tu peux apercevoir sont la cicatrice de mes anciennes ailes. Elles sont la marque de mon passé, de mon père Octavius de Rémus. »
Il souhaitait bien révéler l’histoire de son passé pour expliquer les choix qu’il avait fait aujourd’hui. Il commencerait donc par exposer le contexte au musicien.
« J’étais un enfant plutôt turbulent et empli d’énergie. Mon père battait ma mère et moi sous prétexte que nous n’étions pas assez bien pour lui qui était le chef des chasseurs de l’île. Un jour, c’était la fois de trop. Mon père était devenu un véritable démon tuant celui qui était censé être son ami de longue date, le père de deux de mes amis devant nous. Il allait continuer le massacre si je ne m’étais pas interposé. Il m’a arraché mes ailes et m’a kidnappé. »
Il essayait d’être le plus bref possible contrairement à Raki, l’attrait du cauchemar n’était pas vraiment quelque chose qu’il voulait partager aux autres. Rien qu’à y repenser le traitement que son père lui avait fait lui donnait la boule au ventre.
« Lorsque j’étais avec vous, je suivais petit à petit la voie de cet homme, la voie de la violence de mon père. J’ai cependant quitté la dépravation et j’ai accepté mon passé. Il me sert de force pour le futur et à être un homme meilleur. Je m’efforce donc de réparer mes erreurs passées et mes péchés en sauvant la vie d’autrui. C’est pour cela que je suis Commandant au service du Gouvernement Mondial. », disait-il. « Raki tu n’es pas quelqu’un de mauvais. Sors de ce chemin de la dépravation, tu peux encore être sauvé. »
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Mar 24 Nov - 0:02
Tu ne peux me sauver mon ami !
J'écouterais attentivement les dire du blondinet et je ne pouvais que le comprendre voir même cautionner ce qu'il me disait, effectivement j'aurais pu faire d'autre choix a ce moment la, mais la peur sempiternel qui me tenaillait le ventre et qui m'avais enfermé dans ce cycle infernal a ce moment la, ne m'avait pas quitté jusqu'à la chute de mon père. Il m'expliqua ensuite son histoire ainsi que celle de son père, il avait également connu des choses horribles, des choses qui changerait tout homme, il me montrerait ses cicatrices marque des ces nombreux combat mené et je remarquerais également la croix constantiniste. Ainsi donc il était passé de pirate a Marine et de marine a cul béni ? Je n'avait rien a redire contre ça du moment qu'il ne m'imposait pas sa propre vision des choses cela ne me dérangeait pas en soit mais vint alors sur le tapis le sujet de mon propre salut.
Je n'étais pas un enfant de chœur, ça je le savais et ceux depuis bien longtemps. La vie avait fait de moi ce que j’étais devenu, l'être que j'étais a présent. J'avais était ballotté de galère en galère, j'avais dérivé sur le torrent furieux de ce monde au gré des eaux qui m'avait entraîné vers des berges qui m'avais accueillit bien malgré moi et m'avait modelé, façonné non pas pour vivre mais pour survivre. Je ne pourrais m’empêcher de sourire en repensant a tout ça, et je finirais enfin par voir les seuls souvenirs heureux qu'il me restait, ma mère souriante me berçant au coin du feu lors de ces froide nuit d'hiver sur Ironfall. Le sourire de ma sœur jumelle berçant délicatement son ventre entrain de s'arrondir, chantonnant une berceuse que je connaissait comme étant celle que notre mère nous chanter. Les tape sur l'épaule brutale et rude du cornu lorsqu'il me sortait une vanne a mon insu suivit de son rire contagieux et chaleureux, les concours d'alcool que je ne pouvais m’empêcher de perdre continuellement face a Kabi-Yo, cette nouvelle famille que je m'étais créer avec Paradise, puis vint cette image des Psycho circus, Vincent arborrant toujours ce petit sourire chaleureux, Saku et moi nous disputant fraternellement continuellement et Akira riant au éclat en nous voyant. C'était le bon temps, et il fallait que quelqu'un se salisse les mains pour tout ça. Ce n'était pas la marine qui imposerait une crainte suffisante au monde underground pour pallier tout ces vices. L'underground obeissait a ses propres règles et ce n'était pas la marine qui allait les changer. Je regarderait Sakuga lui adressant un sourire chaleureux :
« Je n'ai pas besoin d'être sauvé mon ami, ton offre est généreuse mais je suis en paix avec ce que je suis, certes je ne suis pas un enfant de chœur, mais il faut bien que quelqu'un protège les faibles hors de la porté de l'influence du gouvernement mondiale. Ce monde a fait ce que nous sommes devenu aujourd'hui et il doit bien y avoir une raison a cela, autant je ne pourrait jamais supporter de plié le genoux devant ton gouvernement, tu ne supportera jamais de prié pour les pauvres gens qui vivent dans le monde de l'underground... »
J’inspirerai tranquillement sur ma cancéreuse, exhalant tranquillement la fumée légèrement bleuté avant de poursuivre d'un ton calme :
« J'ai décidé de vivre parmi eux, de me salir les mains pour eux, de passer pour l'ordure, le meurtrier, le terroriste et le régicide, je ne peux le nier je suis immanquablement tout ça, j'ai fait ce choix car j'ai vécu sur une île contrôler par un tyran, j'ai connu la peur qui gagne le cœur de nombre de ces gens il est temps que cette peur gagne le cœur de mes ennemis qu'il se trouve dans l'underground, ou ailleurs tout tyran doit payer, dois ressentir une peur viscéral, tout esclavagiste dois connaître le poids de la chaîne autour du cou et la terreur que cela procure. Non mon ami je n'ai pas besoin d'être sauvé, si tu me sauve de ma propre gangrène comment pourrais-je insufflait cette terreur qui doit être la leur pendant que tu couvrira ce monde de rédemption ? »
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Mer 25 Nov - 20:16
Le Retour du Cirque [4]
Plus le Goshuushou parlait, plus le Keigo était agacé par la réponse qu’il entendait. Il ne voulait que son ami termine comme cela, il y avait bien des solutions. Si la vision des choses du Goshuushou pensait que le gouvernement mondial excluait les vies des faibles qui étaient hors de sa portée paraissaient peut être vrais mais le Keigo refusait de vivre dans un monde comme cela. Il n’avait pas seulement rejoint le gouvernement mondial pour se faire pardonner et entrer dans un monde empli de vertu, il voulait le bâtir de ces mains. Il voulait bâtir un endroit où chacun pourrait vivre dans la paix de chacun, dans la liberté c’était pour cela qu’il chassait les démons de ce monde. Son objectif de devenir une légende qui pourrait s’élever au dessus de tout les autres épéistes de l’histoire, au dessus de tout les autres guerriers ayant existé et vécu pour ramener de l’espoir aux personnes qui étaient comme lui autrefois tombé dans la dépravation.
« Tu te trompes Raki. », dit-il alors d’une voix calme et posée. « C’est justement le monde que je cherche à combattre, le monde que je cherche à bâtir avec ma propre force. La force de quelqu’un qui était tombé dans les plus grandes profondeurs de l’humanité et qui en est sorti pour être plus fort. Vivre dans la noirceur de l’underground ne fait que de l’agrandir et ne te fera que sombrer au plus profond d’un chaos sans nom. »
Marquant un temps de pause, le bretteur regardait son ami dans les yeux avec un air plutôt menaçant. Il savait que l’ancien membre des Psychos Circus était encore quelqu’un de sauvable, il était encore quelqu’un qui pouvait évoluer dans une vie saine en dehors de tout le malheur que pouvait vivre le milieu dont il venait.
« Mon souhait est de devenir un véritable légende, une lumière né des ténèbres. Je serais la personne qui va purifier ce monde de tout ce malheur. Tout ce que tu souhaites n’est qu’un cycle de vengeance, tu risque de devenir le tyran à ton tour et tu créeras des gens qui comme toi. Ce ne sera que de nourrir un cycle perpétuel de haine sans fin qui te conduira à ta perte et à celle de tes proches. Regarde ce qu’on a fait à Goa, as-tu pensé un instant à toute les vies que tu as prise et que tu as ruiné dans ta quête. As-tu pensé à toute ces personnes innocentes qui se sont vues prendre cette petite chance que nous avons d’être en vie sans pour autant le vouloir. », disait-il. « Répandre la peur et la haine ne fait qu’attirer la peur et la haine. J’ai choisi de mettre mes prières et ma foi au service des plus démunis, de toujours aller au bout de ma mission pour prouver à l’histoire que lorsque l’une lumière sort des ténèbres elle est plus rayonnante que quiconque. »
Tant de souvenirs, tant de choses s’entremêlaient dans la tête du bretteur. Il ne voulait pas capturer son ami, il ne pouvait pas le faire en état car il était complètement désarmé. Néanmoins il reconnaissait sa force, il savait que Raki était capable d’évoluer encore et de prendre l’ascendant sur la lumière qu’il voulait lui-même créer. Ils avaient toujours été amis mais ils avaient également toujours été rivaux.
« Je couvrirais le monde entier même les plus profondes noirceurs de ce monde d’une lumière inégalée. Celle-ci sera la preuve que tout le monde peut avoir un avenir radieux, je continuerais à penser que tu peux devenir une lumière. Le point de non-retour n’est pas encore atteint pour toi Raki. Néanmoins si un jour tu l’atteins, je serais celui qui frappera à tes portes, je serais la personne qui viendra t’effacer de l’histoire. »
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Mer 2 Déc - 1:10
Tu ne peux me sauver mon ami !
J'écouterais mon ancien camarade, souriant chaleureusement tout en appréciant a sa façon de pensée. C'était indéniable, il avait muri, il n'était plus obnubilé par cette soif de démontrer qui était le plus fort, il pensait aux autres avant lui même du moins de ce que son discours m'en apprenait. Personnellement j'avais une vision des choses pas si éloigner de la sienne. Je le laisserais finir inspirant tranquillement sur ma cancéreuse avant de reprendre la parole d'un ton calme et amical :
« Dans tes paroles je retrouve beaucoup un combat opposant les ténèbres et la lumière, Sakuga ne pense tu pas qu'il puisse être tout simplement complémentaire ? »
J’inspirerai tranquillement sur ma clope avant de reprendre sur un ton toujours aussi calme :
« Sans lumière il n'y a pas d'ombre, sans ombre il n'a pas de ténèbres, de la même manière, le bien, le mal, tout n'est qu'une question de point de vue et une complémentarité. Le bien nécessite de faire le mal pour parvenir a un résultat et inversement. De mon point de vue ce monde n'est ni blanc ni noir, il n'est que composé d'une nuance de gris. Avant de me dire que j'ai tord je vais te poser une simple question. Enfant je crevais de faim dans la rue après la mort de celui que je pensais être mon père, je devais voler sur les marcher ou a d’honnête gens pour survivre, selon toi j'aurais du me laisser mourir de faim car le fait de voler autrui est considérer comme mal ? »
J'inspirerait a nouveau avant de reprendre me laissant littéralement emporter par mes idéaux et ma façon de voir les choses : « prenons l’exemple de la purge de Shabondie, certes l'intention de libérer l'archipel de groupe mafieux oppressant la population était louable, mais était-ce nécessaire d'en venir a éradiquer la population civil avec ? Je ne cherche pas incriminé ta confession sakuga tu me connais suffisamment pour savoir que j’estime que chacun est libre de faire ce qui lui chante sans que je n'ai mon mot a dire, du moment que ces personne n'interfère pas avec ma propre liberté. Mon père adoptif qui s'avéra en définitive être mon grand père m'as dit un jour, la liberté d'un homme s’arrête la ou celle d'un autre commence. Herail et justinien et leur clique ont-il respecter ça lorsqu'il sont venu bombarder et massacrer certes des hors la loi qui avait choisit de vivre ainsi, mais aussi des esclave encore prisonnier de leur geôle, des mères protégeant leurs enfants, ou des hommes lâcher par la société obligé de s'abaisser a cette vie de marginal. »
je braquerais mon regard dans le sien un regard amplis de compassion, d’empathie et a la fois chaleureux :
« Tu dis vouloir baigner ce monde lumière, je te l'accorde tu es une lumière mon ami, mais chaque lumière a obligatoirement une part d'ombre qu'il génère, tu ne pourras empêcher l'homme d'exprimer de l'ambition, de l'envie, de la jalousie. La rédemption que tu offre es un magnifique cadeau mais faut-il que certain puisse le voir comme tel. Il faut que tu comprennes mon Sakuga que tu ne peux pas me sauver blondinet.... » J'inspirerais profondément sur ma cancéreuse lui souriant amicalement et plongeant un peu plus mon regard dans son âme je finirais enfin en lui disant : « Tu ne peux pas me sauver car a l'image du soleil et de la lune nous sommes tout simplement complémentaire. »
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Ven 4 Déc - 2:56
Le Retour du Cirque [5]
« Je te tuerais dans ce cas. », disait-il sans détailler plus son idée. Il comprenait ce que pouvait ressentir le Goshuushou le monde lui avait tout pris, il était devenu fou. Il n’avait plus une once de quelque chose qui pourrait être sauver, le salut du zoan ne viendrait que du fait qu’il perdrait certainement la vie un de ces jours.
« Tu me parles de personnes dont je ne connais que le nom. Cette purge, tout ce mal était peut-être nécessaire pour l’avenir. Je souhaite effacer cette vision des choses, détruire l’image du mal qui entoure le gouvernement mondial chez les démunis. Je souhaite accepter les parias comme j’ai été accepté et on m’a donné une deuxième chance. Si tu souhaites un monde où chacun est libre de faire ce qu’il lui plaît sans interférer à ta propre liberté, pense alors à toute ses personnes que tu as certainement blessé, tué ou atteint à leur liberté sur Toroa ou encore ici. Tu n’es pas quelqu’un de mauvais Raki mais tu te fourvoies certainement je ne vois pas un affrontement de la lumière contre les ténèbres. Je veux prouver à ce monde que même dans les ténèbres les plus sombres, tant que l’espoir existe la lumière pourra triompher. », dirait-il avant d’effectuer plusieurs mouvements de soru pour se dédoubler à l’aide d’images rémanentes.
« C’est la preuve que ce monde a besoin de quelqu’un, ce monde a besoin de quelqu’un qui inspirerait le respect, qui serait un symbole de l’espoir. Quelqu’un qui serait capable par la seule mention de son nom qui rendrait le sourire à tout en chacun car il serait là pour les protéger. Et ce rôle que je veux prendre. Si jusqu’au jour d’aujourd’hui à chaque fois qu’un puissant mal est éradiqué, un autre naît telle une hydre, je veux inspirer le bien quand je perdrais la vie quelqu’un prendra ma place et deviendra profondément le symbole du bien et ce pour des siècles et des siècles. », disait-il en fermant les yeux tout en souriant. En un claquement de doigt, le bretteur se mit alors à rire avant de reprendre la discussion.
« Néanmoins, si un jour ma lame devrait croiser tes griffes de nouveau j’espère que tu auras eu des beaux p’tits gamins mon cher. », dirait-il alors sur un ton amusé. « T’es une star après tout, les femmes ça doit te courir après dans ton monde de ténèbres. De mon côté c’est le calme plat, je suis trop occupé avec mon travail. »
Le Keigo avait il volontairement changé de sujet ? Il en était évident, il avait compris néanmoins que le Goshuushou n’avait pas changé après tout. Il courait toujours derrière des idéaux et un cycle de haine impérissable cela n’empêchait pas à Raki de rester Raki. Si le bretteur avait nourri une haine envers le zoan pendant des mois et des mois cela ne devait plus être le cas. Il fallait pouvoir profiter de cette parenthèse chaleureuse entre les deux membres de l’ancien équipage des Psychos Circus pour discuter avec des sourires aux lèvres.
« D’ailleurs j’voulais t’annoncer que j’suis l’oncle de deux merveilleuses jumelles ! Regarde les c’est mon p’tit coup d’énergie quotidien tellement j’les aime hahahaha ! », dirait-il en montrant une photo des deux filles de son petit frère. « Ah que le destin est capricieux. Il aime bien me jouer des tours ce coquin. »
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Ven 4 Déc - 23:13
Que vais-je laisser ?
Je ne pourrait m’empêcher de sourire lorsqu'il évoquerait l'idée de devoir me tuer un jour, a mes yeux la mort était un passage obligatoire, un symbole de peur ne pouvait que trouver tout son sens a mes yeux que s'il se faisait éradiquer par son opposé. L’espoir éradiquant la peur, s'en était presque poétique, tragique mais poétique. Je lâcherais alors un léger rire avant de dire d'un ton amusé : « Tu essaieras du moins, l’Espoir tuant la peur s'en serait presque mythologique. En tout cas ça serait un honneur d'être tuer par un ami ! »
Je l'observais tandis qu'il exposé sa façon de voir les choses, son envie de bonté, de respect. Le voir ainsi me réchauffé le cœur, il y avait bien longtemps que je n'avais pas ressentit ça. Je le laisserais alors me présenter ses nièce, sentant son envie de changer de sujet, je ne pourrait m’empêcher de sourire de façon attendrit devant les petite bouille rose et souriante que l'on pouvait retrouver sur ces photos. J'en avalerais mon whisky de travers lorsqu'il me parla d'avoir des enfants, d'avoir une femme. Certes le succès avait son lot d'avantage et de groupie, mais encore maintenant malgré tout ce temps écoulé une partie de moi m’empêchait de succombé, je ne me l'expliquait pas réellement ou étais-je toujours entrain de me voiler la face ? L'image furtive de cette jolie brune au sourire envoûtant et au « massage » hypnotique. Je laisserais ce souvenir, cette vision si délicate et agréable s'envolé fugacement tandis que je répondrait au blondinet :
« Tu me croira jamais en parlant de déstin et d'oncle ! Devine qui a réussi a dompter le foutu caractère de Pernica ? Ce maudit Cornu ! Et le pire c'est que les bougres ont réussi a trouver le temps pour me faire devenir tonton sous peu... »
Ma phrase s'éteindrait progressivement tandis que je l'avait commençait sur un ton enjoué une dur réalité me revenait en pleine figure. Quel monde allais-je laisser a mon neveu ou ma nièce ? Quel futur je laisserais a mes enfants si j'en mettais au monde ? Allais-je reproduire les erreurs de mon abrutis de paternel et asservir autrui par la peur ? Moi qui m'étais promis de renier cet héritage j'étais en passe de réaliser ce cauchemar et il avait fallut que ce blondican me montre une simple photo pour que je m'en rende compte ! Certes je m'étais toujours considéré comme un démon, mais rien n’empêcher le démon d'être respectueux et respecté ! Il était hors de question que j'abandonne le pied a terre que j'avais au sein du réseau, mais si je pouvais contribuer a le rendre meilleur, a éradiquer des source liberticide tel que l'esclavagisme pour ne cité que lui, qui le gangrené je pourrais rendre ainsi la vie de bien des hommes plus sur. Je laisserais un léger soupir s'échapper rapidement accompagné par un léger rire :
« ça me tue de le reconnaître, mais après réflexion il semblerais que tu puisse avoir raison quand a mon sauvetage. »
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Mer 9 Déc - 0:26
Le Retour du Cirque [6]
« Akira père ? AAHAHAHAHAHAHA ! », s’esclaffait alors le bretteur. L’idée que son ami le cornu ait des enfants avait fait éclaté de rire le Keigo. Pourquoi c’était si difficile pour lui en tant qu’aîné pour tout ces jeunes gens de trouver l’amour ? Il n’en savait rien, peut-être que sa quête n’était pas compatible avec autre chose que l’amour platonique ?
« On va s’écrouler avant d’en avoir toi et moi Tonton Raki, ahah ! Tu verras, c’est un plaisir d’avoir de s’occuper de petites vies comme cela et de les voir grandir. », disait-il. « Je prendrais ma retraite, une fois que je serais père, je pense que ce sera un bon moment pour m’occuper de mes enfants et de ma famille correctement. »
C’était une question que le bretteur avait longtemps réfléchi sur son métier et sa fonction au sein du gouvernement. Ils prendraient sûrement sa retraite pour faire de ses enfants de véritables notaires au sein du gouvernement mondial. Il avait déjà mûrement réfléchi à son avenir et à la façon dont il aurait à s’occuper de sa famille, c’était pour cela qu’il investissait avec son frère dans plusieurs commerces. L’argent pourrait rapporter un certain confort aux siens dans le futur, il débloquerait les fonds une fois que chacun d’eux aura atteint un âge respectable. Il voulait bâtir un héritage pour que sa famille, non que tout les anges soient fiers de lui.
« Un jour, nous serons plus si jeunes et nous voudrons offrir chacun à nos futures enfants le bonheur que l’on a jamais pu obtenir. Je le ferais, je deviendrais assez fort pour que chacun de mes enfants aient une enfance heureuse. », disait-il les larmes aux yeux. Il ne voulait pas répéter l’histoire et donner une vie sans importance à ses enfants. Ils seraient tous heureux, tous autant qu’ils sont et grandiront avec leur père.
« En vérité depuis que je suis gouvernemental, je m’efforce à entretenir une certaine tradition en secret ! Tu te diras que ça ne me ressemble pas mais…. ! », disait-alors le Keigo en souriant. « J’aime beaucoup chanter en ce moment à ma vie passée de pirate cela reste dans mon cœur. Je ne suis pas une star pour autant donc fredonnons cette chanson ensemble hahaha ! »
C’est alors qu’il entama un air plutôt mélancolique et nostalgie en sifflant avec sa bouche. Le Keigo n’était vraiment pas doué pour la musique, il avait néanmoins appris à l’apprécier.
« Je m’en vais de bon matin, livrer le bon rhum de Binks ! »
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Ven 11 Déc - 0:38
Que vais-je laisser ?
J’écouterais tranquillement le Blondinet en fumant, exhalant ma fumée dans un sourire lorsqu'il m'exposa ses projets d'avenir, Mon esprit divagua un peu, me remémorant une nuit mémorable d'Attraction Town j'éluderais rapidement ce souvenir avant de lui répondre tranquillement :
« Je n'en suis pas encore au point de réfléchir aussi loin tu sais, je me doute que c'est une grande joie de voir grandir la prochaine génération, de la a savoir si j'aurais des enfants ou pas, je n'ai pas encore réfléchis jusque la... »
Inspirant tranquillement sur ma cancéreuse je me resservirait un verre lui proposant de le resservir également, je poursuivrait finalement en lui disant d'un ton amusé et pensif :
« Du moment que je peut passer du temps auprès de la personne qui réchauffe mon cœur, c'est tout ce que je demande. Personnellement si je devait y réfléchir et me retirer je pense que j'apprécierais voyager, vivre et évoluer librement, sans attache vis a vis de quoi que se soit hormis elle, jouant de la musique et dansant toute la nuit et après ça si des enfants se pointe leur faire découvrir ce monde, non pas le calvaire que toi ou moi avons vécu, mais éveillé leur curiosité les faire évoluer dans l'idée que chacun est libre d'allée ou de pensée comme il veut.... »
Je ne pourrais m’empêcher de sourire béatement et de rougir légèrement en pensant a ces folles soirée que nous pourrions passer puis me rattrapant bien vite je poursuivrait en disant :
« Mais pour l'instant tout cela n'est qu'une belle utopie, rien de plus qu'un désir lointain. »
La suite me surpris d'avantage, il fredonnait ? J'étais entrain de rêvé ? Sakuga Keigo entrain de FREDONNER ?! Lui qui avait toujours même ne serais-ce que refuser d'écouter une musique je le retrouvais entrain de presque chanter, je prendrais le temps de regarder le titrage d'alcool de la bouteille pour vérifier que je n'étais pas fou avant d'éclater d'un rire amical, grimaçant légèrement lorsque le Blondican décocha une fausse note, d'un doigt je lui indiquerais de faire une pause deux minute tandis que j’apercevais non loin des machiniste entrain d'emmené le piano pour le ranger, je les arrêterais et trimbalerais le piano a l'aide de ma forme hybride, et tout en m'installant devant l'instrument je ferais un large clin d’œil a Sakuga avant de lui dire d'un ton taquin :
« Quite a se la jouer nostalgique, autant faire les choses en grand tu pense pas ?! »
Entonnant la mélodie au piano, je l'accompagnerais donnant de la voix suffisamment fort pour que quelques hommes non loin entonne le chant a leur tour, le chant se propageant petit a petit dans toute l'arrière salle. La chanson dura quelque minute réitérant plusieurs fois le refrain sur la fin tant c'était prenant, un large sourire ne lâcherais pas mon visage de toute la mélodie et ce ne serait qu'une fois que toute les voix se serait éteinte que je dirais d'un ton amusé au blondinet :
« C'est bien la première fois que je t'entend chanter l'ami ! Bon j'dis pas ya encore quelque fausse note mais c'est plutôt pas mal ! Et en parlant de nostalgie tu as des nouvelles des anciens de l'équipage a part Akira et moi ? »
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Ven 11 Déc - 23:29
Le Retour du Cirque [7]
La musique faisait remonter énormément d’émotions chez le Keigo. Des émotions lui rappelant une vie qu’il avait laissé derrière lui, une vie de pirate. C’était quelque chose qui le touchait tout particulièrement quand il fermait les yeux en se laissant entraîner par la musique, il pensait aux voyages sur les flots et au doux moments qu’ils avaient passés avec tout l’équipage. Le constantiniste était attaché quand même à ses précieux souvenirs car ils lui permettaient d’aller de l’avant et de relativiser sur sa vie. C’est grâce à cet équipage, c’est grâce à toute les personnes qu’il avait rencontré dans le passé qu’il avait pu avancer et devenir celui qu’il était aujourd’hui.
C’est alors que sur un ton enjoué une fois après avoir fini de chanter en compagnie de son ami de l’époque, le commandant revenait tout de suite à la réalité. La mention des autres membres d’équipage des Psychos Circus résonnaient comme un rappel à l’ordre sur ses propres projets personnels. Il ne savait pas si il pouvait faire confiance au Goshuushou mais il pouvait être quasiment sûr que celui-ci n’allait pas se mettre en travers de sa route sans aucune raison.
« Est-ce qu’on peut s’éloigner un peu des regards et des oreilles indiscrètes ? C’est un sujet beaucoup plus sérieux dont tu veux qu’on parle là. », disait-il avec un ton plus fermé plus sérieux.
C’est ainsi qu’il prit le pas pour s’éloigner un peu en allant vers un endroit où il n’y aurait personne pour interrompre cette conversation entre les deux hommes. Le Zoan était un criminel hautement recherché par ses pairs et avait fait du mal à la marine mais il avait un bon fond. Profitant alors d’être seul à seul avec le Goshuushou, le bretteur montra sortait sa croix symbole de sa conversion au Constantinisme pour la mettre en évidence ainsi que quelques morceaux de papiers enroulés.
« Tu vois ça ? C’est Vincent sa prime a augmenté, il paraît qu’il a mis du grabuge sur Shimotsuki Town, l’île où notre équipage a disparu. », disait-il sans dire plus de détails. Il ne savait pas si le Goshuushou était au courant de cette information.
« C’est une île civile sans aucune affiliation d’après ce que je sais. Je prévois de m’y rendre d’ici quelques mois pour la faire passer sous la bannière du gouvernement comme je prévois d’aller m’excuser au Royaume de Goa après que j’aurais été promu. Je n’oublie pas les vies que l’on a pris là-bas, je m’en veux encore pour cela. », enchaînait-il. « Ce soir, je ne suis pas dans mon uniforme d’officier du gouvernement mondial mais dans celui d’un simple civil donc je n’ignorerais notre rencontre et je ferais comme si aux yeux de tous je veuille encore te tuer, d’accord ? »
Son affiliation étant clair et net avec le Goshuushou du à leur passé, il fallait que les choses soient clairs entre les deux amis. Ils ne devaient surtout pas oublier leur affiliation le temps d’un moment.
« Si Vincent est encore là-bas, je l’arrêterais et l’enverrais à Hell’s Gate ou Impel Down. Cela vaut de même pour Akira et toi si nous nous recroisons sur un champ de bataille même si c’est à contrecœur que je le ferais. Je suppose que de ton côté c’est pareil dans tous les cas si je me mets à me mêler de tes affaires hein ? Dans tous les cas, je te passerais mon numéro de Den Den Mushi compte tenu de la situation nous protégerons nos discussions pour que personne ne soit au courant. »
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Mar 15 Déc - 23:23
La Rage !
Je suivrais le Keigo lorsqu'il me le demanda subitement, souhaitant m'exposait divers avis de recherche notamment celui de Vincent. Je ne pourrait m’empêchais de hausser un sourcil sous l'influence abrupte du changement de ton du Blondican, il devenait d'un coup bien plus sérieux, plus brute, passant du coq a l'âne pour me cracher au visage une réalité que je trouvais absurde. L'homme était bien prisonnier, prisonnier de ce carcan factionnel. Mes dents se serrèrent un peu plus lorsque la croix du constantinisme vint a me narguer alors que mon propre avis de recherche et celui d'Akira viendrait sur le tapis. De la même manière que le Keigo mon ton changerais de façon radical, plantant les braises rougeoyante de rage qui composé mon regard dans les yeux du céleste je lui dirais :
« Pensais-tu ne serais-ce que la moitié de ce que tu as dis plus tot ? Tu parle de sauvetage pour mieux nous cracher au visage, tu te foutrais pas un peu de ma gueule ? »
Je m'allumerais une cancéreuse, inspirant dessus une part de mon regard révélerais une part de la folie qui reposer au plus profond de mon être. Le keigo pourrait voir alors a quel point mon être pouvait se trouvait dans un état de ténèbres perpétuel. Je poursuivrait en pointant du doigt son pendentif et employant un ton cassant motivé par la colère :
« Je suis ravi que cette pseudo foi t'ai aidé a avancé, mais n'oublie pas une chose, ton choix n'est pas celui d'autrui, vouloir l'imposer et traquer ceux qui on fait un choix différent revient exactement au cycle de vengeance que tu disais vouloir évité. En vérité tu n'est rien d'autre qu'un tyran de plus,tu veux évité ce cycle je vais t'annoncer ce qu'il se passera si tu traque Akira, si tu touche a un seul cheveux de ma sœur ou de leur enfant. Si tu prive cet enfant de son père ou de sa mère. Je te traquerais moi même, et je te priverais d’absolument tout ce que tu as, femme, enfant, tout ! »
Je fumerais un peu plus laissant le temps s'écouler un peu envoyant valser la bouteille que j'avais dans les mains se briser dans un coin de la pièce. Je devais me calmé, ne pas réagir a vif, désamorcé la choses ou du moins tenter de m'apaiser. Je devais analysé un peu mieux ce qu'il disait plutôt que de ne prendre que ce qu'il me disait de prime abords. Fumant avidement je me remémorait ses dire, il ne parlait pas de traque certes mais de rencontre importune sur un champ de bataille, la résultante était la même mais le contexte était diamétralement opposé et j'avais commis l'erreur de confondre les deux en m'emportant. Il y avait un autre point a prendre en compte, il souhaitait vouloir me donné son numéro de Den Den, en soit cela ne me dérangeait pas mais il y avait une choses que je devait éclaircir, la façon si efficace dont le réseau se servait pour obtenir autant d'information a mon sujet sans même que je n'ai évoquer la moindre information sur certain projet. Je referais face au Keigo la mine grave et les yeux emplis d'une froideur placide je lui dirais d'un ton sincère :
« Pardonne mon axé de rage, j'ai mal compris tes paroles de primes abord, certes tu essayera de nous capturé si nous te croisons sur un champ de bataille. Sache que si c'est le cas je ne te laisserais pas faire face a Akira, un enfant a besoin d'un père pour grandir et je préfère mourir en t'emportant avec moi plutôt que de voir son gamin grandir sans lui, Garde bien ça a l’esprit. Pour ce qui est de ton numéro, il faut que j'y réfléchisse.... »
Pendant ma tirade j'avais pris le temps d'écrire sur un papier les quelque mot « on me surveille, je ne sais pas comment » et je lui glisserais avant de reprendre :
« Qu'est ce qui me dit que tu ne tentera pas de te servir d'une de nos conversation pour nous pousser a tomber dans un piège ? »
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Sam 19 Déc - 3:38
Le Retour du Cirque [8]
« Ainsi soit-il alors. », disait-il en regardant le Goshuushou en souriant d’un sourire de carnassier. « Tu vois c’est bien une attitude que nous devons adopter pour passer inaperçu. Je ferais tout pour protéger ce que pour quoi je me bats, je suis prêt à mourir en martyr pour ma cause. C’est comme cela que j’ai toujours vu le monde, comme cela que le monde je le façonnerais à ma manière. Je ne souhaite pas vous tuer, je le ferais uniquement si je suis dans l’obligation de le faire. »
L’homme qu’était le Keigo comprenait entièrement l’accès de rage du Goshuushou, il aurait réagi pareil dans de telles circonstances. Il avait néanmoins entièrement conscience que cela risquait d’arriver un jour. Il ne voulait pas se mêler des histoires de Raki mais le destin les avait déjà réuni ici pourquoi pas sur un champ de bataille. Il ne lui ferait aucun cadeau, ne lui laisserait aucun répit. Il espérait que le combat que lui offrira le zoan serait des plus merveilleux.
« C’est la dure loi de la guerre, Raki. Seul le plus fort entre nous deux l’emportera. Cela est triste mais ce n’est pas réellement une menace. Une fois que je porte mon uniforme, mon passé n’est que ma force pour avancer vers l’avenir et si je dois l’éradiquer pour continuer à avancer vers cet idéal que je chérie. Je le ferais sans hésiter. On va dire que ça va me donner pas mal de cauchemars et je ne pourrais peut-être plus en dormir la nuit. »
Lisant alors le bout de papier que lui passait l’homme-chat, cela fit effet d’un électrochoc. Raki n’était pas le chef, il n’était pas le dirigeant. Il agissait sous les ordres de quelqu’un, d’un mécène. Le monde de la pègre aussi sombre qu’il soit était un échiquier assez vaste avec plusieurs équations à prendre en compte. C’est ainsi que l’ange rangeait alors le bout de papier que venait de lui passer le Goshuushou. Il devait réellement sauver le Goshuushou mais de qui ? C’était quelque chose qu’il ne pouvait pas savoir dans l’immédiat, c’était un ennemi qu’il ne connaissait pas. Il y avait certainement des secrets bien plus grands que le Goshuushou cachait.
« Très bien alors ne communiquons pas. Je ne veux pas que tu crois que je veuille te faire du mal. », dit-il tout simplement. « Je souhaite juste que tu gardes cette rencontre entre toi et moi. Il commence à se faire tard, je pense qu’il est bientôt temps pour moi de m’en aller. J’espère néanmoins qu’un jour, je puisse supprimer toute l’ombre qui t’entoure pour te faire baigner dans la lumière mon vieux frère d’armes. »
Dans ses paroles le Goshuushou devrait comprendre que Sakuga avait bien reçu le message. Il devait comprendre qu’il l’aiderait si il avait besoin de se débarrasser de ce mystère qui le tenait sous surveillance. C’était une nouvelle chose qui se rajoutait à la liste du bretteur, une liste déjà bien assez longue. Il fallait qu’il fasse tout ce qui était en son pouvoir pour sauver son ami de cette emprise néfaste qu’avait la pègre sur lui.
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Lun 21 Déc - 22:18
La Survie !
Mais il était con ou il le faisait exprés !? Je ne lui transmettait pas cette informations pour qu'il vienne a mon secours mais bien pour qu'il ne s'approche pas, qu'il ne cherche pas a me contacter ! Et il ne trouvait rien de me mieux que de me ressortir son baratin sur les ténèbres ? Certes ça venait d'un bon sentiments mais il y avait des limite a la connerie tout de même. Je lui rendrais son sourire carnassier, lui disant simplement :
« Mais t'es franchement con ou tu le fait exprès ? Mes ténèbres resteront sagement la où elles sont je n'ai pas besoin de baigner dans une pseudo lumière qui se targue d'offrir la paix alors qu'elle ne fait qu'imposer sa façon de voir et de vivre par la force.... »
Je laisserait un petit rictus dément s'échapper laissant la folie prendre un peu plus le pas, mon sourire s'élargit un peu plus pour devenir effrayant de folie, mon regard suppurer de la gangrène qui me corrompait, je lui dirait alors sur un ton a glacer le sang :
« La loi de la guerre ? Il n'y a aucune loi en ce monde, l'homme invente des texte pour soumettre ses congénère rien d'autre, c'en est risible et tu me dit qu'un champ de bataille est codifier ? L'honneur, la gloire, ce n'est que de la poudre au yeux pour faire resplendir les saloperies que tout un chacun commet en ce bas monde. Du plus bas de l'échelle jusqu'à ton ptit père constantin, hors la loi ou marine, toi ou moi nous avons tous les mains couvert du sang d'un autre...... »
Mes épaules se secouerait au rythme d'un rire âpres, euphorique et incontrôlé je pouvais revivre et ressentir chaque mort que j'avais causé, certes je n'en éprouvé pas de culpabilité car je savais que ces mort était nécessaire a ma survie, il n'y avait qu'une règles qui régissait ce monde, je lui dirait alors sur un ton un peu moins terrifiant :
« La guerre est juste une horreur que l'homme a créer pour prendre possession du bien d'autrui, a qui crois tu que cette guerre profite ? Au malheureux que tu dit défendre ? Mon coco le plus drôle dans l'histoire c'est que c'est ton propre patron qui en tire profit, politiquement parlant, en terme d'influence et de ressource. La seul règle qui régie ce monde c'est celle de la vie et de la survie. Et tes Dragon celeste ne font pas exception a la règle, il mange, baise et chie comme tout un chacun. La seul différence c'est qu'ils ont des pions comme toi pour leur ciré les pompes et couvrir leurs exaction tel que l'esclavagisme. Admire ton œuvre sakuga, tu aura beau te voué au constantinisme en définitive tu restera a jamais plonger dans les ténèbres qui était tienne, tu aura beau t’excuser tu aura toujours le sang d'innocent sur les mains, celui de civil ou d'esclave que tu amène a l’abattoir pour servir tes maitres. »
Je prendrais le temps de m'allumer une cancéreuse expirant tranquillement ma fumée ne laissant luire que mes yeux au travers de la fumée je lui dirait enfin sur un ton a la fois amusé et désabusé :
« c'est dommage mon vieille ami que ta candeur t’empêche de comprendre ou ne serait-ce qu'imaginait ça. Certe le plus fort vaincra si on se croise sur un champ de bataille, mais ne t'attend pas a ce que je face preuve d'honneur, de pitié ou de fair play. Comme je te l'ai dis seul la survie compte et a ce jeu la tout les coups sont permis ! »
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Raki Goshuushou
Sakuga Keigo
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Mar 22 Déc - 1:25
Le Retour du Cirque [9]
« Eesh Ninda. », dit-alors Sakuga en ouvrant les yeux d’un regard plus intimidant. Une haine s’était agrandi au fur et à mesure que le musicien parlait et déblatérait des paroles désobligeante envers des croyances qu’il ne comprenait visiblement pas. Le musicien était un sot fini, une engeance des ténèbres ne faisant que perpétuer la violence du monde dans lequel il était né. Un être qui n’avait que d’admirable la sottise dont il pouvait faire preuve. Le Goshuushou était incohérent, un soldat de l’anarchie ? Non ce n’était que le larbin non l’esclave d’une plus grande entité. Il était endoctriné jusqu’à la moelle dans un cercle de haine et l’unique solution serait de le faire disparaître lui et tout ses proches pour mettre un terme aux crimes et la vie de malheur dans laquelle il s’était lui-même enfermé.
« Dans ce cas-là. Je te dis désormais adieu. J’espère que ton maître qui a porte le bout de ta laisse a bien capté la discussion que tu es bien dévoué à sa cause, vulgaire cloporte . Une mort longue et douloureuse t’attendra et j’ose espérer que je ne serais pas celui qui celui qui l’administra car je n’aurais aucune pitié. Ton labeur, tout cette haine que tu auras réussi à engendrer, elle ne sera que poussière un jour où quelqu’un te remplacera et te tuera. Rien n’est éternelle lorsqu’on se consacre à vivre cacher dans l’obscurité comme un rat. »
Ainsi l’ange prendrait son envol grâce à un puissant geppou combiné à un kami-e boost. Avant de se diriger vers la sortie de la salle de concert, il ne supportait plus la présence de ce blasphémateur, de ce cadavre vivant qui ne faisait que d’avoir une ambition gangrené par le mal dont il était né. Priant ainsi de ne plus jamais revoir le Goshuushou sans être armé et ainsi de pouvoir faire taire et trancher la langue de celui qui avait commis le péché d’émettre des propos blasphémateurs. Si le Keigo voulait devenir le symbole de la rédemption, il savait qu’il devait aussi être l’arme de la foi, l’arme du divin. Il prenait petit à petit conscience que son ambition devait se faire par des sacrifices, le sien ou celui de d’autres personnes. Tout était de sa faute après tout, il n’avait pas réussi à sortir le Goshuushou de cette spirale de haine
« Gloria Autem Martyribus Nostris. »
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Sakuga Keigo
Raki Goshuushou
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Mar 22 Déc - 23:36
La mort du cirque !
J'écouterais la véhémence du Keigo, sa haine et sa rage était palpable, elle suinter de part tous ses pore. Je ne pouvais que l’accueillir, je l'avais cherchais. Je l'avais poussé, m'en remettant a cette violence qui sommeillait, dans l'unique but de le poussé a bout, a ce point de rupture. Je le regarderais s'en allait sans dire le moindre mot, ravalant les quelques excuses qui hurler au plus profond de moi. Je devais tenir cet ligne de conduite, il n'y avait plus de psycho circus, le cirque était mort sur cet île d'east blue et je venais d'en enterrais volontairement une partie.
Je ne voulais pas melé Sakuga a tout ce qui pouvait m'entourer, je ne pouvait me résoudre a le replonger dans ce monde qu'il souhaitait combattre, s'il y avait bien une choses que je retirais de cette rencontre c'était qu'il avait évoluer, pris en maturité et qu'il allait de l'avant. Certes je ne lui avait pas révélé mon objectif et je l'avais clairement blessé mais purement et simplement dans le but de le libéré d'une potentiel culpabilité a mon égard ou celui d'Akira, certes nous étions d'ancien camarade mais nous étions également énemis a présent et rien ne pourrait changer cela. La ou l'ange vol sous la lumière du ciel et agis en faisant le bien, le démon s’épanouit a l'ombre des ténèbres pour parachever son art et ainsi se déchaîner selon sa nature. A l'instar de Sakuga je n'était ni l'un, ni l'autre, comme je lui avait dit a mes yeux seul vivre pleinement et libre comptait. Il n'y avait ni bien ni mal rien qu'une question de point de vue divergeant et irrémédiablement opposé. Et j'avais volontairement joué le rôle de l'avocat du diable. Peut-être un jour le comprendrait-il ? Je n'en savait rien et pour l'heure je souriait lassement, fatiguer de cette rencontre et du poids émotionnel de cette rupture amical franche, net, précise. Je prendrais le temps de m'allumais une cigarette fumant avidement, seul dans cet loge. Repensant a Magnus je lèverais les yeux vers le ciel pour enfin dire d'un ton amusé :
« Te connaissant tu m'aurais dit que je ne suis qu'un pauvre petit con, mais qu'étais-je sencer faire ? Le laissait se mouiller au risque de le faire tomber avec moi ? J'ai pris le partie il y a des années que j'ai pris le partie de géré ce genre de problème seul. »
Je fumerais un peu plus avidement sur ma cancéreuse laissant les volute toxique prendre leur envole pour enfin dire avant de prendre la direction de ma couche :
« Tes conseils me manque Magnus. Si seulement tu étais encore la toi tu saurait certainement quoi faire. »