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Jeu 24 Avr - 1:21
Membre des Shichibukai : Rasgarat Abel
La vérité sur Abel, c’est qu’il a toujours été légèrement anhédonique sur les bords. Il lui est très difficile d’éprouver des émotions positives. Ca ne l’a jamais bloqué quand il s’agit d’avoir des relations sexuelles, au contraire, il lui est souvent arrivé de jouer avec cette explication pour gagner la sympathie d’une future conquête. Il lui est par contre impossible d’éprouver du plaisir en jouant, ou en mangeant, par exemple. Raison pour laquelle il mange toujours très – mais alors très – épicé. Cette sensation dans la bouche lui donne l’impression d’éprouver quelque chose.
Et c’est aussi pour ça qu’il avait fini par se tourner vers la piraterie. Le danger et la mort omniprésents, avec les décharges d’adrénaline qu’ils génèrent, lui donnaient l’impression de vivre, de ressentir. Certains de ses anciens subordonnés le qualifieraient de capitaine sans âme, car il dirigeait avec fermeté et n’hésitait jamais à punir ceux qui ne faisaient pas leur boulot. Il était respecté et craint par les siens.
Lorsqu’il enfonça à nouveau la Vector Blade dans le sol – donnant ainsi aux éléments de la zone une nouvelle règle – il n’avait pas vu les lances de Neutrino au-dessus de sa tête. Makui avait pu prévoir la technique qu’il allait utiliser et avait su s’en servir pour la retourner contre lui-même. Ce type n’était pas Vice-Amiral pour rien, il avait de la bouteille, il était doué, ce n’était pas un débutant. On sentait derrière ses réactions, ses décisions, un homme habitué à devoir gérer la pression de combat à haut niveau. Ce n’était pas du tout comme les minables de la prison.
Et pourtant, il pensait … comme un Logia.
Lorsque les lances s’enfoncèrent dans son dos et dans ses épaules, Abel posa un genou au sol en serrant les dents, tandis que du sang coulait le long de son échine. Il aurait pu se protéger, son haki était plus puissant que celui de son adversaire, il aurait pu nullifier n’importe laquelle de ses attaques, encore fallait-il les avoir vues venir. On pouvait même se dire : « Voilà abruti, t’avais qu’à pas désactiver tes défenses. T’as voulu faire le malin, maintenant tu te couches ». Ouais, mais non.
Parce qu’à cet instant, il eut une illumination et au lieu de se relever pour tenter de lancer une dernière attaque, il profita de sa position basse pour enfoncer d’avantage la Vector Blade dans le sol – pour cela, il du carrément appuyer dessus en rentrant son pieds dans le sol. « Inconscient ! Si tu continues de faire ça, les lances vont s’enfoncer encore plus profondément en toi ! »
- C’est le but.
En agissant de la sorte, il piégeait l’autre. C’était une sorte de garantie, qui l’empêcherait de se tirer. Abel n’eut alors qu’à saisir le bras de son ennemi, dont il devina la forme et le tira de toute sa force.
Pourquoi cette attaque ne pouvait que marcher :
Spoiler:
Abel sait que son haki est supérieur à celui de Makui. Il sait qu’il peut donc le toucher s’il lui porte un coup direct, neutrino ou non. Ici, contrairement à l’attaque précédente, il sait que ces six pieux de neutrinos sont reliées au véritable corps, et qu’il ne s’agit donc pas d’un élément généré mais bien d’un membre transformé. Pourquoi. 1) parce qu’il l’a déjà vu, les deux tours précédents. 2) parce qu’il fallait pouvoir maintenir ses lances en place, le temps que la Translation les fasse descendre, donc fallait pouvoir les « manipuler ».
Makui ne peut pas s’échapper non plus. C’est son bras que tient Abel. Bras qu’il va donc tirer. Normalement, il suffirait à Makui de tout simplement « dissoudre » le reste du bras en petits Neutrino qui iraient un peu partout. Mais là, il ne peut pas, à cause de la Translation. Elle bloque les neutrinos dans une seule direction : le bas.
Enfin, faut se rappeler aussi que la Translation ne touche pas Abel, pas parce qu’il en est immunisé, mais parce qu’il la contre avec son propre pouvoir, il ne la subit donc pas. C’est pour ça qu’il est le seul à pouvoir bouger normalement. Il peut utiliser sa force pour tirer Makui, à la manière dont… un mur, non soumis à un vecteur, empêcherait une balle en plastique, soumise à un vecteur, de le traverser (c’est pas super clair, je sais, mais c’est logique)
La suite de ceci :
- Moi je tiens pas trop à revoir ta tronche, quand on sera de l’autre côté.
Abel avait pu lui répondre en lisant sur ses lèvres, mais à la manière d’un individu occupé à écouter de la musique avec un casque, il parla un peu trop fort. Il tira donc sur ce bras, amenant le corps de l’officier à portée, avant de lui asséner un terrible coup, le même que celui qui lui avait permis d’éliminer Van le Chaman. Son bras, tendu comme une lance, recouvert de Haki, mais également de vecteurs pour renforcer le pouvoir pénétrant, Perfora tout simplement son adversaire.
Au même moment, comme pour marquer la fin de tout ceci, le plafond commença à s’écrouler, sous l’influence de la Translation, ce qui fragilisa les murs de la pièce, qui se mirent également à tomber.
Donc, Abel attrape le bras de Makui, le tire et le frappe. Y a un joli spoiler explicatif. Avec les six lances dans le dos, le Corsaire est foutu. Bon bah voilà… j’crois qu’on peut remballer.
Maître-Jeu
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Ven 25 Avr - 3:30
C'était fini, et il avait gagné. Makui en était désormais certain : ce piètre Schichibukai allait s'achever lui-même, dans un spectacle aussi pitoyable que désolant, et bientôt cesserait son emprise sur le reste de la salle et sur les combattants qui s'y trouvaient. Tout était gagné d'avance... Le sourire qu'arborait son visage gonflé de fierté ne fut toutefois que de courte durée : les pensées de ce gars réagissaient bien mieux qu'elles n'auraient du le faire, alors même que les mains sous forme de lances de l'ancien vice-amiral venaient de le pourfendre à plusieurs endroits, répandant rapidement son liquide carmin sur le sol. Il avait posé un genou au sol, mais sa volonté ne semblait jamais faillir... Pourquoi ? Et c'est trop tard que le logia des neutrinos comprit où voulait en venir son ennemi : celui-là usa une fois de plus de ses capacités pour enfoncer plus profondément, les coinçant sans aucun moyen de retour. Sur le coup, le maudit coincé au sol grimaça légèrement, mais son expression démente revint au galop lorsqu'il comprit qu'Abel ne faisait guère plus qu'aggraver son cas. Peut-être voulait-il abréger ses souffrances ? Malheureusement, les vaines espérances du chef de Mars étaient condamner à subir une violente désillusion : celle-là même parvint au cerveau du combattant grâce à son haki de l'empathie, et il prédit avant même que le forban n'ait bougé les lèvres les syllabes qu'il allait prononcer. Le but ? Les paupières du Kokuwo s'écarquillèrent, cette fois-ci sous la frayeur. Cette peur, ce sentiment qu'il n'avait plus ressenti des dizaines d'années, n'était pas celle que l'on éprouvait en croisant un serpent ou une araignée, au détour d'un couloir. C'était tout simplement une émotion suscité par son instinct de survie lui-même, qui lui sommait de s'en aller. Et ce n'est que trop tard que l'ancien gouvernemental comprit qu'il était coincé.
Le prodigieux n'eut pas le temps de réaliser quelques action que ce soit pour tenter de s'enfuir que déjà la main du Schichibukai attrapait son bras. Si la pression exercée par le vecteur n'avait pas été là, le chef de Mars se serait déjà rapidement fait la mal, sans même prendre en compte la main posée sur ce qui était vaguement son avant-bras. Malheureusement, ladite pression était bien là, et l'enfonçait un peu plus à chaque seconde dans le sol de pierre. Cela ne suffisait pas à le tuer, seulement à le sonner un peu, et cela ne fit qu'accentuer la facilité déconcertante avec laquelle Abel le tira de son trou. Makui serra les dents, les yeux toujours aussi écarquillés, ne pouvant strictement rien faire pour se protéger, telle une mouche prise dans la toile d'une araignée. Et sans qu'il ne réussisse à faire quoi que ce soit, le bras armé du hors-la-loi le transperça violemment, recouvrant le sol de son propre sang. Une quinte de toux impulsive ne fit qu'aggraver son cas, et il retomba mollement sur le dos pendant que son adversaire semblait s'évanouir. Dans un premier temps, l'ancien vice-amiral eut le réflexe de se retourner, et de se redresser légèrement pour se mettre à quatre pattes tout en continuant de tousser furieusement, balançant son liquide vital un peu plus à chaque instant. Néanmoins la douleur lui fit comprendre que la blessure était largement plus conséquente que toutes celles qu'il avait pu endurer dans sa vie de glorieux marine, et suffit même à le faire tomber une fois de plus, allongé sur le ventre. Son regard se porta alors sur une pilule, l'une de celles qu'avait tenté de faire passer Samson à ses alliés. Le Kokuwo serra les dents un instant tandis que son regard se perdait dans l'horizon :
-Tout ça pour une putain de pilule...
Il perdit connaissance.
Elle était faible. Elle se sentait faible. Alors qu'elle était là, à côté de son mentor décédé, elle était telle une poupée de chiffon plaquée à même le sol par le pouvoir de ce fichu Schichibukai. N'allait-il pas enfin finir de tous les gêner ? N'allait-il pas s'en aller, avec tous les autres ? N'avait-il aucun respect pour tous ceux qui avaient trouvé la mort ? Qu'ils se combattent, avec Makui, jusqu'au bout du monde s'ils le voulaient ! Syrilia voulait tout simplement qu'ils s'en aillent, qu'ils les laissent, elle et ses chimères. Qu'ils la laissent affronter ses spectres, pour en tirer des leçons. Qu'ils la laissent devenir plus forte, pour un jour faire ressentir à ce monde ce qu'il lui avait fait ressentir. Alors quand la pression du vecteur eut fini de s'exercer, la demoiselle ne fit dans l'immédiat rien de plus que de se redresser pour vérifier l'état de ce qui n'était plus qu'un cadavre pâlement chaud. Il n'avait rien... Même dans la mort, Aaron conservait une constitution formidable pour un vieillard de son âge. Elle avait encore beaucoup à apprendre de cet homme... Une foule de choses venaient tout juste de lui être happées, et elle n'aurait jamais aucun moyen de les connaître, et même d'en avoir vent. La rage contre Zeke qu'elle se forçait à contenir n'améliorait pas son état, et c'est avec un regard réellement enflammé qu'elle leva les yeux vers le plafond qui commençait à s'effondrer. Si celui-là avait été vivant, probablement aurait-il tout fait pour stopper sa course, sous le coup de la peur. L'aura meurtrière que dégageait la bretteuse aurait certainement pu surprendre même un yonkou, et c'est avec cette même rage que la Frija se redressa tout en tenant fermement le katana de feu Aaron dans sa main droite. Tout en poussant un hurlement puissant, déchargeant sa colère sur ce qui pouvait la recevoir, l'épéiste fit d'abord un geste oblique. Celui-là, pourtant simple, coupa violemment le bâtiment tout entier, faisant glisser lentement la partie supérieure sur le côté.
Mais il demeurait les rochers qui constituaient le plafond et qui n'arrêtaient pas leur course. Même si la survie de Makui n'était absolument plus sa priorité, la rouquine songea alors que son maître n'aurait pas voulu le voir rendre l'âme de façon aussi pitoyable. C'est avec cette optique que Syrilia se tourna dans sa direction, toujours sabre en main. Elle réalisa toutefois cette fois-ci un geste vertical, et trancha d'un coup sec tout ce qui se trouvait au-dessus de la salle. Les rochers s'ouvrirent en deux, tombant de part et d'autres des combattants sans en toucher un seul : pas même un gravier n'eut la permission de s'effondrer ici bas, et la précision du tranché de la lieutenante de Mars ne faisait que démontrer son talent certain pour le combat. Et alors que la lumière extérieure pointait timidement le bout de son nez, la sabreuse fondit en larmes, tombant à genoux et lâchant le sabre de son si respecté maître, comprenant qu'aucune force ne pourrait jamais le ramener. Elle l'avait perdu, et ne le retrouverait jamais. Et tout ça, par sa faute. Une bataille était achevée, mais déjà une autre débutait.
J'ai pas clos immédiatement, il reste encore Nala à faire agir. J'vous laisse juste quelques jours pour réagir, disons jusqu'à dimanche soir, vers 22h ! En fonction de vos agissements, l'event pourrait se prolonger, mais ça devrait pas continuer longtemps en tout cas.
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Sam 26 Avr - 12:34
Salle x Trône x Event
Samson derrière lui, le marine observait les actions consécutives des deux ennemis face à lui. Le combat était d'un tout autre niveau que le sien, et même s'il avait – avec l'aide des trois autres logias – tenu tête à l'un d'eux, il n'avait rien à voir avec ces types. La puissance du vice-amiral était écrasante. Ce n'était pas seulement son fruit qui le rendait si fort. Son expérience, sa maîtrise du Haki ainsi que sa force brute suffisait à le rendre exceptionnel. De l'autre côté, le paramécia du Shishibukai était plus qu'impressionnant. À la fois esthétique et extraordinairement efficace, il lui permettait de ''tout'' éviter. On aurait pu croire que les deux combattants étaient l'ennemi parfait pour l'autre. A vrai dire, qui pouvait réellement toucher les neutrinos ? Et qui pouvait passer outre la bogue défensive du pirate ? Si l'on devait poser la question à Daisuke, il répondrait sûrement : « Personne, mis à part l'autre ».
La lance du Vice-amiral fonça en direction du Shishibukai et c'est à ce moment-là que le jeune marine décida de passer à l'action. Tout autour de lui se tenait l'un des combats les plus intense qu'il n'ai jamais vu. Même lors de la grande guerre qui opposait les pirates à la marine sur tout un tas de territoire, il n'avait pas assisté à de tels combats. Il faut dire qu'il ne se trouvait à l'époque que sur une petite île où l'affrontement opposé les pirate du Sanguinaire et Douji contre quelques marines. John Pacifique, maintenant Amiral, était aussi présent, mais ne dégageait pas cette puissance. Peut être était-ce juste car il n'avait pas de fruit du démon ? Ceci étant, le combat se poursuivait même avec les actions du Colonel. Il avait beau tenter d'ajouter son sel, il n'y aurait sans doute aucune chance qu'il change le cours du combat. Il s'approcha d'un coin de la pièce et attrapa sa paire de menotte en Granit Marin. C'était la seule chose qui avait réellement fait changer le cours de son combat contre le Vice-amiral. S'il pouvait de nouveau l'accrocher à Makui, il signerait sa reddition.
Par contre, il n'avait pas du tout prévu ce qui arriva juste à la seconde où il attrapa la paire de menotte. D'un seul coup, il se retrouva happé contre le sol. Subissant une forte pression, il se retrouva à genou sans comprendre réellement pourquoi. C'était comme si l'attraction terrestre changeait. Au départ, il pensait au pouvoir de Nala. Pouvait-elle réellement changer ce qu'elle voulait dans ce monde ? Il n'y avait pas réfléchis au départ, mais c'était sans doute possible. Il ne savait pas où elle était passé ni même ce qui lui était arrivé. Mais il comprit que c'était une erreur lorsque la pression augmenta – au point de le faire s'écraser encore plus au sol – et qu'il aperçu les deux attaques simultanées des deux combattants. La pression était exercé par le pouvoir du pirate. Cependant, grâce à son Haki, Makui parvint à en profiter pour blesser fortement le Shishibukai. En simple spectateur, Daisuke se retrouvant couché au sol, par la force exagéré par le haki du pirate, ne put que voir la fin du combat.
Le vice-amiral pu comprendre avant les autres comment ça allait se terminer et lorsqu'il fut transpercer par le poing surpuissant d'Abel, les hostilités entre les deux guerriers se terminèrent.
Péniblement, le jeune marine se releva. Les différents coups qu'il avait prit avait été accentués par la pression insufflée par le pirate et lorsqu'il se leva, la menotte en granit marin dans la main, il était essoufflé. Le combat était-il réellement terminé ? Il s'approcha du corps encore en vie de Makui et sans perdre de temps il lui attacha les menottes.
« Comme ça, c'est terminé ! Fit-il intérieurement. »
Il se tourna alors vers Abel, et il vit Halfken qui tentait de panser les fortes blessures du pirate.
La destruction totale du château fut évitée par une rousse et tout semblait devenir calme. Le marine, plutôt éreinté fit plusieurs fois le tour de lui même pour voir voir la situation. Il y avait des corps étendus au sol. Souvent blessé mortellement, certains ne se relèverait pas. La passion qui l'animait le rendait nostalgique. Comment en étaient-ils arrivé là ? Pourquoi ce fou de Makui avait-il déjà tenté cette folie ? Le jeune Colonel ne savait déjà plus pourquoi il avait accepté l'invitation. Il serra les poings et prit pour la première fois le ton d'un véritable meneur.
« Que tout le monde s'occupe des blessés. Le combat est terminé, Makui a été vaincu ! »
Sa voix était de retour, comme si un déclic s'était fait à l'intérieur de lui et il entendu plusieurs voix. Celle de Makui, de Samson, de Halfken et même celle de Bob, de Loyckh, de Abel, de Zeke. Il pouvait même entendre la voix d'autre personne, mais en plus ''petits'', comme s'ils étaient loin. Il ne pu reconnaître la voix de Zora, ni même celle de Sypher, mais elles faisaient partis de l'ensemble de voix. Il fronça les sourcils comme s'il voulait ne plus les entendre, mais ce n'était pas possible. Il ne pouvait pas les mettre de côtés et pouvait entendre les pensés des gens à ces côtés, c'était pénible, mais il se dégagea du centre de la salle du trône pour rejoindre à nouveau Samson. Il voulait entendre mieux sa voix – il n'était pas mort ! Il ne comprit que peu de chose, mais entre autre il entendit : « Sabre... Hato... Mort... Nakata... »
Puis enfin, il se leva et alla chercher tout les sabres qu'il croisa. Peut être y en avait-il des importants. Il revint au centre de la salle et cria aux autres :
« Mettez un mot sur les corps des blessés ! Si nous revenons d'où nous sommes partis, nous serons séparés. On doit au moins faire comprendre aux gens qui les trouveront qu'ils sont en dangers de mort ! »
Il déposa juste une petite phrase sur le corps de Samson : « Je suis toujours en vie ! » puis...
Récapitulatif du post:
Dai' regarde le combat et tente de trouver une solution pour aider le pirate. Alors que les deux combattes, il s'empare de sa paire de menotte, mais se fait écraser par le pouvoir d'Abel. Le combat se termine sous ses yeux, alors qu'il ne peut rien faire. Alors que le pouvoir du pirate s'estompe, il se relève et va mettre les menottes aux poignées de Makui et annonce que le combat est terminé (il retrouve alors la parole) et s'éveille totalement au haki de l'empathie (sans pouvoir le contrôler) Il va chercher tout les sabres qu'il trouve après avoir entendu la voix de Samson dire : "Sabre... Hato... Mort... Nakata..." Il revient et demande à tout le monde de mettre un mot sur les corps des blessé en cas de séparation.
[/quote]
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Daisuke Aurola
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Dim 27 Avr - 23:29
Elle était encore sur le dos de Mori lorsque, au bout du couloir, un brouhaha effroyable se fit entendre. Le bâtiment était en train de tomber, là-bas... Et c'était également l'endroit où se trouvait Makui, la salle du trône. Le cœur de Nala se serra violemment et immédiatement, et elle se mordit la lèvre pendant un court instant, se demandant comment agir. Mais la peur se fit soudainement trop forte : sans hésiter davantage, la maudite ouvrit une fermeture et sauta du dos de Mori pour le propulser dedans. Elle ramènerait le bretteur à son point de départ, de cette manière, et il ne pourrait pas l'empêcher de progresser comme elle l'entendait... La demoiselle referma le passage immédiatement, empêchant de ce fait l'autre maudit de revenir dans le siège de mars. Par la suite, elle se mit à courir aussi vite que son corps meurtri le lui permettait encore, détalant dans le trop long couloir de pierres mornes et froides avec pour seul objectif celui de savoir comment allait son frère. Elle ne prête pas même attention aux quelques participants qu'elle croisa, bien trop inquiète pour ce genre de formalités, et déboucha soudainement à la porte qui n'était désormais plus qu'un vulgaire tas de gravas. La jeune femme l'escalada sans mal et, depuis son petit piédestal, put observer une scène des plus angoissantes : déjà, Syrilia, agenouillée auprès d'Aaron qui semblait tout bonnement décédé. Ensuite, Abel, non loin de là, en très piteux état, mais auprès duquel s'affairait un autre participant, signe que le Shishibukai avait réussit d'une manière ou d'une autre à sortir pour terrasser Drough. Enfin, le frère du Kokuwo, allongé à même le sol, le torse tout bonnement perforé et se vidant de son sang. Avec effroi, la brune se mit à courir plus vite que jamais en direction du chef de Mars, manquant de tomber plus d'une fois. Elle se jeta à genoux une fois près de lui, pour considérer l'ampleur des dégâts, tentant de ne pas prêter attention aux larmes qui dévalaient sur ses joues, sous le casque encore présent. Elle serra les dents et disparut aussitôt, utilisant son fruit du démon pour réapparaître avec tout un tas de pansement et d'outils de médecins :
-Je t'interdis de mourir, abruti ! Tu m'entends ! Je... Je te l'interdis !
Ainsi prenait fin les glorieux combats du siège de Mars. Dans les larmes et le sang, des êtres venaient d'être profondément meurtris. Certains garderaient des séquelles physiques, d'autres morales. Certains n'en seraient que plus prestigieux, d'autres ne pourraient plus jamais combattre. C'était le lot de tout conflit... C'était le lot de toute guerre.
Amaji D. Mohero, Général des Armées du Gouvernement Mondial.
Car nul n'est jamais vainqueur, en cas de combat. Les pertes innombrables se font de chaque côté, et aucun des protagonistes ne vaut finalement mieux que son adversaire. Le fait est que chaque combattant a ses raisons de s'opposer à son prochain, et qu'il se doit de le faire sans regret aucun. Un guerrier qui regretterait n'en serait précisément pas un, et un homme s'entichant des névroses ne pourra tout bonnement jamais mener ses alliés vers un avenir glorieux. Les décisions qui s'offrent à nous autres, êtres humains, sont parfois d'une dureté et d'une sévérité sans fondement, mais tout ce qui compte, au final... C'est d'assumer ses actes, et de se battre avec cran. L'homme libre n'est jamais que celui qui s'assume.
Voilà, l'event prend fin. Vous pouvez reprendre les RPs au présent ailleurs, demander vos notations et tout le toutim. Ce fut une belle épopée é_è Pour ce qui est de toi, Half, tu es donc, dans l'immédiat, TP à Mariejoa avec Abel. Je te laisse ouvrir un RP auquel un staffien répondra en tant que forces du gouv à cet endroit !