Derrière Le Masque, course poursuite en mer.
Thèmes.
- Spoiler:
https://www.youtube.com/watch?v=kZBu77FZTw0
Ah cela faisait longtemps, on avait quitté le pirate sur une île quelconque. Berné, dépité et surtout très en colère après une personne. Rien qu'en songeant à cette petite peste, cette petite chippie. L'envie de lui arraché les tripes de son crochet le surmontait. Il était en mer, sachant on ne sait comment ? Qu'un jours où l'autre il la retrouverait pour lui faire payer son affront, pour la réduire à néant. Lui faire connaître toutes les horreurs possibles. Il en salivait les yeux rivés sur son objectifs et bien qu'il soit au beau milieu de nul part en pleine mers qu'il ai due affronter les vents et tempêtes. Il ne s’arrêterait pas c'était inévitablement c'est travaux face à la nature. Pendant que lui tel Héraclès de sa force défiait les lois de la nature. La petite Haato elle devait sentir l'épée de Damoclès planer au dessus de sa tête. On connaissait particulièrement le visage d'un Homme alcoolique pitoyable et naïf. Il serait a tort pour vous de le juger sur son premier visage. Car en effet, lorsqu'il ne buvait point pendant un long moment. Killian Jones le musicien au crochet doré devenait un être tout autre, un être sauvage n'hésitant pas à faire couler le sang lorsqu'il le devait. Il, sous les nuages gris, naviguait à présent jusqu'à la prochaine île est qui sait peut être qu'il tomberait, si les dieux lui en donnaient l'occasion, sur la jeune effrontée. Il avait en tête un souvenir après son départ de cette petite île et sa rencontre avec des êtres tout aussi grotesques que bizarres, il...
Flash Back :
Arrivé sur une autre île banale, l'homme amarra. Il posa un pied sur la terre ferme bien décidé à trouver celle qui lui avait fait défaut. Le climat régional était plutôt bon et apaisant. Un temps ensoleillé avec quelques nuages par si et par là. Les habitations étaient faite de bois pour la plupart dans un paysage digne des plus grands films de Clint Estwood, il avança d'un pied ferme et à voir l'égard des habitants à son encontre, il devinait facilement qu'il faisait peur à moins qu'il devait dégager une sorte d'aura haineuse. Il fallait aussi dire qu'un grand inconnu, au regard froncé et portant un crochet qui plus est armé d'un sabre n'aspirait pas fortement confiance. Il se dirigea vers l'auberge du coin. Après en avoir obtenu l'indication grâce à la seule personne qui daigna la lui donner. Lorsqu'il l'avait interroger elle était toute tremblante comme si elle venait de voir la grande faucheuse en personne. Ô cela était flatteur pour l'homme qui entra en poussant les deux petits portillons de bois, dévisageant les clients, il prenait donc place au comptoir et commanda le seul alcool disponible. Un Whisky, on lui annonça le prix, il paya, sirotant le précieux breuvage, souriant machiavéliquement. Le barman guettait d'un œil les activité du nouveau venu dans son saloon. Il redoutait guère les agissement de l'homme qui se tenait face à lui il ne faudrait surtout pas qu'il comète du grabuge, surtout à ce moment précis. Celui que tout homme de l'île attendait. Le grand spectacle pouvait commencer Et elle, entra dans la danse. Une femme, les cheveux châtain clairs aux reflet roux, quelques petites tâche de rousseurs complétaient son charmes. Les yeux noisettes. Et que dire de ses formes si généreuse... Elle chantait et dansait sous les airs de piano jouer par un pianiste qui se trouvait à droite de l'estrade où la jeune femme qui devait avoir une vingtaine d'année à en juger par son physique. Le pirate était subjuguer devant cette créature que les cieux avaient dus malencontreusement relâchés. Après une bonne quinzaine de minute de spectacle, l'homme alla donc à l'encontre de la demoiselle, il lui passa toutes les belles paroles qu'un homme puisse faire, elle le regarda, charmée par les dires du beaux parleur...
Fin du Flash Back.
Il souriait en pensant à la suite des événements survenus la nuit de ce même jours. La pluie elle, avait fait son apparition, en générale elle était annonciatrice de tempête. Cela n'était pas vraiment un bon présage. Et lui sur son petit radeau ne payerait pas une mine face aux courus des mers. Il regardait droit devant, astiquant son crochet, sa main lui manquait. En relevant la tête, il fut grandement stupéfait, il fit mine de craché tout le rhum qu'il avait dans la bouche bien que à présent cela faisait plusieurs jours qu'il n'en avait pas bu. Il se dressa sur le plancher croupi, failli perdre l’équilibre la main celle qui comptait encore cinq doigt agrippant son turban, les yeux écarquillés. Droit devant lui ! Le bateau de cette femme, oh c'était une récompense du destin, il avait attendu patiemment avant de la retrouver elle et son maudit loup. Un sourire charognard aux lèvres. Alors que le tonnerre gronda pour la première fois, l'ombre était prêt à se lancer dans une course folle et périlleuse en mer avec sa proie, d'une voix rauque et terrifiante il fit sortir de sa bouche un mot qui exprimait grandement sa joie :
- Haato.