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Sam 19 Mar - 16:59
La chasse à
L'HOMME !
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Vous savez, les amis. Dans la vie, il y a deux sortes de personnes. Les autres, et moi. Salut, moi c'est Vincent. Mais oui, vous savez, le petit pirate sans envergure qui enchaine les boulettes. Bref, comme je disais, tous les autres sont différents et moi... Et bien je suis unique. Personne ne sera jamais comme moi... Et bien heureusement car j'aurais du souci à me faire. Mon seul but dans la vie était de d’abord retrouver mon fruit du démon bien précieusement caché, puis de le manger et d’aller éclater la gueule de cette enflure de Morihei… Enfin… Tout ne s’est pas réellement passé comme je l’espérais. D’abord mon disciple m’a retrouvé, m’a foutu la branlé du siècle, s’en est allé sans même un remerciement… C’était la mer*e. Ensuite, je suis arrivé à l’endroit où j’avais caché mon fruit… Ah ah ah !! C’est drôle comme la vie est injuste parfois… Je ne sais pas si parfois est le bon mot, pour moi ce serait « tout le temps ». Depuis ma rencontre avec mon maître : désastre sur désastre. A la place du cerisier, du chêne et du petit lac qui indiquait le chemin à prendre il n’y avait que des maisons, et encore des maisons. Ils avaient trafiqué je ne sais quoi ici et plus aucun moyen de retrouver le fruit. Il avait dû être déterré durant les travaux… Encore Morihei.
Enfin, je m’égare. Tout ça pour dire que je suis bien dans la mouise pour réussir un jour à décalquer cet homme qui a ruiné ma vie. Du coup j’ai décidé d’élargir un peu mon champ d’action. Je suis un pirate, après tout. Je devrais agir en pirate et ne pas rester obnubilé par ma vendetta. Pour commencer, il me fallait de l’argent, j’ai donc commencé à réunir des informations sur un éventuel trésor à proximité. C’est comme ça que fonctionnent les pirates, non ? C’est ici que l’on reprend mon histoire…
Non loin de moi, un homme gisait nu, inconscient et baveux. Je tournai la tête et je vis un autre gars dans une position similaire. La surprise me ramena sur terre lorsqu’un seau d’eau se déversa sur moi et où je me rendis compte que j’étais dans la même situation. Non, mais… What !? J’n’ai pas eu le temps de me lever que le type devant moi approcha et me mit un bon coup au visage. Je tombai, pour lui faire plaisir, tu vois, et surtout pour éviter qu’il continu, mais ça ne fonctionna pas et j’en reçu une bonne paire, ou deux, j’sais plus. En tout cas, ça ne faisait pas si mal, il tapait comme une mauviette. Je me retins d’en faire la remarque et il se calma enfin. Je n’étais rentré dans son établissement que pour avoir quelques informations, mais vous savez comment marchent les affaires. Tu offres un verre à un type, et pour pas qu’il se sente seul, tu l’accompagne. Pour qu’il parle plus tu lui en offres un autre, puis un autre et encore un autre, et tu le suis à chaque fois. Et enfin, tu vas voir quelqu’un d’autres, et tu recommences. Après, les patrons ne sont pas très compréhensifs, aussi. Je leur dis pourtant que je les paierais. Une fois que j’aurais trouvé mon trésor. Ils ne me croient pas. Personne. Aucun. Nada. D’ailleurs, ce soir-là, je n’eu aucune information, et le pourquoi du comment je m’étais retrouvé à poil dans la rue à trois heures du mat’, j’m’en souvenais déjà plus. Je me levai donc juste après que la brute ne rentre et m’éloignai de la sortie non sans vérifier si mes vêtements n’y étaient pas. Je ne pu récupérer qu’un reste de banane et une sorte de serviette que j’enfilai (pas la banane). Au détour de la ruelle je ne distinguai personne et je me précipitai pour éviter toutes malencontreuses rencontres. Enfin, vous savez ce que c’est… Les patrouilles des marines passent souvent vers trois heures et quart du matin pour voir si des gens ne se baladent pas nus dans les rues… Il fallait qu’ils sortent aussi dans la rue au moment où je courrai…
Je pense que tout ça est lié, mais je ne le dis pas de peur que l'on me prenne pour un fou. D'ailleurs qui ne me prendrait pas pour un fou, hein ? Je tentai d'esquiver le groupement de marine, mais le mal était fait, ils en avaient trop ou pas assez vu.
"Arrêtez-vous, où nous userons de la force. Lança l'un d'eux. - Comme si j'avais peur de vous. Répliquai-je, involontairement."
Et je fuyais comme il n'était pas permis. Je reconnaissais l'endroit, mais je n'avais mis les pieds qu'une fois dans l'auberge et manqua à plusieurs reprises de m'écraser le pied contre une table ou une chaise. Je montai les marches deux à deux et entra dans la chambre. Il faisait sombre et même la fenêtre n'éclairait pas assez la pièce pour que je puisse m'y retrouver. J'entendais les pas de mes poursuivants approchaient, ils ne pouvaient pas être déjà là, si ? Je n'étais pas si discret, après tout ? Ils étaient juste derrière la porte et l'un d'eux dit que c'était là qu'il m'avait vu entrer. Genre, par cette obscurité, il m'a vu ! Je m'approchai de la fenêtre pour m'enfuir à la moindre occasion quand je sentis quelque chose de bizarre dans la pièce. Elle n'avait pas mon odeur... A l'instant même où je réalisai que je n'étais pas dans ma chambre, les premiers coups se firent ressentir à la porte. Les marines tentaient d'entrer...
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Vincent W. Turen
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Sam 19 Mar - 19:17
Peinard, ENFIN. Une nuit de repos complète après une traque infernale d'un mec qui m'en avait fait voir de toute les couleurs. J'en été ressorti sans blessures mais épuisé d'avoir couru toute la journée à sa poursuite. L'attraper n'avait pas été simple, mais j'avais fini par y arriver, notamment grâce à l'arrivée surprise d'une calèche qui l'avait renversé. Bon, l'attraper grâce à ça est assez pitoyable, mais il avait été remis à la marine, donc tout allait bien.
L'auberge en elle même était confortable, le lit moelleux, les sanitaires exemplaires, j'aurais pu me croire dans une auberge de luxe si je n'avais pas vu les prix étonnamment bas pour des chambres de cette qualité. Le bain chaud m'avait fait un bien fou, et le repas copieux avait achevé de me convaincre que cette auberge était une bénédiction divine pour les chasseurs épuisés. Le lit m'avait alors attiré dans les méandres de ses couvertures et m'endormir n'avait été qu'une formalité remplie en quelques secondes seulement.
Alors pourquoi, putain de POURQUOI est ce qu'on tambourinait à ma porte en plein milieu de la nuit? POURQUOI est ce qu'on ne pouvait pas me laisser dormir comme je le voulais alors que j'en avait enfin l’opportunité? Et enfin, POURQUOI, grands dieux, POURQUOI EST CE QU'UN MEC EST DANS MA CHAMBRE? Je n'était quand même pas si crevé que ça, je devrais avoir pensé à fermer la porte à clef. Sa présence m'indique que non. Dans le noir, tout ce que je peux dire, c'est qu'il doit faire un peu moins d'une tête de moins que moi et qu'il est à poil.
Sans déconner. Pourquoi j'ai un mec à poil dans ma piaule? On peut m'expliquer là? Et toujours ces tambourinements sur ma porte. Je récupère l'autre idiot à côté de la fenêtre, le jette à l'intérieur de la pièce puis ouvre la porte pour tomber nez à nez avec quatre marines bien chauds à les entendre gueuler comme ça.
« PATROUILLE 44 D'ARMAGEDDON TOWN! UN CRIMINEL S'EST INTRODUIT DANS L'AUBERGE ET ON L'A VU ENTRER DANS VOTRE CHAMBRE! ECARTEZ VOUS ET LAISSEZ NOUS LE RECUPERER!»
« OK non. Chut. Stop, tais toi merci. D'une, on ne réveille pas les gens en pleine nuit pour un truc comme ça, et de deux, ON NE GUEULE PAS EN PLEINE NUIT DANS UNE AUBERGE SINON CA REVEILLE LES CLIENTS. Surtout que dans ma piaule, ya que moi et mon hérisson. Alors t'es mignon, moi je vais me recoucher, et je verrais ça demain. Et si t'es pas content, demande aux autres clients, on verra bien ce qu'ils en disent.»
Autres clients qui se sont «étonnamment» réveillés après les braillements de l'autre idiot et qui sont apparemment assez mécontents de ceux-ci. Et le jeunot en face de ma porte plie rapidement sous les mines renfrognées de la multitude de tête dépassant des portes, et finit même par s'excuser d'une petite voix avant de repartir accompagné des trois autres types en chuchotant des trucs. Bien, ça fait un problème de réglé, et le second ne va pas tarder.
L'autre andouille infiltrée pas foutue de se planquer d'une patrouille de gamins étant en train de remonter la fenêtre, je le rattrape rapidement, le retire à l'intérieur de la chambre, et c'est alors qu'il m'alpague.
« Hey euh, ouais, merci de m'avoir couvert mec. Maintenant je vais y aller hein.»
« Je crois pas non. Tu va rester là, j'vais finir de dormir et tu va pas bouger sinon je t’assommes. On verra le reste demain OK? T'as qu'à dormir dans un coin de la chambre, mais je te jures si tu sort je te foutrais dans la merde, encore plus profondément que tu y es déjà. Maintenant, bonne nuit.»
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Dim 20 Mar - 17:20
La chasse à
L'HOMME !
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La situation n'était pas à mon avantage, clairement. Il ne peut pas m'arriver que des merdes, hein ? La seule chose dont je suis sûr, c'est qu'un jour je finirais par enfin avoir mon moment de gloire, mais ce ne serait pas pour ce soir. J'aurais très bien pu les éclater, ces marines, mais qu'auraient-ils pensé de moi ? Un pervers à poil nous a défoncé la tronche, on jure de le retrouver, coûte que coûte. En même temps qu'est ce que j'aurais pu me dire ? Un pervers à poil nous a défoncé la tronche, on jure de le dire à personne ? Des conneries tout ça... A moins que.
Dans cette chambre qui semblait de plus en plus appartenir à quelqu'un d'autre, je sentis du mouvement derrière moi alors que j'allais sauter. C'était sans doute le locataire de la chambre, mais sa présence me surpris. Il ne ronflait pas quand je suis rentré et, ronfler est sans doute l'action que tout un chacun fait dans une auberge. D'une ça agace les voisins et de deux c'est plus reposant. Je ne m'en prive jamais ! Mais non... Lui il ne doit pas être de la même engeance que moi.
Bref, il m'agrippa et me ramena à l'intérieur, comme s'il voulait me livrer aux marines. Mais quel fou ce type. J'suis un pirate, moi ! Un vrai de vrai ! Je ne me laisserais pas attraper comme ça. Le type s'éloigna et ouvrit la porte et je croyais qu'ils allaient mettre la main sur moi. Mais alors qu'un des soldats indiqua son ordre et son intention de m'attraper, il se rendit compte, tout comme moi, qu'il n'en aurait rien.
"OK non. Chut. Stop, tais toi merci. D'une, on ne réveille pas les gens en pleine nuit pour un truc comme ça, et de deux, ON NE GUEULE PAS EN PLEINE NUIT DANS UNE AUBERGE SINON CA REVEILLE LES CLIENTS. Surtout que dans ma piaule, ya que moi et mon hérisson. Alors t'es mignon, moi je vais me recoucher, et je verrais ça demain. Et si t'es pas content, demande aux autres clients, on verra bien ce qu'ils en disent."
Quelque chose que j'aurais bien aimé dire aussi à sa place. Mais vaille que vaille il fallait que je m'en aille. Je profitait de l'excitation pour m'enfuir discrètement, mais il ne me laissa pas faire, encore une fois. Il me ramena à nouveau dans la pièce et je ne trouvai rien de mieux à dire que : "Hey euh, ouais, merci de m'avoir couvert mec. Maintenant je vais y aller hein." Ce à quoi il répondit directement : "Je crois pas non. Tu va rester là, j'vais finir de dormir et tu va pas bouger sinon je t’assommes. On verra le reste demain OK? T'as qu'à dormir dans un coin de la chambre, mais je te jures si tu sort je te foutrais dans la merde, encore plus profondément que tu y es déjà. Maintenant, bonne nuit."
Alors comme ça il m'invitait à dormir avec lui. Une invitation comme ça, ça ne se refuse pas.
"Tu sais, ma chambre doit être juste à côté, et vu la nuit que j'ai passé, je dormirais bien jusqu'à demain aprèm, m'enfin, si tu veux vraiment qu'on dorme ensemble, ça me va, j'ai toujours aimé l'aventure. Au fait, merci pour toute à l'heure. Je me présente Vincent Turen. Je suis un pirate et je deviendrais l'un des plus craint sur terre. M'enfin, pour l'instant je ne suis qu'un vaurien, mais ça changera le jour où j'aurais mon équipage. Et toi, tu es qui ?"
J'attendais alors la réponse du type qui venait d'aller se coucher. Peut être était-il aussi un pirate et peut être que l'on pourrait faire équipe pour devenir les plus redouté des mers. Ainsi, j'aurais mon premier camarade de jeu, depuis belle lurette. Enfin bref...
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Mar 22 Mar - 18:16
« Tu sais, ma chambre doit être juste à côté, et vu la nuit que j'ai passé, je dormirais bien jusqu'à demain aprèm, m'enfin, si tu veux vraiment qu'on dorme ensemble, ça me va, j'ai toujours aimé l'aventure. Au fait, merci pour toute à l'heure. Je me présente Vincent Turen. Je suis un pirate et je deviendrais l'un des plus craint sur terre. M'enfin, pour l'instant je ne suis qu'un vaurien, mais ça changera le jour où j'aurais mon équipage. Et toi, tu es qui ?»
« Moi c'est Sana, je suis chasseur de primes. Pas la peine de flipper, j'ai déjà rempli mon quota mensuel, donc te ramener à la Marine ne m'intéresse pas le moins du monde. Si j'avais voulu le faire, je l'aurais déjà fait d'ailleurs. Si tu veux aller dans ta piaule, vas y, mais on devra quand même parler demain matin, j'ai deux trois trucs à te dire. Allez, bonne nuit, et si tu va dans ta chambre, fermes la mienne.»
Je me renfonces sous les couettes, mécontent de cette interruption dans mon sommeil, et attends de voir sa réaction avant de dormir. Il ne bouge pas pendant quelques minutes, et je sombre dans le sommeil avant de savoir si il faisait quoi que ce soit. Ce lit est vraiment une tuerie et son moelleux m'achève avant que j'ai pu faire quoi que ce soit.
Résultat, je m'éveille tard dans le matin, sans doute environ midi et il a disparu de ma chambre. J'espère bien qu'il est dans celle d'à côté, sinon je risque de m'énerver, et si je dois dédier mes vacances à le retrouver pour lui pourrir la vie, je le ferais. Je suis pas un type rancunier, mais il y a des limites quand même, je lui ai sauvé la mise, il pourrait au moins rester et dire merci.
Mais pour le moment, j'ai plus important à faire, à commencer par manger. Je meurs de faim, et j'ai hâte de tester le «service d'hébergement complet» de l'auberge. Je découvre rapidement qu'il faut ici comprendre qu'en fait, l'auberge est presque plus un hôtel en fait, vu qu'elle propose une salle pleine, avec une carte et tout. Et comme je n'ai pas d'idée et que je ne suis pas difficile, je prends le plat du jour, un gigot à la sauce braisé avec des légumes. Et je ne suis pas déçu, la viande est épaisse, juteuse, bien cuisinée, et même si la sauce est un peu trop relevée et qu'elle altère le goût de la viande, il n'empêche que je me régale. La seule ombre au tableau, c'est que l'autre idiot n'est toujours pas en vue.
Le personnel ne l'a pas vu sortir non plus, il est donc toujours en train de dormir. Je lui laisse jusqu'à quinze heures, après je vais le réveiller. Je trouve donc à m'occuper comme je peux, avec un livre, puis en reprenant une douche, puis en vérifiant mon matériel, en faisant courir un peu Kissifrotsipik pour éviter qu'il s'empâte trop bref, je tue le temps, jusqu'à quinze heures. Je retourne alors dans l'entrée demander aux réceptionnistes si ils l'ont vu, mais toujours rien, il ne s'est pas présenté pour le service déjeuner non plus.
L'heure de l'emmerder donc. Vengeance, douce vengeance. Tu m'as réveillé en pleine nuit alors que je dormais si bien, maintenant c'est mon tour tu va voir. Je remonte donc à mon étage, secoue un peu la porte, fermée, la crochète grâce à un usage ingénieux de mon pouvoir et d'une épingle trouvée dans le couloir, m'approche discrètement du lit, avant de le soulever avec force.
« ALLEZ FEIGNASSE DEBOUT!»
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Mer 23 Mar - 22:30
La chasse à
L'HOMME !
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Alors là, je restai bouche bée. Comment un type comme lui pouvait rester de marbre après ce que je venais de lui annoncer ? "Je deviendrais le plus craint des pirates" et lui, il restait de marbre, en rajoutant qu'il était chasseur de prime. Bon, dans tous les cas, je n'avais pas encore de prime sur ma tête. A moins que je ne sois pas au courant. Je soupirai et, ne comprenant pas sa façon de penser, me mis à réfléchir. Ça ne dura pas cela dit, car une heure plus tard, je sortis de ma réflexion, il dormait déjà.
"Monsieur le chasseur de prime. Lançai-je. Je vais me coucher. Je vous dis à toute à l'heure, et merci encore pour les marines."
Je sortis et fis comme il m'avait prescrit. Je fermais sa porte avant de descendre boire un verre. Il n'y avait personne, mis à part deux poltrons qui étaient en train de décuver au fond de la pièce. Je m'approchais du bar et demandai au barman l'heure.
"Il est bientôt cinq heure de matin, je suis en train de préparer les petits-déjeuners. Vous voulez quelque chose ? - Non, j'ai pas faim. En fait, je vais prendre juste un truc à grignoter, mais je le mangerais dans ma chambre, c'est bon ? - Bien sûr, monsieur. Vous voulez autre chose ? - Servez-moi un double Irish, que je vais prendre aussi dans ma chambre."
Il s'en alla préparer ma commande et je me permis de lire le journal. C'était bien sûr celui de la veille, le nouveau n'arriverais que dans une heure ou deux, mais cela me rafraichirait peut être les idées de savoir ce qui avait bien pu m'arriver quelques heures plus tôt. Rien d'intéressant dans les dix premières pages. Il faut dire que je ne regardais que les images, puis le serveur arriva avec mon Irish, deux croissants et un jus de fruit.
"Voici le petit déjeuner classique, monsieur. Je ne vous ai pas servi de café, ai-je eu tort ? - Non, c'est très bien, merci."
La fatigue se faisait de plus en plus sentir et j'eus du mal à remonter les marches qui menaient à ma chambre. Une fois devant ma porte, je posais le tout à mes pieds, me frottai les yeux et baillai. J'entrai ensuite et allai me coucher. Je pris mes aises juste après et bu mon Irish presque d'une traite, après avoir dégusté la mousse crémeuse.
"Hum. Un délice. Ajoutai-je avant de m'endormir et de tacher mon drap."
Quelques heures plus tard le soleil me réveilla et, avec mon corps endolori par la fatigue et les quelques coups que j'avais pris dans la nuit, je me levai et allai manger mon petit-dej'. Succulent, quoique le jus de fruit avait prit la chaleur ambiante et les croissants commençaient à perdre de leur savoureuse texture. Je m'approchai de la fenêtre et ouvrit grand les volets. Je dû plisser mes yeux, car le soleil m’éblouis un moment. Vu sa position, midi devait déjà être passé depuis un moment déjà, on entamé l'heure de la sieste, ce que j'allai faire quand j'entendis la présence de quelqu'un derrière la porte de ma chambre. Dans la précipitation, j'avais du faire quelque chose qui avait déplu à quelqu'un et il devait venir me chercher des noises. Ni une ni deux, je me faufilais jusqu'à mon lit, fit semblant d'y être en allongeant mon traversin et alla me cacher dans le placard, la fenêtre ouverte, l'on penserait que je me suis tiré et je pourrais observer ladite personne à son insu.
Elle entra et fusa sur mon lit avant de hurler :
"ALLEZ FEIGNASSE DEBOUT!"
Je ne reconnaissais pas du tout le type et j'avais bien l'impression qu'il m'en voulait personnellement. Je restai derrière la porte, observant à travers les fines ouvertures, en attendant de le voir partir à ma recherche... Ailleurs. Je baissais la tête et me rendit compte que j'avais passé la nuit à poil... Mais que m'était-il arrivé, bon sang ?!
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Jeu 24 Mar - 18:57
Soulever et laisser retomber le lit, ça fait pas mal de bruit, un grand «schbam» qui doit déplaire au parquet, mais tant pis. Ce qui me gêne un peu plus, c'est que l'espèce de mariole qui m'a réveillé cette nuit n'y est pas, remplacé par un traversin. Un vrai guignol dis donc, il doit se trouver hilarant à faire ce genre de blague. La fenêtre a côté est ouverte, donc il a dû se barrer sauf que....
J'ai un doute. Un vrai gros doute. Un mec normal se serait barré par la fenêtre mais lui? Qui se permet de balancer qu'il sera un jour le pirate le plus craint au monde? Qui met un traversin à sa place dans son lit pour faire croire qu'il y est? Lui, c'est le type de gars fourbe, et si je sors de cette pièce, je suis presque sûr qu'il sera mort de rire, parce qu'il aura tout vu, parce qu'il est planqué dans la pièce. Aucune idée d'où exactement, mais je suis quasiment sur que ce mariole s'est caché pour que je suive la trace de la fenêtre.
« Comment il s’appelle ce con déjà? Ah oui, c'est ça. Vincent, sors ton cul de ta planque, on a a causer j't'ai dit. Je pensais pas devoir venir te chercher dans ta chambre pourtant. Enfin, vu que t'es rentré dans le mienne hier, j'imagine que ça nous met ex-æquo. Euh, bref, montre ta mouille quoi.»
Sans grande surprise, aucun mouvement. Il veut pas sortir, il a peur de moi? Peur de quoi, que je le capture et que je le refile à la Marine? Je lui ai déjà dit hier que ça m’intéressait pas, alors qu'est ce qu'il me fait là, il joue les timides? Le grand vilain chasseur de primes est dans la piaule du «plus grand de tout les pirates» et celui ci se planque? Oh merde, il est quand même pas encore à poil quand même....
Tant pis, je vais devoir le chercher moi-même. Je commence par quoi, la salle de bain, les toilettes, les placards? Allez, on va les faire dans cet ordre là. La salle de bain est sommaire, mais bien rangée, et il ne se planque ni dans la douche, ni sous l'évier, ni sous le tapis de bain. Les toilettes sont propres également, et n'indiquent pas de passage récent, contrairement au salon et son plateau de petit déjeuner qui doit dater d'il y a même pas une demie-heure. Trente minutes, les filles en bas ne l'ont pas vu, il m'a senti devant sa porte? La vache, il a tout pour faire un bon fourbe dis donc, les pièges, les réflexes de fuite, la capacité à savoir qui est là dans son sommeil...
Plus que les placards donc, et si les deux premiers ne donnent rien, le troisième s'avère concluant. Et mes craintes s'avèrent exactes.
« Rah putain mec, t'es encore à poil? Sans rire, je t'ai dit que je venais, t'aurais pu m'éviter ça merde. Bon allez habilles toi, la discussion peut attendre, j'ai pas super envie de tailler le bout de gras avec un mec à poil.
HRP: Short, mais quand on a pas d'idée, bah on a pas d'idée.
_________________ [18:47:44 25/02/2016] @ Fenice Nakata : /ikick Asante Sana [18:52:55] Ja'far Al-Ta'ir : Sana, j'ai envie de le prendre [22:39:12] @ Zeke Lundren : yop SANAAAAAAAAWAPITIMAMAOU [15/05/2016 17:26:50] Kanaë Toupex: Sana? [15/05/2016 17:26:55] Kanaë Toupex: Je suis à toi
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Jeu 24 Mar - 23:28
La chasse à
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Le rasta enragé s'était empressé de retourner mon lit et, voyant mon absence il semblait se frustrer encore plus intérieurement. C'était peine perdu, je le sentais, il allait accourir vers la fenêtre et s'en allait, comme prévu. A ce moment-là, j'irais me trouver quelques habits et je filerais en douce le plus loin possible pour le fuir. Il se mit à marmonner puis il me parla, comme s'il sentait que j'étais présent dans la pièce. Au début, je fus un peu surpris et arrêtai de respirer. Il se mit alors à me chercher, et alors que la peur s'évanouissait, je le vis rentrer dans la salle de bain. J'en profitais pour sortir de ma cachette, Je marchai sur la pointe des pieds, pendant qu'il s'amusait à me chercher dans la cabine de douche. Il ne me trouverait pas là-bas, pour sur.
Il sortit alors de la salle de bain, et moi, recroquevillé derrière le lit, je me cachai, espérant qu'il ne tourne pas la tête par ici. Je levai la tête et le vis aller vers les toilettes. J'en profitai pour attraper le fourreau de mon sabre et retournai rapidement dans le placard, l'on ne sait jamais, il aurait pu tout à fait arrêter sa vérification, mais si jamais il venait à me trouver, je l'attendrait de pied ferme. Je n'allais pas me laisser faire par un voyou comme lui, qui entre sans ménagement dans la chambre d'un autre.
Il approcha alors de ma planque, ouvrit les deux placards à ma droite, puis ce fut le tour du mien, mon dieu, la tête qu'il faisait !
" Rah putain mec, t'es encore à poil? Sans rire, je t'ai dit que je venais, t'aurais pu m'éviter ça merde. Bon allez habilles toi, la discussion peut attendre, j'ai pas super envie de tailler le bout de gras avec un mec à poil."
Je ne pu retenir mon rire plus longtemps !
"Pffouah !!!"
J'étais mort de rire, mais je ne savais pas réellement pourquoi.
"J'sais pas qui t'es, mec ! J'ai trop l'impression de t'avoir fait quelque chose de mal, mais j'sais pas c'que c'est ! Tu peux me rafraichir la mémoire ? Attends, je m'habille !"
Je ne pouvais pas décemment lui faire du mal... En fait, je remarquai que mon fourreau était vide, je n'avais plus mon sabre... Décidément, la journée quoi. Je mis directement le premier pantalon qui me vint à la main et enfilai une chemise en la boutonnant rapidement. Une fois que je repris mon calme je m'excusais et ouvris la porte de ma chambre.
"Que dirais-tu d'aller boire un truc pendant que je casse la croute ?"
Je continuai ensuite la conversation, sans attendre sa réponse, en lui expliquant ma situation.
"En fait, voilà. En ce moment, ça va pas trop tu vois. Depuis quelques mois, j'y arrive plus et j'essaie pourtant. Hier, par exemple, j'suis parti chercher des informations sur un trésor qui se trouverait quelque part à l'est d'ici. J'suis allé récolter dans une taverne non loin de là, puis au bout de ma troisième discussion... C'est le trou noir. J'sais plus c'qu'il s'est passé. J'ai de la chance, cette fois, j'ai réussi à rentrer dans ma chambre... Bon, cela dit, j'ai appris que c'était a à peu près trois kilomètres à l'est, j'ai même récupéré une carte. Mais j'ai faim."
J'ouvris alors la marche en continuant sur les premières marches de l'escalier puis là, je vis un homme qui me rappelait vaguement quelque chose. Je me tournai vers ma nouvelle connaissance et après un regard inquiet l’enquis à s'en aller.
"Casse-toi... Vite !"
Je me tournai juste avant de me recevoir un bon coup dans la figure. Je tombais alors dans les escaliers... Le deuxième homme s'avança alors vers le rasta s'il n'avait pas fuit et l'empêcherait de passer.
"Alors, Vincent. Tu pensais vraiment qu'on allait t'oublier ? Tu nous dois un bon paquet de fric, tu sais. Tu pensais vraiment qu'on allait laisser passer ça ?"
Ce type... D'où est ce que je le connaissais, au fait... ?
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Vincent W. Turen
Sana Asante
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Ven 25 Mar - 19:11
Ce rire de gamin. On dirait qu'il ne comprends rien à ce qui lui arrive et que son seul mécanisme d'autodéfense face à l'incompréhension, c'est le rire nerveux. Sauf que le sien n'a rien de nerveux.
« J'sais pas qui t'es, mec ! J'ai trop l'impression de t'avoir fait quelque chose de mal, mais j'sais pas c'que c'est ! Tu peux me rafraîchir la mémoire ? Attends, je m'habille ! »
Il me prends pour un con ou il a vraiment picolé comme un trou? Ou alors il est juste complètement attardé? Sans rire, je l'ai quand même trouvé à poil dans un placard en train de serrer un fourreau vide comme s'il allait me frapper avec. Bon, il se lève quand même et s'habille en speed, se retrouvant ainsi avec une chemise mal boutonnée et un pantalon aux couleurs immondes qui serait plus à l'aise sur un épouvantail que sur un être humain, mais bon les goûts et les couleurs... Il propose alors d'aller boire un verre, ce qui ne m'intéresse pas des masses, mais si je le lâche, je ne le retrouverai pas. Je n'ai de toute façon même pas le temps de répondre qu'il enchaîne déjà.
«En fait, voilà. En ce moment, ça va pas trop tu vois. Depuis quelques mois, j'y arrive plus et j'essaie pourtant. Hier, par exemple, j'suis parti chercher des informations sur un trésor qui se trouverait quelque part à l'est d'ici. J'suis allé récolter dans une taverne non loin de là, puis au bout de ma troisième discussion... C'est le trou noir. J'sais plus c'qu'il s'est passé. J'ai de la chance, cette fois, j'ai réussi à rentrer dans ma chambre... Bon, cela dit, j'ai appris que c'était a à peu près trois kilomètres à l'est, j'ai même récupéré une carte. Mais j'ai faim.»
Ok, donc il est sacrément con en fait. Il n'a même pas compris que quand on cherche des informations, c'est l'autre qui doit boire, pas soi-même, sinon ça finit comme ça, sauf quand on tient bien l'alcool. J'ai donc un débile complet qui ne se rappelle même pas ses conneries sur les bras, il serait foutu d'avoir perdu sa fameuse carte en plus. Il s'engage alors dans les escaliers, croise des types chelous, me dit de dégager et prends une patate, qui lui fait se casser la gueule dans les escaliers en question.
Un deuxième gars s'approche de moi, le genre grosse brute sans cervelle qui domine tout le monde, sauf que je commence à en avoir plein le cul de cette journée pourrie, que je lui mets dix bons centimètres et qu'il faudrait peut-être voir à arrêter de me faire chier. Donc, je réponds à sa menace de gros bras.
« M'écarter? T'as pas compris mon gars. C'EST TOI QUI DEGAGES BORDEL!»
Le tout accompagné d'un bon gros coup de pied à plat sur sa poitrine, qui le repousse de deux mètres avant qu'il reprenne son équilibre... dans les escaliers également. Bien fait pour sa gueule tiens, fallait pas venir m'emmerder. Et l'autre qui parle de dettes? Ce débile est recherché pour dettes en plus? Mais dans quoi je m'embarque encore...
_________________ [18:47:44 25/02/2016] @ Fenice Nakata : /ikick Asante Sana [18:52:55] Ja'far Al-Ta'ir : Sana, j'ai envie de le prendre [22:39:12] @ Zeke Lundren : yop SANAAAAAAAAWAPITIMAMAOU [15/05/2016 17:26:50] Kanaë Toupex: Sana? [15/05/2016 17:26:55] Kanaë Toupex: Je suis à toi
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Lun 28 Mar - 18:52
La chasse à
L'HOMME !
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Mais d'où je le connaissais. Ce n'était pas une personne que j'avais vu récemment, sinon il ne m'aurait pas fait cet effet-là. Au début, je pensais que c’était un type à qui j’avais emprunté de l’argent et auquel je ne l’avais pas rendu, cependant, je n’avais jamais demandé de l’argent à qui que ce soit, au contraire, j’évitais de devoir de l’argent à qui que ce soit. Je n’étais pas riche, mais j’avais appris à vivre avec un minimum d’argent. Je pouvais chasser, pêcher et même boire l’eau des puits discrètement. A quoi me servirait de l’argent si ce n’est pour me loger et payer des gens pour ma protection ? Le minimum vital, je l’ai toujours et je n’use d’argent que pour mon bonheur personnel, donc non, je n’ai jamais eu besoin d’argent d’autrui, mais je m’égare. Peut être que le coup était plus puissant qu’il n’y paraissait. Je me remettais à peine de mes émotions que le grand costaud qui accompagné celui qui m’avait parlé me rejoignit à terre, frappé par le rasta. « De la folie ? NOUS SOMMES DES SPARTIATES ! Lançai-je… Dans un livre que j’ai lu, il y avait la même scène, c’est trop épiiiiiique ! »
L’homme qui venait d’atterrir à mes côtés se releva rapidement, mais je lui mis un poing dans la figure qui l’endormi pour un moment. Je me retournais vers celui qui m’avait frappé et tentai de le reconnaitre. « Je ne suis plus aussi chanceux qu’avant, mais je sais toujours me battre. Qui êtes-vous ? Je ne dois d’argent à personne. - Que veux-tu que je te dise, Vincent. On avait parié un bon paquet de fric sur toi, à l’époque, tu sais. J’sais pas si tu imagines la quantité de pognon qu’on a perdu quand tu es parti sans dire un mot ? - Aaaaaaah ! Tu parles de ça ? - Ouais… Je parle de ça. Et tu vas manger… - Ca y est !!! Je me souviens ! T’es l’autre avec son fruit ! J’l’ai perdu au fait ! - Ah ah… Ah ah… Ah… » Je crois que je n’avais jamais entendu quelqu’un rire ainsi. Il me semblait reconnaitre une sorte d’impatience et d’envie de meurtre. Je l’avais déjà ressenti, cette sensation. « Bon, tu sais quoi… Ton toutou est couché et moi, j’ai pas que ça à foutre, ça te dirait d’aller voir ailleurs ? - T’as pas compris, hein… Tu croyais vraiment que j’allais venir seul ? - Bah… c’est pour ça qu’il est là, le gorille, non ? - Pff… Toujours aussi con, ma parole. C’EST L’HEURE, LES AMIS. L’heure de la vengeance a sonné. » Alors, la porte d’entrée se fracassa. Je sais, c’est cliché, mais bon… Les gars comme eux n’ont aucune originalité. Je reconnus les deux premiers, Jasper Alberta et Greg Manitoba, deux anciens combattants que je m’étais fait plaisir à écraser sur le ring. Le premier portait une sorte de carapace sur le dos qui empêchait toute les attaques sur son flan arrière et le second était plus du genre gros bras black, un peu comme le rasta dans les escaliers. Ils étaient plusieurs à leur ressembler et je savais que quelque chose n’allait pas bien sur le coup. Je tournai la tête vers le rasta, puis vers eux… Puis à nouveau vers le rasta, encore une fois vers eux… Je savais maintenant… Il fallait que je me dépêche. Je me précipitais vers le rasta, et le dépassa. En passant à côté de lui je fis : « Désolé… Tu peux les faire attendre deux petites minutes… Je dois me changer, t’as vu la gueule de mes vêtements. Si on doit se battre, il faut que j’ai la classe ! » Je montai alors jusqu’à ma chambre, espérant ne pas me faire suivre par les autres…
Je courrai le plus vite que je pouvais, déchirai ma chemise et jetai mon pantalon sur le lit, j’allai alors dans le placard pour récupérer mes vêtements…
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Mer 30 Mar - 9:36
Bon, l'autre idiot s'est fait balourder dans les escaliers avec Vincent et maintenant ils tapent la discute en m'ignorant. Apparemment, il devait se battre dans des combats pas très légaux et comme il s'est barré sans rien dire, les mecs ici présents qui avaient pariés sur lui ont perdu gros. Et en plus il a trouvé le moyen de perdre un fruit du démon, mais quel putain de boulet... Même le mec que j'ai balancé à l'air d'en avoir plein le cul de ce type, et je le comprends.
« Bon, tu sais quoi… Ton toutou est couché et moi, j’ai pas que ça à foutre, ça te dirait d’aller voir ailleurs ?»
«T’as pas compris, hein… Tu croyais vraiment que j’allais venir seul ?»
« Bah… c’est pour ça qu’il est là, le gorille, non ?»
« Pff… Toujours aussi con, ma parole. C’EST L’HEURE, LES AMIS. L’heure de la vengeance a sonné. »
Là, la porte d'entrée s'abat en fracas et deux types apparaissent, un grand black et un mec chelou avec de l'armure que dans le dos. Encore un débile, si tu portes une armure porte la sur tout le corps bordel. Ce qui me chiffonne, c'est qu'ils sont six derrière à ressembler aux deux qui sont entrés. Carrément zarb et pas super ragoûtant vu la tronche des mecs.
« Désolé… Tu peux les faire attendre deux petites minutes… Je dois me changer, t’as vu la gueule de mes vêtements. Si on doit se battre, il faut que j’ai la classe !»
« Tu te fous de ma gueule! Tu restes là et tu te bats merde! »
Malheureusement il est parti avant que j'ai pu finir ma phrase, certes vers sa chambre, mais il serait foutu de sortir par la fenêtre comme le lâche qu'il est. Bon, je lui accorde le bénéfice du doute, j'en tabasse deux, si il est pas revenu d'ici là, je me barre vers sa chambre pour le coller dans la merde. Mais en attendant, faut les choper.
Je décide donc d'ignorer le mec qui donne les ordres, juste parce qu'apparemment, c'est une tanche incapable de se battre qui ne sert qu'à donner des ordres, un mec inutilequoi, et si je le laisse en vie, il ira certainement chercher Vincent pour le foutre dans la merde, et même si je ne suis plus là pour voir ça, putain j'adorerais ça.
Je saute donc du haut des escaliers et fonce vers le premier grand black pour le mettre à terre en un coup grâce au Break. Pas le temps de déboîter l'épaule par contre, ses potes seront pas d'accord, mais au moins celui là ne fera plus le mariole. J'esquive un coup de poing du mec à carapace avant de lui asséner un coup à l'estomac qui le fait se plier et en profite pour lui coller un coup de genou dans la tronche avant de lui rabattre la tête dans le sol, ce qui l'a apparemment assommé vu qu'il ne bouge plus. C'est aussi le moment où tout les gars derrière se ruent sur moi, et je sais reconnaître un combat trop difficile ou juste chiant. Et puis, j'ai rempli ma part de mon contrat interne. J'en ai mis deux à terre, maintenant, il se démerde.
« Allez les moches, on s'active! »
Sur ces mots, je tourne les talons et court vers la chambre de Vincent, histoire de bien le mettre dedans. Si il le faut, je sauterais même par sa fenêtre pour l'emmerder.
_________________ [18:47:44 25/02/2016] @ Fenice Nakata : /ikick Asante Sana [18:52:55] Ja'far Al-Ta'ir : Sana, j'ai envie de le prendre [22:39:12] @ Zeke Lundren : yop SANAAAAAAAAWAPITIMAMAOU [15/05/2016 17:26:50] Kanaë Toupex: Sana? [15/05/2016 17:26:55] Kanaë Toupex: Je suis à toi
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Jeu 31 Mar - 9:13
La chasse à
L'HOMME !
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Alors que je montai les escaliers, je sentais leur présence derrière moi. J’étais à la fois excité et étonné qu’ils ne m’aient pas prévenu qu’un tel évènement allait se produire, je me serais bien habillé, bon sang. J’étais donc de nouveau à poil, mais cette fois, ça ne durerait pas. Je fouillais dans mon placard à la recherche de la pièce unique, celle qu’il me fallait pour ce genre de situation. J’ouvris le sac qui se trouvait tout en bas, avec les vêtements en pagaille et je trouvais d’abord deux pantalons… Non, ceux-là n’irait pas. Je continuai et trouvait alors le T-shirt parfait. Quelque chose de pas trop farfelu, mais avec un zest d’originalité. Il était presque tout à fait uni et blanc, avec une inscription sur l’avant et un dessin du genre tribal à l’arrière. Je le déposai à mes côtés pour trouver le reste de ma tenue. A ce moment-là, j’entendis le début des hostilités en bas… Ah la la… Il fallait que je me dépêche pour au moins avoir le droit de dire que j’ai participé. Je trouvais finalement le bon pantalon ! Noir, uni encore, mais cette fois il était parfait, et contrasterait exactement avec le haut.
Au moment où j’allais donc me rhabiller, je vis un truc briller dans le sac. Intrigué, j’attrapai alors l’objet en question, et c’était la bague que j’avais hérité en même temps que mon sabre. Cool ! Je la mis à mon majeur droit et souriais en voyant la veste noir qui allait avec le pantalon que j’avais choisi. Ma tenue au complet j’allais m’habiller quand le rasta entra brusquement dans ma piaule !
« Non, mais sérieux ! J’avais dit de les retenir en bas ! »
A ces mots, je vis qu’il n’était pas seul et un type me fonça dessus. J’attrapai alors mes vêtements et avec un sourire je lui fis un grand signe de la main, montrant uniquement la bague que je venais d’enfiler, puis avec sa vitesse, et l’effet de surprise, il me prit de court et m’envoya valser par la fenêtre par laquelle je volais. Je ne su dire combien de temps je mis avant d’atterrir, mais ce fut beaucoup moins dangereux que la fois où je m’étais battu contre mon disciple à Water Seven. Johnattan était devenu quelqu’un de bien plus fort que ces gars ne le deviendraient jamais. Je tombais alors au sol, mais me rattrapais rapidement. Je crus alors avoir un moment de répit, mais à ma grande surprise, la rue était bondée et j’étais à poil. Je souriais un peu niaisement pour paraitre cool, même dans cette situation, j’n’avais même pas pris de caleçon. Merde !
Je commençai donc à me rhabiller. D’abord le pantalon, puis en me rapprochant de l’auberge je constatai que trois types étaient sur mes talons. J’avançais alors vers eux et je voyais bien qu’ils m’attendaient, était-ce un piège ? Rien à foutre, on y va ! J’enfilai alors mon T-shirt tout en avançant.
« Tu te rappelles de nous, Vincent ? - Pas le moins du monde, gros tas ! Mais j’suis content que vous si, je vais pouvoir me dégourdir un peu, là ! » Je souriais avant de prendre un air concentré au possible.
« Je t’en supplie, Ô grand dieu des étoiles, viens à moi. Que la grâce qui t’a été accordé, me soit accordée et que… » Je pris alors un mauvais coup sur la tête par une personne qui sortait d’un étal. Je ne compris pas d’abord puis je reconnu Bruce Ontario. Ce type-là était une vraie plaie. Un sournois sans pareil, mais avec une force herculéenne.
« On vient de te dire qu’on était venu pour toi et qu’on se rappelait de toi, abruti… Tu crois vraiment que tes tours de passe-passe à la magie qui vient d’on ne sait où allait marcher ? Sérieux, mec, évolue ! Tu nous as tous fait le coup au moins une fois. - Ha ha ha ha ! Je comprends mieux maintenant… Je vous prenez tellement pour des cons que je pensais que ça marcherait à chaque fois… Bah j’ai plus qu’à y allait sérieusement. » Je me relevais une nouvelle fois et mis enfin le dernier élément de ma tenue spéciale… Bon, elle était un peu sale maintenant que j’avais du la frotter au sol plusieurs fois, mais c’était pas grave, j’étais fin prêt !
« Attention, les gars, ça va chier ! Vous voyez cette bague ? C’est elle qui va vous en faire baver ! RETOUR ! »
… … …
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Dim 3 Avr - 10:52
« Non, mais sérieux ! J’avais dit de les retenir en bas! »
« Ouais c'est con hein? J'me suis dit que tu devais te sentir seul, alors je t'ai ramené tes potes. Ils vont rigoler en te voyant encore à poil par contre, mais t'as l'habitude j'imagine. Le nudisme, tout ça tout ça. »
Bon, là il se fait percuter par un des gars que j'ai ramené et il passe par la fenêtre comme un boulet avec deux autres gars, sans compter celui qui l'a propulsé à l’extérieur. Me reste donc deux gars en armure et un grand black à tabasser avant d'être peinard, ou alors.... Ou alors je peux passer par la fenêtre et le laisser se demmerder. Ça pourrait être très drôle, mais pas super cool, donc on va s'occuper des gars ici présent avant de faire ça.
Le grand black en tête de ligne, il prends un crochet du droit à la mâchoire sans vraiment avoir l'air de le sentir vu qu'il ne bouge pas et riposte par un coup de tête. Bon, ça va que j'étais assez loin de lui pour ne pas le prendre, mais quand même, un coup de tête? Le résultat arrive vite, je lui colle un coup de genou dans la tête, et comme ça n'a décidément pas l'air de lui faire grand chose je finis par lui briser un genou avec un coup de talon bien costaud. Autant il ne bougeait pas de mes coups précédents, autant le craquement retentissant et les hurlements qui s'ensuivent m'indiquent qu'il n'est pas invulnérable. Il ne posera plus de problème normalement, donc on verra après.
Il reste donc les deux tas avec leur armure de tortue un peu pourrie et surtout complètement ridicule. Là, je ne prends même pas le temps de réfléchir ou de les attendre, je balance un coup de pied à la tempe du premier et un coup de tête au second. Ça les aura calmés, même si ce n'est que temporairement, et ça me fera gagner du temps. Je saute alors par la fenêtre pour découvrir Vincent en train de se rhabiller, qui balance encore une grosse connerie et qui finit par se prendre un coup sur le crâne. J'hésite entre le «bien fait pour ta gueule» et le «fallait pas faire le con en plein milieu d'un combat Bozo», mais ça revient finalement un peu au même.
Suite à une remarque encore plus stupide qu'avant qui n'est bonne qu'à les énerver encore un peu, il se relève avant de balancer un truc comme quoi sa bague va leur en faire chier. Mais bien sûr, je suis sûr qu'ils vont y croire après toutes les conneries que tu leur as balancés espèce de débile. M'enfin, autant jouer le jeu, juste histoire de rigoler un coup. Je balance une de mes aiguilles vers l’œil du mec qui l'a pris en traître, entends avec satisfaction un hurlement de douleur et balance un grand:
« Ah ouais putain ça marche sa connerie. Vincent, on avait dit que tu faisais plus ce genre de trucs je crois. Remarques, si t'étais bourré tu t'en rappelles sans doute plus. Bon bah continues alors. »
Les mecs ont l'air un peu confus, pas trop sûrs de ce qui se passe, mais finissent par passer à l'attaque. Je m'assieds alors, achète un citron, et mords dedans à pleine dents en profitant du spectacle. Finalement, cette journée se révèle presque amusante. Je me sens comme un gamin qu'on emmène au cirque parce qu'il a eu une journée merdique. Espérons que ça dure.
_________________ [18:47:44 25/02/2016] @ Fenice Nakata : /ikick Asante Sana [18:52:55] Ja'far Al-Ta'ir : Sana, j'ai envie de le prendre [22:39:12] @ Zeke Lundren : yop SANAAAAAAAAWAPITIMAMAOU [15/05/2016 17:26:50] Kanaë Toupex: Sana? [15/05/2016 17:26:55] Kanaë Toupex: Je suis à toi
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Dim 3 Avr - 19:50
La chasse à
L'HOMME !
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De l’autre côté d’armageddon Town.
Le ciel était bleu, les oiseaux chantaient et deux hommes avaient pour mission de surveiller une arme. C’était un peu bancal comme mission, mais ils étaient bien payés. Ils avaient répondus par « pour autant de billet, je peux même vous la garder pour une année, votre arme, monsieur » au type qui leur avait laissé. Il leur avait laissé deux instructions, très simple : Ne jamais toucher au coffre qui contenait l’arme et ne laissait approcher personne. C’était aussi simple et pour donner plus de simplicité, il leur avait dit qu’ils auraient plus de chance de la garder en sécurité s’il ne la bougeait pas. Mais cette arme était maudite, par on ne sait quel moyen, elle était capable de se mouvoir. Des hypothèses parlent de fruit du démon, d’autre de sorciers. Rien de tout ça n’est vrai, c’est juste une technologie avancée et inutilisée encore et incompréhensible pour le genre humain… C’était peut être de la magie en effet. Concentrons-nous sur la boite qui contenait l’arme. Un boite en bois, faisant plus de deux mètres de large et une trentaine de centimètre de long et de haut. « Sans doute un bazooka, je dirais, vu la taille et la somme qu’il nous a donné. - C’est quoi un bazooka ? - Bah, tu sais ! Une sorte de gros pistolet, quoi. Ca envoie des boulets de canon, mais on peut le mouvoir comme un gros fusil. C’est super cher, je crois ! - Sérieux ? C’est possible ça ? J’arrive déjà pas à viser avec un pistolet, je toucherais pas ma cible avec ça. - Pas besoin de viser, ça explose tout. Ha ha ha ! - Ouais, t’as raison. » Les deux hommes observaient la boite quand celle-ci se mit à bouger.
« Oy ! T’as vu ça ?! Elle a bougée ! - Impossible. C’est qu’une arme ! Ca ne peut pas bouger ! - Sauf si elle est vivante ! J’ai aussi entendu parler d’arme vivante. - Tu lis trop d’histoire, mon vieux. » Elle bougea à nouveau, et les deux hommes le virent, cette fois. L’un reculait déjà alors que l’autre ne bougeait plus. « Tu as peut être raison, pour une fois. T’as peur, pour reculer autant. - On sait pas ce qu’il y a la dedans. C’est peut être un humain, tout compte fait ! Il a parlé d’arme, mais vu le prix, on a du se faire arnaquer !! Je me casse, moi ! - Mais non. Lança-t-il, trop tard… Trouillard. Si on nous paye autant pour juste la surveiller, c’est qu’elle doit avoir une valeur autre que ce qu’on nous laisse entendre. » L’homme s’avança alors de la boite dans l’espoir d’en savoir plus, peut être même l’ouvrir, un des deux préceptes qu’on lui avait dit de respecter.
« Tu ne devrais pas faire ça, jeune homme. T’as pas écouté ton patron ? Fit un homme mystérieux. - Et toi, tu fais quoi ? Si tu as entendu notre conversation, tu devrais savoir que je ne dois pas te laisser t’en approcher. - Pff… Toujours les mêmes. » En un geste vif, le pirate frappa le gardien et ferma la porte derrière lui. Le gardien servirait de coussin pendant les heures où l’épée bougerait encore. Lui, il ne bougerait pas de là, jusqu’à ce moment-là, où elle s’arrêtera et où il pourra bouger. Il connaissait si bien Vincent qu’il savait qu’il ne tenterait pas de l’utiliser de suite…
Du côté de Vincent.
Alors que mon plan de faire apparaitre mon arme semblait inefficace, je souriais lorsque je vis Bruce hurler de douleur. Je me doutais que cela venait de l’arrivé récente du Rasta, qui après sa pique en ma direction alla s’assoir pour manger un citron. Je lui fis un signe de la tête, reconnaissance de l’aide qu’il m’avait donnée. Je m’approchais alors d’un étal pour récupérer une des barres en bois qu’on utilisait pour tenir les toiles protectrices, vous savez celles qui sont souvent avec des rayures blanches et rouges et qui servent à sauvegarder les produits du soleil ou des intempéries. Une fois cela fait, cette même toile s’effondra sur lesdits produits et je me retournai vers mes adversaires.
« Cela devrait suffire, en fin de compte. »
Le premier arrivant fut un black. Je le laissai arriver vers moi avec lenteur et puissance. Je me préparai et le frappai violemment avec la barre, avec ma technique hōmuran. La barre en bois s’éclata sur son visage et le type recula d’un bon mètre avant que je m’approchai de lui et lui explosai le visage une nouvelle fois avec un autre coup violent que je nomme personnellement Ultimawashi. Le combattant s’écrasa au sol, inconscient. J’étais content, enfin une bonne chose de faites. Il n’en restait plus que trois, si mes souvenirs étaient bons. Je me tournais vers eux alors que la foule se dispersait.
« Je vois qu’on a fait fuir les curieux… Le combat est déjà beaucoup moins intéressant, car on sait tous ce qui arrive quand la foule s’en va en hurlant ! Elle n’a pas hurlée ? Et Merde… Bref. Si on continue, on sait tous ce qui va arriver. Vous allez vous retrouver avec Jasper et Greg coincés à l’hopital pour un bon mois. Ce que je peux vous proposer, c’est qu’on arrête là, on va boire un coup, on voit si on peut s’arranger et… »
Pas le temps de finir que j’étais déjà en train de courir. Non pas que la fuite soit mon point fort, mais comme on dit : S’il n’y a pas de spectateur, à quoi bon se battre ? Si c’est le rasta le seul et unique témoin de leur humiliation, c’est vraiment pas drôle. Je tournais rapidement le dos à mes assaillants et virais à droite à la première intersection. Comme j’avais l’habitude de courir dans les rues, j’esquivai facilement les gens qui ne connaissaient pas la situation et je me mis rapidement à emprunter la démarche d’un homme de ma taille, me retrouvant au centre d’une foule que je croyais alors bien plus éloigné. Cette technique de dissimulation Kage Bunshin, je devenais l’ombre de l’homme que je suivais. Pour un œil averti, je ne ressemblais qu’à l’homme que je suivais, comme une sorte d’ombre portée en trois dimensions. Même si je n’étais pas identique en tout point, si l’on me voyait de dos, l’on pourrait aisément me confondre.
Je profitai donc de ma fuite pour me faire tout petit pendant quelques jours, mais c'était plus facile à dire qu'à faire. Mais je reviendrais, m'occuper de mes affaires avec le rasta, je lui en dois bien une !
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Ven 8 Avr - 18:50
Arracher le support d'un étal, c'est moche de sa part. Je veux dire, le marchand ne lui a rien fait après tout, c'est pas super sympa de lui étaler son gagne-pain comme ça. Si j'étais à la place du marchand, je lui aurais sans doute collé une patate, mais bon, il a préféré fuir, chacun ses préférences j'imagine. Il se retourne au moment où un des gros blacks un peu allumés du ciboulot lui fonce dessus comme un malade. Et il se prends un bon coup de bâton dans la tronche, suffisamment puissant pour faire éclater la barre, et sans doute la tête du noir.
Celui-ci recule d'un bon mètre accompagné d'un sifflement admiratif de ma part avant que Vincent ne lui saute dessus pour finir de lui latter la tête d'un bon coup de pied, laissant donc trois mecs assez vénères et près à lui sauter dessus histoire de lui apprendre les bonnes manières quand.... il court et se barre. La foule s'était dispersée, et il a fui la rejoindre le salaud. Et je l'ai vite perdu de vue histoire de couronner le tout, donc non seulement je vais devoir m'occuper des trois lourdauds mais en plus je vais devoir le retrouver maintenant.
Les trois lourdauds, c'est pas très durs, ils sont aussi nuls que les autres et finissent rapidement par terre, assommés ou juste incapables de bouger. Vraiment des tanches, ils espéraient vraiment avoir l'autre anguille avec des mecs comme ça? Sans rire, qu'est ce que c'était que ces gars, des optimistes, des ahuris? Bref, toujours est il que faut retrouver Vincent maintenant, j'ai décidé de lui pourrir la vie deux trois jours, et je vais le faire putain. Ça lui apprendra à me réveiller en pleine nuit et à me forcer à me friter contre des débiles incapables de planifier correctement.
Vu que je n'ai pas de plan précis pour le retrouver, je rentre à l'hôtel avant de percuter. Je peux leur demander de le surveiller, si il a une chambre, il y rentrera bien à un moment ou à un autre. Malheureusement, au bout de deux ou trois jours, j'apprends qu'il n'est non seulement pas rentré, mais que sa location de la chambre est finie, et qu'il ne viendra donc pas avant un bout de temps. Très gênant, d'autant que je n'ai plus vraiment de temps à lui accorder. Faisant contre bon gré mal gré, je décide de temporairement laisser tomber.
Obligé de partir, l'île m'ayant assez vu pour le moment, mais je jure que la prochaine fois que je le croise, je le foutrais dans une merde noire. Plus noire que ses cheveux, c'est pour dire. En attendant, je trouverais bien quelque chose à faire...
P.S: OK, c'est putain de court par rapport à d'habitude mais j'avait aucune foutue idée de comment clore le RP. Donc paf
_________________ [18:47:44 25/02/2016] @ Fenice Nakata : /ikick Asante Sana [18:52:55] Ja'far Al-Ta'ir : Sana, j'ai envie de le prendre [22:39:12] @ Zeke Lundren : yop SANAAAAAAAAWAPITIMAMAOU [15/05/2016 17:26:50] Kanaë Toupex: Sana? [15/05/2016 17:26:55] Kanaë Toupex: Je suis à toi