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Mer 16 Aoû - 0:38
Colonel Darwin
- C'est trop calme...
Le Colonel Darwin tenait un beignet salé – oui, salé – dans sa main droite. Il était à moitié entamé (le beignet, pas le Colonel...), et le liquide qui en dégoulinait semblait survenir du gras de la viande qui avait saupoudré le précieux. Après avoir accueilli les membres de l'équipage du Colonel Gratz au port, repérés par un veilleur de jour, il avait insisté pour que ces derniers viennent en sa compagnie s'informer des mesures de sécurité sur l'île. Plusieurs fois il répéta : « Ne touchez pas aux bonbons. ». Et s'il ne parlait pas de ses bijoux de famille, il avait en revanche un sucre d'orge un peu mou dans sa poche. L'objet du crime était tâché de sang, et seul la couleur rougeâtre du pantalon du Colonel permettait de comprendre qu'il n'en avait rien à faire.
- Colonel Gratz, nous avons eu quelques problèmes : des marines tués récemment et des enlèvements. Je vous remercie d'avoir répondu à mon appel de détresse.
Le vieil homme aurait eu du mal à répondre à ce fameux « appel de détresse ». Rougissant à côté, un lieutenant se remémora qu'il aurait du envoyer ce fameux message comprenant à peu près la description de la nature de l'affaire. Or, il s'était endormi, et à son réveil ses collègues l'avaient emmené boire à la taverne - « Ah, cette foutue taverne et cette délicieuse Éloïse ! » se dit-il en recommençant à rêvasser.
- Quoiqu'il en soit, je vais revenir sur les détails envoyés dans le message. Tout d'abord, il y six jours, huit de mes hommes ont été retrouvés morts. Leurs corps étaient dans un sale état... Pour ce qu'il en restait. Ils avaient éclatés de l'intérieur selon le légiste. Nous avons pu les identifier grâce à leurs écussons.
Il montra un écusson à son homologue. Le fameux objet était d'une taille standard. Le centre était forgé pour donner l'impression d'une créature étrange – sûrement en pain d'épice – et en dessous figurait un matricule. Il y avait dans ces objets une bande magnétique qui, en contact d'un appareil spécial fourni par la section scientifique, réagissait aux portes de la base. Il était ainsi possible d'entrer et de sortir des lieux par les entrées faites en métal – les plus importantes structures étaient en effet renforcées et recouvertes de sucreries pour éviter les infiltrations trop abusives.
Au sol, cependant, quelques rats pullulaient dans la base. Les pauvres animaux étaient régulièrement tués, remplissant leur rôle de nuisible dans un environnement qui n'aurait pas du les accueillir.
- J'imagine que vous aimeriez vous reposer avant de commencer l'enq-, fit finalement le Colonel après avoir expliqué en quoi la base était exceptionnelle même sur Grand Line.
Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'une explosion retentissait déjà aux côtés de la base. Le Colonel n'hésita pas un instant et déplaça tout son gras jusqu'aux pourtours de la si belle structure.
Alibaba
Un rat se recroquevilla dans la main d'Alibaba. Celle-ci jeta un coup d'oeil au plafond qui s'était mis à trembler à cause d'une explosion et soupira. La révolutionnaire était une experte en infiltration. Bon gré, mal gré, elle s'était à de nombreuses reprises trouvée sur la route de la marine, et son rôle à présent était d'enquêter sur la structure de cette base pour préparer la venue de ses compatriotes, si tant est qu'ils arrivent un jour.
La souris qu'elle avait dans la main n'avait ni nom, ni personnalité pour la plupart des êtres humains. Elle faisait pourtant partie de sa légion de rongeurs qui recueillait pour elle les données nécessaires. Après la mort des marines, à la fin de la semaine précédente, elle avait demandé à ses animaux de rechercher ce qui pourrait lui être utile pour entrer dans la base et s'était retrouvée avec un écusson. Ses incartades aux alentours de la grande structure lui avaient apprise à devenir encore plus subtile qu'auparavant. Et à présent qu'une explosion retentissait aux côtés de la base, elle avait pouvoir en profiter pour en arriver à ses fins.
Gränt Diez Polka, primé à 213.000.000 Berrys, et Kerk
- Gränt Diez Polka... Vous avez un sacré toupet de vous retrouver ici, hein ?
Le Supernova n'était que de passage, normalement. Cela faisait pourtant quelques jours qu'il s'était arrêté en ces lieux, et qu'il dévorait montagne de sucreries à s'en rendre malade. Son équipage et lui avaient succombé à la tentation que représentait Sweety Peaks, et comme nombre de ses compères, ils se retrouvaient enlisés dans leur flegme.
- Qu'est-ce que vous me voulez ?
L'homme primé à 215.000.000 de Berrys se releva de tout son poids. S'il ne s'était pas encore fait prendre, c'était grâce à la stratégie des marines du coin : plus le sucre vous bouchait les artères, plus vous êtes faciles à capturer. Simple comme bonjour, efficace depuis toujours.
- Oh... Rien qu'un petit défi à vous proposer.
Les deux hommes se regardèrent. Le premier était paresseux de visage, son expression faciale tombant toujours vers le bas. Ses cheveux clairs, son regard ocre, sa carrure svelte et musclée lui donnaient pourtant les atouts de quelqu'un de séduisant. Ses cheveux étaient surmontés d'un bandana qui les retenaient en arrière. Son bronzage affirmé laissait percevoir les semaines en mer qu'il avait récemment passé, maniant le gouvernail sur son pont. Autour de lui, une demi-douzaine d'hommes dont la prime totale frôlait les 100.000.000 berrys avait quitté leur repas pour s'intéresser à la conversation.
Quant au second personnage, celui-ci portait une armure sur le bras, un long manteau qui lui donnait un air sévère, et le visage entouré de deux mèches, fermant et figeant son expression qui était d'un sérieux déconcertant. Les deux hommes avaient fini de communiquer. Le Capitaine Gränt Diez Polka était prêt à lancer l'assaut, et au moment de l'explosion, il sortit dans les rues de la capitale en beuglant, toujours d'un air las :
- Pour Roger !
Gol D. Roger...
Résumé : Vous êtes du côté de la Capitale. Je me suis permis de vous PNJiser pour permettre de vous lancer directement dans l'action. Alors que vous êtes dans la base (Pour les marines), une explosion retentit. Elle amène le Colonel Darwin à sortir. Vous pouvez entendre, en sortant de la base, Gränt qui beugle - il a la voix qui porte assez loin et se trouve à au moins quelques pâtés de maison, mais pas en direction de l'explosion, plutôt à l'opposé.
Pour le coup, il n'y a pas d'ordre pour poster. Vous avez une semaine en tout. Attention à être cohérent entre vous et n'hésitez pas à communiquer entre vous.
Bon courage.
Maître-Jeu
Shiki M. Eiki
Général de la Révolution
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Mer 16 Aoû - 2:43
Shiki
Mini Event
What the heck ?
Les leçons de l’organisateur du tournois m’avaient été profitables et m’avaient même permis d’avancer à mes yeux. C’est sans doute cet événement qui m’avait conduit à finalement avancer sur Grand Line plus tôt que prévu. Qui sait si mon séjour ici ne serait pas vite remis en cause ? Après tout, il s’agissait là d’un lieu dangereux compte tenu du fait qu’il s’agisse de la mer de tout les dangers. Ne sachant pas si j’avais le niveau, je désirais mettre à l’épreuve mes compétences pour plus tard finalement tenter d’entrer en contact avec ce fameux Erwin. Il me semblait être un homme bien et converser avec lui devenait une priorité. Mes premiers pas en tant que révolutionnaires ne seraient officiel qu’une fois une entrevue avec lui offerte, sans quoi, je me considère comme neutre et le monde semblait approuver puisque je n’avais aucune prime à mon actif, malgré le fait que je me suis fais incarcérer une fois à cause d’un souci de ... Respect de la force de la marine. Une vieille histoire désormais. J’étais loin de l’île où ça c’est produit actuellement et je doute que les troupes de mouettes avaient fait un dossier à mon nom exprès pour ça... Je suppose ?
Que fais un épéiste qui se veut être de renom sur une île de ce genre ? Il sauve la gente féminine, aide les enfants pauvres ou autre ? Pour une fois, il n’en était rien. Aussi déraisonnable cela soit-il, je flambais quelques berrys en échange de sucreries en tout genre et me gavais telle une oie qu’on préparais pour les fêtes. Triste tournure n’est-ce pas ? Pourtant; malgré ma gourmandise, mon pêché, cela ne m’empêchais pas de donner à quelques enfants pauvres ou semblant faire la manche quelques unes de mes sucreries au passage. En plus de me donner bonne conscience, faire un bon geste, je retardais ma mort par bouchon au niveau des artères de quelques jours, à moins que ce soit une question d’heures ?
Plus sérieusement tout se déroulait bien jusqu’à ce que finalement quelque chose chamboule ma journée. Sans que qui que ce soit puisse le deviner, une explosion retentit. Comment louper un tel brouhaha ? Mais alors que des gens semblaient crier des choses en faisant référence à l’ex roi des pirates, je me décidais à couper la foule qui semblait paniquée pour me diriger non pas à l’abri, mais bel et bien vers le lieu de l’explosion. Pourquoi donc ? Sans doute car il devait y avoir des blessés. Peut-être est-ce un traquenard, une ruse pour attirer des gens et donner lieu à un carnage si c’est une attaque contre les marines, mais je ne pouvais pas rester les bras croisés alors que de possibles civils sont en danger.
Je me remémorais alors un petit incident qui aussi minime soit-il m’avait marqué et laisser un goût amer en bouche. En effet, un jour, un incendie avait ravagé une maison dans un petit village et j’avais tenter de sauver des gens coincés, mais à cause d’une poignée de secondes de trop, j’avais échoué dans la tache que je m’étais imposé : sauver ces gens. Rien qu’en y pensant, je revois cette image de bois qui flambait et ces pseudos silhouettes qui devaient être les corps coincés dans les décombres.
“ Plus jamais...”
Murmure à moi-même, je me dirigeais donc en vitesse vers le lieu de l’explosion refusant de ne pas pouvoir être utile dans une possible aide à sauver des gens blessés, sonnés, ou déboussolés par cet incident que personne n’aurais pu prévoir. Naïvement, j’étais loin de me douter de la gravité de l’instant. Rien que la présence de certaines personnes pourraient me faire froid dans le dos, tel cette fameuse organisation criminelle qui se veut de plus en plus influente : Les Shadow Ghost. Comment résumer la situation pour l’heure ? Au mauvais endroit... Mais au mauvais moment ? Cela restais à voir.
résumé:
Bon ben pour une fois, monsieur le héros ... se gave de bonbecks... Classe n'est-ce pas ? Mais quand l'explosion retentit, immédiatement il tente de se rendre sur place. Proche de base de la position de Polka et Kerk, il coupe la foule dans les ruelles et va à contre-courant pour aller vers le lieu de l'explosion au cas où il y aurait de l'aide à fournir pour sauver d'éventuels civils ou blessés. Mais qui sait ce qui pourrais se passer ? Si quelqu'un l'arrête etcetcetc x)
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Shiki M. Eiki
Nils Gratz
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Dim 20 Aoû - 22:50
L'enfer, c'est les autres
Cela faisait maintenant quelques jours que le navire voguait sur les eaux et depuis peu, plus une once d’air ne semblait rafraîchir les membres du Compost. Jone Snow était vraiment émerveillé de la faune sous-marine mais chacun des membres d’équipages paraissaient l’ignorer : répétant à tout bout de champs des « t’as vu ? », il avait fini par saouler l’ensemble de l’équipage avec son dynamisme.
C’était d’ailleurs visiblement le seul ou l’un des seuls à avoir remarqué qu’ils traversaient la Calm belt… et pour cause ! Ipère était, comme à son habitude, en train de roupiller. La mission avait pourtant été claire : trouver des informations sur les pirates qui avaient perpétré l’attaque de Toroa l’année passée. Nils n’attendait que de pouvoir s’assurer le bien-être de Toroa… même si au fond de lui, un sentiment de besoin de vengeance se faisait ignorer bien qu’il puisse être présent.
Avec sa longue vue, Clepe Tomane vit finalement une terre au loin. Loin de se douter qu’il ne s’agissait pas de la mer de West Blue, il scanda l’information et c’est au pas de course que le colonel arriva sur le pont pour voir ça de ses propres yeux… malheureusement pour lui, il constata que ses yeux n’était plus ce qu’ils avaient pu être par le passé.
Ipère se réveilla en sursaut lorsque son acolyte de toujours gueula comme un putois. Totalement inconscient du temps qui avait pu s’écouler, lui aussi était persuadé d’être arrivé à la bonne destination. Ce n’est que lorsqu’il regarda le ciel qu’il comprit qu’il s’agissait d’une toute autre mer : les astres ne mentaient pas. Déglutissant devant sa bêtise, il s’apprêta à prévenir les autres mais sa narcolepsie le rattrapa soudainement et il s’endormit sur la barre. Ne se réveillant que pour accoster sur l’ile.
C’est le Gratz, accompagné de quelques hommes et lieutenants qui descendirent les premiers. Le vieillard avait hâte d’en découdre et d’en savoir plus sur ceux qui avaient osé attaquer son ile et… prendre la vie de sa chère et tendre. Arrivant devant son homologue, il s’apprêta à prendre la parole lorsque « La Mama » accourut à ses côtés : bavant littéralement devant le colonel trop gras pour être grand, elle avait des beignets à la place des yeux et de vraies rondeurs qu’elle fit bouger dans tous les sens pour l’aguicher. Sa marmite à la main, elle émit même une sorte de roucoulement qui tenait plus du grognement que de la sérénade qu’elle espérait de prime abord.
D’abord décontenancé, Nils n’entendit qu’à moitié les paroles du colonel Darwin.
Quoi ? Elle est où la prêtresse ? L’ancêtre avait confondu détresse et prêtresse. Maintenant qu’il possédait son premier indice, le grand-père n’hésita pas une seconde à scruter dans toutes les directions. Les détails lui importaient peu. Toujours d’une oreille distraite, il confondit légiste et Eglise : aucun doute possible, la prêtresse n’était pas loin. Prenant un air grave et on ne peut plus sérieux, Nils plissa les yeux lorsqu’on lui tendit l’écusson. Soudainement, c’est Clepe qui réagit le premier : les yeux brillants, une étoile lui passa dans les yeux tout en se mettant à beugler en pointant le dit-objet.
CECI EST UN OBJET DE GRANDE VALEUR ! Alors qu’il imprimait un mouvement ample pour se saisir de l’écusson, c’est finalement le jeunot de l’équipage qui s’en empara dans ses crocs. Bondissant de nulle part dans sa forme complète, il se mit à courir en direction de la base d’un air joueur, poursuivi de près par le voleur amateur.
REVIENS ICI SALE CABOT ! Les deux hommes ne ralentir qu’un peu lorsque l’explosion retentit, bien trop absorbés : l’un par le jeu du chat et de la souris, l’autre par son bien qui lui passait sous le nez. Nils Gratz, quant à lui, avec un air des plus sérieux maintint son regard en direction de la fumée qui s’élevait lentement maintenant au ciel. Avec un ton plus dur que d’habitude, il ordonna.
Ité, Ipère. Deux soldats et avec moi. Les autres… Marquant un temps, il ne savait plus quoi dire. Après tout : ce n’était encore que ses débuts en tant que chef ! Haussant finalement les épaules, il se résigna finalement à laisser quelques hommes au navire et envoya les autres retrouver les deux énergumènes perdus dans la base. D’autres encore essaieraient de prendre de la hauteur avec des fusils : il fallait tout de même le maximum de monde sur le front. Visiblement, la prêtresse comptait remettre ça avec cette ile. Nils pensa que cette fois-ci il était là… cette fois-ci… il n’y aurait pas deux Toroa.
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Signature réalisée par Komatsu
Nils Gratz
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Lun 21 Aoû - 23:16
L'enfer, c'est les autres !
Des clics, des clacs montaient des entrailles du navire de la marine qui faisait voiles vers on ne savait trop où. A l'intérieur notre héros était occupé a bricolé sur une expérience d'importance colonial selon ses dire, en sachant ça son compoarse le fameux Léo ne pouvais s'empéchais de ce demander si l'on pouvais réelement qualifier le petit mécanisme que trafiqué Senjin de " Colonial ". Encore si l'artefact en question permettais de conquérir une ile sans se froisser un muscle ou dépenser la moindre goutte de sueur ça aurais vraiment compté, mais la juste quelque fil soudé et raccordé a un micro aimant sur lequel reposé une toile tendu avec tout un tas de mécanisme vibratoire entre les deux, le chaperon ne comprenait vraiment pas le but de l'engin.
Le Senkuu hurla alors de joie, les larmes coulant a flot tandis qu'il emboité toute les partis de l'engin, pour enfin l'incéré dans sa propre oreille afin de le testé. Son doigt dérapant l'apareil ne se mit pas en fonction mais notre scientifique en herbe put tout de même attesté qu'il fonctionnait, comment ? Car il entendait tout trés bien autour de lui, donc forcément son invention fonctionnait. Bref ne nous étalon pas trop la dessus nous y reviendront sous peu.
Pourquoi ce petit engin, a vrai dire depuis qu'il avait été recruté au sein du compost il n'avait put s'empécher de tiquer quand a la façon déroutante du colonel de comprendre tout de travers, prenant même le temps de tenter l'étude de son oreilles interne pendant que le pauvre vieillard reposait en paix. Etude a chaque fois sans succés et couronné par une execrable séance de suffocation a cause des gaz interne du drole de personnage.
Mais ce qui avait impressionné le plus notre jeune imberbe n'était autre que la grande moustache du vioque, qui d'ailleur se trouvé sur le pont quand le jeune homme sortie de son laboratoire de fortune. Le jeune homme ne faisant pas attention au dire du délirant qui le commandait il suivis la petite troupe a terre tout en s'extasiant sur tout ce qui passait sous ses yeux, jusqu'au moment où lui et Léo tombèrent d'accord pour dire que les fortification en sucre était vraiment un don du ciél tandis qu'il se goinfrait mentalement des dites sucrerie.
Tout ce passait bien pour nos deux comparse jusqu'au moment où une éxplosion retentie aux loin laissant Léo dire sur un ton peureux:
" Colonel...Je crois bien que ya une explosion de type thermique la bas..."
Senjin soupira alors, secouant la tête de gauche a droite comme pour réprimander un gamin faisant fausse route. Prenant son appareil il s'approcha du capitaine pour tenter de lui incéré le sonotone dans l'oreille et appuyer sur le bouton de fonctionnement qui mal réglé monterait le son de l'engin au maximum cassant les oreilles de tout le monde d'un bruit strident, s'il y parvenait sans encombre bien sur. Notre scientifique dit alors d'un ton réprobateur a Léo:
" Combien de fois faudra t'il que je te le dise Léo ?! Type thermique c'est trop général, thermique a combustion ? A compression ? A induction ? Et pourquoi pas de type atomique tant qu'on y est ?! Fanchement ! Il faut vraiment tout te rappeler, mais que faisais-tu pendant mes cours sur les réaction explosive ? "
" Je dormais peut-être, tu as une voix tellement douce mon cher ami ! Bon on suit le vioque ? notre expertise pourrais toujours servir "
" Du moment que tu ne corromps pas les données récolté ça me vas...."
Notre héros se tourna alors vers le colonel Gratz, et ayant déjà oublié l'apareille se mit a parler aussi fort que possible:
" On vien avec vous Monsieur, on sais jamais un trou de verre est tellement vite arrivé par les temps qui court !"
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Mar 22 Aoû - 22:03
« Descente aux enfers »
Une légère brise caresse les contours abrupts de mon visage, emportant avec elle des senteurs aussi douces qu’envoutantes. Ces effluves parfumés fondent dans mes cavités nasales et m’emplissent d’une sérénité sans commune mesure. Un sentiment des plus agréables. Mes oreilles, quant à elles, m’informent de l’accalmie qui règne sur les lieux : de-ci de-là, il se fait ouïr le doux bruissement de la végétation, accompagné du frémissement des quelques pensionnaires de ces lieux des plus paisibles. Ma main s’élève lentement, comme pour pointer l’horizon. Et puis, l’un de gardiens de ces lieux enchantés vient m’apposer sa bénédiction en se posant sur l’extrémité de mes doigts. Et, d’un battement d’ailes, le papillon reprend son envol afin de répandre un peu plus d’émerveillement de par le monde. Mon visage se plisse. Si je pouvais trouver des abeilles, sans doute aurais-je le privilège de gouter le fruit de leur labeur, un miel d’une saveur incomparable. Le simple fait d’imaginer ce nectar onctueux glisser langoureusement sous ma langue me fait frémir. Et pourtant, je sais pertinemment que le meilleur ne s’est pas encore offert à moi. Décidé à franchir le pas, j’élève mes paupières et contemple enfin le paysage qui s’étale sous mes yeux.
Ils s’étendent à perte de vue. Des champs de fleurs de toutes les variétés imaginables, et même plus encore. Une pléthore de couleurs, de parfums enivrants, de formes qui dansent harmonieusement autour de moi. Un paysage féérique. D’un coup, mon cœur s’emballe, comme déréglé par cette infinité de douceurs qui flotte tout autour de moi. Mes bras s’écartent. Je ressens cette paix, cette nature à travers tous les pans de mon être. Il n’y a nul lieu où je désirerais être : ma place se trouve ici, dans cet univers enchanté. Et puis, au milieu de cette effervescence multicolore, j’aperçois un monticule, une sorte de piédestal qui semble trôner sur le paradis floral. Intrigué, je m’en approche, plissant les yeux afin de pouvoir contempler le Saint Graal.
La Rose. Vêtue de sa plus belle robe, elle se présente à moi. Ses pétales scintillent d’un rouge éclatant. Ses épines rappellent à quel point il est risqué de vouloir s’en saisir. Et pourtant, ses flagrances envoutantes me somment de mettre ma vie en péril. Je demeure ainsi, planté devant elle, comme hypnotisé par ce véritable symbole. Mon cœur, lui, bat la chamade. Est-ce donc ça le bonheur ? Cet endroit est-il le paradis ? L’ai-je finalement atteint ? J’esquisse un sourire. Il n’y a aucun autre endroit où je souhaiterais être maintenant.
BOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUM
Le sol se met soudainement à trembler, venant rompre l’accalmie qui régnait jusqu’alors sur les lieux. Le paysage idyllique est secoué de toute part : je suis contraint de m’affaisser sous la puissance du choc. Que se passe-t-il au juste ? Déboussolé par tant de fracas, je m’écroule encore et encore. Mais je m’efforce de reprendre pied, zieutant à droite et à gauche, cherchant la source de cet inattendu bouleversement. Et un horrible spectacle s’offre à moi, sans doute la pire chose qui pouvait advenir. Les parterres de fleurs se craquèlent, laissant apparaitre de béantes fissures. Une à une, les fleurs disparaissent. Des nuages de poussière fusent et viennent chasser la légère brume au parfum féérique qui embellissait l’endroit auparavant. Tétanisé, je demeure interdit face à la chute de mon petit jardin secret, l’effondrement de mon paradis. Je tombe également, impuissant, comme aspiré par la gravité des évènements, condamnés à contempler cette inlassable chute, une véritable descente aux enfers.
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Bien que le sucre était présent sous toutes les langues de Sweety Peaks, un illustre barman s’était un jour lancé le défi de commercialiser et de populariser l’alcool, cette boisson d’ordinaire si prisée des marins et autres navigateurs. Mais ici, le Rhum, le Saké et autres alcool paraissaient bien ternes et peu gouteux à titre de comparaison avec les friandises et autres gourmandises sucrées emplies de douceur produite par Sweety Peaks. Mais l’ingénieux barman eut une idée pour changer tout ça : marier ces deux saveurs. En combinant l’alcool, cette boisson universelle avec la douceur octroyée par les sucreries, il y avait moyen de créer quelque chose d’incroyable. Le résultat fut pour le moins efficace et se matérialisa par l’apparition de plusieurs tavernes. Dont l’une d’entre elles, sobrement nommée « Li cœur lilé sidouu ». Selon la légende, ce nom ferait référence aux vertus incroyables des produits endémiques de l’île : leur capacité à adoucir les cœurs. En effet, la criminalité sur Sweety Peaks était relativement basse : les forbans semblant être bien plus occupés à pécher par la gourmandise.
Dans la chaleureuse taverne, les clients étaient confortablement attablés, occupés à siroter quelques-unes des spécialités locales, parfois accompagnées de petites confiseries. Une forte odeur de sucre inondait les lieux, bien loin des austères flagrances alcoolisées des tavernes classiques. L’atmosphère était d’ailleurs à l’image des mets dégustés : douce et enivrante, voire même nonchalante. Si bien que ce cadre s’apparentait bien plus à un accueillant salon de thé qu’à un bar mal famé. Mais le murmure des dégustations fut soudainement perturbé par une intense explosion.
La première réaction des clients fut lente : embourbés dans leurs mielleuses collations ainsi que dans cette accalmie omniprésente sur l’île, ils ne s’attendaient pas à être secoués de la sorte. Pas si soudainement. La stupéfaction ainsi que la confusion étaient désormais les mots d’ordre dans la taverne. Personne n’était encore sorti. C’était peut-être dangereux. Et puis, ce n’était pas si évident pour ces gourmands de laisser derrière eux leurs péchés mignons…
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Une violente douleur m’extirpe du néant et me contraint à ouvrir les yeux. Vision d’horreur. Je tente de me redresser. Je titube. Mon coude glisse et me fait perdre toute stabilité. Je sens ma tête se cogner contre ce qui semble être une planche de bois tandis que je roule vers le sol. Un bruit de fracas : plusieurs objets viennent m’accompagner à terre. Des bris de verre. Je plaque ma main droite sur ma tête qui est horriblement douloureuse. Comme si mon crâne était sur le point d’exploser. Non... Pas maintenant, surtout pas. Plissant les yeux afin de combattre les rayons de lumière qui m’assaillent, je distingue diverses formes de bois autour de moi. Dont ce qui semble être les débris d’une table cassée en deux ainsi que deux petits barils ayant connu le même sort. Curieux. Mais sans importance. Je balaie les lieux du regard sans trop comprendre ce qu’il se passe autour de moi.
Il y a de l’agitation. Diverses personnes pullulent et le brouhaha des conversations apporte à mes oreilles une sensation des plus désagréables. Tout le monde est debout. Comme s’il venait de se passer quelque chose. Pourtant, malgré le bruit occasionné par mes mouvements maladroits, personne ne semble faire attention à moi. Curieux phénomène. Mais là n’est pas la question : une chose primordiale manque à l’appel. À tel point que le paysage qui m’entoure sonne faux. Mais je ne compte pas me laisser faire. Ce destin morose ne me convient pas. Il est grand temps de me sortir de ce cauchemar.
« OU SONT MES FLEURS BOOOORDEEEEEEEL ?! REEEENDEZ LES MOI !!!!!!! LES PAPILLOOOOONS !! NOOOOOOOOOON !!! »
Une vision cauchemardesque. Celle d’un monde nouveau, dont je fais partie intégrante, à présent. Un monde sans fleurs, sans parfums enivrants, sans papillons, un monde sans couleurs. Un monde austère. Et puis, un hurlement de désespoir, déchirant. Celui d’un homme brisé, anéanti par la sordide découverte qu’il vient de faire. Cette fois-ci, les regards se tournent vers lui, interloqués. Cette fois-ci, les gens semblent accorder une quelconque attention à mon infamie. Mais je me fiche bien de cela. D’autres questions me tourmentent. Pourquoi suis-je ici ? Qu’ai-je fait pour mériter un tel châtiment ? Je me souviens de ma chute. Est-ce donc cela l’enfer ? Non, je ne peux accepter pareille sentence. C’est impossible. Il y a forcément une fleur, quelque part… Un papillon qui s’est caché… Il est impossible que tout ait pu disparaître comme ça, par enchantement ! Je me mets donc à fouiller la taverne miteuse qui me sert de prison, renversant les tables, regardant sous les chaises, sous les robes, dans les verres, les bouteilles. Mais rien. Il n’y a plus de fleurs. Il n’y a plus de papillons. Il n’y a plus de place pour les rêves dans cet univers désenchanté. La conclusion est irrévocable alors que mes derniers espoirs se fanent. Je ne puis trouver mon bonheur en ces lieux mal famés.
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« Qu’est-ce que… » « C’est quoi ce barge ?! » « Encore un ivrogne… »
Alors que je recouvrais peu à peu ma capacité à penser de manière rationnelle, quelques bribes de conversation me parvinrent, des mots plutôt déplaisants. En particulier ce terme, « ivrogne ». Armé d’un regard noir, je ne comptais pas rester de marbre face à cette insulte. J’imaginais déjà le corps fragile de ce malheureux voler en éclats après que je me fusse défoulé. Mais la vie de cet impertinent fut sauvée par un simple mot : « explosion ». Ce phénomène avait stoppé net mes pulsions criminelles. Il s’agissait d’un élément important, j’en étais persuadé. Je mis quelques instants avant de me remémorer les récents évènements ainsi que pour assembler les différents éléments. Une forte secousse. Un tremblement de terre… ? C’était vraisemblablement ce qui avait dû me faire tomber par terre, alors que j’avais dû m’assoupir sur la table de la taverne. Cela semblait cohérent.
« Une… explosion… ? »
Et puis soudain, tous les éléments s’assemblèrent ! Une explosion était survenue non loin de là. Sans doute une attaque criminelle, comme bien souvent… Une explosion…
« NOOOOOOOOOOOON !! C’EST PAS MA FAUTE ! JE SUIS INNOCEEEEEEENT ! JE VOUS LE JURE ! C’EST PAS MOI ! VOUS DEVEZ ME CROIRE !! »
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Un homme se mit à hurler. Il sortit de la taverne, en courant, ou plutôt en titubant. Son visage était déformé par la peur. Ou la démence. Son corps ruisselait de sueur. Il était clairement dépassé par les évènements, à tel point qu’il semblait avoir totalement perdu la raison. Il venait littéralement de péter un câble. Continuant à clamer son innocence, il se rua sur la première personne en vue et la saisit par le col. Et tout en poursuivant ses cris de désespoir, il l’a secoua frénétiquement, comme si son geste lui permettait d’être plus persuasif. Ses yeux reflétaient sa désolation la plus totale. Sa possible culpabilité dans cette soudaine explosion semblait le détruire de l’intérieur, le ronger terriblement. Avait-il des remords ? Avait-il commis quelque acte horrible par le passé ? Ses demandes désespérés de pardon semblaient aller en ce sens. Il n’avait visiblement pas la conscience tranquille.
Résumé:
Ed pop en mode random dans une taverne proche de l'explosion. Après avoir compris ce qu'il s'est passé, il se rue dehors et hurle son innocence.
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Membre du club officiel des "Victimes d'Erwin le vicieux" et des "Victimes de Pumori".
Edward Lawrence
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Sam 26 Aoû - 15:54
Colonel Darwin
Le Colonel Darwin avait été surpris par le renardeau qui faisait partie de l'équipage du Gratz, mais il ne se formalisa pas du vol dont il avait été victime. Il y avait plus urgent et un des alliés du Colonel l'avait déjà pris en chasse. Il devait avant tout se diriger vers les abords de la base, s'élançant avec une grâce qui correspondait à sa corpulence. La demi-douzaine d'hommes qui le suivaient n'étaient pas gradés, pas même connus, et à vrai dire la base ne comportait pas de personnages ayant transcendé l'histoire. Cette île n'était pas propice aux multiples exploits, car y capturer des hors-la-lois relevait plus de l'action banale et facile que de la prise de risques.
En arrivant devant les lieux de l'explosion, le marine put observer plusieurs choses : un homme à la chevelure flamboyante avait déjà commencé à retirer les débris et à aider ses compatriotes, un autre hurlait son innocence, se récoltant de ce fait une demi-douzaine de marines qui tentaient de le calmer autour de lui sans l'identifier, et un de ses hommes qui arriva en sueurs auprès de lui, pour l'alerter qu'à quelques pâtés de maison de là, un Supernova avait commencé à faire des siennes.
- Ils ne sont pas aussi agressifs d'habitude... Colonel Gratz, je vais gérer la situation ici, pouvez-vous aller vous occuper du Supernova et de ses comparses ?
Il ne s'arrêta pas là dans ses ordres et aboya quelques paroles à ses subordonnés : dégager les décombres, aider les civils pris dans l'explosion... bien qu'ils fussent peu nombreux et que leurs blessures aient l'air légères. Les marines en revanche croulaient sous les pavés de sucre qui, à cause de leur densité, pesaient leur poids.
Kerk
Alors que les recherches et aides commençaient, un homme parut derrière eux. Il portait un armement au bras très perfectionné, un chef d’œuvre en soit. À en faire blêmir certaines prouesses de la section scientifique, à première vue. Il était inconnu du grand public, et peu de personnes l'associaient à des actes de terrorisme. Pourtant le Colonel recula en le voyant et ordonna aux marines qui tentaient de calmer – et non pas neutraliser – le Lawrence de venir à ses côtés. Il leur somma de s'approcher, mais le poing de fer vint rapidement l'expédier contre un mur en sucre. Peu loquasse pour l'occasion, il se retourna vers le pirate et l'ignora savamment avant de commencer à taper sur les marines, commettant un simple massacre.
D'un autre côté, près du roux, sous les décombres de l'explosion, un homme qui avait été accompagné d'un contingent de marines reposait sous les cadavres de ces derniers, ayant donné leur vie pour le protéger. Il ronchonnait, se plaignant intérieurement du sang qui coulait sur ses vêtements. Le signe de son rattachement au gouvernement mondial était totalement maculé dans la pénombre. Soufflant, il attendit que passe le temps en pensant que quelqu'un pourrait arriver à le sortir de là.
Alibaba
Dans la base marine les souris avaient commencé à s'immiscer dans les lieux quand les Colonels furent sortis, croisant parfois le renardeau et le vieillard qui se coursaient mais tentant de rester subtiles, de s'immiscer dans tous les trous pour accéder à la morgue. Leur objectif n'avait pas changé : ils devaient retrouver des écussons.
Gränt Diez Polka
Le Supernova releva le regard vers la maison qu'il venait de balayer d'un simple coup de poing. Il avait tendance à exagérer, mais là il y était quand même aller un peu fort. À ses côtés ses compagnons d'équipage s'étaient extirpés de la taverne et avaient commencé à s'impatienter. Ils étaient négligés, un peu paresseux sur eux-mêmes.
- Roger... Ce gars était quand même un sacré numéro, hein, Diez ? Marmonna Josh, primé à 29.000.000 de Berrys. - Je l'aimais bien, moi, soupira Drogo, un autre pirate qui avait eu de la bouteille à l'époque du plus célèbre des pirates et qui n'avait repris la route que depuis peu.
Sa prime s'élevait à 31.000.000 de Berrys. Elle avait décru avec l'âge et l'inaction, car le Gouvernement ne souhaitait pas payer pour des personnes qui n'étaient plus aptes au combat. Seul le symbole prédominait dans ces cas-là, et lui en était un gros. Les quatre autres présentaient des primes allant de 7.000.000 à 13.000.000 de Berrys. Ils n'avaient pas de grands crimes à leur actif, mais ils étaient assez dérangeants dans l'idée pour avoir été primés.
- Bon, on attire des marines, et on reçoit quoi ? Des lauriers ? - Un passage pour le Nouveau Monde, les gars, rétorqua le Diez en regardant vers les marines qui couraient vers lui. Allez, au boulot.
Le lieutenant Doggy Dock et le Commandant Salmon Eose s'étaient dirigés vers le lieu de la revendication. Le premier comme le second n'avaient pas de grands faits d'armes à leur actif. Ils étaient devenus lieutenant et commandant pour les raisons qui faisaient qu'on pouvait nommer quelqu'un à ce grade : parce qu'ils savaient à peu près réfléchir et commander des troupes, et non pas parce que leurs faits d'armes étaient suffisants pour cela.
Au moment où ils arrivèrent, ils eurent tous deux le réflexe de se déporter et de déporter leurs troupes sur le côté. Pas de morts, mais un cratère creusé dans le sucre grâce à un coup d'air provoqué par le Supernova.
- Les civils ont déjà dégagé la zone ? Hurla l'Eose. - Oui, Commandant ! - Encerclez-les, ils sont diminués à cause du sucre. Ils devraient être faciles à capt-
Devant le Commandant, Drogo venait déjà d'utiliser un Soru-Like pour avaler la distance qui les séparait, et son épée menaçait de s'abattre à tout instant sur l'homme. Le vieillard était en position de forces de toute évidence.
Résumé : Du côté de la base marine, là où ça a explosé, le Colonel reçoit un message et recommande à Gratz d'aller arrêter le Supernova plus loin en ville. Shiki, je considère que tu es plus proche donc tu arrives et commences à aider, et les marines tentent de calmer. S'il les frappe, mais sans les blesser gravement, ils abandonneront quand le Colonel leur dira de se replier. Kerk arrive, après le départ de Nils normalement, et le Colonel se fait éjecter et les marines commencent à être décimés.
De l'autre côté, Gränt et ses hommes commencent à saccager la ville. Un Lieutenant et un Commandant arrivent : le premier est safe pour le moment, un peu caché, mais le second se fait attaquer de front et menace de se faire découper. Si Nils choisit ce côté-là, il peut le sauver.
Voici le résumé des forces en présence :
Gränt Diez Polka (Lvl 30+), 213.000.000 Berrys Drogo (Lvl 25), 31.000.000 Berrys Josh (Lvl ??), 29.000.000 Berrys Et 4 pirates (Lvl ??) primés de 7 à 13.000.000 Berrys.
Alibaba (Lvl ??), non primé
Kerk (Lvl 27), non primé
Colonel Darwin (Lvl 33) Commandant Salmon Eose (Lvl 22) Lieutenant Doggy Dock (Lvl ??) En moyenne les marines sont niveau 10.
Pour le coup, il n'y a pas d'ordre pour poster. Vous avez une semaine en tout. Attention à être cohérent entre vous et n'hésitez pas à communiquer entre vous.
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Sam 26 Aoû - 17:25
Shiki
Mini Event
Savior
Courant à toute allure, j’en perdais mon souffle tant j’y mettais du mien. Mais ces idées que je m’enfonçais dans le crâne, je ne pouvais pas rebrousser chemin. M’étant jurer de ne plus jamais ressentir ce sentiment d’inutilité, je fonçais à en battre des records de course pour enfin arriver sur les lieux. L’explosion n’avait pas été faite pour plaisanter, cela se voyait qu’il y avait des dégâts, mais aussi des blessés. De ce fait, malgré le fait que certaines personnes disaient aux civils de ne pas s’approcher, je força le passage pour prêter main forte.
“ Laissez-moi vous aider !! “
Insistant et allant même jusqu’à presque briser la légère “ barrière “ qu’ils imposaient, je vins secourir un civil qui avait du mal à marcher. L’aidant tant bien que mal, je me contentais de les rassurer comme je pouvais. Puis après ce bref amuse-gueule, je me retrouvais face au gros du travail : la base. Les débris étaient nombreux, mais qu’importe, cela ne me faisais pas peur une vie ayant bien plus d’importance que la fatigue que ça allait me coûter.
Comme un forcené, possédé par l’envie d’aider, je commençais à déplacer des gravats. J’avais beau agir vite, je tentais de faire ça avec soin, car qui sait si en déplaçant un certain rocher, cela ne ferait pas écrouler une autre partie ? Il ne s’agissait pas d’un jeu de mikados... Je devais faire attention. Parfois, je voyais des bouts de corps me donnant la nausée, mais heureusement ces découvertes étaient minimes et pour essayer de rassurer les possibles blessés, je hurlais de tout mon saoul.
“ Nous allons vous sauvez, je vous en faites pas !!! Restez calme. “
Première étape d’un sauvetage du genre, il faut rassurer la victime, car si elle panique, celle-ci peut parfois faire de faux pas et causer sa propre mort... Un véritable jeu de mikado où le moindre mouvement maladroit peut mener à la mort. Pourquoi diable suis-je confronté souvent à ce genre de jeux ? Est-ce ça le destin d’un héros ? Côtoyer toujours la mort de près ? Soudain, alors que je déplaçais des morceaux de sucres, je cru entendre des paroles. Hm ? Se pourrait-il ? Me penchant vivement, je vins alors à parler fort espérant que mes paroles allaient arriver au rescapé.
“ Tout va bien ? Je vais vous sortir de là !! Restez calme. “
Faisant abstraction de tout commentaire, je déplaçais comme je pouvais les gravats jusqu’à voir que certains étaient trop imposants. Dégainant une lame, je me mis à tâter du morceau de sucre pour imaginer sa taille et finalement avec précision enfoncer ma lame - mais pas trop - pour découper celui-ci. Me facilitant le travail, je vins alors à enfin découvrir... Des corps entassés. Et en dessous, il semblait y avoir une personne bien vivante bien qu’un peu compressé... Prenant mon courage, je me mis à dégager - toujours avec soin - les corps inanimés de ceux qui avaient protégé ce miraculé. Malgré que j’étais pressé dans mes mouvement, on pouvais remarquer une certaine “ douceur “ en terme de profondeur, en effet, je respectais ces gens morts pour une raison des plus injuste, mais ils méritaient le respect pour avoir protéger une autre personne. Finalement, je tendis une main à l’homme pour le sortir de là.
“ Vous n’avez rien de cassé ? “
Mon regard l’analysant, je m’assurais qu’il n’ait rien, prêt à me plier en quatre s’il était blessé à un quelconque endroit. Mais alors que je me concentrais sur lui, voilà que quelques cris parvenaient à mes oreilles. Détournais les yeux, je vis un spectacle qui m’horrifiait. En effet, au milieu de l’attroupement de marines, une personne semblait faire un massacre. Écarquillant les yeux, je me mis à regarder l’homme que je venais de sortir des décombres et me mis à hésiter. Que faire ? Délaisser le sauvetage des gens sous les décombres ? Ou intervenir dans ce combat ? Cherchant une réponse dans les yeux de mon rescapé, je vins à me mordre une lèvre.
Cherchant des gens qui pourraient aider, je tentais de m’adresser aux passants qui étaient curieux et encore valides dans la zone, devant agir vite.
“ Aidez à déplacer des gravats ! Il y a peut-être des gens encore sous les débris ! “
Comptant sur le peuple et l’humanité de ce dernier, je me tournais alors vers la zone de combat. Les troufions de la marine avaient beau être nombreux, ils ne semblaient pas arriver à bout de cet ennemi inconnu. Que voulait-il ? Pourquoi s’en prendre à eux hein ? Quel intérêt est-ce qu’il y avait à empêcher des marines à faire leur travail ? Certes, j’étais le premier à vouloir combattre leurs injustices, mais tous ne sont pas pourris, et donc tous ne méritent pas d’être combattu ainsi. De plus, combattre ne signifie pas blesser ou tuer sans justification... Bref, à mes yeux, cet homme n’était pas du genre à avoir une réelle raison pour laquelle se battre : il devait être arrêté.
Me redressant, je tentais de me focaliser sur lui pour alors me concentrer. Ravalant ma salive, je me mis à approcher pour alors agir d’un coup d’un seul. Prenant appuie, je forçais sur une de mes jambes pour me propulser le plus rapidement possible. M’interposant entre lui et un autre marine, je dégainais ma lame en présentant le plat de celle-ci pour ne pas trancher cet homme si son point rencontrait ma lame de plein fouet. Laissant l’impact se faire, je vins alors à chercher le regard de cet homme cherchant à comprendre ses motivations.
“ Q...Qui êtes vous ? Et pourquoi attaquer ces gens ? “
résumé:
Shiki arrive donc et force le passage pour aider. Il se d’emmerde comme il peut essayant de ne rien faire foirer et sort donc l'homme de sous son " tombeau " humain. Mais quand il voit que le vilain Kerk fait des siennes, il prends la décision de demander de l'aide aux civils pendant que lui tente de stopper Kerk en s'interposant, dégainant à 50% sa lame de 50, côté plat contre un possible poing/coude ou autre.
Shiki M. Eiki
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Sam 26 Aoû - 18:51
Sweety Peaks lui résistait. C'était une grossière infamie, considérant le nombre d'îles qu'il avait foulé du pied et dont il était venu à bout des mystères, mais force était de l'admettre : cette île toute entière commençait à lui courir sur le haricot. Il avait pris le chemin de cette possession gouvernementale anodine quelques jours auparavant, sur un coup de tête... Encore un. Les informations plus ou moins précises que ses lieutenants avaient pu intercepter quant à ce lieu énigmatiques étaient précisément ce dont il avait besoin : un fruit du démon se trouvait-là, de ceux qu'il devait absolument se procurer. Malheureusement, s'écarter ainsi de son territoire était assez peu prudent, surtout si l'on considérait le nombre de rivaux qu'il possédait et qui étaient prêts à lui sauter à la gorge à la moindre imprudence un peu trop marquée de sa part. D'autant plus qu'une partie des siens l'avait automatiquement suivie, soucieuse de lui compliquer la tâche ou de, selon leurs dires, "l'empêcher de faire une bêtise". Ils avaient pour cela eu l'occasion de monter à bord de l'un de leurs navires espions, déguisé en vulgaire bateau marchand afin de permettre leurs déplacements de la manière la plus discrète possible... Pendant que lui avait dû nager. Evidemment, il n'était pas capable de naviguer par lui-même, pas même sur Paradise, et comme aucun de ses compagnons n'avait accepté de lui prêter main forte dans cette folle entreprise, il avait dû improviser... Ce qui expliquait l'absence de sa légendaire lance, qu'il emmenait pourtant partout avec lui : pas pratique pour traverser des dizaines de kilomètres de flotte, ça non. Les autres avaient bien tenté d'achever sa motivation en prétextant que le vieillard allait se désintéresser de l'aveugle pour lui livrer bataille, mais cela n'avait finalement pas entamé son ambition : ses trois ennemis étaient pour l'heure trop faibles pour l'inquiéter. S'ils s'abandonnaient à un conflit ouvert contre lui, il aurait tôt fait d'infiltrer leurs plus fiers bastions... Et de les réduire en cendres par la seule force de ses poings.
Toutefois, alors même qu'il venait de déposséder le quelconque gros lard du fruit du démon et qu'il avait été prêt à s'élancer en direction de ses camarades afin de leur communiquer la réussite de sa mission, une explosion avait soudain eu lieu, attirant momentanément son attention ailleurs. Sa garde baissée davantage encore par l'apparition fugace d'un demeuré hurlant à la gloire du défunt Roger, le voyageur avait complètement raté la silhouette enfantine qui l'avait suivi épié pendant son rapt et qui s'était brutalement emparé du fruit du démon, le saisissant directement dans sa main avant de tenter de lui fausser compagnie. C'était ainsi que le pirate s'était retrouvé à poursuivre un gamin miséreux au travers des rues de Sweety Peaks, tout ça parce que ce dernier s'était senti poussé des ailes et avait tenté de lui voler son fruit. Ce simulacre de course-poursuite avait néanmoins été de bien courte durée : personne ne pouvait lui échapper, et ce n'était certainement pas un marmot qui allait le démentir à ce sujet. S'en était alors suivi une discussion des plus larmoyantes... Et qui avait bien failli l'endormir.
-Siouplé, m'sieur... Si j'revends ça, j'peux m'faire masse de thune et payer des médocs pour ma soeurette... -Ben ouais mais c'est le mien. Tu vois bien, nan ? C'est moi qui l'ai pris. Et puis, c'est mal de voler. -Vous v'nez d'tabasser quelqu'un pour l'avoir m'sieur... -Je me souviens pas t'avoir permis de me contredire ! File, dégage, retourne chez ta mère ! Et prends ça avec toi !
Il avait lancé une bourse pleine de berrys au marmot avant de s'en désintéresser finalement, après avoir récupéré son dû. Il ne s'agissait là que d'une somme modeste, puisqu'il n'avait guère pu emprunter davantage au malheureux gros lard qu'il avait déjà dépossédé de son fruit du démon, mais cela aurait au moins le mérite de calmer ses lubies cleptomanes... L'étranger n'avait donc désormais plus qu'à remettre la main sur les siens, qui devaient également être à sa recherche. Il fut toutefois coupé dans son élan par une soudaine agitation, qui se manifesta à quelques dizaines de mètres de lui, dans une rue adjacente. Discrètement camouflé au beau milieu de l'allée piétonne (le cache-cache n'avait jamais été son fort), le Yonkou scruta le début du conflit avec un intérêt franchement discutable.
-Ben voilà qu'ils se cognent, eux...
Liga D. Tengen, Yonkou et Pirate le plus puissant du Monde.
Eux ? C'était une bande de marines qui avait apparemment fort à faire avec quelques hors-la-loi et désaxés locaux. Pas une tête véritablement connue, dans le lot : personne n'était donc susceptible de retenir son attention plus d'un quart de secondes. L'Empereur haussa les épaules en se demandant que faire. Se mêler à la bagarre générale ? En temps normal, il l'aurait assurément fait, mais il tenait actuellement un fruit du démon... Que ferait-il s'il l'enfonçait par mégarde dans l'estomac de l'un de ses opposants ? Et puis, à en juger par leurs niveaux respectifs, une seule baffe aurait amplement suffi à tous les étaler... Et ce en même temps. Alors, leur fausser compagnie discrètement semblait être l'option la plus envisageable. C'est ainsi que le prétendu futur Seigneur des Pirates se mit à contourner posément le conflit... Toujours sans chercher à se camoufler, bien entendu.
Vous pensiez sérieusement que vous n'auriez pas d'anim sauvage ? Que vous êtes naïfs !
Liga D. Tengen : lvl 60, prime inconnue.
Il est du côté de Nils et de Senjin. Au début simplement debout dans une rue adjacente, il passe ensuite à côté du conflit sans trop s'en préoccuper. Il peut tout à fait passer inaperçu, compte tenu de l'énormité de la situation et de l'agitation qu'il y a ! Si rien ni personne ne l'arrête, il continuera son chemin en direction de Shiki, d'Edward et de Kerk.
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Nils Gratz
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Dim 27 Aoû - 20:42
L'enfer, c'est les autres
Clepe Tomane et Jone Snow
L’explosion ne les avait finalement que peu interrompus dans leurs courses poursuite. Le renardeau ainsi que le lieutenant qui lui courrait après semblaient être totalement dans leurs monde mais une chose restait évidente : Clepe, lorsqu’il avait un « précieux » en vue, y mettait toute son âme.
SALE TOUTOU ! AU PIED CANICHE ! Dans une énième tentative de le rattraper, le pauvre vieillard commençait à s’essouffler et il lui fallait vite arriver à récupérer « cet objet de grande valeur ». Jone, quant à lui, ne savait rien. Il jouait et remuait la queue devant son nouveau partenaire en se pavanant et en évitant des rongeurs ci et là sans y prêter la moindre attention.
Rend-moi mon médaillon de graAAAnnnde valeur sale chihuahua de mes deux ! Dans un élan de désespoir, le lieutenant s’élança dans une accélération nouvelle avant de finalement perdre pied sur une marche qu’il n’avait pas vu. Trop d’effort pour lui et aucun doute sur le destin qui l’attendait maintenant : une belle chute la tête la première à même le sol qui lui remettrait les idées en places. Le renardeau stoppa alors sa course pour se pavaner avec le biscuit dans la bouche. Le médaillon toujours dans la gueule, il se pavana gaiement devant son supérieur. Supérieur qui semblait avoir la tête dans les étoiles du même coup.
Ipère Palnore et Mama Ité Manjtou
Nils ne savait plus où donner de la tête. Tout allait bien trop vite pour lui et d’ici à ce qu’il en oublie les principales étapes de commandement, il n’y avait qu’un pas. Pour cause ! Lorsque son homologue lui demanda de s’occuper du supernova, le grand-père en oublia son propre grade et soupira tout en ralentissant le pas.
A vos ordres… Les ordres d’un colonel ne pouvait pas être discutés… si ? Quoiqu’il en soit, c’est la Mama qui réagit la première. Son passé dans les cuisines lui avait permis de comprendre qu’elle avait besoin de terrain. Du vrai terrain comme les hommes qui venaient autrefois chez elle. Cependant, devant l’inactivité de son colonel en charge pour le moment, elle commença à faire poindre une lueur dans ses yeux. Fixant le Gratz avec un air noir que bien des subordonnés connaissaient, la lieutenante rappela silencieusement au colonel ce qu’il arrivait à ceux qui ne finissaient pas ses plats… ou au tire-au-flanc pour la situation présente.
Nils n’avait pas vraiment envie de se laisser diriger pour une telle opération. Son seul objectif était de faire en sorte qu’il y ait le moins de pertes possibles. Une goutte de sueur perla dans la nuque de l’ancêtre sous ce regard de feu et c’est sans attendre qu’il reprit du poil de la bête pour invectiver ses troupes. Son groupe se dirigerait donc au pas de course en direction du supernova.
Trop lentement… il fallait avouer que le vieillard n’avait jamais été un athlète de course et lorsque Mama Ité constata cet état de fait. Elle ne put que constater deux choses : premièrement, Nils traînait la pâte, non pas par manque d’envie mais simplement car les pointes de vitesses n’avaient jamais été son fort. Quant au deuxième point… ce n’était autre qu’un « Chtonk » sonore qui indiquait qu’Ipère Palnore s’était rendormi à côté. La grosse dame fulmina alors et de la fumée sortit de ses naseaux. Seul le déglutis du colonel eut le don de sonner le glas. D’un seul geste, elle attrapa le colonel et l’autre loque endormie pour les fourrer dans sa marmite presque aussi grande qu’elle et telle une lanceuse de poids, elle fit valdinguer le colis en direction de la baston principale. Traversant en cloche, les deux comparses allaient être les deux premiers sur le champ de bataille, aucun doute à avoir là-dessus.
J’aaaaaaaiiiiimmmmmeee paaaaaaas voleeeeeeeeeer ! Des larmes coulaient sur le visage de l’ancêtre tandis qu’il se cramponnait à son véhicule de fortune. Le choc fut pour le moins des plus violents mais amorti par les bonbons qui composaient la décoration. Mama Ité était une brute… mais elle n’en restait pas moins un tantinet fine d’esprit… tout du moins : Nils l’espérait !
Sortant de son embarcation comme il le put, Nils arriva à point nommé pour voir la stratégie adoptée et le sauvetage des troupes par les deux gradés. Si seulement il avait fait attention à ce qu’il se passait, il aurait pu remarquer qu’il tournait le dos aux ennemis. Malheureusement pour tout le monde, sa fierté prit alors le dessus.
Evacuez ! Le Compost se charge de… mince… Nils avait oublié. Se grattant la barbe d'un air songeur, il ne savait plus de qui il devait s’occuper… voilà qui était bien mal parti pour la réputation de l’équipage ! Heureusement que Ité avec le reste des troupes arriva alors que l’un des pirates lança son offensive particulièrement rapide. C’est Ité Manjtou qui réagit la première : loin d’être dans la finesse, elle avala la distance aussi vite qu’elle put pour totalement sauter sur l’épéiste. En réalité, elle n’était pas assez rapide pour intervenir alors que l’opposant savait aller particulièrement vite. Certes, la cuisinière tenterait alors de parer le coup avec sa louche mais certaine de rater, elle préférerait répliquer immédiatement avec un « écrasement ». Sautant en l’air, elle impacterait le sol et le duo de toute sa masse et de sa force.
Mon amouuuuuuur ! Si le pirate touchait… alors elle préparerait des crèpes. Et y a plutôt intérêt à ce qu’elles soient toutes mangées !
Le colonel Gratz ne put absolument pas se permettre de regarder cet éventuel massacre. Il la connaissait la mama… et voir une crêpe de si bon matin risquait de lui cassait l’appétit… et s’il n’avait pas d’appétit pour les plats de la mama, c’est lui qui finirait en crêpe. Cruel dilemme ! Se retournant alors, il se rappela soudainement de ce qu’il devait faire. Sans crier gare il s’éclaircit alors la voix pour prévenir tout le monde.
Je suis ici pour la prêtresse ! Rendez-vous ! Pour le bien de l’ile ! Levant son baton pour l’apposer au sol comme le vieillard boiteux. Le médecin maintenant capitaine d’équipage pointa alors du doigt les quelques pirates pour finalement poser la question qui le taraudait depuis le début. Seulement voila… dans le lot, il y avait Tengen : le pirate le plus puissant du monde. Si seulement Nils avait su qui il était…
Je n’aurai que deux questions : Où est la prêtresse ? C’est quoi un supra nouveau et enfin : est-ce que c’est vous qui êtes responsables de l’attaque de Toroa ? Alors qu’il attendait la réponse bien qu’il ne savait visiblement pas compter, le reste des troupes du Compost arriverait et viendrait en aide aux éventuels civils et personnels blessés de la marine. En réalité, tous étaient assez peu confiants dans la capacité de management du colonel.
En résumé : c'est le gros bordel.
Le clebs et vioque numéro 1 se chamaillent. Nils vole. Mama aussi cela dit en passant... mais ils ne s'envoient pas en l'air ensemble hein ! Ah et Ipère dort... pour changer...
Mama Ité - Niveau 31 [Force Surhumaine]
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Signature réalisée par Komatsu
Nils Gratz
Edward Lawrence
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Mar 29 Aoû - 17:11
« Bienvenue en enfer »
J’étais paniqué. Paniqué par les mystères qui planaient au-dessus de moi, tels l’ombre de la mort. J’avais peur. Peur d’être une nouvelle fois responsable d’un évènement tragique. Car j’étais doté d’une malédiction des plus funestes : à chaque endroit où je me rendais, il finissait par y avoir une explosion. C’était là ma triste destinée. Et malheureusement, il semblait impossible d’y échapper. C’était ainsi que je me retrouvais à donner de la voix, beuglant à tout va ma prétendue innocence, comme si quelqu’un allait me croire et me disculper de l’un de mes péchés. Je tentais aussi de me convaincre que j’étais innocent, bien qu’au fond, cela faisait quelques temps déjà que je n’y croyais plus. Et puis, quelques hommes vinrent me porter secours, attirés par mes hurlements désespérés. Ils tentaient de me calmer, d’apaiser ma souffrance. Si leurs intentions étaient louables, ils ne s’y prenaient pas de la bonne manière. S’ils daignaient m’innocenter publiquement, ils mettraient fin à mon calvaire. Mais en définitive, ils ne firent qu’aggraver mon mal-être.
« Allons… calmez-vous monsieur maintenant… » « Attendez… Où suis-je ? » « Eh bien… dans la rue, monsieur. » « La rue… ? Mais… je vois pas les cactus… » « Les… cactus ?! Mais qu’est-ce qu’il raconte encore… » « OU SONT LE WHISKEY ET LES CACTUS ?!! » « Calmez-vous, monsieur ! Il n’y a rien de tout ça sur Sweety Peaks ! » « Que… ? » « Allez… tenez-vous tranquille maintenant… » « Attendez… on n’est pas sur Whiskey Peaks ?! C’quoi c’bordel ?! » « … » «Il est taré...»
Ce fut une révélation assourdissante : aussi bien pour moi que pour les hommes attroupés à mes côtés. Mais je m’étais finalement tût, pour le plus grand bonheur des quelques témoins de cette scène des plus bruyantes. Le temps sembla soudain se figer. L’atmosphère devenait lourde. Je commençais à transpirer. L’oxygène se faisait rare. Je suffoquais. Mes yeux étaient exorbités. Mon corps, lui, était parcouru de soubresauts. Et ma stupéfaction, elle était à son comble. Je n’arrivais décidément pas à avaler la honteuse vérité. Mon esprit était embrumé. Je sentais que ma conscience était sur le point de se dérober. Quelque chose en moi était sur le point de se rompre.
BOUM.
Une explosion. Ou bien juste le fruit de mon imagination ? Auparavant complètement figé, je pus soudainement esquisser un mouvement. Ma démence semblait avoir baissé en intensité : j’avais maintenant accès à suffisamment d’esprit rationnel pour distinguer plus précisément les contours de mes interlocuteurs. Des hommes vêtus de bleu et blanc. Un sigle en forme de mouette qui ne laissait planer que bien peu de doute sur leur fonction professionnelle. Les forces de l’ordre avaient déjà été dépêchées sur les lieux.
Enfer et damnation. Ils étaient à ma poursuite. Ils savaient ce que j’avais fait. Ils m’encerclaient tel des vautours guettant leur proie, déjà condamnée. J’étais fait, comme un rat. Était-ce ainsi que mon insignifiante vie devait s’achever ? Était-ce l’endroit où je franchirais la porte des Enfers et quitterais définitivement le monde des vivants ? La sueur perlait sur mon visage. Ils ne semblaient avoir l’air hostile à mon égard. Du moins pour l’instant. Mais je connaissais l’ampleur de l’effet boule de neige. Rien ne pourrait empêcher mon trépas : au mieux il serait retardé. Mais à quoi bon ? Une éclaircie sembla soudain illuminer mon funeste avenir. Les marines venaient de recevoir des ordres. Une personne approchait, pas à pas. Était-ce le Messie ? Était-ce le sauveur envoyé par les cieux pour m’empêcher de me faire happer par les ténèbres ? Les soldats furent rappelés par leur chef et cessèrent de me prêter attention. Et le divin homme à la chevelure anthracite, d’une main de fer, s’employa à réaliser mon sauvetage.
Je m’étais trompé. J’étais dans l’erreur depuis le début. Cela semblait évident, désormais. Je n’étais pas là où je croyais être. Non. Cet homme, qui était sans doute le maitre des lieux, en était la preuve formelle. Et je pus m’en rendre compte dès qu’il s’appliqua à réaliser sa profession. Par de très vifs mouvements, il entreprit de repeindre les lieux d’une teinte moins douce, plus brutale, qui correspondait bien mieux à l’ambiance. Un peintre ? Une éclaboussure sur des gravats, à quelques mètres de ma position, me fit remarquer la composition des bâtiments de l’île. Du sucre. Il y avait du sucre partout autour de moi. Cet endroit était des plus répugnants, aussi, je ne pus m’empêcher de grimacer devant cet effroyable spectacle. Et il y avait aussi du sang. Finalement, l’homme que j’avais pris pour un sauveur n’était rien de tel. Il arborait enfin sa véritable apparence. Celle du diable. Son but était de transformer mon paisible séjour en ces lieux en un véritable enfer. L’abondance de sucre, les marines tués de sang-froid, la présence d’un être diabolique, mon amnésie ainsi que mon ignorance convergeaient tous vers une bien funeste conclusion. J’étais en enfer.
Profitant de la confusion et de la terreur qui régnait, je m’éclipsai en un instant, convergeant vers l’une des ruelles adjacentes. Je courrais, de manière à mettre le plus de distance possible entre moi, suspect potentiel, et la scène du crime. C’était ce qui me semblait être ma meilleure option : je n’avais aucune idée de l’identité des quelques protagonistes dans cette sombre affaire. Aucun d’entre eux ne semblait primé, à première vue. Alors, plutôt que de risquer de m’en prendre à la mauvaise personne, plutôt que de faire un choix que je pourrais regretter plus tard, j’avais opté pour la solution la plus raisonnable : la retraite temporaire. Ainsi je me laissais le temps de retrouver pleine mesure de mes esprits. Et peut-être trouverais-je un moyen de survivre au sein de ce véritable enfer.
Résumé:
Ed est un paumé. Il finit par se rendre compte qu'il est au mauvais endroit alors que la situation s'envenime et décide donc de prendre la fuite par les petites ruelles.
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Membre du club officiel des "Victimes d'Erwin le vicieux" et des "Victimes de Pumori".
Edward Lawrence
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Mar 29 Aoû - 23:09
L'enfer, c'est les autres !
Les choses s'étaient accélé aussi vite qu'abruptement pour nos deux comparsequi ne savais désormais plus ou donner de la tête. Le colonel qui dicter des ordres plus incohérent les un que les autres, l'insomniaque et l'homme qui ne savais absolument rien se courant aprés pour une breloque qui fonctionnait a proprement parler comme la formule de la caverne au merveille. Tout partait en vrille a tel point que les deux larron en perdait presque leur latin, jusqu'au moment ou le vieux décida d'aller faire un tour, et mama en femme attentionnée pris alors la peine de venir en aide a la vieille carcasse, le propulsant dans les air avec....Une casserole ! Elle s'empressa a son tour de suivre le dirigeant des recyclables laissant les deux jeune hommes comme des malheureux sur place.
Léo soupira alors de soulagement pensant qu'il n'aurait pas besoin de se dépenser plus que de raison ou de subir le même sort que le pauvre vieillard. Mais c'étais sans compter sur Senkuu qui déjà s'étais agenouillé au sol et commençais a dessiner un graphique complexe a base de fonction vectorielle et de comparatif plus farfelu les uns que les autres. Il finit enfin par dire d'un ton sure, a la limite de l'arrogance:
" Si on prend en compte la force du vent, le poids du capitaine et la dérive induite par le mouvement planétaire on obtient la position du moustachu ! Léo on y va et fil moi les balles et la poudre de ton fusil, t'es tellement peu doué avec que t'en aura pas besoin !"
Le volauvent regarda l'imberbe d'un aide daidégneux, le pauvre pouvait déjà sentir ses intestin travailler grand train a cause du stresse que la situation lui occasionné. Il ne tarda pas a dire d'un ton sarcastique a son compagnon:
" Et tu as trouvé ça tout seul ?!"
" Evidement ! quel question idiote. Si je devait compter sur toi pour ces calculs on y serrait encore demain ! Tien récupère tes gazs dans cette besace, je sais que le stresse te fait flatuler. "
Le jeune scientifique rougis alors mais s'éxecuta tout de même, il donna les balles et la poudre a son collègue qui commença a remplir un autre besace de poudre, de balle et... De sucre ! sucre qu'il avait récupéré sur en grattant la paroie d'un des mur avec son scalpel. Il ferma ensuite la besace aprés avoir plonger une mèche dans la poudre. Il répéta ensuite l'expérience dans la besace contenant les gazs intestinaux. Teneur garantis cent pourcent gaz naturel et biodégradable, mais ce n'est pas le sujet. Les deux lascars prirent alors la direction de la zone d'atterissage au pas de course et restèrent planquer dans les ombre d'un coin de rue lorsqu'ils arrivèrent sur place.
Léo commencer déjà a se ronger les ongles et a sentir les déflagration plus ou moins grasse de ses intestins. A ce moment la notre héros imberbe pris les devants et sortant un briquet il alluma la mèche de sa grenade a gaz il l'envoya en direction de l'homme qu'invectivé le colonel Gratz, la grenade n'aurait pas un gigantesque rayon d'action, mais une choses étais sure, les flatulance contenu dedans avait une odeur toute particulière d'oeuf pourrit capable de faire pleurer un homme rien qu'en les reniflants, malheureusement pour les personnes présente, Léo avait eux la bonne idée de manger du choux ce matin la....
Senkuu se mis ensuite a courir en direction de Ité et s'arretant en un dérapage non loin d'elle il se mit a pleurer devant la couleur si particulière de sa cheveulure qu'il désirait tant étudier. Pigmentation capilaire ou gène ultra rare notre héros n'en savait absolument rien. Il sortis tout de même du sucre qu'il avait récupéré en séchant ses larmes et la morve qui couler de son nez, il dit alors:
" Cooking mama ! si tu me fait la plus gluantes des colles avec ça et de l'eau je t'embrasse promis !"
De la où il se trouvait Senkuu ne pouvait voir le visage de mama et elle ne pouvait voir le petit haut le coeur qu'il avait eux lorsqu'il avait parlé de bécotter la cuisinière. Le jeune homme avait néanmoins continué sa course pour aller se caché derrière des débris non loin de la. Il sortis alors sa deuxième grenade et l'allumant puis la lançant en direction de la même zone il sortis dans la foulé ses scalpels, non pas pour pour attaquer, mais il calcula l'inclinaison qu'il devait apporté a ses lames pour avoir une réverbération optimal, appliquant l'angles souhaité lorsque la grenade éxplosa il dirigea le rayon lumineux vers les yeux du grand méchant, Souriant devant sa nouvelle invention révolutionnaire, une grenade Flash !
L'enfer c'est les autres : Rien se sert de courir, il faut partir à point
Une pause pipi… voilà ce qui nous avait mis en retard pour cette mission sur Sweety Peaks.
Cela faisait maintenant plusieurs jours que j’avais pris la mer, répondant à l’appel du gouvernement pour une enquête importante qui concernait des disparitions de représentants des forces de l’ordre sur l’île. Cette affaire semblait grave, en tout cas assez pour faire appel à moi, enfin, pas à moi directement. En fait, la demande avait était faite envers mon maitre, ce dernier étant un chasseur de primes reconnu, cela ne m’étonnait guère. Cependant, la marine ne semblait pas encore au courant que ce dernier était mort depuis quelques mois, sans doute était-ce de ma faute…
Ayant peur de me faire rejeter lors d’une précédente mission, étant moi-même chasseur de primes, mais nullement reconnu, j’avais pris usurpé l’identité de mon défunt mentor afin qu’on me prenne au sérieux, situation que j’avais peut-être reproduis deux ou trois fois ces derniers temps. Malheureusement, je n’arrivais pas à me défaire de son nom et avais encore du mal à emprunter mon propre chemin, à m’envoler de mes propres ailes, mais peut-être que si je réussissais cette mission, pourrais-je peut-être commencer à me faire un nom dans la profession.
Toujours est-il que, pour cela, il fallait d’abord arriver à bon port. J’avais eu le malheur de tomber dans un navire de transport du gouvernement avec certainement le seul gars atteint d’une gastro flamboyante. Ce dernier avait réussi à boucher tous les chiottes du bateau, si bien qu’on a dû s’arrêter je ne sais combien de fois pour faire des pauses pipi pour les autres marins qui ne pouvaient même plus respirer pour faire leurs propres besoins. Ce n’est sûrement pas comme ça que j’allais faire parler de moi. Nous finîmes finalement par mettre pied à terre sur notre destination, mais, le sort s’acharnant sur moi et mes débuts prometteurs, notre capitaine, trop déstabiliser par l’odeur qui semblait ne plus vouloir quitter le navire, accosta du mauvais côté de l’île, à l’opposé de la base marine.
Trop c’est trop ! Tandis que les membres du gouvernement s’occupaient à décharger le matériel pour notre séjour en ces lieux, je décidai de prendre mon destin en main, de prendre les devants et de me diriger seul vers la capitale avant d’en apprendre plus sur la mission. Sur le chemin, les questions fusaient dans ma tête, étais-je vraiment prêt pour ce qui m’attendait, dorénavant j’étais seul et ne pouvais plus compter sur mon maître… mais je devais le faire si je voulais réaliser le souhait de mon maitre, grimper au rang d’amiral de la marine. Mais pur ça, je devais me faire un nom, je devais devenir quelqu’un. Soudain, je fus extirpé de mes pensées par un objet volant non identifié. Était-ce un oiseau ? Était-ce un avion (je sais ça n’existe pas) ou bien était-ce superman ? Non, il s’agissait d’une marmite volante ! Une marmite ? Que se passait-il réellement ici ?
J’accélérai le pas pour découvrir cette réponse au plus vite, c’est alors que je me mis à croiser des gens, visiblement des civils, complètement paniqués. Certains étaient surmontés d’une couche de poussière ou quelque chose y ressemblant. Il y avait quelque chose de pas normal. Plus j’avançais et plus le décor de désolation qu’offrait la ville s’agrandissait, jusqu’à devenir une scène des plus macabres. Autour de moi, les bâtiments s’étaient écroulés, des cris retentissaient des décombres, tandis que des mares de sang se dessinaient à travers les fissures des murs en biscuits. Le pire, c’était les corps inertes que des bénévoles extirpaient des débris, certains complètement méconnaissables… et là, ce fut le blocage dans ma tête.
Un flashback me revint à l’esprit, l’assassinat d’Inazuma, la flaque rouge se dessinant autour de son cadavre, au milieu de mon village, désertique, vidé par la folie d’un homme ; et moi, impuissant, gisant à côté de lui. Son visage se dessinant en gros plan dans ma tête. J’étais incapable de bouger, encore une fois. Sauf que cette fois-ci, je ne n’étais plus le petit fermier, je n’étais plus ce jeune chasseur de primes en formation, j’étais devenu un homme. Des morts, j’allai en revoir, du sang aussi. Je devais m’y faire, je devais réagir, je devais aider… telle était ma mission.
Je sortis de mes ténèbres, j’étais prêt à devenir quelqu’un, j’avançai, déterminé vers le cœur de cette pagaille, mais, en analysant la situation, je compris rapidement que deux lieux d’action avaient pris forme, il me suffisait de suivre les soldats du gouvernement qui revenaient blessés ou tout simplement ceux qui atterrissaient près de moi. C’est là que mon manque d’expérience me faisait défaut…. Quel côté choisir ?
Voilà, j'entre dans la course, maintenant que je suis validé (manque plus que la couleur ^^) Du coup pour l'instant je me rends dispo là où il y a besoin, étant arrivé en retard, je ne vais pas faire le difficile
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Jeu 31 Aoû - 18:59
Un homme ressortit, ensanglanté, des gravats. Il sourit de manière assez malsaine, en se rendant compte que les choses n'allaient pas aller pour le mieux. L'aide de Shiki l'avait plutôt soulagé, même s'il regrettait de ne pas avoir pu s'en sortir par lui-même. Assistant un court instant au massacre de marine, il pesta et disparut entre deux bâtiments, dans la direction du port, ne prenant pas la peine de remercier son sauveur qui, d'une certaine manière, n'allait pas faire long feu.
Gränt Diez Polka
- Hein ?
Le Supernova à l'allure paresseuse renifla en sentant l'odeur d’œuf pourri qui lui monta aux narines. Il prit un air dégoûté : cela lui rappelait les vêtements de certains de ses camarades de routes. Dégueulasse. Enfin, lui-même n'était pas un exemple de propreté. Il balaya l'air devant lui en fronçant le nez, laissant le vieillard s'exprimer. Il était complètement maboule, sûrement une raison pour laquelle il était avec les pires crapules de l'humanité : les marines. Enfin bon, avec la grosse qui avait interrompu l'attaque sur le Commandant, qui pouvait à présent se sentir sain et sauf, et l'ingénieur taré, ils étaient servis.
- Toroa ? J'ai bien brouillé quelques personnes là-bas... Mais bon, qu'importe, marmonna de manière audible le Supernova.
Gränt haussa les épaules. Il allait devoir mettre à terre ces gens-là, quitte à faire de la charpie avec leurs corps. Alors qu'il s'apprêtait à se diriger vers sa cible, de nouveaux protagonistes s'étaient frayés un chemin vers eux : un groupe de trois marines, drapés de leur manteau de marines, qui arboraient chacun une arme.
- Un pour tous, et tous pour un ! Hurlèrent-ils en s'élançant vers les pirates du Gränt. Les trois moustiquaires sont là ! - Et merde, pas eux...
Les trois moustiquaires... Hommes d'une grande valeur selon certains, assez peu agréables selon d'autres. Ils avaient la fâcheuse tendance à s'emmêler les pinceaux dans leurs présentations, et à présenter un plus grand danger pour les installations que leurs adversaires. Une fois, ils avaient fait s'écrouler la grande roue de Shabaody en s'opposant à des pirates, ce qui leur avait valu une interdiction catégorie d'aller sur les grooves civils de l'archipel. Ils étaient cependant effroyablement efficaces, ce qui leur permettait de garder leur grade. En arrivant par derrière, ils avaient pris d'assaut une partie des ennemis, laissant libre court à Nils, Senji et Mama pour s'occuper des trois principaux adversaires : Gränt, Drogo et Josh.
Grânt soupira et balaya finalement violemment l'air devant lui, ce qui envoya la grenade flash éclater dans une autre rue. Il allait d'abord se débarrasser vite fait du vieux. Ensuite, il s'occuperait des autres. Josh, quant à lui, s'était élancé vers Senji et lui avait lancé de petites aiguilles à destination de son corps : des senbons. Celles-ci furent interrompu par le Commandant Salmon Eose qui, sortant son katana, lança à Senji :
- On se le fait à deux ?
Quant à Drogo, Mama lui avait tapé dans l'oeil. Il s'élança vers elle pour lui asséner un violent coup d'épée dans le bas ventre, utilisant son Soru-Like pour la prendre de vitesse. Grânt, de son côté, ne semblait pas pressé de commencer le combat. Il laissait Nils faire le premier pas.
Kerk
Kerk avait été interrompu. « Celui-ci me demandera plus d'efforts. » s'était-il dit en observant que son poing ne pouvait pas aller plus loin. Il n'utilisait bien sûr pas toute sa puissance : les marines de bas échelles devaient être éliminés en gardant en réserve le plus de puissance possible, pour la suite. Car ce n'était pas fini, et la question de Shiki le lui rappela. Il ne connaissait pas cet homme : s'il était de la marine, il n'était pas connu, et s'il était hors-la-loi, son avis de recherche n'avait pas du le marquer.
- Kerk Bremuria, répondit l'homme avec un air condescendant. Je purge l'île... Nous purgeons l'île, et le monde, de tous ceux qui le rendent mauvais. Les marines, les hors-la-lois, qu'importent... Et ceux qui se mettent sur notre chemin le regretteront. Recule, toi qui ne porte pas de valeurs. Recule, ou meurs.
Un simple avertissement qui, s'il n'était pas suivi en quelques instants, se terminerait par un coup des plus violents, envoyé sur le nez de son interlocuteur. Misuto pourrait alors assister au vol plané de Shiki, si ce dernier ne réagissait pas vite.
Résumé : Du côté de Shiki et Misuto, Kerk est interrompu et te dévoile ses intentions (tu peux l'entendre, Misuto). Du côté de Nils, Gränt renvoie valser la grenade flash, Mama est attaquée par Drogo, Senji par Josh (mais le Commandant l'aide). Les Trois Moustiquaires arrivent et attaquent les hommes derrière, ce qui laisse Gränt en seul adversaire (Les marines sont en surnombres). Pour ce qui est d'Edward et de Tengen, personne ne les remarque parmi les marines ou les HLLs présents là.
Voici le résumé des forces en présence :
Gränt Diez Polka (Lvl 30+), 213.000.000 Berrys Drogo (Lvl 25), 31.000.000 Berrys Josh (Lvl 23), 29.000.000 Berrys Et 4 pirates (Lvl ??) primés de 7 à 13.000.000 Berrys.
Alibaba (Lvl ??), non primé
Kerk (Lvl 27), non primé
Colonel Darwin (Lvl 33) Commandant Salmon Eose (Lvl 22) Lieutenant Doggy Dock (Lvl ??) En moyenne les marines sont niveau 10.
Pour le coup, il n'y a pas d'ordre pour poster. Vous avez une semaine en tout. Attention à être cohérent entre vous et n'hésitez pas à communiquer entre vous.
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Ven 1 Sep - 1:29
Shiki
Mini Event
Savior
Aider son prochain est une chose nécessaire dans la vie. Actuellement, je venais d’aider les marines aussi étrange cela soit-il. Pourquoi donc ? Car ils étaient innocents et même si d’une certaine façon ce seront mes ennemis de demain, je ne pouvais pas les laisser à ce triste sort. Aussi, j’étais donc aller au combat pour arrêter ces actes de violence sans aucuns sens à mon goût. Frapper pour frapper, quelle utilité ? Sans réelles convictions à quoi bon se dresser sur un quelconque chemin ? J’avais croisé le fer avec cet homme à la force impressionnante. J’avais du mal à tenir en place, mais j’avais bien stoppé son poing avec ma lame à demi dégainée. Attendant des réponses, je laissais celui-ci parler. Ses dires avaient un certain sens, mais l’application de ses desseins étaient malhonnêtes à mes yeux, je ne pouvais pas rester stoïque face à ça. Jetant un regard autour de nous, je revins à lui quand il décida de me frapper.
Dégainant un peu plus ma lame, je mettais ma poignée et main contre mon visage et son poing me me fit aisément repousser violemment. Avec férocité, j’avais comme eu l’impression de prends un coup de poing en pleine face et cela ne faisait pas de bien. Manquant de laisser des traces au sol tant j’avais été forcé à reculer je me mis à simplement reprendre mes esprits.
“ Purger l’île ? ... En attaquant tout le monde ? Sans faire réelle distinction ? Punir des marines corrompus et remettre sur le droit chemin des hors-la-lois je serais d’avis à rejoindre ta cause, mais ... Tuer sans faire de distinction et sans prendre soin de ne pas blesser les innocents aux alentours... Je ne peux pas laisser passer ça. “
Me redressant sans regarder mon environnement alentour - ou plutôt les personnes autour de nous - je vins alors à reprendre la parole pour faire les présentations, remettant ma lame totalement dans mon fourreau, comme pour prouver une certaine zénitude et non une attitude trop fugace. Aussi révoltant soit ses actes, je n’allais pas m’énerver, n’ayant pas ce luxe selon le code que je m’étais décidé de suivre.
“ Shiki Maximum Eiki, de Wa No Kuni. Simple civil en un sens... Je vais rejoindre la révolution et changer ce monde. S’il faut utiliser la violence, soit, mais pas question de toucher les innocents. Et je vais commencer mon long périple en arrêtant toi, et tout les compagnons qui embrassent ta cause discriminatoire. “
Reportant ma main au manche de mon arme, je vins alors à soupirer quelque peu. Fermant les yeux, je dégainais ma lame des 50. Epée et non katana, je vins alors à réciter ces dires que j’avais l’habitude de dire lors des moments sérieux. Je m’étais juré de le dire chaque fois, car mon code est primordial et le monde se devrait de l’écouter, l’entendre, le retenir et qui sait... L’adopter un jour ?
“ Ma lame est un outil de justice. Non utilisée en état de colère, ou pour une vengeance. “
Re-ouvrant les yeux sur lui, je fixais l’homme qui serait ma cible prioritaire. Je ne faisais pas attention au côté solennel de l’instant car mine de rien, je venais de revendiquer ma couleur. J’avais clairement choisis mon camps en ce jour et ne comptais pas le trahir de si tôt. De ce fait, je me propulsais d’un coup sec vers lui. Arrivant à lui, je ne me fis pas prier pour tenter de frapper avec le bout de ma lame. Le tuer n’était pas mon objectif, mais le blesser serait un avertissement suffisant pour lui faire comprendre qu’il devrait remettre à plus tard ses idées de fanatique déplaisant à mon goût. Suite à quoi, je n’attendais pas une seule seconde pour enchaîner une seconde attaque. Misant sur l’effet de surprise, mon pouce appuya sur une petite partie de mon manche et ma lame semblait se dessouder. Le système très fin et discret de mon arme s’était activé et je me retrouvais donc avec non pas une épée mais bien deux demi épées faisant croire à deux katana cette fois. À bout portant donc, je donna un coup horizontal avec mes deux lames pour tenter de le couper au niveau du buste essayant de forcer le passage et passer derrière lui. L’attaque était d’une certaine violence laissant presque croire à l’envol d’un dragon déployant ses ailes. Restais à savoir si mon petit combo allait fonctionner et le surprendre ou s’il allait résister et peut-être tirer profit du fait qu’on soit peut-être dos à dos si mon dernier coup avait fonctionné.
Quoi qu’il en soit, aucun civils ou marines ne seraient tués tant que je serais ici.
résumé:
Shiki pare maladroitement le coup de Kerk et a donc l'impression d'avoir prit un poing dans la gueule... Pas plaisant quoi. Suite à quoi, il se présente donc après avoir précisé que baaaaah... Ses justifications ne sont pas suffisante. Il se dresse officiellement contre lui et ses idées, voulant l'affronter avec les siennes. Un tente donc de le frapper une première fois suite à quoi, une fois à portée, il enchaine avec un coup via deux lames ( sa lame unique spéciale devient double grâce à un petit "truc". Reste à voir si Kerk subit, résiste et en profite ou simplement s'il profite tout court de certaines actions.
Techniques utilisées:
- Tsuindoragon / Dragon jumeaux ( Lame des 50 )
Spoiler:
https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/564x/b3/9d/ea/b39deaa8c26b49a13c31120775b2cd86.jpg Cette lame est une des 50 de renom. Outre son aspect clairement différence des épées classiques, celle-ci a été forgée de façon admirable. Celle-ci comme toutes les lames des 50 possède une résistance plutôt plaisante d'après les sabreurs, mais sa spécificité est le fait qu'elle peut se scinder en deux via un mécanisme manuel discret. Ainsi, le sabreur a le choix entre manier une épée plutôt massive et porter des coups presque grossier, ou alors avoir en un clin d'oeil deux lames plus petites en terme de largeur, lui permettant de donner des coups fluides, rapides et précis.
° Hajoutsui / Bélier ( 20 ) Armé de son sabre, l'homme donne un direct avec son arme à l'adversaire afin de tenter de le transpercer ( ou percer sa défense s'il a un bouclier ou armure ).
° Doragon no furaito / Envol du dragon ( 25 ) Le jeune homme dégaine en un éclair ses deux lames, créant deux lames d'air horizontales qui partent chacune dans un direction opposés ( lame droite vers la droite, lame gauche vers la gauche ), afin de trancher des ennemis face à lui et sur le côté, suite à quoi, il fonce vers l'avant, tel un dragon prenant son envol.
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Shiki M. Eiki
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Lun 4 Sep - 17:50
Liga D. Tengen, Yonkou et Pirate le plus puissant du Monde.
-C'est qui la princesse ?
Tengen s'était allégrement curé le nez tandis que le vieillard le pointait du doigt, l'assimilant à la bande de pirates de bas étage qui semblait prendre grand plaisir à sévir ici bas. Malheureusement, et tout observateur qu'il était, l'Empereur ne connaissait pas grand chose à l'histoire de cette île, pas plus qu'à son système politique : une simple incompréhension de sa part avait transformé la prêtresse de Nils en une gracieuse princesse, certainement aux mains de ces fieffés forbans dans l'attente d'une rançon. Ce scénario digne de ces îles chevaleresques comme on n'en voyait que sur le Nouveau Monde fit rêvasser le Yonkou, qui se demanda s'il n'était finalement pas plus judicieux de prendre part à cette bataille au côté de la marine. Ben oui... S'il aidait les Gouvernementaux à récupérer la jolie princesse, il aurait peut-être droit à de royaux remerciements. Haussant les épaules, il se souvint brutalement qu'il était lui-même Roi, et qu'il disposait par ailleurs de bien plus de ressources et de richesses que n'importe quel modeste monarque de Paradise. Il commença donc à s'éclipser, ignorant royalement l'arrivée des trois Moustiquaires et des autres mouettes en tout genre bien décidées à l'idée de faire régner leur prétendue justice. Le menton haut et le torse bombé, sa main bien resserrée sur son fruit du démon qu'il ne lâchait pas un seul instant, il se mit donc à l'esprit de quitter cette place au plus vite pour retrouver promptement ses compagnons d'infortune. Il n'eut néanmoins pas à marcher bien longtemps pour obtenir une piste : tout un tas d'immeubles se mirent à s'effondrer en direction du port, à quelques centaines de mètres de là. Une simple utilisation du haki de l'observation permit au Liga D. de se renseigner quant aux personnes présentes, et il blêmit en se rendant compte que Myô était de la partie. Bon, c'était évident que son second serait le premier à s'élancer à sa poursuite, mais ce type était têtu et assez gonflant quand il était en colère. Il valait peut-être mieux retarder un tant soit peu son retour... D'autant plus que Vermeil et Legum étaient en route pour le rejoindre. Sans perdre un seul instant, il reprit donc la route, s'approchant sans le savoir de Kerk, de Misuto et de Shiki.
Il fut d'ailleurs bientôt à leur niveau, comme rien sur son chemin ne semblait être déterminé à ralentir son inexorable périple... En même temps, si rares étaient ceux qui le reconnaissaient d'emblée, aussi loin de son chez lui, il fallait admettre qu'il possédait envers et contre tout un certain charisme, une présence écrasante qui signifiait au commun des mortels qu'il n'était pas le genre de personnes à qui il fallait chercher des poux. Cela ne lui permettait néanmoins pas d'être en toute quiétude où qu'il aille : Tengen se heurta bientôt à de nouveaux affrontements, puisqu'il arriva tout juste au moment où Kerk donnait son nom. Il ne fallut qu'un instant supplémentaire au rouquin épéiste pour prendre les devants et se jeter dans sa direction. Si l'Empereur ne s'intéressa pas un traître instant à l'offensive du révolutionnaire en herbe, il se fit en revanche étonnamment penseur : l'index et le pouce de sa main droite encadrèrent son menton tandis qu'il se faisait de plus en plus perplexe, totalement détaché de la réalité. Bremuria, Bremuria... C'était un nom qu'il avait déjà entendu quelque part. D'autant plus étrange qu'il n'était pas franchement commun... Et le futur Seigneur des Pirates avait la quasi certitude qu'il appartenait à quelqu'un d'agaçant mais de relativement redoutable. Puis vint le moment de lucidité : une certitude le rattrapa en un éclair tandis que deux images lui vinrent à l'esprit. Ce n'était pas le nom d'une, mais de deux personnes... Des sœurs !
-AH ! LES GAMINES AVEC MIFUNE !
Il ne les connaissait pas particulièrement et si fichait d'ailleurs pas mal d'elles, mais l'épéiste taciturne aux cheveux d'or, en revanche, l'intéressait nettement plus. Jeune et fringant, puissant et précis, il s'agissait assurément de l'un des plus grands experts en matière de maniement de lame, au même titre qu'Eko, que l'un des lieutenants du vieillard, Jormungand, et que l'un des amiraux actuels, Sorafuka. De ces quatre noms, Mifune était le seul que Tengen ait jamais tenté de recruter. Evidemment, le Schichibukai avait toujours poliment décliné ses propositions, mais ils s'étaient à vrai dire souvent croisé, par-delà Grand Line : il fallait dire que le Sword Master et le Yonkou partageaient une passion commune pour l'errance et le voyage, même si leurs motivations n'étaient assurément pas les mêmes. Quant aux gamines, transies d'amour pour le beau sabreur, elles n'étaient que très modérément intéressantes : elles possédaient néanmoins un style de combat visuellement remarquable, et faisaient montre d'une complicité hors norme une fois en duo. Modestement marquante, donc : suffisamment en tout cas pour qu'il se souvienne de leurs noms. Restait à savoir si ce type faisait partie de leur famille ou s'il n'avait en vérité rien à voir avec elles. Toujours était-il que, pour le coup, le Yonkou n'avait pas fait dans la discrétion : il s'était tant et si bien égosillé que tout le monde dans les environs risquait de s'être tourné dans sa direction, y compris bien entendu le principal intéressé.
Liga D. Tengen : lvl 60, prime inconnue.
Tengen, ignoré, quitte le premier combat pour arriver auprès de Kerk dont il entend en le nom. Il se souvient des deux soeurs Supernovas, et se sent obligé de le souligner. Très fort.
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Nils Gratz
Pépé Péteux
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Race : Humain
Équipage : Le Compost
Feuille de personnage Niveau: (46/75) Expériences: (644/750) Berrys: 3.989.532.000 B
Lun 4 Sep - 22:57
L'enfer, c'est les autres
Il avait osé. Il avait carrément osé prendre un ton désinvolte pour dire qu’il s’était brouillé avec des gens de Toroa. Pour qui se prenait-il ? Est-ce qu’il espérait sincèrement réitérer ses brouilles sur une autre ile comme si de rien était ? Non. Nils ne le laisserait pas passer. A peine avait-il entendu les quelques paroles malgré son oreille défaillante, le capitaine du Compost vit noir. Tout se passait très vite dans sa tête et l’image de sa femme trouée de partout sur une autre ile lui revint en mémoire. Les sales mômes ne devaient pas rester impunis. Ah les gosses ! Dès que ça fait deux centimètres de tour de bras, ça pense être capable de soulever des montagnes… et puis quoi encore !
Le vieillard effectua un premier pas alors qu’il broyait du noir. Sa démarche lente, appuyée sur le bâton témoignait d’un poids encore difficilement surmontable. Alors qu’il s’apprêtait à parler pour expliquer le fond de sa pensée au jeunot, il fut soudainement pris de violents maux de têtes. L’éveil du haki de l’observation avait eu le don de le tiraillait mais jamais autant depuis quelques jours. Bien qu’il ne se doutait nullement de ce qui était en train de se passer, il commença tout simplement à halluciner. C’était la réponse qu’avait trouvé son esprit pour combattre ces migraines innommables.
Dans un champ, il voyait ainsi sa femme, heureuse comme tout en train de courir tel un cliché de publicité canine. L’espace d’un instant plus tard, elle arrivait auprès de Nils avec le gateau et toute souriante… figée… du sang perlant sur ses vêtements tandis qu’elle tombait raide morte le gateau toujours en main. Au loin, un sourire machiavélique… encore inconnu pour le grand père qui émergeait de cette absence d’à peine quelques secondes.
En se réveillant, il était déjà à terre à se tordre de douleur. Si le Supernova avait choisi de passer à l’action, le Gratz tenterait de se mettre sur la défensive pour contrer avec son bâton. Peu de chance d’esquiver et la vitesse n’était pas le propre du vieil homme. Dans le cas contraire, il chercherait à se lever tout en se tenant la tête avant de faire son petit discours : levant la main comme pour mimer une fessée, il s’avancerait alors vers le fameux Gränt en insistant sur chacun de ses mots.
On. Ne. Touche. Pas. A. Toroa. Sale môme ! S’il avait pu s’approcher suffisamment proche, il assènerait alors un coup de bâton sur la tête du jeune homme. Le coup n’aurait pas pu assommer un tel gaillard ni même un quelconque soldat : seul une bosse pourrait alors poindre au sommet du crâne si le coup portait.
Mama Ité Manjtou
De son côté, Mama eut à peine le temps de voir l’épéiste disparaitre. La vitesse n’avait jamais été son gros atout à elle non plus… cependant elle gardait tout de même de sacrés réflexes. La disparition de son ennemi en une fraction de seconde eut le don de lui faire esquisser un sourire. Ce dernier paraîtrait dès lors très peu rassurant pour l’épéiste : visiblement, elle avait quelque chose en tête.
Mon amour ! Peu aimée de façon générale, elle avait une technique bien à elle pour amadouer les durs au cœur tendre. Ecartant tout juste ses bras, elle savait qu’elle n’aurait pas le temps d’esquiver une attaque. Elle tenterait tout de même de mettre son corps de sorte qu’elle subisse le moins de dégâts. Cependant, l’esquive n’était pas du tout là son intention. Un épéiste se bat au corps à corps, s’il arrivait suffisamment proche pour qu’elle puisse encaisser l’attaque, elle saisirait alors le jeune bretteur pour le prendre dans ses bras. Les veines de ses bras grossiraient un peu sous l’effort qu’elle déploierait alors pour le garder tout près d’elle pour ce câlin des plus dangereux. Nul doute qu’avec sa force hors du commun, le jeune homme aurait du souci à se faire. Pire encore… sentir un homme si près d’elle aurait le don de lui faire bondir le cœur dans tous les sens et c’est avec autant d’amour et de passion qu’elle en profiterait pour le faire valser tout contre elle. Seul bémol, la grosse dame était tout de même assez prévisible avec ce sourire…
Clepe Tomane et Jone Snow
La course poursuite entre les deux énergumènes du Compost touchait à son terme. Clepe était totalement épuisé avec une bosse sur le front tandis que le renardeau semblait se gausser véritablement de la situation. Roulé en boule sur le dos, c’était un rire des plus étranges qui parvenait aux oreilles du vieillard. Boudeur, la vigie excentrique croisa les bras touché dans son orgueil ce qui eut le don de faire rire encore plus fort le canidé.
Au moment où il rit de plus belle, le renard en lâcha son médaillon qui tomba alors au sol… si seulement Clepe Tomane l’avait vu ! Pour le moment encore au sol, le médaillon était libre de droit. Clepe Tomane en avait profité pour tourner le dos au jeune renard polaire tout en bougonnant dans sa barbe et dans son coin.
Le clebs et vioque numéro 1 se chamaillent... encore ! Mais le médaillon est au sol.
Nils a une absence, Grant a pu en profiter, tout est au conditionnel évidemment.
Mama est en manque d'amour... la pauvre !
Ah et Ipère dort toujours...
Mama Ité - Niveau 31 [Force Surhumaine][/quote]
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Signature réalisée par Komatsu
Nils Gratz
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Mer 6 Sep - 23:06
L'enfer c'est les autres : Un nouveau protagoniste
Un dilemme se présentait devant moi… quel côté choisir ? Le champ de bataille était si vaste, il semblait avoir besoin d’aide de tous les côtés, mais il fallait que j’aille à l’endroit où on pouvait avoir le plus besoin de moi. J’étais loin d’être assez fort pour vraiment faire la différence, mais je pouvais donner un coup de pouce à un défenseur des lieux qui, lui, en avait les capacités.
C’est alors qu’un duel attira un peu plus mon attention que les autres, non pas par la violence physique de celui-ci, mais bien par la cruauté verbale de ce dernier : un homme expliquait cette attaque en évoquant une purge de l’île. Pour eux, le fait de vouloir débarrasser le monde des « mauvaises » personnes pouvait justifier un tel acte, un tel massacre. Mais qui étaient-ils, lui et ses comparses, pour juger de qui rendait ce monde bon ou mauvais ? Se pensait-il supérieur à ce point-là ? C’était ce genre de personne qui me remotivait et qui me confortait dans l’idée de vouloir servir la justice et arrêter ce type de criminel.
J’avais donc choisi ma cible. De plus, un homme, roux, s’interposait déjà devant lui, un certains Shiki, un sabreur si je pouvais juger de sa lame et de la façon dont il venait visiblement de l’utiliser. Il le démontra d’ailleurs quelques secondes plus tard en se ruant, toute lame dehors, vers son adversaire ; plus étonnant encore, son épée se sépara en deux en cours d’attaque. J’aurai bien aimé voir la réaction Kerk, puisque sous ce nom qu’il s’était présenté, mais si je voulais aider l’épéiste, je devais agir le plus rapidement possible avant une éventuelle contre-attaque.
Express way
Je commençai alors à m’enfoncer dans le sol afin de m’approcher directement de mon nouvel adversaire pour lui attraper les pieds et ainsi le gêner dans une tentative de riposte ou bien pour permettre au rouquin d’enchainer un autre coup.
Cependant, je fus stoppé dans mon élan par le cri d’un étrange énergumène…
- AH ! LES GAMINES AVEC MIFUNE !
Mon regard se tourna alors vers l’homme en question, tandis que j’étais à moitié enfoncé dans le sol.
Ce dernier, malgré les combats aux alentours et le peu de discrétion dont il venait de faire preuve, paraissait extrêmement calme et sûr de lui. C’était le premier élément qui m’incitait à ne pas agir dans la précipitation avec ce type ; deuxièmement, ce gars dégageait quelque chose, une sorte d’énergie, je débutais dans le métier et ne connaissais pas encore les hommes les plus dangereux de ce monde, mais d’instinct, je pouvais devinais que, lui, en faisais partie. Cela me faisait froid dans le dos, comme pour me prévenir qu’il était à un niveau bien plus haut que moi ; et la troisième et dernière raison était que, vu la situation, je n’avais plus du tout l’effet de surprise, il venait de voir de quoi j’étais capable, hors mon pouvoir était mon plus grand élément de surprise dans un combat en général… ce n’était plus le cas.
Cependant, même si mon choix semblait être fait de ne pas m’en prendre à lui, je n’arrivais pas à détacher mon regard du sien ; je restais cependant très calme et impassible, c'était l'une de mes qualités.
Je n’étais certainement pas le seul à l’avoir entendu et je ne savais pas comment allait réagir les autres en voyant cet homme, mais en tout cas, c’est à ce moment précis que je me rendis compte que je manquais encore cruellement d’entrainement… il n’était pas concevable pour moi, dans un futur proche, de me laisser déstabiliser par une simple présence.
Je ressortis donc du sol entièrement avant que quelqu’un d’autre remarque mon pouvoir, même si, lui, l’avait remarqué, l’effet de surprise pouvait toujours s’appliquer à d’autres, si j’arrivais à me défaire de celui qui était devant moi. Je ne pouvais pas bouger, mais je trouvai quand même le courage de lui dire mon nom. Cela n'allait certainement pas l’impressionner étant totalement inconnu, mais ça aura au moins le mérite de cacher la crainte qu'il m'inspirait.
- Je m'appelle Misuto Aru !
Désormais, je devais trouver la force de réagir avant que le pire arrive au camarade que j’avais décidé d’aider, à moins que leur combat ait été interrompu par l’intervention de l’homme devant moi.
Alors que je m’apprêtais à aider Shiki, je suis interpelé par l’intervention de Tengen et je me retrouve incapable d’agir face à lui. Je suis donc immobile ^^
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Mer 6 Sep - 23:57
L'enfer, c'est les autres
Le pauvre imberbe n'avais pu faire autre chose que de sursauter lorsque les aiguilles envoyer par l'autre tête d'épingle fur stoppée par un homme qui semblait être un gradé de la marine. A cela s'ajouta une apparition divine, ils arrivèrent comme un don du ciel brandissant leurs épée et scandant un jingle digne de sea strek la série vidéoludique favorite de notre héros. Mais ce qui fit perdre littéralement le controle de ses canaux lacrymaux a notre scientifique douteux n'était autre que les moustaches taillées finement et extrémement élégante qu'arboré les Moustiquaires.
Senjin depuis qu'il avait compris qu'un homme digne de se nom présenté fièrement une pilosité faciale grandiloquante, il n'avait cherché qu'une choses que la sienne pousse, rasage du duvet de manière intensive, expérimentation de colle et de postiche, il avait même tenter de dresser un mulot pour que celui-ci reste continuellement en place a l'endroit normal de sa moustache mais tout ce qu'il y avait gagné n'était qu'une belle morsure au nez et une fièvre carabiné qui l'avait cloué au lit pendant sept jours. Ce genre de pilosité était en quelque sorte le but ultime de sa vie, comprendre le pouvoir de la capilarité !
Mais passons tout ça, notre camarade comme je vous le disait resta un temps paralysé et en pleure devant les moustiquaires et fut sortis de sa torpeur par les dire du commandant qui lui proposé de se faire la tête d'épingle a deux. Notre héros haussa un sourcil devant tant de familiarité et ne compris pas dans un premier temps le sens des mots de cette personne sencé être son supérieur, il laissa d'ailleurs échapper un simple :
" Plait-il ? "
Puis commençant a résonner en imaginant les circonstance sociale, les tenants et les aboutissant que cela induisait il compris alors sont erreurs mais aussi celle du gradé. Dans le même temps il continua d'examiné le terrain et les batiments qui se trouver autour, beaucoup d'habitation et donc des ustenciles a ne plus savoir qu'en faire, élaborant un plan des plus sucré dans son cerveaux loufoque il s'adressa d'un ton hautain a son supérieur:
" Pardonner mon incompréhension mais l'utilisation d'un language si familier alors que l'on ne se connait pas n'est tout simplement pas adapté, les convention sociale non optionnelle disent que la présentation d'un invidue civilisé a un autres est une des choses nécessaire a toute relation fondamentalement en possibilité de se construire. Ce qui implique donc que vous auriez dut vous présenter a moi plutôt que de beugler comme un putois constipé depuis dix jours. Enfin ! Je vous pardonne j'ai moi même du mal avec tout ça ! si vous en êtes intellectuellement capable occupé le un petit instant je vous pris ça ne serra pas long !"
Puis sans dire un mot de plus et ne cherchant même pas a voir la réaction du commandant il pris la fuite dans le batiment le plus proche. Une simple maison, un feu dans la cheminé avec une casserole au dessus des flammes. Notre héros farfouilla un peu et commença a sortir le sucre qu'il avait récupéré pour le mettre dans la casserole, puis il remua le mélange patientant sagement dans l'éspoir de créer sa colle miracle. Il patianta un petit moment pour enfin au bout d'un moment s'approcher d'une fénètre pour voir ce qui se passé dehors. Un joyeux bordel, le capitaine faisait n'importe quoi comme a son habitude et mama chercher encore a expérimenter le coit qu'elle convoité tant, quand a notre héros il pris deux torchont qui se trouvé sur la table et sortant la casserole du feu il se dirigea vers la fénètre pour l'ouvrir d'un bon coup de pied et tenter de lancer le caramel encore bouillant en direction de Josh, trop pris par les efforts que lui demander de soulever la casserole il n'étais même pas sur de toucher sa cible, tout ce qu'il espérait c'étais que le liquide visqueux tomberait au moins au pied de l'adversaire pour faire fondre le sucre qui composé le pavage et ainsi en se solidifiant entraver les mouvements du pirate et permettre au commandant une plus grande marge de manoeuvre.
Feuille de personnage Niveau: (41/75) Expériences: (289/500) Berrys: 999.999.999.999 B
Jeu 7 Sep - 21:35
Un souffle s’échappe lentement. Puis un autre. Suivi enfin d’un long soupir de soulagement. Peu à peu, la tension s’évapore et laisse place à une accalmie des plus profitables. Désormais, je suis sauf, loin des tumultes de ces combats sanguinaires. Mon innocence doit être préservée, à tout prix. Je repense alors à la folie qui s’est répandue un peu plus tôt. Et cet homme aliéné qui avait soudainement massacré les représentants de la justice comme ça, sans prévenir. Je peste, consterné par ce tragique incident. Il y avait décidément de sacrés illuminés qui pullulaient sur la route de tous les périls. West Blue ressemblait à un jardin d’enfants, à côté. Mes dents viennent perforer mes lèvres. Je sais que je n’ai plus le droit à l’erreur, désormais. Pas ici, pas dans cette mer périlleuse. Je pouvais m’estimer heureux d’être encore en vie. L’affaire « Abrahan » en attestait : survivre signifiait réagir à froid. Désormais, la prudence serait mon nouveau crédo.
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Sur ces mots pleins d’optimisme, je me décidai à m’accorder une bonne dose de courage, un petit remontant particulièrement approprié pour l’occasion. Ma main glissa donc sous ma veste, mais se heurta à un imprévu de taille. Aucune trace du précieux. À la place, il y avait ce curieux objet en verre, donc je ne parvenais pas à comprendre la forme tant il me semblait étranger et incongru. Fronçant les sourcils d’indignation, je sortis brusquement cet élément indésirable afin de l’identifier. Et je fus comme foudroyé par cette sordide et inattendue découverte. Ce n’était définitivement pas mon étui « magique ». Non. Au lieu de ma précieuse poudre, il y avait ce liquide, ce poison. J’étais anéanti par la tournure des évènements. Non seulement je n’aurais pas le droit à ma dose, mais en plus, le voile de la vérité était en train de s’élever. Je fus pris de vertiges alors que je contemplais l’artefact maudit. Le sort semblait s’acharner sur moi. Je demeurai interdit alors que les contours du naufrage que je venais de traverser se dessinaient peu à peu dans mon esprit. À mon plus grand désarroi. Je venais de mettre la main sur la clé des récents aléas de mon existence pathétique.
« Rhum Charrette »
Tels étaient les termes inscrits sur l’étiquette afin de nommer cet irascible poison qui sévissait depuis trop longtemps sur les mers. Telle était l’appellation de cet instrument du diable. Ce fléau qui détruisait tout sur son passage et se rependait telle une épidémie dans les veines d’innombrables malheureux contaminés. Quelle déchéance. Et quelle nouvelle désastreuse… Désormais, il m’était aisé de comprendre et d’imaginer mon périple dans Grand Line et mon arrivée sur cette île. L’alcool, nectar de tous les maux. Il m’avait entrainé au plus profond du trou. Je pestai. Comment avais-je pu succomber ? Pourquoi ? La raison était pourtant évidente. Les contours d’un masque blanc me revinrent en mémoire. Ainsi que sa longue lame aux reflets mortels. Ainsi que de puissantes ombres, immenses, qui dansaient autour de moi, tenant mon existence au creux de leur main. Et une chevelure rousse qui flottait légèrement au gré d’un vent qui s’atténuait. De tragiques évènements qui avaient bouleversé mon existence, qui m’avaient torturé pendant de longues nuits. Et je n’avais rien trouvé de mieux que de m’assujettir au Rhum en guise de remède. Un sacré paradoxe que de vouloir se soigner en consommant du poison. Finalement, il m’était aisé de m’imaginer me lancer ensuite dans une quête aussi soudaine que stupide d’une plus grande quantité d’alcool, dans le but d’étancher mon infini désespoir. Puis, je m’étais surement infiltré dans un bateau en partance pour Grand Line, abandonnant honteusement mon équipage originel pour prêter serment à des inconnus. Et, galvanisé par l’absorption de toujours plus de ce fléau liquide, je n’osais pas imaginer les quelques attentas que j’avais pu commettre sur mon cheminement jusqu’à cette île, cette lente descente aux enfers. Mon visage se crispa. Enfin, je revis cet homme pitoyable qui m’avait élevé. Cet homme misérable qui m’avait tout transmis. Même son ultime tare.
Quelque part, une petite étincelle sembla jaillir du néant. Elle embrasa de la poudre et un feu commença à se répandre. Un sentiment de révolte qui brûlait en moi. Mon cœur martelait ma poitrine avec rage, produisant un souffle nouveau qui inonda mes poumons d’une ardente volonté. Mon regard s’emplit de haine et vint fusiller la bouteille qui me défiait toujours, tenue fermement entre mes doigts. Elle devait… disparaitre. Une lueur brilla dans mon regard. Bientôt, cet ignoble liquide serait consumé dans une mer de feu. Je m’apprêtais à incinérer le symbole de la honte, la cause de ma décadence. Ainsi que toutes ces choses déplaisantes que j’avais vécues récemment. Et puis, mon poing se referma sur la bouteille afin de la faire détonner dans une puissante déflagration, réduisant en cendres tous mes problèmes.
Sous le coup de la chaleur, mes poils se hérissèrent. Je frissonnai. C’était comme si mon sang venait de se glacer : une sensation de froid venait de circuler dans tout mon corps. Bien loin de la douce chaleur de la vengeance. Intrigué par cette sensation inattendue, je cherchais du regard la langue de feu qui aurait dû s’échapper lors de la combustion du poison alcoolisé. Rien, pas la moindre fumée. Ni le moindre feu, d’ailleurs. Au lieu de ça, des bris de verre. Et un liquide nauséabond qui s’écoulait entre mes doigts et glissait vers le sol. Je n’étais donc pas parvenu à faire exploser la bouteille ?
Pourtant, je me sentais comme libéré d’un immense fardeau. Mon corps était plus léger, mes pensées étaient claires. J’étais fort d’une nouvelle détermination, d’un nouvel état d’esprit. C’était comme une renaissance, une libération de mon âme, jusqu’alors sous le joug de l’enfer. Sans me préoccuper davantage de cet ennemi vaincu, je poursuivis mon chemin, illuminé par les nouvelles possibilités qui s’offraient à moi.
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Je devais me dépêcher, pour une raison inconnue. Ma présence était requise, quelque part. Mais j’étais incapable de savoir où. Mon corps semblait se mouvoir tout seul. Et puis, vint un embranchement entre deux ruelles. Ce à quoi je ne prêtai nullement attention. J’étais perdu dans mes pensées, tentant de tracer les contours de l’avenir radieux qui se languissait de ma présence. Et puis soudain, un gros heurt m’impose un retour assez brutal à la réalité. Mon imposante enveloppe charnelle avait surgi de l’allée et s’était encastrée dans un obstacle venu d’une autre ruelle. Surpris, j’esquisse un regard rapide en direction de l’obstacle qui venait de se dresser sur mon périple. Un liquide rouge luisait sur son visage. Son visage. Un liquide rouge. Il s’agissait donc d’un être humain. Et du sang. Il était donc blessé. Mais pourquoi ? Ah. Je venais de le percuter. Logique. Hein ? Je sentais que d’innombrables gouttes de sueur s’accumulaient sur mon front. Que… ? Les traits de mon visage s’animèrent pour former une mine paniquée et mes yeux se bombèrent d’inquiétude. Et si… j’avais explosé sans m’en rendre compte lors de la collision avec le pauvre homme ? Sous l’emprise de la panique, je me ruai sur l’homme afin de vérifier s’il était toujours en vie. Et, plus important encore, je devais m’assurer de son identité.
« AH ! Vous êtes blessés ! Excusez-moi, j’étais ailleurs… je ne voulais pas… Au fait !! Vous êtes qui ? »
Résumé:
Ed comprend ce qu'il lui est arrivé récemment en trouveau une bouteille de rhum. Décidé à mettre un terme à ça, il brise la bouteille en utilisant son haki (?!) de l'armement inconsciemment. Puis il repart et percute un homme ensanglanté qui passait par là. Il croit que l'homme est blessé par sa faute alors que ce n'est pas le cas et tente de découvrir de qui il s'agit.
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Membre du club officiel des "Victimes d'Erwin le vicieux" et des "Victimes de Pumori".
Edward Lawrence
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Ven 8 Sep - 17:56
Kerk
- Des beaux discours... Encore et toujours.
Il marmonnait cela, sans regarder autour de lui, sans répondre à la constatation de son lien de parenté direct avec les Shishibukais. Il était le frère de ces deux jeunes femmes, ces jumelles qui l'avaient martyrisé quand il était gamin, qui lui avaient accordé peu d'importance, alors qu'il était enfoui dans sa solitude. Leur famille avait éclaté le jour où elles avaient décidé de prendre la mer, le jour où leur père avait ramené ces deux fruits du démon et les leur avait donné, le jour où leur côté fusionnel avait pris le pas sur l'intérêt qu'elles portaient à la famille. Avec un petit rire, il contra la première attaque de son adversaire sans trop de problèmes avec son bras en métal, et tenta de le repousser. Cependant les lames se scindèrent, laissant l'effet de surprise prendre le dessus. Transperçant la défense de Kerk, l'ennemi vint à prendre un court instant le dessus tandis qu'une voix se présentait en arrière-plan.
Le combattant au corps à corps recula, titubant, le sang coulant le long de son torse. Ce n'était que des blessures gênantes, rien de plus que des coupures de cours de récré. Avec son poing fermé, il dirigea la puissance de son armure pour briser l'attaque suivante de Shiki et lui broyer les côtes. Il allait lui faire regretter d'avoir tenter de s'opposer à lui, et de s'être levé contre les seules valeurs qu'il souhaitait reconnaître à présent, encore sous le joug de sa pensée.
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- Aaaaah !
Il venait de cogner quelqu'un, de trébucher, de s'affaler sur le sol. Étrange, très étrange. C'est bizarre, ce visage ne lui disait rien. Il y avait tellement de crapules sur l'île en ce moment, tellement de sang qui avait coulé sur lui – celui des marines qui l'avaient protégés – qu'il était certain de se trouver face à un hors-la-loi. Ainsi fut-il soulagé lorsqu'il constata que cet homme n'était nullement primé, et en oublia l'évidence même : ne pas se présenter à un inconnu.
- Je suis Geôlier-en-Chef à Impel Down, Docteur Info. Un navire de marines au port doit venir me chercher. Vous auriez l'obligeance de m'y amener ?
C'était une réelle question, posée à un civil quelconque cependant. Fort intéressante manière de procéder, mais il n'avait pas tardé à reconnaître que ce garçon bien bâti pouvait être d'une utilité remarquable pour le protéger.
Gränt Diez Polka
Grânt Diez Polka était d'une flegme remarquable, ainsi ne prit-il pas les devants en observant le vieil homme en train de se concentrer. La curiosité prenait le dessus : il n'avait jamais combattu d'adversaire plus âgé que Drogo, et cela serait une première. Y-avait-il un code d'honneur qui l'obligeait à lui laisser porter le premier coup ? Bah, sûrement. Il n'aurait de toutes les manières qu'à lui faire une pichenette pour l'éjecter à l'autre bout de l'île et ne plus en entendre parler.
- Aïe ! Fit-il en sentant la canne du vieil homme sur son crâne. Ça fait mal !
Et il n'attendit pas plus pour répondre. Le poing serré, il attaqua de front le vieillard et, grâce à sa capacité à manipuler le poing d'air, il tenta de créer ce phénomène au corps à corps pour amplifier les dégâts de son attaque. Avec une telle puissance, le vieux mettrait du temps à s'en remettre.
Du côté de Drogo, la lame ne toucha que légèrement la grosse dame, et tandis que l'attaque se perdait à côté d'elle, il sentit ses bras l'enserrer. Tout à coup, il regretta de l'avoir choisi en guise d'adversaire. Son souffle coupé ne lui indiquait rien de bon, et il tenta de se débattre, en vain. La force surhumaine de l'ennemie avait déjà eu raison de lui. Il s'évanouit rapidement, et si le câlin continuait, ses côtes se briseraient et son corps, réduit en charpie, n'abriterait plus aucune vie.
Le Commandant galérait... Vraiment. Il avait vu le marine disparaître après une tirade, fuir comme un lâche qu'il devait être. Il ferait un rapport sur lui à son supérieur ! Ça n'allait pas manquer... Il serait vir... Ah, le caramel vint s'y mêler. C'était ça son plan ? Du caramel qui... vint aveugler le pirate en face de lui. D'un seul coup, le Commandant venait de retrouver l'ascendant. Il s'élança vers son ennemi et lui lança une série d'aiguilles à bout portant, dans le but de déclencher ses nerfs les plus sensibles. Le pirate hurla de douleur et tomba un genou à terre.
Dans la base, un rat s'était jeté sur l'écusson, objet de sa mission, en le voyant tomber au sol. Sa vivacité l'amena à s'échapper en dehors de la base rapidement pour rejoindre sa maîtresse, et lui rapporter le butin.
Résumé : Tengen se fait ignorer. Les autres, ils se font taper dessus, sauf Misuto qui se fait ignorer.
Voici le résumé des forces en présence :
Gränt Diez Polka (Lvl 30+), 213.000.000 Berrys Drogo (Lvl 25), 31.000.000 Berrys Josh (Lvl 23), 29.000.000 Berrys Et 4 pirates (Lvl ??) primés de 7 à 13.000.000 Berrys.
Alibaba (Lvl ??), non primé
Kerk (Lvl 27), non primé
Colonel Darwin (Lvl 33) Commandant Salmon Eose (Lvl 22) Lieutenant Doggy Dock (Lvl ??) En moyenne les marines sont niveau 10.
Pour le coup, il n'y a pas d'ordre pour poster. Vous avez une semaine en tout. Attention à être cohérent entre vous et n'hésitez pas à communiquer entre vous.
Feuille de personnage Niveau: (44/75) Expériences: (43/500) Berrys: 37.650.000 B
Sam 9 Sep - 2:19
Shiki
Mini Event
Savior
La première attaque était un fiasco, mais cela n’était pas grave. La suivante en attendant semblaient porter plus ses fruits. La force du coup avait réussit à le faire reculer et laisser une légère trace sur lui. J’en étais presque désolé de voir un peu de sang se mêler à cette histoire. Blesser était une chose dont j’avais horreur, mais face à sa détermination à vouloir éliminer ceux qu’il jugeait injustement impure, je n’avais pas d’autre choix que de l’arrêter sérieusement sans chercher à le tuer pour autant. Fixant sa personne, je devins quelque peu pensif quand une voix imposante se fit entendre, brisant ma concentration. Deux filles avec le sword master actuel ? Ne comprenant pas et délaissant le combat une brève seconde, cela fit tilt dans ma tête immédiatement : Bremuria.
“ Tu es... “
Revenant à moi, je vis que trop tardivement le coup de l’homme venir à moi. Reculant d’un pas, je tentais de bloquer sa charge en croisant mes lames devant son coup. Je tentais de minimiser les dégâts, mais en vain, j’avais l’impression que son poing pénétrait mon corps bien que ce soit pas le cas. Crachant de la salive mêlée au sang, je fus repoussé comme lui l’avait été juste avant. Nous semblions quasiment de force égale.
Bien trop d’informations venaient dans ma cervelle. Le fait qu’il soit en relation direct avec deux Shichibukai - comptant pour une ? - et le fait que la personne ayant poussée sa gueulante n’était autre que ... L’homme le plus fort du monde ? Mes yeux doivent me jouer des tours, ma circulations sanguine doit être mauvaise à moins que ce soit l’oxygénation de mon cerveau ? Que faisaient de telles personnes ici sur cette pauvre île n’ayant rien de spécial à mes propres yeux ? Si leurs intentions étaient mauvaises, alors autant l’affirmer, l’île est perdue d’avance. Sont-ils alliés ? Si oui... Nous sommes tous perdus.
“ Pourquoi n’es tu pas avec tes soeurs ? Est-ce car vos chemins ne sont pas fait pour se développer ensemble ? Ou un souci de finir dans l’ombre d’elles ? ... “
Je cherchais à comprendre pourquoi un frère n’était pas avec ses deux soeurs. Ils pourraient former un formidable trio non ? Quoi qu’il en soit, j’essayais de trouver un lien entre sa personnalité et cette possibilité de problème.
“ Arrête toi... Je suis sûr que tu n’es pas mauvais. Nous pouvons en parler si tu le souhaites... Je peux t’écouter. “
Ne voulant pas le tuer, je renfonçais vers lui avec la ferme intention de le mettre à mal. Mon “ mentor “ m’avait clairement fait comprendre que le mental représentait 90% d’un combat et les talents influençaient les derniers 10%. Concentré sur ses mouvements, je vins alors à tenter de le surprendre une fois de plus. M’arrêtant brusquement alors que je n’étais qu’à quelques mètres de lui, je lançais ma lame noire pour essayer de le forcer à utiliser un de ses deux bras et temporairement bloquer sa vue ou le distraire. Dès qu’il aurait de nouveau le regard sur moi, il pourrait voir que j’avais rangé mon arme blanche dans son fourreau et en essayant de rompre la distance d’une simple impulsions d’une de mes jambes, je vins à user d’une technique basée sur la vitesse et la précision. Fameuse attaque des vrais samouraïs, en un éclair je dégainais ma lame pour frapper de façon verticale, de bas en haut. D’ordinaire, je ferais en sorte que la lame soit dirigée vers lui, mais là, seule le manche se dirigeait vers lui, son menton plus précisément. Le but ? Le sonner tout simplement. Restait à savoir s’il allait se faire avoir ou non.
résumé:
Shiki rompt la concentration à cause de .. ... Tengen ?!!! Mindblow sur le coup, il pare le coup de peu et subit pas mal. Essayant de se remettre ses idées en place, il cherche à comprendre Kerk et refonce sur lui. Dans un premier temps, il fait croire à une charge direct, mais seulement à quelques mètres de lui, il s'arrête et lance une lame pour faire en sorte qu'il esquive ou utilise un bras. Pendant ce temps, il se propulse et tente un coup éclair, mais sans utiliser le côté lame, il tente juste un coup avec son manche dans le menton pour le sonner sur place.
Tech utilisées:
° Daburugādo / Garde double ( 20 ) L'homme place deux lames devant un coup de l'adversaire pour contrer celui-ci, ou minimiser des dégâts.
° Battou Senkou - Inazuma / Dégainer en un éclair - Coup de foudre ( 20 ) Après avoir acquis une certaine concentration, le jeune homme dégaina une lame à sa ceinture tel un coup de foudre. Le jeune homme tente en un éclair une coupe horizontal ou diagonale. Dans le meilleur des cas, en y mettant plus de force, il peut même créer une lame d'air via ce coup.
Shiki M. Eiki
Nils Gratz
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Sam 9 Sep - 11:07
L'enfer, c'est les autres
Clepe Tomane et Jone Snow
Jone Snow n’en pouvait plus. Il était simplement tordu de rire devant l’expression totalement anéantie de son supérieur hiérarchique et pour cause ! Clepe en devenait presque inquiétant à se replier sur lui-même et à murmurer dans sa barbe le dos tourné.
C’était de grande valeur… c’était de grande valeur… Alors que le vieillard s’apprêtait à hurler sa rage au monde, un petit rat vint à réaliser l’impensable, à la fois pour le renardeau mais pour Clepe également qui voyait une nouvelle fois le fruit de son dur labeur se volatiliser. Même Jone eut un effet de surprise en voyant le rongeur s’en aller à toute vitesse.
Sans perdre un seul instant, il s’élança à sa poursuite en courant à toute vitesse. Si jamais il le perdait de vue, le renard se fierait alors à son odorat pour retrouver le médaillon : dans la mesure où il avait eu l’objet dans la gueule un bon moment, il saurait où se diriger. Seulement, Clepe n’avait pas dit son dernier mot et il en profita pour prendre le jeune mousse en chasse. Bien loin d’être aussi rapide que lui, il se ferait sans doute distancer si la course s’éternisait. Seul bémol : râleur comme il était, il ne s’agissait en aucun cas d’une manœuvre discrète. Le Tomane beuglait encore des insanités à propos de l’insalubrité des rats et ce foutu renard blanc.
Mama Ité Manjtou
Mama reçut une estafilade qui la fit à peine grimacer. Trop contente d’avoir son premier calin d’amour de force, elle ne réalisa simplement pas qu’elle y mettait trop de hargne et de puissance. Le pauvre Drogo se retrouva broyé en un rien de temps. Malheuresement, lorsqu’il perdit connaissance, la Mama eut un véritable électrochoc. Avait-elle tué le pauvre malheureux qui n’avait fait que lui témoigner son amour ?
Sans crier gare, elle plaça l’épéiste sur le dos à même le sol et commença son affaire : le déshabillant, elle révéla alors un torse plutôt bien dessiné qui la fit rougir en quelques secondes. Secouant énergiquement la tête pour se remettre les idées en place, Ité s’installa dès lors au-dessus de lui et entama un massage cardiaque des plus énergiques tout en alternant avec le bouche à bouche.
Son premier baiser… étrangement, les lèvres pulpeuses et bien trop maquillées coulaient sur celles de son amant du jour. De la bave dégoulinait sur le cou du pauvre malheureux et bientôt, avec l’adrénaline et le coup de chaud qu’elle avait, la Mama entendit quelques « cracs » sonores signes que plusieurs côtes se brisaient. Le pauvre homme serait sans doute dans l’incapacité de se mouvoir pendant plusieurs jours mais avec un peu de chance, il ne mourrait pas. Quelque peu paniquée avec les sonorités alarmantes, Mama ne put que se résoudre à demander de l’aide.
Un médecin vite ! En réalité, l’homme s’était fait avoir : entre le tché tché et la mort… il avait choisi le tché tché.
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Hein ? SNils n’avait pas réagi à temps. Certes, il put sans problème ressortir de sa torpeur malgré son mal de crâne pour le moins incapacitant au possible. Trop tard. Le coup de poing du Supernova était déjà amorcé et s’apprêtait à violenter son corps âgé. Dans un réflexe qui tenait beaucoup de son expérience de son fruit, un poison violacé vint sortir à l’endroit où le coup impactait. Ce poison était purement défensif et n’avait pas vraiment de propriétés inquiétantes dans la mesure où ce dernier relevait de l’instinct de survie du vieillard.
Pire encore ! Alors que son pouvoir se manifestait, le vent maitrisé par son opposant était en train de disperser le liquide dans toutes les directions sur quelques centimètres seulement. Ce n’était clairement pas suffisant pour permettre au vieillard de se protéger efficacement. Volant sur plusieurs mètres, il s’écrasa dans le sucre le souffle coupé et ne sut se réceptionner convenablement. Etait-ce ainsi tout ce qu’il était capable de faire ?
Nils n’était-il qu’un capitaine raté qui ne parviendrait pas à sauver une ile d’un épisode similaire à Toroa ? En boucle, il revoyait le corps de sa femme. Il était prêt à en pleurer de désespoir, il n’avait jamais vraiment su faire face à ses émotions et c’est finalement la Mama qui le tira d’affaire en appelant à l’aide. Regardant un instant sur la droite, il vit une scène différente de ce qu’il se passait réellement : il se voyait lui, en train de réaliser un massage cardiaque à l’un de ses enfants. La vision en était insupportable.
Les sourcils froncés, le vieillard se releva et cette fois-ci, il avait bien l’intention d’en découdre. Son seul talent allait être utilisé à son paroxysme comme jamais il ne l’avait dès lors poussé. Fixant son opposant d’assez loin avec un regard noir, le corps du vieillard se mit à changer radicalement. Les courbes ridées de l’ancêtre laissèrent alors place à un liquide violet inquiétant d’où s’échappaient quelques volutes tout aussi inquiétantes. Son corps se recouvrit finalement entièrement et seuls ses yeux noirs perçaient au travers de son habillage démoniaque.
Un pas après l’autre, après avoir récupérer sa canne qui avait volé en même temps que lui, il avançait en direction du flemmard. Se tournant un instant vers un soldat qui serait alors moins occupé, il ne demanderait qu’une simple confirmation malgré son apparence très peu engageante.
Les familles, les femmes et les enfants sont à l’abri ? Nils aurait pu recourir à une formule simple de « civil », cependant, c’était toute la considération qu’il avait pour ces gens qui s’en retrouveraient alors tachée. Si le soldat répondait par la positive, alors il pourrait certainement passer à l’offensive et avancer une nouvelle fois en direction du supernova si celui-ci n’avait pas attaqué avant. Si c’était négatif, alors il attendrait l’assaut de son adversaire et répliquerait de façon assez sobre pour parer ses coups avec les tentacules.
Manipuler l’air allait sans doute l’embêter au plus haut point. Cependant, pour empêcher un liquide de toucher une zone, il allait être nécessaire pour lui de manipuler cet air en permanence. Le piège du colonel se refermait peu à peu avec de discrets tentacules infiltré dans le sol et caché par l’armure de poison. En effet, alors qu’il ne semblait qu’attendre, un poison des plus dangereux se répandait silencieusement dans le sol de l’ile. Le sucre était un élément bien facile à liquider étrangement…
Le renardeau essaie de courser le rat et le médaillon du coup avec Clepe sur ses talons.
Mama tente un massage cardiaque… ça tient plus du Tché tché… le pauvre.
Nils n’esquive pas vraiment et a le souffle bien coupé à voler. Il a des douleurs aux côtes qui se réveillent et réalise cependant qu’il va vraiment devoir passer à l’action et utiliser la maitrise de son fruit, seule arme à son actif.
Ah et Ipère dort toujours...
Mama Ité - Niveau 31 [Force Surhumaine]
PnJsation vu avec le MJ
Techniques utilisées:
Armor Venom (niv.10) : Nils recouvre une partie de son corps de poison pour se protéger. Full Armor Venom (niv.20) : Nils recouvre intégralement son corps de poison. Venom Surprise (niv.27) : Nils enfonce ses tentacules dans le sol. Le poison se répand autour de lui et il peut faire surgir les tentacules du sol pour surprendre l'ennemi.
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Signature réalisée par Komatsu
Nils Gratz
Edward Lawrence
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Sam 9 Sep - 14:26
« De Charybde en Scylla. »
Les paroles de l’homme que j’avais renversé me transpercèrent comme des lances. J’eus des vertiges. L’espace d’un instant, je crus même m’évanouir. Mais mon corps trouva suffisamment de robustesse pour tenir le choc et conserva sa position. Mon visage, quant à lui, ne refléta pas la moindre émotion. Il s’était figé telle une figure de pierre. Je sentis un grand vide remplir mon être. J’en étais rendu à un stade où plus rien ne pouvait m’étonner. Ni même la présence d’un gouvernemental sur mon chemin. Un geôlier d’Impel Down, la célèbre prison ! Non, ce n’était qu’un fait banal parmi tant d’autres. Après tout, ce genre de rencontre était des plus communes, surtout en ces lieux. Je soupirai finalement. Cette succession d’évènements était des plus bénéfiques, après tout. Et des plus logiques. Après m’être accusé d’un crime que je n’avais pas commis, je pouvais décemment me faire priver de liberté. C’était dans l’ordre des choses. Et puis, mon regard s’assombrit. J’étais vraiment tombé de Charybde en Scylla.
« Eh bien, enchanter, cher Docteur Info ! Au port donc ? Avec plaisir, c’est un honneur pour moi d’effectuer cette mission. »
Je me décidai donc à l’accompagner dans son périple jusqu’à la zone portuaire, bien que, récemment arrivé sur l’île, je ne savais pas exactement quelle direction empruntée. Après une très légère réflexion, je choisis l’itinéraire qui me semblait être le plus probable. Après quelques instants, je ne manquai pas d’interroger mon nouveau compagnon de route, afin de faire la discussion.
« Alors, qu’est-ce qu’un éminent représentant du Gouvernement comme vous vient faire sur cette île jusqu’à présent sans histoires ? »
Jusqu’à présent était l’expression adéquate, car l’île semblait être en proie à quelques soucis d’envergure, à en juger par les murmures de combats qui s’amplifiaient à mesure que nous progressions dans notre quête. De nombreux éléments du scénario semblaient m’échapper. Je comprenais difficilement pourquoi il y avait tant de grabuge. Était-ce lié à la présence de ce geôlier et de son navire ?
« Au fait, ça ne vous gêne pas tout ce sang sur votre visage ? C’est assez macabre comme maquillage… Tenez, permettez-moi de vous donner de quoi vous nettoyer ».
Et à ces mots, je lui tendis une petite serviette. À en juger par sa santé physique apparente, il ne s’agissait pas de son sang. Mais alors celui de qui ? Je me demandai alors s’il n’avait pas été pris dans l’explosion survenue un peu plus tôt… Sa proximité avec le lieu où je m’étais donné en spectacle tout à l’heure rendait ce raisonnement plutôt cohérent. Haussant les épaules, je me contentai d’écouter ce qu’il répondrait à mes quelques questions.
Résumé:
Ed fait fi de la position des astres tant sa situation actuelle est totalement invraisemblable. Il décide donc d'accompagner le geôlier et discute un peu avec lui sur le chemin. Il lui propose d'essuyer le sang sur son visage avec une serviette.
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Membre du club officiel des "Victimes d'Erwin le vicieux" et des "Victimes de Pumori".
Edward Lawrence
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Sam 9 Sep - 21:58
Liga D. Tengen, Yonkou et Pirate le plus puissant du Monde.
Cette île était foutrement anormale. Personne ne lui prêtait attention, comme s'il n'avait de toute manière rien à faire ici... Il avait la furieuse impression de n'avoir finalement pas été invité à cette petite sauterie : il n'était de fait ni plus ni moins qu'un élément indésirable dont on essayait vainement de faire abstraction. Un sentiment nettement plus cruel que l'hostilité tout juste camouflée qu'on lui décernait habituellement : là, il n'avait aucun moyen de briser un tant soit peu la quiétude ambiante parsemée de combats sans la moindre saveur ni la moindre intensité, traînant en longueur entre protagonistes de niveaux équivalents... Et absolument dérisoires, soit dit en passant. Son fruit du démon en main, l'Empereur hésitait donc quant à la marche à suivre : faire respecter sa présence, telle qu'elle aurait dû l'être de prime abord, en relâchant puissamment son haki royal afin de rappeler la moindre âme vivante à des centaines de mètres à la ronde à la raison ? Se contenter de laisser ses poings exprimer sa frustration, et fracasser tous les os qui se trouvaient à sa portée d'un simple et unique geste ? Ou bien tout simplement passer son chemin et se presser afin de remettre la main sur Myô et ses autres subordonnés, qui ne l'ignoreraient pas tant en le voyant revenir ? Tengen n'eut néanmoins pas l'occasion de trancher définitivement : un inconnu sembla le reconnaître, ou tout du moins le remarquer. Le type, un blond à demi-enfoncé dans le sol, certainement en proie à une malédiction quelconque qui ne semblait finalement pas si étrange comparativement aux mystères qui peuplaient le Nouveau Monde, déclina effectivement son identité. Par simple politesse, le Yonkou se mit à répondre, l'auriculaire droit enfoncé dans une narine et un haussement d'épaules nonchalant plus tard :
Vermeil, lieutenant de Tengen, 404.404.000 berrys, et Legum, membre de l'équipage, 222.000.000 berrys.
Si le jeune homme était arrivé placide et tranquille d'un bond preste depuis les toits ambiants, la jeune femme-bête n'avait en revanche pas vraiment fait dans la dentelle : elle agitait frénétiquement les bras et hurlait Cap'tain à tout va jusqu'au moment où elle parvint enfin à atterrir auprès de son supérieur. Celui-ci lui tapota le haut du crâne amicalement un instant durant avant de tendre le fruit du démon à Vermeil, manifestement fier de lui et un sourire des plus éclatants gravé sur le visage :
-Regarde, Vermeil ! Je l'ai trouvé ! C'est Gerrich qui va être content ! -... A qui le dis-tu... -Ben, à toi.
Las et désespéré, le lieutenant pirate poussa un soupir et leva les yeux au ciel. Tengen avait toujours eu la fâcheuse habitude à se faire passer pour beaucoup plus idiot qu'il ne l'était réellement : c'était son meilleur moyen de s'amuser. Il prenait constamment ses interlocuteurs de haut et manipulait l'entièreté de leurs dialogues en se faisant passer pour un simplet, et en les amenant là où il les souhaitait... Un don redoutable que seuls une poignée d'êtres à travers le Monde estimaient à sa juste valeur : Myô et ses autres proches, bien entendu, mais aussi les autres Yonkous et les plus hauts-gradés du Gouvernement Mondial. Toujours était-il que la légèreté apparente du Yonkou ne fut cette fois-ci que de très courte durée : le mini-escargophone de Vermeil se mit à sonner et ce dernier, d'un geste lent, l'attrapa et en décrocha le combiné. Une voix familière raisonna alors : celle du bras-droit du fringant pirate qui lui faisait face.
Le juron avait échappé si naturellement à Myô, à l'autre bout du combiné, que Tengen se mit à en rire avec malice et délectation. Son bras-droit avait réellement eut l'infime espoir de le rattraper avant qu'il ne se procure l'objet de ses désirs... Une folie furieuse, puisque personne n'était susceptible de le capturer s'il décidait de prendre la poudre d'escampette. Toujours était-il que son bras-droit n'avait manifestement pas dit son dernier mot : le but semblait désormais de faire diversion autrement, en attirant son attention ailleurs. Dans un premier temps perplexe et interdit, l'Empereur ne tarda toutefois pas à céder devant la perspective d'une trouvaille encore plus capitale que celle qu'il venait d'accomplir...
-Tengen, de l'autre côté de l'île, y a une colline. La colline aux Loukoums, je crois. Un truc du genre. -Et ben ? -Ben y a un Ponéglyphe. Apparemment un Road... -Un Road ? Pour Rough Tell ? -Ouais, c'est ce qu'on m'a dit. -Qui t'a dit ça ? -Une marine. -Une vraie ? -Ouais, et elle t'aime pas. -Ah. C'est pas un piège ? -Si, probablement. -Ok. Parfait.
Là-dessus, le Yonkou raccrocha à la place de Vermeil, lequel demeura silencieux tout en clignant des yeux, pris de court. Il rangea l'escargophone tandis que Tengen se tournait en direction de Misuto, lui adressant un bref signe de la tête manifestement navré de devoir le laisser aussi promptement, puis s'en désintéressa complètement pour se tourner dans la direction vaguement indiquée par Myô durant l'échange. Vermeil, souhaitant manifestement faire d'une pierre deux coups, pris alors la parole à son égard.
-File-moi le fruit. Tu vas l'éclater, sinon. -Ouais, ouais. Tu vas pas me le rendre, je te connais. -Cap'tain, j'peux v'nir ? Ça a l'air drôle là-bas ! -Bon, si tu veux... Vermeil, va retrouver les autres, dis-leur qu'on arrive !
Avant même que son lieutenant n'ait l'occasion de répondre, le Liga D. attrapa Legum par la taille et se projeta dans les airs avec une puissance faramineuse : les dalles de la rue éclatèrent pour la plupart, lorsqu'elles ne s'envolèrent pas tout bêtement, et les vitres les plus proches se mirent à se briser de concert tandis que Vermeil lui-même, directement exposé à la force brute de son capitaine, reculait de plusieurs pas en se protégeant vaguement le visage du vent généré d'un coup d'un seul. Le Yonkou était parti... Et risquait d'être occupé pour les minutes à venir.
Tengen répond sans pression à Misuto avant d'être rejoindre par Vermeil et Legum. S'en suit un échange avec Myô par Den Den Mushi interposé. Ensuite, il vous fausse compagnie en attrapant Legum et en se projetant à l'autre bout de l'île (il éclate la moitié de la rue au passage, évidemment). Vermeil se retrouve donc tout seul avec vous !
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PNJ (Pirate)
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Mer 13 Sep - 1:41
L'enfer c'est les autres : Retour aux choses sérieuses
Le pirate qui me faisait face se présenta à son tour avec une certaine désinvolture et une nonchalance qui semblait aller de pair avec cette aura bizarre qui émanait de lui, cette puissance indescriptible.
- Ok, cool. Moi, c'est Tengen.
Tengen, se nom me disait quelque chose… j’en avais déjà entendu parler, de la bouche de mon défunt maitre.
‘’Petit, retiens bien ce nom, c’est celui de l’homme le plus puissant du monde, il a sur sa tête une prime incommensurable et, un jour, je le capturerai. Son nom, c’est « Liga D. Tengen ». Ce jour-là petit, je prendrai ma retraite… et ce sera alors à toi de reprendre le flambeau.’’
J’avais donc en face de moi l’un des quatre Yonkou ; ce forban pouvait s’en doute en finir avec ma vie d’un seul coup, la mort me faisait face.
Heureusement, une voix attira son attention, le détournant de ma personne. Visiblement, il s’agissait de deux membres de son équipage : la première paraissait toute gentille, cela ne devait être qu’en extérieur ; le second par contre faisait vraiment peur et dégageai lui aussi une certaine force. Le capitaine remit alors un… un fruit du démon à l’un de ses subordonnés. Puis, un escargophone sonna.
J’aurai sans doute pus fuir à ce moment précis, mais je sentais qu’il fallait que je reste, des informations précieuses pourrait peut-être m’être livré, des informations sur l’un des hommes les plus craint et les plus recherché de ce monde. J’espérai juste que les trois individus passeraient outre ma présence qui, il fallait l’avouer, était bien insignifiante. Vint alors LE mot qui attira un peu plus mon attention, le genre d’information que j’attendais et pour laquelle je risquais peut-être ma vie.
- Ben y a un Ponéglyphe. Apparemment un Road... - Un Road ? Pour Rough Tell ?
Une fois la conversation terminé, si brusquement que j’eus à peine le temps de sortir de mon état de concentration, que Tengen se tourna à nouveau vers moi… c’était le moment décisif pour moi.
Mais contre toute attente, il se contenta de me saluer d’un signe de la tête, désolé avant de finalement, complètement m’ignorer, comme si je n’existais plus. Il se propulsa alors dans les airs, libérant une puissance vraiment incroyable au passage, brisant les vitres aux alentours et laissant un trou béant dans le sol de pierres brisées et fissurées. L’énergie dégagée était telle, qu’elle me propulsa en arrière.
Cette rencontre me laissa béat pendant un court instant avant de finalement reprendre mes esprits. Un danger bien plus important sévissait sur l’île et j’étais venu pour le combattre. Je me retournai donc vers le combat qui se déroulait à quelques pas de moi, celui que je m’apprêtai à rejoindre juste avant l’apparition du Yonkou. Je repris donc là où je m’étais arrêté :
Express way
Je m’éclipsai donc dans le sol afin de me diriger rapidement et discrètement vers mon nouvel adversaire, Kerk.
Il était claire qu’à mon niveau actuel, vu l’intensité du combat qui avait lieu, j’étais trop faible pour jouer le premier rôle dans cette confrontation, mais je pouvais très bien aider mon partenaire du jour à venir à bout de ce criminel. Il fallait donc que j’agisse dans le bon timing, no trop tôt pour ne pas gêner, ni trop tard pour ne pas laisser le temps à Kerk de réagir et contre-attaquer.
Mon but était simple, je devais simplement, au moment de l’attaque de Shiki, attraper les pieds du forban pour l’empêcher de bouger, même l’espace d’un instant. Cette attaque étant rapide et furtive, si elle était bien réalisée, j’avais même une chance de réussir mon coup sans me faire repérer et donc de pouvoir continuer à agir en toute discrétion… incognito.
Chameleon
Je me plaçai donc derrière ma cible, sous le sol, prêt à agir, surveillant discrètement le bon moment.
Je reprend donc le combat auprès de Shiki, essayant de l'aider le plus discrètement possible en bloquant les pieds de Kerk au moment de l'attaque de Shiki, l'espace de quelques secondes.
Techniques : Express Way --> permet de se déplacer rapidement sous terre en restant discret Chameleon --> technique visant à se camoufler dans un mur, le sol ou autre afin de se cacher ou d’attaquer furtivement.