Équipage : Paradise, Dead-End, Allié de l'Inquisition
Feuille de personnage Niveau: (41/75) Expériences: (392/500) Berrys: 56.100.133.000 B
Lun 16 Mar - 13:24
L'Hippocampe d'Ivoire
L’effervescence était grande en cette matinée dans le port de Luvneel. L’activité de son fameux chantier naval battait son plein sous un soleil doux qui réconfortait les travailleurs de ses rayons chaleureux. Aggaddon remontait le long de la rue en observant tout ces navires qui étaient en construction. Rangeant un escargophone dans sa poche, celui qu’il venait d’utiliser pour vérifier que tout allait bien à Ironfall, le Médixès trouva enfin la personne qu’il était venu voir. Face à une immense embarcation à la coque majoritairement blanche, à la figure de proue en forme de licorne et arborant une peinture rouge sur l’environnement de son pont principal, un homme à l’air sec et strict se tenait sur la barrière de pierre qui séparait l’avenue de la mer des chantiers. De temps à autres il hurlait des ordres pour coordonner l’évolution des finitions pour ce vaisseau.
-Gérald Rinvohtein. Content de vous revoir, déclara le savant en s’approchant.
-Seigneur Médixès. Merci d’être venu. Comme vous pouvez le voir, L’Hippocampe d’Ivoire est sur le point d’être terminé et il est conforme aux demandes que vous nous avez soumis.
-Bien. Je suis ravi que vous ayez été aussi productif.
En effet, le navire à trois mats face à eux était une commande direct du noble, un nouveau vaisseau flambant neuf qui remplacerait son misérable sloop. Le mathématicien disposait désormais d’une véritable embarcation digne de ce nom. De quoi en imposer à la population en débarquant à Nortis lorsque Paradise irait s’emparer du marquisat où résidait le dernier des frères d’Aggaddon. Le maudit des biscuits avait hâte. Profitant du voyage de Raki et Akira vers Shabaody, le Médixès avait passé commande auprès du réputé CNL, Chantier Naval de Luvneel, et voilà qu’au moment où ces derniers allaient revenir après ces quelques semaines d’expédition vers le bout de la première partie de Grandline son bateau allait être prêt. Si ce n’était pas merveilleux.
-Quand est ce que je pourrais prendre la mer ? questionna-t-il.
-En fin d’après-midi ou demain matin en fonction de la vitesse à laquelle avanceront ces glandus. Tirez plus fort bande de chiffes molles ! rouspéta soudainement en hurlant Gérald à un groupe de charpentiers habitués au tempérament de leur supérieur.
Un sourire orna le visage du scientifique tandis qu’il observait sa nouvelle « maison » bientôt construite…