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Mer 30 Déc - 0:21
The beginning
Le colonel réfléchissait et faisait du brainstorming intensif depuis cette histoire de vol. Il n’en revenait toujours pas et nous non plus… Visiblement, si on y réfléchit avec du recul, ces gens avaient infiltré l’île des semaines à l’avance, et fait en sorte que l’œuvre d’art soit volée avant que l’incident n’ait lieu. Au final, l’explosion, la chasse à l’homme, ce n’était que de la poudre aux yeux pour rendre plus crédible cette mise en scène. Quand avaient-ils substitués les œuvres ? Allez savoir, mais les hypothèses étaient nombreuses et d’après mes rapports, on émit même l’hypothèse que lors du choc entre les matelots et l’œuvre, il y avait eu un échange ou un truc du genre. Le mystère était encore entier et le souci actuel ce dernier : Où est l’œuvre d’art et les autres objets de valeur disparus ? Où est-ce qu’ils entreposent cela avant de sans doute les revendre ? C’est ce que nous tentions de découvrir… Dans sa cabine, le colonel se décida à faire appel à de nouvelles sources de pouvoir, convaincu qu’ils pourraient aider, en plus de l’aide des cipher pol qui mobiliseraient des troupes au possible en fonction des effectifs. Peu … Dans sa cabine, l’homme faisait appel à cette ange et ses compagnons, le plus discrètement possible.
« Bonjour… Ici le Colonel Strauss. Nous avons coopéré sur une affaire dernièrement. Cependant, il se trouve qu’il y a eu un imprévu. L’œuvre récupérée est fausse. Nous ne savons guère comment cela a été fait, mais les faits sont là et de ce fait j’aimerais que vous nous rejoigniez aux coordonnées qui vont suivre. Le but étant clairement de nous aider dans l’affaire en plus de totalement vous disculper de tout soupçons qui pourraient planner sur vous… Sans vouloir être offensant. »
Sujet délicat… Il ne fallait pas oublier que le mystère étant entier, qui sait si ces bons samaritains n’étaient pas des complices ? Il y avait eu usurpation d’identité, alors au fond, des complices, ce ne serait que banalité non ? Quoi qu’il en soit, l’homme n’insistait pas sur ce fait, prouvant qu’il avait malgré tout une certaine confiance en eux. C’est plus ceux qui font une véritable enquête sur les faits qui émettent des hypothèses en tout genre.
Dans la cale, là où les hommes étaient emprisonnés, je continuais de les cuisiner. M’en prenant au plus costaud, j’étais bien décidé à le faire parler. Pour une fois que les gens n’étaient pas trop là, autant en profiter… C’est donc au corps que je travaillais le bonhomme et ce dernier se montrait toujours si dur à cuir en apparence.
????
“ Tsss… Tu joues le gros bras, mais même ma mère frappe plus fort que ça… » « Ah ouai ? »
Et une fois de plus, mon genou rencontra son ventre, le pliant sur place. Jurant quelque peu, l’homme finit par rire, allant même jusqu’à me proposer de le délier un peu, histoire de jouer. L’objection étant jeté, il se prit un nouveau coup qui l’amusa encore et toujours… Tsss, ce que ça m’énerve ce genre de gars. Me défoulant sur lui, quitte à prendre un avertissement plus tard, je vins à l’entendre parler.
« Quelle heure ? » « Rhaaaaa, la ferme avec ça. Il doit être hmmmm… 15h12, une connerie du genre. » « Je me mettrais à l’abri si j’étais toi. Tu auras peut-être une chance de survivre. »
Saisissant le gros malin par le col, je le soulevais pour alors le plaquer au mur. Du bluff ? Combien de fois j’ai entendu ça. Tsss, ridicule. C’est alors qu’il se mit à blablater, semblant avouer de façon subtile la façon dont ils ont infiltré l’île minutieusement, comment ils ont prévu tel ou tel mouvement. Il n’avoue pas clairement que c’est lui, ou son collègue ici présent… Mais en tout cas il fanfaronne, il l’ouvre, il parle et m’énerve un peu plus. Saleté… Le rejetant contre un mur, je le laisse alors pour aller prendre l’air.
Remontant sur le pont pour rejoindre ma sœur, celle-ci observait l’horizon. Elle n’en revenait pas non plus de ce qui s’était passé. Ce groupe en supposant qu’ils soient plus que deux ou trois… Leurs méthodes semblaient si bien ficelées… Le ou la personne qui tire les ficelles est clairement quelqu’un à ne pas sous-estimer. Mais pour l’heure, il fallait se préparer à la suite. En l’absence d’informations, il faudrait attendre que l’enquête avance pour révéler de nouveaux objectifs. A moins que les ennuis ne viennent à nous ?
Alors que tout se déroulait bien, quelque chose allait troubler la paix environnante et promettait d’être chamboulant pour nous tous ici présent. Les eaux aux alentours de Yakoutie Island étaient calmes, mais pour combien de temps ?
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Taito Nowaki
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Mer 30 Déc - 1:45
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Le début des légendes
Les eaux étaient calmes autour du Centaurus. La voile battait le rythme, gonflé par un vent méridional qui faisait monter l’unité révolutionnaire un peu plus vers les latitudes polaires de cet océan de glace, de neige et de froid. Emmitouflé dans des manteaux et autres vêtements chauds, la plupart des membres de l’équipage exécutaient les manœuvres. Lorsqu’un navire fendait les flots, il fallait constamment le surveillé et être prêt à réagir aux ordres pour s’adapter à tout moment. Il suffisait d’un vent trop fort qui déviait du cap, de vagues qui s’intensifiaient et d’autres problèmes mineurs pour qu’un vaisseau rencontre quelques problèmes. Les marins passaient une partie du temps à regarder l’océan, analyser l’environnement pour prévoir les dangers, tandis que d’autres préféraient passer le temps d’une manière différente, plus… divertissante. L’archange était assise sur le bastingage et faisait clairement partie de la première catégorie. Elle observait les mers de cette contrée septentrionale en se posant mille et une question sur l’environnement et la biodiversité. Le soleil brillait au zénith lorsque la voix de l’escargophone de Janaffe grimpa dans les airs. Les regards, même ceux de Bylt et Joshua prit dans une partie de tarot, se tournèrent vers le capitaine qui était aux côtés du timonier afin de définir le cap à suivre. Sortant le den den mushi de sa poche, Janaffe décrocha :
-Oui ?
Le colonel Strauss ? Le jeune Wolfric Strauss ? Non là c’était un nom qui évoqua des souvenirs avec quelques secondes de décalages. Le capitaine du Centaurus répondit alors tout en jetant un regard vers la céleste.
-Je vous passe Ishtar. C’est à elle que vous avez principalement eu affaire ce jour là.
Laissant sa place à la blonde aux quatre ailes, cette dernière récupéra le combiné et écouta la suite.
-Je vois. Nous essayerons d’être là au plus tôt. J’espère que vous ne rencontrez pas trop de problèmes de votre côté en plus de cela. Les camarades de ces deux voleurs ont-ils déjà essayer de libérer les leurs ?
Une demande rien de bien surprenant. Le moment où il y avait le plus de chance de libérer un prisonnier était lors du transfert après tout. En tout cas, une fois la réponse récupérer la De Lérhane transmettrait les informations aux restes de l’équipage.
-Yakoutie Island… C’est là où nous sommes passés il y a deux ans c’est bien ça ? interrogea Marmo.
-C’est ça. Mais ce coup-ci, nous ne prendrons pas des vacances aux skis, fit remarquer le lieutenant Levail.
Le navire prit le cap de la terre de Yakoutie Island où la suite d’une histoire bien sordide allait se jouer. Le mauvais pressentiment que la bilcane avait ressentit au sujet de cette histoire se raviva soudainement. Ce n’était clairement pas fini et le pire était peut-être à venir. Un faux… Ils avaient préparé leurs coups et si ça se trouve cela entrait dans un plan bien plus large visant à piéger la Marine pour acquérir quelque chose de plus important encore. Il fallait arriver au plus vite à destination et c’est ainsi qu’il faudrait une bonne journée à l’embarcation pour apparaître à l’horizon de la contrée neigeuse où attendaient apparemment Strauss et ses hommes ? C’était-il passé des choses importantes entre temps ? Les révolutionnaires du Centaurus le découvriraient bien assez tôt.
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Mer 30 Déc - 12:22
The beginning
Au large de Yakoutie Island, le froid régnait en maître, comme sur la plupart de North Blue au final… Une température que peu de gens apprécient en général. Pourtant, il fallait faire avec… Surveillant une fois de plus les prisonniers, ces derniers attendaient patiemment. Ils étaient sereins, malgré les portions ridicules qui leurs sont servis ou les promesses de chambre de luxe à Impel Down. Même Satan ne semblait pas les impressionner et sans doute est-ce parce qu’ils sont convaincus de ne pas le croiser ? Pour ma part, je ne connais pas les coutumes de la fameuse prison, mais au final la question se pose : est-ce que le directeur est présent en personne pour accueillir le moindre prisonnier ? Pas sûr…
Quoi qu’il en soit, leurs silences étaient énervants et si de mon côté je restais énervé pour le coup. Ma sœur et le colonel par exemple étaient plus inquiet de ce comportement. Si de mon côté je n’y voyais qu’un côté dur à cuire, ma sœur et le colonel ne le savaient pas, mais ils pensaient pareil : c’est de la confiance. On peut être borné, imbu de soi, mais une telle confiance, cela ne peut signifier qu’une chose… Et si tel était le cas… Voulant s’assurer de certaines choses, c’est le colonel en personne qui arriva dans la cale pour essayer de « discuter » avec les prisonniers. Encore une fois, le basané avait la langue bien pendue et sortit les mêmes paroles qu’à moi. Acerbe, sûr de lui, il faisait clairement un pied de nez au colonel qui gardait son calme.
« Hey !!! Ferme-la un peu, tu ne sais pas à qui tu t’adresses là !!! »
La main du colonel se leva pour m’intimer de me taire alors qu’il l’interrogeait avec minutie. Il parlait calmement malgré les injures et provocations du basané. Le ton et la démence du forcené augmentait et finalement, il se calma en demandant une certaine information : l’heure. Répondant calmement, le colonel vint alors à écarquiller les yeux en voyant la réaction du voyou qui semblait se satisfaire de la réponse. Aurait-il compris une chose entre-temps ? Quoi qu’il en soit, l’homme se redressa vivement et laissa sa voix porter au loin.
« Tout le monde sur le pont !!! Tous à son po… »
Alors qu’il hurla, quelque chose percuta le navire de plein fouet et perça même la coque. Une attaque ? En effet, il s’agissait d’une attaque et visiblement, celle d’un sous-marin. La chose surprit plus que le colonel… Moi, les hommes à bord et ma sœur étions sous le choc d’un tel assaut. Rare sont ce genre de choses, mais là, si on y réfléchit bien, ça semble clairement prémédité. Se pourrait-il que se faire capturer fasse partit du plan ? Qu’ils eussent prévus depuis le début d’être reprit de nos griffes ? Si tel était le cas, cette organisation n’avait clairement pas froid aux yeux. Un signe se fit voir sur le bout de métal qui venait de percer la coque. Sans doute le symbole de l’organisation. Mais pas le temps de réfléchir, il fallait réagir au plus vite. Visiblement, cela chauffe sur le pont et pour cause, des hommes sortent du sous-marin et nous abordent.
« Restez là et surveillez les prisonniers, ils sont forcément là pour eux ! »
Me laissant donc là avec la mission de surveiller ces deux énergumènes, pour ma part, je me mis à réfléchir à quoi faire. Car nous avions aussi un autre souci : ce trou dans la coque. Là, il y a l’engin aquatique, mais quand il se retirera… Qui comblera ce trou béant ? Vu la température de l’eau, peu de chance qu’on puisse s’en sortir, le navire est théoriquement condamné… Voyant le sourire niais des prisonniers, je me retenais de leur sauter dessus alors qu’en haut ça chauffe.
Là-haut, de nombreux hommes s’en prenait. Il y avait approximativement le même nombre de malfrats que de membres de la marine sur le navire. Heureusement, l’arrivée du colonel soulagea grandement les troupes. Les hommes masqués à moitié par un masque noir semblaient ne pas faire le poids face à cet homme habile de son fleuret. Mais voilà… Si d’un côté la situation semble s’équilibrer, voilà que des silhouettes sortirent de nouveau de l’engin sous-marin et cette fois-ci, cela ne présageait rien de bon.
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Si en apparence ils ne payaient pas de mine, ils étaient clairement une mauvaise nouvelle pour l’équipage qui trouvait enfin son rythme. Tout s’accordait au plan des malfrats. Leur timing était parfait. Mais qu’en était-il des autres alliés ? Arriveraient-ils à temps ?
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Mer 30 Déc - 14:52
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Le début des légendes
Saki, Deylan
-Ils sembleraient qu’ils aient un problème !
La voix de Saki résonna depuis la vigie. Alors qu’elle observait la collision à travers la longue-vue, la bretteuse se questionnait sur les motivations de ces criminels. En tout cas, il fallait mettre les bouchés doubles pour arriver au plus vite.
-La Marine se fait attaquer !
-Toutes voiles dehors ! Nous allons leur venir en aide ! hurla Janaffe.
Tout l’équipage se mit en action et le Centaurus vogua à sa vitesse maximale pour rejoindre la bataille. Celle-ci aurait commencé depuis une bonne dizaine de minutes lorsque le navire révolutionnaire arriva à proximité et celui gouvernementale. La majorité de l’équipage du Barne étaient dressés sur le bastingage, prêt à aborder le navire des mouettes afin de les rejoindre et les aider.
-À l’attaque ! hurla Deylan qui se fit passer pour le capitaine de la troupe, Janaffe attendant de voir si la situation était encore plus critique pour intervenir en personne.
Saki et Deylan furent les deux premiers à arriver sur le pont. L’un avec son sabre, l’autre avec son katana, ils s’élancèrent droit en direction du combat pour essayer de lacérer ceux qui ne portaient pas d'uniforme de la Marine. Dans une très bonne coordination, ils tracèrent la voie à Ishtar qui les suivit de prêt et était prête à administrer un florilège de coups de poings afin de mettre KO, ou en tout cas d’essayer, ceux qui seraient blessé par les deux épéistes.
Levail, Jurth
Toujours sur l’embarcation révolutionnaire, le chevalier Levail envoyait de temps à autre une lame d’air pour perturber les affrontements des criminels avec les gouvernementaux, obligeant les malfrats à devoir parer des assauts venant de l’extérieur de leurs affrontements. Dans le même temps, Jurth, l’homme-loup à la grande vitesse de pointe, analysait le champ de bataille afin de déterminer les mouettes les plus en difficulté et courir à toute vitesse pour leur porté assistance.
Ushuul, Joshua
La femme-poisson s’était jeté à l’eau avec un objectif : empêcher le trou dans la coque de faire sombrer le navire. Elle préparait en effet son Gyojin karaté afin de manipuler l’eau et l’empêcher de passer au moment où le sous-marin se retirait. Si elle était meilleur dans son domaine, elle aurait également pu essayer de faire pression avec le liquide sur le submersible afin de l’endommager, malheureusement Ushuul n’était pas assez bonne pour cela. De son côté, Joshua avait sortie ses flèches explosives et avec son arc il visait la partie immergée du sous-marin, celle par où avaient jaillit les scélérats. Le but était tout autant d’abimer le moyen de transport que de gêner une tentative de repli des hors-la-loi.
Valgoon, Shinta
Le binôme formé par la samouraï originaire de Senzaï Sazoka et l’ancien flibustier se dirigeaient vers les écoutilles afin de passer aux ponts inférieurs et de venir en aide aux personnes potentiellement en difficulté là-bas, notamment pour aider à empêcher les crapules de libérer les leurs, en étant sur l’hypothèse que tout ceci servait avant tout à les libérer bien que cela pouvait cacher également autre chose.
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Mer 30 Déc - 21:02
The beginning
L’arrivée de ce sous-marin était un imprévu qui chamboula absolument tout le monde à bord. Le colonel enrageait de ne pas avoir pu penser à ce genre de scénario. Quand on y pense, c’est pourtant prévisible… Il ne s’agissait pas de gros criminels puisqu’inconnus, ils ne se sont pas attaqués à des grands nobles qui déploient des moyens colossaux… La faille du système était là, il s’agit d’un simple navire et non un navire prison… S’attaquer à un navire marin est audacieux, mais pas autant qu’un navire de guerre servant de prison ou de moyen de transport lors d’un transfert. Il était évident avec du recul qu’ils tentent d’attaquer le navire pour récupérer les leurs. S’ils réussissent, la victoire pour eux sera totale. Il fallait absolument garder un ou plusieurs prisonniers afin qu’il ou ils parlent. Comprenant cela, armé de son fleuret, le colonel tentait de protéger ses hommes comme il pouvait.
« Ne les laissaient pas libérer les prisonniers. Si cela arrive, faites captif au moins une personne de leurs effectifs ! »
L’ordre était donné. Violet armé de son arme trancha. Ici et là, elle aidait comme elle pouvait ses semblables, démontrant l’habileté de sa lame. La maîtrise n’était pas parfaite, mais son niveau n’était pas à sous-estimer. Se débarrassant de plusieurs ennemis, elle aidait le colonel à amaigrir les troupes ennemies, mais voilà, quatre ombres surgirent et promettaient de faire mal aux gens présents.
Ox , Gunner , Fiz , Mina
Le premier à agir fut Gunner. Armé de son arme de prédilection, il tira sur le colonel qui échappa à la balle grâce à l’intervention d’un marine qui prit la balle pour lui. Sortant alors une deuxième arme, il promettait de faire un carnage. Très vite, tête connue fit son apparition. L’ex « assistante » du conservateur. Dépliant son fouet, celle-ci attrapa la jambe d’un marine et commença à le faire virevolter ici et là, renversant quelques marines jusqu’à ce que Violet coupe son fouet d’un coup de lame précis. La chère Mina allait avoir de quoi s’amuser on dirait. Mais pas le temps de réfléchir, un homme à la chevelure bleutée tira quelques salves de balles pour assurer sa marche à reculons, ce dernier semblant aller vers la cale. Fiz était en route vers la libération de ses acolytes. Et enfin, le dernier et plus bruyant de la bande, « Ox » beugla quelques paroles, vraisemblablement bien décidé à rentrer dans le tas. Les marines allaient vite se rendre compte que ce dernier maîtrisait un tekkai plutôt virulent, ou une technique qui s’y apparente. Ox, Gunner, Fiz et Mina allaient être les principaux acteurs de cette invasion, bien décidé à retrouver leurs camarades Nox et Valentin.
Et tandis que la bataille commença à raisonner, c’est alors que les troupes alliées arrivèrent. Remarquant le navire approcher mais ne pouvant pour le moment intervenir, Gunner siffla pour montrer qu’un imprévu a lieu. C’est alors d’un cran que la tension augmenta. Les troupes ennemies faiblissaient, mais il restait toujours les ennemis principaux de cet assaut.
Ainsi, alors que les révolutionnaires venaient prêter main forte aux marines, Violet tenta de les aider. Pour se faire, elle s’en prit à Mina.
Ox lui arrivait à tenir à lui seul un certain nombre de sous-fifres marines, mais après un énième coup de pied il s’élança pour barrer la route aux frères samouraïs. Il ne fallait pas déranger Fiz après tout… D’un élan bestial, il tenta de faucher Valgoon d’un coup de jambe en écharpe et propulser ce dernier vers Shinta. Gunner aux aguets et armé de ses armes à feu tirait ici et là. Il remarqua le fait qu’un archer semblait vouloir endommager leur moyen de transport. Il ne pouvait pas le laisser faire… Mais il se chargeait déjà du Colonel, l’empêchant d’approcher. Grognant un long moment, il décida de risquer un peu les choses et pour contrer les assauts de l’Archer, il dédia une de ses armes à lui, et plus qu’une vers le colonel. Ainsi, des balles explosives allaient menacer l’archer d’un côté alors que de l’autre, des balles perforantes mirent en difficulté le colonel au fleuret aguerrit.
Ceci laissant le champ libre à la Bilcane qui pourrait sans doute donner un avantage à la personne qu’elle aiderait.
Dans la cale, les choses chauffèrent rapidement. Fiz avait prévu de la résistance, mais … pas une telle. Pour ma part armé de mes armes à feu, je tenais en joue l’ennemi. L’empêchant d’avancer, je vidais mes chargeurs sur lui. Petit à petit, il gagnait du terrain et finit par tenter sa chance alors que je me devais de recharger. Donnant un coup avec le bras, une bandelette fila vers moi. Une … bande adhésive ? Un truc du genre ? Me tirant d’un coup, l’homme me surprit et me fit tituber. Sans que je m’en rende compte, il avait volé les clés et ricana quelque peu.
« Rends ça bordel !!! »
Me jetant sur lui, je comptais le tabasser, mais c’est sans compter son réel style de combat. Il utilisait principalement des bandelettes pour saucissonner ses adversaires sauvagement. C’est donc une bataille difficile qui s’annonçait.
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Jeu 31 Déc - 1:26
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Le début des légendes
Saki, Deylan
Tandis que Deylan se dirigeait vers le colonel pour l’aider face à Gunner, Saki stoppa sa course et fit volteface une fois le premier rush finit. Analysant rapidement les lieux, elle vit qu’une personne allait mettre des difficultés à Valgoon et Shinta, se trouvant sur la trajectoire de ceci. La bretteuse émérite se décida ainsi de se diriger à son tour vers une écoutille pour passer au pont inférieur où elle allait essayer de trouver les geôles pour empêcher l'évasion.
Valgoon, Shinta
Tandis que l'ancien pirate décomplexer tenta de parer l'attaque qui lui était porté avec le plat de la lame de son épée bâtarde, la samouraï de son côté partit dans une roulade tout en plantant son arme dans le plancher. Se servant de ce point d'appuis pour effectuer un tour autour de son katana, elle put se placer avec une bonne vitesse dans l'axe de l'adversaire tout en étant sortie de la trajectoire de la propulsion de son collègue. De là, elle décrocha son arme du sol afin d'amener sa lame dans un mouvement circulaire avec une grande force d'impact, issue de la rotation et de l'énergie potentielle de la guerrière, sur l'ennemi. De son côté, le baroudeur roula sur le sol avant de se relever pour revenir droit vers l'adversaire.
Levail, Jurth
Le chevalier se plaça entre les tirs explosif et le jeune archer afin de contrer les projectiles avec sa lame. Les explosions retentirent, générant une masse de flammes entre les deux embarcations et obstruant progressivement la vue. Jurth de son côté continué à user de sa vitesse pour venir en aide aux marines les plus en difficulté.
Ushuul, Joshua
Tandis que la situation n'évoluait pas du côté de la femme-poisson, l'archer lui remercia Levail pour son aide et essaye de décocher quelques tirs supplémentaires avant que les explosions n'obstrue la majorité de son champ de vision.
Yorgunn, Thalgul
Le vieillard musclé débarqua à son tour sur l'embarcation Marine et viendrait à la rescousse de Valgoon et Shinta, fonçant dans le tas comme un gros bourrin décomplexer. Thalgul lui se dirigerait vers Violet afin d'aider cette dernière contre son adversaire.
Tandis que le reste de l'équipage du Centaurus affrontait d'autres ennemis pour aider la Marine, Ishtar de son côté prit la décision d'aider une personne en particulier. Une décision qui serait certainement bien surprenante.
-Désolé ! lança-t-elle à la Marine quand son poing se leva pour frapper le sol et éclater avec sa force surhumaine le plancher du pont supérieur.
Le bois s'écroula sous elle avec facilité et l'archange tomba au pont inférieur d'où elle pourrait se diriger vers les geôles et couvrir plus de possibilités avec Saki qui elle aussi était arrivé là. Les deux femmes se dirigeraient ainsi vers la pièce faisant office de prison où Taito luttait contre un adversaire et serait malheureusement bientôt submerger sous les coups de trois adversaires, bien que seul lui pouvait le savoir à l'heure actuelle.
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Mer 6 Jan - 18:33
The beginning
Dans la cale du navire, les choses n’allaient pas il faut et plus le temps avance et plus la situation se dégrade. L’adversaire que je combattais était clairement habitué au combat au corps-à-corps là où moi je préfère la distance. M’ayant volé les clés, il me fallait au plus vite les récupérer ou l’empêcher de les voler, mais … Rien n’y fait, il les fit glisser sur le sol et m’occupais alors que lentement mais sûrement, un des prisonniers se délivrait de ses menottes en toute tranquillité. Le plan fonctionnait comme sur des roulettes et malgré quelques imprévus, ils ne semblaient pas si inquiets que ça. Après tout, notre erreur était la suivante : le convoi n’est pas exceptionnel et pour cause, les prisonniers ne sont pas de grands bandits… Aucune raison de déplacer donc un Vice-Amiral ou un navire-prison exprès… Ils étaient organisés c’est sûr. Tandis que je combattais l’homme qui enroula une bandelette sur un de mes bras et m’attira à lui, je tentais de me saisir d’une arme, mais il me désarma. Ma seule solution fut de lui mettre un coup de boule pour me libérer de tout ça et aller rechercher mon arme, cependant, un détail me fit tiquer… En effet, quelque chose se trouvait au niveau de la taille sous ses habits, je l’avais senti lors du contact rapproché du coup de boul. Se pourrait-il que … ? Tandis que les prisonniers échangeaient la clé pour se libérer et que des alliés semblaient débarquer, je vins à essayer de les avertir.
« Faites attention, l’homme est armé !!! »
Et aussitôt, le jeune homme à l’allure calme ouvrit son manteau pour dévoiler en effet une belle ceinture explosive. Une quantité d’explosif impressionnant pour un petit corps comme celui-ci. Visiblement, les sacrifices ne semblent pas être un souci pour eux et tandis que le deuxième prisonnier se libérait, il ne restait plus qu’à ouvrir la grille et filer, ou casser une partie du navire. Option plus difficile.
« Vous avez l’œil ? Voilà donc le deal… Vous vous écartez tous et vous nous laisser partir. Sans quoi… Hmmm… Vous prenez le risque de subir l’explosion et y survivre. En revanche, le bois du navire, je doute qu’il puisse y résister. Inutile de vous faire un dessin de ce qui se passe si 20% de la coque est trouée n’est-ce pas ? »
Comme pour nous narguer un peu plus, l’homme qui nous tenait tous en otage imitait le bruit des bulles quand on coule. Serrant les dents, j’analysais a vu d’œil sa ceinture et vins à grimacer. Si c’est un bluff, c’est du joli travail… Et comme ça semble réel, je peux l’affirmer : on est dans une merde noire.
Sur le pont, les affrontements vont bon train. Ox le pugiliste se débattait comme il pouvait. Un, deux voire trois contre un, il tenait bon le bougre ! Son agilité et son endurance étaient ses principaux atouts et de ce fait, malgré une arrivée étonnante d’un troisième combattant, l’homme tenu le coup, bien qu’il recule. Heureux de cette entrée en scène, il se concentra sur le vieillard bourrin et défia ouvertement les deux autres hommes de tenter de l’arrêter. Plus le temps passe et plus il prenait son pied visiblement.
Plus calme, Gunner lui se déplaçait le moins possible. Tireur d’élite, il semblait froid et analyste. Une qualité qui lui faisait économiser le moindre mouvement et rendait ses assauts potentiellement léthales. De ce fait, quand un voile de fumée se fit, l’homme laissa quelques tirs arriver jusqu’au sous-marin. Mais ce sacrifice aurait un avantage pour lui : analyser et deviner la position fixe ou non de l’archer et de ce fait, de façon imprévue, des tirs iraient cueillir l’archer. Une arme s’en chargeait en tout cas, alors que l’autre jonglait entre quelques marines et l’espèce de chevalier.
Du côté de Mina, les choses se corsaient… Face à cette épéiste ses techniques étaient moins efficaces et plus délicates à appliquer. Alors quand en plus une autre personne vint se joindre à la fête, clairement il s’agissait d’une mauvaise nouvelle pour elle. Le temps tournait et elle espérait que ses acolytes arriveraient à extraire leurs collègues le plus vite possible. Sortant un autre fouet ainsi qu’une écharpe, la demoiselle alternait entre esquives de justesse et des sortes de coups de fouet en visage le visage des épéistes qui la harcelaient désormais. Parfois-même, elle fit preuve de malice en utilisant son chapeau comme distraction et donner essayer d’attraper une des jambes des épéistes pour les faire glisser.
Certains rendaient les coups alors que d’autre jouaient la montre, voilà la triste réalité.
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Mer 6 Jan - 19:17
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Le début des légendes
Saki
Les combats se poursuivaient ardemment et que les derniers révolutionnaires se joignaient à la fête, rejoignant les divers affrontements pour offrir décidemment un surnombre écrasant du côté de la Marine contre les criminels, là où l’archer avait été touché et se reculait pour se diriger immédiatement vers l’infirmerie. Cependant, dans les profondeurs du navire, le binôme des blondes découvrit la situation au niveau des geôles et le fait que les prisonniers avaient finalement été libéré. Les damoiselles s’échangèrent un regard, hochèrent la tête puis se mirent en position. Saki brandit son katana devant elle, prêt à tenter de trancher littéralement en deux une explosion même si elle s’en pensait incapable, tandis qu’Ishtar faisait appel à sa puissance musculaire, prête à plonger ses doigts dans le plancher pour le soulever et créer un genre de bouclier, voir de frêle muraille, improvisé qui ferait gagner un instant à quelques secondes sur l’explosion en fonction de la puissance de la déflagration.
-Notre navire est venu en renfort de celui de la Marine, si vous mettez le feu à celui-ci, tous ceux sur le pont supérieur pourront migrer sans problèmes sur notre vaisseau. Et même si nous nous retrouvions à l’eau, nous avons une femme-poisson maîtrisant le gyojin karaté de notre côté, nous aurions l’avantage, déclara la bilcane.
-Vous auriez plus de chance de nous battre que vous en sortir face à Ushuul dans les eaux, c’est moi qui vous le dit, ajouta Saki.
Si c’est arguments ne convainquaient pas les voleurs, ils pourraient tenter de se faire sauter mais en tout cas ils étaient prévenus. Si jamais ils laissaient tomber cette idée, le véritable affrontement pourrait reprendre avec ce trois contre trois où deux des ennemis n’avaient aucune arme. Ishtar pourrait certainement s’occuper de mettre à nouveau KO celui qu’elle avait défait en une seule attaque la première fois et ensuite venir en aide à celui de Saki ou de Taito qui serait le plus en difficulté. C’est ainsi que l’archange filerait droit vers la cible qu’elle avait choisit pour administrer un coup de poing tonitruant prêt à faire craquer et fissurer localement le plancher. Saki elle serait prête à se diriger vers celui qui avait volé les clés de Taito et utiliserait ses gestes rapides pour essayer de lacérer le plus possibles son adversaire. Restait à voir ce que ferait Taito.
Si jamais l’explosion avait lieu, la De Lérhane soulèverais le sol après que Saki ait envoyé une lame d’air sur la déflagration naissante, puis la céleste viendrait plaquer au sol sa camarade pour laisser les flammes se répandre en passant au-dessus d’elle, les flammes se répandant plus facilement à la hauteur de la déflagration et en hauteur plutôt que se répandre sur la surface sous eux.
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Rébéna Té Ra
Taito Nowaki
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Mar 12 Jan - 12:31
The beginning
La situation est tendue… Personne ne sait donner où de la tête et pour cause, les ennemis se débrouillent pour tenir tête à leurs adversaires. Mais l’endroit le plus préoccupant est bel et bien la cale du navire. Là où sont enfermés les deux criminels. Visiblement, si en apparence la situation semble sous le contrôle des marines et des invités de marques, il n’en est rien selon les criminels et pour cause, ils sont organisés et prêt à toute éventualité. Même si des invités n’étaient pas prévus, cela ne change rien au plan de base, à savoir : frapper et partir. Le « kamikaze » écoutait donc les gens parler et essayer de démonter leur morale, mais cela ne fit que faire rouler les yeux au jeune homme à le ceinture explosive. Visiblement, ils n’ont pas compris que même si effectivement ils pourraient peut-être transférer les marines d’un navire à l’autre, le timing était plus que serré, pour ne pas dire hors de leur portée. Qui plus est, sans fruit tel celui d’Erwin Dog… Impossible de sauver tout le monde en temps et en heure et intacts en plus… Autant remettre les pendules à l’heure.
« Bien… Si vous pensez pouvoir gérer une explosion – et non une simple déflagration – et transférer les hommes d’un pont à l’autre tel un Talpan Koro...Tentons alors ? » « Non !!! »
Tandis qu’il portait sa main à sa ceinture, pour ma part, je protestais pour qu’il ne fasse pas cela. Ayant pu observer les explosifs, je pouvais une fois de plus donner mon expertise et faire entendre raison aux gens ici présents.
« C.. C’est un explosif rare, mais diablement efficace. C’est limite de la folie de se trimballer ainsi avec un tel composant sur soit, mais … je doute qu’il mente ! Une explosion de toutes ces charges réduirait en miette la moitié du navire facile… Et si ceux sur le pont pourraient y survivre, rien n’est moins sûr pour nous… Je ne parle même pas d’un ordre du 50% de chance. »
Loin de moi l’envie de les dissuader de tenter le diable, mais l’esprit mathématique d’ingénieur fait surface. L’envie de les étriper est bien là, mais il fallait voir la vérité en face… Est-ce que ça vaut le coup de tenter le diable ? Prendre autant de risques ? Ce n’est même pas pour ma vie que je m’inquiétais, mais bel et bien celle de ma sœur et des autres. Voilà qu’une nouvelle donnée s’ajouta au problème, les deux autres étaient libres et si l’un restait derrière sa porte, l’autre en revanche, le basané arriva à tordre les barreaux pour se libérer de sa cage de fer. Ravalant ma salive, je me demandais bien quoi faire. Il libéra son compagnon et de ce fait affichait le tableau suivant : trois contre trois… Avec un qui pouvait sans doute nous envoyer en enfer d’un claquement de doigt. Comment faire pour l’atteindre sans déclencher tout ce malheur ? Respirant lentement, je me mis à réfléchir alors que les hommes ennemis étaient clairement en position de force.
« Il semble que nous soyons tous d’accord, ce ne serait pas raisonnable de jouer avec le feu… Nous allons donc sortir et vous, vous allez vous écarter gentiment ok ? Mesdames… Place… »
Le kamizake attendrait donc que ses acolytes viennent le rejoindre pour prendre la direction de la sortie comme si de rien était, le doigt toujours sur une goupille, prêt à exploser au moindre souci.
En haut, les combats duraient et la situation allait très lentement mais sûrement à l’avantage des marines, mais la victoire serait sans doute à l’arrachée.
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Mar 12 Jan - 14:19
feat Taito Nowaki
Le début des légendes
Saki, Ushuul
Se sacrifier pour la cause, c’était quelque chose dont bien des révolutionnaires étaient capable, mais il fallait dire que ce n’était pas les intentions du Centaurus à l’heure actuelle. Tandis que Taito tentait de prendre la parole pour expliquer que la bombe était assez puissante, la De Lérhane s’approchait de la coque en même temps que Saki. Tandis que Taito concluait avec « Je ne parle même pas d’un ordre du 50% de chance », l’archange de son côté, qui avait croisé ses mains dans son dos, toqua sur la coque comme s’il s’agissait d’une porte, camouflant ces deux coups brefs espacés de trois secondes par la prise de parole de l’officier pour ainsi dire paniqué. Puis finalement, « il semblerait que nous soyons tous d’accord… » Non, il n’y avait pas d’accord sachant qu’il y avait toutes les raisons du monde qu’ils se sentent submergés arrivés à la surface et qu’il déclenche l’explosion pour emporter tout le monde avec eux. La réponse de la De Lérhane ne se fit donc pas attendre. Son poing, caché dans son dos vint s’éclater contre la paroi du navire, déployant sa force surhumaine pour l’éventrer et laisser passer l’eau de la mer. Ushuul, qui avait entendu l’appel codé de la céleste selon les stratégies basiques préparés par le Centaurus en fonction de diverses situations, jaillit immédiatement à l’intérieur de la coque. L’eau de mer qui l’englobait fut déployé à grande vitesse vers la cible avec les bombes tandis que le débit augmentait pour que Ishtar et Saki puisse s’y réfugier. La blonde aux quatre ailes ferait un geste vers Taito pour lui dire de venir, même si lui aurait la distance à franchir pendant qu’Ushuul menait son assaut.
L’utilisatrice de Gyojin Karaté dirigea en effet tout le flux d’eau en direction de l’homme qu’elle repéra immédiatement pour porter une bombe, comprenant pourquoi elle avait été appeler dans le cadre du code B9. Le plan était tout simplement d’enfermer dans une boule sphérique aqueuse le kamikaze en commençant par la goupille pour la former afin d’empêcher l’activation de se faire immédiatement. Plus il y aurait d’eau, plus la déflagration serait retenue et s’étendrait moins loin. Ushuul encore toute fraiche, n’ayant pas encore combattu ou utiliser ses capacités, déploierait toute son énergie pour générer le plus rapidement possible la plus grosse sphère possible et sauver le plus de monde tandis qu’Ishtar et Saki se jetèrent hors de la coque pour remonter à la surface en nageant et grimper le plus vite possible sur le sous-marin dans l’optique d’entrer à l’intérieur et de couper les potentielles retraites de l’ennemi. Est-ce que cela marcherait plus ou moins bien et dans le pire des cas qu’elle serait l’évolution de la situation tandis que Janaffe se dressait désormais sur la bastingage, se préparant à intervenir car la situation s’éternisait et risquait de dérapé.
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Mar 12 Jan - 22:28
The beginning
La situation était tendue. De mon point de vue, même si l’équipage amical nous aidait, essuyer une explosion de plein fouet serait du suicide… Pourtant les alliés semblaient d’avis à tenter le coup, ce qui manquait de me mettre hors de moi. Voulaient-ils risquer la vie de plusieurs soldats avec pour seule garantit une confiance en leurs moyens ? Un coup de poker n’est pas une solution viable et je ne laisserais pas nos « alliés » faire les cow-boys. Si les coups sur la paroi passaient inaperçus aux yeux des criminels, ce n’était pas le cas pour moi. Alors quand je vis la grande asperge tenter quelque chose, je dirigeai mon arme sur elle.
« Ne faites pas ça !!! »
Pour moi, c’est du suicide… Mais je n’allais pas laisser faire une telle chose. Ainsi, sans doute à la surprise générale, le kamizake en profita pour décrocher sa ceinture et la lancer sur la bilcane. Cette dernière serait la première à être en proie à l’explosion des bombes. Mais la suite serait moins réjouissante. En effet, l’effet de l’explosion briserait totalement en deux le navire à moins d’être paré de façon miraculeuse. Dans l’éventualité où le navire serait coupé en deux donc, ce serait un chaos sans précédent et pour cause, ce n’est pas une personne qu’il faudrait sauver, mais un équipage entier… Un seul homme poisson pouvait-il faire ça ? Rien n’est moins sûr… Si effectivement le navire partait en sucette, ceux sur le pont seraient grandement surpris de l’état de fait que le navire se scinde en deux et vacille dans l’eau. De nombreuses personnes tomberaient à l’eau et d’autres se tiendraient à ce qu’ils peuvent. Les ennemis quant à eux profitèrent de l’imprévu pour se jeter à l’eau et aller vers leur moyen de transport. Profitant du chaos environnant pour fuir. Ou du moins essayer. Ceux sur le pont n’eurent aucun mal à nager, mais ceux dans la cale, ce fut une autre histoire. En effet, l’explosion avait de quoi les secouer largement. Et le plan reposait sur les aptitudes physiques hors du commun du basané. Celui-ci retrouvant vite ses esprits, il prit ses deux camarades pour tenter de partir vers l’embarcation.
Pour ma part, l’explosion m’avait grandement secoué et j’avais presque perdu connaissance. Ma sœur quant à elle se montrait plus inventive et forte. En ayant planté son katana sur le pont, elle te tenait à celui-ci et ne glissait pas à l’eau. Mais la position restait précaire. Il fallait trouver une solution pour que tout le monde s’en sorte. Du moins telle était la pensée de la marine. La situation passait de tendue à hors de contrôle en tout cas.
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Jeu 14 Jan - 3:59
feat Taito Nowaki
Le début des légendes
Saki, Ushuul
Ishtar ne prêta pas de considération à la voix de l’homme qui l’embêtait depuis leur première rencontre, la bombe en elle-même était quelque chose de bien plus préoccupant. Elle garda le regard rivé sur le kamikaze et le vit donc envoyer l’explosif dans sa direction, tandis que la coque se craqueler. Le temps sembla se ralentirent tandis que la sueur perlait à grosses gouttes sur le front de l’archange. L’eau jaillit et vint englober l’explosif en plein vol quand celui-ci se déclencha. Le liquide put amoindrir quelque peu la déflagration, bien que cela serait bien entendu insuffisant pour l’annihiler totalement, ce qui n’avait jamais été au programme. Le souffle poussa Saki, Ushuul et Ishtar en direction de la mer, ces dernières gagnant certainement quelques brûlures au passage du coup, peut être grâce à l’intervention de l’autre officier de bas étage sans laquelle peut-être le jet de la ceinture n’aurait pas eu lieu. Ushuul utiliserait ses capacités aqueuses pour extraire ses deux alliés le plus rapidement possible face à la violence vectorielle venant en opposition. Les deux femmes remontèrent vers le Centaurus tant bien que mal. En tout cas, est-ce que l'eau avait fait suffisamment son office pour empêcher que le navire se retrouve "coupé en deux", façon de parler car les explosifs ne faisaient pas de ligne droite et emportaient ce qui était à porter de leur rayon normalement.
Janaffe Barne
Le chef de l’unité révolutionnaire s’élança quand la destruction retentit. Fulgurant et grâcieux, usant de son geppou « volé » à un agent du CP3 il vint aussi vite que possible pour porter assistance à la Marine et aider ceux qui avaient besoin pour s’extraire si jamais le navire avait explosé. Les membres du Centaurus pourraient se débrouiller par eux même pour se réceptionner et revenir au navire, il n’avait aucun doute là-dessus. Certains continueraient même de combattre en dépit des événements pour couvrir les autres qui essayeraient de faire évacuer à l’instar de leur capitaine. Lutté contre une pente dans le cadre raisonnable, sinon il y avait divers moyens de le faire. Tous le monde essayait de sauver le plus de monde possible. Si les voleurs finissaient par retourner à leur submersible, un joyau de technologie en soit, la troupe pourrait rapatrier toutes les diverses personnes sur le Centaurus. Si cela se passait ainsi, les médecins de l’équipage s’occuperait de compter les blessés et les absents tout en portant les premiers soins à ceux qui en avait besoin, autant pour la Marine que pour les Centaurus.
-Est-ce qu’on les poursuit capitaine ? questionna Ushuul depuis la mer.
-… Laissons cette décision à la Marine. Ce n’est pas notre affaire même si personnellement j’aurais aimé les prendre en chasse, répondit le Barne pour représenter l’avis du reste de la téméraire unité de révolutionnaires.
La suite était entre les mains des gouvernementaux et s’ils s’en tenaient à cela ils seraient ramenés sur la terre ferme tandis que Deylan réglerait les détails avec le plus haut gradé avant que l’équipage ne se prépare à mettre les voiles.
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Mar 20 Juil - 12:55
The beginning
L’explosion avait été clairement imprévue. De toutes les stratégies possibles, celle-ci était la plus téméraire ou conne qui soit. Quoi qu’il en soit, malgré une certaine tentative pour amoindrir le choc, le mal fut fait. Si le navire n’était pas totalement coupé en deux, il était malgré tout bien éventré et aurait besoin de réparations en urgence pour ne pas sombrer. Autant dire, il fallait compter sur les capacités de déploiement du gouvernement rapidement, sans quoi, les frais allaient être monstrueux…
Le plan classique mais efficace fit son effet et il y avait donc un choix à faire : sauver ou traquer. Hésitant, le haut gradé de l’équipage marine se mordit la lèvre en constatant qu’il était dans une posture délicate. On parle quand même de la fuite de fugitifs… Cela va faire tache sur ses exploits. De plus, avec de l’aide de personnes extérieures, cela serait moins recevable comme excuse. Pourtant, l’homme voyait que les combats s’intensifiaient et se complexifiaient. Il fallait faire un choix et sa voix retentit d’elle-même.
« Soldats, sauvez qui peut l’être et allez sur l’autre navire au plus vite. »
Se tournant vers les hommes qui faisaient guise d’aide, l’homme se devait de sauver la face et si en tant que marine il préférait la vie de ses hommes sur l’instant, il ne pouvait pas se permettre de laisser ces gens s’échapper si facilement.
« Essayez de les arrêter ! Ou les ralentir ! »
Tel était l’ordre, mais en vain, car se repliant assez rapidement, les ennemis et fugitifs s’en donneraient à cœur joie pour retourner dans l’objet métallique et aussitôt repartir. Mais le plus étonnant fut la propulsion soudaine qui eu lieu. Après une manœuvre « lente » qui laisse une ouverture grossière, une large propulsion eu lieu, presque comme une explosion et positionné en sens inverse, contre la coque du navire, cela eu pour effet de fragiliser encore plus la coque. Autant dire, poursuivre ceux-ci et abandonner le navire, c’est alourdir le constat en laissant couler le navire.
Ainsi donc, après ces événements, en supposant que le bateau ait été sauvé, les soldats se remettraient de cet épisode. Si le haut gradé responsable de cette troupe l’avait assez amer, il n’en était rien comparé à moi et ma sœur. Si ma sœur arrivait à contrôler ses émotions, il n’en était rien comparé à moi qui pestais ouvertement contre ces enfoirés. Je me jurais de clairement les foutre derrière les barreaux si ce n’est les foutre six pieds sous terre. Comme souvent, j’étais en colère contre ces personnes qui ne méritent qu’une chose : la potence. Après un moment à libérer ma frustration en tout cas, je fus quelque peu rappelé à l’ordre par mon capitaine qui me demanda de me calmer. La frustration était justifiée, mais en aucun cas cela changerait ce qui est fait, les dégâts ou les faits. Ma sœur elle observait impuissante la scène, tout en comprenant au fond le pourquoi du comment.
C’est donc après un moment à se calmer que la demoiselle irait contenir son frère en discutant avec lui.