Le temps est venu!
Avec les inventions de Novembre à Aujourd'hui à sortir dans toute leur splendeur.
Un grand total de 14 inventions possibles si je compte Mai. Je n'en utilise ici que 10, me gardant les 4 derniers pour plus tard.
Comme pour la dernière fois, je poste ici car il n'y a pas de meilleur endroit et puis vu comme la vaste majoritée sont des armes...
Voilà, mon travail est fait, et je laisse mes créations entre les mains du Staff, pour le meilleur ou le pire.
Telecomunicateur à Arc Plasma
Le télécomunicateur à Arc Plasma ou
TAP est une machine dédiée à la transmission d'informations sous forme auditive sur de courtes distances. L'idée est venue à Viktor après avoir réétudié les den den et découvert la faiblesse actuelle: l'interception et le blocage de communications. Dans le monde vu par Viktor, l'information et la communication sont clé. Le télécomunicateur est pas une solution long-terme au problème mais une épine temporaire pour l'ennemi. Usant de vibrations invisibles qui se propagent dans le vide et la matière, Viktor peut transmettre des variations dans un courant électrique d'un appareil à un autre. Cette communication peut se faire sur diverses fréquences et n'est pas limité à un nombre fixe d'appareils récepteurs.
Le son est capté par une membrane qui vibre et entraine un petit aimant, causant des variations dans le courant éléctrique. Il est ensuite converti sous la forme d'ondes radios pour être émis. A la réception ce signal est reconverti en son à l'aide d'un arc électrique dans une petite chambre hermétique où circule un gaz noble.
Le son produit n'étant pas assez fort, il est renforcé à l'aide d'un tympan qui vibre suivi d'un grand tube en bronze s'ouvrant tel un instrument de brass.
La machine au complet est mis dans une boite en bois vernis pour éviter qu'il s'abime.
Le microphone permettant de capter le son est à part, relié par un gros fil à la machine.
Les limitations du télécommunicateur sont dans la claretée du son transmis qui peut se dégrader avec la distance. Cela donne une limite floue d'environ 800m après quoi le signal devient trop rempli de bruit pour être clair.
C'est aussi une machine assez massive comparée à un den den, plus appropriée à une place sur un bureau ou dans un navire que à être transporté dans le vif du combat. Il est aussi fragile, pouvant devenir innutilisable si il venait à tomber d'un peu trop haut.
Une maintenance mensuelle est requise pour éviter que les chambres de gaz s'abiment à force.
Le Canon Rotatif "Victoria"
Le canon rotatif
Victoria est la solution à un ancien problème sur les navires. Depuis longtemps, les navires de guerre circulant en mer n'ont que deux grandes zones où les canons peuvent tirer: Babord et Tribord. Tout ce qui se trouve en dehors de ces angles sont en angles morts et hors de danger. Comment donc remédier à cela hormis ajouter encore plus de canons lourds et chers?
Le
Victoria est un grand canon... ou plustôt 3 grands canons, parfaitement encastré dans leur navire dans un grand pillier central capable de tourner, neutralisant l'effet d'angle mort.
Les canons sont faits en acier coulé et leurs barils sont marqués de deux spirales gravés sur l'intérieur pour faire tourner le projectile. Leur longueur est de 4,5m dont 3 sont à l'extérieur du grand pillier. Les 1,5m à l'intérieur du pillier sont dotés d'une petite ouverture à volet où l'on insert des munitions à forme d'obus.
Le pillier est construit sur 3 niveaux. Le 1er niveau contient les canons et dépasse du navire. C'est un niveau creux où l'équipage vient pour opérer les canons. Le second niveau est le méchanisme de rotation du pillier qui dépasse sur la structure du navire. Utilisant une version réduite du M.E.N.R.E comme source de puissance, il est opéré par une seule personne qui déplace un levier entre 3 positions: Droite; Centre; Gauche. Ces positions dictent la rotation du pillier. Le 3ème niveau est celui de stabilisation. C'est un assemblage à base de grosses billes de fer qui roulent avec un cylindre creux faisant partie du navire et permet au pillier de ne pas basculer au grès des déplacements du navire.
Le Moteur Central Vertical à Vapeur ou MCVV/1110
Le moteur central vertical à vapeur coupe les pertes en énergies dues à la conversion électrique au millieu du processus mais consérvant ce système en tant qu'une génération auxilliaire.
Le générateur est une bouilloire verticale watertube à spirale. Les tubes qui génèrent la vapeur sont de fins tuyaux en spirale arrangés de façon circulaire autours d'un tuyau d'eau vertical. L'eau bout, devient vapeur et circule hors du générateur avant d'y revenir se condenser et recommencer le cycle.
Les tubes sont longs, nombreux et de 50mm de diamètre. L'expansion dû à la pression est réduite, réduisant ainsi aussi le risque de soudures qui sautent ou d'explosion de vapeur comparé au MENRE.
Le four est annulaire et doté de 4 ouvertures à doubles-portes pour l'alimenter. Toute biomasse combustible peut être employé.
Le générateur est de petite taille comparé au MENRE, ne faisant que 2m de haut et 1m de diamètre. Les générateurs peuvent être double ou triple pour augmenter la puissance génerée.
Ils ont l'avantage décisif d'être facile à remplacer et à fabriquer même si leur réparation est très difficile.
Pour créer du mouvement, la vapeur passe dans quatre cylindres à deux côtés avec un piston à l'intérieur. Le mouvement du piston ouvre une porte des cylindres et ferme l'autre, forçant la vapeur à entrer d'un côté puis l'autre en alternance, créant un mouvement continu alternatif. Une barre est attachée au piston et entraine deux roues. La première roue est composée d'une croix à 5 branches dotés d'aiments en magnétite aux bouts. Cette roue tourne dans un tore recouvert d'un fil de cuivre en spirale. Cette contraption génére de l'électricitée pour utilisation autre que le mouvement.
La seconde roue entraine les mécanisme de propulsion du navire qui peuvent être des roues à pédales ou des turbines sous-marines.
Le MCVV est bien plus efficace que son prédecesseur, pouvant monter plus haut en pression et ayant moins de pertes énergitiques. Son maximum de sécuritée (au delà duquel les risques sont importants de disfonctionnement) est de 15 noeuds. En théorie, il est possible d'atteindre une pointe de 30 noeuds mais le moteur est sucéptible d'être fortement endommagé par une telle charge.
Contrairement au MENRE, il doit être intégré dans le navire à la base de sa construction et ne peux pas être rajouté plus tard ou retiré sans de fortes rénovations potentiellement coûteuses. C'est aussi un moteur plus cher dans sa mise en place initiale et qui demande des réserves importantes de combustible à bord ainsi qu'une alimentation continue.
Grenade à Fragmentation
La grenade à fragmentation est un explosif portable facilement deployable et lançable en situation de combat ou de destruction. Un cylindre en étain contient deux liquides réactifs séparés par un bout circulaire en étain relié à un mécanisme en forme de poignée à relacher. La poignée est normalement bloquée par une barre en fer qui empèche le relachement accidentel. Autours du cylindre se trouve 40g de poudre noire entouré à son tour de petites billes en plomb. Une dernière couche en aluminium retient le tout ensemble, facilement détruit par l'explosion.
Pour utiliser la grenade, il faut retirer la barre tout en retenant la poignée, tant que celle-ci est retenue, aucune explosion aura lieu. Il faut ensuite jetter la grenade, la réaction chimique commençant alors entre les deux liquides et chauffant fortement le contenu. Au bout d'entre 7 et 13 secondes, la chaleur causera une détonnation de la poudre noire, projetant les billes de plomb à de fortes vélocitées omnidirectionelles, agisant ainsi comme une sorte de fusil rapproché tirant dans tous les sens.
La grenade a une forme cylindrique et mesure 7cm de diamètre et 14cm de haut.
Son utilitée est excellente pour rendre les couvertures dangereuses pour l'ennemi mais son utilitée en combat rapproché ou sur terrain ouvert est limité. Il ne peut affecter que les personnes dans une distance de 3m de rayon avec les dégats diminuant rapidement plus l'on est éloigné. La puissance n'est pas suffisante pour arracher un membre mais il peut facilement détruire tout jusqu'au coude si il est encore dans une main lors de l'explosion.
La baffe a frequence fatidique
Le BAFF est une sorte de réveil un peu plus efficace pour contrer les somnolécences de Palnore. Il s'agit d'un système en sac à dos avec un cylindre relié par un fil et doté d'un bouton rouge. Palnore doit appuyer régulièrement sur ce bouton une fois la machine lancée pour confirmer qu'il est éveillé. La machine lance dès le départ un compte à rebours mécanique au bout duquel, un bras automate donne une série de claques jusqu'à ce que le bouton soit appuyé, confirmant l'éveil de Palnore.
Appuyer sur le bouton remonte le mécanisme en horloge. Le compte à rebours est par défaut de 10 minutes mais il peut être réglé à volonté en tournant un petit ajusteur à l'arrière, innatteignable par le vieillard ou les bras de Morphée.
Pour administer une claque de qualitée, la main est composée avec un gel et recouvert d'un gant blanc en coton fin, donnant ainsi une baffe ferme mais douce.
Viktor l'a fabriqué après une série de catastrophes bien trop frustrants pour son perfectionnisme et le voit plus comme une sorte de vengeance à l'égard de celui qui aime tant son lit au détriment de tout le reste.
La Torpille
Suite à la bataille navale très courte de Shabody, Viktor eut fait la remarque que des boulets sous-marins ne pourraient pas forcément être interceptés par un fruit du démon. Ce qui était une plaisanterie est devenu une idée qu'il considéra plus sérieusement avant d'offrir au monde cet arme perfide de combat naval.
La Torpille est un projectile sous-marin contenant une forte quantitée de poudre et fabriquée de telle façon à qu'un impact sur l'avant de l'objet en forme de cigarre provoque une détonation.
Pour permettre l'envoi d'un tel projectile en environement sous-marin, le système classique de canons était malheureusement impossible. Viktor fit donc une adaptation du système magnétique qu'il avait utilisé pour son fusil et cela pour en faire une chambre d'éjection.
Le système du canon à torpilles est simple: L'on insert la torpille dans un tiroir qu'on range dans le canon. On baisse un levier qui passe la torpille dans une seconde chambre en la faisant chuter doucement. Une fois que la torpille est dans la seconde chambre, le levier est relever pour scéler la chambre. L'on ouvre l'iris d'éjection avec un second levier et l'on pousse le piston arrière pour mettre la torpille au niveau des gros aimants en magnétite. La torpille est donc alors accélerée par les forces magnétiques et envoyée en ligne droite.
Dû à la taille du barril du canon à torpilles et la résistance de l'eau, la portée maximum avant que la torpille cesse d'avancer et coule lentement sous les flots est de 300m.
Le placement d'un canon à torpilles ou plus à bord d'un navire nécessite l'altération de la coque et peut rendre la zone vulnérable, cela dit, si quelqu'un pouvait l'affecter. Le placement des canons doit se faire sous le niveau de la mer.
Le Survoleur
Pour quelqu'un qui imaginait déjà depuis longtemps des machines volantes, le Survoleur n'est qu'un simple prototype d'une idée devenu un outil pour les tactiques navales de Nils Gratz. Imaginé comme une petite barque pouvant voler grâce à un grand ballon, le Survoleur est une machine volante faite pour surplomber les champs de bataille et observer l'ennemi depuis le haut des nuages. C'est une barque en bois de petite taille pouvant contenir au maximum 2 personnes et équipé de barrières pour éviter la chute ainsi que d'un télescope. Attaché à la barque est un ballon du double de la taille de la barque attaché par des cordes épaisses et contenant de l'hydrogène. La barque est attachée à un navire par une corde reliée à une grosse bobine pouvant être maniée manuellement pour faire monter ou descendre le Survoleur. Le Survoleur dispose également d'un appareil de communication qui à Arc Plasma dans le but de transmettre toute observation au reste de la flotte.
Le Survoleur reste un appareil d'observation vulnérable. Le ballon en hydrogène peut prendre feu et exploser, résultant en une chute mortelle. La corde peut se séparer et contraindre l'appareil à s'envoler jusqu'à son altitude maximale et d'y rester coincé. C'est aussi un appareil précieux dû à la difficultée pour Viktor de fabriquer des réserves d'Hydrogène. Toute perte mettera longtemps à être remplacé.
L'Ampoule Electrique
Par souci de confort à bord du Compost, Viktor mit au point une version plus élaborée et plus pousée de son ampoule électrique, permettant un confort visuel lorsque le jour tombe. Consomant une puissance électrique relativement faible par unitée, Viktor peut facilement équiper tout un navire d'ampoules pour permettre une facilitation des opérations quotidiennes ou même équiper les maisons d'iles que le Compost détiendrait.
L'ampoule semble insignifiante en soi, mais elle apportera une ère nouvelle où l'on ne dépends plus du soleil et des bougies.
L'ampoule de Viktor est une boule en verre contenant un gaz noble et un filament de tin enroulé. L'électricitée provoque un échauffement du filament ce qui produit de la lumière. Briser le verre peut causer un risque d'incendie si l'ampoule est allumée.
Le Chauffage Electrique
Autre souci de confort Viktorien, le chauffage électrique est causé de façon similaire par un fil de métal, mais cette fois plus épais, permettant au métal de rougir et transmettre sa chaleur à l'environnement. Viktor pense particulièrement à permettre les douches chaudes même en hivers et à apporter un niveau de vie bien plus haut que ce soit pour l'équipage ou les peuples sous leur tutelle.
Le Canon Gratzien
Suite à l'obtention des plans pour un canon à remodeler pour exploiter le FDD de Nils, Viktor a protesté, revendiqué l'innutilitée d'un tel projet et même que ça allait contre sa philosophie de détruire le pouvoir des FDD, Haki et autres créations obsolètes d'un monde coincé dans le passé selon lui.
Pourtant, peut-être par curiositée ou par un sentiment d'obligation, il a quand même considéré la possibilitée de l'avoir en tant qu'une arme de secours, mais jamais une principale.
Le Canon Gratzien est une création unique et artisanale, le pur opposé de la pensée du Rosenbaum. Utilisant des matériaux précieux pour permettre à la machine de ne pas être corrodé par le poison du Gratz, c'est une création qui si détruite pourrait être irrécupérable. L'intérieur utilise un système de tubes recouverts d'une couche fine de diamants, un matériau qui résiste encore au poison corrosif de Nils. Le poison est versé dans une chambre et puis pompée par des systèmes hydrauliques électriques dans 12 petites chambres cylindriques agencés en cercle comme sur une mitraillette.
Il existe deux modes de tir: "Burst" et "Continu"
Le mode "Burst" fait tirer tous les cylindres en même temps, permettant de jetter de grandes quantitées de poison, en revanche cela avec un rythme de tir très lent.
Le mode "Continu" ne fait tirer qu'un seul cylindre à la fois, ne projetant qu'une faible quantitée de poison mais avec un rythme de tir très rapide.
Le canon Gratzien en lui-même fait dans sa totalitée 1,75m de haut et 2m de long. le barril et les chambres à poison sont dans une partie en forme de canon classique faisant 40cm de diamètre et 2m de long. La base qui retient le canon contient tous les systèmes hydrauliques et moteurs qui permettent l'opération du canon. Le canon est verouillé au sol sur une plateforme rotative, ce qui permet à l'opérateur de tourner un peu pour viser mais ne lui permet surtout pas d'emporter le canon qui de toute façon ne pourrait pas fonctionner sans électricitée.
Changer de place le canon à bord d'un navire serait une opération relativement longue et nécessitant de la précision.
La Plaque composite
Quand un navire en bois se prends des boulets de canon en pleine face, c'est généralement immédiatement une situation grâve. La fragilitée du bois ne peux rien contre les explosifs, les flammes et les projectiles. C'est donc dans un effort de mitiger les dégats sur les navires les plus importants que Viktor a testé puis fabriqué une sorte d'associations de plaques pour créer une armure pouvant recouvrir la coque d'un navire et empêcher le pire d'arriver dès l'ouverture d'un combat. Bien entendu que ça ne rendera jamais un navire invincible, mais gagner du temps pourrait changer le cours de bien des batailles.
La Plaque composite est constitué de plusieurs couches empillées les unes sur les autres de l'extérieur à l'intérieur:
-Butane pour éviter la corrosion (2mm)
-Acier Innoxidable (5 mm)
-Acier Trempé (2cm)
-Gel pour absorber les chocs (5cm)
-Bronze (2cm)
-Coque
La Plaque composite peut être placée comme désiré sur le navire: soit uniquement sur les zones vulnérables, soit sur toute la coque.
Néanmoins cela reste une défence chère à fabriquer et qui peut rapidement monter le prix des modifications ou des réparations du navire. Les avantages sont pour autant indéniables.
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! Du coup pas de propulsion, le but c'est de transpercer à coup de "laser de feu" le bateau ennemi. 
